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Syrie : pourquoi la stratégie française change-t-elle ?

Blog Secret Défense - Mon, 07/09/2015 - 16:05
Une analyse en vidéo pour l'Opinion

François Hollande annonce des vols de reconnaissance en Syrie

Blog Secret Défense - Mon, 07/09/2015 - 12:12
Des frappes contre Daesh devraient avoir lieu ultérieurement

François Hollande annonce des vols de reconnaissance en Syrie

Blog Secret Défense - Mon, 07/09/2015 - 12:12
Des frappes contre Daesh devraient avoir lieu ultérieurement

Selex to provide electronic warfare system for Brazilian Navy's Lynx helicopters

Naval Technology - Mon, 07/09/2015 - 01:00
Finmeccanica's Selex has secured an order to deliver a suite of electronic warfare equipment for eight Lynx Mk21A aircraft used by the Brazilian Navy.

Lockheed to continue integration of Aegis combat system on US Navy ships

Naval Technology - Mon, 07/09/2015 - 01:00
Lockheed Martin has secured a contract to continue to modernise Aegis hardware and software onboard the US Navy vessels.

French Navy's new FREMM frigate floats out from DCNS shipyard

Naval Technology - Mon, 07/09/2015 - 01:00
DCNS has floated the newest French Frégate européenne multi-mission (FREMM) frigate constructed for the French Navy from its facility in Lorient.

US Navy to name latest Freedom-variant LCS as USS Minneapolis / St Paul

Naval Technology - Mon, 07/09/2015 - 01:00
The US Navy's latest Freedom-variant littoral combat ship (LCS 21) will be named as USS Minneapolis / St Paul, navy secretary Ray Mabus has announced.

Les 5 leurres de l’Europe sur la crise des migrants, devenue crise des réfugiés

Bruxelles2 Blog - Sun, 06/09/2015 - 16:45

Un camp de toiles accueillant les réfugiés syriens en Jordanie (Crédit : HCR)

(B2) La crise actuelle des réfugiés était une crise plus que prévisible, depuis des mois, voire des années durant. Mais « les Européens » (voir encadré) se sont mis des oeillères devant les yeux, s’abritant derrière une série de leurres, pour ne pas devoir se confronter trop tôt à une crise qui leur « pète à la figure » et aboutit aujourd’hui à un réveil d’autant plus douloureux qu’il est tardif.

1° « Ce sont des migrants »

Le problème est que si pour une bonne part certains des migrants économiques, la plupart des autres fuient aussi des pays en guerre, deliquéscents ou autoritaires (Syrie, Yemen, Irak, Erythrée…) ou à l’avenir très incertain (Afghanistan, Libye, Soudan…). La crise actuelle n’est pas une crise de migrants, c’est une crise de demandeurs d’asile, c’est d’ailleurs là un des problèmes auxquels sont confrontés les Européens : on ne peut pas fixer de barrière à l’accueil des réfugiés sauf à renier les valeurs sur lesquelles s’est construite l’Europe comme la plupart des pays européens (préceptes révolutionnaires pour les uns, chrétiens pour les autres, philosophiques pour tous).

2° « Il n’y a qu’à renvoyer les migrants chez eux »

Cette formule simple, voire simpliste, n’était pas utilisée seulement à l’extrême-droite mais est totalement inapplicable. Comment renvoyer des Syriens, Erythréens, Somaliens, Yemenites dont le propre Etat est en débandade… ? Comment renvoyer des migrants qui viennent ou transitent par la Libye, Etat semi-failli et où quasiment aucun pays européen n’a plus d’ambassade ? Ce sont des questions de fond. A cela s’ajoutent des questions juridiques.

3° « Il faut une solution politique en Syrie »

Peu d’énergie a vraiment été mise pour résoudre la crise syrienne. Les uns clamaient que Bachar doit partir, les autres que la violence doit cesser, tous qu’il n’y avait qu’une solution, politique, à la crise, et non militaire. Personne n’a vraiment pris les devants et tiré les conséquences de cette maxime. Une solution « politique » devait impliquer la Russie comme l’Iran, parties prenantes dans le conflit, tout de remettre en cause certains jeux troubles de certains membres de l’OTAN (Turquie) comme de certains « amis » (Arabie Saoudite, Qatar, etc.). Encore aujourd’hui, on peut dire que l’effort est minimal. Même samedi à la réunion informelle des ministres des affaires étrangères de l’UE, ce sujet était encore un sujet très annexe…

Le flux des réfugiés syriens ne faiblit pas (source : HCR aout 2015)

Les chiffres d’accueil des réfugiés syriens en Europe (source : HCR, avril 2011 à 2015)

4° « Aux pays voisins d’accueillir les Syriens, il faut les aider« .

Cette maxime était encore soutenable quand il ne s’agissait que de quelques centaines de milliers de réfugiés par pays (la première année de la guerre). Aujourd’hui, selon le HCR, la barre du 4 millions de réfugiés syriens « enregistrés » hors de Syrie est franchie. Sur ce nombre, la Turquie en accueille 1,8 million, le Liban 1,1 million et la Jordanie plus de 600.000. Et ce n’est pas prêt de s’arrêter : on compte plus de 7 millions de personnes déplacées internes en Syrie). Cela devient insoutenable. Et il est logique que la marmite déborde… Les pays du Golfe n’étant pas très enthousiastes à accueillir des Syriens – tout comme les Syriens à aller chez eux – c’est vers l’Europe naturellement qu’ils se tournent. Et on ne peut pas dire que les Européens soient encore à la limite de leurs possibilités d’accueil. Depuis avril 2011, tous pays d’Europe confondus (UE et non UE), 348.540 (138.016 en 2014. La moitié de l’effort d’accueil repose sur 2 pays (Allemagne et Suède), un autre tiers sur 5 pays (Serbie, Hongrie, Autriche, Bulgarie, Pays-Bas), les autres n’accueillent que 20% des réfugiés… Il y a comme un problème !

5° « Ce n’est pas un problème européen, c’est aux Etats concernés d’agir »

Finalement jusqu’à encore quelques jours, chacun se retranchait derrière les pays de « première ligne ». L’Italie, la première, avec Malte, et la Grèce dans une seconde mesure ont appelé depuis des années l’Europe à ouvrir les yeux, à davantage de solidarité. La question a été évoquée officiellement en novembre et décembre 2013 … pour finir par dire qu’il fallait attendre. Les réfugiés et migrants arrivaient à Lampedusa, dans les iles grecques, en Bulgarie et dans les Balkans (*), dans un silence quasi-généralisé… sauf quand un naufrage faisait plus de 500 morts. Il a fallu que la crise déborde ces 2-3 pays, qu’elle atteigne d’autres pays – de seconde ligne – la Hongrie, l’Autriche, la France … – pour que la conscience commence à prendre. Il a fallut que Viktor Orban, érige un fil barbelé le long de la frontière hongroise avec la Serbie (**), symbolique inacceptable pour les Européens, pour que les bonnes consciences se réveillent, tout comme la photo du petit Eylan a symbolisé le martyr de ces réfugiés syriens.

Au final, une logique similaire à la crise financière : une absence de vision politique

Dans le schéma de réaction de crise, l’Europe a eu, la même (absence de) réaction, coupable et couteuse, la même volonté de s’exempter de toute prise de responsabilité que lors du début de la crise financière où on a perdu de précieux mois, voire plusieurs années, avant d’analyser que la crise financière toucherait le continent européen, puis les pays du coeur de l’Europe.

(NGV)

 Européens et Européens….

J’emploie le terme d’Européens au sens de système politique européen. Il est certain que les responsabilités ne sont pas partagées à parts égales. La Commission européenne, du moins à l’arrivée de JC Juncker, F. Mogherini, de D. Avramopoulos en particulier, a pris assez rapidement la juste mesure du problème, proposé des mesures, même si celles-ci pouvaient sembler timides. Le rôle de Donald Tusk, le président du Conseil européen, est plus difficile à cerner, non qu’il n’ait pas su prendre l’ampleur du problème mais sa crainte d’accentuer une division bien réelle entre Chefs d’Etat et de gouvernement l’a fait hésité à mettre son poids dans la balance, préférant le sujet ukrainien ou russe plus « populaire », électoralement parlant dans son pays d’origine, la Pologne. Il a ainsi préféré jouer le petit notaire de province plutôt que l’avocat de la cause européenne, à l’image de nombre de dirigeants européens. Quant au rôle des Etats membres, peu de dirigeants européens ont vraiment cherché à mettre ce sujet en haut de leurs priorités, à accélérer le processus de décision, la prise de conscience dans l’opinion publique. Seul l’Italien Matteo Renzi, souvent raillé dans les milieux européens, et le Premier ministre maltais ont joué le rôle de sonnette d’alarme, rejoints ensuite par le Hongrois Orban, l’Autrichien Fayman et finalement la chancelière Merkel qui s’est, seule, finalement montré à la hauteur de l’évènement… avec deux ans de retard !

(*) Les routes de méditerranée centrale – via la mer en Italie et Malte – et orientale sont utilisées par différentes nationalités. Mais on estime généralement que la route orientale est utilisée davantage par les Syriens, Irakiens et Afghans tandis que la route centrale est utilisée davantage par les Erythréens, Soudanais et subsahariens, ainsi que les Syriens (en moins grand nombre).

(**) Le Premier ministre hongrois ne fait que traduire en gestes ce que pensent la plupart des dirigeants de l’Est qui sont en train d’ériger une nouvelle division entre l’Est et l’Ouest de l’Europe, division imperceptible car a priori uniquement politique, mais bien réelle malgré tout. Si cette division persiste, elle pourrait laisser autant de traces, voire plus, que le « schisme irakien » en 2003 avec la plupart des pays de l’Est qui avaient rejoint avec tambours et trompettes le camp interventionniste de G. Bush, T. Blair, M. Aznar et JM Barroso.

Lire aussi :

Et la rubrique Asile Immigration de B2

Remember 1956 Viktor Orban ! Quand les Européens étaient un peu plus solidaires

Bruxelles2 Blog - Fri, 04/09/2015 - 09:31

Un train pour la Suisse

(B2) Octobre 1956, la révolution de Budapest vient d’être écrasée dans le sang, les frontières sont ouvertes, le régime a laissé les frontières ouvertes, préférant voir passer à l’étranger une majorité de sa jeunesse et les fauteurs de trouble. Près de 200.000 Hongrois fuient en Autriche, d’abord, et en Yougoslavie ensuite, puis sont réinstallés dans plusieurs pays. Une certaine solidarité se met en place…

Un flux régulier et rapide

En quelques jours, entre la fin octobre et le 7 novembre, 15.000 Hongrois arrivent en Autriche, dont 10.000 Hongrois pour le seul week-end du 4 au 6 novembre, témoigne le HCR. La semaine suivante, cela s’accélère. A la mi-novembre, 36.000 réfugiés sont arrivés. « L’exode s’amplifie, atteignant 80.000 fin novembre, avec un maximum atteint de 8500 personnes atteint en une seule journée » écrit Louis Henry dans la revue Population (publié par Persée, télécharger ici). Et le flux continue les mois suivants. Nous sommes en plein hiver. Il fait froid. La neige a fait son apparition. L’Autriche ouvre des camps, des écoles. Les particuliers, les églises se mobilisent. En Yougoslavie, les hotels de la côte sont réquisitionnés pour accueillir les réfugiés. Au total, jusqu’à début mars 1957, 173.000 hongrois arrivent en Autriche, et 18.600 arrivent en Yougoslavie. Vienne et Belgrade accueillent mais demandent l’aide et la solidarité des Européens et des Occidentaux.

La réinstallation non sans difficultés

Un plan de réinstallation est mis en place, non sans difficultés… Une note interne à l’OTAN retrace les appels à l’aide de l’Autriche et de la Yougoslavie et leurs difficultés à prendre en charge cette masse de réfugiés sur une durée longue. « Les gouvernements autrichien et yougoslave ne peuvent à eux seuls prendre soin de ces réfugiés, les entretenir et leur fournir les secours immédiats dont ils ont besoin. (…) En dépit d’une aide financière considérable accordée par les gouvernements et de source privée, les gouvernements autrichien et yougoslave ont jusqu’à présent supporté une part excessive de cette charge » poursuit la note du comité politique de l’Alliance (à télécharger ici).

Des Européens un peu plus solidaires

Mais, à l’échelle de l’évènement, et de la situation d’aujourd’hui, on peut remarquer que la mobilisation et la prise en charge est rapide. « C’était le premier mouvement dans lequel les réfugiés étaient reconnus en masse » souligne António Guterres, le Haut commissaire aux réfugiés (HCR), en 2006, lors de la commémoration des 50 ans de cet exode. « Nous avions réinstallé 100 000 personnes dans les dix premières semaines ce qui, je crois, est inimaginable aujourd’hui. » Fin février 117.000 Hongrois sont ainsi repartis d’Autriche vers plusieurs pays, grâce à une politique de « quotas » d’accueil mis en place.

Mais la France et les Etats-Unis… déjà très pingres

L’accueil est très inégal cependant. En chiffres absolus, ce sont les Etats-Unis (28600), le Royaume-Uni (18700), le Canada (13600), l’Allemagne (11600), la Suisse (10300) et la France (8900) qui accueillent le plus grand nombre des réfugiés en chiffres absolus. Mais, en part relative (par rapport à la population), c’est la Suisse (2000 réfugiés par million d’habitants), Israel (910/million habitants), le Canada (850/million) et la Suède (550 par million) qui font le plus d’effort. Plusieurs pays (Australie, Allemagne, Canada, Royaume-Uni, Norvège, Suède et le Venezuela) lèvent rapidement les plafonds indiqués au préalable ou l’augmentent de façon notable. L’Allemagne (déjà !) s’engage à accueillir, à elle seule, 10% des réfugiés. C’est le seul « grand pays » à dépasser la barre de 500 réfugiés par million d’habitants accueillis. Au final, ce sont les Etats-Unis et la France qui sont les plus pingres, qui accueillent le moins de réfugiés…« Résultat conforme à leur attitude restrictive en matière d’accueil des réfugiés » écrit Louis Henry.

Commentaire : le Premier ministre Hongrois, Viktor Orban, et les dirigeants de l’Est de l’Europe, qui se réunissent en sommet ce vendredi, à Prague, devraient se rappeler la solidarité qui a marqué l’accueil de réfugiés, à commencer par l’Autriche et l’Allemagne qui ont assuré. A l’époque, l’Autriche qui se relevait à peine de la Seconde guerre mondiale aurait pu fermer ses frontières. Et l’Europe aurait pu laisser tomber l’Autriche et la Yougoslavie. Cela n’a pas été le cas… Un peu de décence, et tout simplement de mémoire historique, serait bienvenu de la part de ses dirigeants. Mais le manque de solidarité n’est pas l’apanage des pays d’Europe de l’Est. On peut remarquer la position plutôt gênée, et pour tout dire peu généreuse de la France comme du Royaume-Uni. A l’extérieur de l’Europe, les Etats-Unis tout comme la Russie, qui ont une part de responsabilité dans le drame syrien et sont également membres du Conseil de sécurité de l’ONU, devraient faire un effort notable.

Second Samuel Beckett-class OPV LE James Joyce joins Irish Navy fleet

Naval Technology - Fri, 04/09/2015 - 01:00
The Irish Naval Service has held the official naming and commissioning ceremony of the second Samuel Beckett-class offshore patrol vessel (OPV), LE James Joyce (P62) at the Carlisle Pier in Dun Laoghaire, County Dublin.

China unveils advanced anti-ship missiles

Naval Technology - Fri, 04/09/2015 - 01:00
China has reportedly unveiled several advanced ballistic missiles, including new anti-ship missiles, at a military parade in Beijing, marking 70 years since the end of WWII.

Northrop to deliver navigation suite upgrades to RNZN's Anzac-class frigates

Naval Technology - Fri, 04/09/2015 - 01:00
The New Zealand Ministry of Defence has selected Northrop Grumman to deliver navigation suite upgrades to the Royal New Zealand Navy's (RNZN) two Anzac-class frigates.

Raytheon secures $149m from US Navy for SM-6 programme

Naval Technology - Fri, 04/09/2015 - 01:00
Raytheon has secured an additional $149m from the US Navy for 74 Standard Missile-6 (SM-6) all up rounds, spares, containers, and services.

Pleurer c’est bien, agir c’est mieux. Mogherini dit halte aux larmes de crocodile…

Bruxelles2 Blog - Thu, 03/09/2015 - 19:14

(crédit : présidence luxembourgeoise)

(B2 à Luxembourg) La Haute représentante de l’UE, Federica Mogherini, a eu des mots assez durs sur le bal des pleurs, un tantinet hypocrites, qui ont marqué la publication de la photo d’un enfant syrien, mort noyé sur les rivages turcs. « Nous sommes tous choqués par ces images. Cela nous rappelle la réalité des évènements dramatiques, même quand nous ne les voyons pas… ».

J’en ai marre…

Mais devant la presse, l’italienne, ancienne ministre des Affaires étrangères, a aussi tenu à ajouter un zeste colère…. « J’en ai un petit peu marre du fait qu’on demande aux hommes/femmes politiques de donner une réaction émotionnelle. Oui. Nous devons réagir. Mais de manière cohérente et rationnelle. Il ne faut pas simplement être choqué, mais ensuite être responsable, et prendre les décisions qui découlent de ce sentiment. (…) Notre travail (à nous Politiques) n’est pas d’exprimer de la tristesse, ou d’exprimer une minute de silence mais de faire des propositions, d’améliorer le contexte pour prendre des décisions, et ensuite de veiller à ce que ces décisions soient traduites dans les faits. Et ce rapidement ! »

L’Europe ne peut pas être fière d’elle-même

« Dans l’Union européenne, face à cette crise de migrations et des réfugiés, nous n’avons pas beaucoup de raisons d’être fier » a-t-elle remarqué, notant une exception : l’opération lancée contre les trafiquants et migrants, EUNAVFOR Med. « Il est important de souligner que l’UE a pu travaillé ici de façon rapidement, de façon efficace, avec un soutien des Etats membres ». C’est la preuve selon elle que « lorsque nous agissons de la sorte, de façon rapide et décidée, nous voyons les résultats ».

Nous n’avons plus le luxe d’attendre

« Cette crise sans précédent, nous ne pourrons pas y faire face par le biais d’une approche isolée des Etats membres, par une politique intérieure ou extérieure uniquement, il faut que l’Europe agisse vite dans la solidarité et la responsabilité. Chacun commence à comprendre qu’on ne peut plus s’offrir le luxe de pouvoir de reporter les décisions à plus tard. »

Commentaire : que dire de plus … De façon très modérée, sans nommer l’un ou l’autre, la Haute représentante de l’UE a su – à mon sens – trouver les mots justes pour souligner et fustiger l’attitude un tantinet égoïste, voire autiste de plusieurs dirigeants européens qui, depuis des mois, ont feint d’ignorer cette crise qui arrivait, renvoyant aux pays de « première ligne » (Italie, Grèce, Malte et Bulgarie au départ), toute responsabilité d’agir…

(Nicolas Gros-Verheyde)

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