Le dimanche 12 octobre 2025, à Marcoussis, un quartier de l'arrondissement 9 de la ville de Ouagadougou, les habitants se sont mobilisés pour réhabiliter leurs voies dégradées à l'aide de la technique Do-nou. Accompagnés par les volontaires du Programme national de volontariat du Burkina Faso, les riverains ont uni leurs forces pour améliorer leurs conditions de vie et encourager l'esprit de solidarité et de citoyenneté active.
Assèta Diallo
« Nous n'avons pas de bonnes routes dans notre quartier. Pour parcourir une petite distance à l'intérieur du quartier, c'est tout un casse-tête. Exemple : si tu dois parcourir une distance qui va me prendre 15 minutes normalement à cause de l'état des routes, je peux faire 30 minutes et plus. Il y a tellement de secousses sur nos voies. Imaginez la souffrance des femmes enceintes qui vivent ici. Vraiment nous souffrons beaucoup de cette situation. Avec la nouvelle technique Do-nou, nous allons être soulagés un tant soit peu. J'invite les riverains à s'organiser pour réhabiliter les voies. Nous sommes tous des résidents et personne ne viendra réhabiliter nos routes à notre place. Un Burkimbila, doit aider, doit mettre sa main à la pâte pour la construction de son pays. Je remercie les volontaires qui ont accepté de se joindre à nous pour travailler ».
Asseta Diallo, riveraineAboubacar Sore
« Aujourd'hui, nous sommes mobilisés pour réhabiliter certaines voies dans notre quartier. C'est vraiment une bonne initiative à saluer et à perpétuer. Ici nous avons un sérieux problème de routes. Nos routes sont en mauvais état. Nous allons continuer ce que les volontaires ont commencé. Les weekends, nous allons nous organiser pour réhabiliter certaines voies. Cependant, j'ai un autre cri de cœur. Nous avons des terrains de foot et des espaces de loisirs pour jeunes qui ont été transformés en maquis, kiosques et certaines personnes même ont construit sur certains terrains de foot. Ce n'est pas normal. Nous demandons à la mairie de faire quelque chose pour résoudre ce problème. Nous n'avons pas plus d'espaces de loisirs ni de terrain de foot, pourtant dans le plan du quartier il y a bel et bien des espaces de loisirs ».
Aboubacar Sore, riverainDelphine Tiogo
« Vous voyez, je suis enceinte. À cause de l'état des routes, j'ai peur de sortir de la maison. Je ne sors plus. Je suis obligée de confier mes courses à quelqu'un à cause des secousses. C'est vraiment très difficile pour nous. Il faut vivre ici pour comprendre notre souffrance. Avec la réhabilitation de certaines voies, notre souffrance va s'atténuer un peu. J'appelle les riverains à sortir nombreux pour la bonne cause ».
Ahoua Boly
« Je suis vieille, je ne peux pas travailler, mais je suis sortie pour encourager et féliciter les jeunes pour le bien qu'ils sont en train de nous faire. C'est vraiment un acte salutaire. Chez nous ici il est difficile de sortir à pied, n'en parlons pas de sortie avec une moto ou un véhicule. Nos routes sont impraticables. Nous saluons les autorités et les volontaires pour cette action pour notre quartier ».
Ahoua Boly, riveraineRama Diallo
Lefaso.net
La Chambre de commerce et d'Industrie du Burkina Faso (CCI-BF) met les bouchées doubles pour transformer ses plateformes économiques, notamment Ouaga Inter, afin de fluidifier les échanges et d'améliorer l'expérience des transporteurs et transitaires. Ces efforts s'inscrivent dans une vaste politique de réhabilitation dont le coût global s'élève à près de 82,5 milliards de francs CFA sur une période de quatre ans (2025-2028).
A Ouaga Inter, des mesures immédiates ont été prises pour résoudre les problèmes de stationnement des véhicules et camions. Soucieuse d'améliorer la gestion des flux, la CCI-BF a mis en place un dispositif d'orientation des véhicules. En collaboration avec la direction générale du programme national de volontariat, des volontaires ont été recrutés. Leur mission est de guider les chauffeurs vers les espaces de stationnement disponibles, assurant ainsi une meilleure fluidité.
De plus, la propreté des zones de stationnement est devenue une priorité. La Chambre de Commerce a recruté une Association qui met à sa disposition des femmes spécifiquement chargées du nettoyage des espaces, garantissant que les aires soient dégagées et propices au stationnement.
Des volontaires guidant les véhicules vers des espaces libres pour le stationnement« Nous réalisons les infrastructures pour faciliter le stationnement des camions afin de pouvoir accomplir les formalités. A Ouaga inter, nous avons de différents parkings pour recevoir les camions. Pour ce qui concerne les parkings, nous avons entrepris la réhabilitation des parkings à Ouaga Inter dont la zone pavée a été réalisée en 2022 et mise en service en 2023. Il reste d'autres parkings à réhabiliter notamment les parkings recevant les plateaux et ceux situés aux alentours des magasins 35, 39 et 40 », a indiqué Hyacinthe Tiendrebeogo, le Directeur des plateformes économiques et de la facilitation de la chambre de commerce.
Hyacinthe Tiendrebeogo, le directeur des plateformes économique et de la facilitation de la chambre de commerce.Et d'ajouter « depuis le début de cette année, il y a une politique qui est mise en place pour la réhabilitation de notre plateforme. Dès la prise de fonction en février du Directeur général Seydou Tou, de nombreuses actions ont été posées. Il a visité toutes les plateformes et un plan d'action a été mis en place pour la réhabilitation des différentes plateformes. Le coût de la réhabilitation de l'ensemble des plateformes s'élève à près de 82,5 milliards de francs CFA en quatre ans. Nous sommes en train de tout mettre en œuvre pour que les travaux démarrent d'ici le mois de novembre 2025. Pour cela nous avons une rencontre d'information prévu 8 octobre 25 avec nos partenaires pour leur faire part des travaux prévus ».
Des travaux d'aménagement en train d'être fait pour fluidifier le stationnement des véhiculesIl a rassuré les transporteurs que des actions sont en train d'être menées pour améliorer les services. Il a également demandé aux sociétés de transit de faire un effort pour une meilleure collaboration. « Nous invitons les transitaires en relation avec les importateurs à s'approprier de leurs dossiers dès le matin pour pouvoir accomplir les formalités dans de meilleurs délais afin que les dossiers puissent être traités par les différents intervenants », a indiqué le directeur des plateformes économique et de la facilitation de la chambre de commerce.
Ces initiatives confirment la volonté de la CCI-BF de faciliter les opérations des plateformes logistiques et de renforcer la position du Burkina Faso comme plateforme d'échange régionale.
Rama Diallo
Lefaso.net
Le directeur des rédactions du quotidien L'Observateur Paalga, Ousséni Ilboudo, a été interpellé dans la matinée de ce lundi 13 octobre 2025, par des individus se présentant comme des éléments de l'ex-Agence nationale du renseignement (ANR).
Selon le média, M. Ilboudo s'apprêtait à présider la conférence de rédaction quotidienne lorsqu'il a été abordé par ces hommes à l'intérieur même des locaux du journal.
Il aurait immédiatement obtempéré avant d'être conduit à bord d'une fourgonnette pour une destination inconnue.
Depuis cette interpellation, la rédaction du quotidien affirme être sans nouvelle de son directeur. Les raisons de cette interpellation demeurent, pour l'heure, inconnues.
Lefaso.net
Source : Losbpaalga.com
En marge des activités de la rentrée académique 2025-2026, le ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, le Pr Adjima Thiombiano, a rencontré, ce lundi 13 octobre 2025, les étudiants des universités publiques et privées de la ville de Bobo-Dioulasso ainsi que les enseignants-chercheurs et le personnel ATOS de l'université Nazi Boni. Ces échanges ont eu lieu à l'Institut supérieur des sciences de la santé (INSSA), en présence de plusieurs responsables d'institutions d'enseignement supérieur du pays.
La visite du ministre a débuté par une cérémonie de montée des couleurs nationales, symbole d'unité et de patriotisme. Pour le Pr Thiombiano, ce geste marque non seulement le respect dû aux valeurs de la nation, mais aussi la reconnaissance des efforts consentis par les acteurs du monde universitaire pour redresser le calendrier académique. « Nous sommes venus à l'université Nazi Boni pour honorer la nation à travers la montée des couleurs, mais aussi pour célébrer les acquis majeurs engrangés durant l'année écoulée », a déclaré le ministre.
Les étudiants des universités publiques et privées de Bobo-Dioulasso échangent avec le ministre de l'enseignement supérieur, Pr Adjima ThiombianoIl a salué l'engagement collectif qui a permis d'atteindre un taux de 92,52 % de normalisation des filières dans les institutions publiques. Un résultat qu'il qualifie de « remarquable », fruit du patriotisme et du sacrifice des enseignants, des étudiants et du personnel administratif.
Le ministre a salué l'engagement collectif qui a permis d'atteindre un taux de 92,52 % de normalisation des filières dans les institutions publiquesDes défis persistants mais pris en compte
Les échanges avec les différents acteurs ont permis d'aborder plusieurs préoccupations. Parmi les points soulevés : les infrastructures universitaires, les conditions de travail, ainsi que certaines questions administratives telles que les indemnités de surveillance ou de correction. Le ministre a assuré que ces préoccupations sont « prises à bras-le-corps » dans le cadre de l'initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous.
La photo de famille des étudiants avec le ministre Adjima Thiombiano« Ce n'est pas un problème de disponibilité de ressources, et toutes les questions soulevées seront réglées avant la fin de l'année 2025 », a-t-il affirmé, réaffirmant ainsi la volonté du gouvernement de trouver des solutions durables. Le Pr Adjima Thiombiano a également tenu à encourager les étudiants pour, dit-il, leur sens du devoir et leur implication croissante dans la réussite du système éducatif. « Nous assistons depuis deux ans à une prise de conscience des jeunes. Les nouveaux bacheliers, grâce à l'immersion patriotique, montrent un réel engagement pour la réussite de leur année », a-t-il laissé entendre.
La photo de famille des enseignants-chercheurs et le personnel ATOS avec leur ministre de tutelleLe ministre a par ailleurs rappelé aux nouveaux étudiants qu'ils bénéficient d'un contexte favorable. « Les bacheliers de 2024 ont entièrement bouclé leur année académique, et il n'est plus question de retards. Aucun étudiant ne doit se permettre le luxe de ne pas achever son année au 31 juillet », a-t-il insisté.
Les enseignants-chercheurs et le personnel ATOS de l'université Nazi Boni face à leur ministre de tutelleLa recherche, pilier du développement national
Au cours de son séjour, le ministre en charge de l'enseignement supérieur doit aussi échanger avec les acteurs de la recherche. C'est pourquoi, au-delà de la pédagogie, le ministre a rappelé le rôle essentiel des chercheurs dans la consolidation de la normalisation académique et le développement du pays. « Depuis 2023, la majorité des chercheurs interviennent dans les enseignements. Leur contribution est capitale. Le gouvernement compte sur eux pour accompagner sa vision du développement », a-t-il souligné, invitant les chercheurs à inscrire leurs travaux dans la dynamique nationale.
Pour le président de l'université Nazi Boni, le Pr Hassan Bismarck Nacro, la visite du ministre est un honneur et une source de motivation pour toute la communauté universitairePour le président de l'université Nazi Boni, le Pr Hassan Bismarck Nacro, la visite du ministre est un honneur et une source de motivation pour toute la communauté universitaire. « C'est un geste fort que M. le ministre, malgré un agenda chargé, a pris le temps d'échanger avec nous. Cela témoigne de son attachement à l'enseignement supérieur », a-t-il salué. Cette rencontre aura permis ainsi de renforcer la cohésion entre les acteurs de l'enseignement supérieur. Tous ont réaffirmé leur engagement à poursuivre les efforts en vue de la normalisation totale des années académiques et de l'amélioration continue de la qualité de l'enseignement et de la recherche au Burkina Faso.
Romuald Dofini
Lefaso.net
Le ministère de l'Enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation a tenu, ce lundi 13 octobre 2025 à Bobo-Dioulasso, une conférence de presse sur la rentrée académique 2025-2026 et la situation des retards académiques dans les universités publiques du Burkina Faso. La rencontre, présidée par le ministre Adjima Thiombiano, a permis de dresser un bilan encourageant des efforts engagés pour la normalisation du calendrier universitaire à l'échelle nationale.
Face à la croissance rapide des effectifs, à l'insuffisance des infrastructures pédagogiques et au déficit d'enseignants, les Institutions d'enseignement supérieur et de recherche (IESR) du Burkina Faso ont longtemps été confrontées à des retards et des chevauchements d'années académiques. Selon le ministre Adjima Thiombiano, grâce aux réformes entreprises par le ministère depuis 2023, la situation connaît une amélioration significative.
Pour la rentrée académique 2025-2026, le ministère vise un taux de normalisation de 100%En effet, selon le Pr Thiombiano, le taux de normalisation des années académiques est passé de 50,47% en octobre 2023 à 81,30% en septembre 2024, pour atteindre 92,52% au 30 septembre 2025. Ces résultats ont été obtenus grâce à la poursuite des activités académiques pendant les périodes de vacances et à la mise en place d'un dispositif rigoureux de planification et de suivi des cours dans les Institutions d'enseignement supérieur et de recherche (IESR).
Plusieurs actions structurantes ont contribué à ces performances. Parmi elles, la réhabilitation d'infrastructures pédagogiques, l'équipement des laboratoires, la dotation en ordinateurs portables des chefs de départements, et la connexion internet dans les universités publiques. Le ministère a également veillé au règlement partiel de la dette sociale, au maintien des œuvres universitaires (restauration et hébergement) durant les vacances, ainsi qu'à l'appui de la SOTRACO pour le transport des étudiants.
Des acteurs du monde de l'enseignement et de la recherche présents à la conférence de presseL'opérationnalisation de la plateforme numérique Campus Faso a aussi marqué un tournant majeur dans la gestion administrative et académique. « Cet outil facilite désormais la programmation des cours, la tenue des délibérations, la délivrance des attestations et relevés de notes, ainsi que la gestion des salles », a-t-il laissé entendre.
Un bilan globalement positif, mais des efforts à poursuivre
Malgré ces avancées, certaines filières accusent encore des retards. Au total, 24 filières sur 321 (7,48%) restent non normalisées. L'université Joseph KI-ZERBO concentre à elle seule 13 filières en retard (20%), suivie de l'université Nazi BONI (5 filières, 6,49%), de l'université Norbert ZONGO (4 filières, 5,71%), de l'université Thomas SANKARA (1 filière, 2,17%) et de l'Université Virtuelle du Burkina (1 filière, 7,69%).
Cependant, certaines institutions se distinguent par leurs performances. C'est le cas de l'École polytechnique de Ouagadougou (EPO), de l'École normale supérieure (ENS), de l'Université Lédéa Bernard Ouédraogo (ULBO), de l'Université Yembila Abdoulaye Toguyeni (UYAT) et désormais de l'Université Daniel Ouézzin Coulibaly (UDOC), toutes ayant réussi à normaliser leurs années académiques.
Pour la rentrée académique 2025-2026, le ministère vise un taux de normalisation de 100%. Selon le Pr Adjima Thiombiano, cet objectif passe par le renforcement du système de gestion administrative et académique, l'intensification de l'utilisation de la plateforme Campus Faso, la mise en œuvre des nouveaux régimes d'études, et l'amélioration continue des capacités d'accueil à travers l'Initiative présidentielle pour une éducation de qualité pour tous (IPEQ).
Les premières infrastructures issues de cette initiative sont attendues dès janvier 2026. « Elles devraient considérablement renforcer les capacités d'accueil et améliorer la qualité de l'enseignement supérieur burkinabè », a souligné le ministre Adjima Thiombiano. Au cours de cette conférence, le ministre Thiombiano a exprimé sa reconnaissance à l'ensemble des acteurs du système notamment les enseignants-chercheurs, les chercheurs, le personnel ATOS, les étudiants, ainsi qu'aux administrations universitaires pour leur engagement, leur abnégation et leur sens du devoir.
Les journalistes présents à la conférence de presseIl a également salué le soutien constant du président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, pour son attention particulière à l'éducation et à l'enseignement supérieur, et remercié le Premier ministre pour son engagement en faveur de la formation. Enfin, le ministre a adressé ses remerciements aux partenaires techniques et financiers, aux structures déconcentrées de l'État, ainsi qu'aux parents d'étudiants pour leur confiance et leur accompagnement.
Romuald Dofini
Lefaso.net
Aujourd'hui, tout se partage sur internet. Une photo postée sur Facebook ou Instagram peut être utilisée sans votre autorisation. Certains la partagent sans mauvaise intention, d'autres s'en servent pour des publicités ou même des escroqueries. Pourtant, cela reste du vol, et c'est interdit par la loi. Voici quelques conseils simples pour protéger vos photos.
Dès que vous prenez une photo, elle vous appartient. Cela signifie que personne n'a le droit de l'utiliser sans votre accord, que ce soit pour un site web, une page Facebook ou une affiche. Si quelqu'un la publie sans vous demander, vous pouvez lui demander de la retirer ou même porter plainte, même si cela est peu probable sous nos cieux au Burkina Faso. Néanmoins, gardez toujours les fichiers originaux dans votre ordinateur, un disque dur externe ou sur le cloud. Cela pourrait servir si vous devez prouver que vous êtes bien l'auteur.
Pour décourager les voleurs, ajoutez votre nom, logo ou signature directement sur la photo avant de la publier. Vous pouvez placer ce filigrane dans un coin de l'image ou en transparence au centre. Cela dissuade la plupart des voleurs. Vous pouvez utiliser des outils gratuits comme Phonto ou Canva pour signer vos photos. Il y a aussi iWatermark, mais qui est payant et disponible sur Android ou iOS.
Avant de poster une photo, réfléchissez à l'endroit où vous la partagez. Certains réseaux sociaux, comme Facebook ou Instagram, peuvent réutiliser vos images pour leur publicité. Aussi, évitez de publier vos photos en très haute qualité. Si quelqu'un les copie, il ne pourra pas les utiliser à des fins commerciales. Réduisez donc la taille des images avant de les poster. Aussi, ne publiez pas vos meilleures photos sur Internet.
Si la photo est sensible ou personnelle, partagez-la uniquement avec des personnes de votre entourage en modifiant les paramètres de confidentialité. Vous pouvez aussi choisir de la garder en photo et de ne l'utiliser que pour un usage professionnel. Des plateformes comme Flickr ou 500px offrent plus d'options de gestion de vos photos en ligne.
Il est aujourd'hui possible de retrouver vos images sur le web grâce à des outils de recherche inversée. Des sites comme Google Images et TinEye permettent de voir si quelqu'un a utilisé vos photos sans votre permission. Tapez régulièrement vos photos ou votre nom sur Google pour vérifier si elles apparaissent ailleurs. Certains services comme Pixsy ou Imatag vont encore plus loin en surveillant vos photos en continu. Ils vous alertent en cas d'utilisation illégale.
Si vous trouvez votre photo utilisée sans autorisation, contactez la personne ou la page qui l'a publiée pour lui demander de la retirer. Faites une capture d'écran avec la date et l'adresse du site. Signalez le vol à la plateforme (Facebook, Instagram, etc.).
Certes, aucun moyen n'est infaillible, mais il faut être vigilant quand on choisit de faire de la photographie son gagne-pain. Mieux vaut toujours prévenir que guérir.
Ces astuces ne sont pas exhaustives. Si, de par votre expérience, vous connaissez d'autres astuces et applications pour échapper aux voleurs, n'hésitez pas à les partager en commentaire.
Fredo Bassolé
Lefaso.net
L'université Aube nouvelle a effectué sa rentrée universitaire ce lundi 13 octobre 2025. Pour l'année 2025-2026, l'université a accueilli environ 1 000 nouveaux étudiants. La cérémonie officielle d'accueil a connu la présence effective des nouveaux bacheliers, des anciens étudiants et du corps enseignant.
Une année placée sous le signe de la rigueur et de l'intégrité académique, c'est ce que soutient Isidore Gnatan Kini, président-directeur fondateur de l'université Aube Nouvelle ex-ISIG international.
La rigueur dans le travail et l'honnêteté font partie des engagements de l'université. Ces qualités constituent pour lui l'une des raisons pour un étudiant de choisir l'université Aube Nouvelle. À l'entendre, Aube Nouvelle est une université soucieuse de l'avenir de ses étudiants, à telle enseigne que les étudiants qui y fréquentent ne viennent pas uniquement se faire former. Ils apprennent également à s'intégrer dans la société.
« À l'université Aube-Nouvelle, nous nous préoccupons de la formation assurée, d'où l'intégrité, l'honnêteté dans les évaluations, pas de tricherie. La moindre fraude est extrêmement réprimandée. Un étudiant pris en flagrant délit de fraude voit un semestre annulé. Donc cette rigueur académique est vraiment notre préoccupation et nous voudrions que les parents la sachent », a-t-il expliqué.
Cette cérémonie officielle d'accueil, dont l'objectif est de permettre aux nouveaux arrivants de s'assurer du choix qu'ils ont fait, a été marquée par la présentation du programme de l'année, du mécanisme et système d'évaluation ainsi que du système Licence Master Doctorat (LMD).
Par ailleurs, ils ont également été initiés au règlement intérieur. À cet effet, la secrétaire générale de l'université Aube nouvelle Ouaga, Chantal Bouda, a invité les étudiants au respect strict de ce règlement intérieur et au respect mutuel du personnel, car aucune réussite ne peut être atteinte sans discipline.
En outre, Chantal Bouda a encouragé les jeunes étudiants à ne pas se fier aux mauvaises pratiques comme la tricherie, l'usage inapproprié de l'intelligence artificielle, mais plutôt à compter sur leurs propres connaissances et à demeurer des modèles.
« Nous avons encouragé les étudiants à travailler de façon probe, à être des étudiants modèles. Nous les avons encouragés aussi à travailler leurs neurones pour ne pas être au service de ChatGPT. Nous les avons aussi encouragés au respect mutuel car le respect invite au respect », a-t-elle confié.
Durant la cérémonie, les nouveaux arrivants ont assisté à une prise de contact avec le personnel de l'université, allant des coordonnateurs en passant par les chargés d'études, les chefs de scolarité, sans oublier les enseignants à temps plein, etc.
Créée depuis 1992, l'université Aube Nouvelle compte aujourd'hui 26 enseignants permanents au rang de docteur et environ 400 enseignants vacataires. Elle dénombre également plus d'une soixantaine de filières.
L'année universitaire qui a débuté ce 13 octobre 2025 prendra fin en juillet 2026. À noter que pour le classement des universités privées du Burkina Faso, U-Auben est classée 15ᵉ pour son campus de Ouagadougou et 6ᵉ pour celui de Bobo-Dioulasso.
Hanifa Koussoubé
Muriel Dominique Ouédraogo (stagiaire)
Crédit photos Bonaventure Paré
Lefaso.net
Une délégation de la communauté burkinabè résidant au Ghana conduite par M. Romuald Sawadogo, représentant du Haut Conseil des Burkinabè de l'étranger pour la région du Grand Accra, s'est rendue au ministère des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l'extérieur. Accompagnée de chefs coutumiers et de personnalités ressources, elle a procédé à une remise solennelle de dons au Fonds de soutien patriotique.
Cette contribution s'inscrit dans le cadre de la Journée de mobilisation patriotique et culturelle (JMPC), organisée les 5 et 6 juillet 2025 par l'ambassade du Burkina Faso à Accra. Cette initiative avait permis de collecter la somme de 10 000 000 de francs CFA.
La cérémonie officielle de remise s'est tenue le mercredi 8 octobre 2025. La délégation, comptant parmi ses membres des autorités coutumières telles que El Hadj Mohammed Anebahoum Badjembou, chef de la communauté kassena-nankana d'Accra, a officiellement remis le fruit de cette collecte aux représentants du département ministériel.
Profitant de leur séjour au Burkina Faso, les membres de la délégation se sont également rendus sur le site de Faso Mêbo, où ils ont effectué un don complémentaire de 50 tonnes de ciment, renforçant ainsi leur engagement concret envers le développement national.
Agbegnigan Yaovi
Lefaso.net
Placée sous le thème « Toutes en forme, toutes concernées », la première édition de El'bouge s'est tenue le samedi 11 octobre 2025 à Ouagadougou. Cette initiative, dédiée à la santé de la femme et à la sensibilisation sur le cancer du sein, a combiné sport, dépistage et échanges autour de la prévention. Une première édition qui a tenu toutes ses promesses.
Dès les premières heures de la matinée, les participantes ont répondu présentes à l'appel du mouvement El'bouge, qui vise à encourager les femmes à adopter une vie active pour préserver leur santé. Au programme : un cours de bodybalance pour bien démarrer la journée, suivi d'une séance gratuite de dépistage du cancer du sein.
Dans une ambiance conviviale et motivante, les participantes ont également pu tenter leur chance à un jeu tombola, avec, à la clé, des abonnements à la salle de sport Kosso Cross Fit et des tickets pour le show du “King of Squat”, symbole de vitalité et de dépassement de soi.
Béla Ouédraogo a rappelé, dans son allocution, que la beauté et la force d'une femme résident dans sa résilience.Au-delà de l'effort physique, cette première édition a été marquée par une séance de sensibilisation riche en échanges. Un panel, tenu autour du thème « Bouger pour la vie : rôle du sport et de la prévention dans la lutte contre le cancer du sein », a réuni trois gynécologues, la présidente d'une association de lutte contre le cancer et un coach sportif.
Les discussions ont permis de mettre en lumière le lien étroit entre activité physique et prévention. Les spécialistes ont rappelé que la pratique régulière du sport réduit significativement les risques de développer un cancer du sein et améliore la qualité de vie des patientes en traitement ou en rémission.
Béla Ouédraogo, en pleine séance de bodybalanceAttentives et curieuses, les participantes n'ont pas manqué de poser des questions sur les signes précoces de la maladie, les méthodes de dépistage ou encore les habitudes de vie à adopter.
Une sensibilisation saluée pour sa clarté et sa pertinence.
Après cette phase d'échanges et d'apprentissage, place à la dépense énergétique collective. Les organisateurs ont invité les participantes à clôturer cette première édition par des sessions intenses de bodycombat et de Zumba, synonymes de joie, d'énergie et de libération.
Les participants ont profité de l'occasion pour soumettre leur question aux panélistesDans une atmosphère de fête et de solidarité, femmes et hommes ont bougé, dansé et transpiré ensemble, envoyant un message fort : « Le sport, c'est la vie. »
Béla Ouédraogo, l'une des initiatrices de l'événement, a rappelé avec émotion que « ce qui rend belle une femme, ce n'est pas son visage, son corps ou ses formes, mais sa force intérieure et sa capacité à se relever. » Elle a souligné que la lutte contre le cancer du sein est l'affaire de toutes et de tous, car « la santé d'une femme, c'est la santé d'une famille, d'une communauté, d'un pays. »
L'événement s'est achevé sur des mots d'encouragement et de reconnaissance adressés aux partenaires, notamment Josiane Bambara, directrice générale de Tangui Immobilier et marraine de l'édition ; Hamed Kadiogo, directeur général d'Emprint Forse School ; et Kosso Sangaré, promoteur de la salle Kosso Cross Fit, sans oublier l'ensemble des soutiens techniques et bénévoles.
Vue partielle des participantsCette première édition de El'bouge aura su allier sport, sensibilisation et solidarité, tout en rappelant l'importance du mouvement dans la prévention du cancer du sein.
Face à l'enthousiasme suscité et à la pertinence du message, les initiateurs envisagent déjà une seconde édition encore plus inclusive et participative, pour que chaque femme puisse continuer à bouger, prévenir et vivre pleinement.
Anita Mireille Zongo (stagiaire)
Lefaso.net
WYN-008-2025
Suite à une révision des profils à recruter, nous invitons tous les candidats ayant déjà postulé à l'Avis WYN-007-2025 et les nouveaux candidats intéressés à soumettre leurs candidatures conformément au présent communiqué.
WHAT YOU NEED SA, à travers son département GRH et développement des performances, recrute des Jeunes Talents (H/F) rémunérés pour le compte de la Société Nationale Burkinabè des Hydrocarbures (SONABHY).
CONTEXTE ET JUSTIFICATION :
Le manque de compétences des jeunes diplômés ou l'inadaptation de leurs compétences aux besoins du marché du travail, mais aussi le faible taux d'offre d'emplois, sont des freins à leur insertion professionnelle. Cela constitue de nos jours une source de préoccupation dans les instances de décision au niveau national et mondial. En effet, le taux de chômage au niveau mondial des jeunes est de 13, 6%. Au Burkina Faso, il est de 14,7% pour ceux qui ont une formation technique et professionnelle, contre 15,4% pour ceux ayant une formation générale et 23% pour ceux de la formation technique et professionnelle dans les filières tertiaires.
Face à cette situation, plusieurs structures privées se sont engagées dans l'accompagnement des jeunes diplômés par l'octroi d'opportunités suivant un programme dénommé « Jeunes talents ». Le programme
« jeunes talents » constitue un tremplin pour l'insertion et le développement professionnel des jeunes diplômés en leur offrant l'opportunité d'avoir les bases d'une carrière professionnelle solide. Il permet également de développer et de soutenir le système d'adéquation « formation-emploi », contribuant ainsi à la compétitivité de la jeunesse du pays sur le marché de l'emploi.
Dans le cadre de sa Responsabilité Sociétale des entreprises (RSE), la SONABHY s'investit à soutenir les aspirations socio-économiques du Burkina Faso dans plusieurs segments dont le développement du capital humain. C'est pourquoi la SONABHY a décidé de jouer pleinement sa partition à travers son Programme « Jeunes Talents » destiné à accroître l'attractivité des talents, le développement de leurs compétences et la formation des futurs leaders du pays.
À travers le programme « Jeunes Talents », lancé en 2024, la SONABHY a démontré sa volonté d'offrir aux jeunes diplômés des opportunités concrètes de perfectionnement et d'intégration dans le tissu socio-économique national.
La première cohorte, composée de cinq jeunes formés dans des domaines stratégiques, a permis de mesurer l'impact positif d'un accompagnement structuré. Ces résultats probants justifient aujourd'hui la reconduction et l'extension du programme à de nouveaux jeunes diplômés.
Le programme « Jeunes talents » se positionne ainsi comme un véritable tremplin pour l'insertion et le développement professionnel, consolidant le lien entre formation et emploi et contribuant à la compétitivité de la jeunesse burkinabè sur le marché du travail.
Postulez donc afin de saisir l'occasion pour des immersions pratiques qui vous permettront de développer vos compétences et d'améliorer votre insertion professionnelle au Burkina et à l'international.
Ce programme vous offre la chance de devenir un futur leader et de contribuer activement au développement économique du Burkina Faso. Ne manquez pas cette occasion de propulser votre carrière !
Pour cette deuxième phase du Programme « Jeunes Talents », la SONABHY ouvre les (07) postes suivants :
1. Un (01) Jeune talent en Transport logistique de niveau bac+5
2. Un (01) Jeune talent en Gestion des Ressources Humaines de niveau bac+5
3. Un (01) Jeune talent en Finances de niveau bac+5
4. Un (01) Jeune talent Ingénieur Statisticien-Economiste de niveau bac+5
5. Un (01) Jeune talent en Comptabilité Analytique de niveau bac+5
6. Un (01) Jeune talent en Energies Renouvelables de niveau bac+5
7. Un (01) Jeune talent en Markéting de niveau bac+5
Important : Veuillez lire l'intégralité du communiqué avant de postuler !
A- Conditions générales
Les candidats aux différents postes doivent satisfaire aux conditions générales suivantes :
• Être de nationalité Burkinabè ;
• Être âgé de 22 ans au moins et de 30 ans au plus au 31 décembre 2025 ;
• Être physiquement bien portant et jouir de l'ensemble de ses facultés mentales ;
• Être immédiatement disponible ;
• S'exprimer couramment en français ;
• Avoir un diplôme de niveau Bac+5 soutenu après le 31/12/2022 (les attestations d'admission ne sont pas recevables)
• Ne pas être un Jeune Talent SONABHY de la cohorte 2024
• Partager ou désirer développer les valeurs professionnelles suivantes :
L'esprit d'équipe, le sens du leadership, le désir d'acquérir de nouvelles connaissances et des compétences, la courtoisie, le travail bien fait, la ponctualité et l'assiduité, le respect de la hiérarchie, la rigueur, le professionnalisme et le sens de la responsabilité.
B- Description des postes à pourvoir
1- Jeune talent en Transport logistique
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en transport logistique, commerce international
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans le déploiement des technologies avancées dans l'organisation de la circulation des produits de la société en vue de permettre une meilleure traçabilité et une optimisation des coûts.
– Lieu de travail : Direction stratégique trading et approvisionnement à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
2- Jeune talent en Gestion des Ressources Humaines
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en Gestion des Ressources Humaines avec des compétences en intelligence Artificielle ;
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Contribuer à la mise en œuvre et à l'optimisation d'une démarche de la Gestion prévisionnelle des Emplois et des compétences (GPEC) à travers la digitalisation, l'innovation et l'accompagnement des processus RH au sein de la société.
– Lieu de travail : Direction des Ressources Humaines à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
3- Jeune talent en Finances
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en finance quantitative ou gestion des risques financiers, en Banques Finances.
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans l'optimisation et l'automatisation de la gestion des flux financiers à travers le développement et la mise en place d'outils innovants pour accroitre la productivité de la société.
– Lieu de travail : Direction Financière et Comptable à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
4- Jeune talent Ingénieur Statisticien-Economiste
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme d'Ingénieur Statisticien-Economiste de niveau Bac+5
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Collecter, analyser et modéliser des données économiques et statistiques afin d'éclairer la prise de décisions stratégiques
– Lieu de travail : Direction Générale à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
5- Jeune talent en Comptabilité Analytique
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en Audit Contrôle Comptabilité, Finances Comptabilité ou Sciences de Gestion ;
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans l'optimisation des coûts et le contrôle des dépenses ainsi que l'appui à la prise de décision stratégique favorisant la rentabilité et l'accroissement de la performance au profit de la société.
– Lieu de travail : Direction du Contrôle de Gestion à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
6- Jeune talent en Energies Renouvelables
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 en Energies Renouvelables ;
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans l'exploration des alternatives énergétiques durables en préconisant des technologies innovantes permettant d'atteindre l'efficacité énergétique dans les projets et investissements de la société.
– Lieu de travail : Direction de la qualité hygiène ; sécurité et environnement à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
7- Jeune talent en Markéting
– Nombre de poste à pourvoir : 01
– Niveau d'études : Être titulaire d'un diplôme de niveau Bac+5 (Master) en Marketing, Marketing Digital, Marketing et stratégie ;
– Expérience professionnelle : Non exigée
– Aptitudes professionnelles : Intervenir dans l'élaboration et à la mise en œuvre de stratégies marketing innovantes et contribuer à l'analyse du marché, des comportements clients pour proposer des pistes d'optimisation de l'expérience client.
– Lieu de travail : Direction Commerciale et Marketing à Ouagadougou
– Disponibilité : Être immédiatement disponible
C- Composition du dossier
• Une demande adressée à Monsieur l'Administrateur Général de WHAT YOU NEED précisant le poste à pourvoir
• Une lettre de motivation datée et signée et mettant en exergue son projet professionnel adressée à Monsieur l'Administrateur Général de WHAT YOU NEED
• Un curriculum vitae détaillé, sincère, daté et signé
• Une copie légalisée du diplôme exigé
• Une copie légalisée de la Carte Nationale d'Identité Burkinabè ou du Passeport
En cas d'admission les candidats devront fournir des pièces complémentaires suivantes :
• Un certificat de nationalité burkinabè ;
• Un casier judiciaire datant de moins de trois (03) mois.
D- Date et lieu de dépôt des dossiers de candidature
Les dossiers de candidatures sont reçus exclusivement en ligne à l'adresse : wynrecrutejeunetalent@gmail.com du mardi 14 octobre 2025 à 00H00 au jeudi 23 octobre 2025 à 23H59. Le dossier de candidature doit être envoyé en un seul fichier en format PDF en précisant en objet le titre du poste.
E- Procédure de recrutement
• Phase 1 : Présélection sur dossier : Seuls les cent (100) premiers dossiers de candidature par poste à pourvoir seront pris en compte pour la présélection.
• Phase 2 : Entretiens oraux et évaluation des habilités professionnelles : A l'issue du test oral seuls les trois (03) meilleurs candidats par poste à pourvoir seront retenus pour le classement final.
• Phase 3 : Entretiens oraux définitifs : les trois meilleurs candidats seront auditionnés par les directions d'accueil en vue de la sélection définitive du jeune talent.
• Toute note inférieure à 07/20 dans une épreuve est éliminatoire
• L'admission d'un candidat n'est prononcée que lorsqu'il a obtenu une moyenne totale supérieure ou égale à 12/20
• Seuls les candidats présélectionnés à une étape donnée seront invités à prendre part à l'étape suivante
• Toutefois, l'admission n'est définitive qu'après un contrôle approfondi.
F- Informations utiles :
• Seul l'avis de recrutement publié par le cabinet fait foi
• Seul le diplôme exigé est accepté
• Seuls les cent (100) premiers dossiers de candidature par poste à pourvoir déposés au cours de la période et par la voie sus-indiquée seront reçus et pris en compte
• Les diplômes présentés feront l'objet de vérification de leur authenticité
• Le lieu et la date de déroulement des différentes épreuves seront communiqués à l'issue de chaque étape à travers le site web de WHAT YOU NEED (www.wyngroupe.com) et ses réseaux sociaux Facebook et LinkedIn
• Le cabinet se réserve le droit de ne donner aucune suite au présent avis de recrutement
G- Renseignements :
Pour toute information complémentaire, veuillez appeler le 25452460 du lundi au vendredi de 08h00 à 16h00 ou visiter notre site web www.wyngroupe.com et nos pages Facebook et LinkedIn.
Aboubakari OUEDRAOGO
Administrateur Général
Le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation a tenu, ce lundi 13 octobre 2025 à Bobo-Dioulasso, une conférence de presse sur la rentrée académique 2025-2026 et la situation des retards académiques dans les universités publiques du Burkina Faso. La rencontre, présidée par le ministre Adjima Thiombiano, a permis de dresser un bilan encourageant des efforts engagés pour la normalisation du calendrier universitaire à l'échelle nationale.
Face à la croissance rapide des effectifs, à l'insuffisance des infrastructures pédagogiques et au déficit d'enseignants, les institutions d'enseignement supérieur et de recherche (IESR) du Burkina Faso ont longtemps été confrontées à des retards et des chevauchements d'années académiques. Selon le ministre Adjima Thiombiano, grâce aux réformes entreprises par le ministère depuis 2023, la situation connaît une amélioration significative.
En effet, selon le Pr Thiombiano, le taux de normalisation des années académiques est passé de 50,47% en octobre 2023 à 81,30% en septembre 2024, pour atteindre 92,52% au 30 septembre 2025. Ces résultats ont été obtenus grâce à la poursuite des activités académiques pendant les périodes de vacances et à la mise en place d'un dispositif rigoureux de planification et de suivi des cours dans les IESR.
Plusieurs actions structurantes ont contribué à ces performances. Parmi elles, la réhabilitation d'infrastructures pédagogiques, l'équipement des laboratoires, la dotation en ordinateurs portables des chefs de départements, et la connexion internet dans les universités publiques. Le ministère a également veillé au règlement partiel de la dette sociale, au maintien des œuvres universitaires (restauration et hébergement) durant les vacances, ainsi qu'à l'appui de la SOTRACO pour le transport des étudiants.
L'opérationnalisation de la plateforme numérique “Campus Faso” a aussi marqué un tournant majeur dans la gestion administrative et académique. Cet outil facilite désormais la programmation des cours, la tenue des délibérations, la délivrance des attestations et relevés de notes, ainsi que la gestion des salles.
Malgré ces avancées, certaines filières accusent encore des retards. Au total, 24 filières sur 321 (7,48%) restent non normalisées. L'Université Joseph KI-ZERBO concentre à elle seule 13 filières en retard (20%), suivie de l'Université Nazi BONI (5 filières, 6,49%), de l'Université Norbert ZONGO (4 filières, 5,71%), de l'Université Thomas SANKARA (1 filière, 2,17%) et de l'Université Virtuelle du Burkina (1 filière, 7,69%).
Cependant, certaines institutions se distinguent par leur performance. C'est le cas de l'École Polytechnique de Ouagadougou (EPO), de l'École Normale Supérieure (ENS), de l'Université Lédéa Bernard Ouédraogo (ULBO), de l'Université Yembila Abdoulaye Toguyeni (UYAT) et désormais de l'Université Daniel Ouézzin Coulibaly (UDOC), toutes ayant réussi à normaliser leurs années académiques.
Lefaso.net
SankMoney, la solution africaine de mobile money, a offert une surprise chaleureuse à ses collaborateurs lors d'une cérémonie de reconnaissance, démontrant ainsi son engagement envers le bien-être de son personnel.
Les dirigeants de SankMoney, conscients des efforts déployés par leurs équipes pour faire de l'entreprise l'une des solutions de mobile money les plus prisées au Burkina Faso, ont décidé de marquer le coup en récompensant leurs employés. Plus de 100 collaborateurs, principalement des jeunes, ont ainsi reçu des attestations de reconnaissance, tandis que les employés les plus performants ont été gratifiés d'un téléphone et de motos de haute qualité. Une collaboratrice a même eu l'honneur de recevoir une voiture MG RX5 flambant neuve de la société MERVEILLE DISTRIBUTION.
Le personnel a reçu des attestationsBoureïma Nanéma, Président du conseil d'administration de SankMoney, a souligné l'importance de cette initiative, affirmant que la société, en tant qu'entreprise citoyenne, se préoccupe du bien-être de la population. Il a exprimé la nécessité de reconnaître les efforts fournis par le personnel et les a encouragés à poursuivre dans cette voie.
Au milieu, Boureïma Nanéma a invité le personnel à plus de rigueur afin de relever les défis« Ce geste vise à les motiver à donner le meilleur d'eux-mêmes. Nous souhaitons les inciter à redoubler d'efforts, car notre aventure ensemble est encore longue. Nous aspirons à avoir un impact positif sur la vie des Burkinabè », a-t-il déclaré, tout en exprimant sa fierté pour le travail acharné de ses équipes.
Le directeur général, Sada Zougmoré, a également pris la parole pour remercier ses collaborateurs et évoquer l'importance de leur engagement. Il a précisé que les récompenses avaient été attribuées en fonction des résultats et du respect des principes de travail.
« Nous sommes engagés dans la construction du Burkina Faso. Nous demandons à chacun d'être prêt à répondre aux besoins de la population », a-t-il ajouté.
Une équipe reconnaissante
Le personnel a exprimé sa gratitude pour les récompenses reçues. La directrice corporate, Sinini Millogo, a été particulièrement émue de recevoir la voiture, se déclarant reconnaissante de la confiance accordée par la direction.
Madame Millogo recevant sa voiture« Je suis profondément touchée par cette reconnaissance. Je n'ai jamais ménagé mes efforts pour soutenir l'initiative. Mes collaborateurs doivent continuer à croire en eux pour relever les défis à venir », a-t-elle déclaré.
Alassane Sanfo, également récompensé par une moto et un téléphone, a souligné l'importance de cette initiative pour galvaniser le personnel. « Cette reconnaissance nous motive à continuer de travailler dur. Nous sommes fiers de faire partie de cette jeune entreprise, et nous avons hâte de réaliser de grands exploits ensemble », a-t-il affirmé.
À droite, Alassane Sanfo a reçu une moto et un téléphone de qualité supérieureÀ propos de SankMoney
SankMoney propose une solution permettant de transférer de l'argent, d'effectuer des paiements, d'acheter des recharges téléphoniques, ainsi que du carburant, facilitant ainsi la vie quotidienne de ses utilisateurs.
SB
Lefaso.net
« J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. »
2 Timothée 4 : 7
La grande famille YAMEOGO à Issouka, Koudougou, Bobo Dioulasso, Ouagadougou et en Allemagne
Les grandes familles PARE et KI à Kissan, Bounou, Toma, Bobo-Dioulasso et Ouagadougou
La famille de Feu Laurent YAMEOGO à Bobo-Dioulasso,
Les frères et sœurs, NANA / YAMEOGO Agnès, PARE Jean, PARE Florence, PARE Gabrielle, YOUL/PARE Caroline
Les enfants :
Julienne à Tougan,
Mamadou Jean Désiré à Bobo-Dioulasso,
Noëlla Adélaïde à Tenkodogo,
Edwige Amonoria à Ouagadougou,
Wendsomdé Evariste Sosthène, en Allemagne,
Wëndtoin Sylvianne Eléonore à Banfora,
Wendpagnangdé Serge Hermann en Allemagne,
Sombe-Winddin Estelle Stéphania à Bobo-Dioulasso,
Boinzemwendé Emery Laurentin Sylvère en Allemagne,
La sœur Marthe KI à Sabcè
La sœur Annie Gisèle SOW, à Safané
Les familles alliées : ZONGO, NANA, ZOMA, BAMBARA, OUEDRAOGO, YOUL, SANOU, MILLOGO, YAMYAOGO, TRAORE, SEELIG, TIOLE, GODERDZISHVILI, SOW, TOE, ZAN
Les petits enfants et arrières petits enfants, ont la profonde douleur de vous annoncer le décès des suites de maladie, le jeudi 02 octobre 2025 à Bobo-Dioulasso, de leur épouse, fille, sœur, mère, grand-mère, arrière-grand-mère,
Madame YAMEOGO / PARE Catherine, précédemment Conseillère pédagogique à la retraite à Bobo-Dioulasso.
Les obsèques sont prévues comme suit :
Mercredi 08 octobre 2025
20 heures : Veillée de prière au domicile familial à Yéguéré, Secteur 10, Bobo-Dioulasso
Jeudi 09 octobre 2025
9 heures : Levée du corps à la morgue du Centre hospitalier universitaire Souro Sanou de Bobo-Dioulasso
10 heures : Recueillement au domicile familial
13 heures 15 : Levée du corps au domicile pour l'Eglise
14 heures : Messe d'absoute au Sanctuaire Notre Dame de la Salette (secteur 22, Bobo-Dioulasso), suivie de l'inhumation au domicile familial.
Union de prières !
In memoriam :
Déjà un (01) an qu'il a plu au Seigneur de rappeler auprès de lui sa servante TENE GERTRUDE OUEDRAOGO/FAHO agent du MATDS à la retraite dans sa 66 ème année.
En ce premier anniversaire :
Sa majesté NAABA KIBA Roi du Yatenga
Le Baloum NAABA du Yatenga
La Grande Famille de Feu OUEDRAOGO Mamadou Michel
La Grande Famille de Feu GUESSEBEOGO
Les familles FAHO, TRAORE, TARO, YAKORO, COULIBALY, YANFONI, DAKYO, SEINI, ZOUMBARA et BASSOLET à Bourasso, Dara, Sikoro, Biron BWABA, Nouna, Lekuy, Bobo Dédougou, Réo et Ouagadougou
Les familles alliées, GUISSOU, KABORE, BOUGOUM, BOLOGO, SAWADOGO, à Ouahigouya, Béma, Bobo- Dioulassso, Sarma, Gourcy, Koudougou, Yako, Tema-Bokin, Poa, Dédougou et Ouagadougou.
Les enfants : Ben Idriss, Souleymane, Ismaël et Sourraia
Les petits enfants : Jalil, Joris, Noam et Nala
Vous renouvellent leurs sincères remerciements et leur profonde gratitude pour les nombreuses marques d'amitié, de sympathie, de compassion, et de soutiens multiformes.
Que Dieu tout puissant leur rende au centuple.
Ils vous demandent de garder une pensée pieuse envers la défunte et vous informent que des messes seront dites pour le repos de son âme à la Paroisse Saint Pierre de Gounghin.
Que l'âme de TENE GERTRUDE OUEDRAOGO/FAHO repose en paix dans la lumière du Christ.
Programme des messes - Paroisse Saint Pierre de Gounghin
Mercredi 08 octobre 2025 : 5h45 et 9h00
Dimanche 02 novembre 2025 : 9h00
Dimanche 07 décembre 2025 : 9h00
Dimanche 04 janvier 2026 : 9h00
Dimanche 01 février 2026 : 9h00
Dimanche 01 mars 2026 : 9h00
Dimanche 12 avril 2026 : 9h00
Dimanche 03 mai 2026 : 9h00
Dimanche 07 juin 2026 : 9h00
Dimanche 05 juillet 2026 : 9h00
Dimanche 02 août 2026 : 9h00
Dimanche 06 septembre 2026 : 9h00
Dimanche 04 octobre 2026 : 9h00
Samedi 10 octobre 2026 : 5h45 et 9h00
Dimanche 08 novembre 2026 : 9h00
Dimanche 06 décembre 2026 : 9h00