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Sarkozy, "l'adversaire préféré" de Bayrou

L`Express / Politique - Sun, 25/09/2016 - 19:41
En clôture de l'université de rentrée du MoDem ce dimanche, François Bayrou a critiqué "l'obsession de l'identité" de Nicolas Sarkozy. Depuis le début du mois, le maire de Pau contredit de manière quasi-systématique l'ancien chef de l'Etat.
Categories: France

Terrorisme : deux jeunes Niçoises écrouées pour avoir fomenté une attaque jihadiste

France24 / France - Sun, 25/09/2016 - 19:32
Deux Niçoises radicalisées de 17 et 19 ans ont été arrêtées récemment par la DGSI et placées en détention provisoire, selon des informations révélées dimanche. Les deux adolescentes sont soupçonnées d’avoir voulu commettre une attaque jihadiste.
Categories: France

Megkezdte működését a világ legnagyobb rádiótávcsöve

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 25/09/2016 - 19:20
PEKING. Megkezdte működését vasárnap Kínában a világ legnagyobb egytányéros rádiótávcsöve, az 500 méter átmérőjű Aperture Spherical Telescope (FAST), amely távoli csillagok, galaxisok és esetleges földönkívüli civilizációk jeleit kutatja.

Túl sokáig tart a krasznahorkai vár felújítása

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 25/09/2016 - 18:51
KRASZNAHORKAVÁRALJA. A helybeliek szerint a 2012-ben tűzvész áldozatává vált nemzeti műemlék, a krasznahorkai vár felújítása túl sokáig tart. Az önkormányzat szerint a régóta zárva tartó vár nemcsak a helybeli lakosok, de a vállalkozók életét is nehezíti.

Gabon : la communauté internationale accueille froidement la réélection d'Ali Bongo

France24 / Afrique - Sun, 25/09/2016 - 18:36
Aucun grand pays n’a encore félicité le président gabonais sortant, Ali Bongo Ondimba, pour son second mandat à venir, plus de deux jours après la validation de sa réélection par la Cour constitutionnelle du pays.
Categories: Afrique

Az olaszok "védelmi Schengent" hoznának létre

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 25/09/2016 - 18:16
RÓMA. Az olasz kormány javaslatot dolgozott ki egy európai védelmi erő létrehozására, amelyet Roberta Pinotti védelmi miniszter az Európai Unió védelmi felelőseinek pozsonyi informális találkozóján mutat be - jelentette a Corriere della Sera című olasz napilap vasárnap.

Avec les Caesar, plus de 4200, au moinsssss

Le mamouth (Blog) - Sun, 25/09/2016 - 18:13
Pour l'instant, les demandes de précision sur le détachement d'artillerie français en Irak butent sur un
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Categories: Défense

Halmos Béla Program Ideiglenes Kollégium pályázata

PAFI - Sun, 25/09/2016 - 17:51
A Halmos Béla Program célja a népzenei utánpótlás támogatása, színvonalas népzenei és világzenei produkciók fellépési lehetőségeinek, bel- és külföldi népszerűsítésének elősegítése.
Categories: Pályázatok

Biztos Menedék - A krízishelyzetek megelőzését és kezelését végző szervezetek kapacitás- és szolgáltatásbővítésének, valamint a szolgáltatásokhoz való egyenlő esélyű hozzáférés elősegítése / EFOP-1.2.5-16

PAFI - Sun, 25/09/2016 - 17:50
A krízishelyzetek megelőzését és kezelését végző szervezetek kapacitás- és szolgáltatásbővítésének megvalósítására, valamint a szolgáltatásokhoz való egyenlő esélyű hozzáférés elősegítésére
Categories: Pályázatok

Csaknem minden alsó tagozatos tanul idegen nyelvet

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 25/09/2016 - 17:49
POZSONY. Az Európai Unió tagországaiban fellehető alapiskolák alsó tagozatos diákjai közül több mint 18 millióan legalább egy idegen nyelvet tanultak 2014-ben, ami az összes alsó tagozatos diák 84 százalékának felel meg – tájékoztatott róla Ingrid Ludviková, az Európai Bizottság szlovákiai képviseletének munkatársa, megemlítve, hogy szeptember 26-án, hétfőn a Nyelvek Európai Napját ünnepeljük.

Elképesztően kicsi az észak-koreai világháló

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 25/09/2016 - 17:22
PHENJAN. Egy konfigurációs hiba miatt kutatók lekérhették az észak-koreai weboldalak listáját, és meg is tudták nyitni azokat. Mindössze 28 weblapot jegyeztek be .KP domainnév alá, ennyit tudnak elérni az országban a netezők.

Hollande reconnaît la responsabilité de la France dans "l’abandon" des harkis

France24 / France - Sun, 25/09/2016 - 17:04
François Hollande a reconnu solennellement, dimanche, la responsabilité française dans "l’abandon" des harkis, ces dizaines de milliers d’Algériens ayant combattu aux côtés des forces françaises lors de la guerre d’indépendance de l’Algérie.
Categories: France

En dix ans, l’Afrique a perdu 20 % de ses éléphants

LeMonde / Afrique - Sun, 25/09/2016 - 17:00
« Le regain de braconnage de l’ivoire qui a commencé approximativement il y a dix ans (…) est le principal facteur à l’origine de ce déclin », selon l’UICN.
Categories: Afrique

Komárom nyerte a IV. Belatti UJS Cupot

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 25/09/2016 - 16:56
KOMÁROM. Szeptember 24-én rendezték meg Komáromban a IV. Bellatti UJS Cup felkészülési tornát, melyen a hazai VK Spartak UJS Komárno győzött.

Danko: a képviselőnek 30 perc alatt ki kell tudnia fejteni véleményét

Hírek.sk (Szlovákia/Felvidék) - Sun, 25/09/2016 - 16:38
POZSONY. Európában csupán három olyan ország van, ahol a törvényhozásban a képviselők felszólalását nem kötik időhöz. 20-30 perc alatt minden képviselő képes kell, hogy legyen kifejteni véleményét – jelentette ki Andrej Danko házelnök, a Szlovák Nemzeti Párt alelnöke a TA3 Politikában című vitaműsorában.

Voies sur berges: "A Paris, le trafic automobile a diminué de 28% depuis 2001"

L`Express / Politique - Sun, 25/09/2016 - 16:35
Ce lundi, le conseil de Paris vote la fermeture à la circulation des voies sur berge de la rive droite de la Seine. Enseignant à l'université Lille 1, Frédéric Héran, spécialiste des questions de mobilité, explique pourquoi il est favorable à ce projet.
Categories: France

Espagne 2016, seconde patrie de Buridan

IRIS - Sun, 25/09/2016 - 16:26

On connaît le drame absurde vécu par l’âne de Buridan. Affamé et assoiffé, il meurt de faim et de soif, incapable de choisir entre bol d’eau et seau de céréales. Buridan n’est peut-être pas l’inventeur de cette histoire. Il aurait pu l’être. Comme il pourrait être aujourd’hui le chroniqueur incontesté du feuilleton électoral ouvert en Espagne en décembre 2015, et toujours en septembre 2016 bobiné sur un logiciel débranché.

Incapables de faire des choix, des alliances parlementaires, les partis politiques espagnols s’enferment dans un autisme ayant interdit toute sortie majoritaire de décembre 2015 à septembre 2016.

Les acteurs du drame, partis politiques comme électeurs, et in fine, la démocratie parlementaire, y survivront-ils? Pendant longtemps l’Espagne aura été exemplaire et montrée comme telle. Elle est en effet sortie d’une interminable dictature militaire sans effusion de sang. Les adversaires historiques avaient confectionné une Constitution mêlant eau et vin. Assurant une convivialité démocratique acceptable, cette nouvelle Espagne avait été donnée en exemple aux pays et peuples en quête de sortie de dictature, de l’Amérique latine à l’Europe de l’Est.

Le pays survit tant bien que mal à cette situation insolite. Le Roi, Philippe VI, est opportunément mis à contribution. De la conférence des Nations unies sur les migrations à l’Assemblée générale de l’ONU. Son père, Juan Carlos, qui avait abdiqué, a été pourtant sollicité pour représenter l’Espagne à la signature de l’accord de paix entre Colombiens des FARC et le gouvernement. En transition prolongée, l’exécutif est dans l’incapacité constitutionnelle de répondre aux attentes pressantes de la Commission européenne. Tout comme de prendre une quelconque initiative législative ou internationale. Certes les apparences sont sauves. Le pays marche sur la vitesse acquise. Mais pour combien de temps encore? L’OCDE s’en est inquiétée. Le ministère espagnol des affaires étrangères a tiré lui aussi une sonnette d’alarme: « notre pays est un canard boiteux international ».

De fait, la machine a relativement bien fonctionné de 1978 à 2015. De droite à gauche, les partis politiques se querellaient dans les limites autorisées par la Loi fondamentale, respectant les compromis et les non-dits de la transition démocratique. Deux grands partis, l’un de centre gauche, le PSOE, et l’autre de centre droit, l’UCD, puis le Parti Populaire, ont monopolisé pendant 35 ans les aspirations modérément opposées des électeurs. Bien huilé, ce va-et-vient centriste balançait mollement et sans heurts majeurs les Espagnols et leur pays, de droite à gauche.

La mécanique s’est brutalement enrayée le 20 décembre 2015. Ce jour-là le parlement Janus, tel Shiva, écrasant les démons du passé, a bourgeonné. Le bipartisme a pris du plomb dans l’aile. Le consulat parlementaire exercé par le PP et le PSOE était désormais contesté de droite à gauche, en passant par les périphéries géographiques, par Bildu, la Coalition des Canaries, Ciudadanos, Compromis, Convergence et Union, la Gauche Républicaine catalane, le Parti nationaliste basque, Podemos, formation agrégat de diverses familles, En marea, En Comu Podem… Les lapins multicartes partisanes sortis du chapeau des électeurs n’ont pas été en mesure d’inventer l’usine à gaz qui aurait permis de fabriquer une majorité. Les lignes rouges respectives des différentes familles politiques les uns à l’égard des autres ont contraint à répéter l’exercice électoral.

Mieux, ou pire, le 26 juin 2016, le parlement élu le 20 décembre 2015 dissous faute d’entente a resurgi de ses cendres. Indifférents au crime de lèse-démocratie modèle de la transition, les électeurs ont de nouveau semé leurs choix à tout vent. Bis repetita placent. Grosso modo les Espagnols ont confirmé le 26 juin 2016 leur option préférentielle pour une représentation éclatée. Les partis politiques ont été renvoyés à la case départ. Les deux partis historiquement dominants ont été à nouveau contestés à droite et à gauche par de nouveaux venus. Les hauts-le-cœur réciproques avaient empêché de trouver un compromis majoritaire de décembre 2015 à juin 2016. La feuille de route des différents partis restait en septembre 2016 toujours aussi insensible au message des électeurs. La date butoir fixée par la Constitution, pour une nouvelle dissolution, le 31 octobre, se rapproche. Faute de majorité à cette date, un retour à la case électorale serait incontournable.

Comment en est-on arrivé là? Le Parti Populaire a péniblement négocié un accord avec la nouvelle formation de centre droit, Ciudadanos. Le seul représentant de la Coalition des Canaries s’est joint à l’entente. 137 PP plus 32 Ciudadanos plus 1 CC, font 170. Manquent encore six députés pour former une majorité. Le Parti nationaliste basque et feu Convergence et Union de Catalogne, formations de centre droit en d’autres temps, en 1996 avaient apporté les voix manquantes au PP. C’est aujourd’hui exclu. Fort de sa majorité absolue depuis 2012, le PP a fait la sourde oreille à toutes les revendications basques et catalanes. L’alliance du PP avec Ciudadanos, parti explicitement centraliste, exclut toute hypothèse allant dans cette direction.

Au centre gauche, Podemos a mangé les communistes de la Gauche démocratique, mais a laissé filer ses homologues de Galice (En Marea) et de Valence (Compromis). Podemos soupçonne publiquement le PSOE de complaisance à l’égard du PP. En clair d’être capable de s’abstenir pour donner au PP et ses alliés une majorité minimale lui permettant de gouverner. Podemos refuse toute perspective de pacte à trois, Podemos plus PSOE plus Ciudadanos, proposé par les socialistes. Socialistes qui refusent mordicus de faciliter par leur abstention la perpétuation du PP de Mariano Rajoy aux commandes de l’Espagne. Le ménage à trois est par ailleurs tout aussi inacceptable pour Ciudadanos. Podemos met sur la table la perspective d’une alliance avec le PSOE, les indépendantistes basques et catalans. Ce mariage à 5 permettrait en effet de passer la ligne majoritaire de 176 sièges. Mais le prix à payer serait lourd de conséquences. Les indépendantistes catalans (17 sièges) conditionnent leur soutien à un feu vert de la majorité ainsi constituée à leurs aspirations souverainistes. Le PSOE refuse cette perspective qui engagerait L’Espagne, selon eux, dans une aventure institutionnelle aux conséquences imprévisibles.

Si dissolution il y a, compte tenu des délais fixés par la Constitution, ce troisième rendez-vous avec les urnes devrait être organisé… le 25 décembre. Autant dire que tous les partis se regardent en chiens de faïence et cherchent des boucs-émissaires. Ciudadanos, Podemos et le PP font porter le chapeau au PSOE. Le PSOE en refusant de s’abstenir, pour les uns (PP et Ciudadanos) ou de s’allier avec les indépendantistes (Podemos) serait le fauteur de trouble. Mais pourquoi faire simple quand on peut compliquer les choses. L’impasse collective a provoqué une montée d’adrénaline au sein du PSOE comme de Podemos. Tandis que Ciudadanos s’interroge sur la pérennité de son alliance avec le PP. Quant aux partis indépendantistes catalans, la paralysie du système politique espagnol les pousse à imaginer une fuite en avant, catalane pur sucre.

La crise économique, les scandales de corruption, le repli nationaliste du parti Populaire, ont brisé les consensus fabriqués pendant la transition démocratique. L’Espagne institutionnelle est comme paralysée par l’ampleur du drame. Alors que la montée collective du doute menace d’envoyer par-dessus bord les partis de gouvernement, l’unité nationale, la Royauté, et de plus en plus le respect des valeurs démocratiques.

Szegregált élethelyzetek felszámolása komplex programokkal (ERFA) / EFOP-2.4.1

PAFI - Sun, 25/09/2016 - 16:26
Felhívás a szegregált élethelyzetek komplex programokkal történő felszámolására.
Categories: Pályázatok

"Paris sans voitures", fer de lance de la politique écologique d'Anne Hidalgo

France24 / France - Sun, 25/09/2016 - 16:11
La moitié de Paris est fermée à la circulation des voitures, dimanche, sauf exceptions, pour la deuxième édition de "Paris sans voitures". C'est l'une des initiatives de la maire, Anne Hidalgo, pour rendre sa ville plus propre et moins bruyante.
Categories: France

Enquête sur ces harkis restés en Algérie

Le Monde Diplomatique - Sun, 25/09/2016 - 16:03
Abandonnés par le gouvernement français, des milliers de supplétifs de l'armée furent assassinés dans les mois qui suivirent l'indépendance. Pourtant, la plupart des harkis continuèrent à vivre en Algérie avec leurs familles. Depuis cinquante ans, ils sont victimes d'une relégation sociale quasi (...) / , , , , , , , , , , , , , - 2015/04

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