Vous êtes ici

Défense

Pêche : le chalutier La Jalouse mis à l'eau

MeretMarine.com - ven, 19/03/2021 - 01:32

La Jalouse, chalutier polyvalent de 11,85 m et 11 tonnes, a été mise à l’eau ce mercredi matin, bassin Jacques-Cartier, à Saint-Malo. C’est le 7e bateau de l’armement mélorien Laurenti. À la fois chalutier, fileyeur, coquillier et caseyeur, il pêchera dans les eaux des baies de Saint-Brieuc, Saint-Malo et du Mont-Saint-Michel.

Savoir-faire local

Catégories: Défense

Enseignement maritime : une centaine de lycéens manifestent à Saint-Malo

MeretMarine.com - ven, 19/03/2021 - 01:32

Chloé, 18 ans, est élève en terminale au lycée maritime Florence-Arthaud. Elle et plusieurs de ses camarades ont manifesté leur colère mercredi matin, suite à la mise en place d’une réforme conduisant à la suppression d’une classe prépa au concours d’entrée à l’École nationale supérieure de marine (ENSM).

« Depuis que je suis en 5e, mon rêve est de devenir marin, confie la Rennaise. Et là, on détruit tout notre parcours. On ferme la porte à notre métier de rêve, d’officier. Moi, je veux devenir commandant dans la Marine marchande ».

Catégories: Défense

Bugalets : les nouvelles barges à munitions de la Marine nationale

MeretMarine.com - ven, 19/03/2021 - 01:32

Les bases navales de Brest et Toulon disposent de nouvelles barges dédiées au transport de munitions. Quatre engins de ce type, appelés « bugalets », ont été livrés en 2018 à la Marine nationale afin de remplacer des moyens arrivant en fin de vie. Suite à un appel d’offres lancé fin 2017 par la Direction Générale de l'Armement (DGA) et le Service du Commissariat des Armées (SCA), c’est Socarenam qui avait été retenu pour réaliser ces barges, dont l'entrée en flotte était passée assez inaperçue.

Catégories: Défense

Face au Covid-19, des navires toujours à portée de main grâce à la visite virtuelle

MeretMarine.com - ven, 19/03/2021 - 00:15

La visite d’un navire est toujours une entreprise chronophage et complexe à organiser. Bateau rarement à quai, consignes de sécurité drastiques… Pourtant, les visites techniques y sont indispensables et régulières. Et la crise sanitaire liée au Covid-19 impose aux professionnels de nouvelles contraintes, destinées à réduire la présence sur le terrain et les interactions entre salariés pour préserver leur santé.

Catégories: Défense

Avec le Puma, ne jamais dire jamais

Le mamouth (Blog) - jeu, 18/03/2021 - 22:03

Le 21 avril 2019, une brève du site internet du minarm évoquait le retour "définitif" des Puma de

Plus d'infos »
Catégories: Défense

Amélioration de l’accès fluvial à Port 2000 : Nouvelle étape de concertation

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 19:57

Dans le cadre d’une démarche de concertation volontaire engagée par HAROPA – Port du Havre, sous l’égide de la Commission Nationale du Débat Public, une réunion ouverte à tous est organisée le 31 mars prochain sur l’amélioration de l’accès fluvial à Port 2000.

Un état d’avancement des études et travaux menés avec les partenaires, dont la réalisation de la chatière, et les étapes à venir y seront présentés.

POURQUOI AMÉLIORER L’ACCÈS FLUVIAL À PORT 2000 ?

Catégories: Défense

L’Afpa, partenaire de Pôle emploi à l’occasion de la semaine de l’emploi maritime

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 17:05

Du 29 mars au 2 avril prochain, l’Afpa (Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes), est partenaire de la 6 ème édition de la Semaine de l’emploi maritime. Cet événement organisé à l’initiative de Pôle emploi, et soutenu par le Secrétariat Général de la Mer et le Cluster Maritime Français s’inscrit dans l’une des actions prioritaires de l’Etat. Une occasion unique de découvrir les métiers de la mer, rencontrer des entreprises qui recrutent, et trouver la formation pour y accéder !

Catégories: Défense

DEFNET 2021: 388 cyber-incidents au programme de cet exercice de cyber-combat

Lignes de défense - jeu, 18/03/2021 - 13:44

L'exercice majeur du COM Cyber est en cours. DEFNET (c'est sa 8e édition) a toujours pour objectif, comme le rappelle le général de division aérienne Didier Tisseyre, de "consolider la chaîne cyber pour accroître la résilience du ministère des Armées et entraîner les personnels, dont des réservistes". Cette année, un effort est fait sur "l'intégration de la chaîne d'approvisionnement civile" avec l'implication de plusieurs entreprises dont Naval Group.

Piloté depuis Rennes, DEFNET met en scène 260 acteurs directs auxquels sont associés 25 unités spécialisées (le Centre d’analyse de lutte informatique défensive ou CALID et la 807e compagnie de Transmissions de Rennes, le centre de support cyber de la Marine, la DIRISI etc) ou opérationnelles (bases aériennes, Service de Santé, Service de l'énergie opérationnelle, une FREMM), des réservistes, des cadres de la DGA-MI de Bruz (Ille-et-Vilaine), l'ANSI etc. "Soit quelque 20 000 personnes que DEFNET impacte", comme le précise le capitaine de frégate François-Xavier, le directeur de l'exercice, qui vante à juste titre un "exercice fédérateur".

Sur deux semaines, "388 cyber-incidents sont planifiés", précise le commandant Jean-Philippe, un transmetteur rennais qui commande les 41 membres de deux cellules, l'une de direction de l'exercice, l'autre d'animation (cette cellule gère l'injection des incidents). 

Dans un autre bâtiment du quartier Margueritte de Rennes où est joué DEFNET, le capitaine Matthieu et les hommes de son centre opérationnel de sécurité (dont beaucoup sont issus de la 807e compagnie), protègent le réseau intradef et mettent en oeuvre les moyens techniques de lutte informatique défensive. A eux d'évaluer les incidents et le périmètre des attaques. A eux aussi de définir des solutions de remédiation.

Toute une gamme de cyber-incidents
Ces incidents s'inscrivent sur une toile de fond géostratégique qui permet de faire intervenir toutes les menaces et de les faire converger vers une crise de très haute intensité. Au menu de ces cyber-incidents: du hameçonnage (phishing), des rançongiciels qui visent les hôpitaux des Armées, les approvisionnements en carburant, les activités d'avions come l'A-400M ou le Rafale.

"Ce jeudi, c'est une FREMM de la Marine qui est la cible d'une attaque", explique le commandant Jean-Philippe. La frégate dont le système d'armes a été victime d'une cyber-attaque doit regagner Brest. La veille, raconte le lieutenant-colonel Myriam, le patron du centre opérationnel, "c'est une coupure du réseau SIC suite à une attaque informatique que nous avons dû traiter, dans le contexte d'une opex. Il a fallu recourir au réseau GSM mais le pylône a été saboté à son tour". Comment réagir pour assurer les transmissions?

Un exercice entre soi?
La Red Team à l'oeuvre a sa feuille de route bien établie et bien séquencée. Mais il n'est pas prévu que des acteurs extérieurs bouleversent le scénario des incidents et des attaques. C'est donc un exercice "entre soi" qui se joue. D'où un risque de "consanguinité" qui fait que les "bleus" l'emporteront toujours sur les "rouges".

"Il faut évidemment rester disruptif", concède le général Tisseyre, "pour que DEFNET bouscule pas mal". Mais l'injection d'incidents totalement inopinés, pilotés par des francs-tireurs (franc-hackers?), n'est pas encore au programme.

 

 

Catégories: Défense

Deveryware retenu par la Gendarmerie pour l’analyse des données de téléphonie

Lignes de défense - jeu, 18/03/2021 - 13:00

Deveryware, une société experte dans les technologies d’investigation et les services pour la sécurité globale, vient de remporter le marché de la Gendarmerie nationale pour l'acquisition d’un logiciel spécialisé dans le traitement des données de téléphonie. Ce contrat doit s’étendre sur 4 ans.

En matière d'enquêtes judiciaires, le traitement d'analyse des données issues de la téléphonie est devenu un acte élémentaire, systématique et incontournable. Les enquêteurs de la Gendarmerie sont ainsi amenés, dans le cadre de leurs investigations, à obtenir auprès des opérateurs de téléphonie et d'accès internet des informations relatives à leurs abonnés. Il s'agit (entre autre) des factures détaillées d'abonnés (les fadettes) et des bornages (trafic sous relais). Ces informations brutes sont par la suite analysées par les enquêteurs afin d'établir des liens, identifier des comportements suspects, ou recueillir des éléments de preuve.

La Gendarmerie cherchait à se doter d'un logiciel spécialisé dans le traitement et l'analyse des données de téléphonie pour le déployer en métropole et en outre-mer où il sera utilisé par 30 000 gendarmes chargés d'une mission d'enquête. Après un appel à compétences lancé à l'automne 2019, la Place Beauvau avait lancé un appel d'offres pour l'analyse des fadettes des gendarmes. Selon la Lettre A du 20 mai 2020, Ockham Solutions et Deveryware étaient alors parmi les candidats.

Pour alléger la contrainte sur les enquêteurs et d’augmenter leurs capacités d’investigation Deveryware a proposé son logiciel DeveryAnalytics Telephony Data "qui a convaincu par sa puissance d’analyse et l’accessibilité qu’il propose". 

Le dynamisme de cette société s’est confirmé en 2020 : le chiffre d’affaires du groupe a atteint 37,2 millions d’euros. Une progression de 16,25% par rapport au chiffre d’affaires 2019 (32 M€) et 77% par rapport à celui de 2018 (21 M€).

Catégories: Défense

Un an d’opération pour Irini. Et un bilan dont les Européens n’ont pas à rougir

Bruxelles2 - jeu, 18/03/2021 - 06:55

(B2) L’opération européenne de contrôle de l’embargo sur les armes et le pétrole de la Libye arrive à sa première année d’exercice. L’occasion de faire un bilan, puisé aux meilleures sources

Abordage du BF Esperanza (crédit. EUNAVFOR Med Irini)

L’opération européenne Irini a été déployée pour succéder à l’opération soeur Sophia avec un objectif principal : le contrôle de l’embargo sur les armes et le pétrole, imposé par le conseil de sécurité des Nations unies. On peut préciser que l’Union européenne est la seule force présente aujourd’hui en Méditerranée à assurer ce contrôle.

Quel est le bilan de l’opération déployée en Méditerranée centrale depuis un an ?

EUNAVFOR Med Irini a effectué 2340 interrogations de navires (hailings), 94 approches amicales (friendly approach), 8 abordages (boarding) . L’opération a émis aussi 14 recommandations d’inspection (un procédé moins connu). Certaines ont transité via Europol jusqu’aux autorités portuaires européennes avec contrôle par les polices locales. 8 inspections ont été conduites directement par l’opération. Du côté aérien, 194 avions suspects ont été repérés, et 25 aéroports ou zones d’atterrissage examinées. Sans oublier les 16 ports surveillés. Pour parfaire le tout et sourcer les informations, 563 sets d’images satellites ont été analysés par le centre satellitaire de l’UE (SatCen).

La liste des navires inspectés

Où partent les informations recueillies ?

22 rapports confidentiels ont été envoyés au groupe d’experts ‘sanctions’ des Nations unies. Des rapports étayés et sourcés établissant des violations de l’embargo de façon plutôt assez équilibrée : 9 rapports concernent des violations au profit de l’Ouest libyen (Gouvernement d’entente nationale de Tripoli), 12 au profit de l’Est libyen (camp Haftar), une concerne des violations commises des deux côtés.

Comment l’opération choisit les bateaux qu’elle interroge, inspecte ou aborde ?

Nous avons interrogé un responsable européen. Voici sa réponse. « Si nous n’avons pas de preuve évidente, pas de renseignement sur un navire, nous faisons normalement une interrogation (hailing). Nous pouvons aussi décider (ensuite ou directement] de visiter un navire, soit parce que nous n’avons pas d’information ou pas vraiment beaucoup d’information. L’équipe monte à bord, à l’invitation du capitaine, échange avec le capitaine (ou l’équipage). C’est très utile pour comprendre quel type de marchandise il transporte, où il va. Mais pas seulement. Cela permet surtout d’avoir certains renseignements sur ce qui passe en mer, sur le port de départ, celui d’escale, etc. Enfin, si nous avons des indices raisonnables qu’il y a implication dans un trafic ou le transport de matériels illicites, de façon assez consistante, alors nous abordons le navire pour mener une inspection. Jusqu’à présent nous n’avons jamais trouvé de matériel. » Sauf une fois, quand un navire a été stoppé et arrêté.

Quel est le sort du navire dérouté ?

C’était en septembre dernier, le navire Royal Diamond 7 a été pris sur le fait pour détention de matériel prohibé (du fuel pour avion) et dérouté sur la Grèce. Il y est resté un mois. La cargaison a été vidée et saisie. Et un procès est instruit contre l’armateur.

L’opération dispose-t-elle de suffisamment de moyens sur place ?

Un chef d’opération « ne dira jamais qu’il a assez de moyens ». Mais pour l’instant, Irini a « suffisamment » de moyens à la fois navals et aériens pour effectuer le coeur de ses missions : le contrôle de l’embargo sur les armes et sur le trafic de pétrole. Ce qui contraste singulièrement avec les débuts, où il n’était pas rare d’avoir un seul navire sur zone.

Quatre navires sont présents : le HS Aegean (Grec, qui est le navire amiral), le patrouilleur de haute mer italien ITS Borsini (P-491), le patrouilleur français Premier maitre L’Her et le navire de soutien allemand FGS Berlin.

En l’air, l’opération dispose de six appareils qui ont tous des petits noms : des drones italiens (alias Strega/Bolt), des avions, le ‘Pirate’ (Pologne), les Seagull (Luxembourg), le Joker (Allemagne), le Xenon (France), et le Digenis.

Quelle est la zone d’opération ?

Les moyens européens restent en dehors de la zone des 12 miles marins libyens, en haute mer. Le gouvernement libyen n’a pas autorisé aux navires européens le droit de contrôler ses ports et ses eaux territoriales. La zone d’opération (Area Of Operations) est divisée ainsi en trois sous-zones correspondant à des logiques différentes : la sous-zone Sud-Ouest (SAW), qui couvre globalement les eaux face aux territoires +/- tenus par le GNA, entre la frontière tunisienne et Syrte et remonte au Nord largement au-dessous de la Sicile ; une sous-zone est définie au Nord (SAN) entre Tunisie et Sicile (où naviguent plutôt les navires avec des migrants, et qui n’est couverte qu’au niveau aérien ; et une sous-zone Sud-Est (SAE), qui couvre les eaux face aux territoires +/- tenus par les forces de Haftar, entre Syrte et la frontière égyptienne, et remonte au Nord-Est non loin de la Crète.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Cet article Un an d’opération pour Irini. Et un bilan dont les Européens n’ont pas à rougir est apparu en premier sur B2 Le blog de l'Europe géopolitique.

Catégories: Défense

Rafale : mise en service du standard F-3R

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

Le chef d’état-major de la Marine nationale, l’amiral Vandier, et le chef d’état-major de l’armée de l’Air, le général Lavigne, ont prononcé le 8 mars la mise en service opérationnelle du nouveau standard F-3R du Rafale, employé depuis la terre et le porte-avions Charles de Gaulle.

Catégories: Défense

Un nouveau dragueur de mines pour la flotte japonaise

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

Le 16 mars, la Force maritime d’autodéfense japonaise (JMSDF) a mis en service l’Etajima, qui avait été mis à l’eau en décembre 2019 au chantier Japan Marine United de Yokohama. Il s’agit du troisième d’une classe de dragueurs de mines dont les deux premiers exemplaires, les Awaji et Hirado, ont été mis en service en 2017 et 2018. Un quatrième a été commandé l’an dernier en vue d’une livraison d’ici 2024.

 

Catégories: Défense

Atlantique 2 : en cas de prêt à l’Allemagne, les 22 avions seront rénovés

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

Bonne nouvelle pour la Marine nationale qui, en cas de prêt d’avions de patrouille maritime Atlantique 2 à son homologue allemande, ne verra pas ses capacités amoindries. Comme nous l’expliquions hier, la France a proposé de mettre à disposition quatre ATL2 rénovés au standard 6 à la Bundeswehr, qui devra retirer du service dès 2025 ses huit P-3C Orion faute de pouvoir les moderniser.

Catégories: Défense

TSM : deux nouveaux remorqueurs en route vers Rouen 

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

Deux nouveaux remorqueurs doivent arriver en Seine début avril. La compagnie Thomas Service Maritimes (TSM), dans le cadre du renouvellement et de la modernisation de sa flotte servant les ports entre Rouen et Honfleur (HAROPA - Port Rouen), a commandé ces remorqueurs auprès du groupe néerlandais Damen, qui les a construits dans ses chantiers au Vietnam. Ils sont actuellement à bord du transport de colis lourd Imke, qui vient de passer le canal de Suez.    

Catégories: Défense

Rochefort/Tonnay-Charente : les deux ports charentais perdent 12,7% en 2020

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

En 2020, le port de Rochefort affiche une baisse de 12,7% de ses trafics à 553 494 tonnes. Il a subi les effets de la crise économique et d’une campagne céréalière 2020/2021 difficile. Un article d'Hervé Deiss de Ports et Corridors

Catégories: Défense

Espagne : le semi-submersible de trafiquants saisi par la police

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

Il s’agit du premier semi-submersible construit sur le territoire européen pour le trafic de drogue, selon Europol. La police espagnole, qui a travaillé avec l’Office européen de police, l’a saisi à Malaga, en février. Ce bateau de 9 mètres de long pouvant transporter 2 tonnes de drogue était encore en construction. Les précédents engins submersibles employés par des trafiquants découverts en Europe étaient réalisés sur le continent américain.

 

 

Catégories: Défense

Minéraliers bloqués en Chine : Panama demande à l’OMI d’intervenir

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

Panama veut dénouer le blocage des minéraliers transportant du charbon australien en Chine. Le pays, qui abrite le plus grand registre maritime au monde, a demandé à l’Organisation maritime internationale (OMI) d’intervenir après avoir pris des contacts avec l’Australie et la Chine, sans succès. Il propose que le secrétaire général de l’OMI, Kitack Lim, puisse servir de médiateur pour aider marins et armateurs paralysés par cette situation.

Catégories: Défense

Oceania dévoile sa prochaine classe de paquebots

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

La compagnie américaine Oceania Cruises a commencé à dévoiler cette semaine ses deux futurs paquebots commandés fin 2018 aux chantiers italiens Fincantieri. Les premières images de ces bateaux, dont le premier sera baptisé Vista, montre un design assez voisin de deux dernières unités de la flotte, les Marina et Riviera, navires de 239 mètres de long, 66.000 GT de jauge et 632 cabines pour une capacité d’un peu plus de 1250 passagers en base double, servis par 800 membres d’équipage. Des bateaux sortis du site Fincantieri de Sestri Ponente, près de Gênes, en 2011 et 2012.

Catégories: Défense

Sterenn Glaz, première unité neuve de Ship As A Service

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

C’est la première construction neuve pour Ship As A Service (SAAS). Le Sterenn Glaz vient de rejoindre l’entreprise lorientaise, qui propose des résultats clé en main à des clients ayant besoin de faire des opérations en mer. Ce petit workboat de moins de huit mètres qui peut être transporté par la route gonfle les effectifs d’une flotte désormais forte de 10 unités.

 

Catégories: Défense

Brest : l’ex-frégate La Motte-Picquet préparée pour sa fin de vie

MeretMarine.com - jeu, 18/03/2021 - 00:01

Sixième et avant dernière frégate anti-sous-marine du type F70 ASM, le La Motte-Picquet n’est déjà plus que l’ombre de lui-même dans la base navale de Brest. Le bâtiment, qui avait rallié la flotte française en 1988, a achevé au printemps 2020 son ultime mission. Après une dernière cérémonie des couleurs le 13 octobre, alors que l'équipage avait quitté son navire depuis le 31 juillet, il a été définitivement retiré du service et condamné en décembre.

Catégories: Défense

Pages