Un incendie s’est déclaré cette après-midi dans une tour à Ben Aknoun (banlieue ouest d’Alger).
Après l’entente pour une éventuelle extension de l’accord de réduction de la production du pétrole, pour le second semestre de cette année, les membres de l’OPEP pensent déjà à une possibilité d’une seconde extension au-delà de 2017.
C’est le ministre saoudien de l’Energie, Khalid Al-Falih qui l’a déclaré en faisant savoir que le marché pétrolier s’équilibrait après des années d’offre excédentaire et il s’attend à une extension de l’accord d’encadrement de la production de l’Opep au second semestre 2017 et peut-être au-delà. « Au vu des consultations que j’ai eues avec les signataires de l’accord, je pense qu’il sera étendu à la seconde moitié de l’année et peut-être au-delà », a dit Al-Falih lors une manifestation à Kuala Lumpur.
En effet, l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, la Russie et 10 autres États non membres se sont engagés à réduire la production pétrolière de 1,8 million de barils par jour (bpj) pendant six mois à compter du 1er janvier dernier. Des efforts, qui n’ont pas permis encore de stabiliser le marché, puisque, les stocks mondiaux restent élevés, ce qui contribue à ramener les prix du baril de brut en deçà des 50 dollars et plaide pour un prolongement de l’accord jusqu’à la fin de l’année.
Le ministre saoudien, s’est toutefois, montré optimiste, en indiquant que « le pire est désormais derrière nous (…). Nous devrions aider les marchés à être de plus en plus robustes ». Al-Falih a souligné aussi que la croissance de la demande mondiale est proche de celle de l’an dernier. La croissance de la demande en Chine devrait être sensiblement la même qu’en 2016 en raison d’un secteur des transports solide, tandis que celle en Inde devrait atteindre un record, a-t-il ajouté.
Les récentes baisses des prix s’expliquent par la faiblesse de la demande et la maintenance des raffineries et par la croissance de la production des pays non-Opep, particulièrement les Etats-Unis. La production américaine a progressé de plus de 10% depuis la mi-2016, à 9,3 millions de bpj, se rapprochant de celle de l’Arabie saoudite et de la Russie.
Au cours des 25 prochaines années, la demande devrait essentiellement provenir d’Asie, le Vietnam et les Philippines devant intégrer dans cette période le Top 20 des plus grandes économies de la planète.
La compagnie aérienne française, ASL Airlines France a décidé d’étendre son réseau en Algérie.
Elle vient d’annoncer, via un communiqué, l’ouverture de deux lignes qui desserviront Paris-Alger et Paris-Chlef. La première ligne sera opérationnelle dès le 23 juin prochain, et «sera exploitée à l’année à raison de 5 fréquences par semaine.»
L’ex-Europe Airpost devenue depuis 2015 ajoute que la seconde ligne (Paris-Chlef) sera desservie pendant tout l’été, c’est-à-dire du 4 juillet au 31 août 2017. Avec cette précision que les vols seront effectués en Boeing 737-700.
Le communiqué de la compagnie explique que l’ouverture par ASL Airlines France «de deux nouvelles lignes vers l’Algérie s’inscrit dans la stratégie de renforcement de l’activité passagers de la compagnie, qui franchit un nouveau pas dans le développement de son activité de vols réguliers, avec l’ouverture à l’année d’une ligne sur un axe majeur : Paris-Alger.»
Quant à la desserte de Chlef, elle viendrait s’intégrer, selon la compagnie dans son réseau de lignes régulières qui, « en créant de nouveaux marchés», apporte une réponse aux besoins de déplacements des femmes et des hommes entre les régions desservies pour mettre «des avions au service des Hommes.», estime le directeur général de la compagnie, Jean-François Dominiak.
La crise financière que subit le pays, a affecté directement le plan de développement de l’Entreprise de réparation maritime (ERENAV) qui a vu le montant réservé à son équipement divisé par deux.
L’État qui a consacré plus de 2 milliards de dollars en 2012 pour le développement de l’Erenav a été contraint de diviser ce montant par deux, après la crise économique que subit le pays ces dernières années. Toutefois, les autorités sont de revoir leurs copies et commencent à débloquer les fonds nécessaires pour la réalisation d’un ambitieux plan qui permet à la société de répondre à une demande du parc naval national. Selon les explications qui nous ont été fournies par le sous-directeur du commercial et marketing de cette entreprise, Mohamed Salah Tabti, la société est en phase de réaliser des études pour la lancé de ce plan.
En effet, selon notre interlocuteur le blocage de de ce montant a commencé depuis la grève de 2013, à Bejaia et qui a induit la baisse de l’activité de l’entreprise, voire même accuser un déficit à cette époque. Juste, après, le pays est confronté à des difficultés financières, ce qui a impliqué la revue à la baisse de l’enveloppe financière réservé à son développement. Mais vu que plusieurs navires sont contraints de faire appel à des chantiers étrangers pour leur maintenance, induisant ainsi des sorties de devises conséquentes, les autorités ont décidé de débloquer les montants nécessaires pour réaliser ce plan de développement et permettre à l’Enerav d’arracher sa part du marché qui ne dépasse pas actuellement les 20%.
De ce fait, la société a repris son activité et instauré une stratégie pour la réalisation de son plan de développement. Un plan qui se focalise sur l’acquisition d’un dock flottant de 8000 tonnes pour le chantier d’Alger et un autre de 2000 tonnes pour le chantier d’Oran, ajoutant à cela la modernisation de ses cales de halage. Erenav s’est penchée aussi sur la construction navale en procédant l’année dernière à la signature d’un partenariat avec le groupe portugais West Sea pour la réalisation d’un chantier naval de construction de différents types de bateaux de 25 à 180 mètres.
En effet, avec l’élargissement que connait la flotte nationale le besoin de maintenance et réparation augmentera sûrement, d’où l’importance du développement de cette entreprise afin de prendre en charge une demande ascendante venant des clients nationaux ou internationaux. Car avec tout le potentiel existant actuellement, il est de l’intérêt des responsables de ce secteur de s’occuper de cette entreprise unique en Algérie qui a non seulement la possibilité d’éviter une saignée de la devise mais de décrocher des marchés extérieurs. D’ailleurs, rien qu’avec les moyens actuels l’Erenav est arrivée à réaliser un chiffre d’affaires « de plus de 2 milliards de dinars en 2016, avec une augmentation de 8% par rapport à 2015 », souligne M. Tabti.
Devant la baisse des différents produits importés, la demande pour les produits fabriqués localement a enregistré une hausse durant le quatrième trimestre 2016.
Selon une enquête d’opinion réalisée par l’Office national des statistiques (ONS) auprès de chefs d’entreprises industrielles des secteurs public et privé, cette demande est plus prononcée pour le secteur public, notamment pour les Industries sidérurgiques, métalliques, mécaniques, électriques et électroniques (ISMMEE) et l’industrie agro-alimentaire. A ce propos, indique-t-on, près de 63% des chefs d’entreprises du secteur public et plus de 85% de ceux du secteur privé ont satisfait toutes les commandes reçues.
Par ailleurs, les chefs d’entreprises ont observé que l’activité industrielle avait enregistré une augmentation durant le dernier trimestre 2016, notamment pour les ISMMEE, l’industrie agro-alimentaire et les matériaux de construction. Concernant l’utilisation des capacités de production, près de 86% des enquêtés du secteur public et plus de 34% de ceux du privé affirment avoir utilisé plus de 75% de cette capacité.
Quant au niveau d’approvisionnement en matières premières, il a été jugé inférieur à la demande exprimée par plus de 30% des entreprises enquêtées du secteur public et par plus de 10% de ceux du privé, particulièrement pour les ISMMEE et les cuirs.
Par ailleurs, près de 33% des enquêtés du secteur public et plus de 32% de ceux du privé ont connu des pannes d’électricité, notamment ceux des matériaux de construction et de la chimie. Aussi, l’approvisionnement en eau a été suffisant par la majorité des industriels publics et par prés de 70% de ceux du privé. Pour ce qui est de la main œuvre, les effectifs du secteur public ont subi une baisse, alors que ceux du secteur privé ont connu une augmentation.
En outre, près de 94% des chefs d’entreprises du secteur public et plus de 77% de ceux du privé jugent le niveau de qualification du personnel « suffisant ». Cependant, prés de 17% du secteur public et plus de 55% du secteur privé ont déclaré avoir trouvé des difficultés à en recruter, notamment le personnel d’encadrement et de maîtrise. Concernant l’état de la trésorerie, près de 11% des chefs d’entreprises du secteur public et près de 32% de ceux du privé l’ont jugé « bon ».
Financièrement, poursuit cette enquête d’opinion, près de 34% du potentiel de production du secteur public et plus de 67% de celui du privé ont recouru à des crédits bancaires et la majorité n’a pas trouvé de difficultés à les contracter.
La ligne maritime reliant Mostaganem à Barcelone sera officiellement opérationnelle au mois de juin prochain selon des sources de l’entreprise nationale de transport maritime des voyageurs (ENTMV).
En effet, trois rotations en partance du port de Mostaganem sont programmées. Additivement à la ligne Mostaganem – Valence, opérationnelle depuis la dernière saison estivale, au cours du mois de juin prochain, Alicante sera également relié à Mostaganem à travers une traversée durant le mois de juin qui évoluera, nous fait-on savoir, en une navette hebdomadaire au cours du mois de juillet.
Ce programme a été concocté, selon nos sources, pour atténuer la charge sur les ports d’Oran et de Ghazaouet qui enregistrent des pics de fréquentations insupportables.
La ligne Mostaganem – Barcelone sera maintenue en activité durant toute la saison estivale jusqu’au 10 septembre prochain, ajoutera notre interlocuteur, pour justement permettre à nos compatriotes émigrés de regagner leurs pays d’accueil dans les meilleures conditions possibles.
L’Emev (Entreprise d’organisation des manifestations culturelles, scientifiques et économiques) et le comité du village de Taourirt Mokrane (Larbâa Nath Irathen, Tizi Ouzou) organisent une journée d’étude, le 20 mai, à l’occasion du centenaire de la naissance de l’écrivain, linguiste et anthropologue Mouloud Mammeri au susmentionné village, sous le thème “Mouloud Mammeri, ce passeur culturel hors normes” (Mulud Mammeri : azetta nyedles ur nes3i tamtilt). Dans le communiqué adressé à notre rédaction, il est indiqué que cette rencontre sera “le reflet d’une réflexion sur l’œuvre monumentale de cet amusnaw, de cet éveilleur de consciences de la société berbère d’antan”, dont les œuvres vont “à contre-courant des idéologies étatiques”, comme Culture savante, culture vécue ; Inna-yes chik Muhend ou l’Ahellil de Gouraga, “allaient confirmer une culture berbère ancrée dans toute l’Algérie profonde (…) à une époque où tout ce qui touchait l’identité amazighe se faisait en catimini, dans la clandestinité”, tandis que ses écrits romanesques, dont La colline oubliée, allaient devenir les précurseurs du cinéma amazigh et suscitent aujourd’hui encore “des réflexions concrétisées en travaux de recherches de nombreux universitaires, notamment dans le domaine littéraire”.
Le chemin de traverse est un roman de Khaled Graba, paru en 2016 aux éditions Casbah. C’est une image en “haute résolution” du village et de la maison kabyles. Une description minutieuse de la configuration du bourg de montagne imposée par un relief accidenté et la rareté des terres cultivables. À Thajgouts, le village d’Idir, les maisons construites en pierre bleue et couvertes de tuiles rondes s’alignent en se serrant le long des ruelles étroites qui débouchent sur deux voies principales.
Khaled Graba, en montagnard averti (il vit entre Alger et la Kalâa Nath Abbas, après sa retraite de haut fonctionnaire), n’a pas manqué de mettre en avant “Tanko”, l’âne acheté au prix fort du souk d’Akbou et qui rendra de précieux services à la famille d’Idir, devenu responsable par la force des choses, son père étant “mangé” par l’émigration. Le lecteur du Chemin de traverse voguera entre le vocabulaire kabyle ancien (beaucoup d’objets décrits ont malheureusement disparu) et la vie dure des montagnards, leurs traditions, leur génie et leur courage.
On y sent une âme, et c’est la réussite de l’auteur. Une famille simple traverse le roman, la mère, l’épouse, les frères et l’oncle maternel. Idir cultive des feuilles de tabac qu’il écoule à Akbou et sur la route où des fabricants de “chemma” lui achètent quelques bottes. Taillé en athlète par le travail physique, Idir est aussi intelligent que vigoureux. À vingt-cinq ans, il est le symbole de cette jeunesse du début des années cinquante qui commence à se poser des questions sur les inégalités sociales entre les Européens du pays et les autochtones. L’opulence des uns et la misère des autres s’étalaient à la face du monde comme les plateaux d’une balance désarticulée. Le roman de Graba suit les préparatifs du voyage d’Idir vers Akbou. Entre-temps, il fait défiler des personnages comme Si Yahia le “fou”, alors qu’il n’est que la victime des tortures subies dans la prison de Lambèse pour ses idées jugées subversives.
Comme l’instituteur, M. Rouslais, qui défendra les villageois contre l’arbitraire du brigadier de gendarmerie de Tazmalt. Sur le chemin vers Akbou, Idir rencontre des hommes étranges qui discutent de sujets tout aussi énigmatiques. Les tortures de Si Yahia, les excès du brigadier, les injustices subies quotidiennement par les autochtones ; les morceaux d’un puzzle s’entrechoquent dans l’esprit d’Idir, puis forment une image où domine un dessin de son fils Saïd, écolier : du blanc, du vert, un croissant et une étoile rouge. C’est sur un sentier forestier que le destin du jeune homme s’accomplira en chassant d’abord le garde-champêtre venu le rançonner, puis en tuant le brigadier “Bob” venu le châtier d’avoir osé défier l’ordre établi. Idir, serrant contre lui son fusil de chasse, se met alors à grimper vers les hauteurs boisées où devaient se trouver les hommes étranges de la dernière fois. “Le jour pointait à l’horizon. Une nouvelle aube naissait.” Ce devait être une nouvelle journée de l’automne 1954.
La banane s’est vendue à 250 DA le kilogramme à Drâa Ben Khedda, hier. Qui l’aurait cru, il y a à peine un mois, elle se vendait à pas moins de 800 DA. Tant mieux et pourvu que ça dure!
Depuis un peu plus d’une semaine en effet, la mercuriale enregistre une baisse très notable dans la wilaya de Tizi Ouzou. Presque tous les légumes et une grande partie des fruits se vendent à des prix beaucoup moins chers que durant la saison hivernale qui a connu une folie dans les prix ayant déprimé une bonne partie des chefs de famille. Ces derniers ne savaient pas à quel saint se vouer devant des prix aussi exorbitants.
Mais, sans trop pouvoir l’expliquer, ces même fruits et surtout les légumes se vendent, depuis quelques jours dans toute la wilaya de Tizi Ouzou, à des prix très abordables et personne ne peut en disconvenir. Même la pomme de terre, légume le plus convoité par le consommateur algérien de condition sociale modeste, a vu son prix baisser pour atteindre une moyenne de 40 dinars voire 35 dinars quand il s’agit de vendeurs ambulants qui longent une partie des routes, surtout celle reliant Tizi Ouzou à Ouaguenoun. La tomate, qui se vendait, il y a à peine quelques jours, à 160 DA est désormais disponible partout à… 50 DA, voire 40 DA. Et le client a, en plus, l’embarras du choix entre plusieurs sortes et qualités de tomate disponible ces jours-ci sur le marché.
Même constat concernant de nombreux autres légumes très prisés comme la salade, l’haricot vert, l’oignon, l’ail, la courgette… Cette dernière dont le prix frisait aisément les 200 DA, il y a à peine quelques semaines, se vend désormais au prix «symbolique» de 20 à 25 DA, tout comme l’oignon dont le prix oscille ces jours-ci entre 30 et 40 DA, surtout dans les marchés et chez les marchands ambulants. L’ail, connu pour ses vertus extraordinaires sur la santé et qualifié de pénicilline par les Russes est désormais disponible en grande quantité un peu partout à seulement 100 DA le kilogramme. On écrit «seulement» car il ne faut pas oublier que son prix a atteint les 1300 DA, il y a à peine un peu plus d’un mois.
La salade aussi ne dépasse pas 25 DA, le poivron 50 DA, le concombre 40 DA, l’haricot vert et les petits pois 90 DA… Ces bonnes nouvelles sur la baisse sensible des prix concernent aussi les fruits y compris la fameuse banane, dont les Algériens de condition modeste ont été privés pendant plusieurs mois, à cause de son prix faramineux. Ces jours-ci elle est proposée en moyenne à 300 DA le kilo et parfois, on la trouve même à 250 DA comme ce fut le cas, hier à Draâ Ben Khedda, où des dizaines de pères de familles ont fait une affaire en en achetant plusieurs kilos.
Comme pour se venger de la période où le prix de ce fruit exotique était hors de portée. La pastèque qui vient d’envahir le marché est proposée, en moyenne, à seulement 100 DA le kilo et son prix sera sans doute revu à la baisse dans les prochains jours à cause de la profusion de la récolte, constate-t-on. Idem pour le melon qui vient aussi d’atterrir sur les étals. Son prix est de 100 DA. Même l’orange, dont ce n’est pourtant plus la saison, on peut la trouver parfois à des prix qui défient l’imagination, entre 70 et 90 DA. Les nèfles sont à 150 DA en moyenne.
Le prix de la fraise a également baissé. Elle se vend à 150 DA le kilo. Il y a toutefois des fruits qui restent tout de même hors de portée comme les cerises qui sont exposées à 800 DA le kilo. L’espoir de tout un chacun à Tizi Ouzou, c’est que ces prix cléments restent stables même durant le mois de la Rahma qui est à nos portes. Mais rien n’est moins sûr. Espérons-le tout de même.
«Nous regardons la mise en oeuvre de cet ambitieux programme avec beaucoup d’attention car beaucoup de pays…peuvent tirer profit de cette expérience», a déclaré Merza Hassan, porte-parole d’une délégation de la BM qui séjourne dans notre pays.
Si l’Algérie est devenue une référence en matière de lutte antiterroriste, elle a de fortes chances de parvenir au même statut dans le domaine économique. Les mesures prises et la stratégie adoptée pour faire face à la dégringolade des prix du pétrole qui a laminé ses revenus en devises sont saluées. Tandis que le nouveau modèle de croissance économique qu’elle compte mettre en oeuvre suscite tout simplement l’admiration. Et il n’est pas exclu qu’il fasse des émules.
Ce n’est ni un slogan populiste ni un élan de nationalisme mal placé ou de la simple démagogie. C’est une appréciation de la Banque mondiale! Une institution financière internationale dont la culture ne consiste pas à distribuer des bons points à l’emporte-pièce. La rigueur de ses jugements est attestée. C’est de l’appellation contrôlée! Une de ses délégations séjourne dans notre pays actuellement. Et c’est du lourd! Elle est constituée de pas moins de 10 membres de son conseil d’administration qui représente 100 pays sur les 189 pays qui le compose. Quelle est son objectif?
«Notre visite en Algérie vise à connaître de près le pays et voir dans quelle mesure la Banque mondiale peut-elle y apporter son soutien», a déclaré aux journalistes le porte-parole de la délégation de la BM, Merza Hassan, après avoir rencontré le ministre des Finances Hadji Baba Ammi. Il «nous a présenté plusieurs programmes dont le programme (de croissance économique) à l’horizon 2020-2035. C’est un programme ambitieux auquel nous voulons apporter notre soutien dans le cadre du partenariat stratégique qui relie l’Algérie et la Banque», a jugé le responsable de la Banque mondiale.
L’Algérie qui ambitionne de s’affranchir des hydrocarbures qui représentent l’essentiel de ses exportations a opté pour la diversification de son économie à travers un programme dont les grandes lignes ont été esquissées par le Premier ministre Abdelmalek Sellal, lors de la 19ème tripartite (gouvernement, patronat, Ugta) qui s’est tenue au mois de juin 2016 à Alger. L’institution de Bretton Woods y a manifesté son intérêt.
«Nous regardons la mise en oeuvre de cet ambitieux programme avec beaucoup d’attention car beaucoup de pays, que nous représentons, peuvent tirer profit de cette expérience. Je pense, qu’avec les compétences disponibles au niveau du gouvernement (algérien), ce programme pourra être mis en oeuvre en dépit des défis existants», a affirmé Merza Hassan.
Des rencontres sont prévues avec les responsables algériens. «Nous sommes à Alger pour rencontrer des autorités, comprendre les défis et le programme du développement du pays et voir l’intervention de la BM sur le terrain…», a souligné sa collègue Marie-Françoise Nelly, directrice exécutif à la BM. La délégation de la BM a été informée lors de l’audience sur «le programme du gouvernement en matière de diversification économique, sur le nouveau modèle de croissance économique ainsi que sur la vision du gouvernement pour la mise en oeuvre de ce programme à l’horizon 2035» a fait savoir, de son côté, le grand argentier du pays.
Il faut rappeler que ce n’est pas la première fois qu’une institution financière internationale souligne les audacieuses décisions prises par l’Algérie pour faire face à la crise pétrolière.
Le Fonds monétaire international qui a appelé les pays exportateurs de pétrole à plus de rigueur budgétaire avait mis en exergue les «ambitieuses mesures d’assainissement budgétaire» appliquées par l’Algérie et les six monarchies du Conseil de coopération du Golfe (CCG) a-t-il écrit dans une étude intitulée «Apprendre à vivre avec du pétrole à bas prix», rendue publique le 8 juin 2016. La Banque mondiale vient confirmer que c’est la voie à suivre…
Depuis quelques semaines, le ministère du Commerce a procédé à la fermeture de plusieurs boutiques d’herboristes.
Pour tenter de mettre un terme aux activités douteuses des herboristes qui mettent en danger la santé du citoyen, le gouvernement a pris la décision de geler l’importation des mélanges d’herbes à titre conservatoire, à partir du 1er juin prochain.
C’est ce qu’a annoncé hier le ministère du Commerce dans un communiqué. «Il a été décidé, en coordination avec les secteurs concernés et à titre de mesure conservatoire, de geler l’importation des mélanges d’herbes destinés à la vente en l’état jusqu’à codification», peut-on lire dans ce document. Par conséquent, ajoute le communiqué, «il est interdit aux commerçants exerçant l’activité de préparation, de conditionnement ou de vente d’herbes de commercialiser les mélanges d’herbes, à l’exception de la commercialisation en l’état sans mention de vertus thérapeutiques sur l’étiquette ou de publicité sur leurs vertus thérapeutiques par n’importe quel moyen».
Concernant les herboristes dont les locaux ont été fermés, le ministère rappelle que «la reprise de leur activité est tributaire de la modification de leur registre du commerce et de la signature d’un engagement de suivre une formation spécialisée pour laquelle ils seront convoqués ultérieurement», précise-t-on encore. Le ministère du Commerce appelle les concernés à se rapprocher des services des directions du commerce de la wilaya pour de plus amples informations. Il faut savoir que depuis une dizaine d’années, le nombre d’officines d’herboristes a connu une hausse vertigineuse. D’ailleurs, entre 2013 et 2016, quelque 1300 herboristes ont été inscrits au registre du commerce.
Mais depuis quelques semaines, le ministère du Commerce a procédé à la fermeture de plusieurs boutiques d’herboristes, d’autant plus que la profession d’herboriste n’est soumise à aucune réglementation la régissant. Seul un registre du commerce suffit.
A titre d’exemple, pas moins de 155 herboristeries pratiquant la médecine alternative, fermées dans la wilaya d’Alger l’ont été en février dernier. Quelque 155 herboristeries dont les propriétaires s’adonnaient à des activités autres que celles inscrites à leur registre du commerce, notamment la médecine alternative, ont été fermées au niveau de la wilaya d’Alger, a fait savoir aujourd’hui le représentant de la direction du commerce Layachi Dehar. La direction du commerce a ordonné la fermeture de ces locaux, herboristeries ou parfumeries, dont les propriétaires n’exerçaient pas l’activité portée sur leur registre du commerce et y pratiquaient plutôt la médecine alternative qui n’est pas enseignée en Algérie. Les propriétaires de ces boutiques pratiquaient la «hijama» alors qu’ils n’ont pas les qualifications requises, cette médecine n’étant pas enseignée dans les universités algériennes, a indiqué un représentant de la direction du commerce à l’APS.
En outre, ces commerçants, qui n’ont aucune connaissance de la médecine alternative ou traditionnelle, proposent à la vente des mixtures dont les composés et l’origine restent inconnus et les effets néfastes pour la santé des citoyens, notamment ceux présentant des maladies chroniques. Profitant de la détresse des malades ayant désespéré d’un traitement au niveau des structures hospitalières, ces commerçants se livrent à «leurs activités douteuses», y compris la «hijama» et la roqia prétendant guérir toutes les maladies, a-t-il ajouté, soulignant que ces prestations étaient monnayées.
Des procès-verbaux ont été dressés pour déférer ces affaires devant la justice, a fait savoir Layachi Dehar. Le président du Conseil national de l’ordre des médecins, Bekkat Berkani, a, quant à lui, indiqué que «la fermeture de ces commerces s’inscrit dans le cadre des mesures conservatoires adoptées par l’Etat pour préserver la santé des citoyens contre de tels pratiques illicites». Selon lui, l’absence d’un texte de loi régissant l’activité relative à la médecine traditionnelle a favorisé l’émergence de ces activités.
«Il n’existe pas d’école ni d’institut de formation à la médecine traditionnelle en Algérie», a-t-il dit, préconisant la création de tels établissements afin de mettre un terme aux agissements qui nuisent à la société en général et à la santé du citoyen en particulier.
Le programme SwitchMed a même décidé de recruter un expert en marketing pour son projet en Algérie et soutenir l’entreprise d’alimentation Rima Dattes dans la commercialisation de ses produits en Algérie et en Europe ainsi que pour étudier les possibilités de labélisation.
L’expert aura pour mission d’apporter à l’entreprise Rima Dattes un appui technique et stratégique en marketing et commercialisation des produits dérivés de la datte. Il élaborera une étude préliminaire des besoins de la société pour ensuite accompagner l’entreprise dans la consolidation de son business plan pour améliorer et accroître la vente des produits dérivés de la datte (en ligne et sur place) et identifier de nouveaux clients et partenaires en Algérie et à l’étranger. Les offres seront recueillies lors de ce mois. SwitchMed offre à toutes les parties prenantes de la Méditerranée des outils et des connexions avec des partenaires pour vos innovations sociales et écologiques, afin d’établir des économies productives, circulaires et de partage en Méditerranée.
Le programme SwitchMed développe dans chaque pays partenaire un projet pilote d’économie circulaire dans un secteur clé de l’économie. Les projets pilotes contribuent tant à la mise en oeuvre des politiques nationales en matière de consommation et production durables qu’à l’opérationnalisation du Plan d’action régional sur la consommation et la production durables en Méditerranée, adoptée à la 19ème réunion ordinaire des parties contractantes à la Convention de Barcelone pour la protection de la mer Méditerranée contre la pollution en 2016.
Le programme basé en Espagne est financé par l’Union européenne et mis en oeuvre grâce à une collaboration entre l’UE et la Division économie de l’ONU Environnement pour faciliter la transition vers une consommation et une production durables (CPD) dans la région sud du pourtour méditerranéen, à savoir l’Algérie, la Tunisie, la Libye, l’Égypte, la Palestine, la Jordanie et le Liban.Dans ce contexte, le SCP/RAC (Régional activity centre for sustainable consumption and production), basé à Barcelone est en charge du développement et de l’assistance technique de projets pilotes sélectionnés en accord avec les ministères de l’Environnement et les délégations de l’Union européenne des pays concernés.La société Rima Dattes est une petite société familiale de conditionnement et de transformation des dattes créée en 2014.
Elle dispose de cinq employés à plein temps, cinq à temps partiel et de six à huit femmes au foyer. Rima dates est installée dans la zone d’activité économique de Bin Djebline à Ghardaïa, où elle dispose d’un atelier de 100m2.A ce jour, la récolte des dattes à Ghardaïa est considérée par Rima Dattes comme mal valorisée, avec 60% des fruits qui ne sont pas traités faute de répondre aux normes de qualité et ne sont pas transformés, et des coproduits qui sont peu utilisés.
Il y a donc un potentiel important pour la mise en oeuvre de mesures d’économie circulaire dans le secteur. Le projet de la société est d’une part d’améliorer cette situation en transformant les dattes impropres à la vente directe en confiseries, sirop, vinaigre et pâtes qui rentrent dans la composition de produits pouvant concurrencer les barres chocolatées classiques.
LG Electronics Algérie a dévoilé aujourd’hui le LG G6, son plus récent Smartphone doté d’un nouveau format d’image innovant et audacieux pour une meilleure expérience cinématographique, d’un rapport écran/téléphone exceptionnel, d’un appareil photo grand-angle et bien plus encore. Conçu pour répondre aux moindres exigences des utilisateurs, le LG G6 vient révolutionner le monde des Smartphone haut de gamme, en mettant l’accent sur les caractéristiques que les consommateurs désirent le plus, notamment un grand écran qui tient réellement dans une main.
Le grand écran qui tient réellement dans votre main
Le LG G6 possède un écran QHD+ de 5,7 pouces (résolution de 2 880 x 1 440) FullVision et, pour la première fois dans un Smartphone, un format d’écran de 18:9. Par rapport au format 16:9 conventionnel, le format 18:9 offre plus d’espace de visionnement et une expérience plus immersive lors de la diffusion de vidéos et de jeux. Le LG G6 peut également prendre des photos parfaitement carrées en format 1:1, idéales pour Instagram, Snapchat et autres applications de médias sociaux. Les utilisateurs peuvent également choisir d’autres formats, comme 4:3, 16:9 et 18:9.
Plus de choses à voir, moins d’encombrement
Même avec son écran de grande taille et contrairement aux autres téléphones ayant des écrans de taille similaire, le LG G6 tient facilement et confortablement dans une main, ce qui vous donne une expérience grand écran sans le désagrément d’un grand téléphone. En fait, des équipes de recherche en ergonomie menées par le Dr Andris Freivalds de l’Université de Pennsylvanie et le Dr Ji Yong-gu de l’Université Yonsei ont mis à l’épreuve la stabilité du LG G6 pendant son utilisation, sa prise en main dans diverses postures, ainsi que la fatigue musculaire après de longues heures d’utilisation de ce Smartphone révolutionnaire. Le LG G6 a reçu les meilleures notes dans toutes les catégories.
Téléphone au design attrayant et ergonomique
Fait d’aluminium et de verre résistant, le LG G6 dispose d’une conception minimaliste élégante, avec des extrémités arrondies
Son châssis en aluminium mate lui confère une solidité et un style unique.
Le cadre supérieur a été réduit en réarrangeant l’appareil photo frontal, le capteur et le haut-parleur, et en les plaçant en rangée sur la partie supérieure avant.
Quant à l’arrière du G6, il est parfaitement plat ; il intègre un appareil photo incrusté sans aucuns rebords afin d’offrir une aisance d’utilisation et une meilleure maniabilité.
Transformez votre expérience de visionnement mobile avec Dolby VisionMC
Le LG G6 est le premier Smartphone doté de la technologie Dolby Vision et de la technologie HDR 10. Cette technologie permet d’offrir des images de grande qualité, beaucoup plus contrastées et lumineuses : les couleurs les plus foncées et les plus claires sont plus vives afin de révéler une expérience de visionnement inégalée.
Comme la taille des écrans des Smartphones devient de plus en plus grande et la vitesse de la connexion Internet de plus en plus rapide, LG a décidé de suivre deux normes HDR pour que les gens puissent visionner le plus de contenu possible. Le LG G6 vous permet donc de visionner des vidéos en qualité HDR exceptionnelle. L’affichage QHD+ 18:9 permet également au G6 d’offrir une expérience de visionnement de contenu cinématographique en format d’affichage 18:9.
Conçu pour l’inattendu
Le LG G6 peut être utilisé dans n’importe quelles situations et en toute confiance grâce à sa résistance à l’eau et à la poussière IP68, qui le rend entièrement étanche à la poussière et qui lui permet d’être immergé dans l’eau en toute sécurité jusqu’à une profondeur de 1,5 mètre pendant aussi longtemps que 30 minutes. Soyez moins préoccupé par les chutes accidentelles et autres environnements difficiles de l’utilisation quotidienne, car le LG G6 a été conçu et construit pour être fiable. Le G6 a passé 14 tests différents de la norme militaire 810G.
Le LG G6 répond non seulement aux normes internationales en matière de tests, mais il a également subi d’autres tests de températures élevées et de pénétration des ongles et utilise une technologie exclusive qui dissipe la chaleur au moyen d’un conduit interne, une première pour un Smartphone LG. De plus, pour disperser davantage la chaleur à l’intérieur de l’appareil, les ingénieurs de LG ont placé les composants les plus enclins à la surchauffe aussi loin les uns des autres que possible.
Captez-en plus, ne laissez rien de côté
Avec le LG G6, plus besoin de demander aux gens de se replacer, de se rassembler ou de trouver un autre endroit où se tenir afin que tout le monde soit sur la photo ; choisissez simplement entre les réglages standards et grand-angle. Avec deux appareils photos arrière de 13 Mpx, comprenant un objectif de 125 degrés pour le grand-angle, le LG G6 capte des photos panoramiques que les appareils photos des téléphones classiques ne peuvent pas capter. Le G6 offre une expérience photographique exceptionnelle et unique grâce à des transitions harmonieuses lorsque vous effectuez des zooms avant et arrière entre les réglages standard et grand-angle, même pendant la capture d’une vidéo en format 4K. Le LG G6 possède également un champ de vision élargi de 100 degrés avec son appareil photo avant de 5 Mpx, ce qui signifie que les utilisateurs peuvent prendre des autophotos sans avoir besoin d’une perche. De plus, l’appareil photo grand-angle réduit la distorsion sur les bords, ce qui rend les images plus naturelles.
Caractéristiques principales :
À propos de LG Electronics inc.
LG Electronics inc. (KSE : 066570.KS) est un chef de file mondial et un innovateur technologique dans l’électronique grand public, les communications mobiles et les électroménagers, et emploie 77 000 personnes dans 125 emplacements du monde entier. Forte de ses ventes mondiales de 48,8 milliards de dollars américains en 2015 (56,5 trillions KRW), LG est composée de 4 unités opérationnelles (électroménagers et solutions relatives à la qualité de l’air, communications mobiles, divertissement pour la maison et composants de véhicules) et est l’un des principaux producteurs mondiaux de téléviseurs à écran plat, d’appareils mobiles, de climatiseurs, de laveuses et de réfrigérateurs. LG Electronics est un partenaire ENERGY STAR de l’année 2016. Pour de plus amples renseignements sur LG Electronics, visitez le www.LGnewsroom.com.
Les Husseindéens n’ont pas raté l’occasion de la réception de la formation de la JS Saoura pour le compte de la 25eme journée de La Ligue 1 Mobilis, pour arracher une belle victoire et surtout de se motiver pour la suite du parcours. Victorieux sur le score de trois buts à deux, ce succès vient au bon moment dans la mesure où il a permis aux protégés d’Alain Michel de se ressaisir de leur dernières défaites concédées face à l’Entente et la JSK. Soumis à une grosse pression, les camarades du buteur Ahmed Gasmi ont bien réagi sur le terrain en dominant leur adversaire.
Le stage du 5-Juillet a donné ses fruits
Ayant décidé de se préparer au 5-Juillet durant la trêve qu’a observée le championnat, le stage effectué par Bendebka et ses camarades a donné ses fruits dans la mesure où ils ont été les auteurs d’une belle prestation. D’ailleurs, les cinq victoires arrachées en amical ont été une motivation de plus pour les hommes d’Alain Michel qui ont été à la hauteur des attentes, en arrachant une belle victoire fort méritée qui sera d’un grand apport pour la suite du parcours avec notamment le rendez-vous de ce week-end contre le CRB.
Gasmi confirme, Daouadji en progression
Parmi les points positifs retenus lors de cette confrontation, sont à mettre à l’actif des attaquants plus précisément Gasmi et Daouadji. En effet, auteur d’un doublé, le premier vient de confirmer sa bonne forme. Le second, après une phase aller compliquée, commence à retrouver ses sensations et revient petit à petit à sa forme habituelle.
Maintenant, il faut confirmer !
Personne n’ignore que le succès d’avant-hier face à la formation sudiste est d’une extrême importance pour les partenaires de Hocine Laribi et ses coéquipiers, étant donné que cela a permis aux Sang et Or de reprendre confiance et se motiver pour la suite de la compétition, à commencer par le prochain derby où une victoire demeure impérative pour rester collé au peloton de tête.
Toutefois, en Bavière, le Portugais ne dispose pas d’un grand temps de jeu. Une saison qui lui laisse des regrets comme il l’explique rapporté par Le 10 Sport.com : « Ça n’a pas été très bon, mais je suis sûr que la prochaine saison sera meilleure. Bien sûr que je m’attendais à plus, mais je suis confiant quant au fait que l’avenir sera meilleur. Je n’ai eu que très peu de temps de jeu alors que je dois jouer pour être mieux préparé ».
« J’ai refusé un salaire de la CAF pour la simple raison qu’il n’est pas en adéquation avec la bonne administration », a révélé le Malgache rapporte Afrik-Foot.com. « Les salaires de tous les employés de l’organisation, des administrateurs au comité exécutif et au président, doivent tous être transparents », a-t-il ajouté. Le dirigeant siège son premier comité exécutif ce lundi à Manama au Bahreïn.
D’après les médias El Mundo Deportivo, Sport et Maxifoot.fr, l’international argentin a trouvé un terrain d’entente avec ses dirigeants concernant sa prolongation et il ne reste plus que des détails à régler. A noter que Messi devrait parapher ce nouveau bail, qui courra jusqu’en juin 2022, au terme de la saison afin de ne pas perturber le sprint final du Barça en Liga.
« Rester ou partir, c’est la question que je me pose en ce moment. C’est un moment particulier. Je suis en pleine réflexion par rapport à un départ l’été prochain. Forcément, je me sens très bien ici parce les supporters sont énormes. Ça reste un grand club. Mais je me pose la question, si je veux franchir un palier, est-ce qu’il ne faut pas partir ? Je n’ai pas de réponse. Il faut un peu de temps. J’ai 27 ans. Si je veux passer un palier, forcément, il faudra partir cet été. Est-ce que ça vaut le coup ou pas ? Il faut voir les propositions qu’il y a. On y va pour jouer. Si je ne bouge pas, ça veut dire que je vais terminer ma carrière ici, forcément. Je vais prendre le temps de réfléchir. » des propos rapportés par 90min.com.
Akram Djahnit sera suspendu face à l’USMH. Il nous en parle.
Quel commentaire faites-vous de la défaite contre le MCO ?
C’est une défaite qui nous a fait très mal, d’autant qu’on ne méritait pas de perdre. Car nous avons fait une bonne partie et nous avons même eu la possession du ballon. C’est vrai, on n’a pas créé d’occasions nettes, mais on était en mesure de gagner ce match. Toutefois, il ne faut pas s’arrêter là, il faut oublier ce match et penser à ce qui va venir. Nous allons nous concentrer de nouveau sur notre sujet pour nous racheter le plus vite possible. Il ne faut pas oublier que nous allons recevoir deux fois de suite sur notre terrain.
Il paraît qu’on vous a refusé un penalty, est-ce vrai ?
Oui, l’arbitre nous a refusé un penalty valable, c’était flagrant et il était près de l’action. S’il nous avait sifflé ce penalty, la physionomie du match aurait changé bien sûr, mais que voulez-vous, c’est comme ça et c’est tout.
Vous ne pensez pas que l’absence des internationaux durant toute la semaine qui a précédé le match ait pu perturber votre préparation ?
C’est possible, car nous étions six joueurs quand même à n’avoir pas pris part à la préparation du match. On peut dire beaucoup de choses aujourd’hui, mais je ne veux pas chercher des excuses à notre défaite. Je dis qu’il faut oublier ce match et tourner cette page.
Désormais, l’écart qui vous sépare du MCA n’est que de trois points. Les jeux sont-ils relancés ?
Ça nous met plus de pression évidemment, car on n’est plus à l’abri comme on l’était avant. Cela va nous pousser à gagner tous nos matchs et ne pas regarder derrière nous. Il ne faut pas attendre des faux pas de nos adversaires, il faut juste aller de l’avant et ne compter que sur soi. Nous allons entrer dans une phase cruciale où tout est possible. A nous de savoir la gérer.
Mais vous serez absent face à El Harrach pour cause de suspension…
C’est un match qui sera très difficile pour nous après que l’écart ait été réduit avec les poursuivants. Il y aura certainement de la pression et c’est normal. Pour moi, ce match et tous les autres seront des matchs de coupe, il faut les gagner. En ce qui concerne ma suspension, je dis que je ne la mérite pas, car je n’ai rien dit de grave à l’arbitre, j’ai juste voulu savoir pourquoi il sifflait beaucoup de fautes à l’adversaire. Mais l’ESS n’a pas que 11 joueurs, elle a 23 joueurs tous capables d’apporter le plus escompté. J’ai une entière confiance en mes coéquipiers qui sauront relever le défi.
En effet, Massimiliano Allegri n’attend pas de relâchement de ses joueurs et espère même les voir réaliser un match encore plus accompli qu’à Louis II :
« La finale doit encore être conquise. Dans le foot on ne sait jamais ce qu’il peut arriver. Il faudra beaucoup de concentration. Daniel Alves est dans un bon moment. C’est un joueur important qui apporte une expérience internationale. Je dois encore décider demain entre Barzagli et Cuadrado. Je dois évaluer le match sur 100 minutes. Indépendamment de qui joue, il faudra être agressif et très bon pour gagner le match. Nous devons faire mieux qu’à l’aller, en jouant avec un peu plus de patience », a expliqué Massimiliano Allegri en conférence de presse et comme rapporté par Goal.