Diplomacy & Defense Think Tank News

You can read here the article on the Cyprus Question, which was written by Professor Emeritus and Member of the Board of Trustees of ELIAMEP Theodore Couloumbis. This commentary was published on 27 November 2016 in the Sunday edition of Kathimerini. It is available in Greek.

L’IHEDN en partenariat avec la DGA a accueilli du 13 au 18 novembre 2016, dans le cadre de ses sessions internationales armement et économie de défense, ...

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The election of Donald Trump as the new US president heralds difficult times for international climate policy. The US together with the EU was the key driver of the Paris Agreement in 2015. The new president will end climate policy cooperation with China, and with other emerging and developing countries. Moreover, he has announced plans to reverse the climate-policy legislation which is needed to implement the US climate targets. This will undermine the trust many countries have increasingly put in the US as a credible climate policy partner who is serious about tackling global warming. German and EU negotiators know this challenging situation from the years after the Bush administration’s withdrawal from the Kyoto Protocol in 2000.

In light of the enormous push for international climate policy cooperation over the past three years, Germany and the EU need a comprehensive new climate diplomacy strategy to deal with the fallout of the US turnaround. First of all, they need to prevent a chain reaction at the international level by pushing, together with their key partners, for the Paris Agreement to be implemented. Second, they will have to pay more attention to how they interact with the new US representatives joining the negotiations as well as with the new US administration. And third, they should limit the damage to climate diplomacy and action by cooperating even more closely with US states and non-state actors.

En imposant ou en encourageant la mise en place de mesures de traçabilité des produits de grande consommation, l'Union européenne peut à la fois prendre le leadership de la lutte contre le commerce illicite, augmenter les rentrées fiscales des Etats, protéger la santé de ses citoyens,...

Soutenir la Fondation Robert Schuman, c'est lui permettre de rebondir, de trouver la force et les idées de s'adapter aux nouveaux défis. Etant reconnue d'utilité publique, vous avez la possibilité de nous aider par un don, dont vous pourrez déduire 66% dans votre prochaine déclaration de revenus, à condition qu'il soit effectué avant le 31 décembre 2016.

Le 29 novembre se tiennent les 17e rencontres de l'énergie à Paris. Pascale Joannin, directrice générale de la Fondation, y intervient sur le thème "quels défis pour l'Europe de l'énergie?".

Le 1er décembre, dans le cadre de l'Association Savoirs et Perspectives, Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation, participe à Rouen à un débat intitulé "L'Europe : comment rebondir face aux nouveaux défis".

La Faculté de droit, d'économie et de gestion de l'université d'Angers organise le 5 décembre une conférence de Jean-Dominique Giuliani, Président de la Fondation, sur le thème "l'Union européenne après le Brexit".

Le Secrétariat Général des affaires européennes (SGAE) organise le 2e Forum des carrières de l'Europe à Paris, le 3 décembre. Thierry Chopin, directeur des études de la Fondation, y anime un atelier. Inscription obligatoire.

Le 24 novembre, la Commission européenne a publié le second rapport sur la mise en œuvre du "paquet lait". Il affirme que les producteurs laitiers européens ont de plus en plus recours à ses instruments, renforçant leur pouvoir de négociation et, de ce fait, leur position dans la chaîne d'approvisionnement.

Le 23 novembre, le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a proposé au Parlement une réforme du code de conduite des Commissaires. Il suggère de les autoriser à se présenter aux élections européennes sans avoir à se mettre en congé de leur poste et d'étendre la période de "refroidissement", qui est de 18 mois actuellement, à 2 ans pour les commissaires et 3 ans pour le président.

Le 23 novembre, la Commission a présenté une réforme du secteur bancaire. Elle concerne les exigences de fonds propres et le redressement et la résolution des banques, visent à remédier aux risques menaçant la stabilité financière, tout en permettant aux banques de soutenir l'économie réelle.

Dans une résolution adoptée le 24 novembre, les députés européens ont réagi au plan d'action proposé par la Commission européenne en matière de fraude à la TVA afin de réformer le système en vigueur, qui date de 1993. La résolution demande que le système définitif de TVA repose sur le principe de taxation dans l'État membre de destination des biens et des services.

Le 23 novembre, les députés européens ont adopté une résolution dénonçant la désinformation grandissante de la Russie et des groupes terroristes islamistes qui vise à diviser l'Union européenne.

Dans une résolution votée le 24 novembre par 479 voix, contre 37 et 107 abstentions, les députés européens demandent un gel des négociations d'adhésion jusqu'à la fin de la répression et le rejet du projet de réintroduction de la peine de mort.

Le 24 novembre, le Président du Parlement européen, Martin Schulz, a annoncé qu'il quitterait son mandat de député européen en janvier prochain pour se consacrer à la politique allemande. Plusieurs candidat(e)s se sont déjà fait connaître.

Le président de la BCE, Mario Draghi, était le 21 novembre au Parlement européen à Strasbourg pour le rapport 2015 de la BCE en 2015. qui a été adopté le 22 par 437 voix, contre 121 et 140 abstentions. Les députés estiment que la politique monétaire n'est pas suffisante et que des réformes structurelles sont nécessaires.

Le 22 novembre, les députés européens ont voté une résolution suggérant aux Etats membres de consacrer 2% du PIB à la défense et d'établir des forces multinationales. Ils recommandent de mettre en place un quartier général européen pour planifier et commander des opérations de gestion de crise et permettre à l'Union européenne d'agir là où l'OTAN ne veut pas le faire.

Le 22 novembre, les ministres chargés de l'éducation, de la jeunesse, des sports et de la culture ont adopté des conclusions sur le travail des jeunes et la nécessité de reconnaître et de valoriser leurs compétences et qualifications au niveau européen.

Le 22 novembre les institutions européennes ont conclu un accord sur les minerais provenant des zones de conflit. Tous les importateurs européens d'étain, de tantale, de tungstène, d'or et de leurs minerais devront procéder à des contrôles de leurs fournisseurs.