Ferenc pápa Szerbiába szeretne látogatni, ennek időpontját pedig a hivatalos Belgrád és a Szentszék közösen határozza majd meg – nyilatkozta Msgr. Luciano Suriani érsek, pápai nuncius.
Áder János magyar és Kolinda Grabar-Kitarović horvát államfő jelenlétében felavatták a horvátországi Karancson a felújított református templomot szerda este.
Face à la surpopulation dans les prisons françaises le bracelet électronique a reçu un surplus de faveur dans beaucoup de milieux. Une faveur qui risque d’être refroidie lorsque se répandra la connaissance de l’arrêt de la CJUE. Une restriction de liberté de mouvement, telle une surveillance électronique, ne doit pas nécessairement être considérée comme étant équivalente à une privation de liberté, a estimé la Cour de Justice de l’UE dans le cadre d’une affaire portant sur le mandat d’arrêt européen et les procédures de remise entre Etat membres.
Cette affaire concerne un ressortissant polonais qui a été arrêté au Royaume-Uni suite à l’émission par la Pologne d’un mandat d’arrêt européen à son encontre. Avant de le remettre aux autorités polonaises, les autorités britanniques lui ont surtout imposé l’obligation de demeurer à son domicile pendant la nuit, ce qui était contrôlé à l’aide d’une surveillance électronique.
La législation européenne (Décision-cadre 2002/584/JAI Du Conseil) oblige à déduire de la durée totale de la privation de la liberté que la personne concernée devait subir dan l’Etat membre d’émission la période de détention résultant de l’exécution du mandat d’arrêt européen. En se basant sur cette disposition, le ressortissant a demandé que la période d’assignation à résidence qui lui a été imposée au Royaume-Uni soit déduite de la peine qu’il doit effectuer en Pologne.
Saisie par une juridiction polonaise, la Cour de Justice vient de donner une interprétation de cette disposition du droit ; elle a précisé surtout la portée de la notion de « détention » qui doit être interprétée comme étant une mesure, non pas restrictive, mais privative de liberté. Elle vise avant tout l’incarcération ainsi que toute autre mesure comparable. Il revient aux autorités judiciaires de l’Etat membre d’émission du mandat européen d’établir si les mesures comparables sont équivalentes à une période de privation de liberté.
Suivant cette interprétation, la Cour a conclu que les mesures imposées au ressortissant Polonais par les autorités britanniques ne sont pas, en principe, suffisamment contraignantes pur être qualifiées de « détention » au sens de la décision-cadre. Toutefois, puisque la législation européenne impose un niveau de protection minimal des droits fondamentaux de la personne visée par le mandat d’arrêt , l’autorité judiciaire de l’Etat membre d’émission peut déduire de la durée totale de la peine tout ou une partie de la période durant laquelle cette personne a fait l’objet, dan l’Etat membre d’exécution, de mesures autres qu’une privation de liberté, telle une restriction de liberté.
Le prononcé de l’arrêt sonne comme un coup de tonnerre comme cela est souvent le cas avec CJUE, mais dans un deuxième temps, l’analyse et la réflexion aidant, des échappatoires apparaissent.
Pour en savoir plus : principales sources d’information
-. Texte de l’arrêt (FR) http://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf;jsessionid=9ea7d0f130d500b86af511f149a5b249b09135cb3de7.e34KaxiLc3eQc40LaxqMbN4Pa3mSe0?text=&docid=182300&pageIndex=0&doclang=FR&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=49544
-. Texte des conclusions de l’avocat général(FR) http://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf;jsessionid=9ea7d0f130d500b86af511f149a5b249b09135cb3de7.e34KaxiLc3eQc40LaxqMbN4Pa3mSe0?text=&docid=181834&pageIndex=0&doclang=fr&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=49544
(EN) http://curia.europa.eu/juris/celex.jsf?celex=62016CC0294&lang1=fr&type=TXT&ancre=
-. Communiqué de presse (FR) http://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2016-07/cp160083fr.pdf (EN) http://curia.europa.eu/jcms/upload/docs/application/pdf/2016-07/cp160083en.pdf
-. Texte de la Décision cadre du mandat d’arrêt européen (FR) http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=URISERV:l33167&from=FR
(EN) http://eur-lex.europa.eu/legal-content/EN/TXT/HTML/?uri=URISERV:l33167&from=FR
Après examen des points inscrits à l’ordre du jour, le Conseil a :
– adopté des projets de texte ;
– procédé à des nominations ;
– et entendu une communication.
AU CHAPITRE DES MESURES LEGISLATIVES :
AU TITRE DU MINISTERE DU TRAVAIL ET DE LA FONCTION PUBLIQUE :
Sur le rapport du ministre du Travail et de la Fonction publique, chargé des Relations avec les Institutions, le Conseil des Ministres a adopté un projet de loi portant modification de la Loi n°92-020 du 23 septembre 1992 portant code du travail en République du Mali.
L’adoption de la loi du 23 septembre 1992 visait à créer un environnement juridique favorable à l’accroissement des investissements, tant nationaux qu’étrangers, notamment à travers l’allègement des procédures relatives à la conclusion des contrats du travail, à la mise en chômage technique et au licenciement pour motif économique.
Aujourd’hui, certaines dispositions de cette loi sont soit apparues imprécises ou inadaptées au contexte actuel.
En outre, notre pays est souvent interpellé par les organes de contrôle de l’Organisation
internationale du Travail sur la non-conformité de certaines dispositions de la loi du 23
septembre 1992 aux conventions ratifiées.
L’adoption du présent projet de loi vise à corriger les insuffisances constatées. Elle s’inscrit
aussi dans le cadre de l’application des conventions internationales ratifiées par le Mali.
Le projet de loi ainsi adopté clarifie le concept de travail forcé.
Il prévoit la rupture conventionnelle du contrat de travail.
Il fixedes critères plus opérationnels de mesure de la représentativité syndicale.
Il fixe l’âge d’admission à l’emploi à 15 ans.
AU CHAPITRE DES MESURES REGLEMENTAIRES :
AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES :
Sur le rapport du ministre de l’Economie et des Finances, le Conseil des Ministres a
adopté un projet de décret portant approbation du marché relatif aux travaux de
construction d’un immeuble (RDC+2) sur le site de l’ancienne Direction Régionale de
l’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS) de Ségou.
Le marché relatif aux travaux de construction d’un immeuble (RDC+2) sur le site de
l’ancienne Direction Régionale de l’Institut National de Prévoyance Sociale (INPS) de
Ségou est conclu entre le Gouvernement de la République du Mali et l’Entreprise Compagnie
Malienne de Construction (COMACO) pour un montant de 2 milliards 558 millions 681 mille
879 francs CFA TTC et un délai d’exécution de 18 mois.
La réalisation de ces travaux s’inscrit dans le cadre du programme pluriannuel
d’investissement 2014-2018 de l’Institut National de Prévoyance Sociale visant à diversifier
ses ressources face à l’augmentation accrue et régulière des dépenses de prestations sociales, notamment, des pensions et des allocations familiales.
Elle contribue à conforter les réserves techniques de l’INPS par un parc immobilier
conséquent à l’abri des fluctuations du marché des dépôts à termes et des obligations.
Le financement du marché est assuré à hauteur de 100% par le budget de l’INPS.
AU TITRE DU MINISTERE DE LA SECURITE ET DE LA PROTECTION CIVILE :
Sur le rapport du ministre de la Sécurité et de la Protection civile, le Conseil des Ministres a
adopté un projet de décret portant approbation du contrat de concession relatif à la
fourniture d’un système de sécurité de l’aviation civile et de l’immigration selon les
modalités de construction, maintien et transfert, entre le Gouvernement du Mali et la
Société SECURIPORT LLC.
Le présent contrat de concession est conclu entre le Gouvernement de la République du Mali
et la Société SECURIPORT LLC pour une durée de dix ans.
Il porte sur la construction, la maintenance et le transfert d’un système de sécurité de
l’aviation civile et de l’immigration.
La réalisation de la concession permettra de renforcer le système d’identification des
passagers de « Aéroports du Mali », du personnel d’aviation et de toutes les personnes ayant accès aux zones aéroportuaires.
Elle s’inscrit dans le cadre des recommandations de l’Organisation internationale de
l’Aviation civile en matière de lutte contre le terrorisme et les narcotrafiquants dans les
frontières aéroportuaires.
Elle s’inscrit également dans le cadre de la mise en place d’un cadre institutionnel pour la
gestion de la redevance de sécurité aéroportuaire.
AU CHAPITRE DES MESURES INDIVIDUELLES :
AU TITRE DU MINISTERE DES MINES :
– Chargé de mission :
Monsieur Abdoulaye BAMBA, Economiste Gestionnaire
AU TITRE DU MINISTEREDES AFFAIRES ÉTRANGÈRES, DE LA COOPÉRATION INTERNATIONALE ET DE L’INTÉGRATION AFRICAINE :
– Ministre Conseiller à l’Ambassade du Mali à Addis-Abeba (Ethiopie) :
Monsieur N’Golo FOMBA, Conseiller des Affaires étrangères
– Premier Conseiller à l’Ambassade du Mali à Moscou :
Monsieur Youssouf Dramane KONE, Conseiller des Affaires étrangères
– Premier Conseiller à l’Ambassade du Mali à Libreville (Gabon) :
Monsieur Drissa MALLE, Conseiller des Affaires étrangères
– Premier Conseiller à l’Ambassade du Mali à Abu Dhabi :
Monsieur Mohamed Ibrahim HAIDARA, Conseiller des Affaires étrangères
– Conseiller culturel à l’Ambassade du Mali à La Havane (Cuba) :
Monsieur Moussa SY, Journaliste-Réalisateur
– Consul au Consulat Général du Mali à Khartoum :
Monsieur Yaya KARAMBE, Magistrat
AU TITRE DU MINISTEREDE L’ECONOMIE ET DES FINANCES :
– Inspecteurs à l’Inspection des Finances :
Monsieur Dramane COULIBALY, Inspecteur des Finances
Monsieur Aliou TALL, Inspecteur des Finances
AU TITRE DU MINISTEREDE L’ÉQUIPEMENT, DES TRANSPORTS ET DU DÉSENCLAVEMENT :
– Directeur des Ressources Humaines du Secteur des Infrastructures :
Monsieur Ismaïla OUATTARA, Professeur principal
AU CHAPITRE DES COMMUNICATIONS :
AU TITRE DU MINISTERE DE LA JUSTICE ET DES DROITS DE L’HOMME :
Sur le rapport du ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, le
Conseil des Ministres a examiné une communication écrite relative à la Politique
nationale des Droits de l’Homme (PNDH) et son plan d’actions 2017-2021.
L’élaboration de la politique nationale des Droits de l’Homme vise à doter notre pays d’un
cadre de référence des actions à mener dans le domaine des droits de l’Homme. Elle s’inscrit aussi dans le cadre de la mise en œuvre des instruments internationaux ratifiés par le Mali.
Sur la base des orientations définies, la Politique nationale est articulée autour des quatre (4) axes que sont :
– la promotion des droits de l’Homme ;
– la protection des droits de l’Homme ;
– l’assistance aux acteurs ;
– la coopération internationale.
La mise en œuvre de ces axes contribuera à l’amélioration de la situation des droits de l’Homme au Mali en assurant une plus grande effectivité des droits.
Elle contribuera aussi à la dynamique de réconciliation nationale et de renforcement de la
cohésion sociale.
La Politique nationale des Droits de l’Homme est assortie d’un plan d’actions 2017-2021 de 3 milliards 757 millions de francs CFA dont le financement sera assuré par l’Etat, les Collectivités territoriales et les partenaires techniques et financiers.
Bamako, le 07 septembre 2016.
Le Secrétaire général du Gouvernement,
Madame DIAKITE Fatoumata N’DIAYE
Commandeur de l’Ordre national
Manipulálnak a választói névjegyzékkel a horvátországi parlamenti választások kimenetelének befolyásolása érdekében – jelentette ki Juhász Sándor magyar kisebbségi képviselő kedden, a kisebbségek parlamenti képviselői csoportjának sajtótájékoztatóján Zágrábban. A magyar képviselő azt állítja: horvát és roma nemzetiségű állampolgárok pénzért magyarnak vallják magukat, hogy a magyar listára szavazhassanak vasárnap az előre hozott parlamenti választásokon.
Une scission est récemment intervenue au sein d’un groupe de l’ex-rébellion à dominante touareg du nord du Mali, le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), mais un responsable de l’ex-rébellion en a minimisé l’importance mercredi.
« Je démens les nombreux départs annoncés au sein de la CMA au profit du Mouvement pour le salut de l’Azawad (MSA) », a déclaré à l’AFP Almou Ag Mohamed, porte-parole de la CMA (Coordination des mouvements de l’Azawad), qui fédère les anciens groupes rebelles, dont le MNLA.
Dans un communiqué diffusé cette semaine, ce nouveau groupe, le MSA, dénonce « la gestion unilatérale de la CMA », ainsi que « la constance et la montée des conflits communautaires avec son corollaire de morts d’hommes ».
Publié à la fin d’une rencontre intercommunautaire dans le nord du Mali qui s’est achevée début septembre, le même communiqué annonce « la démission pure et simple de toutes les populations concernées par la présente rencontre, de même que leurs responsables civils,militaires et politiques », de toutes les instances des groupes composant la CMA.
Parmi les dirigeants du MSA, qui doit tenir son premier congrès en octobre, figurent Moussa Ag Acharatoumane, ancien porte-parole du MNLA, et le colonel Assalat Ag Habi, déserteur de l’armée régulière malienne, tous deux membres de la CMA.
Ils affirment par ailleurs avoir quitté la CMA avec quelques centaines de véhicules armés, ainsi que de nombreux combattants.
Selon les observateurs, la création de ce nouveau mouvement armé, qui dit s’inscrire dans la logique des accords de paix signés en mai-juin 2015 entre le camp gouvernemental et l’ex-CMA, correspond à une « réalité tribale ».
Moussa Ag Acharatoumane et le colonel Ag Habi, originaires de la région de Ménaka, à proximité du Niger, où a été lancé le MSA, peinent à s’imposer à Kidal (nord-est), fief de l’ex-rébellion, proche de la frontière algérienne.
Moussa Ag Acharatoumane pourrait briguer un poste au sein des autorités intérimaires qui doivent être mises en place dans les cinq régions administratives du Nord en application de l’accord de paix, indique-t-on dans son entourage.
Les membres de ces autorités doivent être « désignés de façon consensuelle » par le gouvernement, les groupes armés qui le soutiennent et ceux de l’ex-rébellion, selon une entente signée en juin 2016.
Le nord du Mali est tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda. Ces groupes en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement en 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire internationale, qui se poursuit actuellement.
Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères, malgré la signature de l’accord de paix, censé isoler définitivement les jihadistes.
Tisztességes és átlátható eljárást fognak lefolytatni a hatóságok a júliusi törökországi puccskísérlet felelőseinek elszámoltatása során - jelentette ki Mevlüt Cavusoglu török külügyminiszter szerdán Strasbourgban, miután megbeszélést folytatott az Európa Tanács (ET) főtitkárával.
Az augusztus 26-ai budapesti csúcstalálkozó után újabb egyeztetést tartottak kedden az Európai Unió jövőjéről a visegrádi csoport (Csehország, Lengyelország, Magyarország, Szlovákia) kormányfői a dél-lengyelországi Krynicában. A tárgyaláson Volodimir Hrojszman ukrán kormányfő is részt vett.
A Pécsi Tudományegyetem Egészségtudományi Kara ez év szeptemberétől elindítja nappali munkarendben BSc (főiskolai) szintű ápolói képzését. Nyolc szemeszteres, nappali képzésről van szó.