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Diplomacy & Defense Think Tank News

Massenproteste: Venezuela fordert die Abberufung von Präsident Maduro

Konrad Adenauer Stiftung - ven, 02/09/2016 - 00:00
Ein Land geht auf die Straße. Alleine in Caracas waren es hunderttausende Venezolaner, die dem Ruf der Opposition gefolgt sind.

Thailands Verfassung 20.0

SWP - jeu, 01/09/2016 - 10:27

Anfang August haben die Thailänderinnen und Thailänder in einem nationalen Referendum eine neue Verfassung angenommen. Damit sind die Würfel im Spiel um Thailands Zukunft vorerst gefallen. Das regierende Militär nutzte das Referendum, um die Übernahme der Macht legitimieren zu lassen, die es mit dem Putsch im Mai 2014 an sich gerissen hatte, aber auch um langfristig seine politischen Einflussmöglichkeiten verfassungsrechtlich zu verankern. Zwar ist nun die Chance theoretisch größer, zu demokratischen Wahlen zurückzukehren. Eine zivile, demokratisch gewählte Regierung ist mit dieser Verfassung aber nicht zu erwarten, da ein Drittel der Mitglieder des Zweikammerparlaments von der amtierenden Militärregierung ernannt wird. An dem langjährigen innenpolitischen Konflikt wird sich wenig ändern. Mittel- bis langfristig ist daher mit einer erneuten Welle von Aktivitäten der außerparlamentarischen Opposition und mit gewaltsamen Auseinandersetzungen zu rechnen. Die jüngsten Bombenanschläge im Süden des Landes lassen erwarten, dass nicht nur die Shinawatra-Anhänger gegen die politische und gesellschaftliche Zukunft opponieren werden, die das Militär anstrebt.

Academic Discussion on Status of Local Government in the Transition Period

Hanns-Seidel-Stiftung - jeu, 01/09/2016 - 05:44
Academic Discussion on Status of Local Government in the Transition Period

Außenminister des Vatikans zu Gast: „Enger Austausch zwischen Religion und Politik“

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 01/09/2016 - 00:00
Religiöse Führer und Akteure müssten sich entschieden gegen jede Form von religiösem Extremismus einsetzen, so Erzbischof Paul Richard Gallagher in Berlin.

Parlament aufgelöst: Kroatien vor schwierigen Neuwahlen

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 01/09/2016 - 00:00
Mit der Auflösung des kroatischen Parlaments und der Festsetzung des Wahltermins auf den 11. September beginnt nun die heiße Phase des Wahlkampfes.

Konrad Adenauer - private Momente

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 01/09/2016 - 00:00
Der Monatskalender zeigt den ersten deutschen Bundeskanzler Konrad Adenauer von einer unbekannteren Seite, in privaten Momenten. Manchen Monaten sind außerdem Zitate von ihm beigefügt.

¿Por qué la economía crece tanto aunque no haya Gobierno?

Real Instituto Elcano - mer, 31/08/2016 - 12:33
Opinión - 31/8/2016
Federico Steinberg
Cuanto antes tengamos un gobierno que aborde los retos de largo plazo que enfrenta nuestro país mucho mejor, pero, por el momento, todo parece indicar que seguiremos creciendo.

Syrie : « L’intervention de la Turquie redistribue les cartes »

IRIS - mer, 31/08/2016 - 10:09

L’offensive de l’armée turque à la frontière syrienne contre les forces du groupe État islamique et les forces démocratiques syriennes (FDS), principalement constituées et encadrées par les YPG (Unités de protection du peuple), va-t-elle redistribuer les cartes quant aux forces présentes sur le terrain ?

Oui, incontestablement. L’intervention de l’armée turque a permis de reprendre un certain nombre de localités à l’État islamique, prises aujourd’hui en tenaille entre les forces turques et les YPG. L’enjeu des affrontements de ces derniers jours se situe dans la zone située entre la localité de Jarabulus, récemment reconquise par les forces rebelles syriennes soutenues par l’armée turque, et la frontière turque. Cette zone fait office de point de passage sanitaire, alimentaire et militaire pour l’État islamique. Si les FDS ou l’armée turque venait à la contrôler, cela porterait un coup dur à l’organisation.
D’autre part, l’intervention de la Turquie redistribue les cartes dans cette partie de la Syrie en termes de forces présentes sur le terrain. Les FDS, au sein desquels les Kurdes liés au YPG sont majoritaires, étaient il y a quelques semaines la seule force capable de s’opposer victorieusement à l’État islamique. Au fil de leur avancée, les Kurdes de Syrie sont en mesure de modifier les rapports de force, mais aussi les enjeux politiques de la région. Car le Parti de l’union démocratique (PYD) profite de la progression militaire de sa branche armée, le YPG, pour instaurer des administrations cantonales sous sa direction. Le but de Recep Tayyip Erdogan est donc de freiner la montée en puissance militaire et politique du PYD, voire, comme il l’a déclaré publiquement, de « nettoyer » la zone de leur présence. L’intervention de son armée doit leur empêcher de relier les trois cantons qu’ils dominent : deux d’entre eux sont à l’est, un autre est à l’ouest. Si les Kurdes parvenaient à faire la jonction des cantons, ils contrôleraient la majeure partie du territoire frontalier à la Turquie. C’est ce que craint le chef de l’Etat turc et ce qui l’a, en partie, motivé à envoyer son armée.

Pensez-vous que l’offensive turque contre les combattants kurdes de Syrie, soutenus par les États-Unis, pourrait provoquer une crise diplomatique entre Ankara et Washington ?

Non, je ne le pense pas. Au cours des derniers mois, les Etats-Unis ont soutenu et équipé les YPG alors que la Turquie, alliée des Etats-Unis et membre de l’OTAN, les considère comme une organisation terroriste car extension syrienne du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). L’attitude des Etats-Unis était ambiguë, mais il y a encore quelques semaines, les combattants kurdes constituaient la seule force, au sol, capable de tenir tête à l’État islamique. L’intervention de l’armée turque avec son opération « bouclier de l’Euphrate » change la donne. Joe Biden, le vice-président des Etats-Unis en visite à Ankara mercredi dernier, a clairement affirmé son soutien à l’opération. Il a également appelé les combattants kurdes à se retirer sur la partie orientale de l’Euphrate. Aussi si les Etats-Unis ne devraient pas stopper leur aide aux Kurdes de Syrie, ils devraient se montrer à l’avenir beaucoup plus exigeants.
Les États-Unis ont donc fait un choix stratégique. Ils préfèrent une alliance forte, efficace et opérationnelle avec la Turquie plutôt qu’avec les groupes kurdes de Syrie. Pour eux, l’enjeu est, en effet, bien plus important du point de vue géopolitique. Cela étant la situation est très volatile et peut évoluer très rapidement.

Quelle est la situation des forces en présence en Syrie ? Daech est-il toujours en train de perdre du terrain ?

En réalité, Daech n’est qu’une partie de l’équation. Il détient quelques pans du territoire, mais leur véritable implantation s’est faite dans les villes, notamment à Raqqa. Si le retrait de Daech dans des petites localités est incontestable, son affaiblissement est relatif. Il reste maître de villes importantes et de son bastion, Raqqa pour laquelle Daech s’est particulièrement préparé à sa défense.
Les forces kurdes de Syrie, qui ne se trouvent qu’à une trentaine de kilomètres de cette dernière depuis plusieurs mois, ont plusieurs fois été sollicitées par les Etats-Unis pour passer à l’offensive, mais ils s’en gardent bien. Pour s’y attaquer, il leur faut avant tout se préparer en termes de tactique militaire et essayer d’assécher les réseaux d’approvisionnement de la ville de Raqqa pour affaiblir les positions de l’Etat islamique.
Par ailleurs, Alep est un des considérables enjeux géopolitiques et militaires : des groupes qui parviendront à contrôler Alep, dépendra certainement l’avenir de la Syrie. Mais pour l’instant, aucune force n’est en mesure de dominer la ville, et les populations civiles en paient le prix fort.
Les combats y font rage entre les forces de Bachar al-Assad et les combattants de l’Armée syrienne libre (ASL) considérés comme « modérés ». Ces derniers, sur la défensive, se sont vus contraints au cours de l’été de s’allier aux islamistes du Front Fatah al-Sham (ex-Front al-Nosra, lié à d’Al-Qaïda) pour reprendre certains quartiers et desserrer l’étreinte que fait peser l’armée syrienne restée loyale à Bachar al-Assad.
On assiste ainsi, à Alep comme ailleurs, à une polarisation extrême des tensions et l’on constate que désormais il n’y a plus beaucoup de place pour les forces dites « modérées » entre, d’une part les forces de Bachar al-Assad massivement soutenues par la Russie, le Hezbollah et l’Iran, et d’autre part les groupes djihadistes qu’ils s’appellent Etat islamique ou Fatah al-Sham, en bonne partie soutenus par les Etats arabes du golfe.
La Syrie est aujourd’hui divisée entre forces gouvernementales, Kurdes, Etat islamique, rebelles dits « modérés » et groupes djihadistes ou salafistes et aucune faction n’est en mesure d’imposer sa prééminence aux autres. Et l’on constate que, malheureusement, les djihadistes, autres que l’Etat islamique, sont en passe de s’imposer comme des combattants incontournables pour régler un certain nombre de sous-conflits nationaux.

Marokko vor den Parlamentswahlen: Reformpolitik auf dem Prüfstand

Hanns-Seidel-Stiftung - mer, 31/08/2016 - 00:00
Zum vierten Mal werden am 7. Oktober 2016 unter der Regentschaft von König Mohammed VI. Parlamentswahlen stattfinden. Sie werden die zweiten sein, die seit Inkrafttreten der neuen Verfassung vom Juli 2011 durchgeführt werden. Die administrativen und formalen Vorbereitungen laufen auf Hochtouren, bevor am 24. September der offizielle Wahlkampf beginnen wird.

Von Hangzhou nach Hamburg

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 31/08/2016 - 00:00
Bisher leidet die G20 an einer wechselnden Agenda, die die Fokussierung erschwert. Der chinesische Vorsitz möchte 2016 eine thematische Konzentration auf klassische Themen vor allem der Wirtschafts- und Finanzpolitik erreichen und die einzelnen Präsidentschaften stärker miteinander verbinden. Eine solche überjährige Agenda wäre hilfreich, um die G20 zu einem wirksamen Instrument der globalen Ordnungspolitik weiterzuentwickeln. Das Papier zeigt mögliche Ansatzpunkte einer überjährigen Zusammenarbeit zwischen dem aktuellen Vorsitz Chinas und der 2017 folgenden deutschen Präsidentschaft auf.

Accords de paix en Colombie : un processus exemplaire dans un monde débordé par des conflits sans solution

IRIS - mar, 30/08/2016 - 16:29

L’accord de paix, que de nombreux observateurs qualifient d’historique et qui a débouché sur un « cessez-le feu définitif » entre les FARC et les forces gouvernementales, doit encore être ratifié. Quelles sont les étapes manquantes à l’adoption définitive de l’accord ? Peuvent-elles l’empêcher de voir le jour après cinquante-deux ans de conflit armé ?

La première étape importante de ces accords concerne le « cessez-le-feu définitif » déclaré le 27 août 2016, au terme de quatre années de négociation en Norvège et à Cuba. Les FARC doivent consulter leur base à la mi-septembre pour valider le compromis signé avec les autorités. Une cérémonie officielle de signature doit ensuite être organisée, peut-être aux Nations unies. Le processus sera validé, ou rejeté, par référendum le 2 octobre. Les Colombiens doivent se prononcer pour ou contre les accords de paix mettant un terme à un conflit cinquantenaire et qui aurait causé la mort de 260 000 personnes. Si la majorité des Colombiens sont pour, la campagne n’a pas encore commencé. Et il faudra compter avec des opposants aux accords de paix, à commencer par l’ancien président Alvaro Uribe. Les opposants dénoncent notamment la remise en liberté et l’amnistie des guérilleros présentés comme des criminels.

Quels sont les principaux points de l’accord de paix entre les FARC et le gouvernement de Juan Manuel Santos ? Vont-ils changer le quotidien des Colombiens ?

Les accords de paix comportent six points. Ils concernent l’agriculture, la reconversion politique des FARC, la remise des armes et la réinsertion des combattants, le trafic de drogue, le dédommagement des victimes ainsi que la mise en place d’un mécanisme de vérification de l’application du processus de paix.
L’agriculture est un point essentiel des négociations car les combats en raison de la présence des FARC, principalement dans les campagnes, ont déplacé plus de deux millions de personnes à l’intérieur des frontières de la Colombie qui est le pays, après les deux Soudan, avec le plus grand nombre de déplacés à l’intérieur de ses frontières. La plupart d’entre eux ont fui les zones rurales contrôlées par les FARC, et disputées par les forces de sécurité et les irréguliers paramilitaires, pour gagner les centres urbains. Les accords doivent garantir leur retour. Un cadastre doit être mis en place. Des aides au développement sont aussi prévues pour les régions agricoles.

Qu’est-il prévu pour la réinsertion des FARC ?

La réinsertion des guérilleros est également un élément crucial du processus de paix. Elle est notamment mentionnée dans le deuxième volet des négociations qui concernent la reconversion politique des FARC. Ceux qui n’ont pas commis de crimes contre l’humanité devraient être autorisés à participer à la vie politique de la Colombie, en constituant, par exemple, des partis politiques et en se présentant aux élections. Un seuil de cinq élus sur deux législatures a été garanti aux ex-guérilleros. Ce point pourrait contredire un autre volet des accords. Celui qui concerne les victimes et les sanctions pénales à l’égard de ceux, agents des forces gouvernementales ou guérilleros, ayant commis des graves violations des droits de l’homme. L’accord prévoit la mise en place d’un système intégral de justice et de réparation, avec notamment une commission de la vérité une juridiction spéciale pour la paix et les réparations, etc. Reste à savoir comment tout cela va pouvoir être appliqué. Le tri entre ceux qui seront considérés comme criminels et donc mis hors-jeu politique, et ceux qui seront admis à la réinsertion démocratique ne sera pas des plus aisés.
Un autre point a suscité d’importants débats : la remise des armes. Les guérilleros (8000 selon l’armée colombienne) veulent avoir la garantie qu’ils ne subiront pas de représailles après avoir remis leurs armes. Cela s’est déjà produit par le passé. Dans les années 1980, des combattants, avaient accepté de rendre les armes. Deux à trois mille d’entre eux, devenus militants d’une formation appelée Union patriotique, avaient été assassinés. Un système de sécurité doit être mis en place en vue d’assurer la protection des anciens membres des FARC, afin qu’ils puissent rendre les armes sans risquer d’être assassinés. Une commission nationale de garantie de sécurité, un corps d’élite spécialisé de la police nationale, une unité spéciale d’investigation, seront notamment créés.
Au-delà de ces aspects concernant la protection des ex-combattants, un « Conseil national de réincorporation » sera mis en place. Il doit aider les anciens guérilleros à trouver un emploi et à s’insérer dans la société. Une indemnité doit leur être versée pendant la période de démobilisation. La réinsertion est essentielle pour mettre fin aux violences. Les négociateurs ont de toute évidence tiré les leçons des lacunes des processus de paix signés dans les pays d’Amérique centrale, il y a près de trente ans. On meurt dans ces pays en 2016 autant et même davantage qu’à l’époque des conflits civils. Militaires démobilisés et anciens guérilleros se sont reconvertis dans la criminalité et la délinquance, faute de formation professionnelle, de plan d’éducation ou d’offre d’emploi. Le cas du Salvador est de ce point de vue démonstratif des carences des accords signés. Le taux des homicides est au Salvador l’un des plus élevés au monde. Le pays enregistre chaque année plus de 100 personnes assassinées pour 100 000 habitants. Les homicides sont plus nombreux aujourd’hui que durant la guerre civile qui a ensanglanté le pays entre 1980 et 1992. À titre de comparaison, les taux d’homicides enregistrés au Brésil et au Mexique, considérés particulièrement élevés, se situent dans une fourchette de 25 à 27 homicides pour 100 000 habitants.

Ces accords vont-ils bénéficier à la Colombie quant à sa place sur la scène régionale voire internationale ?

L’accord est historique pour la Colombie. Le qualificatif est pour une fois tout à fait justifié. Il met fin à 52 années de conflit. Il va permettre au pays de bonifier son image et ainsi d’attirer des investisseurs étrangers. Le gouvernement, aura également la possibilité de diminuer un budget militaire, qui accapare l’investissement public avec 4,5% du PIB (moins de 2% pour la Grande Bretagne et la France) et de consacrer davantage à l’éducation, la santé et le développement. En ce qui concerne la drogue, les accords signés par les autorités avec les FARC ne mettront pas fin au trafic. La lutte contre les trafics de stupéfiants et la culture de la coca ont fait l’objet d’un autre point, le point 4, des négociations. Les FARC sont tenues d’abandonner les liens établis avec les « drogues illicites » dans les régions qu’elles contrôlaient. Mais ces régions ainsi abandonnées vont faire l’objet de convoitises de la part des petits groupes de délinquants, issus des anciens cartels de la drogue, ainsi que par les bacrims (bandes criminelles) héritières des anciens paramilitaires, acteurs importants de ces trafics. L’ELN (Armée de libération nationale), autre groupe de guérilla est d’autre part toujours active.
La paix en Colombie, est une des rares nouvelles positives de ces dernières années. Elle est en effet porteuse d’espoir pour une communauté internationale désarmée diplomatiquement par des conflits sans solutions autres que militaires. Les Nations unies, l’Union européenne, mais également le Pape sont intervenus en faveur des accords. L’Allemagne et les Etats-Unis ont désigné des ambassadeurs en charge du dossier. La Norvège et Cuba sont garants du processus de paix, tandis que le Venezuela et le Chili en sont les accompagnateurs. Ces pays auront un rôle à jouer pour aider le mécanisme d’application du processus de paix, sixième point important des accords, à fonctionner de façon optimale. Et ainsi présenter la résolution de l’interminable guerre interne colombienne comme exemple de règlement international d’un différend jugé pendant des années imperméable à toute solution négociée.

La quimera de los eurobonos

Real Instituto Elcano - mar, 30/08/2016 - 14:22
Opinión - 30/8/2016
Miguel Otero Iglesias
Si el gobierno español, sobre un consenso nacional previo, desea la mutualización de la deuda, tiene que demostrarle a los países acreedores del norte que va en serio con la cesión de soberanía.

Emmener les citoyens vers l’avenir

Fondapol / Général - mar, 30/08/2016 - 12:42

Par Erwan Le Noan, consultant et membre du conseil scientifique de la Fondation pour l’innovation politique « DANS LE MONDE D’AUJOURD’HUI, rien ne vaut que par comparaison. Or, nous sommes actuellement, vis à vis de I ’extérieur, dans une situation économique diminuée ». Ce constat sévère est de Charles de Gaulle, dans son premier discours […]

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