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Our Foreign Policy: a Republican View

Foreign Affairs - Sat, 08/10/2011 - 02:51
WHEN the Republican Administration came into power on March 4, 1921, the country had given a clear and unmistakable indication of the line which it desired that our foreign policy should take. The preceding campaign had been fought largely on the issue of whether this country should abandon its traditional policy of independence in foreign affairs and should substitute for it a policy under which our independence of action might be subordinated to the decision of other nations. Even during the war our traditional policy had been scrupulously maintained. President Wilson had been careful to specify the conditions on which we entered into a limited partnership with other nations for the conduct of the war, and had insisted that that partnership be described as "The Allied and Associated Powers". Having entered the war on our own terms and for certain designated objectives, when those objectives had been attained and peace had been secured, the nation showed that it was ready to put an end to the temporary partnership and in the future to conduct its foreign relations in accordance with the historic American policy.

Abyssinia and the Powers

Foreign Affairs - Sat, 08/10/2011 - 02:50
THE Abyssinian representatives in Geneva had proclaimed their intention of making a formal speech of protest at the autumn session of the Assembly of the League of Nations against the recent Anglo-Italian agreement which, despite reassuring statements in London, was regarded in many quarters -- particularly in Paris -- as a prelude to the division of Abyssinia into spheres of economic interest between Great Britain and Italy. London and Rome at the last moment induced Abyssinia to adopt a different course. The Empire of Abyssinia -- or, as it is now officially styled, Ethiopia -- has an area of about 350,000 square miles and a population of something like 10,000,000. Of these only about 3,500,000 belong to the Abyssinian ruling race. The rest are of Galla or other Hamitic stock or, in the conquered equatorial regions, are negroes. Though the Abyssinians proper are one of the oldest of Christian nations, at least half the total population are Mohammedans: indeed, a few years ago, after the death of the late King Menelek, it looked as if the Mohammedans might get the upper hand.

Nationalism and Internationalism

Foreign Affairs - Sat, 08/10/2011 - 02:47
Alfred E. Zimmern argues that, in post-WWI Europe, the real obstacle to the Wilsonian vision of international cooperation and coordination is not resurgent nationalism, but the myopic, self-interested behavior of states and statesmen.

La démocratie est l'antidote absolu contre la famine

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - Sat, 01/10/2011 - 18:25
Le Prix Nobel d'économie en 1998 Amartya Sen a démontré, en s'appuyant sur l'étude de la famine au Bengale de 1942-1944, que les famines modernes ne sont pas dues au manque de nourriture, mais plutôt aux inégalités provoquées par des mécanismes déficients de distribution de la nourriture.

Ainsi, le prix des céréales a augmenté de 240 % en un an dans la ville de Baidoa, en Somalie, et celui du maïs de 117 % dans certaines régions d'Ethiopie. Cet emballement des prix, caractéristique des famines, affecte beaucoup plus durement les pauvres que les riches et tue, au final, plus d'enfants que d'adultes.
Avec la meilleure compréhension que l'on a du phénomène des famines, tant sur le plan économique que médical, il n'est pas imaginable de ne pas sécourir les populations concernées.

Cependant, le Somaliland lui est épargné par la famine jusqu'à ce jour parce qu'il a pu mettre en place une bonne gouvernance, une lutte efficace contre l'inflation et la corruption et enfin une certaine transparence sécuritaire. D'ailleurs, l'état somalilandais a demontré  depuis ses 20 ans d'existence , d'énormes et impressionantes qualités  democratiques dans tout son appareil étatique.
De ce fait donc, cette famine en Somalie n'a rien d'inéluctable au regard des infrastructures d'aide humanitaire d'urgence et de la capacité de pression politique dont les pays riches et émergents disposent dans le court terme. Dans le long terme, Amartya Sen démontre qu'il faut soutenir la démocratie qui,  est l'antidote absolu contre la famine.
Categories: Afrique

Somalie : la piraterie entre t'elle dans une nouvelle ère ?

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - Fri, 30/09/2011 - 23:30
La piraterie en Somalie a t'elle encore des beaux jours devant elle ?  Selon les faits avérés ses dernières semaines, la réponse serait plutôt affirmative. C'est devenu un vrai business où les spécialistes font de prévisions . D'ailleurs, on prédit déjà 150 millions de dollars de rançons récupérés pour l'année 2011 par les pirates.


A la différence des années précédentes, les pirates sont devenus plus audacieux et ont changé de fait de modus opérandi.


Ils sont devenus plus violents , comme les faits relatés suivants le montrent  ::
  1. Le 29 septembre 011dernier, les pirates somaliens ont tenté d'attaquer le vraquier chypriote Pacific Express à 300 milles des côtes kenyanes devant Mombasa. Selon le modus operandi habituel, ils sont arrivés à bord d'esquifs rapides puis sont montés à bord pour prendre l'équipage en otage. Celui-ci, constitué de 26 marins philippins et ukrainiens, avait réussi à s'enfermer dans la citadelle du navire et a pu appeler au secours la frégate italienne Andrea Doria, qui croisait à proximité. A la différennce des actes précédents, les pirates ont alors, mis le feu au navire, en espérant sans doute que l'équipage serait obligé de quitter la citadelle. Ils ont rapidement pris la fuite quand ils ont vu l'Andrea Doria s'approcher. Les marins ont été ensuite rapidement évacués à bord de la frégate et ramenés à Mombasa. 
  2. L'enlèvement de Judith Tebbutt et l'assassinat de son mari au Kenya,  cet acte démontré comme une nouvelle tendance éventuelle des activités des pirates. Ces nouveaux agissments se sont transformés en une véritable menace à long terme de la criminalité dans les zones côtières de la Corne de l'Afrique. Les pirates ont de fait démontrés leur audace et leur faculté à pouvoir sévir au Kenya et même plus loin à  Djibouti, au Yemen sur la terre ferme. Les étrangers et plus précisément les occidentaux sont devenus leurs cibles prioritaires.
  3.  il y a 2 semaines déjà,   le voilier d'un couple de plaisancier français est pris d'assaut par des pirates somaliens dont le mari Mr Christian Colombo est mort lors de cet attaque dans des circonstances non encore élucidées. 
Categories: Afrique

Berbera, l'avenir du Somaliland

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - Tue, 27/09/2011 - 17:19
Le port de Berbera exporte près de 2 millions de têtes de bétail par an. Il est la principale source de revenus du Somaliland. La région autonome entend en faire un port incontournable dans la Corne de l'Afrique.

Le port de Berbera fait face à la mer Rouge. La chaleur dans cette ville du Somaliland est assommante. Le thermomètre flirte avec les 40 degrés. «Cela fait deux ans qu'il n'a pas plu», raconte un chauffeur de taxi. Le paysage est désertique: du sable à perte de vue, quelques buissons ça et là, et une route goudronnée qui relie l'aéroport à la ville.

De midi à 16h, Berbera ressemble à une ville fantôme. Il fait trop chaud pour faire quoique ce soit. Les maisons se succèdent sans une âme qui vive. Parfois quelques chèvres ou un chameau se baladent sur la route. Après la traversée d'un cimetière de bateaux, il apparaît: le port.

Des troupeaux, encore des troupeaux

Berbera est la première source de revenus du Somaliland. Cette région fait son beurre sur l'exportation de bétail. Chèvres, vaches, chameaux, moutons... Depuis 2008, près de deux millions de têtes de bétail sont envoyées chaque année de l'autre côté de la mer Rouge, vers les pays du Golfe. L'Arabie saoudite est le principal client. Les Emirats arabes unis et le Qatar achètent également de la viande congelée.

«Tous ces animaux, c'est mon commerce», confie Mahmud Ahmad Yussef, berger de 28 ans. «C'est un bon travail. Le Somaliland n'offre pas beaucoup d'opportunités d'emplois. Avec ces animaux je gagne environ 250 dollars par mois», se réjouit-il.

Sur les 3,5 millions d'habitants du Somaliland, 55% vivent du pastoralisme. Berbera représente donc une aubaine pour ces bergers nomades.

Tant et si bien que le gouvernement de la région autonome a mis les moyens pour professionnaliser le secteur. Avec l'aide de l'Union européenne, une école vétérinaire a été inaugurée à quelques kilomètres de Berbera. Après trois ans d'études, les jeunes vétérinaires peuvent mettre leurs connaissances au profit du marché de l'exportation.

«Notre école a été créée pour répondre à un besoin urgent», explique Thomas Bazaru Sanga, directeur de l'établissement. «Le secteur pastoral du Somaliland est tourné vers l'exportation. Or, depuis la guerre civile, il n'y avait plus de cadres pour le gérer. Pendant la guerre, le secteur de l'éducation ne fonctionnait plus. Nous avons donc relancé cela en fondant cette école et en formant des cadres qui pourront moderniser l'activité pastorale.»

Chaque année plusieurs milliers d'animaux sont traités dans l'école vétérinaire de Berbera. Etudiants et bergers y font leurs armes pour plus tard. «Nos élèves font leur pratique à Berbera. Ils sont tout à fait familiers avec cet endroit. Et une fois leur cursus terminé, ils mènent rapidement des activités d'export», se satisfait le directeur.

De grands projets pour Berbera

Le gouvernement du Somaliland a de grandes aspirations pour son port. A terme, il voudrait en faire le deuxième de la Corne de l'Afrique et le principal concurrent de Djibouti.

«Le port de Berbera est une fenêtre sur le monde. Il offre des capacités incroyables au Somaliland. Si nous les utilisions à plein, nous pourrions développer bien d'autres secteurs», affirme Mohammed Abudllahi Omar, ministre des Affaires étrangères.

Le gouvernement a déjà lancé des travaux pour améliorer les routes et ressusciter le «corridor de Berbera». Il faut relier le port aux pays limitrophes qui pourraient être intéressés par une alternative à Djibouti.

«L'Ethiopie et ses 80 millions d'habitants sont juste à côté de nous. Si ce pays utilisait Berbera, ne serait-ce que pour exporter la moitié de ses marchandises, alors cela pourrait grandement changer la donne économique de la région», se réjouit le ministre.

En réalité, l'Ethiopie exporte déjà 20% de son commerce par Berbera. La création du Soudan du Sud offre également de nouvelles perspectives au port. «On peut imaginer que Berbera sera une option intéressante pour le Sud s'il désire s'émanciper du Nord pour ses exportations», ajoute Mohammed Abdullahi Omar.

A travers son port, le Somaliland exporte aussi des peaux, de la myrrhe et de l'encens. Le gouvernement entend continuer dans cette voie pour diversifier les activités. En 2009, Berbera rapportait 75% du revenu annuel du Somaliland, qui s'élevait à 35 millions d’euros.

Par Laleix
Categories: Afrique

Putyin-Medvegyev csere

EuVI - Média Blog - Mon, 26/09/2011 - 13:24

Interjú Rácz Andrással
Nem örülnek a gyenge Oroszországban érdekeltek, ugyanis 2012-től újra a keménységéről ismert Vladimir Putyin lehet Oroszország első számú vezetője, miután a jelenlegi hatalmi erő az Egységes Oroszország Párt őt javasolja elnökjelöltnek.

Putyin 2000-től 2008-ig, két cikluson át volt Oroszország elnöke, az alkotmány értelmében egymás után háromszor nem indulhatott. A négy éves kormányfői munka után azonban visszatérhet az ország élére, miután a jelenlegi államfő Dmitrij Medvegyev ahelyett, hogy újrajelöltette volna magát, elegánsan hátralépett. Putyint a lakosság 74 százaléka támogatja, ezért a kormánypárt mind a parlamenti, mind az elnökválasztáson biztos sikerre számíthat.

Forrás : Tandem - Rájátszás (HírTV)

Szlovén - Magyar összefogás

EX-YU / Szlovénia (Szlovénia/Muravidék) - Thu, 25/08/2011 - 11:38

A fiatalok képzésbe való visszairányítását szolgálja, nappali és felnőttképzésből történő lemorzsolódásukat előzheti meg a határon átnyúló Tanulással a tudásig, tudással a képzettségig című szlovén–magyar együttműködési program

September 11 in Retrospect

Foreign Affairs - Fri, 19/08/2011 - 17:39
It’s tempting to see the 9/11 attacks as having fundamentally changed U.S. foreign policy. It’s also wrong. The Bush administration may have gone over the top in responding, but its course was less novel than generally believed. A quest for primacy and military supremacy, a readiness to act proactively and unilaterally, and a focus on democracy and free markets—all are long-standing features of U.S. policy.

Land Rover Defender

Military-Today.com - Thu, 18/08/2011 - 01:55

British Land Rover Defender Light Utility Vehicle
Categories: Defence`s Feeds

Al Qaeda’s Challenge

Foreign Affairs - Thu, 18/08/2011 - 00:33
On 9/11, the global jihadist movement burst into the world's consciousness, but a decade later, thanks in part to the Arab Spring and the killing of Osama bin Laden, it is in crisis. With Western-backed dictators falling, al Qaeda might seem closer than ever to its goal of building Islamic states. But the revolutions have empowered the group's chief rivals instead: Islamist parliamentarians, who are willing to use ballots, not bombs.

UAZ-469

Military-Today.com - Tue, 09/08/2011 - 01:50

Russian UAZ-469 Light Utility Vehicle
Categories: Defence`s Feeds

A rakétapajzs kérdőjelei

EuVI - Média Blog - Sat, 09/07/2011 - 00:00

ECHO TV : Jelen-Időben
2011.07.09.

Nézze meg az EchoTV oldalán!

Magyar Hírlap Sajtóklub
Varga Gergely biztonságpolitikai szakértő, Nemzetvédelmi Egyetem, (EuVI)
Téma: Nagyhatalmak és Magyarország
Műsorvezető: Máté T. Gyula és Kúl Bernadett.

Az Egyesült Államok nem hanyagolja el Közép-Európát

EuVI - Média Blog - Mon, 04/07/2011 - 00:00

Budapest, 2011. július 4., hétfő (MTI)

Magyarics Tamás, a Magyar Külügyi Intézet (MKI) igazgatója szerint a transzatlanti hét eseményei cáfolatot adtak azokra a korábbi aggodalmakra, hogy az Egyesült Államok elhanyagolja Közép-Európát.

A Külügyminisztérium háttérintézményeként működő MKI igazgatója szerint az amerikai diplomáciai nagyhét annak elismerése is volt, hogy a térségben megállapodott demokráciák vannak. A transzatlanti diplomáciai nagyhét értékeléséről rendezett hétfői beszélgetésen Magyarics Tamás idézte Hillary Clinton külügyminisztert, aki budapesti látogatása során megjegyezte: egy ország addig demokráciának tekinthető, amíg a kormány demokratikus választásokon leváltható.

Az MKI igazgatója azzal kapcsolatban, hogyan illik bele a transzatlanti hét a magyar külpolitikai stratégiába, elmondta: Magyarország és az Egyesült Államok Európáról vallott víziója megegyezik egymással, mindkettő erős, egységes és szabad Európát akar látni. Azt is hangsúlyozta, hogy a magyar külpolitikában a transzatlanti kapcsolat egyenrangú az EU-kapcsolatrendszerrel, a kettő egymást kiegészíti, az egyik a másik nélkül nem képzelhető el.

Arra is kitért, hogy Washington az európai szövetségesekre egyre inkább mint partnerekre tekint. Megjegyezte, a nemzetközi életben jelentős, egyelőre elsősorban gazdasági átrendeződések figyelhetők meg, amelyek előbb-utóbb más területeken is átrendeződéseket fognak előidézni.

Kereszty Gabriella miniszteri főtanácsadó azt hangsúlyozta, hogy a szabadság eszméjét középpontba állító transzatlanti hét - két fő eseményével, a Reagan-szobor avatásával és a Tom Lantos Intézet megnyitásával - egyértelműen mutatja Magyarország elkötelezettségét a transzatlanti kapcsolatok, s azon belül a magyar-amerikai kapcsolatok fontossága iránt.

A Külügyminisztérium szakértője rámutatott: a hét eseményein történt magas szintű amerikai részvétel - Budapestre érkezett az Egyesült Államok jelenlegi és volt külügyminisztere, illetve egykori igazságügy-minisztere, továbbá két kongresszusi delegáció - arra utal, hogy az Egyesült Államok továbbra is érdeklődik a térség iránt, fontosnak tartja Közép-Kelet-Európát.

A főtanácsadó azt mondta, nem véletlen, hogy az EU-elnökség végén rendezték meg a transzatlanti hetet, és elmondta, hogy a magyar elnökség igyekezett előmozdítani a legfontosabb transzatlanti dossziékat Brüsszelben. Hozzátette, hogy a transzatlanti közösség nemcsak érdek-, hanem értékalapú köteléket jelent, és utalt arra: Ronald Reagan volt amerikai elnök és Tom Lantos egykori magyar származású kongresszusi képviselő is kiállt a demokrácia, az emberi jogok eszméje mellett.

Fehér Zoltán, (EuVI) a Magyarországi Ronald Reagan Emlékbizottság titkára elmondta, húsz éve nem fordult elő, hogy ilyen magas rangú amerikai diplomaták, politikusok, kongresszusi küldöttségek érkeztek egyszerre Budapestre, szerinte ezzel Magyarország iránt nagy szimpátia nyilvánult meg. Fontosnak mondta, hogy nemcsak a kormányon levő demokratákkal, hanem az ellenzéki republikánusokkal is erősíteni kell a kapcsolatokat.

Kifejtette, a transzatlanti hetet féléves előkészítés előzte meg, a szervezők úgy érezték, a Reagan-szobor avatása, a Lantos-intézet megnyitása, valamint a transzatlanti törvényhozók dialógusa egymást erősítő elemek.

Sajtóvisszhang

- A legfontosabb a szabadság (Hír TV, 2011.07.05 09:09)
A Budapesten sorra kerülő transzatlanti héten egy jelenlegi és egy korábbi külügyminiszter is tiszteletét tette az Egyesült Államokból, a rendezvény eredményeit számba vevő előadáson – a Külügyi Intézetbe...

- Magyarics Tamás: az Egyesült Államok nem hanyagolja el Közép-Európát (SiófokiNapilap, 2011.07.05 08:23)
Magyarics Tamás, a Magyar Külügyi Intézet (MKI) igazgatója szerint a transzatlanti hét eseményei cáfolatot adtak azokra a korábbi aggodalmakra, hogy az Egyesült Államok elhanyagolja Közép-Európát.

- Az Egyesült Államok nem hanyagolja el Közép-Európát (Népszava, 2011.07.04 21:59)
Magyarics Tamás, a Magyar Külügyi Intézet (MKI) igazgatója szerint a transzatlanti hét eseményei cáfolatot adtak azokra a korábbi aggodalmakra, hogy az Egyesült Államok elhanyagolja Közép-Európát.

- Ne aggódjunk? Amerika figyel ránk (Hírszerző, 2011.07.04 19:35)
Magyarics Tamás, a Magyar Külügyi Intézet (MKI) igazgatója szerint a transzatlanti hét eseményei cáfolatot adtak azokra a korábbi aggodalmakra, hogy az Egyesült Államok elhanyagolja Közép-Európát.

- Az Egyesült Államok nem hanyagolja el Közép-Európát (Ma.hu, 2011.07.04 19:23)
Magyarics Tamás, a Magyar Külügyi Intézet (MKI) igazgatója szerint a transzatlanti hét eseményei cáfolatot adtak azokra a korábbi aggodalmakra, hogy az Egyesült Államok elhanyagolja Közép-Európát.

- Fantasztikus hét: néhány napig a fél világ minket figyelt (MNO, 2011.07.05 06:30)
A Budapesten sorra kerülő transzatlanti héten egy jelenlegi és egy korábbi külügyminiszter is tiszteletét tette az Egyesült Államokból, a rendezvény eredményeit számba vevő előadáson – a Külügyi Intézetben – pedig szintén megjelent egy korábbi tárcavezető. A prezentációk központi eleme, csakúgy mint múlt héten, a szabadság volt.

Que choisir comme tablette pour jouer en ligne ?

Aumilitaire.com - Sun, 26/06/2011 - 08:57
Trop chères, trop petites, trop lourdes, trop compliquées, les consommateurs ont formulé de nombreuses critiques à propos des tablettes numériques depuis leur essor en 2010. Aujourd’hui, les marques ont réagit et offrent des options toujours plus compétitives, corrigeant les erreurs des premières versions. Malgré un marché en baisse, la tablette numérique présente de réelles qualités ...
Categories: Défense

Tagash

Military-Today.com - Fri, 24/06/2011 - 20:30

Israeli Tagash Armored Bridgelayer
Categories: Defence`s Feeds

Didgori

Military-Today.com - Fri, 24/06/2011 - 17:00

Georgian Didgori Armored Personnel Carrier
Categories: Defence`s Feeds

Agreeing on Afghanistan

Foreign Affairs - Wed, 22/06/2011 - 06:12
When the White House reviewed U.S. strategy in Afghanistan in 2009, it opted for an adversarial decision-making process, with each camp fighting for its position. This time around, the administration has wisely chosen a process aimed at reaching a consensus -- a decision that should make executing the strategy easier.

Why Middle East Studies Missed the Arab Spring

Foreign Affairs - Mon, 20/06/2011 - 02:49
Middle East experts were as surprised as everyone else by the Arab revolts. Focused on explaining the stability of local autocracies in recent decades, they underestimated the hidden forces driving change. As they wipe the egg off their faces, they need to reconsider long-held assumptions about the Arab world.

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