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Avant de rentrer en Frances, les militaires de Sangaris feront un détour par la Crète

Zone militaire - Fri, 29/05/2015 - 16:15

En décembre dernier, deux députés, Émilienne Poumirol et Olivier Audibert-Troin, chargés d’établir un rapport sur la prise en charge des militaires blessés avaient avancé que 12% des personnels du premier mandat de l’opération Sangaris ont présenté des « déséquilibres psychologiques ». Ce chiffre n’a pas été officiellement confirmé par le Service de santé des armées. Mais d’après […]

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Categories: Défense

A csehek többet, a magyarok és lengyelek kevesebbet keresnek a szlovákoknál

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Fri, 29/05/2015 - 16:13
POZSONY. A munkaviszonyban levő szlovákiai polgár nettó átlagbére tavaly 665 euró volt – derül ki az Eurostat európai statisztikai hivatal és a Postabank elemzőinek az adataiból.

Michael Morrell’s intelligence officer nostalgia for the great post-9/11 panic

Foreign Policy - Fri, 29/05/2015 - 16:12
The veteran former CIA operative recalls the good old days after 9/11: “When I was standing in security lines at airports soon after 9/11, nobody was complaining. Now when I stand in security lines, people are complaining.”

Les centristes réclament une enquête sur les relations entre le FN et Moscou

Euractiv.fr - Fri, 29/05/2015 - 16:09

Le groupe des libéraux au Parlement européen (ADLE) veut en savoir plus sur les contacts qu'entretiennent l'extrême droite française et le Kremlin.

Categories: Union européenne

Jade Helm, Phase I: We win their trust!

Foreign Policy - Fri, 29/05/2015 - 16:09
This is a photograph of Texas National Guardsmen engineers helping some Texans in Granbury, Texas.

Kárpátaljai szerzők könyvei az idei ünnepi könyvhéten

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Fri, 29/05/2015 - 16:08

Idén 86. alkalommal rendezik meg az ünnepi könyvhetet Budapesten. A rendezvényre több kárpátaljai szerző műve is megjelenik:

Vári Fábián László: Ereimben az idő (Magyar Napló Kiadó);
Nagy Zoltán Mihály: Fogott figurák (Magyar Napló Kiadó);
Füzesi Magda: Kapunyitogató (Kráter Kiadó);
Bartha Gusztáv: Világvég (Széphalom Kiadó);
Brenzovics Marianna: Hasadás (Kalligram);
Lengyel János: Arc-poeticák (Intermix Kiadó);
Dupka György: „Ne ítéljetek el…!” (Intermix Kiadó);
Zubánics László: Világok végeink (Intermix Kiadó).
 

A Magyar Könyvkiadók és Könyvterjesztők Egyesülete 1929 óta szervezi meg az ünnepi könyvhetet, melyhez 2001-től kapcsolódnak a gyermekkönyvnapok. Az érdeklődőket a hagyományos programok mellett kísérőprogramok is várják, vagyis az aktuális könyvújdonságok, dedikálások mellett, beszélgetések és zenei előadások is. A könyvhét fő helyszíne a fővárosi Vörösmarty tér és környéke, de több nagyvárosban is rendeznek fesztiválokat (Debrecen, Pécs, Szeged, Sopron stb.). A Magyar Örökség díjjal kitüntetett kulturális rendezvény évről évre nagyobb népszerűségnek örvend.

Az idei könyvhetet és gyermekkönyvnapokat június 4. és 8. között tartják, az eseményt Sárközi Mátyás József Attila-díjas író nyitja meg.

PTB
Kárpátalja.ma

L'Alena ou les mirages du libre-échange

Le Monde Diplomatique - Fri, 29/05/2015 - 16:07
Destruction d'emplois , tassement des salaires, déstabilisé des économies… après deux décennies, le bilan de l'accord de libre-échange nord-américain (Alena) est accablant. / Canada, États-Unis, Mexique, Agriculture, Agroalimentaire, Alimentation, Commerce international, Économie, Entreprise, (...) / , , , , , , , , , , , , , , - 2015/06

Afrique subsaharienne : hausse des financements de Proparco en 2014

Jeune Afrique / Economie - Fri, 29/05/2015 - 16:04

En 2014, les financements du groupe Proparco ont atteint 546 millions d’euros pour l’Afrique subsaharienne, soit 50% de l’ensemble des engagements réalisés par le groupe.


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Categories: Afrique

Le RMT teste son Félin

Le régiment de marche du Tchad (RMT) a profité de son évaluation du 7 mai 2015, sur le parcours Symphonie de Suippes, pour tester son équipement Félin.
Categories: Défense

Consilium-Fire-Detection and Safety Systems for Marine Vessels

Naval Technology - Fri, 29/05/2015 - 16:01
Consilium is a well-known name and a trustworthy supplier of solutions for fire protection equipment in naval applications world-wide. Having its business started with the development and supply of equipment for the marine industry, Consilium consoli…
Categories: Defence`s Feeds

Egypte: Al-Azhar a voulu "montrer le véritable islam"

Slateafrique - Fri, 29/05/2015 - 16:00

La prestigieuse institution de l'islam sunnite Al-Azhar

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Categories: Afrique

Burundi: tirs soutenus dans la nuit

Slateafrique - Fri, 29/05/2015 - 16:00
Categories: Afrique

Nigeria: le nouveau président promet de sévir contre les "fous" de Boko Haram

Slateafrique - Fri, 29/05/2015 - 16:00

Le nouveau président nigérian Muhammadu Buhari a promis vendredi une intensification de la campagne militaire contre Boko Haram, décrivant les islamistes armés comme des "gens fous et sans Dieu".

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Categories: Afrique

OSCE Representative condemns attacks and threats against journalists in Croatia, welcomes quick arrests

OSCE - Fri, 29/05/2015 - 15:58

VIENNA, 29 May 2015 – OSCE Representative on Freedom of the Media Dunja Mijatović today condemned recent attacks and threats on Croatian journalists.

Yesterday’s violence includes an attack on investigative journalist and blogger Željko Peratović at his home near Karlovac and a death threat sent to Saša Leković, a journalist and president of the Croatian Association of Journalists.

“The attack on Peratović is unacceptable, however I am encouraged by reports that the Croatian authorities acted swiftly, arresting possible perpetrators,” Mijatović said.

According to reports, on Thursday evening Peratović was attacked by three men outside his home in Luka Pokupska and was hospitalized with head injuries. According to media reports, police have apprehended three suspects. Peratović is a well-known investigative journalist and last year’s winner of the Croatian Journalists Association award for investigative journalism.

In another incident this morning, the president of the Croatian Association of Journalists, Saša Leković, received a package by mail containing a threat. He reported the threat to the police and handed over the package for investigation. Since taking up his position a few months ago, Leković has received a number of threats through social media.

According to the Croatian Association of Journalists there have been recent additional attacks on journalists.

 

The OSCE Representative on Freedom of the Media observes media developments in all 57 OSCE participating States. She provides early warning on violations of freedom of expression and media freedom and promotes full compliance with OSCE media freedom commitments. Learn more at www.osce.org/fom, Twitter: @OSCE_RFoM and on www.facebook.com/osce.rfom

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Categories: Central Europe

Tensions russo-canadiennes sur fond de crise ukrainienne : quelles perspectives politiques et militaires pour l’Arctique ?

IRIS - Fri, 29/05/2015 - 15:57

La dernière réunion du Conseil de l’Arctique à Iqaluit, du 24 au 25 avril 2015, a vu le Canada céder aux États-Unis la présidence du Conseil et a principalement porté sur l’enjeu du réchauffement climatique, dont Washington entend faire une des grandes priorités de son mandat. Les tensions sous-jacentes à cet événement entre les pays membres de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) et la Russie sont l’autre grande actualité de la réunion, marquée par le refus du ministre russe des Affaires étrangères d’y participer suite aux propos du ministre canadien de l’Environnement et du Conseil de l’Arctique, Leona Aglukkaq, qui déclarait le 23 avril vouloir délivrer un « message ferme » à la Russie à propos de « ses agressions contre l’Ukraine » [1]. Un mois avant, le 16 mars, la Russie menait en Arctique des manœuvres militaires de grande ampleur impliquant, selon le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, 38.000 soldats, 110 avions, 40 navires de surfaces et 15 sous-marins de guerre [2]. Le même jour, le ministre canadien de la Défense, Jason Kenney, en visite au Commandement de la défense aérospatiale de l’Amérique du Nord (NORAD) expliquait alors que le Canada comptait accroître sa présence dans la région, mentionnant l’entrée en service prochaine de cinq navires de patrouille arctiques. Dans le contexte de la crise ukrainienne, l’Arctique est ainsi redevenu une zone de tension et l’espace d’expression des rivalités russo-canadiennes. Parmi les huit pays riverains de la zone arctique, cinq sont membres de l’OTAN (États-Unis, Canada, Norvège, Danemark et Islande). Cette surreprésentation de l’Alliance atlantique dans la région alimente le sentiment d’encerclement russe et la perception de l’Arctique comme extension d’un espace de confrontation russo-occidental en pleine crise depuis les premiers mois de la révolution ukrainienne.

Ces tensions exacerbent les rivalités territoriales russo-canadiennes, contribuent à une remise en cause de la coopération multilatérale au sein du Conseil de l’Arctique et, plus que jamais, posent la question d’une militarisation durable de la région.

Une rivalité historique aiguisée par le conflit ukrainien

Si les différends territoriaux russo-canadiens dans l’Arctique ne sont pas récents, leur instrumentalisation dans le contexte des tensions russo-occidentales sur fond de crise ukrainienne les a placés au centre de l’actualité. L’importance stratégique prépondérante de l’Arctique, espace de manœuvre de la dissuasion nucléaire sous-marine russe, en fait un théâtre privilégié pour exercer d’éventuelles pressions contre la Russie. Devant ce risque, le choix de Moscou de réaffirmer sa présence militaire par l’envoi de plusieurs navires en août et septembre 2014 a été perçu comme une provocation par le Premier ministre canadien, Stephen Harper. A l’occasion de manœuvres militaires au large de l’île de Baffin destinées à réaffirmer la souveraineté canadienne en Arctique, ce dernier a appelé à la vigilance : « En Europe, nous voyons les ambitions impériales de Vladimir Poutine, qui semble déterminé à ce qu’il n’y ait pas de paix pour les voisins de la Russie », a-t-il déclaré, « et puisque la Russie est aussi un voisin du Canada, nous ne devons pas non plus faire preuve d’aveuglement » [3].

A cette dimension militaire s’ajoute le potentiel énergétique de l’Arctique : plus de 90 milliards de barils de pétrole, près de 50.000 milliards de m3 de gaz naturel ainsi que des quantités importantes d’hydrates de gaz naturel qui seraient situés au-delà du cercle polaire selon l’USGS (Agence géologique américaine), soit 10% des réserves de pétrole et 30% des réserves non découvertes de gaz dans le monde. La Russie a été la première à tirer profit de ce potentiel considérable. Entrée en production en 2013, la plate-forme pétrolière de Prirazlomnoye a extrait, en 2014, l’équivalent de 2,2 millions de barils pour le compte de Gazprom. Cependant, et malgré leur savoir-faire dans le forage en conditions extrêmes, les compagnies russes restent tributaires des technologies occidentales pour la production de pétrole en Arctique. Rosneft a ainsi conclu des accords avec Statoil, BP, ENI et ExxonMobil, interrompus en même temps que les projets d’exploitation des ressources arctiques par les sanctions prises contre la Russie dans le cadre de la crise ukrainienne.

L’importance stratégique de la région alimente, avec une intensité renouvelée depuis 2007 et a fortiori depuis 2013, les différends territoriaux opposant la Russie et le Canada qui revendiquent tous deux la souveraineté de la dorsale océanique de Lomonossov, considérée par les deux parties comme une extension de leur propre plateau continental. Durant l’été 2007, un bathyscaphe a planté le drapeau russe au niveau du Pôle Nord, à 4200 mètres de profondeur, acte de revendication symbolique auquel Ottawa a répondu par la commande en 2008, réitérée en 2013, d’enquêtes scientifiques et de campagnes de cartographie visant à déterminer que la dorsale est bien une extension du territoire canadien.

Cette situation de rivalité entre les deux principaux acteurs de la région a conduit à une remise en cause progressive de la coopération arctique, ainsi qu’à l’affaissement de la relation bilatérale russo-canadienne. Les huit pays riverains de l’Arctique collaborent au sein du Conseil de l’Arctique afin de réguler le trafic maritime, l’exploitation des ressources naturelles et d’assurer la protection de l’environnement. Le Canada, qui préside cette instance depuis mai 2013, a boycotté une réunion tenue à Moscou en avril 2014, en représailles à l’annexion de la Crimée survenue un mois plus tôt. Ottawa, qui a mis fin à toute coopération militaire avec la Russie, a également activement milité pour son exclusion du G8. Enfin, le gouvernement canadien a annoncé, le 14 avril 2015, l’envoi d’une mission de formation de 200 soldats en Ukraine qui seront déployés jusqu’au 31 mars 2017. Soucieux d’affirmer sa souveraineté en Arctique et de réprouver l’attitude russe durant la crise ukrainienne, le Canada multiplie les pressions auxquelles Moscou répond par une présence militaire accrue en Arctique.

Vers une militarisation durable de l’Arctique ?

Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, a affirmé le 25 février 2015 que « la Russie n’écarte pas la possibilité de protéger ses intérêts nationaux en Arctique avec des moyens militaires ». Cette déclaration officialise un mouvement amorcé depuis deux ans : l’exacerbation des tensions territoriales motive une militarisation croissante de la région, nouvel espace de confrontation russo-occidental dont la fonte des glaces facilite l’accès par voie maritime.

Cette rivalité s’exprime d’abord dans les airs. En février 2015, la direction du renseignement militaire canadien s’est inquiétée de la présence éventuelle de drones espionnant le territoire arctique canadien pour le compte de Moscou [4]. Ce dernier rapport d’Ottawa est loin d’être une accusation isolée puisqu’en l’espace de onze mois, les pays membres de l’OTAN, ainsi que la Finlande et la Suède, ont recensé cinquante incidents aériens impliquant des avions militaires russes. S’ils se contentent, la plupart du temps, de frôler la frontière du pays concerné, la tension reste forte et se propage au-delà de l’Europe de l’Est et du Nord ; durant l’été 2014, le passage d’un bombardier russe Tu-95 à proximité de son espace aérien a fait décoller d’urgence les chasseurs du Canada [5].

Ces incidents s’inscrivent dans le contexte d’une militarisation croissante de l’Arctique. Justifiant cette décision par la nécessité de surveiller la route maritime du Nord, Vladimir Poutine a ordonné en septembre 2013 la réouverture d’une base abandonnée depuis 1993, située dans l’archipel des îles de Nouvelle-Sibérie, assurant une présence permanente aux forces armées russes dans l’Est de l’Arctique. Dressant un parallèle avec l’Ukraine durant une visite à Montréal en mai 2014, Hillary Clinton a dénoncé cette initiative et appelé le Canada à la vigilance. A son tour, le Premier ministre Stephen Harper a fait part de sa détermination à défendre la souveraineté nationale et à accroître la présence canadienne dans la région. Mais le volontarisme du gouvernement masque mal les difficultés inhérentes au maintien d’une force canadienne permanente en Arctique : le Grand Nord américain, archipélagique, ne dispose pas de continuité territoriale avec le continent et affiche des conditions de température sévères, y compris à des latitudes relativement basses. Rédigé en 2008, le Canada First Defense Strategy prévoyait l’envoi de soldats en Arctique. Depuis lors, l’armée canadienne s’efforce d’acquérir une culture qu’elle ne possède pas – même au plus fort de la guerre froide, le dispositif militaire d’Ottawa était particulièrement restreint au Nord du 60e parallèle. Actuellement, la présence militaire canadienne en Arctique s’articule autour de 250 hommes répartis sur quatre points d’appuis appelés Northern Operational Hubs, auxquels s’ajoutent des Rangers issus des premiers peuples de l’Arctique (Inuits, Indiens, Métis), sélectionnés pour leur connaissance du Grand Nord, financés et équipés par Ottawa, et qui constituent le premier échelon d’intervention canadien dans la région.

A cette présence terrestre s’ajoute une mobilisation navale accrue. La fonte de la banquise renforce l’intérêt accordé au passage du Nord-Ouest, canadien, et à la route maritime du Nord, russe, voués à jouer un rôle croissant dans les échanges internationaux comme au niveau militaire. L’envoi par Moscou de plusieurs bâtiments de guerre durant l’été 2014 et notamment, en septembre, d’un groupe naval de la Flotte du Nord composé du destroyer Admiral Levchenko, de deux bâtiments amphibies et de plusieurs bâtiments de soutien, témoigne du sursaut de mobilisation russe dans un océan arctique devenu théâtre d’opérations. Des sous-marins nucléaires russes ont participé à des exercices dans les eaux internationales situées sous le pôle Nord au début du mois de février 2015. Surtout, les manœuvres de mars 2015 sont parmi les plus importantes depuis la fin de la guerre froide et constituent une mobilisation militaire sans précédent dans la région Arctique. Les tensions en Europe orientale amènent la Russie à faire valoir sa puissance militaire face à un rival canadien, membre de l’OTAN, qu’elle sait moins bien doté. Ces récentes manœuvres ont soulevé des interrogations quant aux capacités de riposte d’Ottawa qui a décidé d’un vaste programme de modernisation de ses forces navales, destiné à renforcer les capacités de déploiement de la marine canadienne en Arctique. Le dernier contrat en date a vu le gouvernement canadien passer commande, le 23 janvier 2015, de six patrouilleurs conçus pour évoluer en zone polaire pour un coût total équivalent à 2,45 milliards d’euros [6].

La fonte des glaces transforme progressivement la zone arctique en espace de guerre potentiel. Dans ce contexte, la crise ukrainienne a agi comme un déclencheur, provoquant un sursaut de la présence militaire russe et des ambitions de défense canadiennes. Les tensions récentes s’appuient sur des tendances structurelles : le réchauffement climatique facilite la navigation dans l’océan Arctique et l’exploitation de ses ressources en hydrocarbures, met en exergue l’intérêt stratégique de la région, et par là ravive le conflit territorial portant sur la dorsale de Lomonossov. Une sortie de crise en Ukraine ne saurait influer sur les causes de ce différend mais un réchauffement des relations russo-occidentales permettrait certainement son règlement dans un contexte pacifique de maintien de la coopération en Arctique. La relation bilatérale russo-canadienne reste tributaire de la relation entre Moscou et l’Alliance atlantique, dont l’évolution décidera d’une pacification ou d’une militarisation durable de l’Arctique.

[1] Bastien Duhamel, « Le Canada confie la présidence du conseil de l’Arctique aux Etats-Unis: retour sur deux ans de mandat », 45eNord.ca, 24 avril 2015.
[2] Laurent Lagneau, « La Russie a lancé d’importantes manœuvres militaires dans l’Arctique », Opex360, 17 mars 2015.
[3] « Arctique : le Canada doit être prêt à répondre à d’éventuelles incursions de Moscou, dit harper », Le Huffington Post, 26 octobre 2014.
[4] « L’armée canadienne s’inquiète de possibles drones espions dans l’Arctique », Le Huffington Post, 10 février 2015.
[5] Jacques Deveaux, « Canadiens et Russes réaffirment leurs droits sur l’Arctique », Francetv info, 29 août 2014.
[6] « NPEA : les nouveaux patrouilleurs arctiques canadiens », Mer et Marine, 3 février 2015.

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