Folytassuk hát ott, ahol abbahagytam a napokban,
igaz, még helyben akartam megírni.
Hasznos szolgáltatás indult – közbeszerzési pályázatfigyelés és pályázatírás egy kézből.
A „Fiatalok vállalkozóvá válásának támogatása a konvergencia régiókban” című pályázati kiíráson a Prime Tendering Tanácsadó Kft. 2,61 millió forintot meghaladó európai uniós támogatást nyert el.
A 2,9 millió forint összköltségű projekt célja a Prime Tendering Kft. megalapításával egy olyan cég létrehozása volt, amely elsősorban a közbeszerzési szegmenst illetően hiányos információkkal rendelkező magyar KKV szektor számára nyújt teljes körű és eredményorientált közbeszerzési tanácsadási szolgáltatást.
A Prime Tendering Kft. tevékenysége kiterjed a közbeszerzési pályázatok figyelésére, az ajánlatok összeállítására és az ügyfelek teljes körű képviseletére a közbeszerzési eljárások során. A társaság célja, hogy a kkv szektor szereplőit hatékonyan segítse hozzá állami megrendelések elnyeréséhez, amely a közbeszerzési piacon lévő verseny fokozásához is hozzájárulhat. A tanácsadó cég árai meghatározása során messzemenőkig figyelembe veszi ezen vállalkozások szűkösebb anyagi lehetőségeit, így kedvező fix- és óradíjas konstrukciókkal egyaránt biztosítja a legkisebb cégek számára is a közbeszerzéseken való részvétel lehetőségét.
A projekt során elkészült a vállalkozás szolgáltatásait korszerű informatikai megoldásokkal támogató honlapja, amelynek keretében egyedi webes rendszert fejlesztettek pályázatfigyelési szolgáltatásuk hatékonyságának javítására. Az uniós támogatásnak köszönhetően az észak-magyarországi régióban létrejött Prime Tendering Kft. ugyan még egy éve sem működik, de a felhasználóbarát informatikai fejlesztéseknek és hatékony internetes hirdetési kampánynak hála már több mint 200 felhasználó regisztrált a honlapon.
A vállalkozás célja a jövőben is szolgáltatásaik körének innovatív fejlesztése és bővítése annak érdekében, hogy az ajánlattevő cégeket minél több és jobban strukturált információval tudja támogatni a közbeszerzéseken való sikeres részvétel érdekében.
A „Közbeszerzési tanácsadási tevékenység elindítása a Prime Tendering Kft-nél” elnevezésű, 2 612 520 forint, 90%-os támogatást elnyert, 2 902 800 forint összköltségvetésű fejlesztési projekt 2014. december 1-én indult és 2015. május 31-én zárult.
The EU seeks to develop particular close relationship with Morocco, its geographical neighbour, and to support Morocco's economic and political reforms. The relationship emphasizes close cooperation on democratic reform, economic modernization, and migration issues.
Dear soldiers,
I want to thank you for your service to Europe and to peace and security abroad. Your hard work and sacrifice is appreciated in the European Union. I am personally very proud of you and of what you have done in Central African Republic. Thanks to you, your residence for sacrifice, your courage, your professionalism, your dedication, Georgia is maybe the best example of the international solidarity in the whole world. Thank you very much.
Our military operation in the Central African Republic has created security within a very difficult theatre, protected populations at risk and helped humanitarian aid reach the people that really need it. This is something we have done together on behalf of the global community, based on a UN Security Council mandate and part of wider international efforts.
Georgia's participation, as the second largest contingent in the operation, has been essential to its success.
I welcome your country's decision to stay engaged in these important efforts by providing the Immediate Reaction Team for the EU's Military Advisory Mission in the Central African Republic.
Together, we are achieving something very important in a spirit of both global and European solidarity and cooperation. I commend and thank you for your service. All the best.
Ce séminaire qui a eu lieu le 9 juillet dernier au Palais d’Egmont de Bruxelles, a eu pour objet d’analyser en trois tables rondes, à la lumière des actions menées dans la Corne de l’Afrique (1ère table ronde) ...
The Informal meeting of Ministers of Competitiveness takes place on 20 July 2015, in Luxembourg.
Donald TUSK, President of the European Council, visits Georgia on 20 July 2015 to follow-up on the results of the Eastern Partnership summit held in Riga on 21-22 May 2015.
(BRUXELLES2 – exclusif) Il y a quelques jours, le ministre belge de la Défense, Steven Vandeput, accordé à B2 un entretien, en tête à tête. Une interview complète où le ministre aborde les menaces qui pèsent sur l’Europe et les changements que cela implique, les modalités de la coopération européenne et la restructuration de la défense belge. En ce jour de fête nationale pour la Belgique, ses propos sont particulièrement intéressants sur ce dernier point. Extraits…
Interview intégrale publiée sur B2 Le Club (l’édition Pro de B2)
La Belgique est engagée dans une réforme de sa défense, quel est votre état d’esprit ?
Je veux introduire dans la Défense un esprit de n’avoir que ce qui est vraiment nécessaire. C’est ce qu’on a fait à Malbork. Le « host support » des Polonais est excellent ; il n’y avait pas donc besoin d’avoir tout le personnel déployé, notamment les officiers de liaison qui n’étaient pas strictement nécessaires. On a donc diminué le nombre de personnes qui était là. C’est plus économique. Et cela ne change rien au bon déroulement de la mission.
Ces économies ne suffisent cependant pas. Le budget belge de la Défense a diminué ces derniers temps. Il est à l’os disent de nombreux experts et des militaires… Que peut-on faire ?
Il faut faire des choix. Dans les trente années passés, on a toujours diminué le budget, jusqu’à un niveau où il est aujourd’hui difficile de répondre à tout. Les militaires belges sont réputés par leurs partenaires : flexibles, innovatifs, créatifs, réussissant à faire plus avec moins d’argent, Mais il y a des limites. Vouloir faire plus avec moins d’argent, c’est fini. Il faut réinvestir dans la défense. Nous en avons convenu au niveau de l’Otan comme européen. Mon premier objectif est donc d’arriver – comme on l’a prévu dans le plan de gouvernement – à un budget en équilibre. Et quand l’économie va repartir, je crois qu’il faudra faire des choix. La sécurité, qui est une des tâches principales d’une société, devra faire partie de ce choix.
Concrètement cela veut dire quoi. L’armée belge va-t-elle pouvoir continuer à tout faire, une marine, une aviation, une armée de terre ? Ne faudrait-il pas introduire une spécialisation ?
Certains pourraient effectivement se dire : a-t-on besoin d’une composante navale ? Mais c’est oublier l’importance du secteur maritime pour la Belgique et pour notre économie ; 90% de ce qui arrive passe par la mer. Ne plus avoir de navires chasseurs de mines, c’est dépendre de nos partenaires quand on aura une mine dans l’estuaire de l’Escaut. C’est assez difficile de l’imaginer. Pour notre économie, nous devons donc préserver certains moyens nécessaires, qu’on ne sait (peut) pas déléguer. Il y a donc des limites à la spécialisation. J’ai consulté 12 sages, de gauche à droite, le spectre total de la société. Chacun le dit, avec des nuances. Mais tout le monde le reconnaît, on est à la limite, on est à l’os. Nous devrons à la rentrée prendre une décision sur le budget du futur et les capacités où il faut investir. Nous devons être présents dans les 4-5 dimensions actuelles : terre, air, mer, cyber et intelligence. On ne peut pas oublier aucune de ces dimensions. Il faut tout simplement bien choisir là où on investit.
L’armée européenne n’est donc pas possible ?
Je ne crois pas qu’on va avoir dans les 20 ans une armée européenne. Si on veut mettre tout le monde ensemble pour décider, alors on ne se déploiera jamais. Il n’y pas actuellement le pouvoir politique pour le faire. On partage beaucoup d’intérêts au niveau européen mais pas tout l’intérêt. Même avec nos plus proches voisins, on peut partager beaucoup mais pas tout. Car il y a des intérêts typiquement belges et des intérêts typiquement néerlandais. Nous travaillons ensemble, avons une même plateforme de navires, faisons en commun la préparation, la formation, l’entraînement, etc. Mais la décision de déployer un navire reste la nôtre. Aller plus loin ne me semble pas possible. Ou bien il faut mettre ensemble les décisions politiques. Et ce n’est pas pour demain… Pour EUNAVFOR Med, ainsi, je vais proposer que la Belgique envoie la frégate Leopold I. C’est une décision belge. Mais les Pays-Bas prendront une autre décision. Les équipages peuvent être déployés ensemble si les 2 pays le décident, voire de façon imbriquée. Lors de l’opération Atalanta (contre la piraterie), par exemple, un hélicoptère néerlandais était sur notre frégate. Et on a échangé des équipes de VPD. Nous utilisons des paracommandos et forces spéciales là où les Néerlandais ont des fusiliers marins. C’était intéressant de comparer les différentes méthodes de travail.
(Nicolas Gros-Verheyde)
A suivre sur B2 Le Club (l’édition Pro de B2)