Le premier colloque annuel organisé par l'AEGES (l'Association pour les Etudes sur la Guerre et la Stratégie) se tiendra au CERI/Sciences Po (56 rue Jacob, Paris 6e), les 14 et 15 décembre.
Le programme est à consulter ici.
Pour des raisons logistiques, les inscriptions sont obligatoires. Pour s'inscrire: cliquer ici. Il sera demandé une pièce d'identité pour rentrer au CERI.
« Téhéran n’oublie pas ses obligations morales envers la Syrie et continuera à fournir son aide et son soutien, en ses propres termes, au gouvernement et à la nation syrienne », avait déclaré, en juin 2015, Hassan Rohani, le président iranien. Le soutien de Téhéran au régime syrien s’est traduit par l’envoi de « conseillers militaires » de […]
Cet article Plus d’un milliers de combattants chiites envoyés par l’Iran en Syrie ont été tués dans les combats est apparu en premier sur Zone Militaire.
Comme tous les ans, le député François Cornut-Gentille demande aux ministère de la Défense de lui communiquer les taux de disponibilités des différents équipements en service au sein des forces françaises. Par définition, un aéronef est dit « disponible » s’il est « apte à moins de 6 heures, au moins une mission correspondant à celles indiquées dans […]
Cet article Le taux de disponibilité des C-130H Hercules de l’armée de l’Air peine à décoller est apparu en premier sur Zone Militaire.
NOVADEM vient de remporter un nouveau marché et est chargé de la "fourniture de micro-drones tactiques au profit de la Gendarmerie Nationale, et prestations associées", selon un avis d'attribution du 19 décembre.
L'avis est à consulter ici. La valeur totale du marché est de 328 695 €.
Ce marché comprend trois postes:
Poste 1 : fourniture de micro-drones tactiques.
Poste 2 : fournitures de pièces détachées et accessoires.
Poste 3 : prestations de formation de formateurs de télé-pilotes
En novembre 2015, le ministère de l'Intérieur avait attribué à Novadem un premier marché d'équipements de micro-drones au profit de la Gendarmerie Nationale. Ce marché de trois ans portait sur la fourniture de quatre drones NX 110, la formation des opérateurs et le maintien en condition opérationnelles des systèmes.
Novadem travaille en relation avec la société rennaise InPixal qui apporte des solutions en matière de traitement vidéo. InPixal a développé avec Novadem la tourelle ASIO 155.
Officiers de liaison turc, allemand et grec, dans la mission du SNMG2 en mer Egée (crédit : OTAN)
(B2) La répression qui a suivi le coup d’État raté en Turquie en juillet a des conséquences certaines sur les structures de l’Alliance atlantique. Ce fait a longtemps été tu. Il était tabou. C’est de notoriété publique aujourd’hui.
Des disparitions…
Le bruit courait depuis plusieurs jours déjà et il était parvenu à nos oreilles. Certains officiers — parfois de haut niveau — ont « disparu » des structures de commandement où ils étaient insérés. Certains ont été rapatriés sur ordre en Turquie par le pouvoir turc (des diplomates comme des officiers semble-t-il). D’autres ont choisi de prendre la poudre d’escampette. Quand nous avions rencontré Jens Stoltenberg, au lendemain des élections américaines (1), nous lui avions posé la question, au terme de notre rencontre. Mais il avait préféré esquisser, estimant qu’elle n’était pas fondée. Le fait est aujourd’hui confirmé. Des officiers turcs, en poste dans les structures de l’OTAN ont préféré demandé l’asile plutôt que d’être arrêtés.
Réfugié plutôt qu’arrêté
Vendredi (18 novembre), lors d’une conférence de presse, le secrétaire général de l’OTAN a reconnu ce qui — dans les couloirs — se disait déjà. « Il est exact que des officiers turcs employés dans la structure de commandement ont sollicité l’asile dans les pays où ils travaillent », a-t-il déclaré. Il n’a cependant pas voulu en dire plus ni quant au nombre d’officiers concernés ni des pays où ils ont été affectés.
Des demandes d’asile en Allemagne… et en Belgique ?
D’après nos informations, il ne s’agirait pas d’une ou deux personnes isolées mais de plusieurs, sans qu’on puisse estimer exactement le nombre. Plusieurs pays seraient concernés. En Allemagne, l’information est désormais publique. La presse allemande avait indiqué, mercredi dernier, que des soldats de la base aérienne de Rammstein et leur famille avaient demandé l’asile. En Belgique — qui abrite le siège de l’Alliance (à Bruxelles) comme le commandement suprême Shape, à Mons, ce pourrait être aussi le cas, selon nos informations…
Les deux tiers des effectifs turcs concernés
Selon notre confrère du Monde Nathalie Guibert qui a publié un papier ce matin et donne des chiffres précis. « Quelque 70 officiers et sous-officiers turcs, sur la centaine que comptait le pays, ont été victimes de la purge. Soit les deux tiers de l’effectif » présent « à Bruxelles, dans les quartiers généraux opérationnels ». Une information puisée à bonne source puisqu’elle provient du président du comité militaire de l’Alliance, le général tchèque Petr Pavel. A Norfolk, aux Etats-Unis, où est installé le second commandement suprême de l’OTAN, celui de la « transformation », dirigé par un Français, la razzia est importante également : « 36 des 46 militaires turcs ont été forcés à lâcher leur job ». Dans les deux cas, les Turcs occupaient des postes-clés. Ce qui implique que « des projets vont être mis en sommeil » au moins le temps de trouver des remplaçants, parmi les Turcs, ou d’autres nations de l’Alliance. « La vacance signifie que certains de nos projets vont être retardés car il manque le personnel nécessaire » reconnait Petr Pavel.
(NGV)
Historiquement, la puissance britannique doit beaucoup à la Royal Navy. Or, cette dernière risque de n’être plus que l’ombre d’elle-même au rythme où va la réduction du nombre de ses navires dits de premier rang. Au début des années 1980, la flotte de surface de la marine britannique comptait 3 porte-avions, 2 navires d’assaut amphibie, […]
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