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Des aviateurs récompensés à Madagascar

Des militaires des forces armées de la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) et de la gendarmerie ont été décorés par le ministre de la défense nationale malgache le 16 juillet 2015.
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Philippe Hayez : sur le terrorisme, «la communication doit rester froide»

Blog Secret Défense - Wed, 22/07/2015 - 13:18
Un entretien avec le spécialiste du renseignement, ancien cadre de la DGSE
Categories: Défense

Philippe Hayez : sur le terrorisme, «la communication doit rester froide»

Blog Secret Défense - Wed, 22/07/2015 - 13:18
Un entretien avec le spécialiste du renseignement, ancien cadre de la DGSE
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Über den Tag hinaus denken: Optionen für den Umgang mit einem zunehmend unberechenbaren Nachbarn (Russland)

SWP - Wed, 22/07/2015 - 13:07
Melanie Alamir, Franz H. U. Borkenhagen, Hans-Georg Ehrhart,

Iran-Expertin: »Das Abkommen ist eine Bewährungsprobe«

SWP - Wed, 22/07/2015 - 12:23
Was für die einen ein Erfolg ist, nennen andere eine Katastrophe: das Atomabkommen der...

Rythme d’été

Bruxelles2 - Wed, 22/07/2015 - 11:57

(B2) L’actualité se réduit. B2 passe en rythme estival. Nous continuerons de suivre les évolutions des principales crises qui ne manquent pas tant au plan intérieur de l’UE (la crise grecque, l’arrivée de réfugiés ou migrants), qu’à ses frontières (Libye, Ukraine, Syrie…) ou un peu plus loin (Burundi, Centrafrique, Mali, Nigeria…), sans compter celles qui n’ont pas éclaté.

Les premiers jours de juillet ont apporté une certaine éclaircie dans le panorama international avec un début d’unité nationale en Libye, un accord conjoint entre les grandes puissances et l’Iran sur le nucléaire, un accord entre opposition et gouvernement en Macédoine (Fyrom), et l’octroi d’une autonomie constitutionnelle aux régions de l’Est de l’Ukraine (condition des accords de Minsk)… Mais tout n’est pas réglé loin de là : le conflit syrien continue de faire son lot de victimes quotidiennes, idem pour la guerre que mène Boko Haram au Nigeria et dans les pays voisins. L’Europe est elle-même assez mal en point : les deux dernières discussions – sur l’accueil des migrants et l’aide à la Grèce – ont montré une Europe chétive, repliée sur elle-même, qui peine à surmonter ses antagonismes et ses rancoeurs. Ce n’est pas très bon…

B2 ne quitte pas tout à fait le bord… nous allons faire une petite série d’été en compagnie d’Hillary, et de différents points de vue sur l’Union européenne….

(Nicolas Gros-Verheyde)

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Le 4e RMAT au coeur de sa ville

Le 30 Juin 2015, le 4e Régiment du Matériel fêtait ses 30 ans.
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Egypte : le cocktail explosif de la répression politique et du terrorisme

IRIS - Wed, 22/07/2015 - 11:16

Deux ans après la destitution de l’ex-président Frère musulman Mohamed Morsi, comment qualifieriez-vous l’atmosphère politique égyptienne ? Que reste-t-il des manifestations et soulèvements de l’année 2011 ?
Malheureusement, il ne reste formellement pas grande chose de ces mouvements de contestation. Ce qui prévaut depuis le coup d’État organisé par l’armée en juillet 2013 contre Mohamed Morsi, seul président égyptien à avoir été élu au suffrage universel, est la répression. Celle-ci vise principalement les Frères musulmans, mais on peut considérer que toutes les forces démocratiques, tous les partis ainsi que toutes les organisations qui s’inscrivaient dans la logique du soulèvement de janvier 2011, sont également ciblées par le pouvoir. Cependant, ce sont les Frères musulmans qui paient le prix fort de cette situation puisqu’on évalue aujourd’hui environ à 1400 le nombre de morts dans les manifestations qui ont été organisées depuis le coup d’État et on estime – le chiffre est évidemment sujet à caution – entre 20 000 et 40 000 prisonniers politiques qui seraient issus principalement du mouvement des Frères musulmans. L’ex-président Mohamed Morsi a été condamné à mort par le nouveau régime, la presse est muselée et il n’y a plus aucune liberté fondamentale assurée. On constate également le retour dans les couloirs du pouvoir d’un certain nombre de caciques de l’ancien régime de l’époque Moubarak. Se sont développés une sorte d’hystérie anti-islamiste et anti-Frères musulmans, doublée d’un nationalisme égyptien exacerbé par le pouvoir. La situation est donc infiniment difficile et le bilan très préoccupant.
Le seul élément qui, à défaut de nous rendre optimiste, peut nuancer ce tableau très noir, est qu’en dépit de la répression, aucun des problèmes fondamentaux de l’Egypte n’a été réglé, notamment les problèmes sociaux. Sans oublier que l’économie égyptienne va au plus mal malgré les aides internationales, des États-Unis, et de certains États arabes du Golfe, Arabie saoudite en tête. Immanquablement, dans les semaines, les mois ou les années à venir, de nouveaux mouvements de contestation verront le jour car la vie quotidienne de l’immense majorité des Égyptiens n’est pas tenable. On peut imaginer que les révoltes de 2011, même si elles connaissent une parenthèse actuellement, ont laissé des traces et restent présentes dans la mémoire de nombreux Égyptiens qui tôt ou tard se remobiliseront. On peut conclure que la situation présente est catastrophique, tant du point de vue politique et des libertés, que du point de vue économique.

La péninsule du Sinaï connaît une forte instabilité en raison du groupe « Province du Sinaï » (anciennement Ansar Bait al-Maqdis), apparu en 2011 suite au désordre post-révolutionnaire en Egypte. Pourquoi l’Egypte a-t-elle en quelque sorte délaissé la péninsule du Sinaï depuis tant d’années ? Selon vous, la gestion, purement répressive, de ce fléau sécuritaire par les autorités ne contribue-t-elle pas à aggraver la situation ?
Premièrement, il faut savoir que le Sinaï est une zone de non-droit. C’est un territoire qui a été occupé par les Israéliens après 1967, puis rendu à l’Egypte suite aux accords de paix signés entre ces deux États en 1979. Selon ces accords israélo-égyptiens, le Sinaï devient alors une zone démilitarisée. Par conséquent, c’est une zone sur laquelle, depuis plusieurs décennies, les forces armées égyptiennes n’avaient que très peu de contrôle.
Ainsi, le Sinaï, comme toute zone de non-droit, est progressivement devenu la zone de tous les trafics, qu’ils soient humains, de marchandises, etc. Mais la situation s’est considérablement dégradée depuis une petite dizaine d’années et tout particulièrement depuis les troubles révolutionnaires du début 2011. Un certain nombre de groupes djihadistes se sont cristallisés dans cette zone, alimentés par des Égyptiens ayant fait le djihad en Afghanistan, puis en Syrie, et qui sont désormais revenus en Egypte. Ces facteurs ont abouti à la création du groupe « Province du Sinaï », qui a fait allégeance à l’État islamique en novembre 2014. En raison des méthodes utilisées par Daech telles que les exécutions sommaires, filmées et diffusées, ainsi que du défi très compliqué et préoccupant que le groupe représente pour la stabilité générale en Egypte, le pouvoir a choisi de mener une gestion strictement et purement répressive de la situation. Il est parfaitement compréhensible que la répression soit nécessaire pour combattre un groupe affilié à Daech, mais le pouvoir égyptien ne peut pas se contenter de détruire les maisons de ceux qu’il suspecte d’être des complices de Daech ou de bombarder par voie aérienne des villages ou des bourgs entiers dans le Sinaï. Cette gestion purement répressive ne donnera pas de résultats à l’avenir mais, au contraire, contribue d’ores et déjà à la radicalisation de ceux qui sont déjà très mobilisés contre le pouvoir égyptien. Par conséquent, il est nécessaire que d’autres options, politiques mais également économiques, soient mises en œuvre dans cette région, ce qui est évidemment plus facile à dire qu’à réaliser dans une zone presque entièrement désertique.
Enfin, le dernier paramètre qui semble important réside dans le fait qu’au vu de la répression très violente en cours contre les Frères musulmans, une partie des jeunes au sein de cette organisation, constatant le manque de perspectives politiques sur la scène nationale, se radicalisent et parfois même pour certains d’entre eux s’enrôlent dans le groupe « Province du Sinaï ». Un renforcement de ce groupe en termes de recrutement est donc possible et est même amplifiée par la politique uniquement répressive choisie par le pouvoir égyptien. La situation est donc, là encore, particulièrement inquiétante puisque de facto, l’armée ne veut pas aller combattre au sol. Les moyens utilisés par le pouvoir ne sont ni efficaces, ni efficients pour éradiquer ce groupe affilié à Daech.

Peut-on craindre que la présence d’un groupe affilié à l’État islamique dans une zone aussi sensible que le Sinaï ait des répercussions plus larges dans la région ?
La grande inquiétude, qui n’est d’ailleurs pas propre au cas de l’Egypte, est que Daech se soit d’ores et déjà constitué une nouvelle filiale sur le territoire égyptien. L’Egypte reste, malgré toutes ses difficultés, le plus grand pays du monde arabe et le potentiel pivot de la vie politique dans la région, même si au cours des dernières années son influence a diminué. En conséquence, l’extension d’un groupe lié à Daech, non seulement au Sinaï mais également sur le reste du territoire égyptien, serait véritablement un pas en avant vers la décomposition politique régionale.
L’autre facteur immédiat est la longue frontière qui existe entre le Sinaï et Israël. Il semble probable que Daech, tôt ou tard, organisera des attentats, des bombardements, des tirs de roquettes, etc., en direction d’Israël. Cela serait là encore un pas en avant dans la décomposition régionale puisque les Israéliens n’accepteront évidemment pas cette situation. Or, nous savons que tout est envisageable quand les Israéliens ont décidé de faire régner l’ordre quelque part, ce qui induit un élément supplémentaire de déstabilisation. Quoi qu’il en soit, il est clair que l’enjeu dépasse largement le seul cadre géopolitique égyptien.

Insurance distribution: Council confirms agreement with EP

European Council - Wed, 22/07/2015 - 11:13

The Permanent Representatives Committee (Coreper) on 22 July 2015 approved, on behalf of the Council, an agreement reached with the European Parliament on a directive establishing new rules on insurance distribution.  

The text recasts and repeals directive 2002/92/EC on insurance mediation with a threefold objective. It seeks to improve retail insurance regulation in a manner that will facilitate market integration, and to establish the conditions necessary for fair competition between distributors of insurance products. It also sets out to strengthen policyholder protection, in particular with regard to life insurance products with an investment element.

Intermediaries play a central role in the distribution of insurance and reinsurance products. Various types of persons and institutions distribute insurance products, such as agents, brokers and insurance undertakings. Application of directive 2002/92/EC has shown a number of provisions to require greater precision.


More specifically, the new directive is aimed at: 

- extending the scope of application to all distribution channels, including proportionate requirements for those who sell insurance products on an ancillary basis; 

- identifying, managing and mitigating conflicts of interest; 

- strengthening administrative sanctions, as well as measures to be applied in the event of a breach of key provisions; 

- enhancing the suitability and objectiveness of insurance advice; 

- ensuring that sellers' professional qualifications match the complexity of the products they sell; 

- clarifying the procedure for cross-border market entry. 

In order to ensure consistency between financial sectors, the directive would take account of rules established for markets in financial instruments. 

The directive would not prevent member states from applying more stringent provisions to protect consumers, providing that such provisions are consistent with EU law. 

Next steps 

The agreement with the Parliament was reached during a trilogue meeting on 30 June 2015. The Council agreed its negotiating stance in November 2014. 

The directive will now be submitted to the European Parliament for a vote at first reading and to the Council for final adoption. 

Member states would have two years to transpose the directive into national laws and regulations.

Categories: European Union

Antrieb für die deutsch-brasilianische Energiepartnerschaft

SWP - Wed, 22/07/2015 - 10:29

Deutschland und Brasilien sind wichtige Vorreiter des weltweiten Ausbaus erneuerbarer Energien. Dabei wählen sie sehr unterschiedliche Herangehensweisen. Im Jahr 2008 schlossen die beiden Länder eine Energiepartnerschaft, um die Zusammenarbeit zu erneuerbaren Energien und Energieeffizienz zu vertiefen. Der politische Dialog zu Erneuerbaren stockt jedoch. Um Verhandlungsblockaden zu überwinden, sollten die für August 2015 anberaumten Regierungskonsultationen genutzt werden. Deutschland sollte deutlich machen, dass es in der Energiepartnerschaft künftig stärker auf brasilianische Kompetenz setzt. Anknüpfungspunkte hierfür bieten Bioethanol und Erneuerbaren-Auktionen. Dies könnte die brasilianische Seite dazu bewegen, ihrerseits intensiver in Bereichen zu kooperieren, in denen Deutschland die Nase vorn hat.

Remarks by President Donald Tusk following his meeting with the President of Azerbaijan Ilham Aliyev

European Council - Wed, 22/07/2015 - 10:18

Today President Aliyev and I had a wide-ranging discussion covering our extensive bilateral relationship. We talked about what we are already doing together now. But more important, we talked about what we should do together in the future, about the future direction of our important relationship in the years to come. 

Azerbaijan is our reliable and strategic partner in the energy field, and we want to take this partnership further. One aim of the European energy union is to exclude the possibility of using gas as a threat. The conflict in Ukraine shows that such threats are still possible. 

This is why the EU is dedicated to diversifying our supplies. And Azerbaijan is a main partner in this endeavour. Today, we agreed to stand united on developing the Southern Gas Corridor - a project which is in our common strategic interest - and to make sure it is completed on time, whatever our competitors do. For Europe, it is a question of diversifying supply. For Azerbaijan, it is a question of diversifying demand. 

Azerbaijan has the potential to become one of the EU's major commercial partners in the region. The EU is already Azerbaijan's main trade partner and one of its most important investors. We will expand these commercial relations further in the coming years. I recalled that good governance and rule of law are important for creating a favourable commercial and investment climate. The EU stands ready to assist here, if needed. 

I also hope very much that Azerbaijan will soon finalise its negotiations to join the WTO. 

We have discussed how best to move our relationship forward, through an ambitious new bilateral agreement. We agreed to set a brisk pace for our talks toward an Agreement on Strategic Partnership. 

I stressed the high importance we attach to human rights and fundamental freedoms. The EU believes that an open society is the best guarantee of long term stability and prosperity. I have discussed with the President our concerns with the detention of human rights defenders here and our hope that prompt action will be taken on the individual cases. We will continue to discuss these issues and to explore ways for good and mutually beneficial cooperation on human rights, also in the context of the future of our contractual relations. After this meeting, I will meet with representatives of the civil society. 

We also discussed the Eastern Partnership. The EU's intention is to better reflect the individual wishes and interests of each partner as we develop this policy. 

Let me also reiterate that the EU supports the territorial integrity, independence and sovereignty of Azerbaijan. The EU and its Member States have not recognised Nagorno-Karabach. 

The status quo is unsustainable and the peaceful resolution of the Nagorno-Karabakh conflict remains a priority for the EU. We continue to support the mediation efforts of the OSCE Minsk Group Co-Chairs. 

Finally, we discussed the mobility of people and our strong common wish to facilitate travel and direct contacts between our peoples. I applaud the entry into force of the Visa Facilitation Agreement and the Readmission Agreement in the autumn of last year. This was an important step. Last year there were 70,000 visitors from Azerbaijan to the Schengen area. An increase by almost 20% from the year before. And one third of the visas we issue are now long-term multiple entry visas. 

I look forward to continue strengthening our important relationship in the coming years, and hope my visit today has contributed to this aim. Thank you!

 

Categories: European Union

Julien Gonzalez présente sa note : Enseignement supérieur : les limites de la « mastérisation »

Fondapol / Général - Wed, 22/07/2015 - 10:17

Retrouvez l’interview de Julien Gonzalez sur sa note : Enseignement supérieur : les limites de la « mastérisation ». Julien Gonzalez présente sa note : Enseignement… par fondapol

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Az ISIS hamarosan lecsap a Balkánra

Serbia Insajd - Wed, 22/07/2015 - 10:03

Egyértelmű jelei vannak annak, hogy az ISIS tevékenysége egyre intenzívebb a Balkánon. A térség országaiból sokan indulnak Szíriába, hogy csatlakozzanak az Iszlám Államhoz, de nem mindenki vágyik távoli hadszínterekre. Elvégre valakinek a odahaza is harcolni kell.

[...] Bővebben!


Categories: Nyugat-Balkán

Hans Stark : "ce qu'on demande aux Grecs sur le plan économique n'est pas tenable"

Toute l'Europe - Wed, 22/07/2015 - 09:37
Le 13 juillet, après d'ultimes négociations-marathon, un accord était trouvé avec la Grèce. 7 milliards d'euros pour permettre au pays de faire face à ses échéances immédiates et un nouveau plan d'aide d'environ 85 milliards d'euros devant encore faire l'objet de négociations. Mais alors que la sortie de la Grèce de la zone euro a été évitée, du moins à court terme, nombreux sont les observateurs et économistes à dénoncer la teneur de l'accord. Certains interlocuteurs du gouvernement d'Alexis Tsipras, au premier rang desquels l'Allemagne, sont accusés d'avoir voulu humilier et mettre sous tutelle la Grèce. Hans Stark, professeur de civilisation allemande contemporaine à la Sorbonne et secrétaire général du Comité d'études des relations franco-allemandes (Cerfa) livre à Toute l'Europe son sentiment sur le rôle joué par l'Allemagne dans les négociations passées et à venir, relatives à la crise grecque.
Categories: Union européenne

The EU’s climate strategy for Paris

SWP - Wed, 22/07/2015 - 09:13
Recipe for another failure?

Türkei-Experte: Wende Ankaras in der Syrienpolitik

SWP - Wed, 22/07/2015 - 09:05
Gibt es eine Zusammenarbeit zwischen der türkischen Regierung und dem »Islamischen Staat«? Und...

Digital Policing: City of London investing in information and imagery solutions

DefenceIQ - Wed, 22/07/2015 - 06:00
How safe is London? From innovative imaging technologies, smart investment strategy and new information sharing solutions, police officers in the Capital are benefiting from some major changes. To get first-hand insight into how the security decision-makers in London are exploiting the
Categories: Defence`s Feeds

An overview of the Mexican security landscape

DefenceIQ - Wed, 22/07/2015 - 06:00
This year the governments of Mexico and the United Kingdom have decided to celebrate the ‘Year of Mexico in the United Kingdom’ and the ‘Year of the United Kingdom in Mexico’. The objective of promoting better understanding between these two nations comes with b
Categories: Defence`s Feeds

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