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Afrique

« Les enfants arrivent à avoir deux repas par jour, moi je me contente d’un seul » : A Abidjan, le désarroi des quartiers populaires face à l’inflation

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 19:00
Le kilo de pommes de terre et de riz, le poisson, les pâtes, la viande, la portion d’attiéké… ont tous augmenté. Même si l’Etat a plafonné certains prix de denrées alimentaires.
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Sida : en Afrique de l’Ouest, l’autotest oral, une petite révolution qui s’est invitée dans le dépistage

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 18:00
L’outil, moins invasif que le test sanguin, permet d’atteindre les milieux homosexuels, transgenres, les prostitués, isolés par la stigmatisation.
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Sélection albums : Charles Koechlin, Neil Young, Tim Bernardes, Kibrom Birhane

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 17:00
A écouter cette semaine : le portrait musical de sept stars du grand écran ; une rupture amoureuse sortie des archives ; une enchanteresse pépite brésilienne ; du lumineux jazz éthiopien.
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Burkina Faso : au côté de Compaoré, Damiba appelle à "la cohésion" face à la violence jihadiste

France24 / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 16:53
Une réunion entre anciens chefs d'État du Burkina Faso s'est tenue, vendredi, à Ouagadougou, à l'appel du chef de la junte au pouvoir, Paul-Henri Sandaogo Damiba. La présence de l'ex-président Blaise Compaoré, en exil en Côte d'Ivoire depuis 2014, a créé une polémique et entraîné une manifestation d'opposants.
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Cameroun : la production de champignons en plein essor

France24 / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 15:56
Grillés en brochette, séchés ou transformés en huile pour les cheveux : à Bafoussam, dans l'ouest du Cameroun, des agriculteurs et entrepreneurs tentent de diversifier les débouchés pour les champignons qu'ils cultivent sur des déchets agricoles. Ils sont de plus en plus nombreux à s’intéresser à la myciculture (la culture des champignons comestibles).  
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L'ex-président de l'Angola, José Eduardo dos Santos, est mort à 79 ans

France24 / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 14:58
L'ancien président de l'Angola, José Eduardo dos Santos, qui a dirigé le pays pendant 38 ans, est mort à l'âge de 79 ans, a annoncé le gouvernement angolais vendredi. 
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L’ancien président angolais, José Eduardo dos Santos, est mort

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 14:46
Chef de l’Etat et du Mouvement populaire de libération de l’Angola pendant près de quatre décennies, il a mené son pays d’une main de fer, détournant au profit de son clan les revenus du pétrole avant d’être contraint à l’exil. Il est mort le 8 juillet, à l’âge de 79 ans.
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En Tunisie, plusieurs partis appellent au boycott du référendum constitutionnel voulu par le président Saïed

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 11:20
Le mouvement islamo-conservateur Ennahda dénonce un projet de Loi fondamentale qui « légitime la construction d’un régime autoritaire et tyrannique ».
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Au Soudan, un « Conseil révolutionnaire » pour chapeauter les sit-in contre la junte militaire

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 11:17
L’organisation devrait compter 100 membres, pour moitié des représentants des comités de résistance et pour l’autre moitié des représentants de partis, de syndicats, de mouvements rebelles.
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Mali : Escalade de l’antagonisme États-Unis-Russie à l’approche du départ de la France (analyse)

Maliactu - Fri, 08/07/2022 - 11:12
La mission de l’ONU au Mali (MINUSMA) entre dans une phase difficile, après que le Conseil de sécurité de l’ONU a renouvelé son mandat pour une année entière, sans renforcer ses effectifs ni lui assurer un soutien aérien, tandis que Bamako s’oppose à sa liberté de mouvement pour mener des enquêtes sur les questions liées aux droits de l’homme.

Le refus de Bamako de laisser la mission de l’ONU se déplacer librement à l’intérieur du pays est expliqué par des raisons liées au « respect de la souveraineté, de la coordination et de la sécurité du Mali« , selon son représentant auprès des Nations Unies, Issa Konforou.

Le représentant du Mali s’est montré catégorique dans le rejet de ce point par le gouvernement de son pays, en déclarant : « La MINUSMA ne peut procéder à ses déplacements qu’avec l’approbation des autorités maliennes compétentes. De même, le Mali ne peut lui assurer une liberté de manœuvre dans ses enquêtes sans l’accord préalable du gouvernement. »

Bravant le Conseil de sécurité, il a clairement fait savoir que le Mali « n’entend pas mettre en œuvre ces dispositions », ce qui a provoqué la colère des États-Unis avant celle de la France.

L’une des raisons du refus de Bamako de renouveler le mandat de la MINUSMA est sa volonté de reprendre le contrôle des régions du nord revendiquées par des milices Touaregs, qui ont connu plusieurs soulèvements et rébellions armées, dont la dernière en 2012.

Les forces de l’ONU empêchent les forces maliennes de pénétrer dans ces zones, après avoir accusé l’armée malienne, en 2013, de commettre des massacres et des violations contre la population locale, lors de l’intervention de l’armée pour expulser les organisations terroristes de la zone.

Ce durcissement de position est intervenu après la résolution du Conseil de sécurité, rédigée par la France et que la Russie et la Chine n’ont pas votée, qui condamnait notamment les dirigeants militaires du Mali pour avoir « eu recours à des mercenaires qui ont commis des violations des droits de l’homme et d’autres abus en violation du droit international humanitaire. »

La référence est claire aux mercenaires du groupe russe Wagner, qui ont été engagés par le Conseil militaire pour combattre les bandes armées, après la décision de la France de mettre fin à l’opération militaire Barkhane au Sahel cet été.

Mais le représentant permanent de la France auprès des Nations Unies, Nicolas de Rivière, a été plus explicite dans l’identification des parties concernées par les enquêtes de la MINUSMA sur les violations des droits de l’homme, et a déclaré qu’elles sont représentées par « des groupes terroristes, les forces armées maliennes, ainsi que des membres du groupe Wagner », passant sous silence les dizaines de civils maliens tués par les forces françaises.

** Washington va-t-il combler le vide ?

Washington a peu apprécié le refus du gouvernement malien de laisser à la mission de l’ONU la liberté de mouvement pour enquêter sur les violations dont est accusée l’armée malienne, les mercenaires du groupe Wagner, ainsi que les groupes terroristes.

La représentante des États-Unis aux Nations Unies, Linda Thomas Greenfield, a condamné cette décision, estimant que cela « constituerait une violation flagrante de l’Accord de statut des forces à l’étranger (SOFA) que le gouvernement de transition s’est engagé à respecter. »

C’est après que les alliés français et européens de Washington ont décidé de mettre fin à leur présence militaire dans le pays que la position américaine sur le Mali s’est le plus affaiblie, permettant à la Russie d’accroitre son influence dans la région en soutenant le Conseil militaire malien avec des armes lourdes et des hélicoptères de combat, tout en envoyant des formateurs militaires et des centaines de mercenaires du groupe Wagner.

L’opération Takuba, à laquelle participent les forces spéciales européennes, a terminé ses missions au Mali début juillet, et le dernier soldat français devrait quitter le pays cet été.

Bien que la France ait cherché à obtenir une résolution du Conseil de sécurité pour maintenir des hélicoptères d’attaque au Mali afin de soutenir les forces de la MINUSMA, cette demande a été rejetée par Bamako et n’a pas reçu le soutien des membres du Conseil de sécurité.

Washington n’a pas de base militaire au Mali, mais elle fournit un important soutien logistique aux forces françaises, notamment en termes de renseignement, puisqu’elle dispose d’une base militaire au Niger voisin, mais elle a choisi ces dernières années de réduire au strict minimum sa présence militaire en Afrique.

Pour Washington, il ne subsiste que la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) pour surveiller les mouvements des russes au Mali, surtout après le retrait de Bamako du G5 Sahel, qui comprend également le Niger, le Burkina Faso, le Tchad et la Mauritanie.

Il est peu probable que Washington envisage d’envoyer des forces au Mali pour empêcher l’expansion de la Russie dans la région du Sahel, mais elle cherche à surveiller les violations en matière de droits de l’homme commises par le groupe Wagner, à l’embarrasser devant le monde entier et à pousser les gouvernements et les peuples de la région à se soulever contre lui et à rejeter ses pratiques.

Le chef du Commandement des États-Unis pour l’Afrique (AFRICOM), le général Stephen Townsend, a averti que « les États-Unis et leurs alliés devront faire face à la montée des groupes extrémistes violents et à l’arrivée de mercenaires russes dans la région du Sahel, avec une instabilité croissante. »

Lors du récent sommet de l’OTAN tenu à Madrid, l’Espagne a laissé entendre que l’alliance pourrait envoyer des troupes au Mali, ce qui a provoqué la colère du gouvernement de Bamako et a manqué de déclencher une crise entre les deux pays.

Le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, a dénoncé les déclarations de son homologue espagnol, José Manuel Albares, qui a déclaré ne pas exclure une intervention de l’OTAN au Mali « si nécessaire ».

Diop a considéré les déclarations d’Albares comme « dangereuses » et « un encouragement à l’agression contre la souveraineté d’un pays indépendant. »

Le gouvernement du Mali a non seulement condamné les déclarations espagnoles, mais a également convoqué l’ambassadeur de Madrid à Bamako pour lui remettre une note de protestation, tandis que Diop a téléphoné à Albares au sujet de ces déclarations, mais ce dernier les a retirées et a « exprimé son attachement aux relations d’amitié et de coopération avec le Mali. »

** La MINUSMA mise à mal

Le retrait des forces françaises et européennes du nord du Mali, l’incapacité à renforcer les forces internationales en matériel et en nombre, et le refus de l’armée malienne de prolonger son mandat jusqu’au 30 juin 2023, compliquent encore les tâches de la MINUSMA.

Les forces onusiennes comptent 13 289 soldats et 1 920 agents de police, et sont stationnées dans le nord du pays, où sont implantés des groupes armés terroristes affiliés à Al-Qaïda et Daech.

La MINUSMA est la mission qui a subi les plus grandes pertes parmi les forces de maintien de la paix de l’ONU, puisque 275 membres de son personnel ont été tués depuis sa création le 25 avril 2013.

Les forces de l’ONU au Mali n’ont pas l’autorité nécessaire pour mener des opérations de combat, sauf dans un cadre limité, ce qui en fait une cible facile pour les groupes terroristes, et la prochaine phase pourrait voir une escalade de l’instabilité dans la région, en particulier à la lumière de l’inquiétude américaine concernant l’influence croissante de la Russie dans le Sahel.

 

La rédaction

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Quelle était l’idéologie de Kadhafi ?

Maliactu - Fri, 08/07/2022 - 10:50
De tout temps l’Europe était un continent déchiré par la guerre malgré ses grands exploits prometteurs. Mouammar El-Kadhafi maîtrisait très bien ses connaissances historiques – constatant que l’Union européenne apporta en Europe la paix et la stabilité, il voulut faire la même chose en Afrique, son propre continent.

La seule façon dont Kadhafi pouvait y parvenir, comme il le savait, était de consolider une Union africaine inspirée de son homologue européenne : un gouvernement centralisé, une unique devise africaine.

De tout temps le jeu des grandes puissances coloniales consistait à diviser pour régner ; même en l’absence de ses anciens suzerains du jeu, l’Afrique est menacée d’être réduite jusqu’à devenir une simple marionette aux mains des Chinois. Kadhafi ne voulait pas de cela, il en voulait davantage. D’ordre habituel, les gouvernements étrangers ne tarissent pas d’éloge de la politique dite « de développement et d’aide », et le fait d’être des « partenaires économiques » n’est pas pour leur déplaire ; mais Kadhafi, mieux que quiconque peut-être, savait que c’était faux – chaque affaire contenait des lettres cachées, tout contrat cachait des paragraphes louches, et chaque avantage négocié dissimulait des inconvénients dont on ne parlait pas commodément…

Il paraît qu’une Afrique unie et forte fait trembler le reste du monde. Paris, Londres, Pékin, Washington… personne ne veut que s’éveille le continent africain. Alors, Kadhafi devait y aller jusqu’au bout, et c’est ce qu’il a fait. À présent, l’union africaine est redevenue une chimère, et l’Afrique est redevenue un jouet au sujet duquel les grandes puissances se chamaillent…

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Les soldats sont-ils excités ou déprimés quand ils sont envoyés sur de vraies missions de guerre ?

Maliactu - Fri, 08/07/2022 - 10:34
La plupart du temps, ils ont peur.

Les nouveaux et les inexpérimentés seront ravis. Sur le chemin vers la ligne de front, tout le monde est de bonne humeur. Certaines personnes plaisantent et tout le monde rit. Après la première expérience de combat, cela changera. La plupart des soldats deviendront très calmes et certains pourraient même devenir dépressifs.

C’était pareil pour moi. La veille de ma première bataille, j’étais tout excité. Tout était comme une grande aventure pour moi et j’étais pressé d’aller au combat. Puis j’ai jeté un coup d’œil à mes camarades, tous des vétérans chevronnés. Aucun d’eux ne semblait partager mon enthousiasme : un gars vomissait ses tripes, d’autres priaient, mais la plupart des soldats étaient assis par terre seuls, plongés dans leurs pensées et fumant des cigarettes.

Il y a eu de nombreuses victimes au cours de la bataille ; peut-être que ces gars savaient déjà ce qui allait se passer.

Pas étonnant que quelques semaines plus tard, quand nous avons été assignés pour notre prochaine bataille, l’ambiance était extrêmement mauvaise. J’étais effrayé. Je pensais que j’avais déjà poussé ma chance assez fort la dernière fois. Quoi qu’il en soit, je ne pouvais plus rien y faire maintenant et je me suis juste trouvé un petit endroit par terre où je pouvais passer les prochaines heures seul, en attendant que la bataille commence.

Chacun de nous réagit différemment face à un danger mortel. Certaines personnes sont en effet excitées, d’autres déprimées, mais la plupart des gens que j’ai rencontrés, moi y compris, ont juste peur.

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Au Burkina Faso, le retour « test » de l’ancien président Blaise Compaoré

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 10:32
L’ex-chef de l’Etat, en exil en Côte d’Ivoire depuis 2014, participe à un sommet consacré à « l’unité nationale » malgré sa condamnation lors du procès des assassins de Thomas Sankara.
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Emmanuel Macron se rendra « prochainement » en Algérie, selon une lettre à Abdelmadjid Tebboune

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 10:15
A l’invitation du chef de l’Etat algérien, le président français évoque une prochaine visite sans donner de dates.
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Qui est Ludovic Mohamed Zahed ? l’imam homosexuel

Maliactu - Fri, 08/07/2022 - 10:10
Ludovic Mohamed Zahed est un imam progressiste franco-algérien, ouvertement homosexuel et marié religieusement à un homme.

Il s’est rendu célèbre pour avoir ouvert la première mosquée inclusive de France, et célébré des mariages religieux pour musulman(e)s homosexuel(le)s. Il a fondé deux associations Homosexuel-le-s musulman-e-s de France (HM2F) et Musulman-e-s progressistes de France (MPF), et est membre de plusieurs autres à l’échelon international. Il vit à Marseille.

Ludovic Mohamed Zahed est un imam progressiste franco-algérien, ouvertement homosexuel et marié religieusement à un homme. Il s’est rendu célèbre pour avoir ouvert la première mosquée inclusive de France, et célébré des mariages religieux pour musulman(e)s homosexuel(le)s. Il a fondé deux associations Homosexuel-le-s musulman-e-s de France (HM2F) et Musulman-e-s progressistes de France (MPF), et est membre de plusieurs autres à l’échelon international. Il vit à Marseille.

LM Zahed décrit le dilemme qu’il a connu entre sa foi et son orientation comme de devoir « choisir entre son bras droit et son bras gauche ». Il affirme que l’homosexualité n’est pas interdite par le Coran et que si le prophète était en vie, il marierait des couples homosexuels. Il entend ne pas laisser la religion aux « barbus cisgenres », et prône un islam inclusif qui ne soit ni misogyne ni homophobe. Il est partisan de la mixité de la prière, et forme des imams femmes. Il est l’auteur d’un livre intitulé « le Coran et la chair ».

 

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En Guinée, des leaders du FNDC jugés pour « outrage à magistrat et injures publiques »

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 10:01
L’arrestation de trois membres du collectif, mardi, a provoqué des manifestations à Conakry, où le mécontentement grandit contre la junte militaire.
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Côte d’Ivoire : dix-neuf morts dans les inondations en juin

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 09:50
Deux nuits de pluies diluviennes ont notamment touché Abidjan, les 16 et 22 juin, provoquant inondations et glissements de terrain meurtriers.
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Des jeunes femmes du centre d’appel d’Assu 2000 à Tanger témoignent d’un harcèlement sexuel institutionnalisé

LeMonde / Afrique - Fri, 08/07/2022 - 06:00
Après l’incarcération en France de Jacques Bouthier, l’ex-patron d’Assu 2000, une importante société de courtage en assurance, « Le Monde » a rencontré des employées marocaines qui témoignent des violences sexuelles imposées par le PDG.
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Édition spéciale : l'ex-président Blaise Compaoré de retour au Burkina Faso

France24 / Afrique - Thu, 07/07/2022 - 23:16
L'ancien président du Burkina Blaise Compaoré est arrivé jeudi à Ouagadougou pour participer à une rencontre d'ex-chefs d'État visant à "accélérer la réconciliation nationale". C'est la première fois qu'il foule le sol de son pays depuis qu'il a été contraint de s'exiler en Côte d'Ivoire en octobre 2014. Le "Journal de l'Afrique" propose une édition spéciale avec Pierre-Olivier Sur, avocat de Blaise Compaoré, Guy-Hervé Kam, avocat de partie civile dans le procès Sankara, et nos journalistes.
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En Afrique du Sud, les adolescentes et les jeunes femmes, premières victimes des contaminations au VIH

LeMonde / Afrique - Thu, 07/07/2022 - 19:00
Premier foyer de l’épidémie de VIH au monde, l’Afrique du Sud est également l’un des pays les plus violents envers les femmes. La maladie reste taboue et la rudesse du système de soins public frappe durement les jeunes filles.
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