Vous êtes ici

Diplomacy & Defense Think Tank News

Von der Lachnummer zum Präsidentschaftskandidaten

SWP - ven, 18/11/2016 - 11:23
Donald Trump hat die meisten US-Vorwahlen gewonnen und steht als Sieger da. Sein Erfolg lässt viele...

« Sauver l’Europe » – 3 questions à Hubert Védrine

IRIS - ven, 18/11/2016 - 11:08

Dans son ouvrage « Sauver l’Europe : le plan Védrine », paru aux éditions Liana Lévi, Hubert Védrine, ministre des Affaires étrangères de 1997 à 2002, explicite les ressorts de la crise de confiance dans l’Union européenne (UE) et développe des propositions pour la surmonter.

Faut-il « plus d’Europe » pour répondre à l’actuelle crise ?

Au contraire ! Ou, en tout cas, pas avant d’avoir convaincu les peuples, et parmi eux les sceptiques, les déçus, les allergiques (les vrais anti-européens ne changeront pas) du caractère bénéfique de soutenir un projet européen repensé. Nous n’y arriverons que si les élites européistes, si longtemps arrogantes et méprisantes, font une « pause » pour prendre le temps de les écouter, admettent que les peuples ont le droit de vouloir préserver leurs identités, de conserver une certaine souveraineté, d’avoir une meilleure sécurité, et que c’est parce qu’il n’y a pas eu de réponse raisonnable à ces demandes, notamment de la part de la gauche, qu’ils se tournent vers les extrêmes. Si l’Europe cesse de « réglementer à outrance » (Junker), de se mêler de tout et de rien, qu’une nette subsidiarité lui est imposée, alors là, oui, plus d’Europe dans certains domaines (et d’abord un Schengen viable et efficace) redeviendra justifié.

La souveraineté est sous le feu des critiques. N’est-ce pas paradoxal d’un point de vue démocratique ?

C’est le « souverainisme » plus que la souveraineté qui est présenté comme une honte et un repoussoir et c’est en effet injustifié : pour les gens normaux, la conquête par les peuples d’une certaine souveraineté sur leur propre destin a été une immense avancée démocratique. Le désir de garder une certaine souveraineté, même exercée en commun par les Européens, est légitime. Même si le « souverainisme » prend parfois des formes extrêmes et absurdes, une condamnation dégoutée n’est pas la bonne réponse…J’espère que l’on commence à comprendre, après plusieurs résultats électoraux-chocs, jusqu’où peuvent aller des peuples furieux.

Vous distinguez les anti-européens des « eurosceptiques » que vous requalifiez de « dubitatifs ». Pouvez-vous développer ?

Les médias, surtout ceux qui travaillent au contact de la Commission de Bruxelles, appellent en bloc « eurosceptiques », sur un ton réprobateur, tous ceux qui ne sont pas des européistes convaincus ou des partisans inconditionnels de la méthode communautaire. C’est un amalgame contestable.

En réalité, il faut distinguer les vrais « anti » (anti euro, anti UE) des autres : le Front national et l’extrême gauche sont anti-européens, pas eurosceptiques. Il ne faut pas les confondre avec les simples sceptiques, les déçus (on avait promis une Europe sociale, elle n’est pas là), les allergiques à la réglementation « à outrance ». À mon avis, tous, à part les vrais antieuropéens idéologiques, peuvent être convaincus de soutenir à nouveau le projet européen s’il est reconcentré sur l’essentiel (subsidiarité, que l’UE cesse de se mêler de tout). D’où le « plan » que je développe dans mon livre. Pause pour écouter les peuples, conférence refondatrice et de subsidiarité, referendum de re-légitimation. Le « système » européen doit se réformer, ou être réformé.

Trump y el baile de alianzas en el Sudeste Asiático

Real Instituto Elcano - ven, 18/11/2016 - 09:29
ARI 80/2016 - 17/11/2016
Mario Esteban

Los países del Sudeste Asiático se están posicionando en relación a la disputa entre EEUU y China por incrementar su influencia en la zona. ¿Cómo puede verse dicho proceso influido por el cambio de gobierno en Washington?

Lebensmittelsicherheits- und Qualitätsstandards in Thailand und Indien: Vielfalt der Standards und Auswirkungen

Obwohl Thailand und Indien zu den weltgrößten Produzenten und Exporteuren von Obst und Gemüse gehören, haben beide Länder mit gravierenden Lebensmittelsicherheits- und Qualitätsproblemen zu kämpfen. Gemäß der Konferenz der Vereinten Nationen für Handel und Entwicklung (UNCTAD) wiesen die EU und die USA 2002-2010 durchgängig landwirtschaftliche Erzeugnisse aus diesen Ländern zurück, was auf eine unzureichende Einhaltung der internationalen Standards und eine mangelnde Umsetzung guter Agrarpraktiken (Good Agricultural Practices, GAP) schließen lässt. Beide Staaten sind sich bewusst, dass freiwillige GAP-Standards der Schlüssel sind, um die Lebensmittelsicherheit zu erhöhen. Die Annahme von Standards ist jedoch kostenintensiv, was insbesondere die Existenz kleiner landwirtschaftlicher Betriebe bedroht. Deshalb müssen Standards und deren Einführung sorgfältig durchdacht sein. Aber welche der zahlreichen GAP Standards sind eigentlich am wichtigsten?
In dieser Analyse und Stellungnahme unterscheiden wir zwischen GAP-Standards der Stufe 1 für wertschöpfungsstarke Exportmärkte und lokale GAP-Standards der Stufe 2 für nationale Märkte und Exportmärkte mit geringerer Wertschöpfung. Wir bieten einen Überblick über die Chancen und Herausforderungen bei der Einführung verschiedener Standards und nutzen das fünf ländliche Welten (5LW) Modell der Organisation für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (OECD), um aufzuzeigen, wie Standards verschiedene Typen landwirtschaftlicher Erzeuger beeinflussen. Die Haupterkenntnisse dieser Analyse sind:
  • GAP-Standards der Stufe 1, wie der gemeinsame Standard GlobalGAP, sind zwar freiwillig, setzen sich jedoch zunehmend als Pflichtanforderung in wertschöpfungsstarken Märkte durch, da sie von großen Supermärkten weltweit eingefordert werden. Aufgrund hoher Anforderungen und Kosten können sie nur von einer Minderheit der Erzeuger in LW1 und LW2 (große gewerbliche und traditionelle Betriebe) übernommen werden.
  • Bei den GAP-Standards der Stufe 2 handelt es sich um freiwillige lokale Standards (z. B. ThaiGAP, IndiaGAP), die von öffentlichen oder privaten Stellen mit dem Ziel eingeführt werden, die Lebensmittelsicherheit in der inländischen Versorgungskette zu erhöhen und eine schrittweise Annäherung an Stufe 1 zu ermöglichen. Die Standards der Stufe 2 sind einfacher zu erfüllen und können den vielen traditionellen landwirtschaftlichen Haushalten und Subsistenzbauern in LW2 und LW3 dienlich sein.
Die Lebensmittelsicherheit wird weiter ein Problem darstellen, solange die GAP-Grundsätze nicht auf breiter Basis umgesetzt werden. Aufgrund komplexer Anforderungen und hoher Kosten, stellen Standards der Stufe 1 für die Mehrzahl der Bauern in Entwicklungsländern in naher Zukunft keine Option dar. Für Standards der Stufe 2 bestehen bessere Aussichten. Allerdings haben unsere Fallstudien gezeigt, dass es diesen Standards, wenn sie von öffentlichen Stellen eingeführt werden, aufgrund mangelnder Kapazität und Ressourcen oft an Glaubwürdigkeit mangelt. Es ist den Regierungen schlicht nicht möglich, Millionen kleiner Landeigentümer zu zertifizieren und die Einhaltung der Vorschriften zu überwachen, solange die Zertifizierung nicht von der Privatwirtschaft gefordert und unterstützt wird. Daher sollten öffentliche und private Stellen ihre Standards harmonisieren und Kleinbauern durch institutionelle Arrangements, Schulungen und Beratungsprogramme sowie Medienkampagnen gemeinsam darin unterstützen, Standards anzunehmen.

Präsident Trump und die Frauenrechte

SWP - ven, 18/11/2016 - 00:00
Die Wahl Donald Trumps zum US-Präsidenten könnte die Grundfesten der ältesten Demokratie der Welt erschüttern. Auch der liberale Konsens, nach dem Frauenrechte Menschenrechte sind, dürfte aufgekündigt werden. Eine Einschätzung von Laura von Daniels.

Primaire LR : la clé de doutes de la participation

Fondapol / Général - jeu, 17/11/2016 - 19:17

Alors que le dernier débat avant le premier tour se déroule ce jeudi, le nombre de votants obsède les candidats. Une faible mobilisation favoriserait Sarkozy. Par ALAIN AUFFRAY   C’est une élection sans corps électoral. Un ovni politique. A trois jours de la primaire, l’incertitude est à son comble dans les états-majors des candidats. Tous […]

Cet article Primaire LR : la clé de doutes de la participation est apparu en premier sur Fondapol.

Y-a-t-il un conseiller pour sauver le président Trump ?

IRIS - jeu, 17/11/2016 - 18:17

Dirigeants et experts, encore sonnés par la victoire de Donald Trump aux élections présidentielles américaines, tentent de se rassurer comme ils peuvent : on ne change pas du jour au lendemain de politique étrangère ! Il n’agira pas seul et le pragmatisme de son entourage devrait finir par l’emporter.

Qui prendra en charge le département d’État ? On parle de Newt Gingrich ou John Bolton. Ça promet ! Ces derniers feraient passer Dick Cheney ou Donald Rumsfeld pour des multilatéralistes adorateurs de l’ONU. Si ce type de nomination est confirmé, il y aurait un écart béant entre l’interventionnisme agressif qu’ils représentent et la volonté de se désengager des affaires mondiales prônée par Trump. Bref, on est dans le brouillard le plus complet.

Dans une interview accordée au journal Le Monde, datée du 16 novembre 2016, le général Michael Flynn ne vient pas le dissiper. Bien au contraire. Présenté comme l’un des principaux conseillers de politique étrangère du candidat Trump, on s’inquiète à l’idée de le voir prendre des responsabilités. Il a dirigé le renseignement militaire de 2012 à 2014 et est cité comme pouvant occuper le poste de Secrétaire à la Défense, Conseiller pour la sécurité nationale ou directeur de la Central intelligence agency. Il y a de quoi être inquiet. Sans s’embarrasser de fioritures, il déclare : « Nous avons un problème majeur que personne ne reconnaîtra à cause du politiquement correct : c’est l’islam. Cette religion est un problème. Je ne parle pas du monde musulman mais de l’islam. Le monde arabe doit venir à bout de l’idéologie politique qu’il appelle islam. » Question : « Vous voulez dire l’islamisme ? » Réponse : « Oui. Islamisme. Étudiez Mahomet ! On comprend comment tout cela a commencé. Au cours de ce siècle il faudra en sortir. Ça prendra du temps, des décennies peut-être. Autrement, on aura des conflits perpétuels. »

Belle confusion entre islam, islamisme, musulman, djihadisme. Car si on comprend bien le général Flynn, tant que le monde musulman croira en Mahomet, il y aura des problèmes. Il faut attendre qu’il le renie pour que la paix survienne. Ce n’est pas pour tout de suite ! À partir du moment où le monde musulman ne croira plus à l’islam, tout ira bien. On est abasourdi ! Et cela est dit très tranquillement par quelqu’un qui a exercé de lourdes responsabilités et qui s’apprête à en prendre de plus importantes encore. Dans la même veine, on ne comprend pas très bien ce qu’il préconise pour la Syrie. Tout en reprochant à Barack Obama de ne pas être intervenu en Syrie, après que la « ligne rouge » d’utilisation des armes chimiques fut franchie par Bachar Al-Assad, il reconnaît que les interventions en Afghanistan, Irak et Libye sont un désastre. Ce qui ne signifie pas pour autant qu’il faille renoncer à renverser les dictateurs brutaux qui martyrisent leur population ou des groupes comme l’État islamique. Pour dire après qu’il est possible de jouer la carte de régime stable même s’ils sont dictatoriaux. On nage en eaux troubles.

À ce stade, ce n’est plus un programme géopolitique, c’est la course du lièvre à travers les champs, des zigzags ultra rapides. Au secours ! Leslie Nielsen, reviens ! Ils sont devenus fous !

Kooperieren in Krisensituationen

SWP - jeu, 17/11/2016 - 16:00

Die Sorge vor einer Energiekrise ist groß. Solidarität und regionale Kooperation sind die zentralen Komponenten von Europas neuer Sicherheitsarchitektur.

Erweiterung des OECD-Modells der fünf ländlichen Welten für die sektorübergreifende armutsorientierte Analyse, Kommunikation und Planung

Zur Diskussion und Planung von Entwicklung wie auch konkreter Maßnahmen in ländlichen Gebieten in Entwicklungsländern ist ein Rahmenkonzept nötig, das die Kommunikation aller beteiligten Sektoren sowie länderübergreifende Verallgemeinerungen zulässt. Der Schwerpunkt muss zugleich auf Armut, Wirtschaftswachstum und Strukturwandel liegen.
Dieser Beitrag stellt ein Modell vor, das diese Zwecke erfüllt. Ausgangspunkt ist das Modell der fünf ländlichen Welten (Five Rural Worlds, 5RW) der Organisation für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (OECD). Es stellt die ländliche Bevölkerung in den Mittelpunkt und klassifiziert sie anhand einer Mehrkriterienanalyse von Ressourcenausstattung, Wettbewerbsfähigkeit, Wachstumschancen und Erfordernissen insbesondere im Hinblick auf Armut und Ernährungssicherung. Folgende ländliche Welten (RWs) werden unterschieden: 1) große gewerbliche landwirtschaftliche Haushalte und Betriebe, 2) traditionelle Landbesitzer und Betriebe, 3) landwirtschaftliche Subsistenz-Haushalte und Kleinstbetriebe, 4) landlose ländliche Haushalte und Kleinstbetriebe, 5) dauerhaft arme ländliche Haushalte (ohne familieneigene Arbeitskräfte). Diese Einteilung mag grob und ungenau sein, reicht aber in vielen Fällen zur Klärung der Grundannahmen aus. Sie ist einfach genug, um strategische Maßnahmen in ländlichen Gebieten grundlegend und sektorübergreifend zu diskutieren.
Wir erweitern das OECD-Modell um Wechselwirkungen zwischen den RWs und zwischen diesen und der Außenwelt. Dadurch wird betont, dass ländliche Gebiete immer stärker in nationale und anderweitige Beziehungen eingebunden sind. So wird eine umfassende Debatte um diese Beziehungen und ihre Folgen möglich.
Das angepasste RW-Modell bietet mehrere Vorteile:
  • Die ländliche Bevölkerung wird nach gemeinsamen Hemmnissen, Erfordernissen und Chancen einer begrenzten Zahl allgemeiner Gruppen zugeordnet.
  • Es betont die zentrale Rolle von Land und landwirtschaftlicher Technologie/Produktivität als Ausgangspunkt für Armutsbekämpfung, Ernährungssicherung und Wachstumschancen. Dabei schließt es andere mögliche Lebensgrundlagen nicht aus.
  • Der Schwerpunkt liegt auf den ländlichen Armen und ihrem heterogenen Entwicklungspotenzial innerhalb und außerhalb der Landwirtschaft, insbesondere durch die Unterscheidung landloser und dauerhaft Armer, die bei Maßnahmen in der Landwirtschaft häufig ausgeschlossen (oder sogar geschädigt) werden.
  • Es lassen sich nicht nur die direkten strategischen Maßnahmen für einzelne Zielgruppen, sondern auch indirekte Zweitrundeneffekte durch Wechselwirkungen erörtern.
  • Das Modell weist auf die immer engeren Beziehungen zwischen ländlichen Bereichen und der übrigen Welt hin.
Wir empfehlen das 5RW-Modell für die sektorübergreifende Planung der ländlichen Entwicklung in Entwicklungsländern sowie die multisektorielle Forschung, insbesondere im ländlichen Subsahara-Afrika (SSA). Wir sind uns bewusst, dass daneben auch die Perspektiven Gender und Umwelt einbezogen werden müssen. Diese lassen sich jedoch ohne Weiteres berücksichtigen.

Dr Thanos Dokos writes in Kathimerini on new developments in the Eastern Mediterranean after Trump’s election 16/11/2016

ELIAMEP - jeu, 17/11/2016 - 13:59

You can read here the article on new developments in the Eastern Mediterranean after Trump’s victory, which was written by Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos. This commentary was published in Kathimerini on 16 November 2016 [in Greek].

Drohnen: Unbemannte Fluggeräte mit Chancen und Risiken

Hanns-Seidel-Stiftung - jeu, 17/11/2016 - 13:30
Drohnen werden nicht nur vom Militär eingesetzt. Ob privater Spaß oder professionelle Anwendungen, die Zahl der "Unbemannten Luftfahrzeuge" wächst rasant. Neben den wirtschaftlichen Chancen müssen auch Gefahren und Risiken betrachtet werden.

Innover pour lutter contre la pauvreté

Institut Montaigne - jeu, 17/11/2016 - 12:04
Date: Mardi 13 Décembre 2016Résumé: Programme et inscriptions à venir 

Mehr Wissenschaft für bessere Politik? Hürden, Optionen und etwas Evidenz

SWP - jeu, 17/11/2016 - 11:30
Die friedens- und sicherheitspolitische Forschung will ihre Erkenntnisse von der Politik besser...

Pages