European Council meeting will take place on 28-29 June 2016 in Justus Lipsius building in Brussels.
Now open for last-minute accreditation requests (online only)Please note that due to the current security situation in Belgium, specific security measures have been put in place for last minute accreditation requests. Media representatives applying for the first time or who have not been fully security screened in the last 18 months (i.e. have not attended a summit in the last 18 months or had registered last minute) will be the subject of a comprehensive and detailed verification by our security service. Considering the time and resources needed for these verifications, not all requests may be processed. Media are therefore advised to avoid sending representatives falling into these categories.
If this is your first registration, please make sure you have a recent ID-size photograph in JPEG format (.jpg) and the number of your passport or identity card ready before starting the online process.
You will receive an acknowledgement of receipt by email. Please read it carefully as it includes the list of original documents you will be asked to provide when collecting your badge. Depending on your profile, the requested document will include: Passport or ID card, press card and/or a letter from your editor-in chief as well as the signed original of your application for security clearance (only for media representatives of Belgian nationality or resident in Belgium). The press centre may contact you to request additional information if necessary. No accreditation badge will be issued if you cannot provide all required documents.
Trainees with media organisations who do not possess a press card are not entitled to request accreditation.
Journalists holding a 6-month badge
(01.01.2016 - 30.06.2016) do not need to register
6-month badges can be collected at the accreditation centre of the LEX building during summits. Please ensure that you have all the required documents when collecting your badge.
Collection of badgesAccreditation badges must be collected in person from the LEX building (145 rue de la Loi, Brussels)
Practical information on the press centre and the media programme will
follow.
For more details on the European Council meeting, see
the meeting page.
On 27 May 2016, the Council adopted Council Decision (CFSP) 2016/849[1] concerning restrictive measures against the Democratic People's Republic of Korea.
The Council Decision adopted additional restrictive measures against the Democratic People's Republic of Korea (DPRK) by prohibiting the supply, sale or transfer to the DPRK of further items, materials and equipment relating to dual-use goods and technology. In addition, it prohibits transfers of funds to and from DPRK unless specifically authorised in advance.
Furthermore, the Council Decision prohibits any aircraft operated by DPRK carriers or originating from DPRK from landing in, taking off from or overflying Member States' territory as well as any vessel that is owned, operated or crewed by DPRK from entering into Member States' ports. It introduces a prohibition on the import of luxury goods from DPRK, as well as prohibitions on all investment by the DPRK in the EU and the provision of financial support for trade with DPRK.
The Candidate Countries the former Yugoslav Republic of Macedonia*, Montenegro* and Serbia*, the country of the Stabilisation and Association Process and potential candidate Bosnia and Herzegovina, and the EFTA countries Iceland, Liechtenstein and Norway, members of the European Economic Area, as well as the Republic of Moldova and Armenia align themselves with this Council Decision.
They will ensure that their national policies conform to this Council Decision.
The European Union takes note of this commitment and welcomes it.
[1] Published on 28.5.2016 in the Official Journal of the European Union no. L 141, p. 79.
* - The former Yugoslav Republic of Macedonia, Montenegro and Serbia continue to be part of the Stabilisation and Association Process.
L’annonce a fait peu de bruit car très peu relayée dans les médias. Dans un entretien publié hier sur le site du huitième arrondissement de Budapest, l’adjoint au maire Botond Sára a annoncé le déblocage de 2 milliards de forint pour la mise en chantier de la première phase du plan de développement du quartier Orczy. Budget plutôt modeste au regard des moyens mobilisés pour réhabiliter le quartier voisin Magdolna (plus de 4 milliards en tout), d’autres investissements devraient suivre assure l’élu, avec en tête les précieuses aides de la Commission européenne en faveur des quartiers en difficulté.
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Le quartier Orczy est sans doute l’un des derniers faubourgs très populaires situés à proximité du centre-ville de Budapest. Les maisons basses, noircies par le temps, souvent décharnées, abritent souvent des familles en grande détresse sociale, en raison d’une concentration rare de logements publics à loyers très abordables. Ces derniers, vestiges de la période communiste, sont en réalité des logements sociaux «de faits», que la municipalité d’arrondissement a laissé se dégrader depuis plus de vingt ans. D’ailleurs, le quartier voisin de Corvin-Szigony avait été entièrement rasé au tournant des années 2000 pour des raisons d’insalubrité avancée. Le quartier Orczy ne devrait pourtant pas connaître le même sort, mais plutôt bénéficier d’un ravalement de façade très similaire à celui du quartier Magdolna, situé également à proximité.
Immeuble dégradé de Dioszeghi utca. Une réhabilitation qui n’aurait de sociale que le nom ?Le vocable mobilisé – «réhabilitation sociale», «développement communautaire» – devrait autant rassurer que l’objectif affiché de conservation dans le giron de la municipalité, des logements remis à neuf. Dans la mesure où de nombreux logements ne disposent même pas de salle d’eau, leur agrandissement nécessaire s’accompagnera logiquement d’une baisse du stock d’appartements publics disponibles. Si l’on regarde la façon dont les relogements ont été opérés dans le cadre de programmes similaires à Budapest, il est très probable que de nombreux locataires se voient contraints de déménager dans la grande banlieue de la capitale, notamment Kőbánya ou Csepel. S’ils acceptent un dédommagement financier, la baisse votée l’année dernière de la base de son calcul par le conseil d’arrondissement ne leur permettra pas pour autant de se maintenir à telle proximité du centre. Enfin, l’augmentation mécanique des charges – due à la recatégorisation des logements après rénovation – alourdira la contrainte financière pour les ménages, dont de nombreuses ont été mises à la rue dans les secteurs déjà réhabilités.
Dans le quartier Magdolna, de nombreuses expulsions ont défrayé la chronique l’an passé.L’ambition du maire d’arrondissement, le très conservateur Máté Kocsis, semble de plus en plus claire concernant sa stratégie de résorption de la pauvreté. Son annonce très récente de conditionner les aides municipales pour le recouvrement des arriérés à la «bonne volonté» des familles, confirme par ailleurs ce que nous avions déjà écrit sur les enjeux de telle conception morale de la question sociale. Considéré comme un quartier dangereux, en raison de nombreux drogtanya («fermes de drogue»), beaucoup de résidents sont de toutes façons déjà condamnés à ses yeux pour leur «déviance» (sic). Ayant décidé de rehausser les critères d’attribution des logements vacants, avec notamment l’idée d’un salaire palier et une limite d’âge, l’édile du Fidesz cherche très clairement à attirer les jeunes ménages ayant une situation professionnelle stable et un comportement conforme à ses desiderata.
Un quartier touché par des grands projets métropolitains Projets de complexes de bureaux entre le quartier Corvin et Orczy.Comme le rappelle Botond Sára dans son entretien, il ne faut pas non plus oublier la connexion de la réhabilitation du quartier Orczy avec d’autres projets urbains menés à proximité. Qu’il s’agisse de la rutilante nouvelle Université nationale d’administration publique («l’ENA à la hongroise») sur le campus Ludovica ou encore du Parc scientifique construit dans le prolongement de la promenade Corvin, l’équipe municipale aimerait faire advenir un quartier conforme à la stratégie métropolitaine du maire Budapest István Tarlós. L’opération est également intéressante du point de vue électoral, dans la mesure où les étudiants qui devraient trouver leur logement dans le futur quartier Orczy, aspirent à devenir hauts fonctionnaires, policiers ou militaires, secteurs professionnels considérés comme plutôt acquis à la droite.
Elèves de l’Université nationale d’administration en tenue d’apparat.Il est vrai que lorsque le promeneur voit l’état des logements de ce quartier, notamment sur Diószeghi Sámuel utca, pareilles craintes ne semblent pas tenir face à la nécessité d’agir. Pour autant, telle politique urbaine – connue sous le terme d’urbanisme de projet – se préoccupe très rarement des questions d’exclusion sociale, dans la mesure où ce genre de problèmes se résout plutôt par des mesures structurelles – fiscalité redistributrice, État providence, lutte contre le chômage. Sans vouloir être trouble-fête, il est fort à parier que si le quartier Orczy retrouve effectivement des belles couleurs et qu’il sort du marasme social dans lequel il est, cela se fera très certainement sans ses actuels occupants.
Streitkräfteplanungen stoßen immer an Grenzen, die durch finanzielle Ressourcen gesetzt sind. Nicht einmal steigende Budgets sind eine Garantie für eine ausgewogene Planung. Vor diesem Hintergrund ist es geboten, das seit 2013 vom Bundesministerium der Verteidigung etablierte Planungsprinzip »Breite vor Tiefe« zu überprüfen. Denn je breiter das Spektrum der in der Bundeswehr vorzuhaltenden Fähigkeiten ist, desto weniger nachhaltig – in der Sprache der militärischen Planer: durchhaltefähig – sind diese Kapazitäten. Breite und Tiefe verlangen aber nicht nur nationale finanzielle, sondern vor allem multinationale kooperative Anstrengungen. Noch lässt sich nicht erkennen, ob und wie die nationalen verteidigungspolitischen Entscheidungen in ein europäisches Gesamtkonzept einzupassen sind. Eine Betrachtung des »Framework Nation Concept« (FNC) und anderer Kooperationsmodelle legt nahe, dass die Defizite des »Breite vor Tiefe«-Ansatzes nur behoben werden können, wenn Deutschland mit seinen großen Partnern – vor allem mit Frankreich und dem Vereinigten Königreich – intensiver zusammenarbeitet. Dabei bleibt die Spannung zwischen Autonomie und Kooperationsfähigkeit ein Charakteristikum europäischer Verteidigungspolitik.