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Montenegro Vows to Remove Memorial to Assassin

Balkaninsight.com - Mon, 17/07/2017 - 12:41
The Montenegrin authorities have vowed to remove a controversial monument to Punisa Racic - the Serb nationalist MP who assassinated Croatian leader Stjepan Radic in the Yugoslav parliament in 1928.
Categories: Balkan News

BPN Industrial Cluster: 100% useful

MeretMarine.com - Mon, 17/07/2017 - 12:35

2007-2017. BPN’s 10th anniversary is being proudly celebrated as the cluster has been remarkably active supporting the Naval, MRE and Oil&Gas industries over the past decade. Year over year, Bretagne Pôle Naval has got stronger and as many as 180 businesses now enliven the network, thus adding 24,000 professionals for greater economic strength.

Our membership has more than doubled in 10 years!

Categories: Défense

Dr George Tzogopoulos writes in Global Times about the Trump-Macron Paris meeting, 17/07/2017

ELIAMEP - Mon, 17/07/2017 - 12:27

Transatlantic relations have entered a difficult period since the inauguration of Donald Trump. While during the administration of Barack Obama collaboration and mutual understanding were taken for granted on a plethora of issues of joint interest, the new US president does not significantly count on Europe. Although he has softened his rhetoric in comparison to his comments before the election of last November – principally regarding his support for NATO – the US and the EU have not yet worked out how their new symbiosis will look in the next four years.

Meetings between Trump and European leaders help both sides formulate their approaches. In that regard, the third visit of the US president to the EU deserves particular attention as he decided to go to Paris, accepting the invitation of his French counterpart Emmanuel Macron to attend the Bastille Day celebrations. The timing is symbolic. This year, American troops joined their French allies in the annual parade, to mark 100 years since the US intervened in World War I.

Until their recent meeting in Paris, Trump and Macron had met on the sidelines of other multilateral summits and events such as a NATO gathering in Brussels. One of their initial handshakes is still attracting the attention of international media. Macron treated Trump to a strong handshake in front of the cameras in May, which he then refused to release for several long moments. As he explained to French media, he wanted to show he would not make small concessions to his American counterpart.

In the French capital, the two presidents had of course much more to say than focusing on handshakes and publicly explaining them. Although their meetings started with Trump’s bizarre compliment of Macron’s wife, Brigitte, on her figure, the two leaders did later start serious discussions about Syria and terrorism. As Macron asserted during the press conference, both countries are “determined to take any necessary measures in order to root out terrorism and to eradicate it no matter where, in particular the narrative on the Internet” and also tackle cyber crime.

Also, the two presidents agreed to work together in Syria supporting a political roadmap for the post-conflict days, months and years. It is important to mention – as Macron revealed – that Paris no longer requires Assad’s departure. This constitutes a fundamental shift in French policy.

From the American side, however, the outlook for the future is obscure. Trump praised Macron in the press conference saying that “the friendship between our two nations – and [themselves] is unbreakable.” However, as it is the case with almost all of his public remarks, he was ambiguous on critical issues.

It is not clear how the US and France will cooperate on trade as Trump advocates a new type of protectionism and Macron is always talking about free trade, or more recently about fair trade, possibly as a courtesy to his American counterpart. France is enjoying a trade surplus with the US that amounted to $15.6 billion in 2016 with the total trade volume reaching approximately $78 billion.

Cooperation between the US and France on climate change also remains a mystery. Trump sent ambivalent messages about the Paris agreement when he said, “Something could happen with respect to the Paris Accord. We’ll see what happens.” With regard to NATO contributions, Trump is demanding member states spend two percent of GDP on defense. France’s current contribution is 1.8 percent. It is close to the target but still falls short of satisfying Washington’s interests.

Last but not least, it is worth-mentioning that both Trump and Macron referred to their Chinese counterpart Xi Jinping with great respect in the press conference. Trump described him as a “friend” who “loves China” and “wants to do what’s right for [it].” Macron announced that he will visit Beijing early next year, and said that he saw China as “a key partner in order to build peace all around the world” and commented positively on Xi’s multilateralism vision. When two world leaders meet to discuss other topics and simultaneously talk about the need for cooperation with China, this clearly shows the growing international role of the country.

Πηγή: Global Times

La diplomatie climatique du Bangladesh : le « weak power » en action

IRIS - Mon, 17/07/2017 - 12:03

Pays particulièrement vulnérable aux impacts du changement climatique, le Bangladesh a développé au fil des années un arsenal politique et institutionnel, ainsi qu’une expertise locale en matière d’adaptation qui lui ont permis d’acquérir un certain « weak power » pour défendre ses intérêts dans les négociations climatiques. Explications d’Alice Baillat, chercheuse à l’IRIS ayant rédigé sa thèse sur « Le weak power en action : la diplomatie climatique du Bangladesh » sous la direction de Guillaume Devin à Sciences Po.

Vous qualifiez le Bangladesh de « weak power », en quoi cela consiste-t-il ?

Le Bangladesh est le plus souvent connu pour être l’un des pays les plus pauvres de la planète et l’un des plus vulnérables au changement climatique. Plusieurs classements internationaux, comme celui de Maplecroft, place ainsi le pays en tête des pays les plus vulnérables, tandis que de nombreux rapports d’ONG et d’organisations internationales le présentent comme une victime emblématique du changement climatique, aux côtés des petits États insulaires. Si cette vulnérabilité lui a permis de gagner en visibilité sur la scène internationale, elle s’est aussi révélée être un levier d’action publique et diplomatique pour le gouvernement bangladais.

On a souvent tendance à confondre la vulnérabilité avec l’incapacité à agir. Cependant, au Bangladesh, on observe au contraire depuis les années 2000 une forte mobilisation du gouvernement et des acteurs de la société civile – notamment les ONG et les chercheurs – pour s’attaquer de front aux impacts du changement climatique qui menacent le développement économique et social du pays. Loin d’être une victime passive, le Bangladesh est donc au contraire une victime agissante. Proactif dans le développement d’instruments d’action publique nationaux, le Bangladesh est aussi devenu l’un des principaux porte-paroles des pays les moins avancés et les plus vulnérables dans les arènes climatiques.

La notion de « weak power » renvoie ainsi à la capacité d’un pays comme le Bangladesh à transformer sa faiblesse, en l’occurrence sa vulnérabilité aux aléas climatiques, en levier d’action publique et en avantage comparatif pour défendre ses intérêts dans une négociation internationale marquée par des rapports de force asymétriques qui lui sont a priori défavorables. Par exemple, la vulnérabilité du Bangladesh a rapidement transformé le pays en terrain d’expérimentation et de nouveaux savoirs sur l’adaptation au changement climatique pour des acteurs étrangers et locaux (chercheurs, organisations internationales, ONG, etc.), ce qui lui a permis de développer une expertise locale qui fait aujourd’hui figure d’exception parmi les pays les moins avancés. Subissant déjà des impacts visibles du changement climatique, le pays est en effet « assis » sur le problème climatique. Il est devenu un laboratoire de l’adaptation, avec le développement de nombreux programmes de recherche, de nouvelles méthodes et de projets pilotes sur le terrain. Cette expertise a conféré au pays un certain leadership scientifique auprès des autres pays vulnérables, qui s’inspirent désormais des leçons apprises au Bangladesh pour développer leurs propres programmes d’adaptation.

Dans les négociations internationales sur le climat, la vulnérabilité peut aussi devenir un ‘avantage’ pour le Bangladesh pour défendre ses intérêts nationaux. La situation et les besoins spécifiques des pays les plus vulnérables sont en effet reconnus par la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, qui prévoit ainsi des mesures particulières pour les aider à s’adapter. La reconnaissance internationale de la vulnérabilité du Bangladesh légitime notamment ses revendications en matière de transferts technologiques et financiers des pays développés vers les pays en développement.

Plus précisément, quelles sont les stratégies développées par le Bangladesh pour conduire une telle diplomatie ?

Le Bangladesh met en avant, de manière stratégique, à la fois sa vulnérabilité et son statut de « champion de l’adaptation » pour jouer un rôle dans les négociations internationales, se faire entendre et influencer le processus. La Première ministre du Bangladesh, Sheikh Hasina, s’est d’ailleurs vu décerner en septembre 2015 par le Programme des Nations unies sur l’Environnement le prix des Champions de la Terre dans la catégorie « leadership politique », en reconnaissance des efforts gouvernementaux pour lutter contre le changement climatique.

D’un côté, on observe la mobilisation de stratégies discursives de victimisation et de dramatisation pour convaincre le reste du monde de la vulnérabilité du pays et de ses besoins d’adaptation, qui supposent notamment d’importants transferts financiers. Des déclarations sont ainsi tenues dans les négociations par la Première ministre du Bangladesh et par le ministre de l’Environnement pour mettre en avant la fragilité du pays face aux aléas climatiques. Ils insistent en particulier sur le risque d’importants déplacements de population liés aux impacts du changement climatique, que le gouvernement ne pourra gérer seul et qu’ils présentent comme un facteur de déstabilisation nationale et internationale. Par la mise en avant de sa vulnérabilité, le Bangladesh exerce ainsi un « leadership moral » visant à exercer une pression sur les pays développés pour les contraindre à remplir leur devoir moral d’aider les pays les plus vulnérables à lutter contre le changement climatique, ces derniers étant aussi les moins responsables du réchauffement planétaire et les moins dotés en ressources technologiques, économiques et politiques.

D’autre part, le Bangladesh s’efforce de s’imposer comme un acteur moteur et proactif de l’action climatique mondiale en développant des stratégies individuelles et collectives. Il se positionne tout d’abord comme un « bon élève » de la lutte contre le changement climatique, capable de donner des leçons et de servir de modèle à d’autres pays en matière d’adaptation. Outre la valorisation de son expertise mentionnée précédemment, le pays a aussi été précoce dans le développement d’instruments de politiques publiques, avec et sans le soutien de l’aide internationale. Il a mis en place en 2009 une stratégie nationale de lutte contre le changement climatique ambitieuse, afin d’intégrer les enjeux d’adaptation à ceux de développement et de lutte contre la pauvreté. Il a ainsi été le premier pays parmi les moins avancés à proposer une telle stratégie et à l’accompagner de mécanismes de financement innovants et alimentés sur les fonds propres du gouvernement.

Dans les négociations internationales, le Bangladesh noue aussi des alliances politiques pour renforcer ses capacités de négociation et accroître son influence. Si tous les Etats négocient à travers des groupes de négociation dans une enceinte multilatérale, la nécessité de mettre en place une diplomatie collective est d’autant plus importante pour les pays faiblement dotés en ressources diplomatiques : l’union fait la force. En s’alliant, ces pays peuvent ainsi défendre leurs intérêts communs – la reconnaissance de leur droit au développement et de leur vulnérabilité, le besoin de transferts technologiques et financiers, la reconnaissance des pertes et dommages, etc. – et porter une voix commune dans les négociations internationales. En mutualisation ainsi leurs ressources – humaines, politiques, scientifiques, économiques –, ils accroissent collectivement leur pouvoir de négociation et peuvent davantage peser sur le processus et la mise sur agenda de nouveaux enjeux. Tous ces pays font ainsi partie du G77+Chine, le groupe de négociation qui rassemble l’ensemble des pays en développement. Néanmoins, l’hétérogénéité de ce groupe – largement dominé par les pays émergents comme la Chine et l’Inde – a conduit les plus vulnérables à former des sous-groupes d’influence afin de défendre les intérêts qui leur sont propres. C’est ainsi qu’on a vu apparaître le groupe des pays les moins avancés et plus récemment, le Climate Vulnerable Forum et le V20.

Concrètement, aujourd’hui, quel est le rôle joué par les ‘petits’ pays dans la lutte contre le réchauffement climatique ?

Ces ‘petits pays’, qu’il s’agisse des petits États insulaires du Pacifique ou des pays africains et asiatiques en développement, peuvent jouer principalement deux rôles. D’une part, ils peuvent faire pression sur les pays développés pour élever le niveau d’ambition de l’action climatique mondiale et notamment les efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Grâce à la règle onusienne « d’un État égal une voix » en vigueur dans toutes les négociations multilatérales onusiennes et du poids numérique des pays les plus vulnérables, ces derniers peuvent peser sur le processus plus que leur pouvoir structurel ne peut le laisser penser a priori. Ils peuvent également jouer de leur leadership moral pour rappeler aux pays pollueurs leur responsabilité historique et les pousser à agir, au risque d’être montrés du doigt par les médias et les opinions publiques. Ainsi, lors de la COP21, les États vulnérables se sont mobilisés dès le premier jour de la négociation pour appeler à une limitation de l’augmentation de la température à la surface du globe à 1,5°C au lieu de 2°C, en insistant sur le risque de disparition des territoires insulaires et de pertes et dommages irréversibles que même une augmentation de 2°C représentait pour eux. Si le seuil des 2°C a été maintenu dans l’Accord de Paris, ces petits pays ont néanmoins connu une victoire symbolique, le texte final reconnaissant la nécessité de limiter si possible la hausse de la température à 1,5°C.

D’autre part, ces petits pays ont la capacité de mettre à l’agenda de nouveaux enjeux qui les concernent tout particulièrement. Alors que les négociations climatiques étaient à leurs débuts principalement orientées vers la question de la répartition des efforts d’atténuation des émissions de gaz à effet de serre entre les pays industrialisés, les pays en développement, par le biais du G77+Chine, sont parvenus progressivement à inscrire de nouveaux enjeux comme l’adaptation et la reconnaissance de la primauté du droit au développement. Plus récemment, les pays les plus vulnérables – à travers les groupes des pays les moins avancés et l’Alliance des petits insulaires du Pacifique – sont parvenus à imposer la question des pertes et dommages dans les négociations internationales, ainsi que celle des migrations.

Si les petits pays peinent à véritablement peser sur les résultats des négociations, encore dominés par les rapports de force entre pays développés et émergents, ils peuvent néanmoins peser sur le processus de négociation à travers la mise à l’agenda de nouveaux enjeux qui leur sont chers ; usant ainsi de leur leadership moral pour rappeler l’urgence de répondre au problème climatique par une action mondiale et ambitieuse.

Dr Thanos Dokos writes in Kathimerini on the Cyprus Question, 13/07/2017

ELIAMEP - Mon, 17/07/2017 - 12:01

You can read here the article on the Cyprus Question, which was written by Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos. This commentary was published in the Greek daily Kathimerini on 13 July 2017 [in Greek].

Donald Tusk elnök heti munkaprogramja

Európai Tanács hírei - Mon, 17/07/2017 - 12:00

2017. július 17., hétfő
10.00 A nagykövetek megbízóleveleinek átadása
14.00 Találkozó Dragan Čović-csal, Bosznia-Hercegovina államelnökségének tagjával

Council Conclusions on the Democratic People’s Republic of Korea

European Council - Mon, 17/07/2017 - 11:58

The Council adopted the following conclusions:

"1.         The Democratic People's Republic of Korea (DPRK) has continued to accelerate its nuclear and ballistic missile programmes, with most recently the launch of a missile of intercontinental range on 4 July 2017. The Council strongly condemns these actions which constitute outright violations of the DPRK's international obligations, as set out in several UN Security Council Resolutions, and which represent a serious threat to international peace and security. 

2.           DPRK's actions undermine the global non-proliferation and disarmament regime, which the EU has steadfastly supported for decades, and underline the necessity of universalisation of the Comprehensive Nuclear test Ban Treaty. 

3.           The Council urges the DPRK to comply without delay, fully and unconditionally, with its obligations under all relevant UN Security Council resolutions and to refrain from any further provocative action that could increase regional and global tensions. 

4.           The EU sanctions' regime towards the DPRK is currently among the most restrictive in operation. The Council will consider further appropriate responses in close consultation with key partners and in line with UN Security Council deliberations, notably through additional autonomous restrictive measures. Recalling UNSCR 2321(2016), the Council expresses concern about the DPRK regime's activities to raise hard currency to fund its nuclear and ballistic missile programmes and calls upon States to exercise vigilance. 

5.           The Council supports the leading role and call of the Republic of Korea to the DPRK to engage in a credible and meaningful dialogue, including through confidence building measures in order to defuse tension and to enable steps aimed at pursuing the complete, verifiable and irreversible denuclearisation of the Korean Peninsula and the full implementation of all relevant UN Security Council resolutions. The EU is ready to support such a process in consultation with key partners. 

6.           The Council is strongly convinced that a lasting peace and denuclearisation of the Korean peninsula must be achieved through peaceful means. The Council reaffirms the EU policy of Critical Engagement with the DPRK, which combines pressure with sanctions and other measures while keeping communication, and dialogue channels open. The EU policy of Critical Engagement is not an end in itself but a means to promote the DPRK's full compliance with UNSC Resolutions in terms of abandoning its nuclear, WMD and ballistic missile programmes in a complete, verifiable and irreversible manner and progress on all other issues of concern. The Council urges the DPRK to make credible progress on its obligations to denuclearise enabling negotiations leading to a peaceful solution. 

7.           The Council highlights the importance of unity of the international community in addressing this challenge. Closer engagement with all EU's key partners in the region and worldwide is essential in this respect, including through enhanced outreach activities and support for the full implementation of UN sanctions by all countries. 

8.           DPRK's nuclear weapons and ballistic missile programmes divert resources from the necessary investments into social and economic development and reform, which would benefit the DPRK population at large. In this context, the Council supports the Republic of Korea's aspiration to restart inter-Korean dialogue on humanitarian affairs. 

9.           The Council deplores the ongoing and grave human rights' abuses by the DPRK regime and is committed to continue working with partners to draw attention to these violations, to assure international accountability and to maintain pressure on DPRK to cease its human rights violations."

Categories: European Union

Einsatz von Chemiewaffen in Syrien: EU verhängt Sanktionen gegen 16 weitere Personen

Europäischer Rat (Nachrichten) - Mon, 17/07/2017 - 11:40

Am 17. Juli 2017 hat der Rat 16 Personen in die Liste der Personen aufgenommen, gegen die sich die von der EU gegen das syrische Regime verhängten restriktiven Maßnahmen richten. Die 16 Personen wurden wegen ihrer Rolle bei der Entwicklung und beim Einsatz von Chemiewaffen gegen die Zivilbevölkerung in die Liste aufgenommen, im Einklang mit der EU-Strategie gegen die Verbreitung und den Einsatz chemischer Waffen. Es handelt sich um 8 hochrangige Militärs und 8 Wissenschaftler, die an der Verbreitung chemischer Waffen und entsprechender Trägersysteme beteiligt sind. Die EU hatte bereits restriktive Maßnahmen gegen hochrangige Militärs verhängt, zuletzt am 4. März 2017 wegen der Verwendung chemischer Waffen.

Nach dem heutigen Beschluss sind nun insgesamt 255 Personen von Einreiseverboten und vom Einfrieren von Vermögenswerten betroffen, weil sie für das gewaltsame Vorgehen gegen die syrische Zivilbevölkerung verantwortlich sind, vom Regime profitieren oder dieses unterstützen und/oder mit solchen Personen in Verbindung stehen.

Ferner sind die Vermögenswerte von 67 Einrichtungen eingefroren. Im weiteren Sinne umfassen die derzeit geltenden Sanktionen gegen Syrien u. a. ein Erdölembargo, Restriktionen bei bestimmten Investitionen, das Einfrieren der Vermögenswerte der syrischen Zentralbank in der EU, Ausfuhrbeschränkungen für Ausrüstung und Technologie, die zur internen Repression verwendet werden können, sowie für Ausrüstung und Technologie zur Überwachung oder zum Abhören des Internets und von Telefongesprächen. Diese Maßnahmen wurden zuletzt am 29. Mai 2017 verlängert und bleiben bis zum 1. Juni 2018 in Kraft.

Die EU setzt sich weiterhin dafür ein, dass auf Grundlage des vereinbarten VN-Rahmens eine dauerhafte politische Lösung für den Konflikt in Syrien gefunden wird. Wie sie in ihrer Syrien-Strategie vom April 2017 dargelegt hat, ist die EU der Überzeugung, dass es keine militärische Lösung für den Konflikt geben kann, und unterstützt sie nachdrücklich die Arbeit des VN-Sondergesandten und die innersyrischen Gespräche in Genf.

Als Hauptgeber bei den internationalen Bemühungen zur Bewältigung der Syrien-Krise – seit Beginn des Konflikts haben die EU und ihre Mitgliedstaaten zusammen mehr als 9,4 Mrd. € für humanitäre Hilfe und Entwicklungshilfe bereitgestellt – wird die EU weiter dafür eintreten, dass allen Syrerinnen und Syrern, auch in belagerten oder schwer erreichbaren Gebieten, humanitäre Hilfe geleistet wird. Die Reaktion der EU umfasst auch die Unterstützung der internationalen Organisationen, die durch ihre Arbeit sicherstellen wollen, dass Verstöße gegen die Menschenrechte und gegen das humanitäre Völkerrecht geahndet werden.

Die EU ist nur dann bereit, den Wiederaufbau Syriens zu unterstützen, wenn ein von den syrischen Konfliktparteien auf Grundlage der Resolution 2254 (2015) des VN-Sicherheitsrates und des Genfer Kommuniqués von 2012 ausgehandelter umfassender, echter und alle Seiten einbeziehender politischer Übergang stabil im Gange ist.

Die vom Rat angenommenen Rechtsakte einschließlich der Namen der Betroffenen werden im Amtsblatt vom 18. Juli 2017 veröffentlicht.

Categories: Europäische Union

Décès de Jean-Jacques Susini, co-fondateur de l'OAS et fervent défenseur de l'Algérie française

France24 / France - Mon, 17/07/2017 - 11:36
Jean-Jacques Susini, ancien chef de l'Organisation de l'armée secrète (OAS), est mort à 83 ans début juillet. Au nom d'un attachement viscéral à l'Algérie française, il n'a jamais manifesté de remords pour les attentats commis dans les années 60.
Categories: France

Wochenplan von Präsident Donald Tusk

Europäischer Rat (Nachrichten) - Mon, 17/07/2017 - 11:00

Montag, 17. Juli 2017 10.00 Uhr Überreichung von Beglaubigungsschreiben durch Botschafter 14.00 Uhr Treffen mit Dragan Čović, Mitglied des Staatspräsidiums von Bosnien und Herzegowina

Categories: Europäische Union

Pakistan: Council adopts conclusions

European Council - Mon, 17/07/2017 - 10:53

The Council adopted conclusions on Pakistan, stating that the EU has a clear interest in a stable, secure, and democratic Pakistan.

Over the past years, the bilateral relations between the EU and Pakistan have been deepened through the implementation of the 5-year engagement plan adopted in 2012. The EU has also intensified institutional dialogues across priority areas including, political cooperation, security, governance, human rights, migration, trade and energy. Further dialogues have been set up in new areas such as counter-terrorism, non-proliferation and disarmament. 

Work is ongoing between the EU and Pakistan on a political framework to replace the 5-year Engagement Plan through a new EU-Pakistan strategic engagement plan. 

Categories: European Union

Mia san jetzad au mia!: Stipendiatencup 2017: Jubiläumssieg im Finale "Dahoam"

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 17/07/2017 - 10:53
Unsere Mannschaft hat es endlich geschafft! Ungeschlagen und mit nur einem Gegentor im "Finale Dahoam" konnten wir das von Turnier mit 60 Teilnehmer_innen in München bei herrlichem Kaiserwetter mit 2:1 gegen die Friedrich-Ebert-Stiftung gewinnen.

Taxe d'habitation : entre l'Etat et les communes, l'épineuse question de la compensation

LeParisien / Politique - Mon, 17/07/2017 - 10:52
C’est un dossier délicat dont l’opposition compte bien faire un cheval de bataille. La suppression de la taxe d’habitation pour 80% des contribuables est au coeur de la première Conférence des territoires,...
Categories: France

Zsolt Bayer plaide pour une sortie de la Hongrie de l’Union européenne

HU-LALA (Hongrie) - Mon, 17/07/2017 - 10:17

Proche du pouvoir, le chroniqueur Zsolt Bayer a déclaré la semaine dernière que la Hongrie devait quitter l'Union européenne si celle-ci poursuivait sa politique migratoire. Pour le parti d'opposition DK, cette prise de position est révélatrice de la véritable ligne politique du Fidesz.
"Si l'Union européenne poursuit sur la même route, il faut en sortir, il faut quitter toute cette porcherie infernale, il faut l'envoyer se faire voir, il faut fermer nos frontières, quant à ceux qui y attendent pour entrer, qu'ils crèvent !" C'est par son habituel langage fleuri que le chroniqueur Zsolt Bayer, figure historique de l'aile droite du Fidesz, s'est exprimé le 12 juillet dernier dans l'émission "Helyzetkép" de la chaîne de télévision locale de Miskolc.

Habitué des coups de sang sur les plateaux télévisés, Zsolt Bayer s'en est également vertement pris au pape François, un "libéral viscéral, un idiot qui croit à la théorie du genre". Selon l'ami intime de Viktor Orbán, le souverain pontife serait l'un des principaux soutiens . . .

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Categories: PECO

Nach dem Gipfel: G20-Afrika Kooperation auf der Suche nach Kontinuität, Einfluss und politischen Visionen

Bonn, 17.07.2017. Die Stärkung der G20-Afrika Kooperation ist ein wichtiger Erfolg der deutschen G20-Präsidentschaft. Die meisten afrikanischen Volkswirtschaften sind weder gut in die Weltwirtschaft integriert, noch haben sie wesentlichen Einfluss auf die Entscheidungsfindung in globalen Governance-Strukturen wie der G20, des IWF oder der WTO. Gleichzeitig ist Afrika weiterhin der Kontinent, auf dem die meisten Armen leben, häufig in fragilen Staaten. Daher besteht Bedarf für eine bessere afrikanische Vertretung bei globalen Problemlösungen und verbesserte Wege zu nachhaltiger Entwicklung in Afrika. Können die im Kommuniqué skizzierten G20-Prioritäten die globale Vertretung Afrikas und seine nachhaltige Entwicklung voranbringen? Nachhaltige Entwicklung in Afrika: Auf der Suche nach politischen Visionen G20-Afrika Kooperation bestand bisher aus einer Reihe von Einzelinitiativen (bspw. die Initiative zur Förderung von Industrialisierung in Afrika und LDCs durch die chinesische G20-Präsidentschaft 2016). Diskussionen über die Zusammenarbeit zwischen der G20 und Afrika fanden meist in der G20-Arbeitsgruppe ‚Entwicklung‘ statt. Die deutsche Präsidentschaft hat nun eine neue G20 Afrika Partnerschaft ins Leben gerufen. Ihr Kernstück ist der „Compact with Africa“ (CwA), der von der Afrikanischen Entwicklungsbank, dem IWF und der Weltbank umgesetzt werden wird. Er konzentriert sich auf private Investitionen, die Arbeitsplätze schaffen und die Infrastruktur (insbesondere Energie) in einzelnen Ländern verbessern sollen. Côte d‘Ivoire, Äthiopien, Ghana, Marokko, Ruanda, Senegal und Tunesien haben sich verpflichtet, Vereinbarungen zu präsentieren.

Mit einigen konkreten Initiativen zu beginnen, ist ein Schritt in die richtige Richtung. Allerdings ist auch eine politische Vision erforderlich, wie die alten und neuen Initiativen zusammenpassen und wie sie zu einer strukturellen, großen Transformation beitragen, die für nachhaltige Entwicklung in Afrika notwendig ist. Das G20-Kommuniqué bezieht sich auf die Agenda 2063 der Afrikanischen Union (AU) und die Agenda 2030 der UN. Trotzdem ist nicht klar, wie die CwAs zum umfassenderen Ziel der Förderung nachhaltiger Entwicklung in Afrika beitragen werden. Darüber hinaus sind die CwAs nicht systematisch mit früheren G20-Initiativen verknüpft, die noch auf eine vollständige Umsetzung warten. Auch konzentrieren sich die CwAs auf bilaterale Vereinbarungen, statt die regionale Kooperation bei der Schaffung eines günstigen Investitionsumfelds zu unterstützen.

Komplementarität zwischen G20 und anderen Partnerschaften stärken

Die neue G20 Afrika Partnerschaft läuft parallel zu bilateralen Agenden von G20-Mitgliedern, insbesondere zu denen von China (Belt and Road Initiative) oder Indien und Japan (Asia-Africa Growth Corridor) und könnte mit ihnen konkurrieren. Die BRICS-Unterstützung für die CwAs scheint begrenzt. Jedenfalls erwähnen die BRICS die Kooperation mit Afrika in ihrem Pressekommuniqué des Hamburger Gipfels nicht. Die deutsche G20-Präsidentschaft bemüht sich offenbar v.a. darum, EU-Initiativen wie den externen EU-Investitionsplan und die Vorbereitungen für den EU-Afrika-Gipfel in Übereinstimmung mit der G20-Agenda zu bringen.

Ob die verschiedenen bilateralen und G20-Initiativen der Industrie- und Entwicklungsländer sich gegenseitig verstärken oder miteinander konkurrieren, wird auch von der Antwort Afrikas abhängen. Die AU ist dabei, ihre Strategien zur Kooperation mit externen Partnern zu reformieren und die Komplementarität von Partnerschaften zu stärken. Beim AU-Gipfel Anfang Juli wurden die Reformvorschläge weiter diskutiert, die eine Kommission unter Vorsitz vom ruandischen Präsident Kagame erarbeitet und im Januar den AU-Staatschefs vorgestellt hatte. Diese Reformbemühungen müssen den Ausgangspunkt für G20-Afrika Kooperation bilden. Nur dann kann sichergestellt werden, dass mit dem Engagement der G20 im Vergleich zu anderen Partnerschaften zusätzlicher Nutzen entsteht.

Von Verantwortung zur Partnerschaft: Afrika muss mit am Tisch sitzen Die deutsche G20-Präsidentschaft zielte auf eine neue und gleichberechtigte Partnerschaft mit Afrika. Mittelfristig kann dies nur erreicht werden, wenn Afrika mit am Tisch sitzt. Auf der Basis der Vorschläge für eine G20 Afrika Partnerschaft sollte die G20 die Kooperation mit Afrika umfassend in die verschiedenen G20 Arbeitsstränge integrieren, jenseits von der G20-Arbeitsgruppe ‚Entwicklung‘. Die Umsetzung der 2030-Agenda in Zusammenarbeit mit Afrika und die Unterstützung der Agenda 2063 erfordert politische Kohärenz innerhalb der G20-Arbeitsgruppen und die Koordination mit anderen internationalen und regionalen Organisationen.

Außerdem sollte eine Panafrikanische Organisation mittelfristig einen ständigen Sitz bekommen. Die AU und die „New Partnership for Africa’s Development” (NEPAD) haben derzeit nur Beobachterstatus. Dies bedeutet ein gewisses Maß an Informalität. Zusammen mit den begrenzten Ressourcen der Organisationen schafft dieser Grad der Informalität wenige Anreize, Kapazitäten für die Kooperation mit der G20 zu stärken. Ein ständiger Sitz für eine Pan-Afrikanische Organisation wäre ein Schritt, das Legitimationsdefizit zu verringern.

Die G20 Afrika Partnerschaft kann für nachhaltige Entwicklung in Afrika nur einen Unterschied machen, wenn (1) künftige Präsidentschaften das Engagement der G20 für die Zusammenarbeit mit Afrika aufrechterhalten, (2) afrikanische Stimmen in die globale Entscheidungsfindung integriert werden und wenn sie (3) in ein zukunftsweisenderes und umfassenderes Engagement eingebettet wird. Christine Hackenesch ist wissenschaftliche Mitarbeiterin in der Abteilung „Bi- und multilaterale Entwicklungspolitik“ am Deutschen Institut für Entwicklungspolitik (DIE). Julia Leiniger leitet am DIE die Abteilung „Governance, Staatlichkeit, Sicherheit“. Elizabeth Sidiropoulos ist Chief Executive am South African Institute of International Affairs (SAIIA).

Ukraine: Council adopts temporary trade preferences

European Council - Mon, 17/07/2017 - 09:55

On 17 July 2017, the Council adopted a set of temporary autonomous trade measures in favour of Ukraine. These measures should enter into force by the end of September and will apply for a period of three years. 

“With today's decision, we are allowing more Ukrainian products to be exported to the EU. It is our duty to support Ukraine and strengthen our economic and political ties, also in the face of the ongoing conflict on its soil."

Sven Mikser, Minister for Foreign Affairs of Estonia, which currently holds the Council presidency 

The proposal is aimed at improving access for Ukrainian exporters to the EU market, in view of the difficult economic situation and the economic reform efforts undertaken by Ukraine.

It adds to trade provisions already introduced under an EU-Ukraine association agreement that have been provisionally applied since 1 January 2016 and that will formally enter into force on 1 September 2017.

Today's decision is the final step necessary to formally adopt the regulation. The European Parliament adopted the text on 4 July. The text should be published and enter into force shortly after the signature of the text by the co-legislators during the EP's plenary session in September.

Categories: European Union

Polémique Macron-De Villiers : «Ils vont prendre une décision ensemble», selon Castaner

LeParisien / Politique - Mon, 17/07/2017 - 09:49
Après le sérieux coup de froid entre Emmanuel Macron et le général Pierre de Villiers, le chef d'Etat-major des armées sera reçu par le président de la République à l'Elysée, vendredi à 18 heures. A l'issue...
Categories: France

Mongolei: 25 Jahre Verfassungsgericht

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 17/07/2017 - 09:17
Seit 25 Jahren besteht das Verfassungsgericht der Mongolei. Seinen Aufbau begleitet bis heute die Hanns-Seidel-Stiftung mit verschiedenen Projektmaßnahmen.

Nouvelle-Calédonie : Le combustible du Kea Trader, toujours échoué, va être pompé

MeretMarine.com - Mon, 17/07/2017 - 09:15

Echoué depuis le 12 juillet sur le récif Durand, en Nouvelle-Calédonie, le porte-conteneurs Kea Trader va voir ses cuves à combustible pompées. Même si aucune pollution n’a jusqu’ici été constatée, les autorités françaises, pour prévenir tout risque, ont mis en demeure l’armateur du navire de faire évacuer les hydrocarbures présents à bord.

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The Balkans Today: 17th - 21th July 2017

Balkaninsight.com - Mon, 17/07/2017 - 08:58
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