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Morocco signs for French-built LCT

Jane's Defense News - Tue, 14/07/2015 - 02:00
Morocco has ordered a 50 m landing craft tank (LCT) from Piriou, the French shipyard announced on 9 July. French shipyard Piriou has been contracted to build a 50 m landing craft tank (LCT), the company announced on 9 July. The new vessel will be built at Piriou's Concarneau shipyard in Brittany,
Categories: Defence`s Feeds

Nigerian president replaces service chiefs

Jane's Defense News - Tue, 14/07/2015 - 02:00
In an apparent attempt to shake-up counter-insurgency operations, Nigeria's new president Muhammadu Buhari has replaced the chiefs of staff of all three services months before schedule, as well as the chief of defence intelligence (CDI) and national security advisor (NSA). Nigeria's service chiefs
Categories: Defence`s Feeds

Nine bidders to be given access to Israel Military Industries financials

Jane's Defense News - Tue, 14/07/2015 - 02:00
Nine companies have been given permission to view detailed financials from Israel Military Industries as part of an Israeli government plan to privatise the company, local media reported on 13 July. Globes, an Israeli business publication, reported that the nine companies will be given access to
Categories: Defence`s Feeds

Organised crime in Bulgaria and Romania persists, cyber crime and people-smuggling to increase in two-year outlook

Jane's Defense News - Tue, 14/07/2015 - 02:00
Key Points Organised crime and corruption continue to represent one of the biggest challenges for foreign investors in Bulgaria and Romania. Bulgaria is lagging significantly behind Romania in terms of tackling corruption and limiting financial and political leverage for criminal groups. While
Categories: Defence`s Feeds

UN chief condemns twin suicide bombings in Cameroon

UN News Centre - Africa - Tue, 14/07/2015 - 01:25
United Nations Secretary-General Ban Ki-moon has strongly condemned the twin suicide bombings that targeted the city of Fotokol in the north of Cameroon on 12 July.
Categories: Africa

Quartet Envoys’ Joint Press Statement

EEAS News - Tue, 14/07/2015 - 00:00
Categories: European Union

Stimmungswandel: Ein Jahr nach der Krim-Annexion

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 14/07/2015 - 00:00
Der Ukraine-Konflikt macht deutlich, dass Russland in seiner Auseinandersetzung mit dem Westen eine eigene Kalkulation hat, die nicht ökonomisch orientiert ist.

Díjazzák a pedagógusok digitális módszertani ötleteit

PAFI - Mon, 13/07/2015 - 23:38
Köznevelésben dolgozó pedagógusok oszthatják meg az IKT-eszközök kreatív használatával kapcsolatos ötleteiket a Digitális Módszertárban. A kiemelkedő ötletek feltöltői díjban is részesülnek.
Categories: Pályázatok

Villany nélküli tanyák lakóépületének alapvető villamosenergia-ellátását biztosító egyéni fejlesztések támogatása / TP-4-2015

PAFI - Mon, 13/07/2015 - 23:38
A pályázat célja: a tanyán élő, alap infrastruktúrával nem rendelkező lakosok számára szociális alapú támogatás a tanyák lakóépületének alapvető villamosenergia-ellátását biztosító egyéni fejlesztésekhez. Cél azon tanyai lakosok támogatása, akik esetében a tanya lakóépülete villamosenergia-ellátással nem rendelkezik.
Categories: Pályázatok

Tanyagazdaságok indításának mezőgazdasági csekély összegű támogatása / TP-3-2015

PAFI - Mon, 13/07/2015 - 23:37
A pályázat célja: a tanyai gazdálkodás megújítása, újjáélesztése, a tanyai életmód - sajátos értékeinek megmentése, megőrzése mellett - hátrányainak csökkentése, valamint az alföldi tanyás térségek fenntartható, a komplex vidékfejlesztéshez illeszkedő fejlődésének elősegítése érdekében a tanyán élő magánszemélyek és őstermelők támogatása tanyagazdaság indítására, kiépítésére, ezáltal a saját részre történő termelés alapjainak biztosítása, illetve az esetleges felesleg értékesítésének elősegítése.
Categories: Pályázatok

Ban urges South Sudan leaders to ‘give up war’ and forge a political agreement

UN News Centre - Africa - Mon, 13/07/2015 - 23:35
Just days after marking the somber fourth anniversary of South Sudan’s independence, United Nations Secretary-General Ban Ki-moon today urged the leaders of the country to end hostilities and to move beyond their “partial interests” and show courage and leadership.
Categories: Africa

Tsipras et le principe de réalité

Coulisses de Bruxelles - Mon, 13/07/2015 - 22:19

Vendredi dernier, il y a un siècle, le premier ministre grec Alexis Tsipras parvenait à faire adopter par son Parlement un programme de réformes dont on peinait à voir la différence avec celui que les Grecs avaient rejeté par référendum le dimanche précédent. Il faut dire que la faillite menaçait et que les autorités grecques commençait à comprendre que le coût en serait élevé. Voici le papier que j’ai écrit pour mon journal daté du 11 juillet.

La saga grecque ressemble au poème de Victor Hugo sur la bataille de Waterloo : soudain, « l’espoir changea de camp, le combat changea d’âme ». Alors que la Grèce semblait avoir définitivement emprunté la voix menant vers la sortie de l’euro à la suite du référendum de dimanche rejetant le programme de réformes proposées par la zone euro et le Fonds monétaire international (FMI), elle vient d’effectuer un virage sur l’aile qui la replace au centre du jeu et place sur la défensive les pays qui, comme l’Allemagne ou les Baltes, se réjouissaient de se débarrasser de ce « fardeau ». « Rien n’est encore joué », met cependant en garde un responsable français : « il faut encore que l’Allemagne et le camp des durs acceptent le plan grec et surtout soient convaincus qu’Alexis Tsipras ne tente pas une nouvelle fois de les rouler dans la farine comme cela a été le cas depuis cinq mois ».

C’est mardi soir, à la suite du sommet extraordinaire de la zone euro, que le gouvernement dirigé par le jeune leader de gauche radicale a compris qu’il n’avait même plus une paire de deux en main : ses dix-huit partenaires lui ont signifié qu’ils se préparaient à gérer un « Grexit » jugé inéluctable sauf nouvelles propositions convaincantes déposées d’ici vendredi minuit. Pis, un sommet européen à 28 a même été convoqué dimanche afin de mettre au point le scénario de sortie et l’organisation d’une aide humanitaire sans doute nécessaire suite à l’effondrement prévisible de son PIB. « Si l’Eurogroupe fonctionnait comme une démocratie parlementaire, tu serais déjà dehors, car la quasi-totalité de tes partenaires le souhaite », aurait glissé Jean-Claude Juncker, le président de la Commission, à Alexis Tsipras.

Même avec un référendum gagné avec plus de 60 % des voix, le chef du gouvernement grec savait qu’il n’a pas été élu pour sortir son pays de l’euro et qu’il serait vite lâché par une population qui verrait son niveau de vie s’effondrer brutalement. Mais comment renouer les liens ? Heureusement pour lui, la Commission, dont c’est le rôle institutionnel, et la France, qui se bat depuis 2010 pour maintenir l’intégrité de la zone euro, ont offert leurs services pour aider le nouveau ministre des Finances, Euclides Tsakalotos, à rédiger un programme de réformes destiné à équilibrer durablement le budget grec et à bâtir un État fonctionnel et impartial capable de lever l’impôt. « La présence de Tsakalotos a beaucoup aidé : il est aussi dur idéologiquement que Yanis Varoufakis, son prédécesseur, mais il est poli, il argumente, il écoute, il tient parole », se réjouit un négociateur européen. Au final, le document de 13 pages présenté par Athènes vendredi soir ressemble comme deux gouttes d’eau à la version à laquelle étaient parvenus la Grèce et ses créanciers le vendredi 26 juin, juste avant l’annonce surprise du référendum. Celui-ci n’a d’ailleurs pas porté sur ce texte, mais sur celui, moins favorable, de la veille (notamment la TVA sur les hôtels était de 23 % alors qu’elle n’était plus que de 13 % le lendemain)…

Le plus étonnant est l’effort supplémentaire totalement inattendu consenti par Tsipras : alors que ses partenaires demandé des augmentations d’impôt et des coupes dans les dépenses de 8 milliards d’euros, il en consent 12, le tout sans toucher à l’Église orthodoxe et en limitant la casse pour le budget de la défense… « Il a réussi à trouver un milliard par jour de négociation », ironise Yannis Prétendéris, éditorialiste de Mega Chanel. La réforme des retraites reste au menu, tout comme l’alignement de la TVA sur les îles sur celle du continent, mais avec la possibilité de subventionner les transports vers les îles les plus pauvres. Bref, de « l’austérité » à tous les étages, mais avec la promesse d’un meilleur avenir.

« Très intelligemment, Athènes s’est engagée à entamer ses réformes dès lundi, sans attendre le versement de l’argent européen », analyse un responsable français. « De même, elle a renoncé à demander une diminution immédiate de sa dette, mais veut, comme on le lui proposait, entamer une discussion, ce qui évite de braquer l’Allemagne. De même, si elle a demandé un nouveau programme de 53 milliards d’euros sur trois ans, elle n’exclut pas de nouvelles conditions comme elle le faisait jusqu’à présent ». De fait, le paquet sur lequel l’Eurogroupe va se prononcer aujourd’hui, comportera quatre volets : les réformes, un nouveau programme destiné à la mettre à l’abri des marchés pour plusieurs années, un engagement à discuter de la soutenabilité de la dette et un programme d’investissement européen de 35 milliards sur trois ou quatre ans (il s’agit de sommes déjà inscrites dans le budget européen, mais qui seront versées plus vite et sans aucune condition de co-financement).

Si l’Eurogroupe donne son feu vert, un sommet des dix-neuf chefs d’État et de gouvernement aura quand même lieu dimanche : Alexis Tsipras en a politiquement besoin, tout comme Angela Merkel, qui devra sans doute tordre le bras de son ministre des finances, Wolfgang Schäuble, ou François Hollande. Il s’agira pour tous de montrer qu’il s’agit d’un compromis politique et pas seulement technique. Mais Tsipras n’en a pas fini avec l’ex-Troïka, désormais groupe de Bruxelles : l’argent ne sera versé qu’au compte-goutte en fonction des réformes accomplies.

Categories: Union européenne

Újabb keretmegállapodás Líbiában – egy aláírás megint hiányzik

Mindennapi Afrika - Mon, 13/07/2015 - 21:32

Talán azért, mert még a nemzetközi közösség sem akarja elhinni igazán, de túlságosan komoly felületet nem kapott a sajtóban a hétvégi nagy eredmény Líbiából, amely szerint az ENSZ közreműködésével létrejött békeszerződést, demokratikus átmenetet megelőző előzetes megállapodást az ország majdnem összes szembenálló fele aláírta, tehát lefektették az alapjait egy új, stabil Líbia számára – így a hangzatos szavak. A Líbiai Politikai Egyezmény névre hallgató megállapodást szombaton (07.11.) írták alá a marokkói Skheiratban, úgy, hogy közben Líbiában véres harcok dúltak több városban is, csak a legtöbb menekültnek (közel 100 ezren vannak) otthont adó Bengáziban legalább 10-en haltak meg az elmúlt néhány nap alatt, köztük több gyermek is.

Persze az első mondatban felvázolt kétkedés nem a szokásos pesszimista hozzáállás, hiszen az a tény, hogy az észak-afrikai ország politikai palettájának egyik jelentős, iszlamista tényezője, az Általános Nemzeti Egység (GNC) elutasította a dokumentum aláírását, arra való hivatkozással, hogy abban a jövőbeni Líbiában betöltött szerepe az elvárthoz képest jelentősen kisebb, egyértelműen mutatja, hogy ennek az egyezménynek is ugyanaz a szűk keresztmetszete, mint a korábbi, hasonló megállapodásoknak. A GNC félelmében akár még lehet is bizonyos fokú igazság, mégis azzal, hogy a jelentősebb líbiai városok – köztük Tripoli és Bengázi – vezetői is aláírták a megállapodást a nemzetközileg elismert tobruki kormány mellett, bizonyos mértékben kényszerpályára állították a magát legitim kormányzatnak tartó, tripoli székhelyű GNC-t.

De ezt a kényszerpályát azért ne gondoljuk annyira erősnek, hiszen a hétvégi harcok az iszlamista fegyveresek és a magukat a hadsereg egységeinek tartó milíciák között egyértelműen mutatják, hogy túlságosan nagy jelentősége nincs ennek az alkunak (és akkor még nem is beszéltünk a Dernában zajló súlyos harcokról, amelyekben egy iszlamista csoport felvette a kesztyűt az Iszlám Állammal és elfoglalta tőlük a várost). A GNC aláírásához több tényező együttes meglétére lenne szükség és a skheirati tárgyalóküldöttségek abban bíznak, hogy a böjt végének megünneplését takaró Eid al-Fitr napja után a Líbiai Hajnal fegyveres csoportja által támogatott GNC is csatlakozni fog majd az egyezményhez és a tárgyaláshoz – ennek megtörténtéhez persze szükség lenne még arra is, hogy a tobruki kormány által a hadsereg vezetőjének kinevezett Khalifa Haftar tábornok távozzon pozíciójából és szüntesse be a Líbiai Hajnal elleni hadjáratát, ez ugyanis a GNC egyik fő követelése.

Tehát ahogy a fentebb taglalt dolgokból is látszik, jelenleg nincs nagyon közel a stabil, békés Líbia és mi sem mutatja ezt, az a tény, hogy Habib Essid tunéziai miniszterelnök nemrégiben jelentette be, hogy Tunézia több mint 160 kilométeres falat fog építeni az ország líbiai határszakaszának egy részére (több mint 500 kilométer, zömében sivatagos szakaszról van szó), hogy így próbálja megakadályozni az elmúlt időszakban történt tragikus támadásokhoz hasonló eseményeket – ugyanis az elég gyorsan nyilvánvalóvá vált, hogy a múzeumi és a szállodai akciókat egy líbiai táborban kiképzett fegyveresek hajtották végre. És csak erősítendő a tunéziai aggodalmakat, Dominic Asquith, egykori brit líbiai nagykövet is azt nyilatkozta a napokban, hogy Nagy-Britanniának fegyveres alakulatokat kellene küldenie Líbiába, hogy így állítsák meg az Iszlám Állam térnyerését és a szinte kezelhetetlen migrációs áradatot.

Persze ez csak egy kis összefoglalója az elmúlt napok Líbiával kapcsolatos eseményeinek, hiszen ebből még nem fog kiderülni, merre tart az ország, mi lehet a megoldás kulcsa, de az biztos, hogy a rendkívül kaotikus, komplex kapcsolatrendszer okán egy, a mostanihoz hasonló alku még nem jelenti a végleges megoldást, hiszen annyi milícia, annyi különböző csoport harcol a hatalomért, hogy ha mondjuk most a GNC alá is írná a keretmegállapodást, az még bőven nem jelentené az azonnali békét és a stabilitást – ott van az Iszlám Állam, ott vannak a misratai milíciák és még sorolhatnánk a különböző érdekek, célok mellett szerveződő szövetségeket.

twitter.com/napiafrika

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Categories: Afrika

Central African Republic: UN concerned by decision of authorities to deny refugees vote

UN News Centre - Africa - Mon, 13/07/2015 - 21:31
United Nations agencies voiced concern today about the decision of Central African Republic authorities to deny refugees from the country the right to participate to the presidential election set for this fall.
Categories: Africa

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