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Diplomacy & Defense Think Tank News

ELIAMEP becomes Coalition Partner to Debating Security Plus 2018

ELIAMEP - mer, 16/05/2018 - 15:24

Debating Security Plus (DS+) is a unique global online brainstorm that aims to yield concrete recommendations in the area of peace, security and defence. Gathering several thousand participants from around the world, it is the only platform that permits a truly global whole-of-society consultation providing innovative recommendations for some of the world’s most pressing security challenges.

For the sixth time, the 2018 brainstorm will bring together senior international participants from the military, national governments, international organisations and agencies, along with voices from NGOs and civil society, business and industry, the media, think-tanks and academia. Their involvement in our security policy brainstorm will help bridge the gaps between experts and citizens, and their recommendations will aim to inform the implementation of the EU Global Strategy, as well as the policies of national governments and other international institutions as they shape their approaches to peace, security and defence.

From 19 June, 09:00 CEST to 20 June 20:00 CEST, the international security community will debate challenges and policy solutions relating to six different themes. The discussions will be moderated by leading international think-tanks and organisations that will steer discussions towards concrete recommendations.

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Les élections présidentielles au Venezuela : un jeu à somme nulle

Institut Montaigne - mer, 16/05/2018 - 12:42
Les élections présidentielles au Venezuela : un jeu à somme nulle Institut Montaigne mer 16/05/2018 - 12:42

Dans un contexte de crise politique, économique et sociale majeure, les Vénézuéliens sont appelés aux urnes dimanche 20 mai prochain, afin d’élire leur président de la

FRANCE : COMBATTRE LA PAUVRETÉ DES ENFANTS

Fondapol / Général - mer, 16/05/2018 - 12:15

C’est un fait désormais bien établi et une information souvent répétée : en France, 20 % des enfants sont comptés comme pauvres. Les pouvoirs publics expertisent et expérimentent en direction de ces quelque 3 millions de mineurs vivant dans des ménages dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté. Depuis l’élection d’Emmanuel […]

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Populismus weltweit : Ein Führungs- und Politikstil gefährdet Demokratie und Pluralismus

Hanns-Seidel-Stiftung - mer, 16/05/2018 - 10:31
Der Begriff des Populismus ist in aller Munde, wenn es um die Beschreibung von Argumentations- und Handlungsweisen von Politikern geht. Doch was macht eigentlich den Populismus im Kern aus? Im Entwicklungspolitischen Forum richtet die Hanns-Seidel-Stiftung den Blick nach Afrika, Asien und Lateinamerika, um dem globalen Phänomen auf den Grund zu gehen.

Birmanie : les chantiers ardus de Aung San Suu Kyi

IRIS - mer, 16/05/2018 - 10:21

Entre Inde, Chine, Bangladesh et Thaïlande[1], démocratie et régime post-junte militaire, fascination et incompréhension, hostilités et velléités de paix, la Birmanie de ce printemps 2018 suscite une foule de sentiments contraires. Les affrontements du week-end dernier intervenus dans l’Etat de Shan opposant un groupe ethnique armé[2] et l’armée nationale, la redoutable ‘tatmadaw’, viennent les renforcer de manière peu favorable. 

Déjà aux prises avec la grave et sensible crise humanitaire en Arakan et le sort ténu de la communauté rohingya[3] massivement réfugiée au Bangladesh, la Birmanie et son pouvoir hybride[4] contre nature témoignent à cette occasion de la pluralité des écueils, contentieux et défis à gérer parallèlement, ce, moins d’une dizaine d’années après l’entame (2010) d’une complexe transition démocratique[5]. L’occasion de porter un regard synthétique sur quelques-uns des principaux ‘’chantiers’’ du moment pour ceux en charge du destin national birman.

Combats dans le Nord et l’Est, ou le mythe de la réconciliation nationale

À l’instar des événements déplorés ce week-end près de la localité frontalière de Muse[6], une centaine de combattants ethniques de la Ta’ang National Liberation Army (TNLA) ont attaqué  des positions tenues par les forces gouvernementales (causant 20 morts, en majorité des civils), mais également des combats se poursuivant entre la tatmadaw et une noria de groupes ethniques armés (GEA[7]) en divers autres points[8] du territoire, les hostilités violentes, leur lot de conséquences sur le quotidien (plusieurs centaines de milliers de réfugiés), ne font guère montre d’essoufflement. Une situation inquiétante largement imputable à la volonté de l’armée régulière « d’en finir » avec certains GEA réfractaires, qui agit comme un puissant frein à la réconciliation nationale prêchée par le gouvernement civil.

Un processus de paix au point mort

L’administration démocratique a beau le répéter via sa charismatique porte-voix Aung San Suu Kyi[9] depuis sa prise de fonction voilà deux ans en avril 2016, le laborieux processus de paix engagé par l’ancien Président Thein Sein (administration précédente, 2011-16) n’a guère avancé, bien au contraire. Face à des minorités ethniques (1/3 des 55 millions de Birmans…) pour le moins réservées sur l’autorité toute relative du gouvernement civil (et sans expérience) et sceptiques quant à l’agenda véritable de l’armée (plus présente sur les lignes de front qu’à la table des négociations…), l’administration issue des urnes oppose son envie sincère de paix et ses bonnes dispositions, sans suffire ni convaincre.

 

L’Arakan, les Rohingyas et l’opprobre international

C’est peu dire que le drame humanitaire poussant à la fin de l’été 2017 plusieurs centaines de milliers de Rohingyas à fuir précipitamment l’État de l’Arakan (ouest du territoire birman) et à trouver refuge au Bangladesh a brutalement[10] reformaté – en la dégradant sévèrement – l’image extérieure du régime, alors même que ce dernier s’était progressivement sorti ces dernières années, en déroulant un processus de transition démocratique (restant certes à achever), de l’ornière dans laquelle un demi-siècle de junte militaire et de répressions (politiques, démocratiques, ethniques) l’avait confiné.

Adressées aux autorités, les critiques internationales dénonçant les contours d’une opération contre-insurrectionnelle (menée par l’armée, sur laquelle le gouvernement civil n’a aucune autorité) de toute évidence entachée d’exactions, de violences et de drames inexcusables, ont semble-t-il davantage ébranlé Aung San Suu Kyi que le chef des armées, l’inflexible senior-général Min Aung Hlaing, dont le crédit auprès de la population nationale – laquelle ne montre que fort peu d’empathie pour les « Bengalis[11] » – s’est très sensiblement renforcé suite à ces événements.

Net coup de froid avec l’Occident / ONU

Les gouvernements et opinions publiques des États où la population est majoritairement de confession musulmane se sont montrés très critiques à l’encontre des autorités civiles et militaires birmanes pour leurs responsabilités dans la tragédie humanitaire en Arakan. Aussi, hier encore adulée dans la totalité des capitales européennes et nord-américaines ayant longtemps soutenu (de loin) son combat dans l’opposition à la junte, invitée vedette des grands forums dédiés à la démocratie et aux droits de l’Homme, Aung San Suu Kyi y trouve aujourd’hui porte close et mâchoire serrée. Un revers de fortune des plus difficiles à imaginer il y a seulement un an, un coup dur sur la résiliente Dame de Rangoun.

Pékin ou l’improbable retour en grâce

Au contraire d’un pan de la communauté internationale dont le courroux s’est bien abattu sur le pouvoir birman depuis l’automne 2017, les principales capitales asiatiques, de Pékin à Tokyo en passant par New Delhi et Séoul, se sont au contraire empressées de confirmer leur soutien à la capitale birmane Naypyidaw. Pékin, très impliquée depuis une trentaine d’années dans les ‘’affaires birmanes’’ tant économiques, qu’industrielles, mais également ethniques et politiques – trop au goût de nombre de Birmans au point de susciter un fort ressentiment sinosceptique -, a affiché publiquement une solidarité de tous les instants ou presque[12], jusque dans la médiation entre les groupes ethniques armés et la belliqueuse tatmadaw. La Chine s’est ainsi replacée tout en douceur dans les petits papiers des autorités birmanes, une véritable aubaine sur laquelle elle entend bien capitaliser…

Développement économique, croissance, investissements directs étrangers

Après deux années d’exercice du pouvoir, l’administration de la Ligue nationale pour la Démocratie (LND), portée initialement par un soutien populaire aussi ample que ses attentes étaient déraisonnables, est redescendue de son petit nuage, contrainte à la modestie par la lecture de son bilan sujet à plus d’interrogations que de satisfecit, au niveau du processus de paix et de la réconciliation nationale, mais pas uniquement. Pour l’homme de la rue de Mandalay ou de Pathein comme pour l’homme d’affaires de Rangoun ou Sittwe, les performances et orientations économiques de ‘’l’administration Suu Kyi’’ déçoivent pour leur flou, leur insuffisance et leur légèreté. Certes, la croissance économique nationale n’a pas plongé depuis que les couleurs rouge et or de la LND flottent sur les 70 000 villages de la nation (PIB + 7,2% lors de l’année fiscale 2017-18). Mais déjà mise à mal par quelques maux quasi rédhibitoires (corruption, risque politique élevé, expertise technique limitée, infrastructures désuètes, etc.), l’attractivité de la Birmanie en matière d’investissements directs étrangers (IDE[13]) semble pâtir et du manque de solidité du programme économique porté jusqu’alors par la LND, et par les incidences de la crise en Arakan.

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Il serait possible d’ajouter à ces dossiers centraux l’avenir incertain (à deux ans du prochain scrutin général) de la très fragile relation armée / gouvernement civil, les velléités de modification de la Constitution de 2008[14] défendues par la LND et une partie de l’opinion, ou encore la nécessité pour Naypyidaw de rétablir des rapports apaisés avec les États-Unis[15] et l’ONU.

La feuille de route de la première administration civile démocratiquement élue depuis les années 1960 se perd dans les difficultés. Nombre d’écueils sont à dessein dressés par une omnipotente caste de généraux désireuse d’étirer le plus longtemps possible dans le temps le processus de transition démocratique en cours. Face à ces oppositions aux conséquences négatives multiples, il parait de bon aloi d’encourager la communauté internationale à ne pas prolonger plus que nécessaire son blâme, ni durcir au-delà du raisonnable sa politique de sanctions à l’endroit d’un gouvernement démocratique dont on aura bien compris, en ces terres exposées à un nationalo-bouddhisme virulent comptant autant de moines que de militaires, qu’il n’est guère le seul dépositaire de l’autorité.

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[1] Ajoutons, pour être exhaustif, une petite ouverture terrestre vers le Laos (240 km de frontière commune).

[2] On en dénombre une vingtaine au niveau national.

[3] Les ‘’Bengalis’’ pour une majorité de Birmans.

[4] Associant depuis avril 2016, dans une alchimie incommode, un gouvernement démocratiquement élu aux couleurs de la Ligue nationale pour la démocratie (LND ; parti politique d’Aung San Suu Kyi, l’ancienne opposante et prix Nobel de la paix) – et l’influente tatmadaw sur qui le gouvernement ne dispose d’aucune prise décisive.

[5] Après un demi-siècle ininterrompu de junte militaire, dès 1962.

[6] Nord-est du pays, dans l’État Shan, face à la province chinoise du Yunnan.

[7] Seuls 10 des 21 groupes ethniques armés ont paraphé l’accord national de cessez-le-feu (NCA) d’octobre 2015 avec le gouvernement.

[8] cf. dans les États Kachin (nord), Karen et Mon.

[9] Officiellement ‘’simple’’ Conseillère d’État et ministre des Affaires étrangères ; dans les faits, la véritable cheffe de l’État.

[10] La violente opération contre-insurrectionnelle engagée fin août dans le nord de l’Arakan par l’armée fait suite à l’attaque coordonnée le 25 août 2017 d’une trentaine de postes de police et d’une base militaire par plusieurs centaines d’assaillants rohingyas sous les ordres d’une organisation radicale, l’Arakan Salvation Rohingya Army (ARSA), dont les liens sont avérés avec plusieurs entités djihadistes internationales.

[11] Une communauté ‘apatride’ – selon Naypyidaw (capitale birmane) – originaire du sous-continent indien et de foi musulmane, à qui le statut de minorité officielle (il en existe 135 dans ce pays…) n’est pas accordé.

[12] Déplacement en Birmanie du ministre chinois des Affaires étrangères en novembre 2017, ‘’navette’’ très régulièrement effectuée (cf. septembre et décembre 2017 ; février 2018) vers Naypyidaw et Rangoun par l’envoyé spécial du gouvernement chinois, Sun Guoxiang.

[13] Ces capitaux nécessaires notamment au financement des infrastructures (routes, électricité, énergie, eau, pont, ports, aéroports, etc.), souvent antédiluviennes dans la Birmanie d’aujourd’hui.

[14] Rédigée par la plume de constitutionnalistes aux ordres de l’armée, avec pour souci central de préserver l’influence et l’autorité des hommes en uniforme, fut-ce dans une logique de transition démocratique graduelle.

[15] Et plus particulièrement avec une administration républicaine aujourd’hui guère birmanophile, à des lieues de l’intérêt que lui portait la Maison-Blanche alors démocrate, lors des deux mandats de Barack Obama (2009-2017).

Trump lleva su Embajada a Jerusalén: ¿Dónde está la transacción?

Real Instituto Elcano - mer, 16/05/2018 - 08:40
Comentario Elcano 29/2018 - 16/5/2018
Haizam Amirah Fernández

Parecería que en este caso Trump hizo un “gran trato” a cambio de nada. Simplemente, ignoró todas las voces que le recomendaron no hacerlo o, al menos, hacerlo en otras condiciones más equilibradas y un contexto de avances hacia la resolución del conflicto.

Das Milizenkartell von Tripolis

SWP - mer, 16/05/2018 - 00:00

Im März 2016 traf die Einheitsregierung (GNA) in Tripolis ein. Seitdem hat eine Handvoll lokaler Milizen einen Großteil der libyschen Hauptstadt unter ihre Kontrolle gebracht. Nominell sind diese Gruppen regierungstreu, tatsächlich aber haben sie sich die Regierung untertan gemacht. Dabei wandelten sie sich zu kriminellen Netzwerken, die in Politik, Wirtschaft und Verwaltung operieren. Die Plünderung staatlicher Ressourcen – ein Wesensmerkmal der politischen Ökonomie Libyens – kommt nun einem engeren Kreis von Personen zugute als zuvor. Akteure, die von diesem Kartell ausgeschlossen sind, bilden Allianzen, um die Kräfteverhältnisse in Tripolis gewaltsam zu verändern. Neue Sicherheitsarrangements für die Hauptstadt sind dringend nötig, um neue Konflikte abzuwenden und den Boden für eine politische Lösung zu bereiten.

PuB-Netzwerktreffen: Mehr als nur ein Update

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
CDU-Generalsekretärin Annegret Kramp-Karrenbauer berichtet beim Netzwerktreffen in Berlin über ihre Zuhör-Tour und das neue Grundsatzprogramm der CDU.

Szenarien und Handlungsoptionen: Reicher Kongo, armer Kongo

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
Sollte man die humanitäre Katastrophe nicht in den Griff bekommen, führt dies zu mehr Flucht und Vertreibung. 20 der 26 Provinzen sind von Gewalt betroffen.

In Hamburg nichts Neues?: „Antikapitalistischer Krawall” und seine gesellschaftliche Wahrnehmung

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
Der gesellschaftliche Grundkonsens gegenüber dem Rechtsextremismus funktioniert, gegenüber linksextremer Gewalt findet sich jedoch große Akzeptanz. Eine Analyse

Italien: Fünf-Sterne-Bewegung und Lega verhandeln weiter

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
Seit mehr als 70 Tagen ringt Italien um eine neue Regierung. Es handelt sich bislang um die zweitlängsten Verhandlungen in der Geschichte des Landes.

In Hamburg nichts Neues?

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
Beim G20-Gipfel in Hamburg im vergangenen Sommer kam es zu erheblichen links motivierten Ausschreitungen. Nicht zum ersten Mal ließ sich dabei feststellen: Während der gesellschaftliche Grundkonsens gegenüber dem Rechtsextremismus funktioniert, findet sich gegenüber linksextremer Gewalt bis weit in die Mehrheitsgesellschaft hinein Akzeptanz. Wie diese gesellschaftlichen Mechanismen funktionieren und wie sie von Linksextremisten aktiv befördert werden, sind Gegenstand der Analyse.

How Peacekeeping Policy Gets Made: Navigating Intergovernmental Processes at the UN

European Peace Institute / News - mar, 15/05/2018 - 22:18

Partnerships are critical to effective UN peacekeeping, particularly in New York, where the Security Council, the Secretariat, and member states examine proposed reforms and seek consensus on the direction of peacekeeping. Yet throughout the nearly seventy-year history of UN peacekeeping, relations among key stakeholders have frequently fractured due to their often diverging interests. These differences have been compounded by member states’ limited access to information on the roles and responsibilities of different UN bodies in taking forward peacekeeping reforms.

This paper examines the intergovernmental processes and partnerships that support and guide the development of UN peacekeeping policy to identify what needs to be considered to build consensus on its future direction. The paper offers several recommendations for the Secretariat, member states, and other stakeholders to strengthen the value and outcomes of intergovernmental processes, as well as the partnerships that guide the formulation of UN peacekeeping policy:

  1. Foster understanding of UN peacekeeping challenges and the policymaking process.
  2. Strengthen consultation mechanisms.
  3. Demonstrate leadership and identify a shared vision.
  4. Improve information sharing, reporting, and accountability.
  5. Encourage awareness of challenges in the field among stakeholders in New York.

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Israël : un boulevard diplomatique ?

IRIS - mar, 15/05/2018 - 18:35

Le point de vue de Pascal Boniface, directeur de l’IRIS.

Jours fatidiques au Proche-Orient – quelles conséquences stratégiques ?

Institut Montaigne - mar, 15/05/2018 - 16:26
Jours fatidiques au Proche-Orient – quelles conséquences stratégiques ? Institut Montaigne mar 15/05/2018 - 16:26

Le 8 mai, M. Trump annonçait le retrait américain de l’accord nucléaire avec l’Iran. Le 9 mai, M. Netanyahou était à Moscou pour les fêtes commémoratives de l’armistice de 1945.

A quoi sert une batterie décharge lente ?

RMES - mar, 15/05/2018 - 15:41

Les batteries classiques de démarrage de voiture peuvent paraître parfois agaçantes, surtout lorsque, en dessous de 50 ou 30 % du niveau de charge, elles ne peuvent plus démarrer une voiture. Face à ce problème, il est généralement proposé de recourir à une batterie décharge lente avec laquelle on ne souffre pas de renouvellement permanent ni de faiblesse du niveau de charge. Toutefois, lorsqu’on entend pour la première fois parler de batterie décharge lente, on ne sait pas de quoi il s’agit ni à quoi ça sert.

Pour savoir comment trouver votre batterie décharge lente camping car c’est là : https://batterieabc.com/test-avis-batterie-decharge-lente-hankook-mv24/

Qu’est-ce qu’une batterie décharge lente ?

La batterie décharge lente contrairement à une batterie de démarrage classique est destinée à effectuer plusieurs cycles de charges et décharges sans se délabrer. Lorsque vous utiliser une batterie classique comme batterie de démarrage de votre voiture, elle ne peut pas effectuer des cycles de charges et décharges sans s’abîmer.

En effet, de façon générale, la batterie classique ne supporte pas plus de 3 cycles de charges et décharges avant de ne plus pouvoir être rechargé. Or, avec une batterie décharge lente, vous pouvez effectuer jusqu’à 300 cycles de charges et décharges avant qu’elle s’abîme.

Cela signifie que la durée de vie d’une batterie décharge lente est nettement supérieure à celle d’une batterie classique et c’est d’ailleurs pour cela qu’elle est plus chère. L’investissement que vous devrez faire pour l’acquisition d’une batterie décharge lente est en effet plus lourd que celui que vous devrez faire pour une batterie classique.

De plus, les batteries décharge lente peuvent faire des décharges profondes sans pour autant refuser de fonctionner. Elles peuvent parfois même atteindre 10 % et continuer de fonctionner contrairement à une batterie classique qui est maintenue par l’alternateur à un niveau optimal (entre 30 et 50 %) de charge. Soulignons néanmoins qu’elles mettent plus de temps pour se recharger que les batteries classiques.

Lisez aussi : Où jeter ma trottinette électrique ?

Les usages possibles d’une batterie décharge lente

Comme vous l’auriez déjà compris en prenant en compte sa capacité à subir plusieurs cycles de charges et de décharges, la batterie décharge lente peut servir dans plusieurs cadres.

Dans une voiture, elle peut servir à la place de la batterie classique de démarrage qui s’avère moins performante. Principalement, on utilise une batterie décharge lente dans le camping-car à cause de l’électrification de l’habitacle.

En effet, les différents appareils présents dans un camping-car et dont le fonctionnement nécessite l’apport en électricité sont alimenté grâce à la batterie de la voiture. Or, lorsque vous utilisez une batterie classique, vous risquez de vous retrouver à court d’énergie puisque vous auriez atteint le niveau de charge auquel une batterie classique ne fonctionne pas. Vous vous retrouverez donc coincé dans un endroit quelconque sans batterie pour démarrer. Avec une batterie décharge lente, cela ne risque pas de vous arriver.

Il faut remarquer que vu ses caractéristiques et ses capacités, la batterie décharge lente peut s’utiliser pour plusieurs engins. Ainsi, vous pouvez l’utiliser pour une voiture (surtout un camping-car), un bateau ou pour stocker puis restituer l’énergie solaire.

Lisez aussi : forum camping

Christentum und Liberalismus: Pfeiler der europäischen Identität?

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 15/05/2018 - 15:34
Die Europäische Union ist als Staatengemeinschaft ein Zusammenschluss christlich geprägter Länder, in denen sich Werte wie Solidarität, Freiheit und Gleichheit über die Jahrhunderte fest etabliert haben. Doch welchen Stellenwert nehmen Christentum und Liberalismus im Wertekanon der EU noch ein?

Argentine, Italie, pétrole, ralentissement économique, c’est grave, docteur ?

Institut Montaigne - mar, 15/05/2018 - 15:02
Argentine, Italie, pétrole, ralentissement économique, c’est grave, docteur ? Institut Montaigne mar 15/05/2018 - 15:02

Coup sur coup, plusieurs nuages sombres sont apparus à l’horizon de l’économie mondiale.

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