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Updated: 2 months 2 weeks ago

Burkina Faso : Concertation sur la réconciliation nationale sur tout l'étendu du territoire du 26 juin au 31 juillet 2021

Wed, 14/07/2021 - 10:30

Populations du Burkina Faso !

Après la cérémonie de lancement à Ouahigouya, chaque commune, chaque arrondissement organisera sa propre concertation sur la réconciliation nationale dans la période du 26 juin au 31 juillet 2021.

Populations des villes et des campagnes !
Participez massivement à ces concertations communales.
Dites haut et fort, les conflits qui nous opposent, les conflits qui mettent à mal notre vivre-ensemble, et les solutions que vous proposez.

Renseignez-vous auprès de vos préfets de département, auprès de vos maires de commune et d'arrondissement, auprès de vos points focaux, vos Haut-commissaires de Province et vos Gouverneurs de Région.

Réconciliés, les Burkinabè seront plus unis et plus forts !

Ceci est un message du Ministère de la Réconciliation et de la Cohésion sociale

Categories: Afrique

American language center Bobo-Dioulasso : Cours intensifs pour les adultes

Wed, 14/07/2021 - 10:00

SESSION D'AOUT

Période de cours : du 2 au 24 août 2021

Inscriptions : 5 au 26 juillet
Test de classement : 27 juillet à 09H00

Jours et horaires de cours : du lundi au vendredi de 09h00 à 12h00
Volume horaire : 50 heures
Tarif promotionnel : 50 000 F CFA

Contacts : +226 55 10 96 06 / 58 58 05 09 / 53 13 38 56

Lieu : Université Aube Nouvelle, Bobo-Dioulasso/ Secteur 22/ non loin du CMA de Do

COURS INTENSIFS POUR LES ADULTES

SESSION D'AOUT POUR LES ADULTES

Période de cours : du 2 au 24 août 2021
Inscriptions : 5 au 26 juillet
Test de classement : 27 juillet à 18H00
Jours et horaires de cours : lundi au vendredi de 18h00 à 21h00
Volume horaire : 50 heures

Tarif promotionnel : 60 000 F CFA

LIEU ET CONTACT

Contacts : +226 55 10 96 06 / 53 13 38 56
Lieu : Université Aube Nouvelle, Bobo-Dioulasso/ Secteur 22/ non loin du CMA de Do

Categories: Afrique

Décès de SAWADOGO née SAWADOGO Kirsi : Remerciements

Wed, 14/07/2021 - 08:30

Les grandes familles SAWADOGO, OUEDRAOGO à Konéan, Tiwèga, Kaya, Boulsa, Ouagadougou, Sapouy, Yako, Ouahigouya, Bobo-Dioulasso Côte d'Ivoire et aux Etats-Unis d'Amérique.

Les familles alliées : OUEDRAOGO, YAMEOGO, KALKOUNDO, COMPAORE, GOUBA, JACOBSEN, TASSEMBEDO, SILVERE, BAMOGO, ILBOUDO, BIMBA, SAM, KIKIETA

Papa Antoine SAWADOGO et enfants :

Jérémie, Lydie Wendkouni, Zacharie, Daniel, Jean et Germaine

Papa Soumaïla à Konéan.
Etienne SAWADOGO et épouse, Ruth YAMEOGO et époux, Timothée SAWADOGO et époux, Elisabeth KALKOUMDO et époux, Marcel SAWADOGO et épouse.
Le Pasteur Michel OUEDRAOGO Président du Conseil Général des Assemblées de Dieu du Burkina Faso.

Le Pasteur Théodore SAWADOGO, Président du Conseil Régional des Assemblées de Dieu de Kaya
Le Chef de Tiwèga
Son Eminence le Cardinal Philippe OUEDRAOGO
Rasmané SAWADOGO, Pasteur principal de l'église des Assemblées de Dieu de Kougrin-Louda (Kaya),

Maman Esther Bamogo à Kaya

Très touchés par les marques de compassion, de solidarité et de sympathie, vous remercient très sincèrement pour vos soutiens multiformes lors du décès le 21 juin 2021 à Ouagadougou et de l'inhumation le 26 juin 2021 à Kaya, de leur bien aimée épouse, mère, grand-mère, arrière grand-mère, sœur, tante cousine et belle-mère,

Maman SAWADOGO née SAWADOGO Kirsi.

Ils remercient particulièrement

• Les autorités politiques, administratives, militaires, religieuses et coutumières des régions du Centre et du Centre Nord.
• Le Bureau Exécutif du Conseil National des Assemblées de Dieu du Burkina Faso
• Toutes les structures du Conseil National des Assemblées de Dieu du Burkina Faso
• Les Présidents régionaux et sous régionaux des Assemblées de Dieu du Burkina Faso

• La Fédération des Eglises et Missions Evangéliques - FEME
• Les Communautés protestante, Catholique et Musulmane du Burkina Faso
• Les Pasteurs et les fidèles de l'église d'Antenne-ville et de toutes ses annexes
• Les Pasteurs et les fidèles de l'église de Kougrin Louda (Kaya)
• Les Pasteurs et les fidèles des églises des Assemblées de Dieu de Centre Nord.
• Les Pasteurs et les fidèles des églises des Assemblées de Dieu du Burkina Faso
• Le Pasteur et les fidèles de Bethesda Evangelical International Church of New York

• L'Imprimerie des Assemblées de Dieu
• Les medias chrétiens évangéliques
• Les Opérateurs Economiques et Entrepreneurs chrétiens
• Les voisins du quartier Gounghin
• Le personnel soignant et administratif de la clinique Source de Vie de Ouagadougou
• La population de Kaya

Tous ceux qui de près ou de loin n'ont ménagé aucun effort pour soutenir la famille endeuillée durant cette dure épreuve.

Ils se réservent de citer des noms de peur d'en oublier.

Que le Dieu Tout Puissant vous le rende au centuple.

Et j'entendis du ciel une voix qui disait Ecris :
Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur ! Oui, dit l'Esprit, afin qu'ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent.
Apocalypse 14 -13

Categories: Afrique

Décès de TIENDREBEOGO PIERRE : Remerciements

Wed, 14/07/2021 - 08:30

La grande famille, TIENDREBEOGO, YAOGO, OUEDRAOGO, YERBANGA, BIRBA et ZONGO
la veuve MME TIENDREBEOGO/ROUAMBA ALINE
les enfants du défunt Rodrigue et Cédric

les frères et sœurs du défunt Mathieu, Cécile, Cyrille, Evariste
les familles alliées ROUAMBA, CONGO, ILBOUDO, SOUABOU, BARA, TASSEMBEDO, OUEDRAOGO, KATIEBOU, ILBOUDO, ZAGRE, TAPSOBA, GUIGUEMDE, NIKIEMA

Très touchés des nombreuses marques de sympathie et des soutiens multiformes dont ils ont bénéficiés lors du décès de leur fils, frère, époux, père, grand père, cousin, oncle, le colonel major TIENDREBEOGO PIERRE

; viennent par le présent communiqué remercier du fond du cœur tous ceux qui ont été à leurs côtés lors de cet évènement très douloureux !
Elle se réserve de citer des noms, de peur d'en oublier !
Puisse le seigneur vous rendre au centuple tous vos bienfaits !
Que par la miséricorde de Dieu, son serviteur TIENDREBEOGO PIERRE repose en paix !

Lire aussi Colonel-major Pierre Tiendrébéogo, premier DG de l'ONI : « Les exigences de la technique ne sont pas toujours en synergie avec les contraintes financières »

Categories: Afrique

Décès de Mme OUEDRAOGO née SALO Véronique : Remerciements et faire part

Wed, 14/07/2021 - 08:00

« Donne-lui, seigneur, le repos éternel ! Et que la lumière éternel brille sur elle »

Sa Majesté le NAABA GUIGUEMDE de Yako ;
Sa Majesté le NAABIGA KOAGA de Ouedkiongo ;

Les grandes familles OUEDRAOGO, SALOU, et YELKOUNI à Yako, Ouagadougou, Bobo-Dioulasso, Cote d'Ivoire, Benin, Ghana, France, Etats Unis,

Les familles alliées : KERE, NANA, LANKOANDE, KOUTIEBOU, MINOUNGOU, BADO
Le COMMANDANT OUEDRAOGO RAOGO DENIS à la retraite à Ouagadougou,
Les enfants Stanislas, Guy, Stéphane, Firmin, feu Olivier, Jeanne Armelle, Reine Pélagie, Amandine, Jean Yves, les conjoints, époux et épouses

Les petits enfants : Tatiana Véronique, Mairie Jeanne, Steve Carlos, Jessica Fabiola, Lionel Alban, Divine Graçias, Cyr Daniel, Benita, Hugo Daril, Emeraude, Dylan, Yohann

Très touchées par les nombreuses marques de compassion, de sympathie, de solidarité et de soutient spirituel, moral financier, matériel lors du décès le dimanche 27 juin 2021 et de l'inhumation le 29 juin 2021
De Mme OUEDRAOGO née SALO Véronique

Ces remerciements vont à l'endroit, des communautés coutumières et religieuses, des CCB de la coordination St Paul, le Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche Scientifique et de l'Innovation à travers la cellule de coordination du Comité Ministériel pour la Santé, les autorités militaires, les officiers, sous-officiers, les épouses des transmissions des forces de défenses et de Sécurités l'amicale des anciens enfants de troupe de Saint Louis, le Délégué Général du CNRST et son personnel, le Directeur de INERA et son personnel, la délégation du Centre de Yoga Ananda Marga Burkina, les frères des écoles chrétiennes, le personnel et anciens élèves du collège de la salle badeniya, la délégation de Itel Mobile Burkina, le personnel du Complexe Scolaire Sono, les parents, les voisins de quartier, les amis, les parents et amis et à l'étranger (France, Etats Unis, Italie, cote d'Ivoire, Sénégal, Ghana) et tous ceux dont les noms n'ont pu être cité. Que Dieu rende à chacun au centuple de ses bienfaits.

UNION DE PRIERE

PROGRAMME DES MESSE MOI DE JUILLET

Categories: Afrique

Décès de Bernadette ZONGO/ COMPAORE : Remerciements et faire part

Wed, 14/07/2021 - 08:00

Le NaabaSaaga de Dapelgo

Les grandes familles : ZONGO, COMPAORE, ILBOUDO, KOUANDA, KIEDGA, DAKOURE, à Ouagadougou, Bobo Dioulasso, Koudougou, Ziniaré, Londres et Paris ;

Les familles alliées et amies :OUEDRAOGO, TAPSOBA, SEYED, LANKOANDE, SEBGO, MARE, KABORE, KAMBOU, KYEMTORE, ZOUNDI, TIENDREBEOGO, KOALA, SORE, NIKIEMA, YAMEOGO, COMPAORE , KOMBOÏGO à Ouagadougou, BazouléKamboinsin, Bobo-Dioulasso, Londres, Paris, Ouahigouya, Gonbousgou

Mme OUEDRAOGO/ZONGO Hélène, à Bobo Dioulasso, ses enfants et petits-enfants,

remercient du fond du cœur tous ceux qui, de près ou de loin ont apporté un soutien moral, spirituel et financier lors des obsèques à Ouagadougou, de leur épouse, mère, tante, grand-mère et arrière-grand-mère,

Mme Bernadette ZONGO/ COMPAORE
Décédée à l'âge de 91 ans le 1er juillet 2021 et inhumée le 05 juillet 2021 à Ouagadougou

Ils remercient particulièrement SEM Le Président du Faso, Rock Marc Christian KABORE, son épouse et les membres du gouvernement, les nombreux parents amis et connaissances, les voisins du quartier Kalgodin, la CCB Saint Jean Samuel ; pour leur mobilisation lors de ce douloureux évènement.
Que Dieu bénisse et rende à chacun au centuple ses bienfaits.

Programme indicatif des messes :

Eglise St CAMILLE - Ouagadougou

Lundi 12 – Mercredi 14 – Vendredi 16- Lundi 19 Juillet 2021 : 05H 30
Dimanche 11 – Dimanche 18 Juillet 2021 : 06H30
Dimanche 11 - Dimanche 18 juillet 2021 : 09 H 00
Samedi 10 – Mardi 13 – Jeudi 15 – Samedi 17 – Mardi 20 Juillet 2021 : 18h 30

« Donne lui Seigneur, le repos éternel et que brille sur elle la lumière de ta face »

Union de prières

Categories: Afrique

Décès de maman Kaboré BASGA Marie Madeleine : Remerciements

Wed, 14/07/2021 - 08:00

Sa Majesté le Naaba SANEM de Zorgho ;
Sa Majesté le Naaba KOUTOU de Mogtédo ;
La grande famille KABORE à Zorgho, Mogtédo et à Ouagadougou ;
KABORE Louis à Ouagadougou ;
KABORE Daniel, Manegd Naaba à Ouagadougou ;

La grande famille BONKOUNGOU à Pinré-Tanghin, Mogtédo et à Ouagadougou ;
La Famille KONSEIGA à Ouagadougou et Saponé ;
L'Honorable Député COMPAORE Mady à Ouagadougou ;
Mr GUIGMA Joseph, Maire de la Commune Mogtedo ;
Les familles alliées, DIPAMA, OUEDRAOGO, SOURWEMBA, ZONA, TAPSOBA, ILBOUDO, DINGARA, NABOLLE, GUIRE, WENA, OUANGARAOUA et ZEMBA.

Les enfants :

● Mr BONKOUNGOU D. Adama Albert à Ouagadougou,
● Mr BONKOUNGOU S. Blaise à Mogtédo,
● Mme ILBOUDO / BONKOUNGOU Binta à Mogtédo,
● Professeur BONKOUNGOU P. Zambo à Ouagadougou
● Mr KONSEIGA Kayaba Nestor à Ouagadougou,
● Mme GUIRE/ KONSEIGA Honorine à Mogtédo,
● Mr KONSEIGA François Xavier à Ouagadougou,
● Mr OUANGARAOUA Lassané à Ouagadougou,
● Sœur ZEMBA Clémence à Dakar,
● Sœur OUEDRAOGO Claire à Ouagadougou.

Les petits enfants et arrière - petits enfants, leurs époux et épouses
Profondément touchés par les nombreuses marques de sympathie manifestées à leur égard lors de l'hospitalisation, du rappel à Dieu le Dimanche 27 juin 2021 et de l'inhumation le Vendredi 2 juillet 2021 à Mogtédo de leur sœur, épouse, mère, grand-mère, Arrière Grand - mère KABORE BASGA MARIE MADELEINE dans sa quatre-vingts - sixième année ;

Remercient du fond du cœur les parents, amis et connaissances pour leur forte mobilisation et expriment leur reconnaissance à tous pour leurs soutiens multiples et multiformes lors de cette douloureuse épreuve.

Leurs remerciements vont particulièrement,
A Monsieur le Curé et à toute la communauté catholique de la Paroisse Saints Pierre et Paul de Mogtédo ;
Au Père DIPAMA Dieudonné en Italie ;
A l'Abbé BELEMSEBGO Alexis à Baskouré ;
Au Révérend Pasteur Michel OUEDRAOGO, Président des Assemblées de Dieu du Burkina Faso ;
Au Pasteur principal et à la délégation de l'Eglise des Assemblées de Dieu JEHOVA-JIRE de Watinoma ;
Au Pasteur principal et à la délégation de l'Eglise des Assemblées de Dieu de Mogtédo ;

Au Pasteur KABORE Emmanuel, Directeur du Lycée Réveil et sa délégation ;
Au Pasteur Jacques Neya,
Au Pasteur OUEDRAOGO Roger de Bobo-Dioulasso et sa délégation ;
Au Pasteur SORE Kalapé de Tenkodogo et sa délégation ;
Au Pasteur KABORE Abel et sa délégation ;
A toute la communauté musulmane de Mogtédo ;
Au Chef de Kiedpalogo de Mogtédo, à tous les ministres du Chef de Mogtédo et leurs délégations ;
A l'Honorable BA Seydou et sa délégation ;
A monsieur le Directeur Général du CHU Yalgado OUEDRAOGO et à tout son personnel ;

Aux chefs et aux personnels des services de cardiologie, des urgences médicales, de la réanimation polyvalente, de l'imagerie médicale, de l'endoscopie, de la chirurgie générale et digestive du CHU Yalgado OUEDRAOGO ;
A monsieur le Président de l'Université Joseph Ki-Zerbo et son personnel ;
A monsieur le Directeur de l'UFR Sciences De la Santé et son personnel ;
A l'aumônerie catholique du CHU Yalgado OUEDRAOGO ;
A l'aumônerie protestante du CHU Yalgado OUEDRAOGO ;
Au Professeur OUEDRAOGO Nazinigouba, président de la Société d'Anesthésie Réanimation et de Médecine d'urgence du Burkina (SARMUB) et sa délégation (MAR et DESAR) ;
Au Professeur SANOU Joachim et famille ;
Au Docteur TOGUEYENI Yves de la Clinique RAMA ;
Au Docteur BAZIMO Louis, Maire de Réo ;
Au Docteur RAMDE François ;

A monsieur ZERBO Yacouba, Président de l'association des Attachés de santé en Anesthésie Réanimation du Burkina Faso (AASAR- BF) et sa Délégation ;
A la direction et au personnel du Centre médical Source de Vie ;
A la direction et au personnel de la Clinique Kombassé ;
A la direction et au personnel de la Clinique Saint Jeremie ;
A la direction et au personnel de la Polyclinique Nina ;
Aux délégations des Laboratoires pharmaceutiques ;
Au Docteur BONKOUNGOU Victor de la Pharmacie JoBer et famille ;
Aux Professeurs OUOBA Kampadilemba, THIEBA/BONANE Blandine, SAKANDE Jean, SAMADOULOUGOU André ;

Aux Professeurs LOUGUE/ SORGHO Claudine et KONSEM Tarcissus ;
Aux Professeurs BONKOUNGOU Gilbert et KIRAKOYA Brahima ;
Au Professeur OUANGRE Edgar et famille ;
A monsieur le Directeur de l'UFR / SDS de l'Université de Ouahigouya ;
Aux promotionnaires 1985-1994 de l'Ecole Supérieure des Sciences de la Santé (ESSSA) ;

A monsieur le fondateur et au corps enseignant du Lycée Privé Ouindinsongdé (LPO) ;

A Maître OUEDRAOGO Pascal et sa délégation ;
El Hadj BONKOUNGOU Hamado et Famille ;
A monsieur NARE Guibrina, PDG du Groupe SONAF BTP et famille ;
El Hadj MANDO Moctar, PDG du Groupe COGEB INTERNATIONAL et Famille ;
El Hadj SOUDRE Saïdou, PDG Entreprise EG2S / BTP ;

Aux sieurs KABORE Palingwendé Amos dit "Titan" et sa famille, KABORE Étienne et sa famille ; SAWADOGO Victor ; KABORE Jules ; NIKIEMA Robert, OUEDRAOGO Youssouf, YE Seïdou, DERRA Mahamadi, SANKARA Pelga, KABORÉ Salam dit "Vieux", SOUDRE Jean Noël, PASSERE Idrissa, OUEDRAOGO Joanny, KABORE Hamidou et Familles ; OUEDRAOGO Issaka à Ouagadougou, OUEDRAOGO Boureima à Mogtédo, OUEDRAOGO Moussa Adé Francis et sa délégation, KABORE Emmanuel dit "Blek" et Famille, KONKISRE Jean Marie à l'ASECNA Bobo-Dioulasso et Famille ; KABORE Rasmané, KABORE Augustin et Familles, BAMOGO Paul ;

Aux anciens Elèves du Collège Protestant de Ouagadougou ;
A la jeunesse de la Commune de Mogtédo et environnante ;
Aux amis, parents et ressortissants de Mogtédo résidant à Ouagadougou ;
Aux amis, parents et voisins des enfants à Tanghin, Watinoma, Bang-pooré à Ouagadougou ;

A toutes les délégations.

Que Dieu, le Tout Puissant et Miséricordieux, vous bénisse et vous rende au centuple vos bienfaits.

Categories: Afrique

Lutte contre le banditisme : Des présumés délinquants arrêtés en possession de deux crânes humains

Wed, 14/07/2021 - 01:54

Le Service régional de la Police judiciaire du Centre (SRPJ-C) a présenté ce mardi 13 juillet 2021, un réseau de malfrats spécialisés dans les vols à mains armées dans les domiciles, les bureaux de change, les boutiques mobiles money, les alimentations et les maquis. Le leader de ce réseau est un ex-militaire de 32 ans radiés des forces armées et plusieurs fois interpellé par la police.

Ce sont sept présumés délinquants âgés entre 26 et 42 ans qui ont été mis aux arrêts par le Service régional de la Police judiciaire (SRPJ-C). L'enquête ouverte suite à un vol à mains armées a permis de récupérer aux mains des « malfrats », deux crânes humains, un pistolet automatique de marque TISSAS, deux chargeurs de pistolet automatique dont un garni de douze munitions, un paquet de munitions contenant dix-huit cartouches de calibre 7, 65mm, cinq motocyclettes et la somme de 830 000 francs CFA.

Les présumés délinquants ont été présentés aux hommes de médias

Ces « malfrats », dont deux sont des repris de justice, explique le commissaire Sayibou Galbané, formaient un groupe bien organisé. Ils opéraient en trois cellules à savoir une cellule de renseignement, de détection et d'identification des cibles ; une cellule opérationnelle d'intervention, et une cellule d'approvisionnement en armes et munitions et d'écoulement des produits du vol.

Aussi, l'exploitation de fichiers audio de leurs téléphones portables a permis de savoir que le groupe s'adonnait également à des pratiques occultes. Ce qui explique la présence de crânes humains dans le butin saisi.

"Ces délinquants n'ont pas peur de Dieu", déplore le commissaire Sayibou Galbané

Le groupe a, à son compteur, plusieurs cas de vols à mains armées commis dans la ville de Ouagadougou et cela depuis 2019. Le dernier est celui de Sieur O.C, un entrepreneur de la place, agressé le 15 juin 2021 devant son domicile et dépossédé de la somme de huit millions de Francs CFA. Il dit également avoir reçu cinq balles à la poitrine et son petit-fils, une balle dans la cuisse. Les deux sont aujourd'hui hors de danger. Ce dernier confie ne pas avoir les mots pour remercier la police pour leur travail. « Même si je n'ai pas retrouvé la totalité de mon argent, je les remercie. La seule chose qui me chagrine est que mon petit-fils ait été touché par une balle ».

Le butin saisi

L'enquête se poursuit afin de retrouver les deux autres membres du réseau. Les sept mis aux arrêts seront conduits devant le Procureur du Faso près le Tribunal de Grande Instance de Ouaga 1. La police appelle la population à rester sur ses gardes. Elle l'invite également à signaler tout cas suspect aux numéros verts tels que le 17, le 16 et 1010.

Nado Ariane Paré (Stagiaire)
Lefaso.net

Categories: Afrique

Ecologie : Dramane Sanogo redonne une seconde vie aux pneus usagés au Burkina

Wed, 14/07/2021 - 01:40

Au Burkina Faso, les pneus usagés abondent à chaque coin de rue de Ouagadougou, ce qui constitue un danger pour l'environnement. Pour atténuer cette pollution, Dramane Sanogo s'est donné pour défi de valoriser les déchets pneumatiques.

C'est dans le quartier Pissy de la ville de Ouagadougou que Dramane Sanogo vit sa passion d'entrepreneur écologique. Diplômé en finance-comptabilité, ce trentenaire recycle depuis maintenant trois ans les pneus usagés dans une petite villa qui lui sert d'atelier. L'idée d'entreprendre dans ce domaine est née d'une passion. « L'écologie est très intéressante, assure-t-il. Et comme il y avait beaucoup de pneus usagés jetés un peu partout dans la ville de Ouagadougou, j'ai décidé de trouver une solution pour ce gisement de pneus qui existe. C'est pour cela que j'ai inventé une poubelle écologique. »

Il crée ainsi l'entreprise « Sinaly écolo express » avec pour objectif de valoriser les déchets pneumatiques et de promouvoir ses produits. Son rêve, à long terme, est de réduire la quantité de pneus usagés qui trainent dans la capitale.

En plus des poubelles, l'entreprise confectionne également des pots de fleurs, des pots de culture hors-sol et des salons avec les pneus. Elle compte au total cinq employés. « Nous employons aujourd'hui cinq personnes et j'en suis également une. L'entreprise est divisée en plusieurs ateliers. Il y a l'atelier des fauteuils, des pots de culture hors-sol, de montage de salons, etc. Moi je m'occupe de l'atelier des fauteuils », ajoute-t-il.

Arrive-t-il que Dramane Sanogo rencontre des difficultés à s'approvisionner en matières premières que sont les pneus ? Non, pas vraiment, répond-il en substance. « Ils sont une matière abondante et surtout qu'à chaque coin et recoin de la ville nous en trouvons », précise-t-il.

Des pneus triés près à être transformés

Une usine de broyage des déchets pneumatiques

A long terme, cet éco-entrepreneur souhaite mettre en place une usine de broyage des déchets pneumatiques pour en faire de la poudre. Cette poudre pourrait ensuite être utilisée dans la fabrication de pavés, de revêtements de sols et de toits… Il explique : « En traitant les pneus, nous produisons aussi des déchets et ces déchets également doivent être traités. C'est la raison pour laquelle j'envisage de mettre en place cette usine. »

Il souhaite également vulgariser un projet dénommé « la poubelle écologique publicitaire connectée. »

Hanifa KOUSSOUBE (Stagiaire)
Lefaso.net

Categories: Afrique

Réformes foncières au Burkina : Des associations de promoteurs immobiliers craignent une fermeture de leurs entreprises

Wed, 14/07/2021 - 01:35

Des associations de promoteurs immobiliers ont animé ce mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou, une conférence presse. L'objectif de cette rencontre avec les médias, était de dénoncer les réformes foncières entreprises par le gouvernement. C'est la modification de la loi 057-2008 portant promotion immobilière au Burkina Faso qui est pointée du doigt. Selon les conférenciers, elle sonne la fermeture de leurs entreprises.

Des associations de promoteurs immobiliers ne sont pas du tout d'accord avec les réformes annoncées du foncier. Elles l'ont fait savoir ce mardi 13 juillet 2021 au cours d'une conférence de presse. Le président de l'Association des promoteurs immobiliers, Roger Nikiema, a indiqué d'emblée que l'initiative de la réforme de la loi 057-2008 suscite des inquiétudes. Pour lui, la logique aurait voulu que l'administration se donne le temps de procéder à la révision conjointe des textes de lois afin d'éviter les risques de contrariétés et d'incohérences.

Les participants à la conférence de presse

« Malheureusement » à l'en croire, ils ont été conviés en urgence à un atelier de relecture de la loi du 31 mai au 5 juin 2021. Il a révélé que c'est au cours de cet atelier qu'ils ont pris connaissance de la première mouture de l'avant-projet de loi ainsi que les motifs qui justifient sa réforme. Selon Roger Nikiema, il s'agit de la vente des terrains nus, la non viabilisation des sites, l'accaparement du foncier rural et les délibérations irrégulières des conseils municipaux sur les superficies. Les promoteurs immobiliers disent avoir fait des observations qui n'ont pas été prises en compte.

En lieu et place, a constaté Roger Nikiema, le gouvernement a programmé le 15 juillet 2021, un atelier de validation de la reforme de la loi 057-2008. A cette rencontre, les promoteurs ont indiqué qu'ils n'y participeront pas. Pour cause, la réforme va fermer des entreprises. Selon Florentin Kafando, une fois adoptée, les promoteurs immobiliers ne pourront plus mobiliser la terre comme matière première. Ils ne pourront pas non plus vendre des terrains nus. Il a aussi ajouté que les promoteurs immobiliers sont exposés à une kyrielle de sanctions.

Le président de l'Association des promoteurs immobiliers, Roger Nikiema

En lieu et place des actions amorcées, les promoteurs immobiliers appellent à la concertation. Ils souhaitent que le gouvernement lève le pied sur leurs dossiers qui souffrent depuis trois à cinq ans. Ils ont assuré qu'ils ne sont pas des hors-la-loi. « Ils travaillent dans la légalité ». Les propriétaires terriens étaient également présents à la conférence de presse pour apporter leur soutien aux promoteurs immobiliers.

Dimitri OUEDRAOGO
Lefaso.net

Categories: Afrique

CHR de Koudougou : Couperet sur le chef de service des urgences médicales

Wed, 14/07/2021 - 01:30

Suite à sa visite inopinée, le dimanche, 11 juillet 2021, au Centre hospitalier régional (CHR) de Koudougou et au Centre médical avec antenne chirurgicale (CMA) de Réo, sortie au cours de laquelle, il dit avoir noté qu'aucun médecin n'etait sur place durant son passage, le ministre Charlemagne Ouédraogo est passé à des sanctions, dira-t-on.

En effet, par une note de service signée du mardi, 13 juillet 2021, le directeur général du CHR de Koudougou a relevé de ses fonctions, le Chef de service des urgences médicales, Abdoulaye Ouédraogo, médecin généraliste.

Une autre note, signée de la même journée, organise l'intérim, assuré par Wenceslas Norbert Djiguemdé, directeur des services médicaux et techniques du CHR.

Un acte qui suscite des commentaires contreversés, autant que la visite inopinée, présumée être à la base de cette décision.

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Abdoul Karim Sango, conseiller spécial du chef de l'Etat : « S'il ne fait pas bouger les lignes, ce sont les lignes qui vont le faire bouger »

Wed, 14/07/2021 - 01:30

Nommé en conseil des ministres le 7 juillet 2021 comme conseiller spécial du chef de l'Etat chargé des questions culturelles et des arts, l'ancien ministre en charge de la Culture, Abdoul Karim Sango, fait son come-back dans le milieu culturel. Pour certains acteurs culturels burkinabè, cette nomination est salutaire. Pour d'autres, c'est juste une « récompense politique ». Nous avons tendu notre micro à quelques acteurs culturels pour recueillir leurs avis.

Almamy KJ, artiste musicien : « Nous comprenons que le régime MPP reste sur sa logique de récompense d'une bande de copains »

« Nous avons appris cette nouvelle à travers la presse. En tout état de cause, nous ne faisons que constater cela. Il est vrai qu'il a été ministre de la Culture mais ce n'est pas cela qui fait de lui un averti des questions culturelles. Au ministère de la Culture, il y a des techniciens qui sont rompus à la tâche.

Nous comprenons que le régime MPP reste sur une logique de récompense d'une bande de copains. Et ce n'est pas nous seulement qui le disons. Le dernier rapport de l'Autorité supérieure de contrôle d'Etat et de lutte contre la corruption (ASCE-LC) a démontré clairement que le ministère de la Culture, sous la direction d'Abdoul Karim Sango, occupait la troisième position en matière d'irrégularités financières.

En plus, quand il dirigeait le ministère de la Culture, il n'y a eu aucune innovation culturelle, aucune vision. Le constat est clair, tous les acteurs et non acteurs ont suivi la direction du ministre de la culture. Ce n'est pas parce qu'il a dirigé le ministère de la Culture qu'il est forcément un avisé des questions culturelles. »

Almamy KJ, artiste musicien

Philomène Nanéma, humoriste : « Il est à sa place. Je suis sûre que les choses vont bouger »

« Personnellement, je suis contente de sa nomination parce que je l'ai beaucoup apprécié pour le travail abattu au niveau du ministère de la Culture. Quand j'ai appris la nouvelle, j'ai dit enfin !!! On va détruire la Maison du peuple pour bien faire. Parce qu'il va bien conseiller le président pour qu'il prenne des initiatives pour mettre les artistes à l'aise. Je suis sûre de cela, parce que monsieur Sango aime la culture, il l'a prouvé plusieurs fois.

Il aime le travail bien fait, il aime les artistes qui se battent, qui font du bon boulot. Le bon boulot va aussi avec le bon matériel, le standing, les salles de spectacles, avec tout ce qu'il faut. Monsieur Sango est bien placé, il est à sa place et je suis certaine que les choses vont bouger. Pour ce qui nous concerne, nous voulons une salle de spectacle qui répond aux normes internationales, où nous pouvons vraiment bien nous exprimer. J'espère qu'il va entendre cet appel. »

Philomène Nanéma, humoriste

Djonès, artiste comédien humouriste : « Il va faire bouger les lignes »

« Qu'est-ce que vous voulez que je dise par rapport à cette décision du Président du Faso ? Abdoul Karim Sango a fait un bon travail quand il était à la tête du ministère de la Culture. Il dit franchement les choses. Je préfère une personne qui dit franchement les choses qu'une personne qui les garde. Je sais que là-bas encore, il dira au président de changer celui qui ne fait pas du bon boulot ou du moins son travail. C'est une logique qui permet de travailler davantage.

La franchise et la rigueur de ce monsieur ont poussé certains artistes à repartir en studio retravailler leurs œuvres avant de les rendre publiques. Je lui tire mon chapeau, il faut que les gens nous disent la vérité pour qu'on puisse travailler. Je suis sûr qu'il va faire bouger les lignes, il a même obligation de résultats. Parce que s'il ne fait pas bouger les lignes, ce sont les lignes qui vont le faire bouger. Je pense qu'il a été nommé au regard de son travail. J'espère qu'il va travailler de façon collégiale avec l'actuel ministre de la Culture pour faire avancer les choses. »

Martin Zongo, administrateur du Carrefour international du théâtre de Ouagadougou (CITO) : « Cette nomination peut être bénéfique pour le milieu culturel de notre pays. »

« J'ai été agréablement surpris quand j'ai entendu la nouvelle. Le voir revenir dans le domaine de la culture et des arts nous fait plaisir parce qu'il a passé un certain temps à la tête du ministère en charge de la Culture. Il a eu l'occasion de connaitre les problèmes de la culture, des arts, de maitriser un peu le domaine culturel de notre pays. Même si c'est une dame qui le remplace à ce poste maintenant, le fait qu'il ait l'oreille du chef de l'Etat, pourrait lui permettre de jouer un rôle catalyseur tout simplement parce qu'il connait les préoccupations du monde de la culture et des arts.

Il a eu le temps de connaitre et de mieux s'imprégner de l'environnement culturel. C'est ainsi qu'il pourrait aider à booster ce secteur aux cotés de chef de l'Etat en attendant que l'actuelle ministre puisse prendre le pouls de la situation, se familiariser avec les préoccupations, difficultés et attentes. Il peut être aussi très utile en apportant des conseils avisés parce qu'il parlera toujours en connaissance de cause. C'est pourquoi j'estime que sa nomination peut être bénéfique pour le milieu culturel de notre pays. »

Martin Zongo, administrateur du Carrefour international du théâtre de Ouagadougou (CITO)

Abel Badolo, secrétaire général du Syndicat autonome des professionnels du patrimoine culturel : « Les lignes ne vont pas bouger avec Sango »

« Nous avons aussi appris cette nouvelle comme telle. Notre réaction par rapport à cette nomination se pose sur un certain nombre de points. C'est d'abord sa relation avec les partenaires sociaux qu'il ne sait pas entretenir. Sur cette base, nous pensons que les lignes ne vont pas bouger avec Sango. Je ne pense pas qu'il va réussir cette mission de conseiller spécial chargé des questions culturelles. D'ailleurs, nous avons appris cette nomination avec beaucoup de cauchemars. »

Abel Badolo, secrétaire général du Syndicat autonome des professionnels du patrimoine culturel

Yacouba Napon alias MCZ, réalisateur : « C'est l'homme idéal pour ce poste »

« C'est bien cette nomination. Cela va lui permettre d'achever ce qu'il n'a pas pu terminer. Il connait très bien le milieu culturel pour avoir été ministre de la Culture. Nous avons tous eu l'occasion de discuter avec lui. Il connait les problèmes qui minent le secteur, je pense qu'il trouvera solution. C'est l'homme idéal pour ce poste. »

Serge Ika Ki
Yidalawala Isaac Ki-Zerbo
(Stagiaires)
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Extradition de François Compaoré : Le Conseil d'Etat français va rendre sa décision dans deux semaines

Wed, 14/07/2021 - 01:30

François Compaoré était devant le Conseil d'Etat français à Paris, ce lundi 12 juillet 2021. C'était l'un des recours dont il disposait pour éviter l'extradition vers le Burkina Faso où il est inculpé pour « incitation à assassinat » dans l'affaire Norbert Zongo.

L'audience devait permettre de répondre à deux interrogations essentielles : La demande d'extradition de François Compaoré a-t-elle un but politique ? La sécurité ainsi qu'une procédure équitable pour François Compaoré sont-elles garanties ?

Selon nos confrères de RFI qui relatent l'audience, le rapporteur public, qui doit proposer aux juges du Conseil d'Etat un avis après examen du dossier, a estimé que la confiance doit prévaloir entre Etats, malgré les raisons d'hésiter. De ce fait, la demande (d'annulation du décret d'extradition) de François Compaoré doit être rejetée. Par conséquent, il devrait être extradé vers le Burkina Faso.

Mais c'est sans compter avec ses avocats, dont Me François-Henri Briard qui assure que la vie de son client est en danger. Puis de décrire le Burkina Faso comme un pays « dévasté » par le terrorisme et dont l'appareil judiciaire est « délabré et corrompu » avec un système carcéral « désastreux ». Mais surtout Me Briard estime que « cette affaire est bien politique ». C'est pourquoi il a appelé les juges à annuler le décret d'extradition de François Compaoré vers le Burkina Faso car estimant que ce serait le conduire vers une mort certaine.

« Une extradition vers le Burkina serait pour François, une extradition vers le chaos, l'enfer et la mort », martèle-t-il. Et Me Pierre-olivier Sur, l'autre avocat de François Compaoré, de renchérir à la sortie de l'audience : « Si François Compaoré est extradé, il sera tué en cellule. »

Le Conseil d'Etat dispose dans deux semaines pour rendre sa décision. Mais déjà, les avocats de François Compaoré assurent que si le décret d'extradition n'est pas annulé, ils saisiront en urgence la Cour européenne des droits de l'homme pour qu'il soit demandé au gouvernement français de suspendre l'extradition.

En rappel, c'est le 21 février 2020, que le Premier ministre français d'alors, Edouard Philippe, a signé le décret d'extradition de François Compaoré vers le Burkina Faso. Dès lors, ses avocats ont multiplié les recours afin d'éviter que leur client ne soit extradé vers le Burkina. « Cette démarche n'empêche pas théoriquement l'extradition, mais dans la pratique, l'usage veut que la justice française n'extrade pas tant que tous les recours n'ont pas été épuisés ».

A LIRE AUSSI : Justice : Un décret ministériel en faveur de l'extradition de François COMPAORE

Source : RFI
Lefaso.net

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Recherche pour une thèse : Enquête sur les Burkinabè détenteurs/trices du baccalauréat ivoirien

Wed, 14/07/2021 - 01:30

Ceci est une recherche pour une thèse en sociologie sur l'insertion académique et professionnelle des étudiants burkinabè détenteurs du baccalauréat ivoirien au Burkina Faso.Vos réponses sont anonymes et confidentielles.

Seul(e)s les intéressé(e)s ayant étudié le Droit ou l'Économie à l'université de Ouagadougou ou à Ouaga 2 sont concerné(e)s par ce questionnaire.

Participez à l'enquête en cliquant sur ce lien : https://ee.kobotoolbox.org/x/41pRvdsw

Merci pour votre collaboration.

Pour toutes informations complementaires, veuillez contacter M. BONKOUNGOU Sambdoubyèda au (00226) 70 13 17 07 /78 24 05 91/ bonksamch@yahoo.fr

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Financement public international : Les députés et PTF du Burkina échangent sur les enjeux et défis

Wed, 14/07/2021 - 01:25

Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme commun d'appui à l'Assemblée nationale du Burkina Faso (PROCAB), les députés et les Partenaires techniques et financiers (PTF) se sont réunis, ce mardi 13 juillet 2021 à Ouagadougou, pour échanger sur les enjeux et les défis liés au financement public international du développement du pays.

« La capacité d'absorption financière des ressources extérieures dédiées au Burkina Faso reste en deçà (moins de 50%) des normes de performance internationalement admises », reconnaît l'Assemblée nationale du Burkina Faso. « Cette situation interpelle non seulement le gouvernement mais aussi les partenaires au développement », a appelé le vice-président de l'Assemblée nationale, Nestor Batio Bassière.

Le vice-président de l'Assemblée nationale, Nestor Batio Bassière.

Les députés de la VIIIe législature (2021-2025) veulent « une meilleure gestion de la chose publique ». Ainsi, ils ont initié un cadre d'échanges avec les partenaires au développement du Burkina Faso. Le présent cadre offre une opportunité d'échanges sur la mise en œuvre des politiques publiques par le gouvernement. « Le but ultime est d'offrir aux députés une lecture exhaustive des contours du financement public international au Burkina Faso (Ndlr) ».

Selon le représentant de la Troïka, le chef de la délégation de l'Union européenne, Wolfram Vetter, ce cadre va leur permettre de passer leur message, en tant que des partenaires, sur les priorités. Ces priorités sont entre autres, l'adoption de la politique nationale de sécurité, les questions liées à l'administration et à la gouvernance.

Pour le représentant de la Troïka, le chef de la délégation de l'Union européenne, Wolfram Vetter, « il faut agir pour une meilleure gouvernance ».

Quant à Nestor Batio Bassière, il dit fonder l'espoir que ce cadre d'échanges serve de « tremplin pour une gouvernance publique plus transparente, plus concentrée et davantage au service des populations ».

Six secteurs choisis sur quatorze

A en croire le député Lassina Ouattara, le président de la commission d'évaluation des politiques publiques, une présentation va porter sur le processus d'analyse et d'adoption du budget de l'Etat par le parlement. Une autre présentation sera consacrée à la mise en contexte du financement international du développement du Burkina Faso et enjeux de l'exécution des politiques publiques.

Une vue des députés au cours de la rencontre d'échanges.

Pour une première rencontre, l'Assemblée nationale a inscrit six secteurs au menu des échanges sur quatorze secteurs de développement. Il s'agit de la sécurité et l'action humanitaire, l'emploi des jeunes et des femmes, la décentralisation, la justice et le respect des droits humains, la gouvernance publique, et la santé.

Le Programme commun d'appui à l'Assemblée nationale du Burkina Faso (PROCAB) est financé par le groupe des PTF comprenant : la délégation de l'Union européenne, le bureau de la Coopération suisse et l'ambassade de Suède. Le programme est mis en œuvre par le Centre parlementaire canadien dont le siège est à Ouagadougou.

Cryspin Laoundiki
Lefaso.net

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Initiative présidentielle « Produire un million de tonnes de riz » : Plus de 144 000 tonnes attendues dans la Boucle du Mouhoun

Wed, 14/07/2021 - 01:20

Le ministre de l'Agriculture, des Aménagements hydro-agricoles et de la Modernisation, Salifou Ouédraogo, a procédé au lancement régional de la campagne rizicole 2021/2022. C'était ce mardi 13 juillet 2021 dans le village de Fakouna, commune de Dédougou, dans la Boucle du Mouhoun. Pour cette nouvelle campagne, la région devra contribuer pour plus de 19% à l'atteinte de l'objectif national soit 144 000 tonnes de riz paddy.

Dans la région de la Boucle du Mouhoun, environ 37 000 hectares de bas-fonds sont aménagés et mis en valeur, afin de permettre l'atteinte des objectifs de production de 144 000 tonnes de riz. En plus, des semences acquises par le ministère en charge de l'Agriculture ont été mises à la disposition des bas-fonds et elles seront subventionnées jusqu'à 80%. Par ailleurs, 30% de l'ensemble des engrais acquis par le ministère ont été mis à la disposition des bas-fonds rizicoles afin de booster cette filière. En termes d'équipements, l'accent est mis également sur les bas-fonds. Tous les agents seront dotés d'une moto pour permettre un accompagnement efficace au niveau des producteurs.

La cérémonie de lancement des activités de l'Initiative présidentielle « Produire un million de tonnes de riz » au niveau régional pour la campagne agricole 2021/2022 avait pour objectif de sensibiliser les parties prenantes sur cette initiative du président du Faso, Roch Kaboré. Plus spécifiquement, elle visait aussi à informer les populations, notamment les producteurs, en vue d'obtenir leur adhésion. Elle a été ponctuée par la remise de prix aux meilleurs agents bas-fonds et meilleurs bas-fonds et plaines de la campagne 2020/2021, la remise de bas-fonds aménagés par le PAPFA au Comité de gestion, ainsi que par l'acte de lancement symbolique de l'Initiative présidentielle.

Les populations de la région de la Boucle du Mouhoun sorties nombreuses pour prendre part à la cérémonie

Le PAPFA accompagne l'initiative présidentielle

Le Projet d'appui à la promotion des filières agricoles (PAPFA) est un projet financé par le gouvernement du Burkina Faso et le Fonds international de développement agricole (FIDA) pour soutenir les efforts de croissance dans le secteur rural. Il se donne pour mission de faire du secteur agricole modernisé l'un des piliers de la transformation structurelle de l'économie nationale. Selon son coordonnateur national, Stéphan Kambou, le PAPFA a pour objectif de contribuer à la réduction de la pauvreté et stimuler la croissance économique dans les régions de la Boucle du Mouhoun, des Cascades et des Hauts-Bassins.

La filière riz fait partie des filières d'intervention du projet. Depuis 2020, le PAPFA accompagne les producteurs pour impulser la dynamique qui va permettre d'accompagner les autorités burkinabè dans l'atteinte de l'objectif de produire un million de riz paddy. Dans le village de Fakouna, le PAPFA accompagne le gouvernement à travers l'aménagement et la mise en valeur de 1300 hectares de bas-fonds pour un montant global de plus de quatre milliards de Francs CFA. On note également des travaux d'aménagements de 557 hectares qui sont en cours pour un montant de plus d'un milliard de FCFA.

Le coordinateur national du PAPFA, Stéphan Kambou

A cela s'ajoute l'aménagement de périmètres maraichers avec puits et de périmètres économes en eau, etc.
« Le projet va jusqu'à faire en sorte que pendant trois campagnes agricoles, des questions d'intrants, notamment les semences, les engrais ; les conseils agricoles soient assurés afin de permettre à ces organisations qui exploitent ces aménagements, de pouvoir les rendre rentables pour aller vers la sécurité alimentaire et l'amélioration des revenus », a souligné le coordinateur national du PAPFA, Stéphan Kambou.

Le riz est la première céréale d'importation du pays

Au Burkina Faso, le riz occupe parmi les céréales, la 4e place tant du point de vue des superficies que de la production. Entre 2009 et 2018, sa production a connu un accroissement annuel moyen de 6,4%. Malgré cet accroissement, le riz reste la première céréale d'importation du pays, occasionnant par ce fait, d'importantes sorties de devises (plus de 40 milliards de FCFA/an).

La remise d'intrants aux meilleurs bas-fonds 2020/2021

En effet, la consommation de riz est en constante augmentation au Burkina Faso avec un taux de croissance de 5,6% par an. La production nationale de riz ne couvre, en moyenne pour les cinq dernières années, que 30% des besoins de consommation de la population. Pourtant, le pays dispose d'un fort potentiel de 233 500 hectares de terres irrigables et 500 000 hectares de bas-fonds facilement aménageables (PNSR II, 2016) propices à la production de riz, dont environ un cinquième est exploité (EPA, 2018).

Les autorités présentes à la cérémonie de lancement de la campagne

Au regard des potentialités dont dispose le Burkina en riziculture, de l'importance du riz dans la balance de la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages et considérant les importantes sorties de devises dues à l'importation de cette céréale, le président du Faso a lancé l'initiative « produire un million de tonnes de riz ». Cette initiative a été reprise dans le document de la deuxième génération de la Stratégie nationale de Développement de la Riziculture (SNDR II), dont l'objectif est de produire au moins trois millions (3 000 000) de tonnes de riz paddy à l'horizon 2030.

Cette initiative du président du Faso a pour objectif d'accroitre la production rizicole, afin d'atteindre l'autosuffisance pour cette céréale. A terme, elle permettra d'assurer la gestion efficiente des ressources mobilisées, en vue d'améliorer leurs impacts sur la productivité du riz et, partant, la création de richesses et d'emplois, l'amélioration des conditions de vie des acteurs et la couverture des besoins en riz du pays.

La photo de famille du ministre en charge de l'Agriculture avec les meilleurs agents bas-fonds primés

Le ministre salue l'engagement des acteurs pour l'atteinte des objectifs

La campagne agricole 2021-2022 marque la 2e année de mise en œuvre de l'Initiative présidentielle. Selon le ministre en charge de l'Agriculture, Salifou Ouédraogo, il est donc plus que urgent d'harmoniser les visions des acteurs sur cette initiative d'intérêt national. Il a fait savoir qu'une dynamique est mise en place pour pouvoir atteindre les objectifs du projet. « Ce sont des objectifs ambitieux et c'est ensemble que nous allons pouvoir inverser la tendance de l'insécurité alimentaire et surtout faire en sorte que nous soyons auto-suffisants alimentaires et couvrir tous les besoins du pays », a laissé entendre le ministre Ouédraogo.

Le ministre en charge de l'Agriculture, Salifou Ouédraogo

Il a par ailleurs salué tous les acteurs qui accompagnent cette initiative pour l'atteinte des objectifs escomptés. Il a aussi rassuré les producteurs de l'accompagnement de son département pour une meilleure campagne agricole 2021/2022. [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]

Romuald Dofini
Lefaso.net

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Renvoi des étudiants burkinabè des universités publiques marocaines : Le MESRSI donne des éclaircissements

Wed, 14/07/2021 - 01:00

Depuis quelques jours, des informations faisant cas d'un renvoi d'étudiants burkinabè des universités marocaines ont été relayées par les médias. Pour cause, il leur est reproché d'avoir utilisé des attestations d'inscription non valables. Le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l'Innovation vient, part cette note, apporter des éclaircissements et appeler les parents à plus de vigilance dans le processus d'inscription de leurs enfants dans les universités étrangères.

Le Burkina Faso, à travers la coopération internationale, bénéficie de pays amis de bourses d'études pour ses étudiants. Ces bourses permettent à des étudiants burkinabè sélectionnés selon des critères bien définis de s'inscrire de façon légale dans les universités publiques des pays amis. C'est dans cette dynamique que, chaque année, le Burkina Faso bénéficie du pays frère et ami qu'est le royaume du Maroc, de bourses d'études à travers l'Agence marocaine de coopération internationale (AMCI). Ces bourses ont déjà permis à des centaines de Burkinabè de poursuivre leurs études dans des conditions acceptables dans les universités publiques marocaines.

Lire aussi Burkina-Maroc : Une cinquantaine d'étudiants burkinabè renvoyés en cours d'année des universités publiques marocaines

L'impact du Covid-19 dans la coopération

La pandémie du Covid-19 qui a touché tous les pays du monde n'a pas épargné le royaume chérifien. Ainsi, parmi les mesures prises par ce pays, il y a, entre autres, l'interdiction de recevoir, dans le cadre de la coopération avec l'AMCI des étudiants étrangers en présentiel pour les universités publiques. Il est à noter que seule cette structure est habilitée à traiter avec les pays amis du Maroc sur les questions d'inscriptions dans les universités publiques.

Les étudiants sélectionnés par le ministère en charge de l'Enseignement supérieur, à travers le CIOSPB, ont donc été invités, pour ceux qui le désiraient, à s'inscrire pour des cours en ligne. Aucune bourse n'a été donnée à un étudiant Burkinabè pour des cours en présentiel au Maroc au titre de l'année académique 2020-2021.
C'est donc avec étonnement que le MESRSI a appris le renvoi d'étudiants Burkinabè inscrits dans les universités publiques marocaines à travers des autorisations d'inscription délivrées par l'AMCI.

Renseignement pris, il s'agit d'autorisations d'inscription frauduleuses délivrées par des acteurs intermédiaires non reconnus par l'AMCI. Il existe vraisemblablement des réseaux ayant des connexions au Maroc et au Burkina Faso qui trompent la vigilance des universités publiques marocaines et des parents des étudiants en leur délivrant des faux documents.

Cliquez ici pour lire aussi Affaire étudiants burkinabè au Maroc : « Il faudra éviter de passer par des voies non officielles » pour s'inscrire dans les universités marocaines

Les canaux non officiels dans les inscriptions

La situation actuelle des étudiants renvoyés a mis à nu l'existence de canaux frauduleux d'obtention d'autorisations d'inscription. La situation a été découverte quand l'AMCI a demandé aux universités publiques marocaines de ne pas recevoir d'étudiants étrangers pour les cours en présentiel à cause de la COVID-19.
Ainsi, il a été découvert que des agences non mandatées délivraient frauduleusement des documents pour permettre à des étudiants burkinabè de s'inscrire dans des universités publiques marocaines à l'insu du ministère en charge de l'Enseignement supérieur et de l'AMCI.

Il est important de rappeler que l'inscription dans les universités publiques marocaines est ouverte aux étudiants étrangers ayant obtenu la bourse à travers l'AMCI.
Par conséquent, le MESRSI appelle les parents à la vigilance en recherchant les informations fiables. Et c'est pour répondre en partie à cette préoccupation qu'est organisée chaque année, la Semaine de l'Information et de l'Orientation (SIO).

Source : page Facebook DCPM/MESRSI

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Aguéra Simporé : Elle rêvait de devenir avocate, aujourd'hui elle est championne de la pâtisserie

Wed, 14/07/2021 - 00:30

Aguèra SAWADOGO SIMPORE rêvait de devenir avocate. Aujourd'hui, elle est la promotrice de la pâtisserie « Le Régal », qui est une référence dans la ville de Kaya !

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