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Le conflit israélo-arabe : un accord impossible ?

IRIS - Wed, 04/11/2015 - 11:09

Jérusalem connaît une nouvelle vague de violences. Certains vont jusqu’à parler d’une troisième Intifada. Le mot vous semble-t-il approprié ?
Le terme renvoie à l’idée de soulèvement. Ce à quoi on assiste en ce moment, ce sont plutôt des initiatives isolées. Il n’y a pas de slogan général, si ce n’est la défense de Jérusalem et de l’esplanade des mosquées. Mais ça signifie quand même quelque chose. C’est la traduction en actes violents de l’état d’exaspération et de désespoir de la jeunesse palestinienne. C’est la génération Oslo, celle qui a vécu l’échec des accords. Quand vous parlez d’actualité, c’est aussi l’anniversaire de l’assassinat d’Yitzhak Rabin. Il faut rappeler qu’il a été assassiné par un extrémiste juif qui avait pour objectif de faire échouer les accords d’Oslo…

Ces derniers mois, on a moins parlé du conflit israélo-palestinien « au profit » du djihadisme au Moyen-Orient. Quelle est l’articulation entre les deux ?
En l’état actuel, il n’y a pas de connexion, de relation. Les djihadistes n’ont pas la cause palestinienne comme revendication première, loin s’en faut ! Ils ne sont pas mus par ce conflit. Leurs principaux ennemis sont d’abord incarnés par les Chiites. Le problème, c’est que les nationalismes qui alimentent le conflit israélo-arabe connaissent une évolution religieuse. Il y a une emprise du religieux dans ce qui était à l’origine des nationalismes relativement classiques, avec libération nationale et création d’un État indépendant. Cette dérive pourrait être finalement récupérée par les djihadistes pour transformer la cause palestinienne en cause purement religieuse. Vous avez aussi une partie de la droite israélienne qui tend à plaquer une grille de lecture religieuse au conflit. Les références à la Bible sont devenues omniprésentes dans les discours politiques. On ne parle plus par exemple de Cisjordanie mais de Judée Samarie.

Le thème c’est : « l’accord impossible ». Est-ce vraiment mort ?Le problème, c’est que l’on s’interroge sur l’existence même d’une volonté de trouver un accord. La volonté est là côté Palestinien, c’est celle exprimée par l’Autorité palestinienne. C’est vraiment du côté israélien que la question se pose. Le secrétaire d’État américain John Kerry, lors de la dernière tentative de relance des négociations, a reconnu que le blocage était dû essentiellement à la rigidité de la position israélienne. Les Israéliens considèrent qu’il est possible de négocier tout en continuant la colonisation. Ce que les Palestiniens refusent.

Nouvelles compagnies : à peine créées, déjà déployées !

L'armée de Terre crée depuis quelques mois de nouvelles compagnies en vue de porter les effectifs de sa force opérationnelle à 77 000 hommes. Elles sont désormais une réalité opérationnelle permettant de faire face à l'accroissement de ses missions dans la durée.
Categories: Défense

Open Letter on Egypt to the UK Prime Minister

Crisisgroup - Wed, 04/11/2015 - 10:25
Tomorrow [assuming release on Wednesday] you will receive President Abdel-Fattah el-Sisi of Egypt in Downing Street. Few would deny the importance of maintaining contact with Egypt’s leadership, in light of the range of interests that the UK has with Egypt and the significant security threats emanating from the Middle East. But it would be incompatible with British and European interests and values to give President Sisi the endorsement of a Downing Street welcome without also making clear that Egypt’s current direction raises serious concerns. You should take this opportunity to press Mr. Sisi to ensure respect for the rule of law and human rights, and call on him to free more prisoners detained illegally or due to unjust laws.

Sarkozy : «Durant mon mandat, l'insécurité a reculé»

Le Figaro / Politique - Wed, 04/11/2015 - 10:11
Le président des Républicains, invité de RTL, a une nouvelle fois dénoncé «l'explosion de l'insécurité» et «un grave problème d'autorité de l'Etat».
Categories: France

Sarkozy à Hollande : «C'est vous le président, ce n'est plus moi... pour l'instant»

Le Figaro / Politique - Wed, 04/11/2015 - 10:06
LE SCAN POLITIQUE/VIDÉO - Invité de RTL, le président des Républicains a ironisé sur la propension de François Hollande à lui faire porter la responsabilité des difficultés rencontrées par son propre gouvernement, et critiqué «la volonté de Mme Le Pen d'isoler la France» qui «conduira au drame».
Categories: France

Les terres hongroises lorgnées par les spéculateurs étrangers et les oligarques d’Orbán

HU-LALA (Hongrie) - Wed, 04/11/2015 - 09:27

Le Gouvernement Orbán s’apprête à privatiser 380 000 hectares de terres arables, soit 20% du total des terres détenues par l’Etat. Une loi en préparation est censée empêcher l’accaparement des terres fertiles de la grande plaine hongroise par les spéculateurs étrangers, mais les oppositions – à gauche et à droite de la Fidesz – y voient un moyen pour le parti au pouvoir de mettre la main sur ces terres très subventionnées par l’Union européenne.

Par Jérôme Cardinal

Une histoire ancienne de convoitises

Dans l’Histoire de la Honfoglalás (la conquête de la patrie), il est question de la légende du cheval blanc qui raconte comment les anciennes tribus de Hongrie sont entrées dans le Bassin des Carpates autour de 895 avant JC, après avoir eu échos de l’incroyable fertilité des sols de la région. Près de deux mille ans plus tard, la terre hongroise, « dernier trésor commun du pays », est toujours très convoitée, selon József Ángyán, un ancien député de la Fidesz qui mène depuis trois ans la fronde contre son propre parti.

Depuis la fin de l’ère communiste, la redistribution des terres est un serpent de mer de la vie politique hongroise et les risques d’accaparement à des fins purement spéculatives sont bien réels. L’entrée dans l’Union européenne et ses généreuses subventions via la Politique Agricole Commune (PAC) a accru la pression sur ces terres parmi les plus fertiles d’Europe et parfois vingt fois moins chères que celle d’Europe de l’ouest. Face aux regards langoureux des étrangers sur le sol national, Orbán évoquait il y a deux ans une « guerre ». János Lázár, son directeur de cabinet, mettait récemment en avant le caractère indispensable de cette nouvelle loi pour empêcher les investisseurs étrangers de faire main-basse sur les terres arables du pays, « ce à quoi pourrait nous forcer Buxelles ».

Ainsi, pour juguler le land grabbing, la loi sur la Terre en 1995, avait restreint l’acquisition des terres aux seules personnes physiques de nationalité hongroise. Ce moratoire contraire aux règles du marché commun européen avait toutefois été concédé à la Hongrie par l’UE, puis continuellement renouvelé depuis l’adhésion hongroise. Mais cette mesure emblématique n’a pas empêché de nombreuses dérives. On estime qu’un million d’hectares auraient été vendus en sous-main à des étrangers, via un système de « pocket contract ».

Lire L’accaparement des terres sévit aussi en Hongrie

« Qui veut de ce monde ? »

Bien que censée favoriser les petits producteurs au détriment des grands propriétaires terriens, le mouvement actuel d’attribution des terres entamé il y a trois ans sous la conduite du Ministère de l’Agriculture, est largement biaisé et lèse les petits producteurs, dénonce József Ángyán : preuves à l’appui, il a montré que les oligarques du système Orbán ainsi que les petites mains de la Fidesz au niveau local avaient raflé la mise lors de l’attribution des locations de terres généreusement subventionnées.

Dans un système miné par la corruption, l’accaparement des terres venu de l’extérieur est en fait remplacé par un processus interne qui conduit à l’ultra-concentration actuelle des terres, et cette loi sur la terre justifiée par la préservation des terres hongroises s’avèrent en réalité tout à fait pernicieuse pour les agriculteurs hongrois.

Les lieutenants du Premier Ministre ont rapidement profité de ses largesses, que le directeur de cabinet d’Orbán, avec une étonnante honnêteté ne nie pas : « Quand les Socialistes sont au pouvoir, les socialistes volent les terres and quand c’est le Fidesz, ils les volent aussi : qui veut de ce monde ? ».

Comme il y a trois ans lorsque les dérives du système d’attribution des terres avaient été mises au jour, Lörinc Mészaros, le maire de Felcsút, la ville natale de Viktor Orbán, est au cœur des critiques. Selon László Varju, vice-président de la Coalition démocratique (DK), « Mészaros, dont la société loue déjà 1200 hectares de terres d’Etat pourrait devenir le plus grand propriétaire terrien hongrois ». D’après le journal « Blikk », 640 hectares de terres seront mis en vente dans la région de Felcsut. A la fin du mois d’octobre, lors des questions au Gouvernement, M. Orbán défendait ardemment le succès politique de « son » oligarque, en mettant en avant les 700 emplois créés sur ses terres.        .

Une opposition unie face « au vol des terres »

Face à cette loi, c’est tout l’éventail politique hongrois de l’opposition, des socialistes du MSZP au Jobbik d’extrême-droite qui s’agite. József Ángyán, ancien député Fidesz. L’ancien secrétaire d’Etat délégué au développement rural sous Orbán avait quitté son poste avec fracas en 2012 après le rejet in-extremis d’un plan de développement rural très ambitieux et la découverte du vol des terres opéré par le parti au pouvoir.

Lors d’une manifestation le 3 octobre devant le Parlement organisé, il avait pourfendu à la tribune ses anciens partenaires :

« C’est une mafia qui est au Parlement […] ce qui se prépare n’est ni chrétien, ni civique, ni moral : ce système, qui a perdu sa base moral doit disparaître ».

József Ángyán (168ora.hu)

Comme un sursaut, les actions se multiplient. Un recours constitutionnel a été déposé mi-novembre. Le parti écologiste LMP a lancé une pétition citoyenne. Mais sans grand succès jusque-là.

Le Gouvernement cherche à rassurer quant à la nécessaire transparence dans le processus de vente des terres, mais sans convaincre. Pour László Varju, l’affirmation selon laquelle les petits producteurs hongrois pourront eux aussi acquérir des terres « n’est que de la poudre aux yeux. Et encore une fois, seuls les oligarques qui n’ont jamais touché une binette vont en bénéficier ».

Balázs Győrfi, membre de Fidesz à la tête de la chambre d’agriculture, a décidé à la fin du mois d’octobre d’amender la loi pour permettre aux bailleurs de terres agricoles d’augmenter le loyer en vigueur sur leurs terres deux ans après la signature du contrat avec le paysan non-propriétaire, permettant ainsi d’expulser les agriculteurs. Une décision sur-mesure pour les grands propriétaires terriens.

L’ex-futur laboratoire d’une révolution agricole continue son déclin

La polémique suscitée par cette nouvelle législation met en lumière l’opposition entre deux visions antinomiques de l’agriculture : le modèle des grandes exploitations intensives, véritables fermes-industries que le Gouvernement et les aides de la PAC promeuvent, versus les petites et moyennes exploitations (98,7% des fermes hongroises font moins de 100 hectares). Dans son  rapport «  The return of the white horse : Land grabbing in Hungary », Robert Fidrich, membre des Amis de la Terre Hongrie, estime que ces 1,3% de fermes de plus de 100 hectares représentent près de deux-tiers des terres (64,7%). L’actualisation de ces chiffres qui datent de 5 ans devrait encore renforcer ce déséquilibre.

Categories: PECO

[Revue de presse] Le Royaume-Uni lance le coup d'envoi des tractations pour son maintien dans l'Union

Toute l'Europe - Wed, 04/11/2015 - 09:06
En visite à Berlin, le ministre des Finances britannique a présenté hier les premières revendications qu'entend exiger la Grande-Bretagne pour rester dans l'Union européenne. Il s'agit avant tout de fournir aux citoyens britanniques des garanties quant au fonctionnement de l'Union européenne à l'approche du référendum annoncé en mai dernier par David Cameron lors de la campagne pour sa réélection. La visite du chancelier de l'Echiquier lance ainsi le coup d'envoi des négociations entre la Grande-Bretagne et l'UE autour d'un éventuel 'Brexit'.
Categories: Union européenne

TÜV-Plakette für die deutsche Entwicklungszusammenarbeit? Der neue OECD-Prüfbericht zu Deutschland

Bonn, 04.11.2015. Die internationale Entwicklungszusammenarbeit (EZ) verfügt über ein besonderes Instrument, um die Qualität der OECD-Geber regelmäßig zu überprüfen: Gruppendruck. Alle vier bis fünf Jahre organisiert der Entwicklungshilfeausschuss (Development Assistance Committee, DAC) der OECD einen detaillierten Prüfbericht (‚peer review‘). Am 4. November wird in Berlin der neue Prüfbericht zu Deutschland erstmals vorgestellt. Der Vorsitzende des DAC, Erik Solheim, wird den Bericht im entwicklungspolitischen Fachausschuss des Deutschen Bundestages präsentieren. Das für die Prüfung verantwortliche Expertenteam bestand diesmal neben OECD-Mitarbeitern aus Vertretern der DAC-Mitglieder Japan und Kanada. Der neue Bericht liefert, was von ihm erwartet wird: eine konstruktive, aber auch kritische Sicht auf Deutschlands öffentliche Entwicklungszusammenarbeit. Der letzte Bericht aus dem Jahr 2010 benannte als Hauptschwächen vor allem eine schwer zu überblickende Institutionenlandschaft der deutschen Entwicklungszusammenarbeit und ein gleichzeitig unzureichend steuerndes Ministerium (Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung, BMZ). Ebenso wurde Deutschland als derzeit drittgrößtem OECD-Geber eine mangelnde strategische Ausrichtung bescheinigt – etwa bei der Unterstützung des multilateralen EZ-Systems v.a. in Form der Vereinten Nationen, der Weltbank und regionalen Entwicklungsbanken. Der heute erscheinende Bericht erkennt eine Reihe von Verbesserungen im Vergleich zu den 2010 festgestellten Mängeln. Mittlerweile habe das BMZ die tatsächliche steuerende Rolle in der deutschen Entwicklungszusammenarbeit. Die größere Zahl von Entwicklungsreferenten an den Deutschen Botschaften habe dazu beigetragen, dass die Arbeit in den Partnerländern weniger stark von den Durchführungsorganisationen geprägt sei. Weitere Schritte zur Dezentralisierung der deutschen EZ seien wünschenswert. Ebenso habe das Ministerium mittlerweile eine strategischere Ausrichtung gegenüber multilateralen Einrichtungen. Insgesamt sieht das Expertenteam sieben Empfehlungen des 2010er Berichts als nun umgesetzt, elf als teilweise umgesetzt und keine als nicht umgesetzt an. Also eine insgesamt positive Einschätzung, die zum Teil noch stärker in den erläuternden Texten zum Ausdruck kommt. An welchen Stellen bietet der Bericht neue Sichtweisen? Welche Kritikpunkte bleiben bestehen oder kommen hinzu? Zunächst einmal würdigt er die im Jahr 2014 verabschiedete Zukunftscharta des BMZ, die zum Ziel hatte, in einem breiten Dialog die künftige Ausrichtung der deutschen Entwicklungszusammenarbeit zu bestimmen. Der Bericht sieht eine Chance in der anstehenden Überarbeitung der deutschen Nachhaltigkeitsstrategie, die für alle Politikbereiche mehr kohärentes Handeln ermöglichen kann. Nachholbedarf bestehe hingegen bei der Priorisierung des Zielsystems der Entwicklungszusammenarbeit: Welche Ziele der Zukunftscharta und der seit Anfang 2014 laufenden Sonderinitiativen des BMZ sind besonders wichtig? Ebenso mahnt der Bericht an, dass einige politische Prioritäten sich nicht gleichermaßen in getroffenen Zusagen wiederfänden. Der Anteil der ärmsten und armen Länder an der bilateralen Entwicklungszusammenarbeit Deutschlands nehme etwa ab, obwohl diese Ländergruppe bzw. der afrikanische Kontinent die wichtigste Priorität des BMZ sei. Die Verwendung der deutschen EZ-Mittel sei nicht ausreichend transparent und die knappen Zusagezyklen für längerfristige Planungen der Partnerländer ein Problem. Die Konzentration auf mittlerweile 50 Partnerländer mit einem umfassenden EZ-Kooperationsprogramm (sowie 29 weiteren Ländern) habe nur sehr bedingt zu der beabsichtigten Fokussierung der deutschen EZ geführt. Schließlich plädiert der Bericht dafür, dass Deutschland seine Humanitäre Hilfe, die in die Zuständigkeit des Auswärtigen Amtes fällt, ausweitet. Der Prüfbericht zu Deutschland sollte in dreierlei Hinsicht zu intensiveren Debatten in Deutschland beitragen. Erstens ist es wichtig, die Anstrengungen fortzusetzen, die deutsche EZ wirksamer zu gestalten. Der Bericht liefert hierfür eine sehr gute Grundlage. So kann die deutsche Entwicklungszusammenarbeit effektiver sein, wenn liefergebundene Leistungen weiter abnehmen, die starre Einteilung zwischen Haushaltstiteln für Technische und Finanzielle Zusammenarbeit überwunden würde und die Transparenz zu den eingesetzten deutschen EZ-Mitteln steigt. Zweitens verdeutlichen die internationalen Krisen der letzten Jahre und Monate und die aktuelle Flüchtlingssituation in Europa, wie wichtig planvolles Handeln und funktionsfähige Instrumente sind, die auf kurzfristige Herausforderungen reagieren können. Dies umfasst u.a. das gesamte Spektrum von Instrumenten aus dem Bereich der humanitären Hilfe, der Flüchtlings- und Übergangshilfen und der längerfristigen EZ. Der Prüfbericht kann auch hierzu einen guten Ausgangspunkt für Debatten im Deutschen Bundestag, innerhalb der Bundesregierung und der Öffentlichkeit bieten. Drittens sollten in Deutschland vermehrt Diskussionen zur grundlegenden strategischen Ausrichtung der Entwicklungszusammenarbeit, aber auch anderer internationaler Kooperationsansätze, stattfinden. Wie kann die deutsche EZ noch gezielter die langfristig angelegten Ziele nachhaltiger Entwicklung befördern? Welchen Beitrag können andere Politikbereiche hierzu leisten? Wie können Entwicklungszusammenarbeit und andere Politiken dazu beitragen, dass etwa Schwellenländer noch wirksamer an der Bearbeitung globaler Probleme mitwirken können? Angesichts der rasanten Veränderungen globaler Herausforderungen wäre ein solcher strategischerer Blick auf Entwicklungszusammenarbeit notwendig. Dieser Beitrag wurde auf www.tagesspiegel.de erstveröffentlicht.

Nem kell a briteknek több európai egység

Eurológus - Wed, 04/11/2015 - 07:26
Felőlük mehet a kétsebességes EU, csak őket hagyják ki a brüsszeli szabályozásból.

En Corée du Sud, Hollande sous le charme du développement numérique

Le Figaro / Politique - Wed, 04/11/2015 - 06:38
Pour le chef de l'Etat, après la question du climat, celle du «développement du numérique» représentait «le deuxième intérêt» de son voyage en Corée. Il est tombé sous le charme du groupe Block B, sorte de boys band sud-coréen.
Categories: France

Saab still chasing India with Gripen, anticipates EW variant

DefenceIQ - Wed, 04/11/2015 - 06:00
Saab believes India could still be a cust
Categories: Defence`s Feeds

Norwegian OPVs to receive advanced navigation systems

DefenceIQ - Wed, 04/11/2015 - 06:00
This November, Norwegian Navy’s Nordkapp-class offshore patrol boats are to be fitted with the SIGMA 40 laser-gyro navigation systems, developed and manufactured by France-based Sagem. The standalone system is designed to guarantee high-precision navigation ev
Categories: Defence`s Feeds

Investing in cyber research and skills an "urgent priority", says Baroness Neville-Jones

DefenceIQ - Wed, 04/11/2015 - 06:00
Rt Hon Baroness Neville-Jones DCMG served as Minister of State for Security and Counter Terrorism at the British Home Office and on the National Security Council until standing down to become Special Government Representative to Business for Cyber Security. She was Prime Minister David Cam
Categories: Defence`s Feeds

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