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UK opens new innovation hub to accelerate growth as part of Defence Growth Partnership

DefenceIQ - Mon, 23/03/2015 - 05:00
The Defence Solutions Centre, a product of the UK’s Defence Growth Partnership (DGP), was officially opened today in Farnborough. The new centre has been designed to bring together the leading authorities and the “best minds” from across the defence i
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Russia’s Strategic Nuclear Forces: A Review of Modernisation Plans

DefenceIQ - Mon, 23/03/2015 - 05:00
Russia’s strategic nuclear forces, comprising land-based intercontinental ballistic missiles (ICBMs), submarine-launched ballistic missiles (SLBMs) and air-launched cruise missiles, constitute the core of its armed forces. Moreover, Russia’s strategic nuclear forces, in par
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Implementing Open Architecture...and avoiding the pitfalls

DefenceIQ - Mon, 23/03/2015 - 05:00
Ahead of Interoperable Open Architecture 2015, Defence IQ is joined by Professor David Miskimens, Project Management and Mission Assistance, Defense Acquisition University, a DoD training establishment tasked with  acquisition certification and leadership training,
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8 truths about cyber security for industrial control systems

DefenceIQ - Mon, 23/03/2015 - 05:00
From the perils of information legislation to bad advice from self-proclaimed experts, the field of cybersecurity for critical national infrastructure is peppered with pitfalls. Here,  Defence IQ  examines 8 hard truths that the ICS Cyber Security Summit hopes to discuss to be
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The Perfect PR Playbook…For Responding to a Cyber Incident

DefenceIQ - Mon, 23/03/2015 - 05:00
Cyber attacks now present a clear threat to all businesses and customers. While the problem is recognized among most large-scale enterprises (i.e. those with the capital to invest in high-end cybersecurity), there remains an inability for any network to remain 100 percent secure. This
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Rise of urban warfare spurring wave of special equipment demands

DefenceIQ - Mon, 23/03/2015 - 05:00
The need for militaries to begin looking deeper into urban operations is becoming far more urgent, according to leading defence and strategic analysts. Meanwhile, armed forces worldwide are upscaling their drive to find equipment suited to help infantry undertake this type of warfare,
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2014 : le soft power à dure épreuve




Article publié dans la revue L'ENA hors les murs n°447 L’année 2014 fut particulièrement difficile pour les partisans du soft power, qui soutiennent encore que l’influence, la coopération, l’échange, ou l’attractivité culturelle, restent les meilleurs moyens de défendre ses intérêts, lesquels seraient désormais des intérêts de milieu, c'est-à-dire une cogestion responsable, pacifique et « gagnant-gagnant » de la société mondiale par ses principaux acteurs. On vit en effet, cette année, le grand retour de notions aux consonances autrement moins rassurantes : fait accompli militaire (à l’est de l’Ukraine), révision des frontières (en Crimée), usage paroxystique de la violence (avec Daech), montée aux extrêmes (à Gaza), revendications territoriales et nationalismes (en Mer de Chine du Sud), et au final l’invocation de l’intérêt de possession(« ceci m’appartient », au nom de la géographie, de l’histoire, de la religion, de la démographie ou encore de la culture). Des acteurs aux contours fort différents et qui ne sont liés entre eux par aucune « Internationale » occulte (comme la Russie de Vladimir Poutine, le gouvernement israélien de Benjamin Netanyahu, le Hamas, Daech, le régime syrien de Bachar al-Assad, Pékin, peut-être également la nouvelle Turquie d’Erdogan) ont mis en pratique ce que d’autres soutiennent dans le discours (comme beaucoup de Républicains aux Etats-Unis, des diplomates français, japonais ou issus d’Europe centrale et orientale), à savoir que l’usage de la force reste la meilleure garantie de sécurité. Il serait simpliste de réduire cette dynamique au triomphe d’un quelconque complot néoconservateur (auquel il serait par ailleurs étrange d’assimiler les décideurs russes ou chinois). On verra plutôt, dans ce qu’il faut bien qualifier de retour de l’approche réaliste, plusieurs origines.La première provient de la perception – juste ou erronée – d’une crise du leadership américain dans le système international. Les « lignes rouges » évoquées mais non suivies d’effets en Syrie, ont fait douter certains alliés de l’Amérique (comme en Europe orientale ou en Asie). l’incapacité à relancer le processus de paix au Proche-Orient ou à imposer l’arrêt de la colonisation à l'Etat hébreu ont donné le sentiment à d’autres qu’ils devraient désormais prendre seuls leurs intérêts en main. Les analyses (trop ?) subtiles du président des Etats-Unis sur les limites de l’outil militaire (« Just because we have the best hammer does not mean that every problem is a nail »), sa réponse à la situation ukrainienne par la mise en place d’une pression progressive sur Moscou, la war fatigue qui saisit la société américaine depuis l’aventurisme des années 2000, ont déclenché des paris sur la passivité de Washington (également en proie au shut down, au sequester et à quelques autres bizarreries d’outre-Atlantique). Le moment était venu de profiter d’une perte de crédibilité de la garantie de sécurité américaine. Ainsi a-t-on pu penser à Damas que le champ était libre pour se maintenir dans le jeu politique régional, à Moscou que personne n’entrerait en guerre pour soutenir l’Ukraine – pas plus que pour la Géorgie en 2008 -, ou dans le « Califat » d’Abou Baker al-Baghdadi, que les Etats-Unis ne reviendraient à aucun prix en Irak. On vit même certains alliés de l’Amérique – la France sur les dossiers iranien et syrien, le Canada ou l’Australie sur d’autres – se faire plus intransigeants que Washington, en réaction à cette situation.Les Etats-Unis ne portent pas seuls la responsabilité de ce retour (des autres) au hard power, étatique ou non étatique. En refusant d’assumer clairement le jeu de la prise de responsabilité internationale, les politiques étrangères des concurrents potentiels, en particulier celles des émergents, ont contribué au « brouillard stratégique ». Intransigeante dans son environnement géographique immédiat, la Chine se mêle peu des tensions plus lointaines, autrement qu’à travers sa préoccupation pour l’accès aux ressources. Au moins jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Narendra Modi, le géant indien produisait peu de vision mondiale. Le Brésil désormais sans Lula semble ne pas poursuivre avec la même intensité ce qui était tout de même l’amorce d’une ambition Sud-Sud dans les années 2003-2011. Dans ce vide (auquel l'Union Européenne participe bien sûr bruyamment), la Russie tente sinon la reprise en main de son ex-« étranger proche », du moins l’envoi de messages intraitables sur le rapport de force qui régit cet espace. A Islamabad, à Ankara, au Caire, à Ryad mais aussi à Séoul, à Tokyo, à Berlin, on revoit sa politique étrangère (et parfois de défense) en fonction d’un monde devenu illisible, apolaire ici (en Afrique ?), bipolaire ailleurs (en Asie, tant le face à face Washington – Pékin hante les esprits), ou encore multipolaire dans les rapports de force économiques. Surtout, on sait dans les zones grises de la planète que nulle combinaison de puissances ne viendra imposer, comme au temps de la guerre froide, une supervision concertée au Sahel, ni aux confins du Nigéria, ni en Mésopotamie, ni dans les territoires palestiniens, ni dans les zones tribales frontalières du Pakistan et de l’Afghanistan. Les entrepreneurs non étatiques de violence, du Hamas à Boko Haram, y ont donc eux aussi le champ libre.Enfin, les instruments du soft power eux-mêmes, dont on attendait beaucoup, ont contribué davantage à l’inquiétude, à la division, à l’exacerbation, qu’à la régulation, à l'intégration ou à l’harmonisation. Les médias globaux, nouvelles technologies de communication, techniques de diplomatie publique, réseaux sociaux, en fait de « brave nouveau monde » ou de « démocratie cosmopolite » (pour reprendre l’expression de David Held et Daniele Archibugi dans les années 1995), ont produit d’abord la guerre des images (entre les chaînes globales américaines et arabes par exemple), le recrutement en ligne de jiahdistes et autres candidats à l’action violente, l’affaire snowden, les scandales des écoutes de la NSA et la multiplication de cyberattaques, qui ont perturbé à la fois les relations autrefois plus codifiées entre puissances rivales, et les relations de confiance entre alliés.Le soft power est-il mort en 2014, quelque part entre l’Ukraine, Gaza, l'Irak, la Syrie, le Nigéria, Pyongyang et les îles Diaoyu / Senkaku ? Probablement pas, et ce pour plusieurs raisons. D’abord parce que l’usage de la force démontrera un peu plus encore ses limites dès l’année prochaine. La Russie a commencé de payer économiquement le prix de sa crispation ukrainienne. Israël a vu une fois de plus  (après le Liban en 2006, Gaza en 2009 puis 2014) son entreprise militaire asymétrique aboutir à un isolement politique croissant. Les entrepreneurs de violence comme Daech, AQMI ou Boko Haram, terrorisent mais ne construisent pas. Les puissances étatiques qui s’opposent à eux à l’aide de l’outil militaire (comme la France et  les Etats-Unis) ont admis que ce seul levier ne se suffirait pas à lui-même, et qu’une action internationale concertée, empreinte de reconstruction d’un pacte national avec l’aide d’acteurs de la société civile, serait incontournable. Ce sera bien le cas – parfois sur le temps long – au Mali, en Centrafrique, en Afghanistan, en Palestine ou en Irak. Enfin, l’agenda de l’année 2015 sera riche en défis transversaux ou globaux, qui se joueront sur le terrain du multilatéral. La poursuite de nouveaux formats de concertation plus ouverts (comme le G20), la poursuite de cycles de négociations importants, depuis les enjeux commerciaux, les partenariats intercontinentaux (TTIP, TPP…), ou bien entendu la conférence sur le climat qui se tiendra à Paris en novembre-décembre, seront autant d’occasions pour le soft power de reprendre la main après une séquence plus brutale (ce qui ne signifie pas qu’il n’y aura pas de nouvelles crises). Reste que les derniers mois ont mis en lumière un fossé inquiétant entre « ceux qui croyaient au soft et ceux qui n’y croyaient pas ». Les premiers sont d’abord occidentaux, et l’on parie beaucoup, ces derniers temps, sur leurs hésitations. L’absence criante des émergents à leurs côtés est l’un des traits marquants de la scène internationale actuelle. L’Inde, la Chine, le Brésil ou bien d’autres en ont pourtant les moyens, mais explorent encore timidement cette piste, soit par manque de conviction, soit par dépendance à un sentier plus culturellement empreint de hard power. Entre les instituts confucius ou l’organisation de Jeux Olympiques (en 2016 au Brésil), il faudra plus que la K-Pop pour changer la donne. Mais seule la conversion des géants du sud à la course mondiale à l’influence, à la séduction, à la coopération, à l’implication dans la gouvernance et la gestion des défis globaux, permettront au soft power, clef de la régulation pacifique, de passer pour autre chose que de la faiblesse.

Tsipras letter to Merkel: the annotated text

FT / Brussels Blog - Sun, 22/03/2015 - 22:06

Tsipras, at right without tie, and Merkel, left in red, at Thursday's Greece discussion in Brussels

If you didn’t know what the standoff over Greece’s bailout was all about, Alexis Tsipras, the new Greek prime minister, has provided an excellent primer in a letter sent a week ago to his German counterpart, Chancellor Angela Merkel, who he is scheduled to meet Monday night in Berlin.

Our story about the March 15 letter, which the FT obtained a copy of, can be found here. But as is our normal practice, we thought we’d provide readers of the Brussels Blog a bit more detail – including a copy of the letter, which we’ve posted here.

It’s worth noting that eurozone officials say a similar letter was sent to a select group of other leaders, including François Hollande, the French president; Mario Draghi, the European Central Bank chief; and Jean-Claude Juncker, president of the European Commission.

For those who are having a hard time following every twist an turn in Tsipras’ dispute with his bailout lenders, the letter is filled with a lot of jargon and references to multiple previous exchanges of letters, which can be confusing even to a Greek crisis veteran. For that reason, below is an annotated version of the Tsipras letter, which is our modest attempt to explain its intricacies to the uninitiated.

The letter starts off by referring to a February 20 agreement by the eurogroup – the committee of all 19 eurozone finance ministers which is responsible for overseeing the EU’s portion of Greece’s €172bn bailout. That was the meeting where ministers ultimately agreed to extend the Greek bailout into June; it was originally to run out at the end of February, and the prospect of Greece going without an EU safety net had spurred massive withdrawals from Greek bank deposits, which many feared was the start of a bank run.

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Categories: European Union

FMC Technologies et Technip créent Forsys Subsea

MeretMarine.com - Sun, 22/03/2015 - 19:03

FMC Technologies Inc. et Technip ont signé aujourd’hui un accord afin de former une alliance exclusive et créer ainsi Forsys Subsea, co-entreprise détenue à 50/50, soit à parts égales, qui réunira des compétences et des ressources issues de deux leaders du subsea. Cette alliance vise notamment à redéfinir la façon dont les champs sous-marins sont conçus, réalisés et maintenus en condition.

Categories: Défense

Példátlan eljárási könnyítés bevezetése a Mezőgazdasági és Vidékfejlesztési Hivatal pályázatainál

Pályázati Hírek - Sun, 22/03/2015 - 15:33

A Mezőgazdasági és Vidékfejlesztési Hivatalnál kezelt pályázatok kapcsán a a közigazgatási hatósági eljárás szabályairól szóló trövényt (Ket.) kell alkalmazni, azzal, hogy igazolási kérelemnek, méltányosságnak nincsen helye.  Az ügyfelek így számos esetben, ha akár 1 nappal is elkéstek a folyamatosan oda-vissza változó és gyakran ún. salátarendeletekben megbúvó határidők tekintetében, a teljes támogatásra való jogosultságuk megszűnhetett.   Emiatt nagy mennyiségű fellebbezés és bírósági ügy van jelenleg is folymatban.  Információink szerint az országgyűlés mezőgzdasági bizottsága elfogadta azt az indítványt, amely folytán hamarosan visszamenőleges hatállyal bevezetik az igazolási kérelm lehetőségét ezekben az ügyekben, így az ügyfélnek lehtősége lesz késedelmét jogos indokkal kimenteni.

PH információ

Categories: Pályázatok

830 milliárd forint uniós forrás támogatja a gazdaságfejlesztést az idén

Pályázati Hírek - Sun, 22/03/2015 - 15:11

A Gazdaságfejlesztési és Innovációs Operatív Program (GINOP) keretében csaknem 70 pályázati felhívást tesz közzé mintegy 830 milliárd forint összegben a Nemzetgazdasági Minisztérium (NGM) az idén - tájékoztatott Rákossy Balázs, a tárca európai uniós források felhasználásért felelős államtitkára.

 

Categories: Pályázatok

Rég várt lehetőség: eszközbeszerzést támogató pályázat - újra 2015. áprilistól!

Pályázati Hírek - Sun, 22/03/2015 - 12:24

Áprilisban nyílik meg újra olyan pályázati lehetőség, amely a vállalkozások eszközbeszerzését támogatja a GINOP program keretében. Kiváló alkalom lesz azok számára, akik kimaradtak a korábbi pályázatokból, de azoknak is akik sikeresen vettek részt GOP vagy EMVA pályázatokon.

Mint ismeretes, a korábbi években is sokszoros rekordigény érkezett a keretekre, a legnépszerűbb eszközbeszerzést támogató pályázaton.  A pályázat gyors elbírálású, az NLC Tanácsadói Csoport ügyfelei kivétel nélkül 2-3 hónap alatt megkapták a  pozitív támogatási döntéseket és az április-májusban beadott pályázatokra nyár végén már érkezhetnek a támogatási előlegek.

Az áprilisban megnyíló pályázat keretében újra 40-50%-os támogatást igényelhetnek a pályázók eszközök és gépek beszerzésére.

 

Categories: Pályázatok

Hôtel de la Marine : «consternation» des défenseurs du patrimoine

Blog Secret Défense - Sun, 22/03/2015 - 10:01
L'Association des Amis de l'Hôtel de la Marine dénonce ce projet de «palais de Dame Tartine»
Categories: Défense

Bronco New-Gen

Military-Today.com - Sun, 22/03/2015 - 00:55

Singaporean Bronco New-Gen Aromored Articulated All-Terrain Tracked Carrier
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2015-ben újra élelmiszeripari pályázat!

Pályázati Hírek - Sun, 22/03/2015 - 00:00

2015-ben várhatóan újból megjelenik az élelmiszer feldolgozók fejlesztését szolgáló, Mezőgazdasági és Vidékfejlesztési Hivatal által kezelt pályázat, ami egyúttal a GINOP forrásaiból a Nemzetgazdasági Minisztérium által is támogatott lesz. 

Categories: Pályázatok

Massacre du Bardo : une conséquence du démantèlement de l'appareil sécuritaire tunisien

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Sat, 21/03/2015 - 23:37
Disons-le clairement: les premiers responsables du sanglant attentat du musée du Bardo sont ceux qui déclenchèrent la "révolution du jasmin"[1]et qui démantelèrent l'appareil sécuritaire tunisien patiemment mis en place par le régime Ben Ali. Dans ces conditions, quoi d'étonnant à ce que la Tunisie soit incapable de faire face aux terribles attentats qui la meurtrissent? D'autant plus que le pays fournit aujourd'hui le plus important contingent de jihadistes étrangers combattant en Syrie, en Irak et en Libye. En Algérie, lors de l'attaque du site d'in Amenas au mois de janvier 2013, le commando comportait une douzaine de Tunisiens et ces derniers forment le noyau de l'Etat islamique en Libye[2]. En Tunisie même, depuis 2012, les islamistes tiennent le maquis dans la région des monts Chaambi.
A défaut du retour à un pouvoir fort, comme en Egypte,  la Tunisie va continuer à traverser des jours difficiles avec un effondrement économique accéléré, un secteur touristique à l'agonie, une ruine générale, des menaces terroristes tant à l'intérieur que sur la frontière avec la Libye et l'amplification de l'émigration. Ceux qui déclenchèrent la "révolution de jasmin" et ceux qui, notamment en France, la portèrent aux nues avec un rare aveuglement, ont une grande responsabilité dans ce désastre. Le plus grave et le plus désolant est que le drame tunisien n'aura rien appris à la caste politico-médiatique française puisque ses représentants réclament toujours, et à grands cris, le départ du président syrien...
Comment la Tunisie en est-elle arrivée à cette situation ?
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[1] Voir mes communiqués en date du 25 janvier 2012 et du 11 décembre 2012.  [2] Pour mémoire, dans les années 1980, les Tunisiens étaient déjà  nombreux en Afghanistan et ce furent des Tunisiens qui assassinèrent le commandant Massoud.
Categories: Afrique

Marée du siècle : Les premières images de la Bretagne à découvert

MeretMarine.com - Sat, 21/03/2015 - 15:31

La marée du siècle, la vraie, celle qui se vante d'un coefficient de 119, ne touchera les côtes bretonnes que ce samedi, en fin d'après-midi. Mais, déjà, les grandes marées offrent aux pêcheurs et aux badauds une vision assez rare de la Bretagne. Voici un premier tour de la région dans ce mur d'images qui sera actualisé tout au long du week-end. Si vous voulez qu'une de vos photos s'y glisse, envoyez un mail à grandemaree@scribblelive.com > Dernières infos sur les grandes marées

Categories: Défense

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