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Afrique

Au Sénégal, le gouvernement lève le dispositif policier chez Sonko en raison de la fin de ses « appels à l’insurrection »

Jeune Afrique / Politique - Wed, 26/07/2023 - 13:16
Les barrages policiers installés devant le domicile dakarois de l’opposant, candidat à l’élection présidentielle de 2024, avaient été mis en place fin mai pour des raisons « de sécurité nationale ».
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Niger : La rumeur d'un coup d'Etat se propage

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 26/07/2023 - 13:16

La matinée du 26 juillet 2023 n'est pas des plus sereines au Niger. Pour cause, une horde de militaires distinguée comme étant des membres de la garde présidentielle ont bloqué l'accès au palais présidentiel. Même si aucun dispositif militaire particulier n'est pour l'heure posté sur les lieux, l'interrogation principale en ce moment est la suivante : Y a-t-il coup d'Etat ou non ?

Le fauteuil de Mohamed Bazoum semble trembler ces dernières heures. En effet, des militaires ont bloqué les accès qui mènent à sa résidence ainsi qu'aux bureaux du complexe présidentiel.

Si certains craignent un coup de force de l'armée, d'autres par contre soulignent juste une mutinerie et des revendications corporatistes sur les primes et les carrières de certains militaires. En tout état de cause, la situation jusque là reste confuse au point d'inquiéter le pays des droits de l'homme.

"En déplacement dans la région Pacifique, le président de la République Emmanuel Macron a suivi de près l'évolution de la situation avec le ministre des Armées, Sébastien Lecornu. Les deux hommes se sont longuement entretenus en marge du conseil des ministres. Dans une région sahélienne instable et fragile, après les coups d'Etat au Mali et au Burkina Faso ces dernières années, la France s'inquiète d'une déstabilisation du président Bazoum. Le Niger demeure un allié privilégié de la France qui dispose d'une base aérienne à Niamey" peut-on lire sur Le Figaro.

En rappel, la dernière tentative de coup d'Etat au Niger remonte au 31 mars 2021. Il visait à renverser le président actuel, lequel a été démocratiquement élu et exerce ses fonctions depuis le 2 avril 2021. 27 personnes avaient été condamnées pour ce putsch manqué, dont 5 à vie.

Erwan Compaoré
Lefaso.net

Source : Le Figaro, Le Monde,
Jeune Afrique, TV5 Monde

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Tunisie : après deux ans de pleins pouvoirs, Kaïs Saïed toujours populaire et populiste

LeMonde / Afrique - Wed, 26/07/2023 - 13:00
Malgré les difficultés économiques et la crise migratoire, le président conserve le soutien de plus de la moitié de la population.
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Burkina/Promotion des arts martiaux : 150 athlètes de 6 catégories ont pris part à la 2e édition de l'« Open de Saaba »

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 26/07/2023 - 13:00

Organisé par le bureau des karatékas du club Abs Shotokan de Saaba, la deuxième édition de la compétition de karaté « Open de Saaba » a connu son dénouement le dimanche 21 juillet 2023 dans la commune de Saaba, à la périphérie de la capitale burkinabè. Au total, 150 athlètes de six catégories ont pris part à cette émulation de karaté.

La 2e édition de la compétition de karaté « Open de Saaba » a regroupé 150 athlètes de six catégories. Il s'agit des mini-poussins, des poussins, des benjamins, des minimes, des juniors et des seniors. Les phases éliminatoires ont commencé le 22 juillet 2023. Devant parents et encadreurs, les jeunes karatékas de 6 à 18 ans et plus, ont donné l'assurance que leur participation à « l'Open de Saaba » en valait la peine.

Un cadet en kata individuel

Au lycée privé Elisa, à l'occasion de la finale de cette compétition, les différents athlètes ont offert du beau spectacle au public. Kata individuel et collectif ou encore le combat, le karaté n'a rien de secret pour ces jeunes athlètes. Des benjamines aux minimes ; des cadettes aux juniors-séniors, les athlètes, à travers des techniques les plus spectaculaires, se sont merveilleusement illustrés dans les différents combats qu'ils ont menés. Toutes les catégories ont fait le kata individuel et collectif. Mais le combat a été mené par les benjamins et seniors.

Le combat entre benjamins

Séduit et étonné par cette bonne prestation des karatékas, le secrétaire général du comité des parents, Yacouba Traoré, s'est réjoui de l'organisation de la compétition. Il a salué la performance des athlètes qui ont fait montre d'habilité et de dextérité dans les différents combats. C'est une compétition réussie et un objectif atteint selon lui. « L'objectif c'est la saine émulation que nous voulons entre les enfants. Nous avons eu droit à cela. C'est aussi une deuxième école pour nos enfants ; une formation mentale et physique en même temps. C'est aussi une distraction pour eux pendant ces périodes de vacances » a-t-il laissé entendre. Mais au-delà, c'est une compétition qui se veut sérieuse avec de grandes ambitions. En termes de projet, le club Shotokan de Saaba compte élargir la compétition au niveau national et sous régional.

Et pour y arriver, il peut compter sur l'accompagnement de Raynal assurances, parrain de cette deuxième édition. Le représentant du directeur général de cette structure, a d'abord salué le choix du parrainage. « Nous sommes très honorés à travers ce choix de parrainage » a indiqué Benjamin Ouoba. Il a rendu hommage aux encadreurs des différentes équipes pour la rigueur des différentes formations. Il a félicité et encouragés les athlètes. « Le Karaté est un moyen d'auto-défense. Nous sommes dans un contexte d'insécurité. Ils peuvent se servir de ça pour se défendre et défendre aussi les autres en cas de nécessité » a-t-il poursuivi.

Le secrétaire général du comité des parents a salué la performance des athlètes

Au tableau des récompenses, les premiers de chaque catégorie sont répartis avec des médailles en or, un tee-shirt « Open de Saaba » et un tee-shirt du partenaire. Quant aux deuxièmes et troisièmes de chaque catégorie, ils ont été consolés avec respectivement des médailles en bronze et en argent.

Après la première édition en juillet 2022, la deuxième en 2023, les promoteurs ont annoncé déjà la troisième édition en 2024 avec beaucoup d'innovations.

Obissa Juste Mien
Lefaso.net

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Burkina/Lutte contre la désinformation : Le National democratic institute organise une session de dialogue et de consultation pour proposer des recommandations d'atténuation

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 26/07/2023 - 13:00

Le National democratic institute (NDI) a organisé, le mardi 25 juillet 2023 à Ouagadougou, une session de dialogue et de consultations sur la désinformation.

L'objectif est d'offrir aux organisations de la société civile l'opportunité de réfléchir sur le phénomène et de discuter de la meilleure façon de mener la lutte contre la désinformation.

Tour à tour, les différents communicateurs venus de Fasocheck, du Conseil supérieur de la communication, de la Commission de l'informatique et des libertés, de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité, ont abordé la problématique de la désinformation au Burkina Faso.

Selon Harouna Drabo, responsable des programmes et partenariats à Fasocheck, les médias sociaux, par leur accessibilité et usage facile, constituent les remparts aux canaux d'information et de communication classiques (radio, télévision, presse écrite, affiches), non seulement pour les gouvernants, les acteurs des organisations de la société civile mais surtout pour les citoyens.

Awa Somé / Traoré, gestionnaire de programmes au NDI

Harouna Drabo explique qu'avec les médias sociaux, du faux se retrouve dans l'information et les journalistes ont perdu le monopole d'informer.

Le journaliste est poursuit-il, soumis à un code d'éthique et de déontologie. L'information, selon Harouna Drabo, passe par trois phases : la collecte, le traitement et la diffusion. « Pendant que les sophistes du cyber espace ont inventé un nouveau circuit : fabrication et diffusion de l'information. Les faits sont sacrés, les opinions sont libres. Une opinion publique à la merci des conspirationnistes ou les théoriciens du complot se retrouve dans toutes les composantes de la société des citoyens lambda, des acteurs de la société civile, des journalistes, des acteurs du pouvoir public, des universitaires. Les réseaux sociaux sont devenus un champ de bataille informationnelle entre les acteurs en présence qui sont engagés dans la résolution de la crise sécuritaire au Sahel », a expliqué le responsable des programmes et partenariat à Fasocheck.

Pour le lieutenant de police, par ailleurs représentant de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité, Napougba Julien Legma, il faut noter que la lutte contre la désinformation est perçue en deux volets : celui de la prévention et le volet de la répression. « Au titre de la prévention au niveau de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité, chaque année, nous initions des actions de sensibilisation auprès de cibles précises. Cela peut concerner des élèves, des structures administratives et souvent des FDS ou d'autres cibles », dit-il.

Napougba Julien Legma, lieutenant de police ; représentant de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité

Comme activité de lutte contre la désinformation, poursuit Napougba Julien Legma, il y a une page Facebook à travers laquelle la brigade publie divers contenus, et utilise des alertes concernant des cas de désinformation. Il révèle que des personnes ont été déférées pour des cas de désinformation.

« Nous avons des volets en lien avec la réglementation concernant la répression sur les actes de désinformation afin de donner cette information aux populations pour éviter qu'ils puissent engager leur responsabilité pénale en matière de publication, de commentaires sur une information qui peut s'avérer une désinformation », a expliqué le lieutenant de police de la Brigade centrale de lutte contre la cybercriminalité.

Pour Awa Somé / Traoré, gestionnaire de programmes au NDI, au cours de cette session, ils ont voulu que les organisations de la société civile puissent échanger sur ce qu'ils font sur cette thématique et ce qu'ils pourraient faire pour améliorer le travail déjà fait.

Harouna Drabo, responsable des programmes et partenariat à Fasocheck

« Aujourd'hui, nous avons fait une session de dialogue et de concertations avec les organisations de la société civile mais aussi avec des acteurs étatiques et des institutions pour échanger sur le phénomène de la désinformation. Ce n'est qu'un début parce que le NDI est vraiment focus sur la thématique. Il y a d'autres programmes en cours financés par nos partenaires qui vont aussi s'attarder sur la question. Ce n'est qu'une entrée en matière et on espère trouver les organisations de la société civile pour que les citoyens et les institutions soient moins impactés par la désinformation », a expliqué Awa Somé/Traoré.

Plusieurs recommandations d'atténuation des effets de la désinformation sur le citoyen et les institutions ont été faites par les participants. Il s'agit, entre autres, de la vulgarisation de la pratique du fact checking, de l'amélioration de la communication sur les initiatives de fact checking, de l'accentuation de la sensibilisation auprès des élèves et étudiants.

Il s'agit également, en termes de recommandations, de rendre les contenus accessibles en les traduisant en langues nationales, d'harmoniser le process de fact checking, de mener un plaidoyer pour l'accès à un l'information publique à temps, de formaliser la collaboration entre les OSC et les institutions de régulation, de formaliser la collaboration entre les institutions et les structures nationales.

Comme recommandations, ils proposent aussi l'harmonisation et l'élaboration d'un règlement général sur la protection des données au niveau continental et la prise en compte des médias sociaux dans la régulation du CSC, l'élaboration d'un livre blanc sur la désinformation.

Carine Daramkoum
Lefaso.net

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Éducation/Burkina : L'université Aube Nouvelle ouvre ses portes aux futurs étudiants

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 26/07/2023 - 13:00

L'université Aube Nouvelle a organisé une journée d'orientation et d'information le mardi 25 juillet 2023, dans son campus situé à Ouagadougou. Il s'est agi de donner des informations précises aux nouveaux bacheliers afin de les aider dans le choix de leurs orientations.

Cela va également permettre aux futurs étudiants de connaître toutes les filières dispensées dans cet établissement. Il faut savoir que cette université privée compte une soixantaine de filières de formation dont 50 diplômes sont homologués par le Conseil africain et malgache pour l'enseignement supérieur (CAMES). En plus des cours théoriques, les étudiants ont des cours pratiques grâce à plusieurs laboratoires avec du matériel de pointe dont dispose l'établissement.

Aube Nouvelle a deux campus (Ouagadougou et Bobo-Dioulasso)

A Aube Nouvelle, on compte deux centres de culture américaine, des partenariats au niveau national et international pour ceux qui veulent poursuivre leurs formations ailleurs plus tard, la possibilité de rencontrer des étudiants de plus d'une vingtaine de pays et un corps professoral compétent. Dans le but de faciliter l'entrée dans le monde professionnel des étudiants, il a été créé un centre de carrière et de l'innovation. Ce centre fait en outre la promotion de l'entrepreneuriat. Les étudiants sont encouragés à s'auto-employer après leurs cursus universitaires.

Le Pr Philippe Sankara a souligné que l'innovation majeure de cette année académique est l'ajout de nouvelles filières

« Pourquoi venir à Aube Nouvelle ? Aujourd'hui, l'enseignement supérieur au niveau des universités au Burkina Faso connaît beaucoup de problèmes. Si vous prenez le cas du public où les années se chevauchent, il faut par exemple six ans pour faire une licence, cela pose problème. Deuxièmement, au niveau de la qualité des enseignements, notre université regorge d'un personnel qualifié. Nous possédons un cadre adéquat. Troisièmement, le centre de carrière est un centre d'employabilité. Le personnel rencontre les étudiants et les aide à postuler. Il les accompagne dans l'élaboration de leurs CV. Ils contactent les entreprises qui veulent embaucher nos étudiants. Il y a de cela deux jours, j'ai reçu par exemple d'une banque de la place un avis pour recruter des étudiants en licence banque et assurance » a convaincu le recteur de l'université, le Pr Philippe Sankara.

« Aube Nouvelle c'est la référence » William Ouba

Des étudiants satisfaits de la qualité de l'enseignement

Ce sont ces avantages qui ont attiré William Ouba. Il est étudiant en licence 2 de technologie des réseaux et systèmes. « La qualité de l'enseignement est idéale, c'est une très bonne école. J'ai un oncle qui a fréquenté ici et il a apprécié. Il faut venir à Aube Nouvelle, vous n'allez pas le regretter. L'école met à notre disposition du matériel de qualité. Les enseignants sont accessibles et répondent à toutes nos questions », a-t-il affirmé.

Des enseignants viennent d'autres pays pour dispenser les cours à Aube Nouvelle

L'université Aube Nouvelle, ex ISIG, existe depuis une trentaine d'année. Pour plus d'informations contactez le : 60 40 69 69 ((WhatsApp), (+226) 63 00 33 33/ 58 02 84 24 pour Ouagadougou et le : (+226) 65 95 58 58/ 79 36 64 24 pour Bobo Dioulasso.

SB
Lefaso .net

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Rapport de Human Rights Watch sur le Mali : Les autorités maliennes réfutent les accusations

BBC Afrique - Wed, 26/07/2023 - 12:25
Le dernier rapport de Human Rights Watch accuse l'armée malienne et des forces étrangères d'exactions contre les civils ; des accusations que Bamako rejette.
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À Tunis, l’opposition manifeste deux ans après le coup de force du président Saïed

Jeune Afrique / Politique - Wed, 26/07/2023 - 12:04
Les opposants au président Saïed ont célébré cet anniversaire en dénonçant « un coup d’État ». Quand Amnesty International parle d’ « accaparement du pouvoir ».
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Pourquoi le FMI refuse de prêter à la Tunisie

Jeune Afrique / Economie - Wed, 26/07/2023 - 12:01
Malgré un premier feu vert en octobre dernier, les négociations sont à l’arrêt à cause du refus du président tunisien d’appliquer les mesures demandées par l’institution financière. Explications.
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Niger : après la tentative de coup d’Etat, la garde présidentielle disperse des partisans du chef de l’Etat, Mohamed Bazoum

LeMonde / Afrique - Wed, 26/07/2023 - 11:46
Le président est séquestré, avec sa famille, à l’intérieur de sa résidence par des militaires depuis mercredi matin. Ce coup de force est « fermement » condamné par l’ONU, la Cedeao et la France.
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En Tunisie, les négociations avec le FMI sont « complètement à l’arrêt »

LeMonde / Afrique - Wed, 26/07/2023 - 11:11
L’octroi d’un crédit crucial pour le pays, étranglé financièrement, paraît de plus en plus compromis, selon des économistes et des sources proches du dossier.
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Au Cameroun, Marzouka Oummou Hani, la jeune écrivaine qui sème la discorde

Jeune Afrique / Politique - Wed, 26/07/2023 - 10:58
Depuis la publication de son ouvrage « Mon père ou mon destin », qui relate les multiples injustices subies par les jeunes femmes camerounaises, l’autrice de 17 ans est poursuivie en justice, et est au centre d’une vaste polémique.
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Un naufrage de migrants marocains fait au moins cinq morts au large du Sahara occidental

LeMonde / Afrique - Wed, 26/07/2023 - 10:13
Selon l’Association marocaine des droits humains, le bilan pourrait s’alourdir car plusieurs personnes présentes à bord de l’embarcation sont portées disparues.
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Vladimir Poutine évoquera l’Ukraine avec les dirigeants africains au sommet Russie-Afrique

LeMonde / Afrique - Wed, 26/07/2023 - 09:52
Selon le Kremlin, 49 pays et 17 chefs d’Etat ont confirmé leur participation au sommet de Saint-Pétersbourg, à partir de jeudi.
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Décès de FORGO Doro Gilbert : Remerciements et faire part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 26/07/2023 - 08:30

Les grandes familles FORGO, SARAMBE, ZERBO, KOUSSOUBE, COMBO à Kiembara, Lankoué, Gomboro, Bangassogo, Ouagadougou, Bobo – Dioulasso, Ouahigouya, Abidjan, New-York

Ses épouses ; Fropian Elisabeth, Feue Pello Margueritte, Labalo Clémentine, Koukourou Marie

Ses enfants Antoine, Célestin, Jeanne, Catherine, Joséphine, André, Josépha, Germaine, Jean, Patrice, Pascaline, Fourier, Geneviève, Bernadette,

Ses petits-enfants

Les grandes familles TOPAN, OUARO, TAO, NIAMOUKARA, SABO, DRABO, à Kiembara, Abidjan, GAN, Bobo Dioulasso

Les familles alliées BOMBIRI, CISSE, SAWADOGO, SANKARA, KABORE, OUEDRAOGO, SARAMBE, TIAO, GASSAME…

Très touchés par les nombreuses marques de compassion, de sympathie, de solidarité et d'amitié témoignées à leur endroit lors du rappel à Dieu le 25 Juillet 2023 et de l'inhumation le même jour à KIEMBARA de leur Epoux, père, frère, beau-frère, oncle, grand père et arrière-grand-père :

M. FORGO Doro Gilbert,

Nous remercions particulièrement et bien respectueusement pour leur présence effective à nos côtés durant cette période
• Le Comité paroissiale de Kiembara ;
• Les ressortissants de Kiembara à Ouagadougou ;
• Son Excellence Monsieur Sané Mohamed TOPAN, ex-ambassadeur ;
• L'ancien premier ministre Luc Adolphe TIAO ;

• Le ministre de la justice, garde de seau ; et son personnel ;
• L'ordre des pharmaciens du Burkina Faso ;
• Les membres de Lions Club Ouagadougou Keneya ;
• Le Président du Groupe Coris ;
• Les Directeurs Généraux, les membres du comité de direction et a l'ensemble du personnel de Coris Holding, de Coris Bank International SA.

Nous renouvelons nos sincères remerciements, aux parents, amis, collègues, voisins, connaissances, pour leurs soutiens multiformes et ceux dont les noms n'ont pu être cités.

Elles vous informent par ailleurs que les dates pour les messes du repos de son âme vous seront communiqué ultérieurement.

À chacun, nous vous recommandons aux bénédictions de Dieu le Tout- Puissant.

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Décès de LOMPO KARIM : Faire part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 26/07/2023 - 08:30

Sa majesté le chef de Bilanga (province de la Gnagna),

Les grandes familles LANKOANDE et LOMPO à Bilanga, Bogandé, Fada, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, France, États-Unis, Canada,

La grande famille KARANTAO à Ouahabou (province des Balé), et à Ouagadougou,

Les familles DIOP et NACOULMA à Ouagadougou et au Sénégal,

Les familles alliées ZAMA, BARRY, VALMEDE, GUENGUERE, TOE, CORSIEZ, SANOU, DIALLO, DAO, DAYAMBA, OUEDRAOGO, au Burkina, Sénégal, Côte d'Ivoire, France, États-Unis, Canada.

Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur époux, père, grand-père, frère, oncle, et cousin.

LE COLONEL A LA RETRAITE LOMPO KARIM, survenu le dimanche 23 Juillet 2023 à l'âge de 80 ans.

PROGRAMME DES OBSEQUES :
La levée du corps aura lieu le lundi 31 Juillet 2023 à 7h à la morgue du CHU BOGODOGO, suivie d'une prière à son domicile (zone du bois) à 8h et de l'inhumation au cimetière de Gounghin à 10h.

Union de prières.

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Burkina/Fonds de soutien patriotique : Les députés donnent le feu vert pour prélever une partie du Fonds minier de développement local

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 26/07/2023 - 01:37

Les députés de l'Assemblée législative de transition ALT) ont voté à l'unanimité, ce mardi 25 juillet 2023 en plénière, deux articles portant modification de la loi N°036-2015/CNT du 26 juin 2015 portant code minier au Burkina Faso. Ces textes permettent désormais de prélever une patrie du Fonds minier de développement local (FMDL) pour financer la lutte contre le terrorisme.

Le premier article consiste à ajouter aux affectations classiques du Fonds minier de développement local (FMDL) le financement du Fonds de soutien patriotique (FSP).

Le deuxième texte va servir à exécuter le premier article. Il s'agit des modalités de perception, de répartition, de gestion et de contrôle de l'utilisation des différents fonds miniers dont le FMDL.

A l'unanimité, les députés ont donné leur quitus. Après avoir suivi les différents débats, le ministre de l'énergie, des mines et des carrières, Simon-Pierre Boussim, est revenu sur sa présence. « C'est de demander l'autorisation à la représentation nationale de permettre au gouvernement de prélever une partie du Fonds minier de développement local, qui était préalablement consacré au financement des plans communaux et régionaux de développement, pour soutenir un tant soit peu l'effort de sécurisation du territoire », a-t-il justifié.

Avec ce vote, l'assemblée a autorisé le gouvernement à prélever une partie du Fonds minier de développement local pour financer le Fonds de soutien patriotique.

Application

Le FMDL, quand il est mobilisé, il est semestriellement reparti entre les communes. « Certes, les communes ne bénéficient pas du même montant. Avec cette loi, la clé de répartition ne change pas. Ce qui change, c'est que du montant global mobilisé, nous allons ponctionner d'abord ce qui revient au fonds de soutien patriotique », a expliqué le ministre.

Par la suite, il a détaillé le processus de cette nouvelle répartition : « Il faut dire que le FMDL a deux composantes. Une composante basée sur les royalties, c'est-à-dire ce que le gouvernement prélève comme taxe, il y a une partie qui est reversée au FMDL. Pour cette partie, désormais, on va prélever 85% de ces 20% qui sont versés pour pouvoir financer le Fonds de soutien patriotique. La deuxième composante, le 1% de chiffre d'affaires versé au FMDL, désormais, 20% de ce 1% va être reversé au fonds de soutien patriotique ».

Le ministre Simon-Pierre (au micro) a indiqué que la révision du code minier et la loi de sur le contenu local sont actuellement en réflexion

Pour le moment, c'est un projet de texte règlementaire qui n'est pas encore adopté mais c'est joint au projet de loi pour expliquer aux députés comment le gouvernement compte s'y prendre. Lorsque le conseil des ministres va adopter ce texte, il va être appliqué », a rassuré le ministre des mines.

Permettre aux entreprises burkinabè de compétir à l'extérieur

La question du contenu local, qui n'était pas à l'ordre du jour, s'est invité dans les débats. Le contenu local consiste à faire en sorte que des Burkinabè, des entreprises à capitaux burkinabè puissent être des sous-traitants dans les sociétés minières afin d'augmenter la valeur ajoutée dans l'exploitation des ressources minières. [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]

Cryspin Laoundiki
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Burkina/Justice : Mohamed Sinon écope de trois ans de prison ferme et d'une amende d'un million

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 26/07/2023 - 01:37

Le litige qui oppose le leader de la société civile et activiste, Mohamed Sinon (de son vrai nom, Mohamed Simigna), à la gendarmerie nationale du Burkina Faso, a rendu son verdict en première instance ce mardi 25 juillet 2023 à Ouagadougou, avec la condamnation du mis en cause à une peine d'emprisonnement ferme de 36 mois (trois ans) et une amende d'un million de FCFA.

Poursuivi pour atteinte à l'honneur, à la considération de la Gendarmerie nationale et mise en danger de la vie d'autrui à travers une sortie sur les réseaux sociaux, Mohamed Sinon bénéficie du doute en ce qui concerne la poursuite de mise en danger de la vie d'autrui.

Il est cependant condamné à une peine d'emprisonnement de douze mois (une année) et une amende de 500 000 FCFA ferme pour les faits de diffamation.

Le tribunal a ensuite levé le sursis de 24 mois qui pèse sur l'intéressé dans l'affaire dite « appel au meurtre du journaliste Newton Ahmed Barry ».

Finalement, Mohamed Sinon écope d'une condamnation de 36 mois (trois ans) et d'une amende d'un million de FCFA, le tout ferme et une contrainte judiciaire de trois mois pour s'acquitter de l'amende.

Rappelons qu'au terme des débats le mardi, 18 juillet 2023, le Parquet (partie poursuivante) avait, tenant compte du sursis, requis 30 mois (deux ans et demi) d'emprisonnement ferme et 500 000 FCFA d'amende.

La partie civile, la Gendarmerie nationale du Burkina Faso, n'a, elle, émis aucune demande particulière ; elle a simplement souhaité que le prévenu subisse toute la rigueur de la loi, s'il venait à être condamné.

Père de neuf enfants, Mohamed Sinon est commerçant et responsable d'entreprises.

O.L
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