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14 Juillet : un défilé à l'économie, avec l'armée mexicaine

Blog Secret Défense - Fri, 26/06/2015 - 11:39
Trois temps forts cette année : les Compagnons de la Libération, l'armée du Mexique et les forces spéciales de l'Intérieur.

CBG Systems Awarded Marine Insulation Contract by ASC AWD Shipbuilding Pty Ltd

Naval Technology - Fri, 26/06/2015 - 10:59
CBG Systems has secured a contract with ASC AWD Shipbuilding Pty Ltd for the supply of specific marine insulation for the Australian Warfare destroyer (AWD).

HHI delivers 12th Virginia-class submarine to US Navy

Naval Technology - Fri, 26/06/2015 - 01:00
Huntington Ingalls Industries' (HII) Newport News Shipbuilding (NNS) division has delivered the US Navy's 12th Virginia-class submarine, pre-commissioning unit (PCU) John Warner (SSN 785).

CACI to deliver modelling and analysis support for US Navy

Naval Technology - Fri, 26/06/2015 - 01:00
CACI International has received task order to deliver modelling and analysis support services for the US Space and Naval Warfare Systems Command (SPAWAR) Space and Naval Warfare Systems Center (SSC) Atlantic business portfolios.

HMS Queen Elizabeth’s first engine becomes operational

Naval Technology - Fri, 26/06/2015 - 01:00
The UK Royal Navy's new Queen Elizabeth-class (QE) aircraft carrier, HMS Queen Elizabeth has moved closer to becoming operational with the start of the first of its four generators.

DCNS delivers Tahya Misr FREMM frigate to Egyptian Navy

Naval Technology - Fri, 26/06/2015 - 01:00
The Egyptian Navy has received a multi-mission FREMM frigate, Tahya Misr, from French shipyard group DCNS.

Un noyau dur pour la défense. Qui osera avancer ?

Bruxelles2 Blog - Thu, 25/06/2015 - 20:50

Créer un noyau dur de pays structurant leur défense autour de projets déjà opérationnels (crédit : EATC)

(BRUXELLES2) L’Europe n’avance qu’à coup de crises, dit-on en suivant un bon vieux principe de réalité. A ce carburant, on peut ajouter les structures et un cadre pour agir. Tous ingrédients qui existent aujourd’hui. Pourtant le sentiment de créer une Europe de la Défense n’existe pas.

Les crises et les structures : le plus sûr moyen d’avancer

Coté crises, on est servi. Elle ne manquent pas. Mais aucune crise ne sert aujourd’hui vraiment de moteur à une action plus décisive en matière de sécurité et de défense. Coté structures, on a tout ou presque : un Haut représentant, plutôt enthousiaste ; un service diplomatique européen, plutôt compétent, et une Commission européenne, plutôt volontaire. Enfin, il existe un cadre juridique : il a été créé par le Traité de Lisbonne, posant les bases d’une coopération structurée permanente (*) Mais il reste inemployé. cela ne suffit pas. Il faut un groupe d’Etats membres capables de relever les défis, de porter les projets. Contrairement à ce qui est parfois dit, ce n’est pas seulement une défaillance de volontés politiques qui est en cause mais la confiance, en soi et avec les autres.

Des avancées ne se feront pas à 28 !

En matière de défense, comme dans certaines matières européennes à fort degré de sensibilité, il ne peut, en effet, y avoir d’avancées qu’entre Etats qui se font confiance, qui acceptent que « l’autre » fasse une partie du boulot. Ce n’est pas un partage de souveraineté, c’est une réciprocité de souverainetés acceptées. Autrement dit, faire une « défense renforcée et efficace » à 28 Etats membres est impossible. Cela revient à reconstituer l’OTAN (sans les Etats-Unis) ou l’UE. Cela n’aurait aucun intérêt tant d’un point de vue militaire, politique ou économique et perpétuer les blocages. Ce serait une addition d’impuissances.

Définir un noyau dur

Ce qui reste à définir ce sont donc les Etats qui feront partie de ce noyau dur, s’y engageront, mettront en place une charte d’action et des orientations. Pour que ce dispositif fonctionne, il faut un minimum d’Etats au départ : suffisants pour démarrer, réduits pour être efficaces. Il faut que ces pays aient davantage qu’une fonction de niche mais une certaine panoplie de défense à la fois en termes opérationnels et industriels leur permettant sinon d’agir dans tous les secteurs, au moins d’agir dans plusieurs. Et en guise de noyau dur, il n’y a beaucoup d’alternatives. Certains pays ne peuvent pas, ne veulent pas ou ne doivent pas en faire partie.

Eliminons !

Soyons clairs tout d’abord. Même dotée d’une solide défense, le Royaume-Uni ne peut, ne doit pas, ne peut faire partie de ce noyau dur. C’est l’assurance toute simple de l’échec. Car Londres utilisera son veto pour tout bloquer, comme il l’a fait depuis le début de la PSDC sur le QG permanent par exemple. De la même façon, certains pays neutres – comme l’Irlande ou l’Autriche – d’autres pays qui n’ont pas ou peu de moyens – Chypre, Malte – la Roumanie, la Bulgarie, les pays Baltes – ne peuvent en faire partie. Cela réduit ainsi le champ des axes possibles.

Les axes opérationnels et industriels du noyau dur

En termes opérationnels, il y aurait une logique à bâtir cette coopération structurée permanente autour ce qui a déjà réussi au plan opérationnel — EATC (le commandement de transport aérien stratégique) — d’y agréger des capacités satellitaires, maritimes. En termes industriels, il y aurait une logique à partir sur les pays qui ont une solide industrie de défense, donc ceux de la LOI, la lettre d’intention réunissant les gros pays les plus importants en matière de défense (France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Suède – sauf le Royaume-Uni). Cela permettrait d’avoir tout de suite une consistance à la fois industrielle et opérationnelle.

Les axes politiques du noyau dur

Plusieurs axes politiques sont possibles pour constituer le noyau dur. Le premier axe tourne logiquement autour du couple politique, moteur de l’Union européenne la France et de l’Allemagne. On est là dans la dialectique classique du franco-allemand assez classique, souvent difficile à manier en matière de défense, mais qui a l’avantage de la cohérence et de la force politique. A ce noyau, pourraient logiquement s’agréger un ou deux pays du Benelux, l’Espagne et l’Italie, voire la Pologne (soit le format Weimar +) ou la Finlande et la Slovénie. Cela permettrait de mener deux types d’opérations : des opérations plus offensives à pénétration rapide (France-Espagne-Belgique) et des opérations en second degré, peut-être moins offensives mais à durée plus longue (Allemagne-Pologne-Pays-Bas-Italie-Finlande), des opérations plus maritimes ou tournée sur le flanc Sud ou Africain (France-Italie-Espagne-Slovénie) et des opérations plus tournées sur le flanc Est ou balkanique (Allemagne-Pologne-Pays-Bas-Finlande). Bref, on aurait une certaine complémentarité et technicité.

Le deuxième axe tourne autour de l’Allemagne et de l’Italie avec des pays qui ont la même conception de l’armée parlementaire, assez douce, vers l’Ouest (Pays-Bas, Espagne, Portugal, …) ou le Nord (Suède, Finlande). Cela a l’avantage de la cohérence mais risque d’être un peu faible au point de vue offensif.

On peut concevoir un troisième axe autour de l’Allemagne et de la Pologne qui agrégerait un peu plus de pays de l’Est de l’Europe et de l’Ouest par rapport à la précédente.

Paris Berlin ou Varsovie pour franchir le Rubicon

Reste maintenant à ce qu’un ou deux pays se décident à franchir le pays et proposent la mise en place de cette structuration de la défense. Peu osent ou peuvent le faire ! Mais on peut parier qu’à partir du moment où un pays va sortir du bois, d’autres suivront. Pour avoir quelque chance de succès, cette initiative ne peut venir que d’un des axes décrits. Concrètement Paris ou Berlin, voire Varsovie (mais le gouvernement polonais semble avoir d’autres chats à fouetter, avec les élections), avec en appui Rome ou Bruxelles. L’Allemagne d’Angela Merkel version grande coalition me semble mûre pour accepter une proposition où elle trouverait ainsi un exécutoire à son ambition d’une nouvelle place dans la politique. Mais la France devra peut-être faire le premier pas. Le format Normandie où se déroule le discours avec la Russie offre un excellent cadre.

(Nicolas Gros-Verheyde)

(*) Une proposition qui n’est pas née de nulle part, elle reprend les propositions de la Constitution, du groupe Barnier de la Convention… et les conclusions du Sommet de 2003 (Pralines) prônant une « Union de défense et de sécurité européenne » !

Replicating Information Costs Time: A Case Study on Regs4ships

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 16:06
Regs4ships specialises in the provision of digital regulations, technical information and IMO material to ships and shore infrastructure.

Pilot whales killed after UK Royal Navy’s bombing, says report

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 01:00
The noise from underwater bombs exploded by the UK Royal Navy resulted in the death of 19 pilot whales off the north coast of Scotland in 2011, a report from the Department for Environment Food and Rural Affairs has confirmed.

UK defence: challenges loom for triumphant Tories

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 01:00
The Conservatives have free rein for the first time since 1997 after securing an unexpected majority at the UK general election in May. But with global instability at its highest level for decades and a steadily declining Ministry of Defence budget, …

HHI to upgrade US Navy’s aircraft carrier USS George H W Bush

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 01:00
Huntington Ingalls Industries’ (HII) Newport News Shipbuilding division has secured a $23.8m contract from the US Navy for nuclear propulsion and complex modernisation work on the aircraft carrier, USS George H W Bush (CVN 77).

Salient to deliver training and support services to Saudi Naval Forces

Naval Technology - Thu, 25/06/2015 - 01:00
Salient Federal Solutions subsidiary has secured a prime contract from the space and naval warfare systems command (SPAWAR) supporting the Royal Saudi Naval Forces (RSNF) to deliver training and support services in the US.

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