L’institution dirigée par le colonel El Habiri a profité de son jumelage avec les pompiers européens pour «monter» une formation.
En cas de crise majeure ou catastrophe naturelle, la Protection civile est aux premières loges pour apporter aide et assistance à la population en détresse. Mais ce rôle incontournable ne se cantonne pas seulement dans la mise en place des moyens techniques.
Elle se doit aussi de rassurer, en communiquant avec la population, les médias, leurs propres agents et toutes les autres parties prenantes. Cette communication sensible nécessiter une capacité de réponse rapide et efficace, soucieuse des signaux faibles, de la cohérence des messages et du maintien du lien avec la population. C’est dans ce sens que l’institution dirigée par la colonel El Habiri a décidé de se former en ce qui est appelé la communication de crise. Elle a profité de son jumelage avec les pompiers européens dans le cadre du Programme d’appui à la mise en oeuvre de l’Accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne (P3A), pour «monter» une formation dans ce domaine des plus importants.
Cette formation, qui aura lieu dans les semaines à venir, aura comme spécificité d’associer les deux parties concernées, à savoir les chargés de communication et les journalistes. Pour mieux adapter ce programme à la réalité algérienne, le colonel Delacroix, un officier supérieur des sapeurs-pompiers français est depuis une semaine à Alger où il a rencontré les agents de la Protection civile, les cadres, les chargés de «com» et bien sûr les journalistes.
Un atelier débat a d’ailleurs eu lieu, hier, au niveau de l’Ecole nationale de la Protection civile à Dar El Beïda. Il a eu à apprécier la «relation particulière et de confiance qu’ont réussi à mettre en place les responsables de la communication» de cette institution des plus stratégiques. Il faut dire que les hommes en noir sont devenus ces dernières années une référence en matière de communication, qui reste le maillon faible de la majorité de nos institutions. Ce débat et dialogue ouverts de plus de cinq heures, qui s’est fait en totale transparence, en est la meilleure preuve.
Cet échange d’expériences a permis d’élucider les différentes étapes d’une communication de crise, de la gestion d’une cellule de communication de crise, la réaction face aux médias, de la maîtrise d’une conférence de presse et de l’alimentation des réseaux sociaux. Pompiers et journalistes se sont fait un véritable plaisir à prendre la parole pour échanger en toute liberté. Dans une ambiance bon enfant, chacun des deux partis responsables de ce genre de communications, ont donné leurs avis mais surtout apporté des remarques des plus pertinentes afin d’améliorer les manquements qui peuvent être enregistrés.
Très contents par ces échanges, le colonel Delacroix a également tenu à saluer l’initiative «un secouriste par famille» mise en place par le la colonel El Habiri et ses hommes depuis novembre 2010. «C’est un modèle très intéressant qui n’existe pas encore en France», a noté le colonel Delacroix à propos de ce programme qui consiste à former une génération qui saura offrir les premiers secours aux personnes en cas de catastrophe naturelle ou d’accident de la route, soit l’implication de la société civile dans la gestion des catastrophes naturelles.
Le parcours de l’homme mérite d’être enseigné ou à défaut affiché à l’entrée de l’Ecole supérieure de journalisme.
La date du 14 avril de cette année ne sera pas anodine au niveau des rédactions de la presse écrite nationale. La disparition il y a un an jour pour jour de l’un de ses fondateurs, en l’occurrence Noureddine Nait Mazi un 14 avril 2016 à l’âge de 81 ans des suites d’une longue maladie, va certainement y convoquer tant de souvenirs et d’émotion.
Comment ne serait-ce pas le cas, alors que la plupart des fondateurs de ces journaux sont des disciples de Noureddine Nait Mazi qui a été le directeur du journal école El Moudjahid pendant de longues années. Le défunt n’était pas seulement pour beaucoup de directeurs de ces journaux, le maître qui leur avait appris le métier, mais il était aussi ce grand frère qui les protégeait et défendait leurs droits. Le directeur et fondateur du quotidien L’Expression Ahmed Fattani, l’un des disciples de Noureddine Nait Mazi à la rédaction d’El Moudjahid, a écrit au lendemain de sa disparition ceci: «Noureddine Nait Mazi était mon maître.
Il m’a appris le métier. Celui du chef de l’entreprise aussi. Il m’avait surtout recommandé de toujours rester humble et intransigeant jusqu’envers soi-même.» Pour le directeur du quotidien L’Expression, Noureddine Nait Mazi avait une conception différente du métier du journalisme. «Faire du journalisme pour lui c’est apprendre à servir. A se sacrifier, toujours se sacrifier pour son pays», a écrit M. Fattani. Le défunt ne chérissait pas le luxe et la vie à la manière des rois. «Toute sa vie, il s’était contenté de son petit «appart» de 80 m².
Il n’a pas conduit de voiture pour n’en avoir jamais possédé. A la fin, son épouse a dû suivre des cours de conduite pour pouvoir… faire tranquillement ses courses», a ajouté son ami Fattani. Noureddine Nait Mazi n’a pas opté pour cette vie faute de mieux, précisait le directeur du quotidien L’Expression. «Des villas? Des appartements? Des lots de terrain? Des voitures? Il aurait pu en posséder dix à la douzaine.» «Son intégrité, son honnêteté intellectuelle et surtout le sens moral qu’il tenait tant à conférer à sa longue vie de combattant lui interdisaient toute tentation d’envies matérielles», a expliqué Ahmed Fattani pour qui Noureddine Nait Mazi restera «un guide pour les journalistes algériens».
Le ministre de la Communication Hamid Grine qui lui aussi a eu le privilège de connaître Noureddine Nait Mazi, a écrit de lui alors qu’il était encore en vie cela: « Noureddine Nait Mazi est parmi les derniers mythes vivants de la presse écrite.»
Le mot mythe n’est pas du tout fort en parlant de Noureddine Nait Mazi a expliqué Grine. «Mythe d’abord, par sa conduite. Déjà quand il était militant nationaliste dans les années cinquante, le jeune homme faisait merveille: discipline, esprit de synthèse, clair dans ses idées et ses propos. Il étonnait ses aînés par sa foi en la Révolution algérienne.
Il était habité par la foi comme d’autres le sont par la passion de l’argent, du jeu ou des femmes.» Et d’ajouter «à l’indépendance, le voilà rédacteur du journal Le Peuple qui venait d’être créé par le FLN. Une année plus tard, il en devient un des rédacteurs en chef. Pourquoi a-t-il choisi cette voie de troubadour alors que l’Algérie était encore ouverte prête à offrir à celui qui voulait mordre, sans beaucoup d’égards pour elle, dans sa belle croupe? Cette question l’ aurait fait sourire, car toute sa vie il a combattu les opportunistes aux canines de vampires.
S’ il a choisi le journalisme c’est pour la bonne cause: «Un seul motif a guidé mon choix: la volonté de continuer à servir mon pays au mieux de mes compétences et il m’a semblé que l’information m’offrait la possibilité d’oeuvrer le plus utilement à la défense et à la promotion de ses causes.» Les propos et témoignages des amis et disciples de Noureddine Nait Mazi ne sont pas flatteurs ou exprimés dans le but de se dégager d’une reconnaissance qu’on doit pour des personnes dans pareilles situations, mais ils sont tous vérifiables pour ceux qui veulent s’en assurer. Noureddine Nait Mazi ayant vu le jour à Paris en 1935 aurait pu rester dans ce pays de lumières qui faisait rêver les jeunes du monde entier.
Non, l’homme comme on vient de l’apprendre ci-dessus à travers des témoignages de ses amis, n’avait pas dans ses veines ce genre de vie. Son coeur a toujours battu pour le pays de son père. Ses pensées s’étaient toujours tournées vers les souffrances de ses concitoyens. C’est pour ces raisons qu’il avait choisi de combattre d’abord, avec les moudjahidine pour l’indépendance de ce pays et ensuite, dans la bataille de l’édification de l’Algérie. Le parcours de l’homme mérite vraiment d’être enseigné ou à défaut affiché à l’entrée de l’Ecole supérieure de journalisme. Paix et miséricorde à son âme.
«Tous les programmes de développement seront vains et inefficaces sans qu’il y ait paix, stabilité et unité du peuple.»
Au quatrième jour de la campagne électorale, le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, à partir de la Maison de la culture de Batna, a plaidé pour la préservation de l’unité et la stabilité du pays, mettant en valeur les programmes économiques consentis par l’Etat dans les dernières années. Il a réitéré son soutien au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ainsi que pour le décollage économique, la réduction de la dépendance à l’égard des hydrocarbures et la défense des intérêts nationaux.
Il a plaidé en faveur de la préservation de l’unité, de la paix et de la stabilité de l’Algérie. Dans un meeting tenu à la Maison de la culture Mohamed-Laïd Al Khalifa, Ouyahia a estimé que «tous les programmes de développement engagés, y compris ceux ayant nécessité de gros investissements de l’Etat seront vains et inefficaces sans qu’il y ait paix, stabilité et unité du peuple». Lorsque, a assuré Ouyahia, nous affirmons notre engagement à militer pour la préservation de l’unité, de la paix et de la stabilité, nous réitérons dans le même temps notre attachement à la proclamation de la grande révolution de Novembre ainsi que notre respect pour la Constitution, les lois de la République et la personne du président de la République».
Au RND, nous appuyons le président de la République, le frère Abdelaziz Bouteflika qui constitue le symbole de l’unité et de la souveraineté nationales», a-t-il ajouté. Tout en rappelant la situation vécue par le pays durant les années 1990 et celle que connaissent aujourd’hui certains pays arabes, il a considéré que «la préservation de l’unité de l’Algérie incombe à tout le peuple algérien et non pas seulement aux institutions».
Il a ainsi insisté sur «le soutien impératif à apporter à l’Armée nationale populaire, la Gendarmerie nationale, la police et tous les services de sécurité qui veillent à protéger l’intégrité du territoire national».Il a également évoqué les principaux axes du programme de son parti. Ouyahia a appelé à la fin de son discours à choisir, le jour du scrutin, les candidats de son parti porteur d’un programme intégré qui propose des solutions pour les questions posées et oeuvre en faveur de la prospérité du pays et du citoyen.
Il a indiqué dans son meeting tenu mardi à Biskra que la politique sociale du RND propose, pour relever le pouvoir d’achat des citoyens, le recensement des diverses catégories et le soutien du pouvoir d’achat des ménages à faibles revenus, notamment pour l’accès aux produits de large consommation «sans que cela ne bénéficie aux salaires élevés». En matière de logement, le SG du RND a évoqué la possibilité d’un soutien public à la location auprès de privés, le renforcement du programme de logements ruraux et le relèvement de 24.000 à 70.000 DA du plafond des salaires exigés pour bénéficier d’un logement social.
C’est maintenant presque une certitude, le défenseur latéral de l’Équipe nationale Faouzi Ghoulam n’ira pas au bout de son contrat avec Naples. Après l’hommage de son entraîneur Maurizio Sarri qui a déclaré dans la presse italienne que Ghoulam a atteint un grand niveau et a énormément progressé avec Naples, c’est au tour de l’un de ses agents d’évoquer les raisons de sa mise sur le banc de touche. L’Algérien, dont le contrat expire en juin 2018, est sur le départ et plusieurs équipes sont prêtes à l’accueillir, à l’image de Chelsea, du Bayern Munich ou de la Juventus de Turin. Seulement, le site Internet Tutomercato.it a révélé une nouvelle piste de l’Algérien. Il s’agit de l’Atlético Madrid qui est revenu à la charge. En dépit d’une rude concurrence, les Madrilènes ne lâchent pas ce dossier et préparent une offre difficile à refuser pour engager le latéral gauche de Naples. Pour rappel, le président De Laurentiis s’oppose catégoriquement à vendre Ghoulam à la Juventus, l’AS Rome ou l’Inter Milan. Son avenir sera donc bien en dehors de l’Italie.
Les Colchoneros ont déjà sondé les dirigeants de Naples
Titulaire indiscutable à Naples, Faouzi Ghoulam a été relégué sur le banc lors des deux dernières sorties de son équipe, soit juste après les propositions concrètes reçues de la part de quelques clubs européens huppés désireux de s’attacher ses services. C’est dire que l’international algérien serait en train de vivre ses dernières semaines à Naples. Par ailleurs, selon une source très au fait du dossier Ghoulam, les dirigeants de l’Atlético Madrid ont déjà sondé, par le bais de leur DTS, la direction du club napolitain l’hiver passé. Une première offre repoussée par le club de Serie A. Tutomercato.it affirme toutefois que les Colchoneros seraient prêts à débourser la somme de 20 millions d’euros pour essayer de convaincre leurs homologues napolitains. L’ancien Stéphanois est devenu une priorité pour le club madrilène surtout que Filipe Luis est aussi sur le départ, l’été prochain.
Emerson pour le remplacer
Maintenant qu’ils sont presque certains de son transfert cet été, les dirigeants de Naples sont en train de s’activer pour trouver un remplaçant à leur défenseur Faouzi Ghoulam. Même si la transaction est loin d’être conclue, le coach Maurizio Sarri, qui n’est pas trop convaincu du niveau de son international croate, Strinic, a demandé aux dirigeants de dénicher un arrière gauche à même de pallier le départ de Ghoulam. C’est ainsi qu’il a jeté son dévolu sur l’international brésilien de la Lazio de Rome, Emerson, ont indiqué hier plusieurs rapports de presse italiens.
Nela : «Strinic n’a ni la technique ni le pied gauche de Ghoulam !»
Sébastiano Nela, l’ancien défenseur de Naples, n’a pas tari d’éloges sur les qualités du joueur algérien Faouzi Ghoulam, dans une interview faite à une radio napolitaine. Nela, qui a porté aussi les couleurs de Genoa et de la Roma, pense que le départ de Ghoulam sera difficile à combler même s’il pense que Strinic peut donner un certain équilibre sur le plan défensif. «Défensivement, Strinic peut apporter mais il est clair qu’il n’a pas la technique de Ghoulam ni son pied gauche, qui lui est nettement supérieur sur ce plan là», a-t-il déclaré sur Radio Kiss-Kiss.it
Selon nos informations, on a appris que les comptes du club seront renfloués dans les tout prochains jours par une arrivée importante d’argent dont le montant total dépasse les 8 milliards de centimes dont 2,5 sont sur le point d’être débloqués au profil du club harrachi, en guise de subvention étatique de l’année en cours. A ces 2,5 milliards, viendra s’ajouter un milliard de l’ANEP. Après cette décision et l’arrivée de cet argent dans les caisses du club, la direction de l’USMH pourra faire face à ses nombreuses dépenses et régulariser ses joueurs qui attendent depuis plusieurs semaines le reste de leur dû. Le club pourrait aussi compter sur d’autres subventions dont l’arrivée est attendue dans les prochaines semaines. Là, il s’agit surtout de la subvention d’Ooredoo que les dirigeants de l’USMH attendaient avec beaucoup d’impatience.
Laïb : «L’arrivée de l’argent ne peut que nous soulager»
«L’arrivée de cette subvention ne peut que nous soulager. Si cela se précise, ce sera une bonne bouffée d’oxygène pour la direction qui pourra mieux respirer, après avoir fait face à des difficultés financières. Je profite de l’occasion pour remercier tous nos sponsors ainsi que les autorités ministérielles pour leur aide. Depuis que je suis à la tête du club, ils se sont toujours montrés disponibles à nous aider.» Les incessants appels de la direction de l’USMH aux autorités locales pour venir en aide au premier club de la ville ont été reçus cinq sur cinq par les autorités.
Le déblocage du compte pour bientôt
Concernant le blocage du compte du club, pourrait-on savoir un peu plus sur cette histoire et quelles en sont les raisons ?
En fait, les comptes du club ont été bloqués à deux reprises en raison d’un chèque de 500 millions attribué à Coumbassa et qui date de la saison passée. Mais nous avons fait un recours à la justice pour faire opposition à cette décision. La procédure judiciaire et en bonne voie et je crois fermement au déblocage pour bientôt.
Décidément, le report de la demi-finale de la coupe d’Algérie a complètement chamboulé les plans de l’Entente de Sétif. Une nouvelle qui n’a pas fait plaisir aux joueurs et au staff technique. Normal, lorsqu’on sait que la direction de l’Entente a employé les gros moyens en programmant un stage en Tunisie spécialement pour préparer cette demi-finale dans le but de remporter le doublé cette saison, après avoir réalisé un grand pas vers le titre. Le report a donc chamboulé les plans de l’Entente qui devra désormais revoir toute sa préparation. Sauf que d’après nos sources, les dirigeants de l’Entente, à leur tête le président Hammar, vont poser leurs conditions. On estime qu’on ne reporte pas une rencontre comme cela à une semaine de sa programmation. Les dirigeants de l’Entente vont d’ailleurs saisir la Ligue de football professionnel à ce sujet.
Hammar refuse de renouer directement avec la coupe
D’après nos sources, l’une des principales conditions du président Hammar est de ne pas renouer directement avec la rencontre de coupe d’Algérie. Face à l’arrêt du championnat, le staff technique fait des pieds et des mains pour que les joueurs puissent maintenir leur forme physique au plus haut point. Ce n’est pas facile de le faire surtout que la trêve durera 1 mois. Du coup, Hammar ne veut pas que ses joueurs renouent directement avec un match choc comme celui de la demi-finale, surtout lorsqu’on sait que le MCA est avantagé quelque peu puisqu’il est concerné par la compétition africaine, ce qui donne l’avantage à ses joueurs de rester compétitifs.
Il exige au moins 2 matchs de championnat avant le MCA
Du coup, nous avons appris que le président Hassan Hammar exigera que l’Entente de Sétif renoue d’abord avec la compétition locale. L’idéal aux yeux de Hammar est que son équipe joue pas moins de 2 rencontres de championnat avant d’affronter le MCA. Cela permettra aux joueurs de l’Entente de Sétif de gagner en temps de jeu, mais surtout de retrouver leur rythme de croisière après une si longue période de repos.
Le report de la demi-finale chamboule les plans de Madoui
Le moins que l’on puisse dire est que l’entraîneur Madoui n’a pas caché son désarroi suite à cette décision. Le staff aurait aimé connaitre la nouvelle avant son départ pour Sousse. Désormais, le club sera dans l’obligation de revenir au pays, mais sans pour autant jouer la moindre rencontre officielle. Ce ne sera pas évident puisque le staff technique a aussi prévu de revoir le programme de la préparation une fois de retour au pays.
Le coach à la recherche des matchs amicaux
Aux dernières nouvelles, nous avons appris que l’entraîneur Madoui est à la recherche de clubs pour disputer des matchs amicaux de qualité, une fois de retour au pays. Le coach sait que ses joueurs doivent rester dans le rythme. Madoui s’attend à ce que ses joueurs disputent pas moins de deux matchs de championnat.
Le Real Madrid de Zinedine Zidane a réalisé une excellente opération en allant s’imposer mercredi sur la pelouse du Bayern Munich (1-2). Cristiano Ronaldo a inscrit un doublé (47e, 77e), alors que les Munichois avaient ouvert le score par Vidal (25e) comme le rappelle Sport24. Le match retour est prévu mardi prochain à Santiago-Bernabeu.
« Après l’attaque, nous aurions aimé avoir plus de temps pour digérer tout cela. Et on ne nous a pas laissé de temps. On nous a dit, demain vous devez jouer », a-t-il dénoncé après le match perdu contre Monaco 2-3 mercredi soir. « Nous nous sommes sentis ignorés. On ne nous a pas demandé notre avis, ils ont décidé ça à l’UEFA à Suisse. Quelques minutes après l’attaque, on nous a dit qu’on devrait jouer, comme si on nous avait envoyé une canette de bière contre le bus », a-t-il poursuivi comme le relaye Sport24.
« Il s’agit aussi de notre rêve de jouer une demi-finale de Ligue des champions, nous aurions voulu jouer à notre meilleur niveau, être compétitifs », a déploré l’entraîneur.
Si la décision du report du match des demi-finales de la Coupe d’Algérie face à l’USMBA a arrangé les affaires du Chabab qui avait refusé de recevoir son adversaire du jour au stade du 5-Juillet, force est de reconnaitre que cette nouvelle inquiète le staff technique de l’équipe. Et pour cause, le flou qui plane sur la programmation des prochaines rencontres du Chabab n’arrange guère les affaires de Zaki. Ce dernier aurait confié à ses proches qu’il ne sait plus quel programme de travail tracé pour ses joueurs, puisqu’il n’est pas fixé sur les dates des prochaines rencontres qui attendent le CRB que se soit en coupe d’Algérie ou bien en championnat.
Il ne sait plus quoi faire
Si la FAF n’a pas encore annoncé la date des rencontres des demi-finales de la Coupe d’Algérie, le premier responsable de la barre technique du Chabab de Belouizdad espère être fixé dans les plus brefs délais sur les dates des matchs qui attendent sa team en cette fin de saison. Zaki ne sait plus quoi faire tellement la programmation a connu de nombreux changements ces derniers temps. Il faut dire que c’est vraiment difficile pour un entraîneur de faire un programme de travail s’il ne sait pas les dates des prochaines rencontres de son équipe. C’est ainsi que l’ancien gardien de but du Maroc espère que la LFP fixe dans les plus brefs délais les dates des prochaines rencontres de sa team.
Il a annulé la séance d’entraînement d’hier
Dans un premier temps, il était prévu que les joueurs du Chabab effectuent hier deux séances d’entraînement. Mais après la décision du report des rencontres des demi-finales de la Coupe d’Algérie pour une date ultérieure, le premier responsable de la barre technique du Chabab, Zaki n’a finalement programmé qu’une seule séance d’entraînement à ses joueurs. Cette séance a eu lieu hier matin au stade du 20-Août.
La 25e journée avancée pour le 6 mai prochain
Comme annoncé dans ces mêmes colonnes dans nos précédentes éditions, la LFP avait décidé d’avancer les rencontres de la 25e journée de la Ligue 1 Mobilis en raison du report des rencontres des demi-finales de la Coupe d’Algérie. Cette information a été confirmée après que la LFP ait dévoilé la nouvelle programmation des prochaines rencontres du championnat. Ainsi, le prochain match du Chabab face à l’Olympique Médéa comptant pour la 25e journée du championnat a été avancé pour le 6 mai prochain.
Le match de coupe se jouera le 8 ou le 13 mai prochain
Selon les informations en notre possession, les deux rencontres des demi-finales de la Coupe d’Algérie auront lieu soit le 8 ou le 13 mai prochain, soit juste après le déroulement de la 25e journée du championnat de Ligue 1 Mobilis. Selon nos indiscrétions, la FAF veut programmer les rencontres des demi-finales de la Coupe d’Algérie ainsi que la rencontre de la finale en un laps de temps très court.
Le Chabab pourrait rester deux mois sans compétition
Une chose est certaine, le Chabab de Belouizdad ne jouera pas de matchs lors des prochaines semaines consacrées au déroulement des matchs en retard du championnat et cela après que le match entre le MCO et le CMA a été avancé pour le 21 de ce mois. Le Chabab va donc rester pendant plus d’un mois sans compétition. Un vrai coup dur pour la formation belouizdadie qui espère terminer la saison en force.
Il va étudier avec la direction l’idée de programmer un stage
Selon les informations en notre possession, le premier responsable de la barre technique du Chabab de Belouizdad, Badou Zaki compte attendre de connaitre la nouvelle programmation des rencontres de son équipe avant de se réunir avec ses dirigeants et d’étudier l’idée de programmer un stage de préparation. Le Chabab avait pourtant entamé la préparation avec un moral au beau fixe pour son prochain match de coupe face à l’USMBA, avant que ce match ne soit annulé.
Le stage pourrait avoir lieu à l’étranger
Si le Chabab décide d’effectuer un stage de préparation, il est fort possible qu’il se déroule à l’étranger. Il faut dire que l’entraîneur du CRB étudie la possibilité de programmer un stage de préparation durant cette période de trêve qu’observe le championnat. Reste à savoir si la direction va accepter la demande de son coach. Dans le cas contraire, il n’est pas à écarter que le Chabab se contente de se préparer ici au pays et de disputer quelques rencontres amicales pour se préparer comme il se doit pour la suite de la compétition.
Récupérer Naâmani, la seule satisfaction de cette programmation
Il faut dire que la seule satisfaction de cette programmation est le fait de récupérer Naâmani lors du match de la Coupe d’Algérie face à l’USM Bel-Abbès. Désormais, le joueur va purger sa suspension lors du prochain match face à l’Olympique de Médéa et être présent lors de cette rencontre face à l’USM Bel-Abbès.
Zaki : «Je ne peux pas tracer le programme d’entraînement dans une telle situation»
Le premier responsable de la barre technique du Chabab Belouizdad, Badou Zaki nous a confié qui lui est impossible de tracer le programme de préparation de son groupe et cela en raison des changements que connait la programmation des prochaines rencontres de sa team en championnat : «Croyez-moi, à l’heure où je vous parle, je ne sais pas comment faire pour tracer le programme de préparation de mon équipe et cela en raison des nombreux changements que connait la programmation de la compétition. J’ai modifié à deux reprises mon programme de préparation. Maintenant, je ne sais pas quand aura lieu le match de coupe face à l’USMBA. J’ai d’ailleurs décidé d’annuler la seconde séance d’entraînement prévue en fin d’après-midi.»
«Le report du match de coupe nous oblige à penser à l’O Médéa»
Devant une telle situation et après le report des matchs de demi-finale de la Coupe d’Algérie, l’entraîneur du Chabab nous a confié qu’il va songer désormais au match de championnat face à l’Olympique de Médéa : «J’ai entendu dire que la date de la 25e journée de la Ligue 1 Mobilis va être avancée. Oui, mais je veux une date précise. J’espère que la nouvelle programmation va être dévoilée le plus rapidement possible.» Pour rappel, les propos de Zaki ont été recueillis hier matin, soit avant l’annonce de la nouvelle programmation.
«Un stage conditionné par la programmation»
Pour ce qui est de la programmation d’un stage de préparation en cette période précise de la saison, le coach du Chabab de Belouizdad, Badou Zaki dira : «Je ne peux rien dire à ce sujet, car tout est conditionné par la nouvelle programmation. Pour ne rien vous cacher, j’avais voulu programmer un stage avant le match de coupe face à l’USMBA. Mais pour l’heure, je préfère attendre de connaitre les dates de nos prochaines rencontres avant de décider quoi que se soit.»
«Récupérer Naâmani est notre unique satisfaction»
Le coach marocain du CR Belouizdad nous a confié que sa satisfaction dans ce report du match de coupe face à l’USM Bel-Abbès, réside dans le fait de récupérer Naâmani : «Bien sûr que récupérer Naâmani pour le match de coupe face à l’USMBA constitue une satisfaction pour nous, en raison de son importance dans le jeu du Chabab.»
Apparemment, les problèmes au sein du MOB cette saison ne veulent pas connaitre de fin. Des joueurs n’ont pas pu retenir leur colère hier en sachant que certains joueurs ont reçus un cadeau de la part du Comité olympique algérien, à savoir un téléviseur LED, d’une marque mondiale suite à leur participation honorable lors de la dernière édition de la Coupe de la CAF, alors qu’eux, n’ont pas eu ce privilège malgré que le Comité olympique ait décidé d’offrir le même cadeau à tous les joueurs. Ces derniers n’ont pas pu savoir où sont passés les autres téléviseurs. Cette situation a provoqué un climat hostile hier dans les vestiaires du MOB et l’entraînement a failli même être interrompu si ce n’était l’intervention du staff technique.
Qui a pris les autres téléviseurs ?
Hier matin, un camion est arrivé d’Alger transportant dix téléviseurs seulement. Une fois sur place, le transporteur a expliqué aux joueurs que 13 autres téléviseurs ont été déjà perçus par leur propriétaires sans autant donner les noms des bénéficiaires. En effet, le Comité olympique a décidé d’offrir des téléviseurs pour une liste de 23 joueurs seulement sans inclure ni les membres du staff ni les dirigeants. Toutefois, on vient d’apprendre que c’est à cause justement de certains dirigeants qui ont pris des téléviseurs que la majorité des joueurs n’ont pas pu tous en avoir un.
Boulemdaïs ne s’est pas entraîné hier
Ayant repris le travail avec le groupe depuis lundi dernier, l’attaquant béjaoui, Hamza Boulemdaïs, n’a pas pris part à la séance d’hier matin. Renseignements pris, l’ancien attaquant du CSC, s’est rendu à Alger pour son rendez-vous de visa à Ben Aknoun. Le joueur aurait demandé l’autorisation de son entraîneur de se rendre sur place. Il est attendu aujourd’hui pour reprendre le travail et poursuivre la préparation pour le reste du parcours.
Les réservistes veulent saisir leur chance demain
Comme annoncé par nos soins, le MOB jouera un match amical demain face à la réserve. Entre-temps, le driver mobiste, Boussâada, s’attellera à faire travailler ses joueurs. En fait, il compte maintenir la même cadence à son équipe, afin de lui permettre d’effectuer un retour en force lors de la reprise pour le match prochain. Il faut rappeler que les Béjaouis comptent bien profiter de cet arrêt. C’est ainsi que le coach béjaoui va devoir en premier lieu dresser un premier bilan pour situer les qualités et les points faibles des Vert et Noir. Le staff technique se doit donc de tirer profit de cette période afin de voir à l’œuvre certains jeunes, des espoirs, qui pourront être promus d’une manière officielle en équipe première pour préparer la saison prochaine.
Yaya et Cheklam soumis à des soins intensifs
Afin de les remettre sur pieds en vue du match prochain, le staff médical a pris en charge le cas des deux joueurs Yaya et Cheklam qui effectuent chaque jour deux séances de soins intensifs. Les résultats de l’échographie qu’ils ont effectuée n’ont rien détecté de grave pour les joueurs qui se sont montrés soulagés, dans la mesure où ils ne souhaitent pas rater le prochain match face au MCA. Afin d’éviter toute complications, les deux joueurs en question vont se contenter des soins en attendant le feu vert du médecin pour réintégrer le groupe et poursuivre la préparation avec leurs camarades.
Le staff médical a du pain sur la planche
Depuis l’entame de la saison, le MOB est confrontée à un gros problème, celui des nombreuses blessures qui ont pénalisé l’équipe. Plusieurs joueurs souffrent de diverses blessures. Un énorme travail attend donc le staff médical qui est engagé dans une course contre la montre, avant la reprise du championnat. Heureusement que c’est la trêve. En effet, 18 jours de plus leur permettront de récupérer leurs forces. Le staff médical, qui travaille sans cesse, devra continuer sur cette lancée pour préparer les joueurs, surtout que Boussâada veut récupérer ses blessés en prévision du match retard face au MCA.
Habituellement discret dans les médias, l’entraîneur principal du Tout Puissant Mazembe, David Mwakasu, a accepté de parler de ce match retour qui attend sa formation ce dimanche face à la Jeunesse sportive de Kabylie et d’évoquer ses chances de qualification. Mwakasu, en coach averti, sait que la mission de son équipe ne sera pas aisée à Tizi-Ouzou malgré une victoire assez sécurisante acquise à l’aller, à Lubumbashi. Entretien.
Après une belle victoire acquise à l’aller sur le score de 2 buts à 0 vous allez affronter la JSK en match retour ce dimanche à Tizi-Ouzou. Êtes-vous serein ?
Oui, on est tout à fait sereins, mais par contre on reste concentrés et bien déterminés car chaque étape est importante pour nous. Nous devons rester mobilisés jusqu’au bout.
Quelles sont les chances de la JSK pour cette rencontre, selon vous ?
D’abord, la JSK est une grande équipe africaine, il ne faut surtout pas l’oublier. C’est une équipe qui a donné par le passé pas mal de joueurs à l’équipe d’Algérie. Ça reste toujours une grande équipe. Nous l’avons aussi rencontrée à plusieurs reprises depuis l’an 2000. Sa force, c’est ses joueurs. Ils sont toujours coriaces et savent poser le ballon.
Vous vous méfiez donc de l’adversaire ?
Bien sûr qu’on se méfie de cette équipe de la JSK. Ce n’est pas un adversaire quelconque. Malgré sa défaite à l’aller, il tentera de nous déstabiliser afin de décrocher sa qualification. Ils ont aussi un très très bon gardien.
Ne craignez-vous pas la pression qu’il y a au stade de Tizi-Ouzou ?
On connaît le stade de Tizi-Ouzou. On sait que ça sera chaud là-bas, mais on restera sereins dans tous les cas de figure. On va aller jouer pour valider notre qualification. C’est vrai qu’on a réussi à marquer deux buts à domicile, mais ça ne sera pas facile à Tizi-Ouzou. On doit se battre et on compte se donner à fond pour arracher la qualification, qui reste notre objectif premier.
Ce match retour se jouera sur quels détails, d’après vous ?
Ça va se jouer sur plusieurs détails, je dirais. D’abord, sur le plan psychologique. Je connais les fanatiques (supporters) de la JSK. Ce sont des provocateurs, donc il faudra garder notre sang-froid. L’une des consignes que je vais donner à mes joueurs, c’est justement de rester sereins, calmes et de ne jamais céder à la provocation, ni à la panique, ni de s’énerver. Sur le terrain, on devra poser le jeu, jouer sur nos qualités et faire la différence. Nous savons que nous allons jouer à l’extérieur, nous devons donc rester concentrés et ne négliger aucun aspect de cette partie.
Parlons de vos attaquants. Ils ont beaucoup douté lors des précédents matchs, mais là, on voit qu’ils reviennent fort…
On doit continuer à travailler pour pouvoir marquer plus facilement. C’est vrai que le doute s’est installé chez nos attaquants à un moment donné, mais là, ça va mieux. Ça commence à aller mieux et on sent que les attaquants se sont libérés.
Est-ce que le TP Mazembe a pour objectif de gagner le trophée ?
Oui, c’est sûr. On a été éliminés de la Ligue des champions, et maintenant, nous sommes reversés dans cette Coupe de la confédération. Nous sommes détenteurs de cette Coupe de la CAF, nous devons défendre notre titre, c’est ce que j’ai dit à mes joueurs, cette coupe doit rester chez nous. Nous devons absolument arriver en finale. On doit d’abord se qualifier pour aller aux poules.
Un mot pour le peuple algérien…
C’est un peuple sportif, je le connais. Ça fait plusieurs fois qu’on joue face à des clubs algériens, mais face aux clubs kabyles, je crois que ça sera la sixième fois. Je sais qu’ils sont agressifs et qu’ils feront tout pour nous battre. Nous, on les a bien reçus chez nous. Le public et nos dirigeants les ont bien accueillis et j’espère qu’on assistera à une fête africaine, ce dimanche. Le fair-play doit régner.
C’est incontestablement l’une des priorités du club lyonnais, cet été. L’Algérien Rachid Ghezzal reste sur sa position et refuse de prolonger son contrat tant que ses exigences financières n’ont pas été honorées par ses dirigeants. La dernière sortie du joueur formé à l’OL semble avoir donné des idées à son président qui ne cache pas son souhait de voir un enfant du club durer encore au Parc OL, mais affirme tout de même que les négociations n’augurent rien de bon avec le clan Ghezzal, inflexible sur certains points importants du nouveau contrat. La direction olympienne reconnaît par ailleurs que le dossier de l’international algérien est très compliqué à résoudre, surtout que des équipes de Premier League et de Liga, assez nanties financièrement, sont sur le coup à l’image du Milan AC, l’Atlético Madrid et même le FC Séville.
Génésio compte sur lui face à Besiktas
Ce soir, l’Olympique Lyonnais devra absolument sortir le grand jeu pour tenter de prendre une option dans ce quart de finale aller de la Ligue Europa lorsqu’il accueillera la formation de Besiktas, un peu en perdition cette saison en championnat. Lyon, qui veut jouer le coup à fond dans cette compétition, compte réaliser une avance sécurisante avec le match retour qui aura lieu en Turquie, la semaine prochaine. Rachid Ghezzal, qui a pris part à plusieurs matchs en Europa League, pourrait bien commencer la partie d’entrée. Son entraîneur, Bruno Génésio, compte beaucoup sur lui après la déception en championnat contre Lorient, samedi dernier.
Un autre coup dur pour les Canaris ! Alors que l’équipe s’est déplacée avec 16 joueurs seulement au Congo, le staff technique risque de ne pas récupérer tout le monde d’ici à dimanche. Alors que pas moins de cinq joueurs n’ont toujours pas été autorisés à réintégrer le groupe, le milieu de terrain Samir Aïboud, qui n’a pas effectué le déplacement avec l’équipe au Congo, suite à la blessure contractée face au MCA en Coupe d’Algérie, est officiellement out pour le match retour face au Tout Puissant Mazembe. Après avoir passé une échographie, les résultats paraissaient pourtant rassurants. Mais hier, à l’occasion de la reprise et après avoir été pris en charge par le staff médical, il s’est avéré qu’il n’est pas encore prêt et qu’il est impossible pour le staff technique de compter sur lui. Un véritable coup dur pour le numéro 10 Kabyle qui aurait aimé être présent et contribuer à une qualification historique de la JSK.
Il passera des examens de contrôle ce week-end
A en croire une source généralement bien informée, le milieu de terrain Samir Aïboud, qui ne jouera pas ce dimanche, a été obligé par le staff médical d’effectuer d’autres examens de contrôle. Le médecin et le kiné de la JSK comptent faire de leur mieux, pour le remettre sur pied d’ici au match face au CAB.
Vous étiez suspendu pour la demi-finale de Coupe d’Algérie et le report de cette compétition arrange vos affaires, puisque vous allez pouvoir purger votre suspension à l’occasion du prochain match de championnat face au MCO…
Même si je pensais beaucoup plus à notre match retour de Coupe d’Afrique, je ne vous cache pas que j’étais très déçu à l’idée de rater la demi-finale de Coupe d’Algérie face à l’ESS, car il n’y aucun joueur qui souhaite manquer un rendez-vous pareil. Malgré le fait que je veux toujours aider mon équipe, je préfère rater un match de championnat que la demi-finale face à l’ESS. Ce report m’arrange et je suis soulagé de pouvoir jouer ce match de Coupe d’Algérie qui est important pour nous car on veut défendre notre titre.
Si on parlait de cette demi- finale, est-ce que cette histoire de domiciliation ne risque pas de vous perturber ?
Même si la rencontre était maintenue à sa date initiale, notre concentration est axée sur le match retour de Coupe d’Afrique qui sera difficile. Maintenant que ce match est reporté, je pense qu’il est aussi prématuré de débattre du sujet puisque nous aurons des rencontres de championnat à négocier.
Vous croyez toujours au titre ?
Tout reste possible et on tâchera de récolter le maximum de points, car si on parvient à négocier le reste du parcours, nous allons au moins terminer la saison à la seconde place qui va nous assurer une participation en Ligue des champions la saison prochaine. Mais pour l’instant, il faut penser à notre match du samedi.
Justement, comment se présente pour vous cette rencontre face à une équipe qui reste tout de même à votre portée ?
Détrompez-vous, on aura affaire à une bonne équipe qui manie bien la balle. Je pense toutefois que sur notre terrain et en présence de notre public qui sera à nos côtés pour nous encourager, on va faire la différence.
Le fait d’avoir perdu par la plus petite des marges vous offre plus de chances d’arracher votre billet de qualification…
Certes, nous avons la chance de jouer le match retour sur nos bases et je suis persuadé que la qualification ne pourra nous échapper, mais pour atteindre cet objectif, il faut rester très vigilants car le FC Young Africans a une bonne ligne d’attaque, contrairement à sa défense qui reste prenable et on tâchera d’exploiter cette fébrilité.
Quel est le scénario idéal pour vous ?
Il est vrai qu’on va se libérer si on marque d’entrée, mais il faut éviter de courir derrière le score, car cela risque de nous déstabiliser. Nous allons essayer de garder notre sang-froid, car la partie ne sera pas facile, même si la qualification reste dans nos cordes…
Dans ce genre de rendez-vous, l’expérience a souvent fait la différence…
Nous avons un groupe assez expérimenté et la plupart des joueurs sont habitués aux compétitions africaines, ce qui va nous aider à atteindre la phase de poules.
Les supporters seront au rendez-vous et exigent la qualification…
On tâchera de fournir une grande prestation et gagner ce match pour offrir la qualification à nos supporters. Je souhaite qu’ils nous encouragent jusqu’à la dernière minute car on a besoin d’eux.
Finalement, la tendinite dont souffre Nekkache risque de le priver de prendre part au match retour de Coupe de la CAF face au FC Young Africans, ce samedi, au stade du 5-Juillet. Le joueur, qui était contraint d’écourter mardi sa séance d’entraînement, s’est présenté hier à Aïn Benian en tenue de ville et a discuté avec les membres du staff médical, avant de se rendre dans une clinique privée pour passer une échographie. En effet, les Mouloudéens ne voulaient prendre aucun risque avec lui, car il est préférable que le joueur fasse l’impasse sur cette confrontation que de le perdre pour une longue durée, au moment où son équipe sera appelée à disputer d’autres rencontres qui sont de la même importance que ce match retour de Coupe de la CAF. Ainsi, Nekkache est incertain pour ce samedi et maintient le suspense, car même s’il est animé d’une grande volonté pour jouer, sa participation sera tributaire de l’évolution de son état de santé et de l’aval du staff médicale
Le diagnostic médical sera établi aujourd’hui
Après avoir passé, hier, une échographie, le staff médical attend le diagnostic qui sera établi pour être fixé sur la participation du joueur à la rencontre. Il avait déjà ressenti par le passé des douleurs au même genou, c’est la raison pour laquelle le staff médical s’attellera à ce que Nekkache soit bien soigné pour se débarrasser de cette blessure. Maintenant si les résultats de l’échographie sont rassurants, le joueur pourra être de la partie ou dans la liste des dix-huit.
La titularisation de Seguer se précise
Comme cela a été le cas au match aller de Coupe de la CAF, Nekkache, qui avait déclaré forfait car grippé, a été remplacé par son coéquipier Seguer qui n’avait pas manqué cette occasion et avait inscrit au Ghana un but qui a valu son pesant d’or pour le match retour. Sachant que l’enfant de Relizane a effectué son retour à la compétition la semaine passée à Dar es Salam, il faut s’attendre à ce qu’il soit le joueur le plus indiqué pour le remplacer. Ainsi Seguer évoluera sans aucun doute au côté de Bouguéche et Zerdab si l’absence de Nekkache se confirme.
Cherif El Ouazzani intègre le groupe et rassure Mouassa
Contrairement à Nekkache qui pourra déclarer forfait, le milieu de terrain, Cherif El Ouazzani sera officiellement de la partie ce samedi et soulage ainsi son coach. Après s’être contenté de quelques tours de piste mardi matin, le jeune milieu de terrain du MCA a intégré le groupe hier et n’a ressenti aucune douleur à la cuisse, lui qui s’est entraîné de manière ordinaire avec ses coéquipiers. Le joueur sera donc associé à Kacem au niveau de la récupération. Avec le rétablissement de Cherif El Ouazzani, il est évident que Karaoui sera maintenu sur le flanc gauche de la défense. Toutefois, Mouassa n’a toujours pas tranché sur les onze joueurs qui seront alignés ce samedi, lorsque l’on sait qu’il a annoncé des changements par rapport au match aller livré à Dar es Salam
Le latéral droit kabyle Mohamed Guemroud adéclaré dans l’entretien qu’il a aimablement accepté de nous accorder que la JSK n’est pas encore éliminée de la Coupe de la CAF et qu’il reste une manche retour à jouer dimanche prochain à Tizi. Il a souligné que le retard de deux buts n’est pas insurmontable, pour peu qu’ils réussissent leur entame du match. Sur le plan personnel, Guemroud a rassuré qu’il peut jouer là où l’équipe a besoin de ses services, l’essentiel est d’arracher la qualification à la phase de poules. Entretien !
Tout d’abord, est-ce que vous avez récupéré du dernier voyage au Congo ?
Personnellement, j’ai profité de ces deux jours de repos accordés par les dirigeants pour récupérer de la fatigue du déplacement en Afrique. Heureusement que nous avons fait le déplacement à bord d’un avion spécial, ça nous a évité de nous fatiguer encore plus. On a donc récupéré nos forces, maintenant place à la préparation du match retour.
Avant d’évoquer le match retour, quelle est votre analyse du match aller ?
Sincèrement, on aurait pu éviter de perdre par le score de deux buts à zéro. Certes l’adversaire est nettement supérieur par rapport aux deux premiers, néanmoins nous avions la possibilité de revenir avec un meilleur résultat. C’est vraiment dommage surtout le second but encaissé en fin de match, il nous a scié les jambes.
Avec un retard de deux buts, pensez-vous que la qualification à la phase des poules est encore jouable ?
Oui, la JSK n’est pas encore éliminée de la Coupe de la CAF. Il reste encore une manche retour à jouer ce dimanche prochain à Tizi. Nous préservons toutes nos chances de passer à la phase des poules. Il nous reste 90 minutes à jouer dans notre stade et devant nos supporters, il faut tout donner pour arracher la qualification.
Comment se présente ce match, selon vous ?
Ça sera certainement un match très serré. On aura en face de nous une équipe qui a pris une option pour la qualification après sa victoire au match aller par deux buts d’écart. Les Congolais viendront pour préserver ce score et nous priver d’aller en poules. De notre côté, on tâchera de bien démarrer le match, l’idéal serait de marquer deux buts en première mi-temps, ça nous motivera et nous donnera des forces pour composter notre qualification à la prochaine étape.
Après une première manche à Lubumbashi, vous avez maintenant une idée sur la qualité de l’adversaire. Quelles sont vos chances pour vous qualifier à la phase des poules ?
Je vous ai dit que dès lors qu’il nous reste encore une seconde manche à jouer à domicile, nous avons encore toutes nos chances pour passer ce cap. Quant à l’adversaire, je pense qu’il n’est pas à présenter. Il s’agit d’une équipe du TP Mazembe qui est le tenant du titre et habituée à jouer chaque année une compétition africaine. C’est une bonne équipe qui possède des attaquants rapides et opportunistes, il faut les surveiller de très près ce dimanche à Tizi.
Il vous faut trois buts et ne pas encaisser pour vous qualifier à la phase des poules. Pensez-vous être en mesure de refaire le coup du Monrovia ?
Même si les deux équipes ne sont pas du même calibre, je pense qu’on peut réaliser cet objectif. Il faut bien nous concentrer et jouer sans pression pour arriver à ce but. Avec l’appui de nos supporters qui seront en force dimanche prochain, je suis persuadé qu’on pourra arracher notre qualification. Je suis optimiste et tous les autres joueurs le sont aussi.
Des changements sont attendus dans l’équipe dimanche prochain. Vous êtes pressenti sur le flanc gauche, êtes-vous prêt ?
Je suis prêt à jouer dans n’importe quel poste que le staff technique me confiera. Je suis au service de la JSK et je dois me donner à fond pour gagner ce match. Personnellement je me sens prêt physiquement et je dois prouver et honorer à la fois la confiance placée en moi par les entraîneurs en place. Je n’ai aucun inconvénient donc à jouer à gauche ou dans un autre poste où le besoin se fera sentir.
Une très forte affluence est annoncée pour dimanche prochain au stade. Quel est votre message à vos supporters ?
Sans le soutien de nos supporters, notre mission sera difficile. Honnêtement, je pense que seule une grande mobilisation de notre public nous fera avancer en Coupe de la CAF et surtout en championnat. La dernière victoire face au NAHD va certainement faire revenir notre public et nous ferons de notre mieux pour les satisfaire. On leur demande de venir nombreux dimanche prochain pour nous donner un coup de main.
Hier matin, au cours de la seconde séance d’entraînement de la semaine, Kamel Mouassa, tout en motivant ses joueurs, n’a pas manqué à mettre en garde ses joueurs contre l’équipe adverse. Fort de son expérience, le coach du vieux club algérois, malgré le fait que le FC Young Africans demeure à la portée de son équipe, redoute un relâchement de la part de ses poulains, notamment derrière, ce qui risque de profiter à Donald Ngoma et ses coéquipiers : «Il faut rester vigilants durant toute la partie et éviter de commettre des erreurs derrière, car votre adversaire a une bonne ligne d’attaque capable de vous surprendre. Un match se joue durant 90 minutes et vous devez éviter toute forme de précipitation, car cela pourrait nous priver de remonter au score, et nous poussera à commettre des erreurs derrière.» Les joueurs ont été attentifs au discours de leur coach.
Grande mobilisation au Mouloudia !
A travers l’ambiance qui règne actuellement au MCA, on sent qu’il y a une grande mobilisation chez le groupe et la direction du club, car ce rendez-vous est très important, pour la simple raison qu’une victoire de deux buts d’écart permettra aux coéquipiers de Hachoud de se qualifier à la phase de poules. Les joueurs affichent une grande détermination, car ils savent pertinemment qu’ils n’ont pas le droit à l’erreur, eux qui doivent jouer tout simplement l’une des rencontres les plus importantes de la saison.
La pression est montée d’un cran
Bien qu’ils partent avec les faveurs des pronostics, il n’en demeure pas moins que la pression monte d’un cran à l’approche de la rencontre, malgré le fait qu’il règne une bonne ambiance parmi le groupe. En effet, les coéquipiers de Hachoud ne veulent pas passer à côté, eux qui ne peuvent imaginer une élimination sur leur terrain. Ils savent pertinemment qu’une qualification leur permettra de réaliser l’un des objectifs de la saison, mais aussi de se mettre en confiance pour le reste du parcours en se réconciliant avec leur galerie.
Travail psychologique au menu
Conscient de l’enjeu de la rencontre, Kamel Mouassa axera aussi son travail sur le plan psychologique et essayera de faire comprendre aux joueurs de chercher le résultat sans pour autant dénaturer leur manière de jouer. Ainsi, il cherche à gérer cette pression qui pèse sur leurs épaules, persuadé que s’ils parviennent à s’exprimer sur leur véritable valeur, ils décrocheront haut la main leur billet de qualification à la phase de poules.
En prévision du match retour de la coupe de la CAF, c’est hier que la délégation de Young Africans a quitté le sol tanzanien pour se déplacer en Algérie. Son arrivée à l’aéroport Houari Boumediène est prévue ce vendredi, du fait qu’elle observera une longue escale à Casablanca. A travers leurs déclarations à la presse, et en dépit d’une maigre avance, les responsables de cette équipe misent sur une qualification à la phase de poules, étant même persuadé qu’ils ont un bon coup à jouer.
La délégation sera composée de 29 membres
A travers la presse locale on laisse croire que 20 joueurs effectueront le déplacement à Alger, ainsi que sept membres qui composent le staff technique. Le secrétaire du club, Mkwasa, présidera la délégation accompagné du représentant de la Fédération tanzanienne de football. Rappelons qu’aucune information n’a été communiquée au sujet des joueurs qui effectueront le déplacement à Alger, même si on laisse entendre que seul le Zambien, Justin Zulu, manquera à l’appel du fait qu’il ne s’est pas rétabli de sa blessure.
Le Mouloudia lui réserve un accueil chaleureux
Malgré le fait que lors du voyage du Mouloudia à Dar Essalem, le club de Young Africans n’a dépêché à l’aéroport aucun dirigeant pour accueillir l’équipe, au point où même le bus a été loué par le MCA, les responsables du vieux club algérois vont réserver aux Tanzaniens un accueil chaleureux, puisque le directeur administratif, Kamel Abdelouahab, le secrétaire, Attalah, et Mehdi Aizel seront présents à l’aéroport. La direction du club mettra aussi à la disposition des Tanzaniens un bus et une voiture, ce qui illustre l’hospitalité des Mouloudéens qui ne veulent agir par réciprocité pour donner une belle image du football algérien et de leur équipe.
Mkwasa ( S.G Young Africans) : «On se qualifiera pour faire honneur à la Tanzanie»
Avant de quitter le territoire tanzanien, le secrétaire général de l’équipe congolaise, Mkwasa, s’est adressé à la presse locale : « Nous avons accompli toutes les démarches afin que l’équipe puisse effectuer son voyage à Alger et on souhaite arracher la qualification pour faire honneur au football tanzanien. On attend une bonne réaction des joueurs notamment avec le changement du staff technique qui va porter ses fruits ».
Ghrib : «Les Tanzaniens seront bien accueillis»
Abordé au sujet de l’arrivée de l’équipe tanzanienne, à ce sujet, Ghrib nous dira : « Je ne veux pas rentrer dans les détails de l’accueil du match aller, car j’ai veillé à ce que l’équipe soit dans les meilleures conditions et on a tout réglé avant même le départ de l’équipe, prenant ainsi toutes nos précautions. Pour ce qui est du match retour, les Tanzaniens seront bien accueillis et ils ne manqueront de rien ».
«On veille à donner une bonne image de l’Algérie»
Toujours dans le même sens, Ghrib dira : « Sachez que toutes les équipes auxquelles ont a été confrontés ont été chaleureusement accueillies, on veille à donner une bonne image de l’Algérie qui est un pays connu pour son hospitalité ».
Quatre jours depuis le coup d’envoi officiel de la bataille électorale pour les élections législatives. Une campagne où l’ensemble des protagonistes, partis et candidats indépendants, une vingtaine de jours durant, tenteront de convaincre les électeurs de leur «bonnes intentions» et de faire plébisciter leur «projet politique». Des candidats sont à pied d’œuvres. Les chefs de partis sillonnent depuis dimanche dernier l’Algérie profonde pour exposer leur programme pour mieux le vendre. Pour ce faire, les candidats ne lésinent pas sur les moyens, technologiques notamment à l’ère de la révolution numérique. Ainsi, des photos et vidéos de meetings animés, parfois même en direct sur Facebook, le plus populaire des réseaux sociaux, des articles de presse et interventions télévisées et radiophoniques sont systématiquement relayés sur la toile. Des candidats expérimentés, disposant de moyens, ont des pages «sponsorisés» sur le web. Des pages qui atteignent des milliers d’internautes en quelques dizaines de secondes ou minutes, gérées par des administrateurs, militants bénévoles pour certains et fonctionnaires rémunérés pour d’autres. Parmi les pages phares, qui ne datent d’ailleurs pas de cette campagne, l’on remarque celles des partis islamistes qui engrangent depuis des années déjà des milliers de fans et d’abonnés. Mises à jours régulièrement, d’un flux sans rupture, ces pages, il faut le dire, ont permis plus de présence et de visibilité pour ces candidats en ces temps de chasse aux voix.
Après les islamistes, viennent les partis d’opposition, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) et le Front des forces socialistes (FFS). Ce dernier dispose d’un site très actif soutenu par son journal électronique Libre Algérie et des dizaines de pages relatant les activités du parti à travers le territoire national.
S’agissant des partis de la majorité ou ceux qui gravitent autour du pouvoir, contrairement au Rassemblement national démocratique (RND) doté d’un site électronique très actif, le Front de libération nationale (FLN) n’apparaît que timidement sur la Toile.
Mais tous ces moyens humains, matériels et surtout technologiques déployés en grande pompe servent à transmettre quoi en fin de compte lorsque l’on sait que la quasi-totalité des formations politiques et candidats sont dépourvus de programmes et de stratégies de communication pour certains ?
A Alger, pourtant capitale, la majorité des listes sont encore absentes des panneaux d’affichage. De Kouba à Bab El Oued, des hauteurs de Ben Aknoun à la place 1er-Mai en passant par le centre d’Alger, seulement trois ou quatre listes sont affichées quand ce n’est pas la même qui est affichée plusieurs fois et anarchiquement.
En attendant de voir de visu sa liste algéroise, le vieux parti d’opposition n’a collé qu’un poster de l’illustre révolutionnaire Hocine Aït Ahmed, comme pour tenter une mobilisation populaire en son nom. Le RCD, quant à lui, parle d’«Un nouveau départ pour l’Algérie», alors qu’il n’est représenté que dans dix circonscriptions dans un pays qui fait quatre fois la France. Du côté islamiste, le discours est intact, adapté aux exigences d’un retour au gouvernement qui relève désormais d’un secret de polichinelle. A contrario, le FLN de Djamel Ould Abbes, le RND du chef cabinet de la Présidence Ahmed Ouyahia et le MPA d’Amara Benyounès restent dans leur rôle. Ils appellent à une «participation massive» comme seul gage de «stabilité du pays».
Mahfoud Kerbadj a annoncé ce mercredi 12 avril 2017 son départ du poste de Président de la Ligue de football professionnel (LFP). Sa démission sera officialisée lors d’une assemblée générale extraordinaire programmée pour le 7 mai prochain, selon plusieurs médias.
Le vice-président de la LFP, Fawzi Guellil, sera chargé de diriger la Ligue jusqu’à la nomination d’un nouveau président.