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Agrégateur de flux

Espionnage et démocratie, un couple en permanence sous tension

Blog Secret Défense - lun, 20/04/2015 - 10:52
Un entretien avec Jean-Claude Cousseran et Philippe Hayez, anciens de la DGSE.
Catégories: Défense

L'"Izumo", symbole du renouveau militaire japonais

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - lun, 20/04/2015 - 10:49
Jamais depuis 1945 le Japon ne s'était offert un aussi gros navire de guerre. Mais il ne dit rien, ou presque, de ses capacités militaires.
Catégories: Défense

Le Japon lance une nouvelle stratégie militaire

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - lun, 20/04/2015 - 10:48
Jusqu'alors très pacifiste, la Constitution japonaise autorisera bientôt les forces d'autodéfense à s'engager dans des opérations à l'étranger. Explications.
Catégories: Défense

Jorge Domecq meets Estonian Minister of Defence

EDA News - lun, 20/04/2015 - 10:47

EDA Chief Executive Jorge Domecq travelled to Tallinn on 17 April for discussions with the Estonian Minister of Defence, Sven Mikser, on preparations of the June 2015 European Council and Estonia’s participation in EDA projects. Jorge Domecq also met with the Head of the Estonian Defence Forces, Lieutenant General Riho Terras and visited the Cooperative Cyber Defence Center of Excellence.


The European Defence Agency is crucial for driving defence cooperation in the EU”, Estonian Minister of Defence Sven Mikser said at Friday’s meeting with EDA Chief Executive Jorge Domecq. “The task has been difficult during a period of heavy cuts in defence spending but we can give a positive assessment regardless.”

We are quite pleased with many projects that we have worked on together such as joint procurement for Carl Gustav ammunition, and we are looking forward to the results of EDA’s cyber projects”, the Minister added.

“The cyber-attacks on European media in recent weeks illustrate that cyberspace has become a key challenge of our current security environment as well as the fifth domain of warfare, equally critical to military operations as land, sea, air, and space. The European Defence Agency supports Member States in improving their cyber defence capabilities. Our cyber defence programme with the active involvement of Estonia contains projects aimed at research, training and exercises, cyber situational awareness in CSDP operations, detection and protection”, Jorge Domecq said during his visit in Tallinn.

Mr. Domecq also exchanged views with other high-level officials of the Estonian Ministry of Defence as well as the Head of the Estonian Defence Forces Lieutenant General Riho Terras. During a visit at the Cooperative Cyber Defence Center of Excellence, ways to further enhance cooperation with EDA were discussed.


Cyber defence

In the European Defence Agency capability development plan, cyber defence is one of the priority actions. A project team of EDA and its participating Member States’ representatives is responsible for jointly developing cyber defence capabilities within the EU common security and defence policy (CSDP). A network of EDA and Member States research & technology experts support this work through collaborative activities delivering the required technologies at the right time. All of this is positioned next to existing and planned efforts by civil communities (national and EU institutions) and NATO. Given that threats are multifaceted, a comprehensive approach is taken, seeking to enhance synergies between the civilian and military domains in protecting critical cyber assets.

The visit in Tallinn is part of a series of visits by Mr. Domecq to all EDA Member States following his appointment as EDA Chief Executive and ahead of the Ministerial Steering Board on 18 May 2015. So far, Mr. Domecq visited Spain, Lithuania, Latvia, the United Kingdom, Belgium, Germany, Portugal, the Netherlands, Ireland, France, Romania, Bulgaria, the Czech Republic, Slovenia and Croatia. Next week he will travel to Poland, Hungary, Greece and Cyprus.


More information
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Cyber response solutions: Waiting in the grass

DefenceIQ - lun, 20/04/2015 - 06:00
Italy-based Tiger Security caters to international organisations that are at a particularly high-level of risk from cyber attacks, including governments and militaries. Defence IQ spoke with CFO, Partner and Head of Business Development, Damiano Cimignolo, to find out what mak
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Terrorist groups are not terrorists. They’re violent transnational movements bent on creating a new world order

DefenceIQ - lun, 20/04/2015 - 06:00
The creation of a new world system – not just a change in the current system – is arguably the raison d'être behind the rise in transnational terrorist threats. The

Hitting ISIL where it hurts

DefenceIQ - lun, 20/04/2015 - 06:00
The functional and institutional nature of hybrid terrorist groups  reveals one of the key ways in which we can understand the changing dynamic of cu
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On the Throes of Transition Part III: Countering the Stereotype of a Tropical Paradise

DefenceIQ - lun, 20/04/2015 - 06:00
This third installment of the ongoing bi-regional discourse themed “ On the Throes of Transition - Terrorism: Assessment, Analysis, Action ” is ap
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Urgent review of search and rescue operations needed as the Mediterranean migrant crisis worsens

DefenceIQ - lun, 20/04/2015 - 06:00
Image: MOAS (the Migrant Offshore Aid Station) The humanitarian crisis in the Me
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La Commission européenne déclare la guerre à Google

Coulisses de Bruxelles - dim, 19/04/2015 - 22:46

Mardi, le site d’information américain Politico va lancer, à Bruxelles, sa première filiale à l’étranger. Tout un symbole : «si les États-Unis font de l’innovation, c’est l’Union européenne qui dicte les règles du jeu», nous explique Matthew Kaminski, le patron du site européen (politico.eu). L’actualité vient démontrer la pertinence de cette analyse : en décidant, hier, de s’attaquer au géant californien Google, la Commission, qui veille au respect des règles de concurrence dans l’Union, s’aventure sur un terrain que les autorités américaines chargées de la concurrence ont désormais déserté : comme l’a révélé le Wall Street Journal, le mois dernier, la Federal Trade Commission (FTC) a établi, en 2013, que le moteur de recherche se livrait à des pratiques anticoncurrentielles. Mais elle a préféré classer l’affaire sans suite…

Ce n’est pas la première fois que les champions américains sont confrontés à une Union devenue beaucoup plus sourcilleuse en matière de concurrence que Washington. Microsoft, l’un des GAFAM américains (Google, Amazon, Facebook, Appel, Microsoft) qui domine le monde numérique, en a fait l’expérience : l’entreprise a été confrontée à une série d’enquêtes de la Commission pour pratiques anticoncurrentielles, entre 2003 et 2013, ce qui lui a coûté une série d’amendes d’un montant total de plus de 2 milliards d’euros. Dans un domaine proche, Intel, le fabricant américain de processeurs, a aussi connu les foudres de l’Union en 2009 avec une amende de plus d’un milliard d’euros pour abus de position dominante. Mais tous les secteurs de l’activité économique sont concernés : en 2001, la Commission a ainsi mis son veto à la fusion de deux entreprises américaines, pourtant approuvée par les autorités locales, General Electric et Honeywell (moteurs d’avions d’affaires et avionique). En 1997, Boeing a dû passer sous ses fourches caudines pour obtenir in extremis un feu vert à sa fusion avec McDonnell-Douglass. Deux cas emblématiques, puisqu’il s’agissait de préserver l’avenir d’Airbus. On pourrait multiplier les exemples de la puissance, souvent méconnue, de l’Union dans le domaine de la concurrence, une puissance que les entreprises du monde entier, et pas seulement américaines, ont appris à redouter.

Des règles de concurrence d’origine américaines

Ironie de l’histoire : les règles de concurrence européennes qui figurent dans le traité créant la Communauté économique du charbon et de l’acier (CECA) de 1951 et qui ont été reprises telles que dans le traité de Rome de 1957 ont été écrites par un jeune professeur de droit de Harvard, Robert Bowie, l’un des meilleurs spécialistes de l’époque. En effet, le contrôle du marché est né outre-Atlantique dès le XIXe siècle, et non en Europe : les Américains ont toujours considéré, contrairement au vieux continent, que le marché n’avait pas toujours raison et qu’il fallait le réguler afin de lutter contre les monopoles ou les oligopoles et les ententes qui étaient quasiment la règle en Europe avant la Seconde Guerre mondiale. Plus prosaïquement, il s’agissait de briser définitivement les Konzerns de la Ruhr, ces cartels qui avaient fait la puissance militaire de l’Allemagne d’avant-guerre. Faute de tradition juridique européenne dans le domaine de la concurrence «libre et non faussée», il a fallu faire appel aux juristes américains. Les articles des traités européens sur le sujet qui donnent du fil à retordre aux géants américains ont «été rédigés par Bowie avec un soin méticuleux. C’était une innovation fondamentale en Europe, et l’importante législation antitrust qui règne sur le marché commun trouve son origine dans ces quelques lignes pour lesquelles je ne regrette pas de m’être battu quatre mois durant», raconte ainsi Jean Monnet, l’un des pères de l’Europe, dans ses Mémoires. Des règles de décartellisation que l’Allemagne n’a acceptée que parce que le chancelier Konrad Adenauer a mis tout son poids dans la balance.

La Commission défend l’économie européenne

Il est amusant d’entendre aujourd’hui Barack Obama, le président américain, prendre la défense de Google, dont il est très proche, comme il l’a fait à la mi-février, en estimant que les règles européennes de concurrence sont «parfois» «davantage dictées par des intérêts commerciaux», puisque «les fournisseurs de services (européens) qui, comme vous le savez, ne peuvent pas lutter contre les nôtres, essaient seulement d’empêcher nos entreprises d’opérer là-bas.» : «nous avons possédé Internet. Nos entreprises l’ont créé, l’ont étendu, l’ont perfectionné, de telle manière qu’ils [les Européens] ne peuvent pas lutter». Autrement dit, la lutte contre les pratiques anticoncurrentielles serait un moyen de priver les entreprises américaines des fruits de leur succès… Une analyse pour le moins curieuse pour le président d’un pays qui n’a pas hésité à démanteler l’opérateur téléphonique ATT en 1984.

En réalité, comme l’a expliqué hier la commissaire européenne à la concurrence, la libérale danoise Margrethe Vestager, «l’objectif de la Commission est d’appliquer les règles européennes (...) de manière à ce que les entreprises opérant en Europe ne privent pas artificiellement les consommateurs européens d’un choix aussi large que possible ou n’entravent pas l’innovation». Car aujourd’hui, on en est là. Le Parlement européen, aussi inquiet que la plupart des États membres, l’Allemagne et la France au premier chef, devant la puissance incontrôlée des géants américains du numérique, souhaite même, dans une résolution votée en décembre, que la Commission ordonne un démantèlement de Google. On n’en est pas là, mais cela donne la mesure de la bataille de Titan que Bruxelles vient d’engager. Chacun a conscience que les menaces ne sont pas seulement économiques, le numérique étant désormais l’un des principaux moteurs de la croissance occidentale, mais concerne aussi les libertés individuelles, comme l’a révélé l’affaire Snowden. Autrement dit, en imposant ses règles du jeu aux GAFAM, l’Union préservera son avenir économique et protégera son État de droit.

NB: version longue de mon article paru dans Libération du 16 avril

Catégories: Union européenne

Magyar katonák Irakban

Biztonságpolitika és terrorizmus - dim, 19/04/2015 - 17:52
Bár ma más sokkal okosabb vagyok a KTCC és a magyar katonák leendő tevékenységét illetően, ez a cikk sem volt rossz, amit a héten írtam és amit a Hir 24 oldalán lehet elolvasni.

Bonyolultabb lesz a magyar katonák feladata, mint hinnénk

A parlamenti felhatalmazás elég bonyolultan fogalmaz, de a kormányzati kommunikáció révén tudni lehet, hogy a magyar katonák alapvető feladata a kurdisztáni főváros, Erbil mellett épülő katonai bázis őrzés-védelme és a kiképzők kísérése. Túl sok részletet már csak azért sem lehet tudni az nemzetközi kiképző misszió kurdisztáni része, a Kurdisztáni Kiképzési Koordinációs Központ (KTCC) annyira új, hogy csak most nyeri el végső formáját. Annyit lehet tudni, hogy német és olasz parancsnokság alatt működik majd felválta, de lesznek britek, amerikaiak és hollandok meg norvég kiképzők is.
Mit fognak a magyar katonák Irakban csinálni?Az őrzés-védelmi feladatok bár a kemény és monoton rutin miatt egyszerű feladatnak tűnhetnek, épp a váratlanság és a kiszámíthatatlan környezet miatt érdekesek. Ha tetszik, a Magyar Honvédség egyik specialitásává vált ez a feladattípus az 1999-es NATO-csatlakozás óta.
Koszovóban 1999 és 2005 között majd 300 emberrel őriztük a KFOR fő bázisát, Afganisztánban 2006 és 2013 között a magyar Tartományi Újjáépítési Csoport (PRT) bázisát, és 2012-ben Kabulban a NATO-erők fő bázisát védték magyar katonák.

Ami általában mindenkinek beugrik az őrzés-védelmi feladatokról, az az, hogy a katonák őrzik a tábor bejáratát, beléptetik az embereket és a járműveket, szigorúan néznek az őrtornyokból kifelé. Ennél azért kicsit összetettebb a feladat, ami például függ a technikai őrzés-védelem minőségétől (mozgásérzékelők, kamerák, riasztók, behatolásjelzők). Emellett a katonáknak biztosítaniuk kell egy úgynevezett QRF-t, azaz gyorsreagálású egységet, amely képes a nap 24 órájában pár percen belül útnak indulni és megtámogatni azokat, akiket megtámadtak.
Catégories: Biztonságpolitika

Így lesz a játékpuskából éles lőfegyver

Serbia Insajd - dim, 19/04/2015 - 15:50

"Egyes srácok túl hamar nőnek fel..."

Elgondolkodtató videót tett közzé a YouTube-on egy szerb fiatalok által alapított internetes kezdeményezés, az Understand 2015 csapata. A felvétel elején normálisnak tűnő, hétköznapi gyerekek játszanak háborúsdit egymás ellen, faágakból rögtönzött játékfegyverekkel. Hirtelen egyenruhás, arc nélküli felnőttek lépnek hozzájuk, akik igazi gépkarabélyokat osztanak ki közöttük. Vajon mi történik ezt követően? (A kisfilm megnézhető a hajtás után.)

[...] Bővebben!


Catégories: Nyugat-Balkán

Iráni tisztviselő: az USA le kell álljon a terroristák támogatásával

Hídfő.ru / Biztonságpolitika - dim, 19/04/2015 - 15:29
Az ISIS mára a legjobban felszerelt és leggazdagabb terrorszervezetté vált, köszönhetően a nyugati koalíció rendszeres támogatásainak.
Catégories: Biztonságpolitika

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