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Diplomacy & Crisis News

Germany Could Have Delivered Justice for Civilian Drone Strike Victims. It Failed.

Foreign Policy - mar, 08/12/2020 - 19:47
Missiles remotely fired with the assistance of a U.S. base on German soil killed my family in Yemen, but neither German nor U.S. courts are willing to hold anyone accountable.

The Virtual Transition

Foreign Policy - mar, 08/12/2020 - 19:40
Biden’s landing teams are steering clear of an administration that has often served as a COVID-19 superspreader event.

Au cœur d'un environnement incertain

Le Monde Diplomatique - mar, 08/12/2020 - 19:16
A la croisée de trois continents, lieu de passage d'une importante partie du commerce mondial, notamment pétrolier, l'Egypte occupe une position centrale. Elle a, depuis la prise du pouvoir par les Officiers libres en 1952, joué un rôle majeur dans la région (création de la République arabe unie avec (...) / , , , , , , , , , , , , , , , , , - Proche-Orient

Developing countries raise climate ambitions to plot path out of pandemic

UN News Centre - mar, 08/12/2020 - 18:49
Developing countries are building more ambitious plans to tackle climate change, with COVID-19 stimulus packages often serving as a springboard towards a greener recovery, the United Nations Development Programme (UNDP) said on Tuesday.

Independent UN expert calls for Julian Assange’s release, cites prison’s COVID outbreak

UN News Centre - mar, 08/12/2020 - 18:47
Amid a COVID-19 outbreak at London’s Belmarsh prison, an independent UN expert appealed to British authorities on Tuesday to release Julian Assange or to place him under guarded house arrest during extradition proceedings to the United States.  

Deux époques, deux empires

Le Monde Diplomatique - mar, 08/12/2020 - 16:52
/ Égypte, Turquie, Histoire, Mutation - Proche-Orient / , , , - Proche-Orient

What Is Europe’s ‘Once-in-a-Generation’ Offer to America?

Foreign Policy - mar, 08/12/2020 - 16:02
The EU vows to seize the opportunity posed by the new U.S. administration—but muddled strategy still stands in the way.

New WHO campaign to help COVID-era quitters kick the habit

UN News Centre - mar, 08/12/2020 - 14:16
The UN World Health Organization (WHO) on Tuesday, announced the start of a year-long global campaign to help people quit tobacco, with millions citing the threat of COVID-19 as a new incentive to give up the habit.  

The Trump State Department’s Swan Song? A Strange, Flawed China Paper.

Foreign Policy - mar, 08/12/2020 - 12:23
The U.S.-China conflict may be the defining 21st-century challenge, but the recommendations stand out by what they fail to address.

Biden’s Pentagon Nominee Faces Stiff Challenges

Foreign Policy - mar, 08/12/2020 - 11:42
Biden’s choice of a Black secretary of defense is historic, but Lloyd Austin's defense industry ties and recent service put his nomination in question.

Breaking up is hard to do : Royaume-Uni et Union européenne après le Brexit

Politique étrangère (IFRI) - mar, 08/12/2020 - 09:35

La rédaction a le plaisir de vous offrir à lire ce second article de Florence Faucher et Colin Hay, « Breaking up is hard to do : Royaume-Uni et Union européenne après le Brexit », publié dans le nouveau numéro de Politique étrangère (n° 4/2020), disponible depuis le 7 décembre.

Pour un vrai politiste, n’est prévisible que ce qui est inévitable. Et aussi longtemps que les choses demeurent politiques, elles ne sont pas inévitables. Le Brexit a toujours été, et restera, politique. Il n’y a donc rien d’inévitable dans la prospective des relations entre le Royaume-Uni et l’Union européenne (UE), au court, moyen, ou long terme. Et si rien n’est inévitable, rien n’est connu à l’avance. Les relations politiques, comme les relations sociales, se nouent, se renouent, se rompent à travers des processus qui les déterminent. Et, comme on va le voir, une rupture est rude à consommer : en l’occurrence elle est difficile à conclure, elle laissera traces et cicatrices.

Par nature, la relation entre l’UE et le Royaume-Uni peut évoluer selon des logiques et avec des résultats très divers, à tous horizons imaginables : on pourrait donc se contenter d’attendre… Mais certaines solutions sont plus vraisemblables que d’autres, et même une science politique non-prédictive peut espérer identifier au moins quelques facteurs déterminants pour la future relation.

S’il est impossible aujourd’hui de savoir quelle forme de Brexit se concrétisera parmi toutes celles qu’on peut concevoir, toutes les formes de Brexit imaginables ne sont pas possibles, et tout ce qui est possible n’est pas vraisemblable. On hasardera donc ici des conjectures plus probabilistes que prédictives, en espérant qu’elles contribuent à clarifier quelques-uns des enjeux, et des facteurs qui pourraient contribuer à la résolution du problème.

Perspectives d’un accord, conséquences possibles d’un no deal

En octobre 2020, ce texte est écrit à un moment où les négociations commerciales entre l’UE et le Royaume-Uni semblent particulièrement incertaines. Le « tunnel » où elles semblent se trouver peut déboucher sur un accord du dernier moment… ou sur une voie sans issue. Les conséquences de ces deux hypothèses sur la relation entre les deux acteurs seraient radicalement différentes.

Comment pouvons-nous nous trouver, à moins de trois mois d’un éventuel Brexit sans accord commercial, à ignorer si un accord, quel qu’il soit, demeure possible ? Et que nous dit cette situation sur les motivations des parties à la négociation ? Deux points peuvent ici être soulignés.

Tout d’abord, la négociation reste ouverte, elle entre même dans une phase plus précise, plus exigeante (le fameux « tunnel ») : ceci suggérant qu’aucune des parties ne se sent en capacité de quitter la table avant la fin, et que donc chacun cherche toujours un accord. Que ceci reste vrai alors que le Royaume-Uni a menacé de rompre ses obligations vis-à-vis de l’UE (codifiées en droit international dans l’accord de transition) témoigne de la volonté d’aboutir à un accord au moins du côté de l’UE. Le sommet du 15 octobre, que Londres avait fixé comme deadline, est passé sans qu’aucun progrès n’ait été enregistré. Johnson s’est adressé aux Britanniques à la télévision, leur demandant de se préparer à un no deal et rejetant la responsabilité de la situation sur l’UE. La disposition de chaque partie à poursuivre la négociation montre néanmoins que l’obstacle ne tient pas, comme le répète le Royaume-Uni, à la personnalité du négociateur européen (qui a vu son mandat confirmé), mais à la détermination des 27 à ne pas céder aux « lignes rouges » de Londres à ce stade de la négociation. L’UE ne poussera pas Londres du haut de la falaise, mais elle ne se placera pas entre Londres et le précipice pour empêcher son partenaire de sauter : Bruxelles a renouvelé son offre et reste ouverte au dialogue.

La position du gouvernement Johnson est plus difficile à décrypter. On peut penser que le fait de risquer la réputation du pays, en affirmant son « droit souverain » à faire prévaloir son droit interne sur ses engagements juridiques internationaux, préjuge mal de la volonté de rechercher une solution négociée. Ce serait mal interpréter le signe d’une stratégie « du bord du gouffre ». Johnson et son cabinet entendent ainsi signifier à l’UE que, sauf si les bénéfices réels d’un accord commercial dépassaient largement les coûts de la mise en œuvre – contre leur volonté – d’une frontière tarifaire et commerciale dans la mer d’Irlande, ils choisiraient de ne pas avoir d’accord. L’analyse coût/bénéfice implicite est holistique : les bénéfices de relations commerciales privilégiées contre le coût de la mise en place de contrôles aux frontières justifiés par la « reprise de contrôle » sur les régimes tarifaires commerciaux. Dans cette logique, il apparaît normal que le Royaume-Uni signale son intention, en l’absence de l’accord recherché, de remettre en cause le texte qu’il avait dû signer pour en arriver à l’étape où seraient mis sur la table les termes d’un accord commercial à venir. Il s’agit bien d’une menace, qui doit être comprise comme telle, mais d’une menace venant d’un gouvernement dont la préférence va à un accord commercial qui ne l’obligerait pas à revenir sur ses obligations internationales.

Alors que les négociations avec l’UE sont longues et difficiles, et alors que les 27 leaders européens comprennent tous les logiques de troc des responsables britanniques et leurs coûts politiques internes, quatre années de reports et de complaintes réciproques ne pourraient, en cas de non-accord, que produire aigreurs et récriminations. En résulteraient sans nul doute de réels dommages de long terme pour la relation entre l’UE et le Royaume-Uni, tout comme pour les relations bilatérales de Londres avec chacun des membres de l’Union.

Accord ou non, un choc aux frontières semble inévitable, et il sera d’autant plus significatif que les milieux d’affaires britanniques ont dû plus récemment se focaliser sur la crise du COVID, délaissant la préparation aux dispositifs nouveaux (jusqu’ici inconnus) qui devront être mis en place.

Lisez l’article dans son intégralité ici.

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Biden to Name Former General as Defense Secretary

Foreign Policy - mar, 08/12/2020 - 04:34
Lloyd Austin would be the first Black person to serve in the job.

Shutting school systems, wrong response to COVID-19, UNICEF says

UN News Centre - mar, 08/12/2020 - 01:30
Countries fighting the coronavirus should not impose nationwide or large-scale school closures, which is the wrong response and compounds the societal cost of the disease, with 320 million children locked out of school at the start of December, the UN children’s agency UNICEF said on Tuesday.  

Ignoring Criticism, Bangladesh Begins Resettling Rohingya

Foreign Policy - mar, 08/12/2020 - 00:10
Human rights groups have already voiced serious concerns about the plan to move thousands of refugees to an uninhabited island.

54 million women and youth face staggering humanitarian challenges 

UN News Centre - lun, 07/12/2020 - 23:05
As COVID-19 continues to disproportionately impact women and girls hit by multiple humanitarian crises, the UN sexual and reproductive health agency appealed on Monday for $818 million to provide 54 million women and youth with essential and life-saving services throughout 2021. 

How to Buy Time on the Korean Peninsula After Trump’s Theatrics

Foreign Policy - lun, 07/12/2020 - 22:57
There’s a right man for the job of a careful review.

‘Quickly restore the rule of law’ in Ethiopia’s Tigray, urges Guterres

UN News Centre - lun, 07/12/2020 - 22:03
The UN Secretary-General said on Monday it was “essential to quickly restore the rule of law” in Ethiopia’s northern region of Tigray, where Government forces and those loyal to the ruling Tigray People’s Liberation Front (TPLF) have been engaged in fighting for more than a month.

Prioritize health workers, at-risk groups, for COVID-19 vaccines: WHO chief

UN News Centre - lun, 07/12/2020 - 22:02
As countries plan to roll out COVID-19 vaccines in the coming days, weeks and months, health workers and other at-risk populations should be prioritized for vaccination, the head of the World Health Organization (WHO) said on Monday. 

New global hub to study factors driving radicalization and violent extremism

UN News Centre - lun, 07/12/2020 - 19:43
A new UN office in Doha will advance research into the factors that drive violent extremism and terrorism, the Organization’s counter-terrorism chief Vladimir Voronkov said on Monday during the soft launch held online. 

Document of the Week: Aid Donors Blast UNDP for Resisting Appeals to Fight Corruption

Foreign Policy - lun, 07/12/2020 - 19:27
A dozen wealthy donor states press the United Nations Development Program to investigate allegations that funds were misappropriated from a Russia climate program it managed.

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