Hello, FPA! This will be my first post here on the FPA blogs, and I am happy to make it on a topic of some importance: the elections in Myanmar. In what must stand out as one of the most astonishing political transformations of recent times, Myanmar has gone from being and isolated, semi-autarkic autocratic dictatorship to a rapidly democratizing society in less than five years. And Sunday’s elections, featuring former political prisoner and democracy advocate Aung San Suu Kyi, are the greatest testament yet to that transformation.
In this quick video, I take a look at some of the background, and the process of the election itself, within the context of the broader “Global Narratives” framework I apply to my ongoing global coverage.
I look forward to bringing more of my distinct brand of international analysis to the FPA! Comments and questions of course welcome!
NB – This video was shot and edited before the results of the election were formally announced. Another video soon will discuss the results.
If you are interested in more of my analysis, please check out my YouTube channel, Globalogues
Le 6 novembre dernier, le dossier sur l’Algérie paru dans le dernier numéro de Politique étrangère (3/2015) a fait l’objet de la chronique « Idées & Débats : la revue du jour » dans le journal Les Échos.
« LE PROPOS
Fascinante en même temps que désespérante. Pleine de ressources mais tragiquement immobile : dans son dernier numéro, la revue Politique étrangère consacre un excellent dossier à l’Algérie, incapable encore aujourd’hui de sortir de la double impasse que constituent « son pouvoir militaro-sécuritaire » et sa « rente pétro-gazière », dont elle se sert pour acheter la paix sociale au lieu d’investir dans le rayonnement économique et culturel auquel pourrait légitimement aspirer cette grande puissance africaine.
L’INTÉRÊT
Un régime politique bloqué, une société – notamment les plus jeunes – désabusée, une montée de l’intégrisme religieux depuis le reflux de l’islamisme politique de masse des années 1990 : tel est le tableau, bien sombre, que dressent les auteurs d’un pays comme figé avant les inévitables changements qu’il va devoir adopter pour se sortir de l’ornière. Parmi les drames qui étreignent ce pays, il y a ce paradoxe d’une richesse dont il ne sait que faire, ces 730 milliards de dollars de revenus extérieurs engrangés entre 2000 et 2014 « dont près des trois quarts ont été recyclés dans la dépense publique », calcule la revue. Une inertie due au clientélisme, « le » mal algérien dont le pays n’a su se défaire depuis toutes ces années. À quand le réveil de l’Algérie ? »
D. Fo.
Article publié dans Les Échos, 6-7 novembre 2015, p.11.