You are here

Défense

Convention entre l’Education nationale et l’Armée de l’air

Aumilitaire.com - Thu, 05/04/2018 - 20:52
Le lycée Pierre Paul Riquet a, depuis 2015, établi une convention entre l’Education nationale et l’Armée de l’air dans le cadre de l’enseignement du brevet d’initiation aéronautique. Ce diplôme de l’Education nationale a pour objectif d’initier les lycéens à la culture scientifique et technique en lien avec l’aéronautique et le spatial. Lire la suite sur https://www.ladepeche.fr/article/2018/04/03/2772314-quand-l-armee-de-l-air-fait-voler-les-lyceens.html
Categories: Défense

Le ligneur Euredenn drossé à la côte

MeretMarine.com - Thu, 05/04/2018 - 19:01

Suite à une défaillance du pilote automatique, l'Euredenn, un ligneur immatriculé à Audierne (29), a été drossé à la côte vers 4h, ce jeudi. "La nuit était claire et il n'y avait pas de vent", a précisé le patron du bateau.

Une panne du pilote automatique et le bateau a talonné sur "La louve", une roche qui affleure près du "Cougon", où le bateau s'est échoué.

Le patron et son fils ont pu mettre à l'eau le canot de survie et sortir sains et saufs de ce mauvais pas.

Categories: Défense

Comment l'ADO veut mieux aider les orphelins

Le mamouth (Blog) - Thu, 05/04/2018 - 16:25
L'association pour le développement des oeuvres d'entraide dans l'armée (ADO) fêtera ses 80 ans
Plus d'infos »
Categories: Défense

Un navire attaqué au large du Yémen. Piraterie ou acte lié au conflit yéménite ?

Bruxelles2 - Thu, 05/04/2018 - 14:30

Le navire attaqué, le MT Abqaiq, appartient à la compagnie saoudienne Bahri

(B2) Un tanker saoudien pavillon d’Arabie saoudite, le MT Abqaiq, a bien été victime mardi (3 avril) d’une attaque dans le sud de la mer Rouge, a confirmé le QG d’EUNAVFOR Atalanta (l’opération européenne anti-piraterie), ce mercredi (4 avril) en fin d’après-midi.

Un incident lié au conflit yéménite ?

La cause et l’origine de l’attaque restent encore à préciser. Selon l’évaluation commune de EUNAVFOR et de la CMF (les forces maritimes combinées sous autorité américaine), l’incident pourrait être « susceptible d’être lié au conflit en cours au Yémen. Aucune autre activité liée à l’incident n’a été signalée ». Le « navire a continué sa route et l’équipage est sain et sauf » a précisé le capitaine.

Une explosion entendue à bord

On ne serait pas, ici, dans un cas de piraterie pure. Selon l’UKMTO, le service britannique de sécurité de la marine marchande, « une explosion a eu lieu. […] La cause de l’explosion n’est pas connue et une enquête sur l’incident a été lancée ». L’incident a eu lieu à hauteur de la ville de Al Hudaydah / Al-Hodeida (Yémen) (position 142918N 0421112E).

Une attaque des milices houthis selon l’Arabie Saoudite

Pour l’Arabie saoudite, il n’y a aucun doute. Le pétrolier saoudien a été « l’objet d’une attaque en règle des milices houthis » indique une dépêche de l’agence de presse saoudienne. Cette tentative a été « interrompue à la suite d’une intervention rapide d’un navire de la marine de la coalition [arabe, conduite par l’Arabie saoudite au Yémen] », précise le colonel Turki Al-Malki, porte-parole de la coalition. L’attaque a « causé de légers dommages au pétrolier » a-t-il indiqué. Mais celui-ci a néanmoins pu « continuer à naviguer vers le nord en toute sécurité, escorté par un navire de la marine [saoudienne] ».

Une attaque d’un autre pétrolier dans le Golfe d’Aden fin mars

Un autre incident s’est produit quelques jours plus tôt, cette fois dans le Golfe d’Aden et qui serait relié, lui, à un acte plus classique de piraterie.

Une attaque caractéristique des pirates

Selon des sources maritimes, un pétrolier a été attaqué, samedi (31 mars), aux premières heures du matin, dans le couloir maritime entre la ville de Al Mukalla (Yémen) et l’ile de Socotra (position 13:58.1 N – 051-25.3 E). Deux skiffs avec deux pirates armés dans chaque skiff ont pourchassé et se sont rapprochés tout près du navire. L’alarme a été donnée.

La réplique des gardes de sécurité

Le doute sur leurs intentions n’était pas vraiment permis. Des échelles ont été aperçues dans les skiffs. Et, à environ 100 mètres du pétrolier, les pirates ont commencé à tirer dans sa direction. Les gardes armés à bord du pétrolier ont riposté. « Les pirates ont alors abandonné l’attaque et se sont éloignés ». « Tout l’équipage est sain et sauf », précise-t-on. Le navire a cependant subi « des dommages mineurs du fait des tirs ».

(NGV)

(1) Le MT Abqaiq appartient à la compagnie saoudienne National Shipping Company of Saudi Arabia’s (Bahri) et bat pavillon de l’Arabie saoudite.

Cet article Un navire attaqué au large du Yémen. Piraterie ou acte lié au conflit yéménite ? est apparu en premier sur Bruxelles2.

Categories: Défense

Pas de temps morts pour les marsouins vannetais

Lignes de défense - Thu, 05/04/2018 - 14:20

Lu dans notre édition de Vannes ce jeudi matin:

Categories: Défense

Dépasser la politique des petits pas. Pour une défense européenne vraiment assumée

Bruxelles2 - Thu, 05/04/2018 - 13:18

(B2) Eurodéfense, une association qui regroupe de nombreuses personnalités militant en faveur d’une autonomie européenne de défense, estime que l’Europe doit changer de braquet, passer à la vitesse supérieure, affirmer réellement une politique de défense européenne, l’assumer et s’attaquer aux questions non résolues depuis des années.

Dans cette tribune, signée par plusieurs officiers supérieurs dont les lecteurs de B2 reconnaitront certainement plusieurs noms, différents principes sont posés dont, en tant qu’observateur, nous pouvons partager plusieurs des constats.

Une Europe de la défense, parent pauvre de la construction européenne

L’époque enthousiaste des pères fondateurs, au lendemain de la Guerre, a posé les bases de l’Union européenne. Si l’Europe économique est devenue une réalité, même imparfaite, l’Europe de la défense a vécu plusieurs échecs. Le traité instituant la Communauté européenne de défense en 1950 n’a jamais été ratifié. L’Union de l’Europe occidentale, de 1954 à 2011, est restée une coquille vide. Ce n’est qu’en 1999, après le sommet franco-britannique de Saint Malo, que furent posées les bases d’une politique de défense au plan européen, avec de premiers fruits en 2003, où deux opérations militaires furent lancées sous la bannière bleue étoilée.

Des résultats positifs mais à l’échelle d’un laboratoire

La politique de sécurité et de défense commune (PSDC), bras armé de la Politique étrangère et de sécurité commune (PESC), était née. Elle a donné des résultats plus que positifs, malheureusement insuffisamment connus. En 15 ans, près de 80 000 hommes ont été engagés avec succès dans les opérations de l’Union européenne. Nous avons ainsi célébré le 30 mars les 15 ans de la PSDC opérationnelle, avec l’anniversaire du lancement de la première opération, Concordia, dans l’Ancienne République yougoslave de Macédoine (FYROM). Toutefois, à l’échelle européenne et au regard des besoins, c’est peu. Nous restons à un degré d’engagement de portée limitée, que l’on peut qualifier de « niveau de laboratoire ». De plus, les actions du haut du spectre, envisagées parmi les types de missions élaborées à Petersberg en 1992, n’ont été que très rarement menées. Ces missions, dont l’objectif est le rétablissement de la paix, comportent des modes d’action robustes, incluant l’usage de la force. Continuer ainsi ne suffira pas. Pire, le modèle s’épuisera.

Un monde plus dangereux… ou juste différent

Les besoins ont évolué, face à un monde plus dangereux. Il devient difficile de dissocier action extérieure et sécurité intérieure dans la lutte anti-terroriste. Une défense européenne digne de ce nom se doit de garantir la sécurité de ses citoyens où qu’ils se trouvent, de protéger ses infrastructures et de défendre ses intérêts partout dans le monde. Elle doit pouvoir s’appuyer sur une « base industrielle et technologique de défense européenne » (BITDE) qui soit apte à garantir l’autonomie stratégique européenne, en particulier l’emploi des matériels sans contrainte venant de l’extérieur de l’Europe. Cette BITDE est hélas insuffisante aujourd’hui, en raison notamment du périmètre réduit de la PSDC, maints domaines capacitaires n’étant pas couverts par celle-ci. Il y a là une véritable incohérence.

La complémentarité nécessaire même pour les petits pays

Peu d’États ont la capacité de répondre seuls à l’ensemble des besoins de défense. La complémentarité au niveau européen s’impose. Même la France, qui, en théorie, dispose des moyens d’assurer son autonomie stratégique, fait régulièrement appel à des soutiens extérieurs pour combler ses lacunes, principalement dans les domaines du renseignement et du transport stratégique.

Les limites de la politique des petits pas

La politique des petits pas a montré ses limites, malgré les récentes avancées concrètes que sont le fonds européen de défense, le processus annuel de revue coordonnée des plans nationaux de défense et la coopération structurée permanente. Il faut élever le niveau d’ambition inutilement censuré lors de la création de la PSDC et passer la vitesse supérieure. Une approche globale et collective de la sécurité de l’Europe par les pays européens est désormais indispensable, une approche qui englobe les aspects intérieurs et extérieurs, et qui soit partagée si possible par l’ensemble des États membres de l’UE et à défaut par le plus grand nombre.

Revoir la complémentarité OTAN-UE

Cela implique notamment une réflexion sur la complémentarité entre l’OTAN et l’UE. L’actuelle répartition des rôles entre une OTAN garante de la sécurité collective et une PSDC tournée exclusivement vers l’action extérieure n’est à l’évidence plus pertinente : elle ne permet pas aux Européens d’exercer collectivement leurs responsabilités de défense, en dépit des dispositions volontaristes prises récemment par ceux-ci pour resserrer leur coopération. Même la mesure phare de la complémentarité entre les deux organisations, l’accord dit de Berlin Plus, signé en 2003, qui donnait à l’Union un accès aux moyens de commandement de l’OTAN, n’est plus opérante en raison notamment du différent turco-chypriote.

Assumer une défense européenne

Il est temps de s’engager dans une défense européenne vraiment assumée. La simple relecture des documents européens – le traité de Lisbonne de 2007, la Stratégie européenne de sécurité intérieure 2015-2020, la Stratégie globale pour la politique étrangère et de sécurité de l’UE de 2016 – fournit suffisamment d’éléments pour faire émerger une telle défense. La capacité d’agir sur l’ensemble du spectre des opérations, de l’assistance humanitaire à l’engagement de haute intensité, comprend, avec les opérations de projection, des opérations de solidarité et d’assistance mutuelle sur le théâtre européen. Ces dernières qui font partie de la défense collective, sont menées en cohérence avec les engagements pris au sein de l’Alliance Atlantique par les États qui en sont membres. Par ailleurs, les textes autorisent un niveau de flexibilité original : l’article 44 du traité de Lisbonne donne aux instances européennes la possibilité de déléguer la conduite d’une opération à un groupe d’États membres. Et la Coopération structurée permanente, récemment décidée, est le support adapté pour le développement de capacités nouvelles.

Rééquilibrer le pacte atlantique

C’est une politique de défense européenne complète, affirmée, active et opérationnelle qui peut alors se mettre en place. Grâce à des Européens stratégiquement plus autonomes, elle devrait avoir pour première conséquence une évolution du lien transatlantique qui, tenant compte de l’histoire et de nos valeurs communes, devra être rénové. Rééquilibré et assumé, le nouveau pacte atlantique devra permettre à l’Europe de devenir un partenaire fiable, crédible et écouté. Restent à définir les voies permettant cette évolution.

Revoir les processus de décision nationale et le financement en commun

Il faudra pour cela affronter les sujets de discordance ou de blocage entre Européens, plutôt que de les passer sous silence, de peur de détruire un hypothétique équilibre obtenu à force de concessions. Les règles d’engagement et les spécificités juridiques, notamment pour l’usage de la force, seront à harmoniser. Les processus décisionnels nationaux nécessiteront dans certains cas la définition de boucles courtes, permettant la réaction dans l’urgence, comme dans les catastrophes humanitaires. Il faudra travailler sur les contributions budgétaires des États pour les opérations, les rendre plus équitables et renforcer l’importance du fonds européen de défense.

Avoir une politique claire vis-à-vis des citoyens

Les principes suivants inspireraient la démarche. D’abord, les citoyens européens doivent recevoir des réponses simples et compréhensibles à leurs besoins de sécurité et de défense. Aujourd’hui, si, selon l’Eurobaromètre de l’automne 2017, les trois quarts d’entre eux continuent à plébisciter l’Europe de la Défense, ils n’ont pas une idée claire de sa réalisation, tant les discours sur les rôles partagés entre l’Alliance Atlantique, la PSDC et la défense nationale sont complexes et indigestes. Quand nos dirigeants se seront engagés résolument pour une défense européenne souveraine, ils pourront apporter de telles réponses.

Tenir compte des différences et de la souveraineté des États

Le principe de la subsidiarité et de la complémentarité avec les États doit être préservé. La subsidiarité est incontournable, le domaine de la défense restant de la responsabilité des États et la souveraineté européenne ne pouvant s’exercer que grâce aux contributions de ceux-ci en troupes aguerries et en équipements. Si les menaces et les risques sont perçus avec un degré d’intensité différent selon les États, ils doivent conduire à la complémentarité des actions, basée sur les savoir-faire spécifiques de chacun. Par exemple, certains pays ont une culture de projection développée, comme la France ou l’Espagne, autorisant notamment l’intervention en Afrique. D’autres, comme l’Allemagne ou la Pologne, sont plus tournés vers la défense collective. Cela n’empêche pas chacun d’entre eux de participer aux missions, mais avec des degrés d’engagement différents. Les clauses de solidarité et d’assistance mutuelle entre les États, notamment en cas d’attaque terroriste, telles qu’elles sont décrites dans le traité de Lisbonne, ne doivent pas rester lettre morte ; elles doivent être assumées.

Avoir réellement une autonomie stratégique

C’est à ce titre que cette défense gagnera en souveraineté. Les initiatives lancées par le Président de la République dans son discours de la Sorbonne de septembre 2017, comme le développement d’une capacité d’action autonome, autoriseront la continuité entre les États et l’Europe, comme celle entre missions extérieures et intérieures. L’autonomie stratégique d’une défense aux contours élargis pourra alors être soutenue dans le même périmètre par une BITDE ayant des capacités de recherche et développement complètes et autonomes. Il s’agira de gagner alors la bataille des normes industrielles. Dernier principe, cette Europe de la défense souveraine devra multiplier les partenariats, notamment avec ses voisins immédiats. Elle renouvellera le lien transatlantique, rééquilibré grâce à un meilleur partage du fardeau.

Un livre blanc européen nécessaire

Pour tout cela, un Livre blanc, dont EuroDéfense-France est un ferme partisan, s’avère nécessaire, avec l’établissement d’une feuille de route ambitieuse. Ainsi, pourra être construite la défense d’une « Europe souveraine, unie, démocratique » pour reprendre les termes du Président de la République.

Les membres du bureau de l’association EuroDéfense-France : Patrick Bellouard (président d’EuroDéfense-France, IGA 2S), Maurice de Langlois (général 2S, ancien directeur de recherche IRSEM), Jean-Didier Blanchet (ancien DG d’Air France), Jean-Charles Boulat (directeur des affaires UE et OTAN du groupe industriel Naval Group), François Bresson (général 2S, ancien directeur de l’Institut des hautes études de défense nationale-IHEDN), Patrick de Rousiers (général d’armée aérienne 2S, ancien président du comité militaire de l’Union européenne), Michel Desmoulin (président d’honneur de l’Union des associations d’auditeurs de l’IHEDN), Jacques Favin-Lévêque (général 2S, ancien délégué général du Groupement des industries de défense et de sécurité terrestres et aéroterrestres), Patrick Hébrard (vice-amiral d’escadre 2S), Jean-Loup Kuhn-Delforge (ancien ambassadeur), François Laumonier (ancien ambassadeur), Jean-Paul Palomeros (général d’armée aérienne 2S, ancien chef d’état-major de l’armée de l’air, ancien commandant allié transformation de l’OTAN), Jean-Paul Perruche (général 2S, ancien directeur général de l’état-major de l’Union européenne), Claude Roche (ancien directeur de la stratégie défense d’EADS, Vice-président de l’Académie de l’air et de l’espace), Philippe Roger (IGA 2S), Cyrille Schott (ancien directeur de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice) et Denis Verret (président, DV Conseil).

Les propos ci-dessus n’engagent que leurs auteurs. Les intertitres sont de la rédaction. Cette opinion a été publiée également dans le quotidien français La tribune

Crédit photo : EUNAVFOR Med / Sophia – marin allemand

Cet article Dépasser la politique des petits pas. Pour une défense européenne vraiment assumée est apparu en premier sur Bruxelles2.

Categories: Défense

1er avril: Barkhane ne blague pas et élimine une trentaine de terroristes (actualisé)

Lignes de défense - Thu, 05/04/2018 - 11:37

Suite de mon post de lundi (lire ici) sur les combats à la frontière entre le Niger et le Mali.

Ces combats ont eu lieu au sud d'une ligne entre Ansongo et Ménaka, et jusqu'à la région de Tongo Tongo où une patrouille américano-nigérienne est tombée dans une embuscade en octobre 2017. 

Le MSA-GATIA avait révélé des accrochages dans un communiqué de lundi qui annonçait une vingtaine de morts dans un groupe armé terroriste (GAT).

Ce jeudi matin, l'état-major des armées (EMA) a confirmé ces combats, ainsi que l'engagement des GCP (commandos parachutistes) et des raids aériens dans la zone d'Akabar. Les forces franco-maliennes ont affronté "une soixantaine d'individus, à environ 90 km au sud de Ménaka et à 3 km de la frontière nigérienne", selon le porte-parole de l'EMA qui a parlé d'une trentaine de tués chez le GAT au terme de cette opération conjointe franco-malienne

Barkhane a engagé deux hélicoptères de combat Gazelle et deux Mirage 2000, mais aucune frappe aérienne n'a eu lieu.

Categories: Défense

La Brigade d’intervention de la MONUSCO recadrée ?

Bruxelles2 - Thu, 05/04/2018 - 09:50
 (B2) Le Conseil de sécurité de l’ONU a unanimement renouvelé, mardi 27 mars, le mandat de la MONUSCO, la Mission des Nations Unies en République démocratique du Congo, jusqu’à mars 2019. La résolution 2409 met cependant le doigt sur la brigade d'intervention, tentant de la sortir des critiques qu'elle affronte. Détails Effectifs maintenus  La MONUSCO « maintiendra un effectif […]

Cet article La Brigade d’intervention de la MONUSCO recadrée ? est apparu en premier sur Bruxelles2.

Categories: Défense

Le DoD externalise l'organisation des Warrior Games: 21,8 millions$ pour Populous Event Inc.

Lignes de défense - Thu, 05/04/2018 - 09:22

Les désormais célèbres Warrior Games se dérouleront du 2 au 9 juin à Colorado Springs, à l'Académie de l'Air Force. C'est dans cette ville que les Warrior Games ont vu le jour en 2010 sous l'impulsion du DoD, du Comité olympique US et de l'USA. En 2015, les Warrior Games ont eu lieu à Quantico, puis en 2016 à West Point et en 2017 à Chicago. En 2017, 260 athlètes US (mais aussi britanniques et australiens) ont participé aux 11 types d'épreuves.

Pour l'édition 2018, le programme des épreuves peut être consulté ici.

Les épreuves préliminaires ont eu lieu en mars, comme en témoigne par exemple ce flyer de l'USMC:

L'USAF a annoncé sa sélection de 40 sportifs le 26 mars (lire ici), l'US Army l'avait fait un peu plus tôt, le 15  (lire ici).

Par ailleurs, le DoD a décidé de confier une partie de l'organisation de ces épreuves à une société privée, comme l'indique un avis d'attribution de marché du 3 avril, le montant total étant porté à 21,8 millions$:
"Populous Event Inc., Denver, Colorado, has been awarded a $17,703,567 increase of scope modification (P0002) to previously awarded contract FA701418C5002 for the 2018 Department of Defense Warrior Games. This modification provides for increased support for the DoD Warrior Games, including but not limited to, transportation, additional security, modifications of the venue infrastructure for compliance with the Americans with Disabilities Act, training and materials. This modification brings the total cumulative face value of the contract to $21,812,325. Work will be performed at the U.S. Air Force Academy and is expected to be complete by June 30, 2018. Fiscal 2018 operations and maintenance funds in the amount of $17,703,567 are being obligated at the time of award. Air Force District of Washington, Contracting Directorate, Joint Base Andrews, Maryland, is the contracting activity."

 

Categories: Défense

Un nouveau navire américain de formation maritime et de soutien humanitaire

MeretMarine.com - Thu, 05/04/2018 - 00:44

La nouvelle était attendue de longue date au Maritime College de l’Université de l’État de New York, qui forme notamment les officiers de la marine marchande américaine. Elle s’est concrétisée avec un projet de loi de dépenses gouvernementales signé par le président Donald Trump vendredi dernier. Sur un plan de 1.3 milliard de dollars, 300 millions sont orientés vers la réalisation d’un navire de formation en mer.

Categories: Défense

Une poudrière pour les Français en nord-Syrie

Le mamouth (Blog) - Wed, 04/04/2018 - 22:21
Ces derniers mois, le volume de la TF Hydra avait nettement décru, un choix de l'état-major des
Plus d'infos »
Categories: Défense

L’A400M grevé d’hypothèques opérationnelles et financières. Berlin inquiet (rapport)

Bruxelles2 - Wed, 04/04/2018 - 22:15
(B2) Le dernier rapport du ministère allemand de la Défense fait état de plusieurs problèmes non résolus sur l'avion de transport européen A400M. Certains peuvent paraître légers (des vapeurs d'essence dans le cockpit), d'autres sont plus lourds (l'absence d'autoprotection, les difficultés de planification) ou tout simplement financiers. Comme l'explique notre confrère Thomas Wiegold sur son […]

Cet article L’A400M grevé d’hypothèques opérationnelles et financières. Berlin inquiet (rapport) est apparu en premier sur Bruxelles2.

Categories: Défense

SCAF : Paris et Berlin signeront à ILA

Le mamouth (Blog) - Wed, 04/04/2018 - 16:35
C'était un secret de polichinelle : Paris et Berlin signeront au salon ILA, en avril, un document
Plus d'infos »
Categories: Défense

Carnet (04.04.2018). Cops (Estonie). Liban (MOE). EUNAVFOR Atalanta (QG). Mali (exécutions extrajudiciaires). Investissements étrangers (texte). Royaume-Uni (chef d’Etat major). Attaque de Salisbury (DSTL). Sierra Leone (élections). Allemagne (Conseil...

Bruxelles2 - Wed, 04/04/2018 - 15:00
(B2) Parus récemment : Budget en augmentation pour la mission européenne à Bagdad (EUAM Iraq) (blog) Une base de la MINUSCA attaquée par des ex-Seleka. Des otages libérés Gaza. L’UE demande une enquête indépendante. Israël refuse. Les pays européens consternés Deux clusters haute technologie vont bénéficier du programme COSME (blog) Nouvel incident en Méditerranée. Le […]

Cet article Carnet (04.04.2018). Cops (Estonie). Liban (MOE). EUNAVFOR Atalanta (QG). Mali (exécutions extrajudiciaires). Investissements étrangers (texte). Royaume-Uni (chef d’Etat major). Attaque de Salisbury (DSTL). Sierra Leone (élections). Allemagne (Conseil de sécurité). Ethiopie (Premier ministre). Grèce (réfugiés). Yémen (humanitaire). Affaire Selmayr (réponse2). Turquie-Grèce (militaires grecs). est apparu en premier sur Bruxelles2.

Categories: Défense

La terminologie européenne revue et corrigée

Bruxelles2 - Wed, 04/04/2018 - 14:11

(B2) La terminologie européenne utilisée par l’Union européenne est parfois complexe, incompréhensible, voire totalement erronée. Nous avons choisi à B2, sciemment, de ne pas la respecter quand elle conduit à des erreurs de sens ou se révèle incompréhensible.

Exemples :

Le commandement des missions civiles = La Capacité de conduite et de planification civile (CCPC) alias Civilian Planning and Conduct Capability (CPCC) parait un outil bien bureaucratique. Ce n’est ni plus ni moins que que le Commandement des missions civiles de l’UE. Ce qui figure d’ailleurs dans certains documents de planification (qui mentionne d’ailleurs — allez comprendre — un Commandant civil des opérations !)

Le soutien militaire = Le nom officiel du dispositif est CBSD, comme Capacity Building in support of Security and Development, ou RCSD, en français comme Capacités pour favoriser la sécurité et le développement. Impossible de vraiment saisir ce que cela recouvre. C’est d’ailleurs l’objectif : tresser un épais brouillard sur son activité réelle ! Ce dispositif a pour objectif de permettre le financement de formations ou l’équipement (en matériel non létal) des forces armées de pays tiers, principalement en Afrique, mais pas seulement. Ce qu’on appelle en France, la coopération technique.

La mission de conseil en Ukraine ‘EUAM Ukraine’ ou en Iraq ‘EUAM Iraq = Le terme officiel en français mentionne « sécurité civile » par traduction du terme anglais « civilian security ». C’est pour nous non seulement une approximation, mais une erreur et une volonté d’induire en erreur. En France comme dans tous les pays latins, la terminologie « sécurité civile » désigne les forces de secours d’urgence type pompiers, non les forces de police, de maintien de l’ordre ou de renseignement intérieur, qui constitue l’objectif de ces missions. Le terme « sécurité intérieure » ou à défaut « sécurité nationale » est donc le plus exact.

La commission du Parlement sur les libertés publiques = Le terme officiel utilisé en anglais est « Committee on Civil Liberties« . Il est traduit officiellement par « libertés civiles ». Un terme peu compréhensible (sauf au Canada où il est couramment utilisé). L’antithèse de libertés civiles serait alors libertés militaires ou libertés pénales. Cette commission s’intéresse davantage aux questions pénales et pas seulement civiles ou familiales. Le terme exact et couramment utilisé en français est donc « libertés publiques ».

La PESCO (coopération structurée permanente) = Nous utilisons l’abrégé en anglais (PErmanent Structured COoperation) pour trois raisons principales : il est plus « agréable » à lire que l’abrégé en français CSP, il prête moins à confusion que celui-ci avec d’autres termes proches, il est utilisé largement par tous les Européens, y compris dans les langues nationales. Ainsi la traduction au journal officiel dans quasiment toutes les langues (nous avons vérifié !) est PESCO, même si le déroulé nominal ne correspond pas, ce quel que soit le groupe de langues (exemple pour l’Italien ou le Roumain, le Danois ou le Néerlandais, le Grec ou le Maltais, le Hongrois, le Slovaque ou le Polonais). On dénombre seulement cinq exceptions : le Français CSP, l’Allemand SSZ, le Portugais CEP, le Finlandais PRY ou le Bulgare ПСС. Quelques langues (espagnol, estonien, suédois, tchèque) ont choisi de … ne pas utiliser d’abrégé.

(NGV)

Cet article La terminologie européenne revue et corrigée est apparu en premier sur Bruxelles2.

Categories: Défense

Euronaval, un lifting à 50 ans

Le mamouth (Blog) - Wed, 04/04/2018 - 13:54
Sans grosse lame de fond, le salon naval international va apporter quelques touches qui ne sont pas
Plus d'infos »
Categories: Défense

L’armée de l’Air française et sa vive envie d’ acquerir des A-10C

Aumilitaire.com - Wed, 04/04/2018 - 09:19
Cela ressemble à un renvoi d’ascenseur : tu me vends tes vieux Mirage F1, je te refile mes A-10C retraités. Alors que l’US Air Force s’apprête à utiliser comme plastron d’anciens Mirage F1 mis en œuvre par la société ATAC, l’armée de l’Air française étudie la possibilité d’utiliser des A-10C dans le Sahel. Lire la suite ...
Categories: Défense

50 jeunes de Gao en formation dans les entreprises locales

Aumilitaire.com - Wed, 04/04/2018 - 09:14
Suite à l’organisation par la Force Barkhane de deux forums de l’emploi à Gao les 15 janvier et 1er février derniers, 50 stagiaires apprentis sont en cours de formation dans une trentaine d’entreprises locales. Ces apprentis sont suivis et accompagnés par Barkhane jusqu’à la fin de leur formation d’ici environ quatre mois. Lire la suite sur http://www.defense.gouv.fr/operations/operations/sahel/actualites/barkhane-formation-des-jeunes-de-gao-dans-les-entreprises-locales
Categories: Défense

L’armée nigériane affronte Boko Haram à Maiduguri

Aumilitaire.com - Tue, 03/04/2018 - 18:30
Les djihadistes ont attaqué une base de l’armée, utilisé des kamikazes, des armes à feu et des bombes.Nouvelle attaque djihadiste mortelle au Nigeria. Le groupe Boko Haram a fait au moins 18 morts et 84 blessés, dimanche soir, à Maiduguri, grande ville du Nord-Est du pays, rapporte ce lundi l’agence locale de gestion des urgences (Sema). ...
Categories: Défense

Pages