Vous êtes ici

Diplomacy & Defense Think Tank News

studentische Hilfskraft in der Abteilung Energie, Verkehr, Umwelt

Die Abteilung Energie, Verkehr, Umwelt sucht im Forschungsbereich „Transformation der Energiewirtschaft“ zur Mitarbeit in verschiedenen Forschungsprojekten

eine studentische Hilfskraft (w/m/div)

für 10 Wochenstunden


studentische Hilfskraft im SOEP

Die im DIW Berlin angesiedelte forschungsbasierte Infrastruktureinrichtung
Sozio-oekonomisches Panel (SOEP) sucht zum nächstmöglichen Zeitpunkt zur Unterstützung im Survey Management im Bereich der Migranten- und Geflüchtetenstichproben ab dem 1. März 2021

eine studentische Hilfskraft (w/m/div) für 9 Wochenstunden


A New Beginning with President Biden

SWP - mar, 08/12/2020 - 00:00

Although Joseph Biden has now been elected 46th president of the United States, transatlantic relations do not automatically revert to their pre-2017 status quo. Too much has changed in the international sphere, too central has great power competition become to the international order. Europe will have to be much more clear than in the past about what it expects from Washington – and what it is prepared to contribute. Berlin and Brussels should work toward a new transatlantic agenda with the Biden administration, with five priorities including joint action against political disinformation and a transatlantic vaccine alliance.

Ankara traut der EU keine Sanktionen zu

SWP - mar, 08/12/2020 - 00:00

Die Anrainerstaaten des östlichen Mittelmeers blicken mit Spannung auf die nächste Sitzung des Europäischen Rates am 10. Dezember 2020. Auf seiner Zusammenkunft am 1. Oktober 2020 hatte sich das Gremium selbst unter Druck gesetzt und angekündigt, im Dezember über die zukünftige Politik der Europäischen Union gegenüber der Türkei zu bestimmen. Entweder, so der Rat in seinen Schlussfolgerungen vom Okto­ber, wird die EU der Türkei eine positive politische Agenda anbieten, die eine Vertie­fung und Modernisierung der Zollunion, Erleichterungen bei der Erteilung von Visa für türkische Staatsbürger und erhöhte Zahlungen im Rahmen der Flüchtlingskooperation vorsieht. Oder die EU wird »alle ihr zur Verfügung stehenden Instrumente und Optionen nutzen […], um ihre Interessen und die Interessen ihrer Mitgliedstaaten zu verteidigen« – ein klarer Hinweis auf Sanktionen. Der Brüsseler Beschluss zeigt in Ankara bisher keine Wirkung. Die EU wird zu härteren Maßnahmen greifen müssen.

Prioritizing and Sequencing Peacekeeping Mandates in 2020: The Case of MONUSCO

European Peace Institute / News - lun, 07/12/2020 - 19:03

The UN Security Council is expected to renew the mandate of the United Nations Organization Stabilization Mission in the Democratic Republic of the Congo (MONUSCO) in December 2020. This comes as the UN begins to consider the eventual withdrawal of the mission. In October, the mission and the Congolese government submitted a “Joint Strategy on the Progressive and Phased Drawdown of MONUSCO” to the Security Council.

In this context, the International Peace Institute (IPI), the Stimson Center, and Security Council Report organized a workshop on November 12, 2020, to discuss the mandate and political strategy of MONUSCO. This workshop provided a forum for member states, UN stakeholders, and outside experts to share their assessment of the situation in the country. The discussion was intended to help the Security Council make more informed decisions with respect to the strategic orientation, prioritization, and sequencing of the mission’s mandate and actions on the ground.

There was strong agreement that the mission’s existing strategic priorities—the protection of civilians and support to stabilization and the strengthening of state institutions—should continue to provide an overarching framework for the UN’s engagement across the country. In addition, participants expressed the importance of focused engagement with local actors, including local government officials and civil society representatives. Participants also encouraged the UN to develop a transition plan that lays out a shared political vision for the future of the UN’s engagement in the country. They discussed the transition in terms of defining an “end state” rather than an “end date,” with a gradual drawdown that is based on realistic and measurable benchmarks, fosters national ownership, and ensures an integrated UN approach.

Download

Les mémoires de Barack Obama (1/5) : un parcours hors du commun

IRIS - lun, 07/12/2020 - 18:25

Dans cette série de cinq articles, Pascal Boniface aborde au fil de l’eau les mémoires de Barack Obama, Une terre promise, parues aux éditions Fayard le 17 novembre 2020.

Ce gros pavé de 840 pages est d’une lecture exigeante, mais jamais ennuyeuse. On entre vraiment au cœur de la Maison-Blanche : des tractations politiques aux difficultés à faire passer une loi, des négociations sans fin au parcours personnel de l’ancien Président, l’ouvrage est absolument passionnant.

Les mémoires sont généralement plutôt publiées pour chanter les louanges de celui qui les écrit. Barack Obama ne déroge pas à la règle et cherche à convaincre, à montrer comment il a essayé de changer les États-Unis. Mais la part de sincérité est supérieure à la moyenne de ce type d’exercice.

On imagine aisément le caractère tout à fait particulier dont il doit être doté pour être devenu président des États-Unis. Son père, de nationalité kenyane, a rapidement quitté sa mère après sa naissance. Celle-ci a eu deux enfants avec deux personnes différentes et qui n’appartenaient pas au même groupe ethnique et racial qu’elle. C’était donc une femme de caractère, surtout pour l’époque. Barack Obama a passé son enfance à Hawaï puis en Indonésie. Il a donc dès les premières années de sa vie été sensibilisé aux enjeux de la diversité. Il reconnait qu’il a eu une adolescence pas tout à fait focalisée sur le travail, qu’il aimait bien faire la bamboche. Il s’est ensuite mis au travail, est devenu travailleur social à Chicago et a rencontré sa femme Michelle.

Il aborde évidemment la question de sa vie de famille avec sa femme et ses deux filles. Nombreux sont les hommes politiques qui mettent en avant leur amour des valeurs familiales dans un objectif électoral alors qu’elles sont loin de constituer une priorité pour eux. Chez Barack Obama, on sent une réelle sincérité : tout au long de son parcours, y compris à la Maison-Blanche, Barack Obama a toujours eu pour priorité de protéger sa vie familiale, sa relation avec ses enfants. Ainsi, il interrompait quotidiennement sa journée de travail à 18h30 pour dîner avec ses filles et Michelle pour maintenir avant tout un équilibre familial.

On connaît le charisme d’Obama, on connaît son intelligence hors norme. Ce qui frappe aussi c’est son courage. Alors qu’il n’est pas encore élu sénateur, mais simplement élu à la Chambre de l’Illinois, il s’oppose à la guerre d’Irak dès 2002. S’opposer à la guerre d’Irak tout en s’appelant Barack Hussein Obama, en étant métis et régulièrement soupçonné de ne pas être tout à fait Américain dans l’ambiance ultra patriotique, chauvine et nationaliste de l’époque, est on ne peut plus courageux en plus d’être lucide.

Lors de la campagne des primaires démocrates qui va conduire à sa désignation en tant que candidat, il n’est au départ pas du tout favori, c’est vraiment une surprise qu’il puisse remporter la nomination. Il est alors interrogé sur le fait de savoir s’il accepterait de rencontrer des dictateurs, des despotes comme Castro ou le leader nord-coréen. Barack Obama répond par l’affirmative, estimant qu’il faut pouvoir négocier avec quelqu’un avec qui on est en désaccord. Hillary Clinton, son opposante de l’époque, et tout le camp, y compris démocrate, favorable à l’hégémonie libérale lui tombe dessus en dénonçant sa naïveté et en affirmant qu’il ne serait ainsi pas en mesure de défendre les États-Unis.

Tout au long du livre, Barack Obama constate et s’interroge sur les difficultés auxquelles il a été confronté pour faire passer des réformes et réussir à dépasser les blocages politiques sans trahir ses idéaux. La question qui l’occupe principalement lors de son mandat est celle de savoir comment améliorer la vie des citoyens, raison pour laquelle il a été élu pour cela. Il est élu sur un programme social dont fait partie l’Obamacare, mais aussi pour sortir le pays de la profonde crise économique déclenchée en 2008. Il admet d’ailleurs que c’est au moment où la crise est survenue que les choses ont basculé en sa faveur contre McCain.

Lorsque le 9 octobre 2009, tôt le matin, Barack Obama est réveillé à 6 heures du matin par son assistant qui lui annonce qu’il vient de remporter le prix Nobel de la paix, Barack Obama l’interroge d’un « Pourquoi ? ». Effectivement, lui-même sent que c’est prématuré, mais cette distinction témoigne des immenses espoirs qu’il avait soulevés parce qu’il voulait mettre fin aux guerres déclenchées par George Bush, même s’il n’a pas pu appliquer tout son programme en la matière.

Son combat pour le climat est également un passage important, j’y reviendrai. Il raconte dans les détails le sommet de Copenhague de 2009 et les tractations entre les pays sur les sujets climatiques. Il écrit à ce propos « le réchauffement climatique est un problème face auquel les gouvernements sont notoirement mauvais, car il exige la mise en œuvre immédiate de politiques neuves, coûteuses et impopulaires afin de prévenir des crises futures. » Et cela résume finalement tout le dilemme d’Obama qui fut plutôt un président du « long terme », mais qui dut faire face à des contraintes de court terme concernant le climat, l’Obamacare ou encore les conflits extérieurs.

En période de confinement, cet ouvrage, qui constitue une réflexion profonde à la fois sur l’homme et sur la société, l’ouvrage d’un homme d’État qui a dû faire face à de nombreuses contraintes et difficultés, est extrêmement stimulant intellectuellement.

 

Cyberespaces et cyberattaques en temps de Covid-19

IRIS - lun, 07/12/2020 - 17:40

Les cyberattaques sont devenues, depuis quelques années, l’objet d’une nouvelle lutte pour les États, au même titre que celles contre le terrorisme. À l’heure où la crise du Covid-19 pousse à utiliser encore plus le monde du numérique, les cyberattaques atteignent et opposent plus que jamais les États. Entretien avec Charles Thibout, chercheur associé à l’IRIS.

Les crises entraînent souvent une recrudescence des cyberattaques. Qu’en est-il de la crise du Covid-19 ?

L’ampleur de la crise actuelle, par ses effets sur les systèmes sociaux et politiques, tend à saturer les consciences et, ce faisant, occulte des problèmes antérieurs qui ne se sont pas éteints avec elle. C’est bien entendu le cas des cyberattaques. Le fait est que les individus, les entreprises, et même les États et les organisations internationales ont leur attention monopolisée par la crise sanitaire, ce qui accroît leur fragilité. Entre janvier et avril 2020, Trend Micro, une société de sécurité informatique japonaise, a relevé 907 000 spams, 737 incidents liés à des malwares et 48 000 URL malveillantes en rapport avec la pandémie dans le monde. Cette tendance s’est très fortement accrue au cours du deuxième trimestre 2020. Malgré un net ralentissement du rythme des attaques depuis juillet, la même société a répertorié plus de 3 millions d’attaques par mail, plus de 15 000 malwares et plus de 1 million d’URL malveillantes au troisième trimestre 2020. D’après un rapport d’Interpol, qui évalue la portée des attaques au début de la crise, les attaques en lien avec le Covid-19 se sont multipliées depuis le début de la crise : les principales menaces sont venues des attaques de phishing (59%), suivies des malwares et ransomwares (36%), des noms de domaine malveillants (22%) et des opérations de subversion (14%). Les attaques ont évolué au fil des mois. Désormais, les attaques de phishing représentent près de 79% des attaques, contre 8% pour les noms de domaines frauduleux.

On comprend très bien l’intérêt de ces attaques dans de telles circonstances : l’inquiétude légitime des personnes et des organisations, de surcroît dans un contexte de massification du télétravail, a plus facilement permis aux attaquants de se faire passer pour des institutions officielles (ministères de la Santé, OMS…), en créant des noms de domaine frauduleux ou en envoyant des mails de phishing à partir de fausses adresses pour obtenir des données d’identification, des mots de passe, transmettre des pièces jointes pour exploiter des vulnérabilités, etc.

Les annonces des différents gouvernements ont également appuyé ces attaques, par exemple, en promettant des exonérations fiscales exceptionnelles, ce qui a plus facilement permis aux criminels d’escroquer leurs victimes en imitant des sites gouvernementaux ou en reproduisant des applications pour détourner des fonds ou récolter des données personnelles. Sans parler des attaques qui se sont multipliées contre les infrastructures critiques et les organisations d’importance vitale, comme les hôpitaux : dans ce cas de figure, les organisations victimes d’un ransomware ont souvent été contraintes de payer la rançon, simplement parce que la vie de personnes était en jeu.

Quels États se montrent les plus « agressifs » sur la scène géopolitique en matière cyber ? Quels rapports géopolitiques dans cette recrudescence des actes cyber ?

Il est toujours extrêmement difficile d’attribuer une attaque, d’identifier l’acteur ou les acteurs qui sont derrière. Si bien que l’on n’a jamais identifié formellement les personnes ou les organisations à l’origine des attaques recensées depuis le début de la pandémie. Les rivaux traditionnels, Chine et États-Unis en tête, continuent de s’accuser mutuellement : l’Australie, l’Inde et les États-Unis accusent la Chine, qui accuse l’Inde et les États-Unis en retour, etc. De fait, les antagonismes internationaux n’ont pas cessé avec la crise sanitaire : il faudra simplement plus de temps et de recul pour savoir, si cela est possible, qui a lancé ces attaques. Si l’on verse dans l’exégèse sauvage, eu égard au peu d’informations fiables dont nous disposons, nous participerons peut-être à notre insu aux opérations de désinformation que d’aucuns lancent à l’heure actuelle.

Toutefois, il est fort probable que la numérisation accrue et brutale des activités en lien avec la pandémie est en train d’élargir considérablement la surface d’attaque d’États, de cybercriminels ou de « proxies », c’est-à-dire des « corsaires » travaillant au service d’États auxquels ils sont plus ou moins liés. Par ailleurs, le cyberespace étant un champ de confrontation à part entière, il continuera, sans doute de façon plus sensible, à refléter les rapports de force existant dans la sphère physique. Espionnage, sabotage et subversion ont leur pendant dans le domaine cyber ; il ne faut pas y voir une aire conflictuelle déliée des enjeux du monde physique.

Le cyberespace sert-il les fake news ?

Internet est un espace de démocratisation de (l’accès à) l’information, d’accélération des communications, d’amplification de la portée des messages – les fausses informations y compris. Le fait est que, ces dernières années, d’importantes manifestations de défiance à l’égard des gouvernants (France, Liban, Algérie, Chili…) et des médias ont montré que les informations officielles n’étaient plus reçues aussi aisément que par le passé. En parallèle, les canaux et les sources d’information se sont démultipliés avec, de toute évidence aussi, son lot de propagandes diverses, de théories du complot et de mensonges. À mon sens, le cyber n’introduit essentiellement rien de nouveau à cet égard ; son originalité réside bien davantage dans la portée de ces informations de qualité inégale, liée au caractère fondamentalement acentré, horizontal et quasi universel d’Internet, même si des gouvernements et de grandes entreprises tentent, avec plus ou moins de succès, de remettre en cause ce fonctionnement pour en revenir aux modèles centralisés qui avaient cours lorsque la télévision était le principal organe d’information, vertical par nature puisqu’il s’agit d’un mode unilatéral de diffusion de l’information.

Avec le Covid-19, les États se sont trouvés face à une crise d’ampleur inédite qu’ils n’avaient pas anticipée et qu’ils ont gérée plus ou moins maladroitement. À telle enseigne que, comme cela a été maintes fois établi, les gouvernants ont menti aux gouvernés, en partie parce qu’il en allait de leur légitimité – d’autant que les coordonnées politiques des sociétés occidentales tendent à assimiler le gouvernant à un expert, un « sachant ». Cette image, déjà fort érodée, s’est effondrée, ce qui a nourri la défiance envers la parole et l’action publiques et accru, ce faisant, la caisse de résonnance des (sources d’)informations alternatives, qui ont trouvé dans les plateformes en ligne des chambres d’écho particulièrement efficaces. Les diverses initiatives tendant à endiguer cette démocratisation de l’information, voire l’information tout court, sont le symptôme par excellence de cette défiance.

—————–

Cet article est publié dans le cadre de l’Observatoire (Dés)information & Géopolitique au temps du Covid-19 de l’IRIS.

 

Eva Janadin et Anne-Sophie Monsinay, éclairantes

Fondapol / Général - lun, 07/12/2020 - 15:15

Ces imames libérales, converties à l’islam voici une dizaine d’années, tiennent des offices devant des assemblées mixtes. Ce sont leurs vrais noms, et non des identités d’emprunt derrière lesquelles elles se cacheraient. Ces deux trentenaires sont des imames converties à l’islam depuis une dizaine d’années. Elles avaient «besoin de spiritualité » Toutes deux furent élevées […]

The post Eva Janadin et Anne-Sophie Monsinay, éclairantes appeared first on Fondapol.

La tentation totalitaire chinoise

Institut Montaigne - lun, 07/12/2020 - 14:53

L'Europe a vécu longtemps sous la menace soviétique et sous protection américaine. Aujourd'hui, la menace vient de la Chine et elle est autrement plus sérieuse et inquiétante, selon Dominique Moïsi.

La dissuasion est un art simple. Il suffit d'instiller la peur dans l'esprit et/ou le corps de ceux que l'on entend impressionner. De Hong Kong à l'Australie, la Chine semble être passée maître dans l'art de la…

"Un pas en avant pour l’union bancaire"

Institut Montaigne - lun, 07/12/2020 - 12:53

La crise du coronavirus accélère le renforcement de l’intégration européenne. Les ministres des Finances des 27 États membres de l’Union européenne se sont en effet entendus pour que le Mécanisme Européen de Stabilité, ce fonds de sauvegarde créé en 2012 quand l’union monétaire menaçait d’exploser, puisse intervenir, en dernier ressort, en cas de crise bancaire. En quoi cet accord représente-t-il une avancée déterminante? Décryptage par Édouard Vidon, Directeur…

wissenschaftliche/n MitarbeiterIn (Vollzeit) im SOEP

Die forschungsbasierte Infrastruktureinrichtung Sozio-oekonomisches Panel (SOEP) im DIW Berlin sucht zum nächstmöglichen Zeitpunkt eine/n

wissenschaftliche/n MitarbeiterIn (w/m/div) (Vollzeit)


Kommunale Partnerschaften mit dem Globalen Süden treiben die Agenda 2030 voran

Immer mehr Kommunen tragen direkt zur Verwirklichung der UN-Agenda 2030 bei. Sie agieren als Vorbilder im Klimaschutz, unterstützen fairen Handel, die gesellschaftliche Teilhabe von Migrant*innen und befördern dabei multilaterale Zusammenarbeit und Engagement. Der Preis „Globale Partnerschaften – Kommunale Partnerschaften“, der im Rahmen des Deutschen Nachhaltigkeitstages ausgelobt wird, würdigt herausragende Kooperationen deutscher Städte, Gemeinden und Landkreise mit Kommunen im Globalen Süden. Bei der diesjährigen Preisverleihung am 4. Dezember wurden drei Partnerschaften ausgezeichnet: Die zwei ersten Plätze gingen an die Stadt Landau in Rheinland-Pfalz und den Ruhango Distrikt im ostafrikanischen Ruanda sowie den Landkreis Karlsruhe in Baden-Württemberg mit der Partnerstadt Brusque in Südbrasilien. Den dritten Platz belegte die Partnerschaft zwischen der Stadt Leipzig in Sachsen und der Stadt Addis Abeba in Äthiopien. Diese Partnerschaften zeigen drei wesentliche Trends.

Erstens wird das kommunale Engagement in Deutschland vielfältiger. Nicht nur große, sondern auch kleinere Städte und Kommunen unterhalten inzwischen Partnerschaften im Globalen Süden. Auch die Themen werden vielseitiger. So unterstützt die nunmehr 36-jährige Partnerschaft zwischen Landau und Ruhango die Bildung und Gesundheitsversorgung in dem ruandischen Partnerdistrikt. In den letzten zwei Jahren kam ein mit den Entsorgungsbetrieben Landaus entwickelter Plan zur Verbesserung des Siedlungs- und Wassermanagement hinzu. Die seit 2012 bestehende Klimapartnerschaft zwischen Karlsruhe und Brusque konzentriert sich auf Umwelt- und Wirtschaftskooperation sowie den Austausch zwischen Schulen. Die Vielfalt liegt nicht zuletzt an der in den vergangenen Jahren stark ausgeweiteten Förderung des entwicklungspolitischen Engagements der Kommunen, insbesondere durch die Servicestelle Kommunen in der Einen Welt (SKEW). Das Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) erhöhte seine für diesen Bereich bereitgestellten Mittel von 5 Millionen Euro im Jahr 2013 auf knapp 31 Millionen Euro im Jahr 2020.

Zweitens profitieren nicht nur die Kommunen im Globalen Süden, sondern auch deutsche Kommunen und ihre Bürger*innen von den Partnerschaften. Dies ist selbst dann der Fall, wenn Lebensstandards sehr unterschiedlich sind. In Landau ist etwa der vom dortigen Freundeskreis Ruhango-Kigoma getragene Second Hand Markt einerseits Haupteinnahmequelle für die Projekte in Ruanda. Andererseits ermöglicht er einkommensschwachen deutschen Haushalten, gebrauchte Waren kostengünstig einzukaufen und sorgt für deren Weiterverwendung durch „Upcycling“. Da beide Kommunen in den letzten Jahren von Überflutungen betroffen waren, konzentriert sich der Verwaltungsaustausch auf Diskussionen, wie die Auswirkungen von Starkregenereignissen abgemildert werden können. In der Partnerschaft zwischen Leipzig und Addis Abeba hat das Projekt „Inklusive Stadt“ die Fortbildung von Vertreter*innen beider Städte über behindertengerechte Stadtentwicklung ermöglicht.

Drittens senden die preisgekrönten Partnerschaften eine wichtige politische Botschaft – durch Ihre Beständigkeit entgegen nationalistischer Alleingänge oder politischer Krisen. So überdauerte die seit 1984 bestehende Partnerschaft zwischen Landau und dem Ruhango-Distrikt auch den Völkermord in Ruanda 1994. Mit der Beteiligung am Bau eines Versöhnungszentrums 2008 wurde zur Aufklärung und zum gesellschaftlichen Frieden beigetragen. Die Partnerschaft zwischen Karlsruhe und Brusque engagiert sich für klima- und umweltfreundliche Entwicklung – „unter dem Radar“ der Politik einer nationalen Regierung, die den Klimawandel leugnet.

Das Beispiel Brusque zeigt allerdings auch, dass der kommunale Handlungsspielraum vor dem Hintergrund nationaler politischer und institutioneller Vorgaben nicht selten begrenzt ist. Dies gilt im Übrigen auch für das entwicklungspolitische Engagement deutscher Städte, Gemeinden und Landkreise. Die Zuständigkeit für die Entwicklungszusammenarbeit liegt hier bei Bund und Ländern. Für die Kommunen gehört sie zu den freiwilligen Handlungsfeldern und ist folglich häufig unterfinanziert.

Trotz zum Teil schwieriger Rahmenbedingungen: Die preisgekrönten Partnerschaften verdeutlichen einmal mehr die wichtige Rolle von Städten und Kommunen für eine nachhaltige globale Entwicklung. Die Kooperationsbeziehungen ermöglichen die Mobilisierung und den Austausch von Wissen, Fachkenntnissen, Technologie und finanziellen Ressourcen (SDG 17.16) – in vielen Fällen mit Lerneffekten in „beide Richtungen“. Die Preisverleihung im Rahmen des Deutschen Nachhaltigkeitstages leistet einen wichtigen Beitrag dazu, das Engagement deutscher Kommunen für die Umsetzung der Agenda 2030 (kurzfristig) sichtbarer zu machen. Um das lokale Potenzial für die globale Transformation zur Nachhaltigkeit auch mittel- und langfristig noch stärker auszuschöpfen, ist eine verstärkte politische, finanzielle und beratende Unterstützung unabdingbar.

Dieser Beitrag wurde im Rahmen einer laufenden SKEW-beauftragten Studie des Deutschen Instituts für Entwicklungspolitik (DIE) zur kommunalen Entwicklungspolitik in Deutschland verfasst. In enger Kooperation findet zeitgleich die Evaluierung zur Kommunalen Entwicklungspolitik statt, die vom  Deutschen Evaluierungsinstitut der Entwicklungszusammenarbeit (DEval) durchgeführt wird.

Kommunale Partnerschaften mit dem Globalen Süden treiben die Agenda 2030 voran

Immer mehr Kommunen tragen direkt zur Verwirklichung der UN-Agenda 2030 bei. Sie agieren als Vorbilder im Klimaschutz, unterstützen fairen Handel, die gesellschaftliche Teilhabe von Migrant*innen und befördern dabei multilaterale Zusammenarbeit und Engagement. Der Preis „Globale Partnerschaften – Kommunale Partnerschaften“, der im Rahmen des Deutschen Nachhaltigkeitstages ausgelobt wird, würdigt herausragende Kooperationen deutscher Städte, Gemeinden und Landkreise mit Kommunen im Globalen Süden. Bei der diesjährigen Preisverleihung am 4. Dezember wurden drei Partnerschaften ausgezeichnet: Die zwei ersten Plätze gingen an die Stadt Landau in Rheinland-Pfalz und den Ruhango Distrikt im ostafrikanischen Ruanda sowie den Landkreis Karlsruhe in Baden-Württemberg mit der Partnerstadt Brusque in Südbrasilien. Den dritten Platz belegte die Partnerschaft zwischen der Stadt Leipzig in Sachsen und der Stadt Addis Abeba in Äthiopien. Diese Partnerschaften zeigen drei wesentliche Trends.

Erstens wird das kommunale Engagement in Deutschland vielfältiger. Nicht nur große, sondern auch kleinere Städte und Kommunen unterhalten inzwischen Partnerschaften im Globalen Süden. Auch die Themen werden vielseitiger. So unterstützt die nunmehr 36-jährige Partnerschaft zwischen Landau und Ruhango die Bildung und Gesundheitsversorgung in dem ruandischen Partnerdistrikt. In den letzten zwei Jahren kam ein mit den Entsorgungsbetrieben Landaus entwickelter Plan zur Verbesserung des Siedlungs- und Wassermanagement hinzu. Die seit 2012 bestehende Klimapartnerschaft zwischen Karlsruhe und Brusque konzentriert sich auf Umwelt- und Wirtschaftskooperation sowie den Austausch zwischen Schulen. Die Vielfalt liegt nicht zuletzt an der in den vergangenen Jahren stark ausgeweiteten Förderung des entwicklungspolitischen Engagements der Kommunen, insbesondere durch die Servicestelle Kommunen in der Einen Welt (SKEW). Das Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) erhöhte seine für diesen Bereich bereitgestellten Mittel von 5 Millionen Euro im Jahr 2013 auf knapp 31 Millionen Euro im Jahr 2020.

Zweitens profitieren nicht nur die Kommunen im Globalen Süden, sondern auch deutsche Kommunen und ihre Bürger*innen von den Partnerschaften. Dies ist selbst dann der Fall, wenn Lebensstandards sehr unterschiedlich sind. In Landau ist etwa der vom dortigen Freundeskreis Ruhango-Kigoma getragene Second Hand Markt einerseits Haupteinnahmequelle für die Projekte in Ruanda. Andererseits ermöglicht er einkommensschwachen deutschen Haushalten, gebrauchte Waren kostengünstig einzukaufen und sorgt für deren Weiterverwendung durch „Upcycling“. Da beide Kommunen in den letzten Jahren von Überflutungen betroffen waren, konzentriert sich der Verwaltungsaustausch auf Diskussionen, wie die Auswirkungen von Starkregenereignissen abgemildert werden können. In der Partnerschaft zwischen Leipzig und Addis Abeba hat das Projekt „Inklusive Stadt“ die Fortbildung von Vertreter*innen beider Städte über behindertengerechte Stadtentwicklung ermöglicht.

Drittens senden die preisgekrönten Partnerschaften eine wichtige politische Botschaft – durch Ihre Beständigkeit entgegen nationalistischer Alleingänge oder politischer Krisen. So überdauerte die seit 1984 bestehende Partnerschaft zwischen Landau und dem Ruhango-Distrikt auch den Völkermord in Ruanda 1994. Mit der Beteiligung am Bau eines Versöhnungszentrums 2008 wurde zur Aufklärung und zum gesellschaftlichen Frieden beigetragen. Die Partnerschaft zwischen Karlsruhe und Brusque engagiert sich für klima- und umweltfreundliche Entwicklung – „unter dem Radar“ der Politik einer nationalen Regierung, die den Klimawandel leugnet.

Das Beispiel Brusque zeigt allerdings auch, dass der kommunale Handlungsspielraum vor dem Hintergrund nationaler politischer und institutioneller Vorgaben nicht selten begrenzt ist. Dies gilt im Übrigen auch für das entwicklungspolitische Engagement deutscher Städte, Gemeinden und Landkreise. Die Zuständigkeit für die Entwicklungszusammenarbeit liegt hier bei Bund und Ländern. Für die Kommunen gehört sie zu den freiwilligen Handlungsfeldern und ist folglich häufig unterfinanziert.

Trotz zum Teil schwieriger Rahmenbedingungen: Die preisgekrönten Partnerschaften verdeutlichen einmal mehr die wichtige Rolle von Städten und Kommunen für eine nachhaltige globale Entwicklung. Die Kooperationsbeziehungen ermöglichen die Mobilisierung und den Austausch von Wissen, Fachkenntnissen, Technologie und finanziellen Ressourcen (SDG 17.16) – in vielen Fällen mit Lerneffekten in „beide Richtungen“. Die Preisverleihung im Rahmen des Deutschen Nachhaltigkeitstages leistet einen wichtigen Beitrag dazu, das Engagement deutscher Kommunen für die Umsetzung der Agenda 2030 (kurzfristig) sichtbarer zu machen. Um das lokale Potenzial für die globale Transformation zur Nachhaltigkeit auch mittel- und langfristig noch stärker auszuschöpfen, ist eine verstärkte politische, finanzielle und beratende Unterstützung unabdingbar.

Dieser Beitrag wurde im Rahmen einer laufenden SKEW-beauftragten Studie des Deutschen Instituts für Entwicklungspolitik (DIE) zur kommunalen Entwicklungspolitik in Deutschland verfasst. In enger Kooperation findet zeitgleich die Evaluierung zur Kommunalen Entwicklungspolitik statt, die vom  Deutschen Evaluierungsinstitut der Entwicklungszusammenarbeit (DEval) durchgeführt wird.

Kommunale Partnerschaften mit dem Globalen Süden treiben die Agenda 2030 voran

Immer mehr Kommunen tragen direkt zur Verwirklichung der UN-Agenda 2030 bei. Sie agieren als Vorbilder im Klimaschutz, unterstützen fairen Handel, die gesellschaftliche Teilhabe von Migrant*innen und befördern dabei multilaterale Zusammenarbeit und Engagement. Der Preis „Globale Partnerschaften – Kommunale Partnerschaften“, der im Rahmen des Deutschen Nachhaltigkeitstages ausgelobt wird, würdigt herausragende Kooperationen deutscher Städte, Gemeinden und Landkreise mit Kommunen im Globalen Süden. Bei der diesjährigen Preisverleihung am 4. Dezember wurden drei Partnerschaften ausgezeichnet: Die zwei ersten Plätze gingen an die Stadt Landau in Rheinland-Pfalz und den Ruhango Distrikt im ostafrikanischen Ruanda sowie den Landkreis Karlsruhe in Baden-Württemberg mit der Partnerstadt Brusque in Südbrasilien. Den dritten Platz belegte die Partnerschaft zwischen der Stadt Leipzig in Sachsen und der Stadt Addis Abeba in Äthiopien. Diese Partnerschaften zeigen drei wesentliche Trends.

Erstens wird das kommunale Engagement in Deutschland vielfältiger. Nicht nur große, sondern auch kleinere Städte und Kommunen unterhalten inzwischen Partnerschaften im Globalen Süden. Auch die Themen werden vielseitiger. So unterstützt die nunmehr 36-jährige Partnerschaft zwischen Landau und Ruhango die Bildung und Gesundheitsversorgung in dem ruandischen Partnerdistrikt. In den letzten zwei Jahren kam ein mit den Entsorgungsbetrieben Landaus entwickelter Plan zur Verbesserung des Siedlungs- und Wassermanagement hinzu. Die seit 2012 bestehende Klimapartnerschaft zwischen Karlsruhe und Brusque konzentriert sich auf Umwelt- und Wirtschaftskooperation sowie den Austausch zwischen Schulen. Die Vielfalt liegt nicht zuletzt an der in den vergangenen Jahren stark ausgeweiteten Förderung des entwicklungspolitischen Engagements der Kommunen, insbesondere durch die Servicestelle Kommunen in der Einen Welt (SKEW). Das Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) erhöhte seine für diesen Bereich bereitgestellten Mittel von 5 Millionen Euro im Jahr 2013 auf knapp 31 Millionen Euro im Jahr 2020.

Zweitens profitieren nicht nur die Kommunen im Globalen Süden, sondern auch deutsche Kommunen und ihre Bürger*innen von den Partnerschaften. Dies ist selbst dann der Fall, wenn Lebensstandards sehr unterschiedlich sind. In Landau ist etwa der vom dortigen Freundeskreis Ruhango-Kigoma getragene Second Hand Markt einerseits Haupteinnahmequelle für die Projekte in Ruanda. Andererseits ermöglicht er einkommensschwachen deutschen Haushalten, gebrauchte Waren kostengünstig einzukaufen und sorgt für deren Weiterverwendung durch „Upcycling“. Da beide Kommunen in den letzten Jahren von Überflutungen betroffen waren, konzentriert sich der Verwaltungsaustausch auf Diskussionen, wie die Auswirkungen von Starkregenereignissen abgemildert werden können. In der Partnerschaft zwischen Leipzig und Addis Abeba hat das Projekt „Inklusive Stadt“ die Fortbildung von Vertreter*innen beider Städte über behindertengerechte Stadtentwicklung ermöglicht.

Drittens senden die preisgekrönten Partnerschaften eine wichtige politische Botschaft – durch Ihre Beständigkeit entgegen nationalistischer Alleingänge oder politischer Krisen. So überdauerte die seit 1984 bestehende Partnerschaft zwischen Landau und dem Ruhango-Distrikt auch den Völkermord in Ruanda 1994. Mit der Beteiligung am Bau eines Versöhnungszentrums 2008 wurde zur Aufklärung und zum gesellschaftlichen Frieden beigetragen. Die Partnerschaft zwischen Karlsruhe und Brusque engagiert sich für klima- und umweltfreundliche Entwicklung – „unter dem Radar“ der Politik einer nationalen Regierung, die den Klimawandel leugnet.

Das Beispiel Brusque zeigt allerdings auch, dass der kommunale Handlungsspielraum vor dem Hintergrund nationaler politischer und institutioneller Vorgaben nicht selten begrenzt ist. Dies gilt im Übrigen auch für das entwicklungspolitische Engagement deutscher Städte, Gemeinden und Landkreise. Die Zuständigkeit für die Entwicklungszusammenarbeit liegt hier bei Bund und Ländern. Für die Kommunen gehört sie zu den freiwilligen Handlungsfeldern und ist folglich häufig unterfinanziert.

Trotz zum Teil schwieriger Rahmenbedingungen: Die preisgekrönten Partnerschaften verdeutlichen einmal mehr die wichtige Rolle von Städten und Kommunen für eine nachhaltige globale Entwicklung. Die Kooperationsbeziehungen ermöglichen die Mobilisierung und den Austausch von Wissen, Fachkenntnissen, Technologie und finanziellen Ressourcen (SDG 17.16) – in vielen Fällen mit Lerneffekten in „beide Richtungen“. Die Preisverleihung im Rahmen des Deutschen Nachhaltigkeitstages leistet einen wichtigen Beitrag dazu, das Engagement deutscher Kommunen für die Umsetzung der Agenda 2030 (kurzfristig) sichtbarer zu machen. Um das lokale Potenzial für die globale Transformation zur Nachhaltigkeit auch mittel- und langfristig noch stärker auszuschöpfen, ist eine verstärkte politische, finanzielle und beratende Unterstützung unabdingbar.

Dieser Beitrag wurde im Rahmen einer laufenden SKEW-beauftragten Studie des Deutschen Instituts für Entwicklungspolitik (DIE) zur kommunalen Entwicklungspolitik in Deutschland verfasst. In enger Kooperation findet zeitgleich die Evaluierung zur Kommunalen Entwicklungspolitik statt, die vom  Deutschen Evaluierungsinstitut der Entwicklungszusammenarbeit (DEval) durchgeführt wird.

Le PSD arrive en tête des élections parlementaires en Roumanie mais la droite libérale devrait être en mesure de former le prochain gouvernement

Fondation Robert Schuman / Publication - lun, 07/12/2020 - 01:00
Le Parti social-démocrate (PSD), conduit par Marcel Ciolacu, a créé la surprise lors des élections parlementaires le 6 décembre en Roumanie an arrivant en tête du scrutin avec 29,51% des suffrages. Il a devancé le Parti national-libéral (PNL), dirigé par le Premier ministre sortant Ludovic Orban, qu...

Problematic Prospects for US‑Turkish Ties in the Biden Era

SWP - lun, 07/12/2020 - 00:00

Minimal discussion of foreign policy during the US presidential campaign has left President-elect Joe Biden pinned to very few specific foreign policy positions and given him great flexibility in carrying out his program. He would probably prefer to avoid confrontation with Turkey; in fact, he will likely explore areas of potential US‑Turkish cooperation, especially against Russia. However, Biden’s core positions on human rights and rule of law, his long-time focus on Aegean and Eastern Mediter­ranean issues, and his seeming inclination to continue to fight ISIS in cooperation with the Syrian-Kurdish People’s Protection Units (YPG) militia – deemed “terrorists” by Ankara – probably augur deepening difficulties in US-Turkish ties. Down the line, a make-or-break decision on the future of US-Turkish ties will likely hinge on the Biden Administration’s assessment of Turkish-Russian relations. Europe may have an important say on Biden’s Turkish policy; a senior Biden adviser has said the new president will coordinate his approach to Turkey with the European Union.

Höchste Zeit, die militärischen Risiken in Europa einzudämmen

SWP - lun, 07/12/2020 - 00:00

Unter der Trump-Administration hat sich die Erosion der Rüstungskontrolle beschleunigt. Die USA haben sich aus dem Atomabkommen mit dem Iran (JCPOA), dem bilateralen Vertrag über das Verbot landgestützter Mittelstreckenraketen (INF) und aus dem multilateralen OpenSkies-Vertrag zurückgezogen. Trump zögert auch, den New-START-Vertrag über die Begrenzung strategischer Systeme und Atomwaffen zu verlängern.

Aus Sorge um die weitere Erosion der strategischen Stabilität hat sich sein Nachfolger Biden dazu bekannt, den New-START-Vertrag um fünf Jahre zu verlängern. Dafür bleiben ihm nach seinem Amtsantritt zwar nur zwei Wochen, bevor der Vertrag außer Kraft tritt. Die Verlängerung bedarf aber keiner weiteren Ratifikation durch den US-Senat. Auch Russland steht einer Verlängerung positiv gegenüber.

Bei der Verhandlung eines Nachfolgevertrags ist Bidens Handlungsspielraum begrenzt. Zur Ratifikation braucht er eine Zweidrittelmehrheit im Senat. Angesichts parteiübergreifender Interessen dürften ihm Kompromisse aber nicht schwerfallen. Dabei geht es nicht nur um Russland. Wie Trump wird auch er den aufstrebenden Rivalen China auffordern, sein Atomarsenal der Rüstungskontrolle zu unterwerfen.

Große militärische Risiken resultieren auch aus der Lage in Europa. Dies betrifft nicht nur die Konfliktgebiete in der Ukraine und in Berg-Karabach. Die Beziehungen zwischen der Nato und Russland haben ihren tiefsten Punkt seit dem Ende des Kalten Krieges erreicht. Vor allem in der Ostseeregion, im Schwarzmeerraum und im Hohen Norden haben sich ihre militärischen Aktivitäten seit 2014 vervielfacht. Ihre Kriegsschiffe und Kampfflugzeuge treffen heute manchmal gefährlich nah aufeinander, ihre Bodentruppen stehen sich im Baltikum gegenüber.

Gleichzeitig erodiert die Architektur der Rüstungskontrolle und Vertrauensbildenden Vereinbarungen, die am Ende des Kalten Krieges erarbeitet wurde. Der Vertrag über Konventionelle Streitkräfte in Europa (KSE), sein Anpassungsabkommen und das Wiener Dokument zur militärischen Vertrauensbildung zwischen OSZE-Mitgliedstaaten haben entweder ihre Relevanz verloren oder sind unzureichend, um die heutigen militärischen Risiken einzuhegen. Zudem kommunizieren die Nato und Russland nicht miteinander wie sie sollten. Es besteht die Gefahr, dass ein militärischer Zwischenfall oder eine Fehleinschätzung zu einem unbeabsichtigten bewaffneten Konflikt führen könnten. Da keine Seite dies will, sollten sie kooperieren, um das Risiko einer Konfrontation zu senken.

Konfliktprävention durch Dialog und Kooperation

Zu diesem Zweck wären folgende konkrete Schritte zu erwägen:

(1) Die Nato und Russland sollten den militärischen Dialog der höchsten Kommandoebenen und den regelmäßigen fachlichen Austausch der Sicherheitsexperten wiederaufnehmen, um die jeweiligen Aktivitäten und Doktrinen besser zu verstehen und Fehldeutungen zu vermeiden.

(2) Bisherige Vereinbarungen zur Verhinderung gefährlicher militärischer Aktivitäten sollten ergänzt und aktualisiert werden. Einheiten, die in Grenznähe operieren, müssen mit besonderer Vorsicht agieren. Ständige Verbindungen zwischen beiden Seiten sollten für den Fall eingerichtet werden, dass militärische Bewegungen einer Seite der anderen bedrohlich erscheinen.

(3) Das Wiener Dokument sollte modifiziert werden, um die Transparenz militärischer Übungen zu steigern. Alle beteiligten Truppen müssen in vollem Umfang erfasst und die Schwellenwerte für ihre Notifizierung und Beobachtung gesenkt werden.

(4) »Stille« Vorausinformationen wären geeignet, um Fehldeutungen russischer Alarmübungen zu vermeiden. Sie wären nur an die höchsten militärischen Befehlshaber zu richten, ohne dass die involvierten Truppen vorab gewarnt werden. Auch die Nato könnte Russland vertraulich über unangekündigte Bewegungen multinationaler Verbände informieren.

(5) Für die Nato-Russland Berührungszonen sollten regionale Stabilisierungsmaßnahmen vereinbart werden. Dazu sind beiderseitige Begrenzungen einer weiteren permanenten Stationierung substantieller Kampftruppen geeignet, die schon die Nato-Russland-Grundakte von 1997 vorsieht. Was das bedeutet, muss konkretisiert werden. Eine Einigung auf eine Heeresbrigade und eine Kampfflugzeuggruppe pro Land oder Militärbezirk wäre angemessen.

(6) Größere militärische Bewegungen und Übungen, die in diesen Zonen stattfinden, sollten strikten Informations- und Verifikationsregimen unterworfen werden. Allerdings muss die legitime individuelle und kollektive Verteidigung gewährleistet bleiben und eine Isolierung einzelner Regionen oder Länder vermieden werden.

(7) Der Vertrag über den Offenen Himmel erhöht die Transparenz durch kooperative Beobachtungflüge und schafft gerade in der Krise ein Mindestmaß an Berechenbarkeit und Vertrauen. Durch den Rückzug der USA wurde er geschwächt. Russland und andere europäische Vertragsstaaten sollten an ihm festhalten.

(8) Auch bei der Stationierung und Bewegung neuerer Waffensysteme in Europa sollten sich die Nato und Russland Transparenz und Zurückhaltung zusichern. Dies gilt vor allem für land-, see- oder luftgestützte Marschflugkörper und weitreichende Kampfdrohnen.

(9) Zudem sollten beide Seiten die Gespräche über die Raketenabwehr wiederaufnehmen. Sie könnten jährliche Informationsaustausche über derzeitige und geplante Abwehrsysteme in Europa erwägen, um Transparenz und Vertrauen zu stärken.

Diese Vorschläge zielen nicht darauf ab, dass die Allianz gegenüber Russland zur Tagesordnung zurückkehrt, ohne dass die fundamentalen politischen Probleme gelöst werden, die beide Seiten trennen. Sie dienen vielmehr dazu, eine Eskalation zu vermeiden und die Sicherheit in Europa zu stärken. Werden sie realisiert, so können sie allerdings dazu beitragen, eine positivere Atmosphäre zu schaffen, in der auch die tieferliegenden Ursachen der europäischen Sicherheitskrise erörtert werden können.

Um eine weitere Eskalation der politischen und militärischen Spannungen zwischen der Nato und Russland zu verhindern, hat eine Gruppe von 40 hochrangigen Militär- und Sicherheitsexperten aus Europa, Russland und den USA Empfehlungen formuliert. Viele der US-Teilnehmer stehen dem Biden-Team nahe. Die Empfehlungen werden von mehr als 140 Sicherheitsfachleuten unterstützt, unter ihnen 16 frühere Außen- und Verteidigungsminister sowie mehr als 50 Generäle, Admirale und hochrangige Diplomaten außer Dienst. Der Autor hat daran mitgearbeitet.

L’Esprit Public – « De VGE à Macron : le centre est-il une illusion ? » / « GB : un perturbateur nommé Boris Johnson »

Fondapol / Général - dim, 06/12/2020 - 18:04

Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique, était l’invité d’Émilie Aubry sur France Culture, aux cotés de l’ancienne ministre de la culture, Aurélie Filippetti et de Sylvie Kauffmann dans l’émission L’Esprit Public qui traitait deux sujets : « De VGE à Macron : le centre est-il une illusion ? », dans une première partie, […]

The post L’Esprit Public – « De VGE à Macron : le centre est-il une illusion ? » / « GB : un perturbateur nommé Boris Johnson » appeared first on Fondapol.

Le combat d’Eva Janadin et Anne-Sophie Monsinay, les deux premières femmes imames de France

Fondapol / Général - dim, 06/12/2020 - 14:38

Eva Janadin et Anne-Sophie Monsinay, jeunes trentenaires converties depuis dix ans, sont les deux premières femmes imames de France. Elles veulent faire entendre la voix d’une pratique progressiste afin de mieux combattre les dérives extrémistes et communautaristes. Ce vendredi de ­novembre, les fidèles de la mosquée Simorgh ont rendez-vous en ligne, confinement oblige. « Nous sommes 127 […]

The post Le combat d’Eva Janadin et Anne-Sophie Monsinay, les deux premières femmes imames de France appeared first on Fondapol.

Pages