Since 2014 German and European attention has been largely absorbed by the annexation of Crimea, the war in Donbas and the crisis in relations with Russia. Yet the eastern neighbourhood also contains four unresolved territorial conflicts, which have in some respects developed very dynamically since 2014. The authors of this study examine the role of Russia in these conflicts, the political background, the relevant actors and their interests, and the connection between conflict level and geopolitical context. Together they produce a nuanced picture of the arc of conflict in the EU’s eastern neighbourhood. Their verdict in all four cases is that the conditions for constructive conflict regulation have deteriorated since 2014. Alongside the geopolitical context, local factors are also significant. Russia plays an ambivalent role, instrumentalising all four conflicts to preserve its influence in the affected states, but without enjoying full control of the dynamics. The authors recommend the EU pursue a nuanced policy of conflict regulation that takes into account context-sensitive local factors as well as the international context. The medium-term goals of such a policy range from the preservation of existing channels of interaction (Transnistria) through de-isolation (Abkhazia and South Ossetia) to de-escalation and conflict prevention (Nagorno-Karabakh).
Table of Contents Sabine Fischer
Issues and Recommendations
p. 5
Sabine Fischer
Russian Policy in the Unresolved Conflicts
p. 9
Klemens Büscher
The Transnistria Conflict in Light of the Crisis over Ukraine
p. 25
Sabine Fischer
The Conflicts over Abkhazia and South Ossetia in Light of the Crisis over Ukraine
p. 43
Franziska Smolnik / Uwe Halbach
The Nagorno-Karabakh Conflict in Light of the Crisis over Ukraine
p. 61
Sabine Fischer
Conclusions and Recommendations: European Peace Policy in the Unresolved Conflicts
p. 81
In the last decades, the traditional understanding of organized crime (OC) has been widely challenged. As the United Nations Office on Drugs and Crime (UNODC), Europol, as well as German authorities have extensively highlighted, hierarchical criminal organizations coexist and overlap with new forms of liquid networked criminality. These criminal networks are composed of flexible alliances between professionals acting worldwide that regulate themselves based on market logic rather than violent conflicts. While appearing “dis-organized,” these criminal networks are highly resilient to law enforcement intervention due to their redundancy. Their capacity for infiltrating the legitimate economy and the estimated sums of money they launder globally, which amounts to between 2 and 5 percent of global GDP yearly (UNODC), are alarming. Therefore, not only law enforcement and policymakers, but also the private sector cannot afford to drop their guard. National interventions often just push criminal activities into other countries; hence, effective strategies should address global markets’ dynamics.
L’ambassadrice d’Autriche en Algérie, Mme Franziska Honsowitz, a indiqué, hier à Oran, que le marché autrichien est intéressé par polyester fabriqué en Algérie appelant les opérateurs nationaux à investir dans ce créneau. Fabriqué à base de pétrole, le coût de cette matière isolante utilisée dans le secteur du BTH serait concurrentiel s’il est fabriqué en Algérie, a estimé la diplomate autrichienne, dans une déclaration à l’APS, en marge de la visite de travail qu’effectue à Oran le Président de l’ONG « R20 », Arnold Schwarzenegger.
Mme Franziska Honspwitz a, par ailleurs, annoncé qu’une journée d’information sur les opportunités d’exportation des produits algériens vers l’Autriche est programmée prochainement à la Chambre de commerce et de l’industrie de l’Oranie (CCIO). La diplomate autrichienne a indiqué qu’un partenariat dans la gestion des ressources en eau est en cours de discussion avec le ministère chargé de ce secteur, rappelant que l’Autriche est un partenaire traditionnel de l’Algérie dans le domaine du transport ferroviaires et plus récemment dans le secteur agricole. Elle a, enfin, souligné le souhait de diversifier ces échanges et cette coopération à d’autres domaines.
La semaine s’est terminée sur des chiffres mitigés pour les cours des matières premières, oscillant entre hausse pour le pétrole, les alimentaires, et les métaux de base et baisse pour les matières agricoles.
Les cours du pétrole ont fini la semaine stables les investisseurs attendant les négociations pour une limitation de l’offre mercredi à Alger. A Londres, le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre, a fini à 45,89 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE), contre 45,95 dollars une semaine plus tôt.
Le cours du baril de « light sweet crude » (WTI), référence américaine du brut, a fini à 44,48 dollars sur le contrat pour livraison en novembre au New York Mercantile Exchange (Nymex), contre 43,16 dollars le vendredi précédent. Le cacao et le café ont tous les deux été recherchés alors que des informations ont fait reculer les prévisions de récolte des deux denrées, avant de se stabiliser en fin de semaine, tandis que le sucre restait sur ses niveaux de début de semaine après s’être envolé vendredi dernier. Les cours du sucre avaient décollé vendredi dernier, alors que la saison 2016-2017 inquiétait les investisseurs.
Les cours se sont stabilisés en l’attente de plus d’information. A Londres, la tonne de Sucre blanc pour livraison en décembre valait 588,30 dollars, contre 572 dollars le vendredi précédent. A New York, la livre de Sucre brut pour livraison en mars 2017 valait 22,65 cents, contre 21,98 cents sept jours auparavant. Le café a persisté sur sa tendance haussière et a atteint des plus haut niveau depuis 19 mois.
Les craintes sur la récolte au Brésil, où la température élevée pourrait empêcher la floraison chez le premier producteur de café au monde, ont alimenté la hausse des cours cette année.
Sur le Liffe de Londres, la tonne de Robusta pour livraison en novembre valait 1.987 dollars vendredi, contre 1.933 dollars le vendredi précédent. Sur l’ICE Futures US de New York, la livre d’Arabica pour livraison en décembre valait 153,45 cents, contre 148,30 cents sept jours auparavant. Des prévisions de récolte ont également fait grimper les cours du cacao sur la semaine, même si des prises de bénéfices des investisseurs vendredi ont minimisé la hausse.
A Londres, la tonne de Cacao pour livraison en décembre valait 2.263 livres sterling, contre 2.247 livres sterling le vendredi précédent. A New York, la tonne pour livraison en décembre valait 2.816 dollars, contre 2.808 dollars sept jours plus tôt.
Les cours des produits agricoles ont hésité à Chicago entre perspectives d’une offre très importante et une demande forte : maïs et soja ont baissé très légèrement, le blé a un peu monté. Le cours du blé est resté à un niveau bas, mais a quelque peu bénéficié de perspectives d’exportations renforcées. L’Egypte est revenue sur sa politique de tolérance zéro de taux d’ergot (une maladie du blé) mise en place en août et qui avait plombé les cours en faisant peser des incertitudes sur les achats du premier importateur mondial de blé.
Le boisseau de blé pour décembre, lui aussi le plus actif, s’échangeait 4,0475 dollars, contre 4,0325 dollars auparavant (+0,37%). Le boisseau de maïs (environ 25 kg) pour livraison en décembre, le contrat le plus échangé, a terminé vendredi à 3,3650 dollars contre 3,3700 dollars en fin de semaine précédente (-0,15%). Le boisseau de soja pour novembre, là encore le plus échangé, coûtait 9,5500 dollars contre 9,6600 dollars (bien 9,6600) précédemment (-1,14%).
Des dizaines de citoyens ont organisé des actions de protestation pacifique à El-Oued contre ce qu’ils ont considéré comme étant une « hausse » des factures d’électricité, a-t-on constaté. Au quartier El-Rimel, des protestataires en colère ont bloqué, dimanche soir, pendant plus de deux heures, la circulation sur la route traversant leur quartier, à l’aide de pierres et de pneus brulés, pour exprimer leur mécontentement des « hausses » des factures d’électricité et demander à l’entreprise de distribution d’électricité et du gaz de « revenir sur cette mesure ».
Des habitants issus de divers autres quartiers au chef-lieu de wilaya d’El-Oued, à l’instar d’El-Touba, Ouled Ahmed et El-Chouhada, ont observé, eux aussi, des actions de protestation similaires pour dénoncer ce qu’ils considèrent comme une « mesure injuste ». Ils ont hissé des banderoles sur lesquelles étaient mentionnées leurs revendications liées notamment à la « révision à la baisse de leurs factures d’électricité ».
Plusieurs quartiers à El-Oued ont vécu, ces derniers jours, des mouvements de protestation pour contester, selon certains protestataires, l’accroissement de la facture de la consommation de l’énergie électrique jugée « excessive » et ne répondant pas, selon eux, aux attentes des populations dans cette wilaya du Sud caractérisée par ses fortes chaleurs. De son côté, le directeur local de la société de distribution de l’électricité et du gaz, Abdelwahed Hammaz, a indiqué que ces factures « représentent le volume de consommation des citoyens de l’énergie électrique » et que la société doit appliquer les nouvelles mesures relatives à l’augmentation des tarifs de l’électricité annoncées en janvier 2016 et prenant effet à compter d’avril dernier ».
Les services concernés de la direction locale de distribution de l’électricité et du gaz ont transmis un rapport à la direction générale sur les préoccupations des citoyens, a-t-il fait savoir à ce propos.
MOSTAGANEM – Des démarches sont en cours pour rattraper le retard accusé par le projet de réalisation du tramway de Mostaganem, a-t-on appris du directeur de wilaya des transports.
« Les travaux se déroulent à une cadence lente à tel point où des chantiers étaient à l’arrêt durant la période estivale », a indiqué Rezzoug Mokhtar expliquant que ce retard est justifié par une restructuration interne du groupe espagnol chargé du projet.
L’Entreprise du Métro d’Alger (EMA), initiatrice du projet a adressé une mise en demeure au groupe espagnol pour reprendre les travaux dans un délai de 15 jours, faute de quoi le contrat sera résilié selon la la loi des marchés publics.
Il est attendu cette semaine la tenue d’une réunion entre le wali de Mostaganem, Temmar Abdelwahid et le directeur général de l’EMA et le nouveau directeur général du groupe espagnol, pour élaborer un nouveau calendrier et rattraper le retard en accélérant la cadence des travaux par l’augmentation du nombre d’ouvriers des chantiers pour travailler en H/24, a ajouté M. Rezzoug.
Un transfert de tous les réseaux électriques, téléphoniques et des canalisations a été effectué de même que la surpression de trois lignes électriques de haute tension et la libération du tracé de ce moyen moderne de transport.
Des travaux sont en cours pour la construction de deux ouvrages d’art après l’achèvement de deux autres.
Le taux d’avancement des travaux du tramway de Mostaganem a atteint 50% et le projet sera livré en fin septembre 2017 avec une mise en service expérimentale en juillet 2017, sans compter le retard accusé, a-t-on souligné.
Pour rappel, le projet comporte un tracé de 14,2 kilomètres, 24 stations sur deux lignes la première reliant la localité de Salamandre au pôle universitaire de Kharouba en passant par plusieurs quartiers dont le centre-ville, hai Tijditt sur 12,2 km. La seconde relie l’ancienne gare ferroviaire à la nouvelle gare routière de la cité « 5 juillet » passant par hai Benyahia Belkacem (2 km).
Il prévoit également quatre pôles d’échange, un centre de maintenance, un bloc technico-administratif et un poste de maitrise.
Le tramway de Mostaganem disposera de 25 wagons pour le transport de 5.000 voyageurs à l’heure.
ALGER – Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Tayeb Louh a fait savoir lundi à Alger que la justice tranchera dans les prochains jours l’affaire des deux conteneurs chargés de pièces de rechange non conformes et qui avaient été autorisés à accéder au marché national de manière illégale au niveau du port d’Alger appelant à ne pas interférer dans le travail et les décisions de la justice.
« L’affaire en question est enrôlée dans la cadre du processus normal de la justice et le jugement sera rendu dans les prochains jours », a soutenu M. Louh en marge du vote du projet de loi sur le conseil national des droits de l’homme.
Le ministère du Commerce a indiqué dimanche dans un communiqué avoir récupéré, en coordination avec les services de sécurité et des douanes, les conteneurs chargés de pièces de rechange non conformes et engagé des poursuites judiciaires contre les auteurs de l’infraction.
Une plainte a été déposée près le tribunal territorialement compétent en octobre 2015. Les personnes impliquées ont été incarcérées à l’exception d’un accusé en fuite à l’étranger, a ajouté la même source soulignant que dans le cadre des missions de ses différentes brigades de contrôle de la qualité et de la répression de la fraude, notamment au niveau des frontières (aéroports et points de transit terrestres et maritimes), le ministère œuvre en coordination avec les différents services chargés de la protection de l’économie nationale dans la stricte application de la loi et saisit automatiquement les instances judiciaires compétentes en cas de dépassement ou de fraude ».
A cet égard, M. Louh a rappelé que la justice algérienne statuait quotidiennement sur des centaines d’affaires liées à l’économie, à la fraude et aux déclarations de douanes ». Il a appelé à laisser la justice faire son travail, à ne pas commenter ni interférer dans les décisions des juridictions.
Toute affaire prend son cours normal dés la mise en mouvement de l’instance publique par le parquet ou sur la base d’une plainte. Les parties doivent à ce moment attendre le verdict de la Justice, a insisté M. Louh.
ADRAR – Un taux de 73% des créances a été recouvré par l’Agence Nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ) d’Adrar auprès des jeunes bénéficiaires de ce dispositif pour le montage de micro-entreprises, a-t-on appris lundi des responsables de l’antenne ANSEJ dans cette wilaya.
L’agence a ainsi recouvré, depuis son ouverture en 1998 dans la wilaya, un montant de plus de 267 millions DA de créances sur un cumul de 366 millions DA de prêts sans intérêts accordés aux promoteurs, a précisé le directeur de l’antenne, Smail Boussaid.
Selon le responsable, pas moins de 78 projets ont été financés durant les huit premiers mois de l’année en cours, dont les créneaux afférents aux activités agricoles se sont taillés une part de 40% des crédits alloués, suivi des travaux de maintenance, des métiers et de la petite industrie (19%) et le bâtiment (15%).
Le financement des dossiers a connu ces cinq dernières années une hausse ‘‘sensible’’, à la faveur des nouvelles procédures liées à la promotion de l’emploi préconisées par le gouvernement en 2011, a souligné M. Boussaid.
Quelque 1.027 projets de micro-entreprises ont été financés entre 1998 et 2010, générant 2.849 emplois, en plus de 2.538 autres financés ces cinq dernières années, soit de 2011 à juin dernier et ayant permis la création de 6.578 emplois, a-t-il ajouté.
Ce mode de financement a profité cette année à 55 jeunes promoteurs promus d’établissements de la formation professionnelle, représentant 71% des bénéficiaires, à neuf autres diplômés universitaires (12%), selon la même source qui révèle que l’agence s’emploie à attirer un maximum de diplômés, à travers l’impulsion du rôle de la maison de l’entrepreneuriat à l’université d’Adrar.
Selon le directeur de l’antenne locale de l’Ansej, 10 projets, soit 13% des dossiers financés, sont montés par des femmes, en majorité des universitaires, de même que 14 jeunes promoteurs de micro-entreprises ont bénéficié des procédures préconisées par les pouvoirs publics portant octroi de 20% des marchés publics aux jeunes promoteurs.
S’agissant de l’accompagnement des promoteurs, plus de 200 jeunes bénéficiaires du dispositif de l’ANSEJ ont bénéficié de 15 sessions de formation sur les modes de montage et de gestion de micro-entreprises, organisées à travers les différentes communes de la wilaya d’Adrar, sous l’égide d’encadreurs spécialisés du Bureau International du Travail (BIT).
Il est relevé également l’organisation de manifestations de vulgarisation et de ‘‘Portes ouvertes’’ de sensibilisation et d’explication des missions de l’ANSEJ, l’exposition de modèles réussis de micro-entreprises, et les perspectives d’investissement dans la région, à l’instar du salon national de l’emploi qui a regroupé plus d’une trentaine d’exposants.
L’ANSEJ s’emploie, dans le cadre de sa stratégie, à booster les activités performantes à même de répondre aux exigences du développement local, l’ancrage de l’esprit entrepreneurial et l’orientation et l’accompagnement des jeunes promoteurs vers les secteurs rentables.
Pas moins de 3.635 projets, dont 113 dossiers dans la daïra frontalière de Bordj Badji Mokhtar, ayant généré plus de 9.630 emplois permanents, ont été financés par le biais de l’ANSEJ d’Adrar depuis sa création en 1998.
ALGER – Le ministère de l’Education nationale a fixé le calendrier des vacances pour l’année scolaire 2016-2017 et de la rentrée scolaire 2017-2018, a indiqué un communiqué rendu public sur son site.
Selon le calendrier, les vacances d’automne sont fixés du 27 octobre au 02 novembre 2016, les vacances d’hiver du 22 décembre 2016 au 2 janvier 2017, les vacances de printemps du 16 mars au 02 avril 2017 alors que les vacances d’été débuteront jeudi 6 juillet 2017.
Pour les agents administratifs, les vacances d’été débuteront après l’achèvement des opérations liées à la fin de l’année scolaire y compris les réunions des conseils d’admission et d’orientation, la publication des résultats des examens officiels, la remise des différents documents aux élèves et de toutes les opérations liées à la rentrée scolaire.
Pour les zones 1 et 2, les vacances d’été débuteront jeudi 20 juillet 2017 (après-midi) et jeudi 13 juillet 2017 (après-midi) pour la zone 3.
La rentrée scolaire 2017-2018 a été fixée pour mercredi 23 août 2017 pour les agents administratifs, lundi 28 août 2017 pour les enseignants et dimanche 03 septembre 2017 pour les élèves.
ALGER – Le 1e Salon International de la récupération et de la valorisation des déchets industriels « Revade » se tiendra du 5 à 8 octobre au Palais des Expositions, ont indiqué lundi à Alger les organisateurs.
Portant sur la thématique « les enjeux économiques du recyclage des déchets industriels », ce salon sera dédié à la problématique du traitement des déchets industriels dont les quantités sont estimées à 2,5 millions de tonnes par an, alors que le taux de récupération ne dépasse pas les 7%.
Organisé par la Chambre de commerce et d’industrie (CACI), en collaboration avec l’Agence nationale des déchets (AND), l’agence allemande GIZ, l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet), « Revade » sera une occasion « pour nouer des contacts entre les fournisseurs de solutions et les demandeurs de ces solutions, et chercher les moyens pour encourager l’investissement dans ce segment d’activité », a indiqué Djamila Halliche, Directrice générale de l’Anvredet, lors d’une conférence de presse.
Une trentaine d’entreprises ont confirmé à ce jour leur participation à cet évènement économique et écologique.
Plusieurs secteurs seront représentés durant le salon à l’instar de la collecte, le transport, la transformation des déchets, la gestion des centres de tri, le traitement des eaux industrielles usées et les études en gestion des déchets industriels.
Pour sa part, le directeur de l’AND, Karim Ouamane a souligné que la question de la gestion des déchets occupe une part importante dans le programme des pouvoirs publics, notamment à travers le Programme national de la Gestion des déchets industriels et spéciaux (PNAGDES), initié en 2006.
Il a ajouté qu’une stratégie a été mise en place pour sensibiliser contre le dépôt anarchique des déchets, la promotion des métiers liés à la gestion des déchets industriels et la mise en place de filières de collecte et de valorisation.
A une question liée au taux de recyclage des déchets industriels en Algérie, le responsable a reconnu que ce taux reste très faible.
« On peut dire 6% ou 7%. Ce qu’il faut savoir c’est que ce n’est pas une chose aisée de donner un taux exact. Mais le constat est qu’il y a des opérateurs qui s’intéressent davantage à la récupération des déchets », a-t-il noté.
Le salon sera une occasion pour la présentation de plusieurs projets réussis dans le domaine de la valorisation des déchets en Algérie. Il s’agit essentiellement du projet d’usine à Biskra spécialisée dans la récupération des déchets des dattes qui sont utilisés pour l’extraction du sucre (poudre et liquide) puis la fabrication de confiture et de miel de dattes.
Fruit d’un partenariat algéo-iranien, cette unité industrielle entrera en production dans deux mois, selon Abdelmadjid Khobzi, président de la Chambre de Commerce de Biskra et coordinateur des Chambres du Sud.
September 26, 2016 (KHARTOUM) - Sudanese President Omer al-Bashir Monday has reiterated his call to holdout political and armed opposition to join the national dialogue and renounce war.
In January 2014, al-Bashir launched the national dialogue initiative in which he urged opposition parties and rebels alike to join the dialogue table to discuss all the pressing issues.
But the initiative faced serious setbacks in wake of the government's refusal to create suitable atmosphere in the country leading several major participants to pull out. The dialogue conference was inaugurated in on October 10th, 2015 amid large boycott from the major political and armed opposition.
Al-Bashir, who received the recommendations of the societal dialogue on Monday, said Sudan is on the threshold of a new era characterized by harmony, love, peace and national reconciliation.
He vowed to implement the recommendations and include it in the comprehensive national document following the end of the dialogue conference on October 10th in order to achieve national and societal peace.
The Sudanese President pointed the national document will contain the recommendations of both political and societal dialogue besides the outcome of the state reform program.
“The national document would constitute the essential foundation upon which we will build the future of the country, draft a permanent constitution and achieve political stability and comprehensive renaissance,” he said.
Al-Bashir stressed the societal dialogue document has contained opinions of all components of the Sudanese people, pointing to the efforts made by the committees to represent a common national view on the desired objectives.
He pointed that the societal document has overcome all differences among Sudanese people to achieve societal and peaceful coexistence, describing it as a unique and unprecedented experience in Sudan's history.
For his part, the chairman of the national committee for the societal dialogue Hussein Sulieman Abu Salih said they produced a document that could serve as a new social contract.
(ST)