Ce qui n’était au départ que simple rumeur, commence à devenir réalité. La presse anglaise, et même portugaise, avait évoqué depuis quelques semaines l’intérêt de Leicester City pour l’attaquant et buteur de la sélection lors des dernières années, Islam Slimani. L’information a été révélée avant même la fin de la saison. Seulement, ces derniers jours, il y a eu rebondissement. Le quotidien portugais, A bola, annonce que le champion d’Angleterre en titre est passé à l’acte pour l’attaquant du Sporting Lisbonne, Islam Slimani. Les choses ont pris une tournure sérieuse depuis que les Gunners d’Arsenal ont approché le buteur de Leicester, Jamie Vardy. Ce dernier, qui a été l’auteur d’une très grande saison avec le club, a donné son accord pour rejoindre le club londonien pour un montant très intéressant et surtout pour connaître d’autres sensations. C’est ainsi que le manager de Leicester, l’Italien, Claudio Ranieri, a commencé à bouger en faisant le forcing sur la direction du club, afin de ramener Slimani qui est un joueur qui possède presque le même profil que Jamie Vardy. Selon le quotidien portugais, Leicester a présenté il y a un ou deux jours une proposition au Sporting, lui demandant de céder le contrat de l’attaquant pour vingt millions d’euros, alors que le président du club lisboète, Bruno de Carvalho, a exigé la somme de trente millions d’euros pour vendre le deuxième meilleur buteur du championnat.
Les Foxes devront faire une seconde proposition aux alentours de 24 millions d’euros
Seulement, les responsables de Leicester City ont essuyé un niet catégorique de la part des dirigeants portugais, qui ne veulent en aucun cas entendre parler de la vente du contrat de leur meilleur joueur et deuxième buteur du championnat pour la somme de vingt millions d’euros. Les dirigeants du Sporting sont en effet intransigeants sur ce point et ont expliqué la situation à leurs homologues anglais. Par ailleurs, les médias anglais évoquent que les responsables de Leicester savent pertinemment que le prix du joueur a été fixé à vingt millions d’euros. Ainsi, une seconde proposition devrait être faite dans les tout prochains jours ou même aujourd’hui ou demain, afin de tenter de convaincre le Sporting de céder son joueur. La proposition financière devrait être revue à la hausse et devrait avoisiner les 24 millions d’euros.
A défaut de Slimani, Leicester a visé Deeney
Le manager des Foxes, Claudio Ranieri, et les dirigeants du champion d’Angleterre espèrent que cette seconde proposition sera la bonne. Ainsi, ils ne perdent pas espoir de voir Islam Slimani se produire au King Power Stadium la saison prochaine et remplacer le buteur, Jamie Vardy. Mais dans le cas où les dirigeants du Sporting ferment la porte, les dirigeants de Leicester vont se rabattre sur une nouvelle piste, celle de l’attaquant de Watford, Troy Deeney, qui possède le même profil que Jamie Vardy pour avoir déjà évolué dans des divisions inférieures avant de s’affirmer chez le club londonien où il a réussi la saison dernière à inscrire treize buts en Premier League.
Contrairement aux années précédentes, les citoyens sont agréablement surpris de ne pas trouver des chaînes d’attente interminables au niveau des agences d’Algérie Poste, spécialement ces derniers jours.
Le constat est là, les pénuries dont souffrent habituellement ces agences, à cet intervalle de l’année, ne sont plus d’actualité. Selon le DG d’Algérie Poste, Abdenacer Sayah, «cela fait déjà plus d’une année que nos agences ne connaissent plus ce type de désagréments».
Interrogé sur le dispositif mis en place par l’entreprise pour cette période, marquée par une forte demande de liquidités, A. Sayah nous a répondu que c’est le ministère même de la Poste et des TIC qui a pris «les dispositions nécessaires pour couvrir la demande de liquidités aussi importante soit-elle».
En effet, la ministre de tutelle a présidé, depuis plus d’un mois, un Conseil ministériel réunissant les ministères de l’Intérieur et des Finances, la Banque d’Algérie, Algérie Poste et la DGSN afin d’assurer la sécurité et le transport des fonds, précise-t-il. Ces institutions ont uni leurs capacités et «tout a été fait pour qu’il n’y ait plus de crise de liquidités». Et ce, que ce soit pour le mois de Ramadhan, la période des fêtes, la saison estivale ou encore la rentrée des classes, n’a-t-il pas manqué de spécifier.
Pour ce mois précisément, le DG d’Algérie Poste rassure que les horaires ordinaires seront maintenus, c’est-à-dire de 8h30 à 17h. Par ailleurs, il a précisé que pour la dernière semaine de Ramadhan «l’ouverture en soirée est prévue de 21h jusqu’à 23h».
En indiquant que celle-ci peut très bien être programmée pour plus tôt. Puisque, dit-il, Algérie Poste saura anticiper les besoins en liquidités et s’adapter, conséquemment, à l’opulence des clients.
N. B.
En l’espace d’à peine deux mois, l’Union algérienne des vétérinaires est à sa deuxième grève de trois jours, entamée à la veille du mois de Ramadhan.
Une période qui connaît, faut-il le rappeler, une forte demande sur les viandes rouges principalement. Ce qui a constitué le moyen de pression idéal sur le ministère du Commerce.
L’Union justifie cette grève par le refus de l’institution de répondre à leurs revendications, précédemment communiquées. Il s’agit, selon elle, de requêtes légitimes concernant les promotions et la modernisation de la Direction générale des services vétérinaires.
Or, cette pénurie est l’excuse qu’ont trouvée les commerçants pour expliquer l’importante hausse de leurs prix, s’agissant des viandes rouges particulièrement. Ils exagèrent même davantage le phénomène de la raréfaction de ce produit, trouvant là un moyen de fructifier encore plus leurs recettes en cette période. En effet, depuis avant-hier, les chaînes au niveau des boucheries se font longues et l’attente tout autant.
Contradictoirement au justificatif des commerçants, l’Union générale des vétérinaires tient le discours contraire. Elle a dénoncé ces pratiques immorales en révélant que les bouchers ont pris connaissance de la grève en question avant même son commencement. Ce qui leur a permis, d’ailleurs, de s’approvisionner largement pour couvrir la demande actuelle. Selon l’Union, cette augmentation des prix n’a donc aucun rapport avec le ralentissement de l’activité des abattoirs ou la loi de l’offre et de la demande.
N. B.
L’APN aura un programme chargé avant la clôture de la session de printemps. Tout porte à croire que cette session risque fort bien de se prolonger jusqu’à la fin du mois de juillet. En effet le gouvernement a déposé au niveau de l’assemblée quatre projets de loi.
Cela s’est fait avant-hier dimanche et le bureau de la Chambre basse du Parlement va, dès aujourd’hui mardi, examiner ces projets et les transmettre aux commissions spécialisées.
Il s’agit ainsi du projet de loi organique fixant l’organisation et le fonctionnement de l’Assemblée populaire nationale et du Conseil de la nation, ainsi que les relations fonctionnelles entre les deux Chambres et le Gouvernement, du projet de loi relatif à la création d’une instance des droits de l’Homme et de deux projets de loi régissant les personnels militaires. Certains projets entrent dans le cadre de la en conformité avec la Constitution révisée et, sur ce plan, l’APN va encore recevoir pas moins de 38 autres projets de loi.
Cette annonce a été faite, hier, par deux vice-présidents de l’APN, en l’occurrence Berrabah Zebar et Said Lakhdari.
Ces deux vice-présidents ont, lors de cette conférence de presse, surtout présenté un bilan de l’institution parlementaire durant les quatre dernières années de son mandat qui s’achèvera l’année prochaine. Une manière de répondre à toutes les critiques adressées régulièrement à l’assemblée par l’opposition notamment. Ainsi, selon les deux conférenciers,
l’APN a adopté durant quatre années pas moins de 43 lois en plus de celle présentée par l’ancien ministre des TIC, Moussa Benhamadi, qui a ensuite été retiré par le Gouvernement. Sur ces textes adoptés les députés ont introduit 896 prépositions d’amendements, alors que 2.978 élus du peuple ont pris part directement aux débats.
Les députés ont, de plus, adressé pas moins de 826 questions orales aux ministres qui n’ont daigné répondre qu’à 348 questions. Un chiffre qui traduit le peu de respect qu’accordent les ministres aux questions des députés.
Sur cette question les relations entre les deux parties n’ont jamais été au beau fixe et les députés ont de tout temps critiqué cette attitude des membres du gouvernement qui rechignent à répondre aux questions qui leur sont adressées. Il en est de même pour les questions écrites puisque les ministres n’ont répondu qu’a 1.242 questions sur un ensemble de 1.457. Sur ces quatre dernières années, les députés ont eu, à deux reprises, le privilège de débattre le plan d’action du gouvernement.
C’était au mois de septembre 2012 et une deuxième fois en 2014. Les deux conférenciers n’ont pas évoqué la question de la déclaration de politique générale, une autre question sur laquelle le gouvernement, malgré les dispositions de la Constitution, est très peu regardant. Ce n’est pas le cas du Gouverneur de la Banque d’Algérie qui a présenté, conformément à la loi, chaque année un rapport à l’APN.
Les députés n’ont pas été nombreux à intervenir lors des débats puisque sur quatre rapports 217 élus seulement sont intervenus. Par ailleurs 21 journées parlementaires et 21 sorties ont été organisées durant quatre années. L’APN a aussi dépêché à l’étranger pas moins de 129 missions.
Le tribunal administratif de Nice (France) a ordonné, lundi, au maire de Nice Christian Estrosi d’autoriser, dans un délai de cinq jours, l’ouverture d’une mosquée financée par l’Arabie saoudite à laquelle l’élu s’oppose farouchement, rapportent plusieurs médias français.
La justice, qui avait été saisie vendredi en référé par l’association culturelle et cultuelle En Nour, gestionnaire de la mosquée, a estimé que « la condition d’urgence était remplie du fait de la capacité insuffisante des salles de prière musulmanes à Nice » et « de la période de Ramadan » qui a débuté ce lundi.
Elle considère par ailleurs que le refus du maire de Nice d’autoriser l’ouverture porte « une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de culte ».Ce dernier a déclaré à l’annonce de ce verdict que « nous n’exécuterons une décision de justice que lorsqu’elle sera définitive ».
Le tribunal relève en outre que la commission d’accessibilité et la commission de sécurité communales avaient émis des avis favorables à l’ouverture au public des locaux et que le maire de Nice « ne s’opposait pas à l’ouverture de la salle de culte pour des motifs relatifs au respect de la législation » mais « compte tenu de ses doutes sur l’origine du financement des travaux et de sa crainte de prêches dangereux »: cela constitue, pour le juge, « un détournement de procédure ».
Christian Estrosi a indiqué dans un communiqué avoir « décidé de se pourvoir immédiatement en cassation auprès du conseil d’État ».
« En tout état de cause, je ne ferai courir aucun risque à ma ville et nous n’exécuterons une décision de justice que lorsqu’elle sera devenue définitive », indique-t-il.
Face à la Fatwa des partis islamistes, qui ont cru trouver dans les fuites au Bac, un moyen d’abattre la ministre de l’éducation, d’autres partis ont fait bloc pour la défendre. Après le RCD et le RND, c’est le Parti des Travailleurs qui y est allé de son soutien, en appuyant la décision du gouvernement « d’organiser de nouvelles épreuves dans les filières et matières touchées par l’opération de divulgation des sujets du baccalauréat », selon un communiqué de ce parti.
Parlant de Nouria Benghabrit, le communiqué du PT lui exprime son « soutien » tout en parlant d’une « femme qui fait face dignement à cette épreuve douloureuse ». Et de condamner « tous ceux qui ont utilisé la provocation pour s’attaquer à elle (ministre) de manière immorale, en demandant sa tête et en tentant de jeter l’opprobre sur l’ensemble de la famille de l’éducation nationale ».
Le communiqué du PT précise, qu’ « aucun député du PT n’a signé ni signera un quelconque texte demandant le départ de la ministre de l’Education qui, comme toute la famille de l’éducation nationale, est tout aussi victime de l’attaque criminelle contre l’examen du BAC 2016″.
C’est là une précision à certains députés islamistes qui ont fait croire que leur initiative de demander la tête de Benghabrit est partagée par d’autres parlementaires. Le PT indique, en outre, avoir discuté « longuement sur l’opération criminelle qui a ciblé l’épreuve du baccalauréat 2016″ et « condamne énergiquement l’œuvre de déstabilisation de l’ensemble de la famille de l’éducation nationale ».
Il considère qu ‘ »il ne s’agit pas d’une opération de fraude, mais bel et bien d’une opération visant à discréditer un examen national et par ce biais, déstabiliser l’Etat qui l’organise ». Pour le PT, « le mode opératoire des personnes qui ont œuvré systématiquement à saboter l’examen du Bac et le moral des centaines de milliers de candidats, montre clairement le caractère criminel de cette opération ».
Tout en « soutenant » les enquêtes diligentées par les services de l’Etat pour débusquer tous ceux qui ont été impliqués dans ce « complot gravissime », le PT dénonce « les voix qui s’élèvent pour tenter de mettre en échec les efforts de Mme Benghabrit qui visent à réformer, algérianiser et à ouvrir notre système de l’Education nationale sur l’universalité ».
Le Parti des Travailleurs salue, aussi, la position « responsable » des syndicats de l’Education nationale, des associations des parents d’élèves « qui ont agi pour la préservation de la crédibilité du Bac et pour les seuls intérêts des élèves, lesquels, malgré le choc émotionnel immense ne se sont pas laissés prendre dans le piège tendu par les provocateurs qui ont organisé le sabotage de cet examen ».
Les Etats-Unis et la Chine ont appelé hier à coopérer comme « des partenaires » et non « des rivaux », lors de leur face-à-face annuel stratégique et économique, sous forte tension cette année en raison des conflits territoriaux en mer de Chine méridionale.
Les deux premières puissances mondiales sont réunies hier et aujourd’hui dans la capitale chinoise pour leur « 8ème Dialogue stratégique et économique », en pleine mutation de la région Asie-Pacifique.
L’administration du président Barack Obama a fait de cette zone la priorité de sa politique étrangère, suivant le fameux « pivot » ou « rééquilibrage » de l’Amérique vers l’Asie, où la Chine est de plus en plus influente.
Le président chinois Xi Jinping a d’entrée donné le ton en jugeant que « la vaste région du Pacifique devait être une scène de coopération et non pas une zone de compétition ». Il a réclamé que « les Etats-Unis et la Chine renforcent leur confiance réciproque » ainsi que « leur coopération en Asie-Pacifique ».
Le secrétaire d’Etat américain John Kerry, accompagné du secrétaire au Trésor Jacob Lew, lui a répondu : « C’est à nous, l’Amérique et la Chine, à faire en sorte que nous soyons plus des partenaires que des rivaux ».
Mais les deux mastodontes, concurrents manifestes en Asie-Pacifique, avaient eu avant-hier une brusque poussée de fièvre à propos des contentieux territoriaux maritimes qui opposent la Chine à ses voisins d’Asie du sud-est et qui empoisonnent toute la région.
Washington et Pékin s’étaient accusés de « provocations ».
L’ambiance était plus détendue à l’ouverture du Dialogue hier. Les Etats-Unis se sont gardés de montrer du doigt nommément leur hôte chinois. John Kerry s’est contenté d’« exhorter toutes les nations à trouver une solution diplomatique » à la crise en mer de Chine méridionale.
La montée des tensions sur le sujet s’explique par l’imminence d’une décision juridique très attendue de la Cour permanente d’arbitrage de la Haye saisie par les Philippines face à la Chine.
Pékin revendique la quasi-totalité de la mer de Chine méridionale, où ses travaux d’infrastructures et de remblaiements sur des îlots contestés provoquent la colère des Etats riverains, le Vietnam, les Philippines, Brunei et la Malaisie. A Oulan-Bator dimanche, John Kerry avait tonné contre la « militarisation » de cette zone maritime riche en ressources et cruciale pour le commerce mondial.
Pékin lui avait rétorqué que « les pays extérieurs devraient jouer un rôle constructif à ce sujet, pas l’inverse ».
Même si les Etats-Unis se targuent de « ne pas prendre position » dans les contentieux en mer de Chine, ils défendent bec et ongles la liberté de navigation dans ces eaux stratégiques pour les échanges mondiaux. Washington a même envoyé des navires de guerre croiser à proximité d’îles contrôlées par Pékin.
Un diplomate américain a reconnu avant-hier que « les tensions en mer de Chine méridionale étaient plus élevées qu’il y a un an » lors du Dialogue Etats-Unis/Chine précédent.
Le menu de cette année est tout aussi chargé. Mer de Chine méridionale, Corée du Nord, Taïwan, changement climatique, cyber-sécurité, terrorisme, niveau du yuan, échanges commerciaux et coopération économique.
La liste des sujets, de points d’accords ou de différends, est loin d’être exhaustive entre, côté américain, John Kerry et Jacob Lew et, côté chinois, le vice-Premier ministre Wang Yang et le conseiller d’Etat Yang Jiechi, qui a la main sur la politique étrangère.
Ce dernier a assuré que la Chine et les pays d’Asie du sud-est avaient fait « des progrès importants » en vue de « la signature d’un code de conduite en mer de Chine méridionale », une Arlésienne dans cette crise depuis plus d’une décennie.
Wang Yang a aussi promis une « communication renforcée avec les Etats-Unis à propos du nucléaire nord-coréen, iranien ou de la Syrie ».
A propos du casse-tête nord-coréen, John Kerry a justement jugé « impératif » de « maintenir la pression » de la communauté internationale sur Pyongyang pour contrecarrer ses programmes, nucléaire et balistique.
Il a vanté la collaboration des deux géants contre la Corée du Nord, dont les activités militaires ont été condamnées à l’unanimité par le Conseil de sécurité de l’ONU. Donc avec la voix de Pékin, allié du régime communiste.
Considéré comme l’événement le plus prisé du mois de ramadhan par les jeunes, le festival WellSound revient pour sa 4e édition. Organisé comme chaque année par Wellcom Advertising au grand chapiteau de l’hôtel Hilton, l’édition 2016 promet d’être plus exceptionnelle avec un riche panel d’artistes tout au long du mois à partir de 21h30.
Au grand bonheur des fans du festival WellSound, plusieurs artistes venus d’ici et d’ailleurs seront au programme à partir du 9 juin avec des performances live spectaculaires célébrant la diversité musicale, interprétées par des figures de la scène internationale telles que : Carole Smaha, Mister You, Kaaris, SCH et d’autres, selon votre demande.
Nos incontournables artistes nationaux, Alaoua, Dj R-One, El Dey, Gnawa Diffusion et Freeklane ainsi que nos humoristes avérés à l’image d’Abdelkader Secteur sont aussi au rendez-vous. Cette année, les amateurs de football ne rateront aucun match de la coupe d’Europe des nations, les matchs seront retransmis en direct au niveau du chapiteau en première partie de la soirée avant les concerts.
Pour cette édition, Wellsound s’est appuyé sur deux sponsors majeurs, à savoir l’opérateur de téléphonie Djezzy, la marque de téléphone portable Oppo, ce qui donnera une dimension digitale à l’événement.
En effet, l’opérateur sera présent en force à travers deux espaces : à l’extérieur du chapiteau mais aussi à l’intérieur.
Des commerciaux et des animateurs seront présents afin de présenter et de vulgariser les produits et les différentes offres de Djezzy avec une possibilité de souscrire à une offre sur place. Un accès 3G sera également offert aux présents afin de partager leurs émotions sur les réseaux sociaux.
De son côté, Oppo présentera l’ensemble de sa gamme de smartphones dans des espaces dédiés à l’occasion. La marque chinoise compte faire connaître ses modèles à l’occasion de cet événement qui va drainer des milliers de jeunes.
Les prix d’entrée varieront entre 1 000 et 2 000.
Si pour les particuliers la robotique n’est disponible que depuis peu de temps, cette technologie est utilisée depuis longtemps dans le secteur militaire, de l’automobile et de l’aéronautique. Plus récemment encore, on a pensé aux drones, capables de transporter et de livrer toutes sortes de paquets.
Le plus intéressant reste la prochaine étape : les humanoïdes. Dotés d’une intelligence artificielle, ils peuvent se déplacer en toute autonomie, parler et prendre des décisions. C’est cette dernière version qui intéresse particulièrement les professionnels du tourisme, puisqu’elle permet de nombreuses applications dans ce secteur.
Dans le cadre de ses activités de recherche et d’ouverture sur son environnement économique, la faculté de mathématiques de l’USTHB a organisé le 4 juin 2016 à la salle des conférences de la faculté de mathématiques (bloc B), une journée sur la robotique dans le tourisme sous le thème « la robotique dans le tourisme ».
Au même titre que l’e-tourisme, il faudra bientôt compter sur le r-tourisme, qui désigne la robotique appliquée au tourisme. Un marché qui a de l’avenir, puisque des études estiment que la robotique de service représentera un marché de plus de 100 milliards d’euros d’ici à 2020.
On estime également que les premiers robots de service seront disponibles dans 5 ans seulement. Il est donc grand temps pour les professionnels du tourisme de commencer à amorcer les changements nécessaires à cette révolution.
Les robots répondent aux nouvelles exigences des voyageurs : rapidité et qualité doivent être les maîtres mots des professionnels du tourisme. Devancer les besoins des clients ? Lui préparer un séjour entièrement personnalisé et qualitatif ?
Ce sera bientôt possible avec les humanoïdes, puisqu’ils sont adaptables à un bon nombre de services : de la réception au coach sportif, en passant par le serveur, le porteur de bagages, le majordome ou le guide touristique, les applications sont nombreuses afin d’améliorer la qualité, mais également élargir la palette des services que vous pouvez proposer.
Cette manifestation a vu la participation de l’Association francophone des experts et scientifiques du tourisme (AFEST) sur une thématique qui a inspiré les quelques experts internationaux venus s’exprimer sur le sujet.
Alors, la robotique a-t-elle réellement un avenir dans le tourisme ? Se sont associés également à l’organisation de cette journée : l’Institut des hautes études (Tunisie), l’Ecole nationale polytechnique, le Conseil national des assurances du ministère des Finances, le Laboratoire de recherche modélisation stochastique traitement des données (MSTD), le Laboratoire de recherche des systèmes électriques et industriels (USTHB), le Laboratoire de géomorphologie et géo risques (USTHB).
Une conférence plénière ayant eu pour thème : « Les enjeux et perspectives du développement de la robotique en Algérie » a été donnée par le Dr. Patrick Viceriat, président de l’AFEST et directeur expert tourisme du groupe Artelia, et cofondateur du think-tank Think Robotics.
Une table ronde a été également animée par le Dr. Abderahman Belgat, expert international en tourisme, ainsi que des communications données par des enseignants chercheurs, tels que le Pr Kamel Boukhetala (USTHB), le Dr. Rezzaz Mohamed Abdessamad, le Pr Guettouche Mohamed Saïd, le Pr Boudour Mohamed et le Dr. Bensadek Cherifa, Ecole du tourisme/ministère du Tourisme.
Des robots… dans les hôtels, dans les musées…
Les humanoïdes sont donc en bonne voie pour nous assister au quotidien lors de nos vacances. Performants et doués d’initiative, ils vont pouvoir améliorer la qualité des prestations touristiques et proposer un service véritablement personnalisé au vacancier : le robot sera bientôt un atout majeur dans le secteur du Tourisme.
Comme toutes les grandes révolutions technologiques, il donc est important que les professionnels du Tourisme se préparent à cette évolution qui leur permettra d’aller plus loin dans leur relation avec le client. Attention ! Il ne s’agit pas de voir les robots comme une solution de remplacement de vos salariés, la relation humaine restant un aspect important pour les vacanciers, mais de considérer plutôt les humanoïdes comme une force pour aller plus loin dans le service à la personne.
Dans les années à venir, la robotique devrait entraîner deux grands mouvements dans le tourisme, l’un concernant l’automatisation des services existants, et l’autre la création de nouveaux services.
Les personnes souffrant de maladies chroniques doivent éviter le changement des horaires de prise de leurs médicaments durant le mois sacré de Ramadhan, ont insisté des médecins et psychologues de santé publique.
« Plusieurs malades chroniques atteints notamment de diabète ou d’hypertension artérielle insistent à observer le jeûne et prennent tous leurs médicaments entre le F’tour et le S’hour. Il s’agit d’un comportement à haut risque sur leur santé et à même d’aggraver leurs maladies », a souligné à l’APS le Dr Naceur Abderraaouf, vice-président de la société de médecine de famille de la wilaya de Blida, lors d’une journée de sensibilisation sur le carême et les maladies chroniques, tenue au centre d’information territoriale de la Première région militaire.
Pour lui, l’avis du médecin traitant est indispensable concernant la possibilité du jeûne pour les malades chroniques. « Il y a malheureusement des malades qui s’entêtent à jeûner, alors que leur état de santé ne le permet pas. La prise de grandes quantités de médicaments en l’espace de 7 heures entre le F’tour et le S’hour peut même conduire au décès », a-t-il expliqué devant des dizaines de malades chroniques présents à la salle
Il a jouté que d’autres catégories de malades, comme ceux ayant des ulcères d’estomac, les grossesses à risque, les maladies cardiovasculaires etc, qui nécessitent l’aval du médecin traitant pour observer le carême ou pas.« Nos établissements de santé publique sont souvent pris d’assaut par des centaines de personnes juste après le F’tour, en raison de l’inconscience des malades et leur entêtement à jeûner coûte que coûte. Il faut en finir avec ces attitudes nocives, car même notre religion n’oblige pas ces catégories de personnes à observer le jeûne », a-t-il encore lancé.
De son côté, le psychologue de santé publique, Abdelkader Lazreg a mis l’accent lors de son intervention sur l’accompagnement familial des malades chroniques par rapport au jeûne.
« Les parents et proches doivent adopter une attitude positive vis-à-vis des malades, en leur conseillant d’adopter une hygiène alimentaire ou carrément de ne pas jeûner. Au lieu de restriction ou de privation alimentaire, il faut utiliser plutôt les termes hygiène alimentaire ou préservation de la santé », a-t-il expliqué.
Pour lui, la mise à l’écart des malades chroniques lors du f’tour, observé généralement en famille, peut même les pousser à jeûner, eux aussi, rien que pour ne pas rater ce rendez-vous familial par excellence. « L’aspect psychologique est de grande importance dans la manière de convaincre les concernés à ne pas jeûner ou à choisir certains types d’aliments compatibles avec leur état de santé », a-t-il encore indiqué.
Le directeur de la santé et de la population de la wilaya, Ahmed Djemai, a , pour sa part, assuré de la disponibilité des unités de soins publiques lors du mois sacré pour faire face à tout éventuel malaise chez les citoyens.
Il a, toutefois, affirmé que les établissements de santé de proximité effectuent un « grand travail de sensibilisation » sur le jeûne et les malades chroniques.
« Nos personnels sont à pied d’œuvre, car nous ne voulons que le mois de Ramadhan soit synonyme d’une période d’aggravation des cas de maladie ou de décès », a-t-il indiqué, à cet effet.
Le Ramadan commence ce lundi 6 juin. Pendant un mois, la grande majorité des musulmans du monde vont jeûner du lever du soleil jusqu’au coucher. Ce mois sacré, l’un des cinq piliers de l’Islam, est aussi l’occasion de cuisiner et de manger en famille tous les soirs.
La rupture du jeûne, iftar en arabe, est un moment fort de la journée où toute la famille se retrouve pour manger les mets préparés pendant la journée. Cette tradition n’est pas seulement un bon moment, c’est aussi une excellente habitude qui a montré ses bénéfices sur la santé et le bien-être de tous.
Les enfants qui aident en cuisine mangent mieux que les autres
Selon une étude menée sur des élèves de 151 écoles de la province de l’Alberta au Canada, plus les enfants sont actifs en cuisine pour aider leurs parents, meilleure est leur alimentation. Les conclusions de cette étude ont été publiées en juin 2012.
Les élèves étaient amenés à répondre à des tests sur la nourriture qu’ils aimaient et qu’ils mangeaient et leurs habitudes en cuisine. Un tiers d’entre eux ont assuré aider leurs parents à cuisiner au moins une fois par jour, un autre tiers, trois fois par semaine, un quart, une fois par mois et 12,4% évitaient complètement la cuisine.
Les enfants qui aidaient en cuisine aimaient les fruits et les légumes. Certains, fait assez rare pour être souligné, préfèraient même les légumes aux fruits. Ces mêmes enfants étaient aussi plus au courant de ce qu’était une bonne alimentation. Selon les chercheurs, intéresser les enfants à la cuisine peut être fait à la maison mais aussi à l’école.
Un repas en famille par jour, un bon rempart contre l’ob
Lors des repas en famille, la place laissée aux fruits, aux légumes, au calcium et aux céréales complètes est généralement plus importante. En cela, ils constituent un bon rempart contre l’obésité.
Selon une étude publiée en 2014, des chercheurs ont étudié si les repas en famille pouvaient prémunir les futurs adultes de la prise de poids et de l’obésité. Leurs conclusions sont très encourageantes. Les chercheurs ont suivi pendant dix ans 2287 élèves parmi lesquels 51% étaient en surpoids et 22%, obèses. Les enfants qui ne dînaient jamais avec leurs parents étaient pour 60% en surpoids et obèses pour 29% à la fin de la décade.
Par ailleurs, il a été montré que les personnes qui cuisinent souvent chez eux mangent mieux et consomment moins de calories que les autres, même quand ces derniers cherchent à perdre du poids. Voilà la conclusion d’une étude qui a suivi les habitudes alimentaires de 9000 personnes à partir des données récoltées entre 2007 et 2010. Les participants étaient âgés d’au moins 20 ans. 8% des adultes cuisinaient un repas ou moins par semaine consommaient en moyenne 2301 calories par jour, 84g de lipides et 135g de sucre. 46% des personnes interrogées cuisinaient 6 à 7 fois par semaine et consommaient 2164 calories, 81g de lipides et 119g de sucre en moyenne par jour.
Plus les dîners en famille sont fréquents, plus les adolescents sont bien dans leur peau
Les dîners en famille ne sont peut-être pas les moments que les ados préfèrent, ils ont pourtant des conséquences positives sur leur santé mentale. Et cela vaut même si le dialogue entre enfants et parents n’est pas facile.
Des chercheurs en psychologie se sont intéressés à la relation entre la fréquence des dîners en famille et le bien-être des adolescents. Les dîners en famille fréquents sont liés à moins de problèmes comportementaux et émotionnels, plus de confiance en soi et une plus grande satisfaction dans la vie des adolescents. Leur étude a suivi plus de 26.000 adolescents canadiens âgés de 11 à 15 ans en 2013. Le sexe, l’âge ou le niveau de vie de la famille ne change en rien ce constat.
Une étude menée aux États-Unis sur 18.834 adolescents âgés de 12 à 18 ans a mesuré le taux d’anxiété, de dépression, d’automutilation, de pensées suicidaires, de tentatives de suicide, de bagarre et de vandalisme chez ces jeunes ainsi que leur consommation d’alcool et de drogue.
19% des adolescents interrogés se sont dits victimes de cyber-harcèlement pendant les douze derriers mois. Les chercheurs ont alors remarqué que les dîners en famille pouvaient être une composante bénéfique pour les adolescents dans ce cas-là. Lorsque, l’adolescent disait dîner en famille quatre fois par semaine, il avait beaucoup moins de chance de subir ce type de harcèlement.
Les repas en famille, c’est à partir de deux personnes
La plupart des études publiées sur les repas en famille s’intéressent à l’impact du repas en famille sur les enfants. Une étude publiée en 2014 s’est pour une fois intéressée aux conséquences positives de ce moment sur les adultes sans enfant.
Les chercheurs ont analysé le mode de vie de 14.000 adultes américains qui vivaient en couple ou avec des membres de leur famille adultes. Alors que les chercheurs s’attendaient à trouver un fort taux de dîners pris à l’extérieur, la plupart de ces adultes, représentatifs de la population américaine, se montraient au contraire très attachés aux repas en famille chez soi.
Rassurez-vous donc si après la lecture de cet article vous commencez à culpabiliser de vouloir éviter au maximum les repas en famille! Évidemment, les repas en famille peuvent aussi être une source de stress entre le petit dernier qui ne veut plus manger, la vieil oncle qui parle trop et la sœur qui monopolise toute l’attention. Un repas en famille, cela commence à partir de deux personnes autour de la table.
Le P-dg d’Air Algérie, Mohamed Abdou Bouderballa, nous révéla que la compagnie nationale aérienne va se lancer dans la construction d’un nouveau siège social, sur une assiette de 12 hectares, sis au quartier des affaires à Bab Ezzouar à Alger.
Ce contrat a été décroché par la société canadienne SMI en 2010, d’un montant de plus de 80 millions d’euros, il y a cinq ans et il ne reste à la compagnie nationale que 5 mois pour se conformer aux normes internationales, en matière de sièges sociaux, imposées par les organisations internationales de navigation aérienne.
Il nous précisa qu’il est entré dans une course contre la montre pour terminer le nouveau siège d’Air Algérie, qui n’est pas loindu lieu précédemment choisi, et selon ses estimations, il sera prêt dans cinq mois au plus.
Ce retard est dû à un litige, lié à des problèmes administratifs, entre les deux parties, qui est passé en séance d’arbitrage devant la Chambre de commerce international (CCI) à Paris où la société canadienne avait introduit une requête devant la CCI en avril 2013, après avoir décroché le contrat du temps de Wahid Bouabdallah en 2010 et obtenu l’ODS en 2011.
La biographie d’un pied-noir a révélé comment ses compatriotes ont pu amasser des fortunes colossales en Algérie en spoliant les Algériens durant la colonisation et comment maintenant ils actionnent la justice pour expulser ces mêmes Algériens de leurs biens après l’indépendance.
Il s’agit d’Antoine-Fréderic Altairac qui est né en 1821 à Alais dans le Gard, au Sud de la France, il n’est qu’un simple ouvrier tailleur de 24 ans lorsqu’il s’établit à Alger en 1843. Il parvient à rassembler un petit capital avec lequel il fonde un atelier de fabrication de vêtements du côté du Champs-de-Manœuvre (actuellement 1er Mai) dès 1860.
En 1869, il réussit à obtenir la commande régulière de fournitures militaires pour 10 000 soldats pour le compte de l’Armée d’Afrique d’Algérie et se lance alors dans la fabrication des ceintures, guêtres et souliers pour les troupes coloniales et fournit également des mules pour le transport de matériel.
Ses affaires ne cessèrent de prospérer et ses ateliers employaient plus de 800 ouvriers en 1877 où il inaugure une série d’ateliers dans le cœur de la capitale (actuellement rue Abane-Ramadane), haut lieu de la confection à Alger. Il acquiert également un grand terrain de 330 hectares à Maison-Carrée (El Harrach) en 1878 et y installe une importante plantation ainsi qu’une industrie dès 1882.
Élu représentant de la colonie de Maison-Carrée au Conseil Général d’Alger, Antoine-Fréderic Altairac meurt en 1887 en laissant deux fils, Fréderic et Louis.
Fréderic, l’aîné, né en 1852 à Alger, élu conseiller municipal à Maison-Carrée en 1884, il démissionne du poste à la mort de son père en 1887 afin de pouvoir lui succéder comme Conseiller général, rôle qu’il occupera jusqu’à sa mort. Il fut par ailleurs maire d’Alger de 1902 à 1908, puis maire de Maison-Carrée de 1912 à 1916. Décède en 1917.
Louis, né en 1885, il fut élu aux Délégations financières de l’Algérie et décède en 1909.
Lorsque Frédéric Altairac est mort, il a été remplacé par son fils aîné George (1888-1956) dans la gestion des entreprises familiales, qui comprennent des usines de fabrication de produits rouges (briques et tuiles) à El Harrach et Boumerdès. Ce dernier était juge au tribunal du commerce d’Alger et Conseiller général à Maison-Carrée. Il se maintiendra en poste jusqu’en 1937 et sera aussi élu maire de la ville en 1929. Pour ce qui est des usines de Maison-Carrée et les autres affaires de la famille Altairac, il en confia la gestion, dès 1936, à son frère Frédéric (1893-1961) et à son propre fils René (né à Maison-Carrée en 1912).
Les biens de la famille Altairac ont été nationalisés en 1963 par l’Etat algérien souverain ainsi que les biens d’autres familles coloniales qui ont sucé le sang des Algériens durant 132 ans.
Les principaux accusés dans l’affaire de la fuite des sujets à l’examen du baccalauréat font face à de lourdes charges.
En effet, ils sont accusés de divulgation de secrets d’Etat et d’agissement contre la sécurité nationale, ce qui peut entraîner une condamnation d’au moins 15 ans d’emprisonnement.
Selon nos sources, le ministre de la Justice et garde des Sceaux a été instruit par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, d’ordonner aux procureurs de la République, territorialement compétents, d’appliquer la loi avec sévérité contre les personnes impliquées dans la fuite des sujets du Bac de 2016.
Et partant, la qualification des charges sont assez lourdes contre ces principaux accusés, car la divulgation de secrets d’Etat et nuire à ses intérêts ne concernent que les militaires qui ont failli à leur devoir en intelligence avec une puissance étrangère ou les hauts cadres de la nation au sommet de la pyramide de l’Etat.
Dans ce contexte, l’avocat Boujemaâ Ghachir, nous précisa que cette lourde charge ne concerne que deux personnes, des cadres de l’Office national des examens et concours (Onec), qui sont accusés dans ce scandale des fuites des sujets du Bac.
Toujours selon nos sources, la section de recherche de la Gendarmerie nationale, chargée de l’enquête de ces fuites, a pu identifier plusieurs autres responsables de l’Onec impliqués dans les wilayas d’Alger, Boumerdès, Tipasa, Sétif et dans certaines directions de l’éducation, notamment à Alger, ce qui porte le chiffre de 120 personnes qui ont été identifiées grâce à leur IP.
Le ministère de l’Education nationale a dévoilé, lundi, le calendrier des épreuves du baccalauréat partiel session juin 2016 sur son site électronique.
Dans le même document sont précisées les filières et les matières concernées par ce bac partiel auquel prendront part quelque 38 % des 818.518 candidats.
Le calendrier se présente comme suit:
Dimanche 19 juin 2016:
*9h00 – 12h30 Histoire-géographie (sciences expérimentales-mathématiques-maths-technique-langues étrangères).
*13h30 – 16h00: Anglais (sciences expérimentales-mathématiques-maths-technique- gestion-économie)
Lundi 20 juin 2016:
*9h00 -12h30 Mathématiques (sciences expérimentales)
* 9h00 -12h 30 Histoire-géographie (gestion-économie)
Mardi 21 juin 2016:
* 9h00- 12h 30 Philosophie (sciences expérimentales-mathématiques-maths-techniques-
gestion-économie)
*13h30 -16h00 Français (sciences expérimentales-mathématiques-maths-technique-
gestion-économie)
Mercredi 22 juin 2016:
*9h00- 13h 30 Sciences naturelles (sciences expérimentales)
Jeudi 23 juin 2016:
* 9h00- 12h 30 Physique (sciences expérimentales).
La chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, a demandé lundi à l’ONU d’autoriser l’opération navale européenne au large de la Libye à contrôler l’embargo sur les armes imposé à ce pays, ont rapporté des médias.
S’exprimant devant le Conseil de sécurité, elle a exhorté le Conseil à adopter une résolution – actuellement en discussion – « autorisant l’opération Sophia à appliquer l’embargo de l’ONU sur les armes en haute mer au large de la Libye ».
« J’espère que ce Conseil fera une nouvelle fois le bon choix » en adoptant ce texte qui va étendre le mandat de l’opération navale européenne Sophia, a-t-elle ajouté.
Selon des diplomates, un projet de résolution en ce sens, mis au point notamment par la France et le Royaume-Uni, a été distribué aux 15 pays membres du Conseil qui vont commencer à en débattre dans les prochains jours.
Quand ce texte sera adopté, les bâtiments de guerre européens pourront alors intercepter en haute mer les navires qu’ils soupçonnent de transporter des armes vers la Libye, sans avoir à demander l’autorisation des pays dont ces navires battent pavillon.
La plupart des armes entrant en Libye ne vont pas au gouvernement légitime mais à son rival ou à des groupes armés.
Pour l’instant, l’opération européenne se limite à la haute mer. L’étendre aux eaux territoriales libyennes nécessiterait l’accord des autorités libyennes.
L’ambassadeur russe Vitali Tchourkine a indiqué à des journalistes que son pays « n’était pas opposé » au projet de résolution mais qu’il « avait des préoccupations ».
Moscou souhaite en particulier s’assurer que l’ONU ne puisse pas être accusée de « prendre parti pour un camp ou l’autre » en Libye.
« La priorité numéro un est de mettre en place des autorités adéquates en Libye », a-t-il estimé. Il a souligné à ce propos que le nouveau gouvernement d’union nationale, qui étend peu à peu son autorité sur le pays, n’avait toujours pas reçu l’aval formel du Parlement.
La députée palestinienne Khalida Jarrar a été libérée ce vendredi 3 juin. Emprisonnée pendant plus d’un an par les autorités d’occupation israélienne pour avoir notamment refusé de se conformer à sa décision d’expulsion de Ramallah vers Jéricho, elle a été accueillie par de nombreux palestinien au check-point de Jubara, à côté de Tulkarem dans le nord de la Cisjordanie.
Le premier a être venu à sa rencontre a été le député arabe-israélien Ayman Odeh, à la tête depuis plusieurs mois de la mobilisation en faveur de la parlementaire.
Arrêtée en avril 2015, Khalida Jarrar a finalement été condamnée à la fin de l’année dernière pour « incitation à la violence et au terrorisme » par la justice militaire israélienne. Une accusation réfutée tout le temps par la députée de 53 ans. Plusieurs organisations de défense des droits de l’homme ainsi que des partis politiques européens avaient réclamé sa sortie de prison.
La parlementaire, membre du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a toujours plaidé non coupable mais la justice militaire israélienne assure que son appartenance à ce parti, considéré comme une organisation terroriste par l’occupant israélien, l’avait condamnée à une peine de 15 mois de prison. Un emprisonnement qui avait largement mobilisé l’opinion publique palestinienne.
La justice israélienne a finalement décidé de sa libération anticipée arguant que les prisons israéliennes sont pleines. Selon l’organisation de soutien aux prisonniers Addameer, 7 000 palestiniens sont actuellement derrière les barreaux. Ils n’ont jamais été aussi nombreux depuis la fin de la deuxième intifada au milieu des années 2000.
Environs 16 contrats de partenariat ont été signés entre plusieurs entreprises algériennes et leurs homologues africaines durant le Salon Djazaîr-export 2016 organisé par l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex) à l’occasion de la 49 e éditons de la Foire internationale d’Alger (FIA 5016).
Le directeur général de l’Algex, Toufik Chetti affirme être très satisfait des résultats de ce Salon, « très important pour l’économie nationale ». « Nous avons tracé trois objectifs pour ce Salon. Il s’agit entre autre de mettre en œuvre les dernières décisions du gouvernement qui visent à la fois de diversifier l’économie nationale et développer les exportations hors hydrocarbures, sensibiliser, encourager et accompagner les entreprises nationales à exporter et en fin mettre les producteurs nationaux en contact avec les hommes d’affaires africains venus spécialement pour cet événement. «Ce que je peux dire, c’est que nous avons atteint nos 3 objectifs », a estimé M. Chetti qui rappellera que 14 contrats ont été signés dimanche passé tandis que le dernier a été signé ce jeudi lors de la clôture du salon. La Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), souligne M. Chetti, a accompagné Algex avec 280 000 dollars, soit 3 milliards de centimes pour prendre en charge le déplacement de 80 hommes d’affaires africains issus de 10 pays vers l’Algérie.
Les entreprises nationales s’intéressent au marché africain
Lors de notre virée au Salon de Djazaîr-Export 2016, nous avons constaté la présence de plusieurs entreprises qui ambitionnent de faire porter leur produits au-delà des frontières nationales. C’est le cas de l’entreprise « ZTMAM PLAST SARL » spécialisée dans la fabrication de matières plastique, articles de ménage et similaires et aussi des matières en plastique de base soit la transformation qui a signé jeudi un accord avec l’entreprise Magyuy Trade Center spécialisée dans l’import-export.
« Actuellement nous satisfaisons environs 40% des besoins du marché national en matière d’articles ménagers en plastique, et nous avons décidé d’aller vers l’exportation », nous a indiqué le directeur général de « ZTMAM-Plast », Zitoun Terki Mounir qui précisera que son entreprise avait signé il y a deux semaine deux contrats avec des Maltais. L’un, précise-t-il, concerne l’exportation des articles ménagers en plastique vers Malte et le deuxième concerne la création d’une usine mixte pour la production des citernes en plastique dépassant les 5000 litres.
Pour sa part, Marguerite Tchuiente Wandji, directrice générale de « Magyuy Trade Center » indique qu’elle était invitée par la BADEA pour assister à ce Salon organisé par Algex. Ainsi, souligne-t-elle, j’ai signé un contrat d’importation des articles ménagers en plastique fournis par notre partenaire ZTMAM-Plast. Nous allons entamer le travail sérieux dès la fin du mois de Ramadhan, a-t-elle indiqué.
Pour l’entreprise LABOREF, productrice national d’émulsions et d’arômes depuis trente ans, détient une bonne partie du marché national. « Nous envisageons d’exporter nos produits vers les marchés ivoirien et Libanais », a indiqué Ali Hasnaou, responsable commercial de Laboref avant de rappeler que son laboratoire avait entamé les opérations d’exportation vers la Tunisie et la France. Mais cela (l’exportation) demeure encore très minime, selon notre interlocuteur.
Quant à elle, l’entreprise Ceram colle spécialisée dans la fabrication des produits en ciment, de colles, de joints d’étanchéité et enduits en mastics destinés à la construction ambitionne également d’investir les marchés extérieurs notamment celui de la Côté d’Ivoire.
Il est à signaler que des dizaines d’entreprises que nous avons rencontrées lors de ce Salon ont été approchées par « Algerian For Events and Export Er Rowed (AFEEE) », une société algérienne de service à l’export de biens et services, présente en Côte d’Ivoire via la maison algéro-ivoirienne de commerce (MAIC) depuis plus de 6 mois, dont plus de 35 d’êtres elles ont déjà signé des conventions pour présenter leur produit sur le marché ivoirien. AFEEE, créée en 2014, a fait un travail de proximité et de sensibilisation auprès des entreprises algérienne pour les inciter à participer à la promotion des opérations d’exportation vers les marchés africains, notamment ceux de la Côte d’Ivoire et de la région de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest(CEDEAO).
Des éléments de la gendarmerie nationale ont bouclé, vendredi, les locaux de l’Office National des Examens et Concours (ONEC) alors que le personnel présent ainsi que des enseignants ont été interdits de quitter les lieux.
Selon Ennahar Tvqui révèle l’information, les gendarmes sont intervenus dans le cadre de l’enquête sur les fuites de sujets
Les emprunts traditionnels étant désormais limités par la baisse des recettes issues des hydrocarbures, les autorités publiques redoublent d’efforts pour développer les marchés de capitaux algériens. En encourageant les cotations sur les marchés de la dette ainsi que des actions, les autorités cherchent à soulager la pression qui pèse sur le Trésor et à créer de nouveaux débouchés d’investissement pour les institutions financières.
« Le Trésor et l’État n’ont plus les moyens de financer les projets de développement à la même hauteur que ces dernières années, avec pour conséquence une redistribution des canaux de financement et un besoin de développement des marchés financiers », a déclaré à OBG Abdelhakim Berrah, président de la Commission d’Organisation et de Surveillance des Opérations de Bourse en Algérie (COSOB).Étant donné le faible volume des échanges, et le nombre relativement bas d’investisseurs, les liquidités ont été historiquement un obstacle au développement de ces marchés. Néanmoins, les autorités entendent rétorquer en misant sur la privatisation d’entreprises publiques et sur les cotations dans le secteur privé.
Potentiel de croissance
La petite Bourse d’Alger, qui est opérationnelle depuis 1999, ne compte que cinq valeurs cotées, offrant ainsi un formidable potentiel. Des frémissements ont d’ailleurs été observés au cours des derniers mois, la capitalisation boursière enregistrant une croissance de 8% en 2015 avec une clôture à 16 milliards de dinars (129,2 millions d’euros), contre 14,8 milliards de dinars (119,5 millions d’euros) à la fin 2014.
Cependant, la totalité de cette capitalisation boursière équivalait à moins de 1% du produit intérieur brut (PIB) en 2014, contre 62,7% au Maroc et 21 7% en Tunisie. La marge de croissance est donc très significative.
Le mois dernier, le groupe pharmaceutique algérien privé Biopharm a pour la première fois été introduit en Bourse, avec à la clé une levée de 6 millions de dollars dès la première semaine. Les parties prenantes ont souligné que les résultats financiers de Biopharm ainsi que son activité dans le secteur de la santé, promis à une croissance future du fait du vieillissement démographique, constituaient un potentiel d’attraction d’investissements supplémentaires.
La place boursière compte également SAIDAL parmi ses cotations, fabricant pharmaceutique détenu majoritairement par l’État, l’Entreprise de Gestion Hôtelière Chaine EL AURASSI (partiellement détenue par l’État), et les acteurs privés Alliance Assurances et Nouvelle Conserverie Algérienne de Rouiba.
Privatisation partielle
Au vu de l’envergure et de l’échelle des entreprises publiques en Algérie, les entités publiques jouent bien entendu un rôle central dans les efforts déployés par le gouvernement pour accroître ses liquidités sur la place boursière, attirer de nouveaux investisseurs et stimuler les échanges d’actions existantes.
En vertu de la Loi de finances 2016, publiée fin 2015, les entreprises publiques sont autorisées à ouvrir jusqu’à 66% de leur capital social. Il convient néanmoins de préciser que seul l’actionnariat national résident y est éligible.
Les prises de position n’ont pas tardé. En effet, la Société des ciments Ain El Kebira (SCAEK) a lancé son introduction à la mi-mai, prévue pour clôture le 13 juin.
L’entreprise cherche ainsi à augmenter son capital de 33% grâce à la vente de près de 12 000 nouvelles actions, à répartir entre investisseurs institutionnels (37%) tels que des banques et des compagnies d’assurances, investisseurs particuliers (27%), personnes morales (25%) et salariés de l’entreprise (1%).
Entre Biopharm et SCAEK, la capitalisation boursière de la place d’Alger devrait être multipliée par six pour quasiment franchir la barre du milliard de dollars d’ici à la fin juin, selon la COSOB.
Quatre autres entreprises publiques sont également appelées à ouvrir leur capital social au cours des six prochains mois, faisant ainsi grimper le nombre total de cotations à 10, et la capitalisation boursière globale à 10 milliards de dollars selon les médias locaux.
Le Groupe public des ciments d’Algérie, qui est l’entreprise mère de SCAEK, envisage également la cotation de deux autres filiales. De leur côté, le Crédit populaire d’Algérie, Cosider Carrières et la Compagnie Algérienne d’Assurance et de Réassurance devraient elles aussi se lancer sur la place boursière d’ici à la fin de l’année, selon la presse.
Encourager les introductions en bourse
En dépit des évolutions récentes, la place boursière d’Alger continue de voir son développement se heurter à certaines difficultés, telles que le manque de sensibilisation aux avantages que présentent les investissements en capitaux propres, notamment sur le plan de l’introduction en Bourse.
Afin d’y remédier, la COSOB est sortie de son rôle traditionnel de réglementation pour promouvoir une meilleure compréhension du fonctionnement des marchés financiers, ainsi qu’une culture de l’investissement plus active.
Mais l’Algérie a également recours aux canaux habituels de réglementation pour faire bouger les lignes. La Loi de finances 2015 a permis le maintien d’une mesure entrée en vigueur l’année précédente en accordant une exonération fiscale aux entreprises proportionnelle à la part de leur capital social ouverte au marché, ainsi qu’une autre exonération fiscale sur les plus-values pour encourager les investisseurs.
Emprunts d’État
Le marché algérien de la dette n’est pas en reste, avec le grand retour des émissions obligataires lancées par le gouvernement en avril, chose qui n’était pas arrivée depuis des années. L’objectif : ouvrir de nouveaux débouchés de financement après la chute des recettes énergétiques qui, traditionnellement, représentent environ 60% des dépenses budgétaires. Le gouvernement avait été particulièrement actif sur ce terrain entre 2003 et 2010, et son retour va permettre de donner un nouvel élan au marché obligataire du pays.
Ces obligations seront assorties pour les échéances à trois ans d’un coupon de 5%, et de 5,75% à cinq ans, selon les médias. Dès la fin avril, toutes les obligations émises avaient trouvé preneur pour un montant total de 20 milliards de dinars (161,9 millions d’euros).
Selon Salah Khebri, ministre de l’Énergie, le gouvernement envisage également l’émission d’obligations pour aider au financement d’investissements ciblés dans le secteur de l’énergie.
« Nous aurons recours à l’émission d’obligations », a-t-il déclaré aux médias le mois dernier. Nous les consacrerons exclusivement à des investissements productifs dans le secteur de l’énergie », citant Sonelgaz et Sonatrach.
Le gouvernement a pris l’engagement de financer ces projets à hauteur de 75%, étant attendu que les filiales de Sonelgaz et Sonatrach couvrent les 25% restant.