Séance plénière : Le Président Schulz a ouvert la session en appelant à une minute de silence en hommage à feu Shimon Peres, homme d'État israélien dont il a salué les rôles de défenseur infatigable de la paix et d’ami de l'Europe. Le Président a également annoncé que le Secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon s'adressera au Parlement mardi, à l'occasion du vote d’approbation de la ratification européenne de l'accord de Paris sur le changement climatique.
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© Union européenne, 2016 - PE
Est-ce une traductrice italienne ? C’est l’hypothèse émise hier, dimanche 2 octobre, par un journaliste italien qui croit connaitre l'identité de cette romancière à succès qui depuis 20 ans cache sa véritable identité sous ce pseudonyme. Des révélations publiées simultanément par trois autres médias français, anglais et allemand. Même si la principale concernée n'a pas confirmé, cela fait rebondir ce mystère littéraire qui agite les esprits.
Séance plénière : Le Parlement européen votera mardi à midi pour donner son approbation à la ratification par l’Union européenne de l’accord mondial sur le changement climatique de Paris. Une cérémonie formelle de signature suivra, après un discours du Secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, en présence de la Présidente de la COP, Ségolène Royal, et du Président du Parlement européen, Martin Schulz. Les dirigeants des groupes politiques prendront également la parole.
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Dans son genre, Frans de Waal est un révolutionnaire. Psychologue, primatologue, éthologue : le Néerlandais de 67 ans, qui travaille à l'université Emery d'Atlanta, s'emploie depuis plusieurs décennies à chambouler les certitudes de la science concernant les animaux, leurs émotions et leur "moralité". D'abord accueillis avec le plus grand scepticisme, ses travaux font aujourd'hui autorité et éclairent d'un jour nouveau le comportement des hommes. Pour l'auteur du "Singe en nous", les humains doivent autant aux chimpanzés qu'aux bonobos, étant capables aussi bien de brutalité que d'empathie.
Le Kremlin a décidé de suspendre ce lundi 3 octobre un accord avec les Etats-Unis sur le recyclage de plutonium. Cet accord signé en 2010 devait entrer en vigueur en 2018. Ils concernaient le plutonium issu des ogives nucléaires.
A l'occasion du Mondial de l'Automobile 2016, qui se déroule à Paris jusqu'au 16 octobre, Toute l'Europe fait le point sur les ventes de voitures dans l'Union européenne. Si elles ont augmenté dans une majorité d'Etats membres depuis 2010, ces ventes restent en moyenne en deçà de leurs niveaux d'avant-crise.
Le 23 juin, les Anglais votaient pour la sortie de l’Union européenne provoquant une onde de choc jusque dans le camp des pro-Brexit. Trois mois plus tard, le calendrier se précise. L'article 50 du traité de Lisbonne sera déclenché « avant fin mars 2017 ». Theresa May l'a annoncé dimanche dernier à Birmingham, où se tient le congrès annuel des conservateurs.
Le procès des assassins présumés de l'opposant Boris Nemtsov s'est ouvert ce lundi matin 3 octobre à Moscou. Boris Nemtsov avait été tué de quatre balles dans le dos dans la nuit du 27 au 28 février 2015, à proximité du Kremlin. Pour les enquêteurs, il a été assassiné par un commando de cinq Tchétchènes et le commanditaire, tchétchène lui aussi, serait en fuite. Pour les avocats de la famille, comme pour ceux des assassins présumés, l'enquête a été bâclée.
Le référendum sur l'accueil des réfugiés, organisé par Budapest le dimanche 2 octobre, n'a pas mobilisé suffisamment d'électeurs hongrois pour que ses résultats soient validés. Avec une participation inférieure à 45%, le résultat est invalidé. Une situation qui a affaibli Viktor Orban, le Premier ministre hongrois.
Le Brexit démarrera avant la fin mars 2017, a annoncé hier la Première ministre britannique Theresa May, lors du congrès annuel du Parti conservateur qui se déroulait à Birmingham. Si le calendrier du Brexit commence à être défini, nombreuses sont les questions laissées en suspens. Le Brexit aura lieu, mais son issue demeure des plus incertaines.
Appelés à voter lors d'un référendum hier, 98,32% des électeurs hongrois se sont opposés aux quotas migratoires. Mais le scrutin n’a pas atteint le quorum de 50 % de participation nécessaire à sa validation.
Soixante-dix pays et vingt organisations internationales ont été invités à la conférence sur l’Afghanistan qui débute ce lundi 3 octobre à Bruxelles. Le président Ashraf Ghani va présenter le bilan de son gouvernement à la communauté internationale, il va aussi faire des promesses de nouvelles réformes en espérant un soutien conséquent. Mais le pays reste en guerre, et est toujours l'un des plus pauvres de la région. Beaucoup d'Afghans le quittent pour venir en Europe. Ils représentent aujourd'hui le deuxième plus grand groupe de réfugiés à arriver sur le continent après les Syriens. Le sujet sensible du retour des migrants afghans dans leur pays va être évoqué lors de la conférence de Bruxelles, mais pas forcément en public.
Lors de son premier discours en tant que dirigeante devant les militants conservateurs réunis ce dimanche 2 octobre en Congrès à Birmingham, Theresa May a voulu apaiser les Brexiters en précisant le calendrier du retrait du Royaume-Uni de l'UE. Toutefois, la Première ministre est restée floue sur la future position de négociation avec Bruxelles.
Les Hongrois étaient appelés à voter par référendum ce dimanche 2 octobre pour ou contre la relocalisation de réfugiés dans le pays. Une consultation initiée par le Premier ministre qui souhaitait faire avaliser sa politique anti-migrants. La quasi-totalité des votants a comme prévu dit «non» à la politique européenne de quotas de migrants, mais la participation n'a été que d'environ 40%. Il aurait falllu 50 % pour que le scrutin soit valide. L'Union européenne « ne pourra pas imposer sa volonté à la Hongrie », a réagi Viktor Orban.
La police turque a arrêté le frère de l'ex-prédicateur Fethullah Gülen accusé d'avoir fomenté le 15 juillet la tentative de coup d'Etat, a annoncé dimanche 2 octobre l'agence de presse progouvernementale Anadolu. Kutbettin Gülen, le premier de la fratrie de l'ex-prédicateur à être détenu, a été interpellé chez un de ses proches à Izmir (ouest), dans le district de Gaziemir, selon la même source.
Le Parlement européen votera mardi pour donner son approbation à la ratification par l’Union européenne de l’accord mondial sur le changement climatique de Paris, après que le Conseil ait donné son feu vert vendredi. Pour le président de la commission de l’environnement, Giovanni La Via (PPE, IT), la décision permet à l’UE de rester un chef de file dans l'action climatique avant le prochain cycle de négociations qui aura lieu à Marrakech en novembre.
Commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire
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"Voulez-vous que l'Union européenne ordonne une relocalisation obligatoire de citoyens non hongrois en Hongrie sans l'approbation du Parlement hongrois ?", telle est la question à laquelle les Hongrois sont appelés à répondre dans les urnes ce dimanche 2 octobre. Le référendum porte sur la proposition de la Commission européenne de plans de relocalisation obligatoire de migrants entre les différents Etats membres de l'Union européenne. Trois jours avant le vote, l'attention des observateurs européens se concentre sur ce pays d'Europe centrale qui désire faire entendre coûte que coûte ses arguments en matière de politique migratoire.
Après dix ans d'efforts et de rebondissements, le Royaume-Uni, la compagnie d'électricité française EDF et leurs partenaires chinois ont finalement signé le contrat de construction de deux réacteurs nucléaires EPR à Hinkley Point, dans le sud-ouest de l'Angleterre. La future centrale doit être opérationnelle fin 2025 mais ce projet pharaonique de 21 milliards d'euros, entériné en présence du ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault, reste critiqué des deux côtés de la Manche.
Comment peut-on un jour décider de tout quitter et partir en Syrie ? C'est ce que tente d'expliquer Laura Passoni, 30 ans, dans un livre intitulé Au coeur de Daesh avec mon fils (co-ecrit avec la journaliste de la RTBF Catherine Lorsignol). Condamnée par la justice, elle souhaite aujourd'hui faire de la prévention.
Le Conseil national de sécurité turc, dirigé par le président Recep Tayyip Erdogan, souhaite prolonger l’état d'urgence instauré pour trois mois après la tentative de coup d'Etat du 15 juillet. Au moins 32 000 personnes ont été arrêtées dans le cadre de l’état d’urgence et la vague d’arrestations devrait se poursuivre.
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