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Diplomacy & Crisis News

Development gains unsustainable without cyber-diplomacy, UN official says

UN News Centre - ven, 31/08/2018 - 23:59
Hacking, child sexual exploitation and other cybercrimes could keep countries from reaching their development goals, warns a United Nations official who is urging Governments and private sectors to rethink how they work together.

Food, security and peace desperately needed in Mali – UN relief chief

UN News Centre - ven, 31/08/2018 - 23:49
A senior United Nations relief official has called for greater international attention to the plight of millions in Africa’s Mali, where worsening intercommunal violence and armed group attacks are complicating an already complex humanitarian emergency.

Act now to save children from rise in climate-driven extreme weather – UNICEF

UN News Centre - ven, 31/08/2018 - 22:56
Governments are being pressed by the United Nations Children’s Fund (UNICEF) to act now to safeguard younger generations from the immediate and long-term impacts of so-called “extreme weather events.”

The Lesson of Smoot-Hawley

Foreign Policy - ven, 31/08/2018 - 21:41
On the podcast: The last big American trade war was in 1930. It ended badly for everyone.

The Rise of the Cyber-Mercenaries

Foreign Policy - ven, 31/08/2018 - 20:27
What happens when private firms have cyberweapons as powerful as those owned by governments?

Macron’s Celebrity Apprentice Is a Nightmare

Foreign Policy - ven, 31/08/2018 - 20:06
Nicolas Hulot is a combination of Donald Trump and Al Gore—and the French president will regret ever putting him in his Cabinet.

Putin Is Sneaking Up on Europe From the South

Foreign Policy - ven, 31/08/2018 - 19:45
The Kremlin understands that the best way to undermine the West is through its soft underbelly—the Middle East.

Welcome American Friends to Glorious North Korea

Foreign Policy - ven, 31/08/2018 - 19:39
Letting U.S. tourists back into the country would be a small but potent move toward peace.

Le Quai croqué par la fiction


L’air du large

Les auteurs français de fiction (espionnage, romans policiers…) mettent rarement en scène l’action internationale de la France elle-même, sauf sur un mode comique (la reprise au cinéma dans les années 2000 de l’OSS 117 de Jean Bruce, qui transforme le héros initial en caricature franchouillarde, la bande dessinée Quai d’Orsay également portée à l’écran…). Il n’est donc pas anodin d’assister depuis peu à un réinvestissement du sujet « diplomatie française » par la littérature noire, à l’heure des luttes d’influence et du storytelling. En 2018, trois livres parmi d’autres ont fait parler d’eux : que nous disent-ils de l’outil diplomatique français dans son contexte international ? En comparaison avec des littératures étrangères, le thriller français se veut réaliste au risque du pessimisme, informé et universaliste, surtout hanté par la dictature au Sud.Le diplomate français, nouveau personnage de romanDans ses 200 aventures de « SAS » très prisées du monde diplomatique français, Gérard de Villiers évitait le sujet. Son héros, le Prince Malko, était autrichien, travaillait sous contrat pour la CIA et sa mission principale consistait à faire voyager le lecteur francophone sous d’autres tropiques, dans un exotisme à fantasmes qui éloignait de la routine parisienne. Les services français n’étaient pas dans le jeu. Les quelques romans à succès des dernières années (comme les Pukhtu de DOA), s’attachaient également à d’autres acteurs, sociétés militaires privées américaines ou autres. Cette absence dans la littérature n’était pas compensée par les séries télévisées. Jusqu’au Bureau des légendes, succès français mais aussi succès commercial international, qui met en scène la DGSE dans des scénarios dont le talent tient au réalisme. Là où les Etats-Unis, le Royaume-Uni, plus récemment quelques émergents, glorifiaient leurs services dans la fiction, la France commençait seulement à rattraper son retard, sans James Bond, à sa manière, avec pour principale qualité de se critiquer elle-même.Pour la seule année 2018, trois romans situent leur intrigue au cœur du milieu diplomatique français. Dans Kisanga, l’écrivain Emmanuel Grand montre un ministère des Affaires étrangères (dirigé par un ministre flamboyant, « François-Xavier de Meyrieux », à la crinière argentée…), et des agents de la défense, entre intérêts industriels et partenariats chinois, empêtrés dans les doubles-fonds d’une Afrique (en l’occurrence d’une RDC) en proie à tous les maux, et pillée par les grandes puissances. Dans Les saisons inversées, Renaud S. Lyautey (pseudonyme de l’actuel ambassadeur de France à Mascate, donc diplomate de carrière en pleine activité), met en scène l’assassinat en 2003, peu après la crise irakienne, du directeur général des Affaires politiques et de sécurité du Quai, qui eut quelques jardins secrets dans ses postes passés, en Iran ou en Amérique latine. Dans Le suspendu de ConakryJean-Christophe Rufin, écrivain qui fut ambassadeur, dépeint un consul de France qui s’ennuie, qui boit et joue du piano, réveillé et révélé par l’assassinat spectaculaire d’un français sur place. Rien de tout cela n’est fortuit, et les deux derniers auteurs annoncent même une suite, avec les mêmes héros.« Le grand bâtiment retrouva dans l’instant sa vocation première, celle d’un tombeau servi par des prêtres mutiques, industrieux et bronzés. Chacun s’affaira à ce qu’il savait le mieux faire : la limitation des dégâts »Le quai sans concessionLes héros, justement. Ces sans-grade qui mènent l’enquête à la place des enquêteurs, dans des romans policiers sans policiers. Ils ont une profondeur, une intelligence, que rien n’a facilitées, ni que personne n’a reconnues, au quai d’Orsay. Chez Rufin, le raté Aurel Timescu, diplomate d’origine roumaine qui finit consul de France en Guinée mais dont personne ne veut, devient pourtant une sorte d’inspecteur Columbo dans un décor de SAS, tout en subissant ce qui s’apparente à un harcèlement moral de la part de sa hiérarchie. Le René Turpin de Lyautey est choisi pour aider l’enquête en raison précisément de ce que l’on croit être sa médiocrité : lui non plus, n’est pas aidé par la machine. L’anti-héro de Grand est un journaliste assisté d’un ingénieur idéaliste, considéré comme fini parce que le système l’a fait taire autrefois, et qui a maintenant le Quai et Balard à ses trousses pour le supprimer en Afrique. Sur le plan de la gestion des ressources humaines, le quai n’en sort pas grandi.Il n’est pas épargné non plus sur le plan de la morale, décrit comme complice de faits graves, à différents degrés d’implication suivant les ouvrages. 
Lire la suite dans L’air du large

It’s Time to Hold Myanmar Accountable

Foreign Policy - ven, 31/08/2018 - 18:36
A year after the ethnic cleansing of the Rohingya began, the United States is still dragging its feet.

Le saumon, une industrie

Le Monde Diplomatique - ven, 31/08/2018 - 18:27
/ Pêche, Économie, Mer, Agroalimentaire, Environnement, Écologie, Animal, Eau, Mondialisation, Commerce international - Environnement - Biodiversité / , , , , , , , , , - Environnement - Biodiversité

FROM THE FIELD: Living a life in the ruins of Syria

UN News Centre - ven, 31/08/2018 - 18:10
Many people in Syria are trying to lead “a normal life amidst the ruins” of their country devastated by years of conflict; that’s according to the UN High Commissioner for Refugees, Filippo Grandi, who visited the Syrian city of Douma this week.

Refugees overcrowded to ‘boiling point’ on Greek island, warns UN agency

UN News Centre - ven, 31/08/2018 - 17:39
The Government of Greece has been urged by the United Nations to do more to help thousands of asylum-seekers and migrants who have been “crammed” into island reception centres, amid reports that children have tried to take their own lives there.

Chinese Aid and Investment Are Good for Africa

Foreign Policy - ven, 31/08/2018 - 17:17
Increased interest in the continent’s real estate and resources will enhance the bargaining power of governments there—but they need to bargain for the right things.

OTAN, un élargissement sans bornes

Le Monde Diplomatique - ven, 31/08/2018 - 16:27
/ Europe, Caucase, Russie, Relations internationales, Géopolitique, Relations Est-Ouest, Défense, Armement - Relations internationales / , , , , , , , - Relations internationales

La radio pendant les deux premiers mois de guerre

Politique étrangère (IFRI) - ven, 31/08/2018 - 09:00

Créée en 1936, Politique étrangère est la plus ancienne revue française dans le domaine des relations internationales. Chaque vendredi, découvrez « l’archive de la semaine ».

* * *

L’article « La radio pendant les deux premiers mois de guerre » a été écrit par le journaliste Thomas Grandin dans le numéro 5/1939 de Politique étrangère.

Un pays en état de guerre ne diffuse pas les mêmes nouvelles à ses nationaux et à l’étranger. Les émissions destinées à l’intérieur s’appliquent d’abord à maintenir le moral des militaires aussi bien que des civils ; le gouvernement adoptera en cela une véritable stratégie défensive. Il donnera au contraire plutôt un caractère offensif aux émissions qui traversent les frontières puisque leur but est de miner le moral des forces de l’ennemi. S’il est possible d’empêcher l’entrée des journaux étrangers, d’abattre les avions porteurs de tracts, les ondes, elles, se glissent à travers chaque pays avec la vitesse de la lumière.

La radio est une arme nouvelle et perfide qui va probablement jouer, comme instrument de propagande, un rôle important dans cette seconde guerre mondiale. En effet, selon les avis autorisés, cette guerre sera une guerre d’endurance, sans victoires militaires absolument décisives. Aucun pays ne cédera avant que la résistance de sa population n’ait été complètement minée : la guerre entre dans chaque foyer, dans chaque usine et dans chaque ferme. Des villes et des bateaux peuvent être bombardés, des millions d’hommes sacrifiés sur le front, en définitive, la volonté de vaincre du peuple entier sera le facteur décisif. On conçoit que la radio devienne alors d’une importance vitale puisqu’elle a le pouvoir d’affermir ou d’affaiblir la résistance de la population.

En plus des polémiques et des informations, la radio a une tâche importante, celle de diffuser les discours des hommes d’État dont la voix et le programme politique se font entendre au monde entier. Il n’y a pas lieu de citer ici tous les discours faits à la radio depuis le 1er septembre, il suffira de dire que presque tous les hommes d’État des pays belligérants et des pays neutres ont parlé.

En outre elle transmet les communiqués militaires des belligérants; ceux-ci font sept fois et demie le tour du globe en l’espace d’une seconde et peuvent donc être publiés aussitôt dans le monde entier.

C’est la radio qui porte dans tous les coins du monde des nouvelles d’importance historique, telles que l’entrée des troupes allemandes en Pologne, la déclaration de l’état de guerre par la France et l’Angleterre et l’occupation de la Pologne par l’armée rouge (qui fut rendue publique à la fois par les stations russe et allemande).

Dans le domaine strictement militaire, elle établit, par exemple, au front la liaison entre le haut commandement et les sections aux armées, ou elle dirige les avions d’après les ondes radiophoniques. A ce propos, on note qu’à Paris, pendant les alertes, l’Allemagne émettait des notes « directives » à l’usage de ses bombardiers qui, heureusement, n’arrivèrent jamais au-dessus de la capitale française.

Considérons enfin l’aspect négatif de la radio, ce qu’on appelle le « brouillage », les interférences volontairement provoquées sur les longueurs d’ondes étrangères. Le procédé fut employé longtemps avant le début de la guerre; il l’est aujourd’hui d’une manière plus générale et sert, en particulier, à empêcher que les émissions ennemies soient entendues dans les grandes villes. Mais l’efficacité du brouillage dépend de la position et de la puissance du poste transmetteur utilisé pour noyer les paroles indésirables. Certains observateurs ont pensé que le brouillage serait si fréquent en temps de guerre que les effets de la radio perdraient de leur valeur. En fait, si les belligérants « brouillent » de temps à autre réciproquement leurs programmes, le rôle positif de la radio en temps de guerre n’en demeure pas moins très important. La science radiophonique a fait des progrès gigantesques ; elle est devenue une arme dans les mains des belligérants : on supprime, on altère, on fabrique des nouvelles ; en un mot la propagande emplit l’éther ; elle est plus dangereuse dans cette guerre que les gaz et les canons; de son ampleur et de sa qualité dépendront la victoire et la défaite.

L’Allemagne a déjà acquis en matière de radiodiffusion destinée à son peuple une expérience de longue date. Dès 1933, elle s’est appliquée à le persuader de croire en la mission du national-socialisme. Il semble que ses émissions intérieures soient absolument au point.

Les émissions du B.B.C. en Angleterre, comme celles des P.T.T. en France, ont été sévèrement critiquées par les auditeurs dans ces deux pays. Les Anglais se plaignent de la monotonie et de la longueur de leurs bulletins d’information, donnant très peu de nouvelles; les plaisanteries antinazies surchargent à tel point tous les programmes que le directeur du « B.B.C. Variety » a dû demander aux speakers anglais de renouveler l’intérêt des sujets. En France, Gallus, écrivant dans L’Intransigeant du 18 octobre, décrit ainsi la radio officielle française :

« Mêlons notre voix à celles qui maudissent et condamnent à l’unisson la radio française. Trois reproches principaux peuvent être adressés à ce service national.

D’abord il devrait nous renseigner, et il nous renseigne fort mal, incomplètement, insuffisamment. Nous ne demandons pas d’indiscrétion, en matière militaire moins qu’en toute autre. Nous savons qu’il est impossible de tout nous

dire au jour le jour et heure par heure. Mais nous savons aussi que certains renseignements pourraient nous être donnés qui ne toucheraient nullement au secret nécessaire des opérations, ni des pourparlers diplomatiques qui peuvent être engagés ici ou là. En d’autres termes, nous savons que les communications radiophoniques devraient être mieux nourries… Second reproche : les speakers, comme on dit, s’expriment dans un langage ennuyeux et pesant. Il y a des exceptions, que tout le monde connaît. Mais, pour un grand nombre, ceux qui nous parlent semblent ignorants du style qu’il faut prendre pour parler à un public immense. Ils récitent un petit papier rédigé à l’avance et dont aucun journal à grand tirage ne voudrait… Enfin, troisième reproche : ils commettent des fautes de français impardonnables… »

Il est peu vraisemblable qu’une critique aussi franche soit autorisée en Allemagne ou en Russie. Il faut reconnaître d’ailleurs que les Allemands et les Russes écoutent régulièrement des émissions dont le dynamisme les encourage. Celles de la France et de l’Angleterre peuvent par comparaison sembler insipides à leurs populations.

La raison de ces insuffisances est simple : les dirigeants des démocraties ont l’appui de leur opinion, ils ont donc porté leurs efforts vers d’autres buts plus pressants. Il semblerait que le défaut le plus marquant des émissions françaises soit le suivant : les nouvelles, si elles sont exactes, sont d’une façon générale déjà anciennes comparées aux bulletins de Rome ou des pays neutres, pour ne pas parler d’informations d’origine allemande, transmises avec rapidité et quelquefois fausses, telle l’annonce de la chute de Varsovie par deux stations allemandes longtemps avant la reddition de la capitale polonaise. Le but de cette nouvelle prématurée fut, sans aucun doute, de décourager les nations en guerre avec l’Allemagne.

Les émissions allemandes

S’il s’agit, pour un but stratégique, de toucher l’opinion de l’ennemi, les émissions sont ou de la polémique ou de la propagande accompagnée de commentaires de nouvelles. On peut discerner trois objectifs principaux dans l’ensemble des émissions allemandes actuelles : exalter les réalisations militaires et diplomatiques du régime nazi, entretenir la haine de l’Angleterre dans le monde entier, enfin amener la France à rompre son alliance avec la Grande-Bretagne. Les émissions transmises de Stuttgart sont typiques à ce dernier point de vue. N’en relevons que le « slogan » aujourd’hui réfuté par les faits mêmes : « Les Anglais donnent leurs machines, les Français leurs poitrines. »

Il est intéressant de relever d’autres méthodes employées par les Allemands pour influencer l’opinion française. On connaît l’histoire de la retransmission de la cérémonie des obsèques du lieutenant Deschanel, où furent rendus les honneurs militaires, ce qui, d’ailleurs, amena une réplique en langue allemande de la part des stations françaises. Stuttgart a transmis des programmes de musique variée pour les soldats de la ligne Maginot, soi-disant à la demande de soldats français; notons le titre suggestif de l’un des morceaux : « Parlez-moi d’amour ». Sarrebruck a donné les noms et les adresses de prisonniers français, accompagnés de messages envoyés par eux à leur famille. Pendant la campagne de Pologne, on donna des récits de témoins, combattant sur le front Est, et accompagnés des bruits de bataille. Des camions allemands équipés de haut-parleurs circulèrent le long du Rhin, en face de Strasbourg, répétant sans discontinuer des extraits du discours d’Hitler du 6 octobre, dans lequel il proclamait qu’il n’avait pas de querelle avec la France. Le poste de Sarrebruck n’a cessé de démentir qu’il y eût sur le sol français un nombre considérable de troupes anglaises : ce qui intéresse l’Angleterre, déclarent les Allemands, ce sont les bénéfices faits par les banquiers anglais, les Juifs internationaux et l’aristocratie; l’Angleterre, expliquent-ils encore fréquemment, est dans une situation critique du fait de son chômage, de son manque de vivres et de pétrole. C’est après seulement que des doutes sont élevés sur la situation de la France : « Français, voulez-vous vous suicider ? Parce que vous êtes faibles, voulez-vous mourir? « Sarrebruck émet : « Nous connaissons la France, nous, de l’autre côté du mur de l’Ouest… La France est forte, mais forte dans la paix. La paix seule lui donne force et bonheur. » […]

Lisez l’article en entier ici.

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Security Council extends mandate of UN Interim Force in Lebanon for a year

UN News Centre - jeu, 30/08/2018 - 23:22
In a unanimous action, the United Nations Security Council extended the mandate of the Organization’s peacekeeping mission in Lebanon until 31 August next year.

U.S. to Canada: Deal or No Deal?

Foreign Policy - jeu, 30/08/2018 - 23:01
As the deadline looms, here’s how the complicated NAFTA talks could play out.

Guinea-Bissau: Upcoming elections vital to prevent ‘relapse’ into instability, says UN envoy

UN News Centre - jeu, 30/08/2018 - 22:03
Highlighting the importance of the upcoming legislative elections in Guinea-Bissau, the top United Nations official in the country reiterated the importance of “far-reaching” reforms to prevent a relapse into political and institutional instability.

Don’t Buy the Panic About the Rupee’s Fall

Foreign Policy - jeu, 30/08/2018 - 21:52
A cheaper currency will help rebalance India’s massive trade deficit.

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