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Défense

A la découverte du Krusenstern

MeretMarine.com - lun, 01/06/2015 - 00:15

Nous vous emmenons aujourd’hui à bord de l’un des plus grands voiliers du monde. Le Krusenstern, superbe navire école russe, a fait escale fin mai à Toulon avant de reprendre sa route vers l’Europe du nord, embarquant notamment des élèves français de l’Ecole nationale supérieure maritime (ENSM).  L’occasion pour Mer et Marine de visiter ce navire mythique et de vous le faire découvrir. Long de 114.5 mètres, ce quatre-mâts barque, qui peut déployer jusqu’à 3400 m² de voilure et dispose d’une coque en acier, est armé par un équipage de plus de 250 marins.

 

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Dernières nouvelles des missions de maintien de la paix l’UE (PSDC) – mai 2015

Bruxelles2 - dim, 31/05/2015 - 23:32

(B2)

Cérémonie de clôture célébrée le 6 mai. (Crédits: EUPOL Afghanistan)

Herat (Afghanistan). Fin de la présence européenne à Herat

La mission européenne de police (EUPOL Afghanistan) va fermer son bureau extérieur à Herat (Ouest de l’Afghanistan) à la fin de mai, après sept années de soutien à leurs homologues afghans. Pour le chef de la mission, Pia Stjernvall, le bureau à Herat a obtenu de bons résultats, en particulier dans la promotion des principes et méthodes de la police communautaire ainsi que l’amélioration de la coopération entre la police, les procureurs et les avocats de la défense. « Les partenaires afghans peuvent prendre le relais maintenant pour un service de police professionnel, responsable et efficace ».

(Crédits: EUCAP Nestor)

Djibouti. Gardes-côtes équipés et formés pour les enquêtes sous-marines

Fidèle à sa devise « former et équiper », le Chef de Mission d’EUCAP Nestor, Etienne de Poncins, a remis, à l’issue de la formation, au chef des gardes-côtes djiboutiens, le colonel Wais Omar Bogoreh, des lots d’équipements composés de matériel de plongée, d’enquêtes et de recherche sous-marine ou terrestre. Ces kits, permettant d’équiper 8 plongeurs, seront utilisés pour des exercices de formation plus complexe telle que la délimitation de scènes de crime sous-marine, la recherche de preuves en profondeur ou même la photographie sous-marine. Ces entrainement variés donneront la capacité aux gardes-côtes d’intervenir directement sur les lieux d’un crime en mer, tout particulièrement la piraterie, pour permettre notamment de retrouver des preuves qui auraient été jetées à l’eau par les criminels.

Eunavfor Atalanta. L’Espagne prend le commandement 

Cérémonie de la 19º rotation de commandement de l’opération Atalanta (Crédits: Eunavfor Atalanta)

L’amiral Alfonso Gómez de la marine espagnole a pris, le mercredi 6 mai 2015, le commandement de la force navale sur zone (FHQ) de l’opération européenne de lutte anti-piraterie (EUNAVFOR Atalanta) lors d’une cérémonie tenue à Djibouti.

Il dirigera la force navale de l’UE pendant environ cinq mois. Force composée de 4 navires : la frégate allemande FGS Bayern (F-217) équipée de 2 hélicoptères Super Lynx Mk.88A, la frégate italienne Grecale (F-571) de la classe Maestrale, équipé de 2 hélicoptères AB-212 ASW et les deux navires espagnols, la corvette Infanta Cristina et le Galicia. Auxquels il faut ajouter 2 avions : un CASA espagnol CN 235 VIGMA et un P-3C Orion allemand Jester, basés en temps ordinaire à Djibouti.

L’amiral Gomez remplace ainsi  l’Amiral Jonas Haggren, de la Marine suédoise présent sur zone depuis février 2015 ayant lui-même pris le relais des Italiens (lire : Passage de flambeau entre Italiens et Néerlandais dans l’Océan indien

(Crédits: EUNAFOR )

Dar Es-Salaam (Tanzanie). Formation anti-incendie

Le navire espagnol de débarquement Galicia (L51), qui participe à la mission anti-piraterie de l’UE dans l’Océan indien (EUNAVFOR Atalanta), a assuré à la mi-mai, la formation maritime des marins de la Marine Tanzanienne lors d’une visite de port à Dar es-Salaam. Après un briefing sur le système de commandement et de contrôle utilisé sur le navire de guerre espagnole pour surveiller toutes les activités en mer, l’équipage et les visiteurs du navire ont effectué un exercice pratique anti-incendie.

Camp de Jazeera – Mogadiscio (Somalie). Cours terminé pour les commandants de pelotons

La cérémonie de clôture pour le Cours de commandant de peloton a eu lieu au camp d’entraînement Jazeera le 30 avril à Mogadiscio. L’événement a marqué le passage en grade des 58 futurs leaders du peloton. Planifié, organisé et dirigé par EUTM Somalia, ce cours d’une durée de 15 semaines avait commencé en Ouganda, dans l’Académie militaire, et a été complété au camp d’entraînement Jazeera. Les officiers seront maintenant déployés sur tout le territoire somalien, précise-t-on au QG de la mission européenne.

Bapho (Mali). Entraînement au « Combat River Crossing » (CRC)

(Crédit: EUTM Mali)

Pendant neuf semaines, les ingénieurs maliens ont appris à assembler et manoeuvrer un ferry ponton de plus de 1200 kg. Ils ont prouvé leurs compétences dans un exercice final, réalisé sous une extrême chaleur, précise la mission européenne EUTM Mali qui a organisé le cours. Cette formation dite « CRC » (Combat River Crossing) est une compétence clé, compte tenu de l’insuffisance des infrastructures et du petit nombre de ponts sur le fleuve Niger. Cette formation, effectuée par des ingénieurs allemands, est un complément à la formation fournie à Koulikoro.

Kiev (Ukraine). Les équipes pour la gestion de frontières se mettent au travail 

(Crédits: EUAM Ukraine)

Une réunion du  » Border Management Assistance Group  » (BMAG) a été organisée, pour la première fois, le 15 mai par la mission de l’UE de conseil à la sécurité intérieure en Ukraine (EUAM Ukraine). Objectif : identifier et trouver des solutions pour les problèmes ukrainiens dans la protection de leurs frontières. Alors que moins de 10% du personnel aux frontières est entrainé pour agir en zones de conflits, les Européens veulent apporter leur expérience dans la vérification des passeports, la communication entre agences et la mise en place de capacités.

Pristina (Kosovo). Formation pratique de juristes sur les crimes de guerre

Que faire lorsqu’un témoin ne raconte pas tous les évènements ou ne s’en rappelle pas l’ordre ? C’est autour de ce cas pratique que les enquêteurs et procureurs kosovars ont travaillé, ce 22 mai. Objectif de la formation faite par les magistrats d’EULEX Kosovo : mettre l’accent sur l’amélioration des capacités des enquêteurs pour mener les interrogatoires et obtenir des déclarations admissibles dans la lutte contre les crime de guerre mais aussi dans les cas d’agressions sexuelles. Le programme de protection de témoins a été aussi étudié pour établir comment l’utiliser dans ces cas précis.

(Leonor Hubaut)

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Contrat rempli à Zara

Le mamouth (Blog) - dim, 31/05/2015 - 21:26
Le meeting de l’air de Ventiseri-Solenazara, premier de 2015, a rénové le genre, avec un
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Et de trois !

Le mamouth (Blog) - dim, 31/05/2015 - 21:09
Après Orléans et Toulouse, Colmar. Un troisième Atlas a été baptisé, du nom de cette ville d’Alsace,
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Questions sur la puissance militaire française


Extrait de Questions Internationales, n°73 - juin 2015




En ce début de millénaire, les questions sur la puissance française sont nombreuses. Hantée par le déclin si l’on en croit la morosité des essais publiés dans l’hexagone, la France (au moins sa composante éditoriale…) remet en cause aussi bien son identité, son modèle social et d’intégration, sa viabilité économique, que sa place dans le monde et sa capacité à y jouer un rôle.[1]Remet-elle également en cause sa puissance militaire, à l’heure où celle-ci est saluée par l’allié américain pour son volontarisme, et remarquée ailleurs pour son savoir-faire ? La réalité de la puissance française en 2015 est en effet ambigüe. la France compte désormais parmi les puissances militaires les plus interventionnistes de la planète, mais l’avenir de ses capacités inquiète à l’heure des restrictions budgétaires. Elle conserve une marge de manœuvre enviable, mais pas nécessairement dans les zones où le besoin s’en fera sentir.
1- Etat des lieux : une puissance interventionniste
La France est une puissance militaire de premier ordre, et toute négation de cet état de fait tient davantage de la spéculation intellectuelle ou de la quête de visibilité médiatique, que du constat objectif. Elle fait d’abord partie du club nucléaire, avec un arsenal que le président de la République a récemment confirmé publiquement (à Istres, le 19 février 2015) : « moins de 300 » têtes nucléaires, 3 lots de 16 missiles pour les sous-marins nucléaires, 54 missiles ASMP-A. Elle dispose ensuite d’un budget classé cinquième mondial en 2013[2] (hors gendarmerie) par le SIPRI (Stockholm International Peace Research Institute), institut qui fait référence en la matière. Les ressources totales pour 2015 sont annoncées à 31,4 milliards d’euros par le ministère de la défense (1.55% du PIB en 2014, toujours hors gendarmerie). Au moment de la rédaction du Livre Blanc de 2013 sur la défense et la sécurité nationales, les effectifs militaires français étaient d’un peu moins de 300.000 personnes dont environ 230.000 militaires, chiffres prévus à la baisse avec une réduction annoncée de 24.000 postes (en plus des 54.000 annoncés en 2008), mais cette réduction fut en partie remise en cause après les attentats parisiens de janvier 2015. Début 2015, 12.000 soldats étaient engagés dans les forces pré-positionnées,[3] et 10.200 en opérations extérieures.[4] La France fait également partie des grandes nations industrielles en matière d’armement, avec un spectre de production large, et une place parmi les tous premiers exportateurs.
Une posture interventionniste
Aligner longuement ici des chiffres qui varient régulièrement, font l’objet de modes calculs variés, et donnent lieu à des classements parfois peu significatifs, n’aurait pas grand sens. Constatons en revanche que cet outil militaire français a été amplement sollicité dans les cinq dernières années, en dépit des prévisions pessimistes dans le débat public, qui annonçaient chaque fois que l’intervention en cours serait la dernière du genre, faute de moyens. Depuis 2011 (outre la contribution du dispositif Licorne à la régularisation de la situation en Côte d’Ivoire, soldée par l’arrestation de Laurent Gbagbo en avril 2011), les forces françaises ont été mobilisées pour plusieurs opérations d’envergure. En Libye d’abord, avec l’opération Harmattan déclenchée le 19 mars de la même année pour empêcher la destruction de la ville de Benghazi par le colonel Kadhafi, finalement destitué et tué dans la guerre civile qui a touché le pays. Les opérations aériennes, menées notamment avec le Royaume-Uni et les Etats-Unis dans le cadre de l’OTAN, ont été sur le moment qualifiées de succès militaire. Elles ont mobilisé, au plus fort de l'intervention, 4.200 militaires, plus de 40 avions, 20 hélicoptères, et des bâtiments de combat dont le porte-avions Charles-de-Gaulle. Au mali ensuite, où l’opération Serval lancée en janvier 2013 (4.500 hommes mobilisés à la fin de l’année) pour repousser une offensive des groupes islamistes qui avaient pris le contrôle du nord du pays, a engagé durablement la France (c’est toujours le cas à l’heure où nous écrivons ces lignes). En décembre 2013, c’est la Centrafrique qui fut le théâtre de l’opération Sangaris, déclenchée pour stabiliser un pays en proie à un risque de génocide dans un contexte de guerre civile. Les effectifs sont montés à 2.000 hommes début 2014. Depuis septembre 2014, la France participe également à la lutte contre l’Etat Islamique en Irak (opération Chammal), qui a nécessité début 2015 l’envoi du porte-avion Charles de Gaulle.
Les fortunes diverses et la pertinence de ces opérations, pour l’essentiel toujours en cours, peuvent sans doute être discutées, notamment dans le cas libyen qui a donné lieu à la situation chaotique que l’on sait. Elles conduisent néanmoins à un constat : ces opérations ont fait de la France, après un retournement de situation remarquable pour qui se souvient de l’opposition chiraquienne à la guerre irakienne en 2003, la puissance de l’alliance atlantique la plus interventionniste. Entamée sous Nicolas Sarkozy avec l’opération libyenne, cette posture s’est perpétuée sous François Hollande. Aux opérations effectivement menées, il convient d’ajouter la posture volontariste  de la France sur la situation syrienne, qui avait conduit Paris, à l’été 2013, à soutenir des frappes contre le régime syrien, avant de devoir y renoncer du fait des réticences britanniques et surtout américaines. Depuis 2014, la dégradation de la situation libyenne a conduit à plusieurs reprises le ministre de la défense Jean-yves Le Drian à envisager une nouvelle intervention dans le sud libyen.
Les conséquences duales de l’activisme militaire français
Incontestablement, ces opérations ont valu à la France un regain de reconnaissance chez ses principaux alliés atlantiques, à commencer par les Etats-Unis. Outre l’appui immédiat de Washington à l’opération malienne dès janvier 2013 (avec un soutien en matière de renseignement, de transport aérien et de ravitaillement en vol), le débat stratégique américain a salué à plusieurs reprises la détermination politique française, son effort militaire à l’heure où la plupart des européens (y compris les britanniques) baissent leurs dépenses de défense, et plus généralement le savoir-faire d’une armée française jugé « incomparable » en afrique. Des louanges du Secrétaire à la défense Leon Panetta en 2013 après l'intervention au Mali, jusqu’à ceux de la Secrétaire d’Etat adjointe pour l’Afrique Linda Thomas-Greenfield, ou de la porte-parole adjointe du département d'État Marie Harf (qui a avoqué « le puissant leadership de la France »), après l'intervention en Centrafrique, les élites politiques américaines ont souligné dans leur grande majorité le rôle central de l’allié français. En septembre 2014, après la décision française de participer en Irak à la lutte contre l’Etat Islamique, c’est le président américain Barack Obama lui-même qui évoquait « l'un de nos alliés les plus anciens et les plus proches », et « un partenaire solide contre le terrorisme ».
Plus généralement, l’opération Sangaris au Mali a suscité des commentaires élogieux sur la précision de l’action, la rapidité de la prise de décision et de sa  mise en œuvre grâce à une chaîne de commandement efficace. Jusqu’à Pékin même, on méditait sur les leçons à tirer de ce savoir-faire français, qui allait encourager la Chine à proposer l’envoi de 500 casques bleus auprès de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies, pour l’observer de plus près. Si les responsables militaires des grands pays partenaires (notamment américains) n’étaient pas surpris outre mesure par les qualités de l’armée française à force de travailler avec elle depuis longtemps des Balkans jusqu’en Afghanistan, de nombreuses sphères civiles, comme les think tanks de Washington, découvraient soudain les compétences d’un allié autrefois réputé difficile. De la même manière les cercles d’experts anglo-saxons commentent désormais régulièrement les actions militaires de la France (voir les expertises d’Oxford Analytica en Grande-Bretagne, ou les revues de presse de la pourtant très conservatrice foreign policy Initiative aux Etats-Unis), ainsi que son industrie militaire (voir la lettre régulière de Defense News, qui titrait même en mars 2015 « France Displaces Britain as Key US Military Ally – la France remplace la Grande-Bretagne comme allié clef des Etats-Unis).
Mais cette reconnaissance pose également d’autres questions. En premier lieu, elle place la France en première ligne de la lutte anti-terroriste auprès des Etats-Unis, ce qui change considérablement la donne après une ère chiraquienne qui affichait une posture plus critique, et donc supposément plus appréciée dans les pays du Sud. D’autant que l’interventionnisme militaire de Paris semble accompagner une position plus dure politiquement, par laquelle la France, par exemple, va bien au-delà de Washington dans l’exigence des termes de la négociation sur le nucléaire iranien. Si l’admiration du président Obama pour les actions au Mali ou contre Daech est flatteuse, le « Vive la France ! » du Républicain John McCain qui félicite Paris pour avoir « bloqué » les négociations avec Téhéran en novembre 2013, fut moins célébré. La visite de hauts responsables israéliens en France en mars 2015 pour tenter d’obtenir de Paris, toujours sur le dossier iranien, un soutien que l’on n’attend plus guère de Washington au plus fort de sa brouille avec l'Etat hébreu, n’a pas fait non plus que des heureux. En d’autres termes, le débat public s’est interrogé à plusieurs reprises sur le fait de savoir si les démonstrations militaires françaises récentes étaient l’instrument d’un regain de marge de manœuvre et de souveraineté, ou si elles témoignaient d’une réorientation parfois jugée « néo-conservatrice » de sa politique étrangère.
Ce débat est difficile à trancher tant l'intervention militaire est propice, en règle générale, au déclenchement d’accusations politiques multiples (néo-conservatisme, néo-colonialisme, gesticulation militaire…). Un autre débat, en revanche, est autrement plus concret, qui insiste sur le fossé qui semble se faire jour entre l’ampleur de l’ambition militaire affichée, et la difficulté de déployer les moyens financiers, donc matériels et humains, qui permettraient de la soutenir. 2- interrogations prospectives : situation militaire française et avenir de la guerreLire la suite dans Questions Internationales, n°73 - juin 2015
[1] Voir à cet égard, pêle-mêle, des auteurs aussi divers que Nicolas Baverez, Alain Minc, Laurent Obertone, Eric Zemmour… [2] Après Etats-Unis, Chine, Russie, Arabie Saoudite et devant le Royaume-Uni. [3] Voir la carte de l’état-major des armées : http://www.defense.gouv.fr/ema/rubriques-complementaires/carte-des-forces-prepositionnees [4] Dont plus de 3.000 dans la bande sahélo-saharienne autour de l’opération Barkhane, plus de 2.000 en afrique centrale, presque 3.000 dans l’Océan indien, 900 au Liban, 600 en Irak. Voir http://www.defense.gouv.fr/operations/rubriques_complementaires/carte-des-operations-exterieures [5] Entretiens de l’auteur avec des responsables chinois.

Le nouveau départ de l’armée de terre

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - dim, 31/05/2015 - 17:18
Écartelée entre des missions augmentées et des moyens réduits, l’armée de terre sera la principale bénéficiaire des moindres réductions d’effectifs.
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Conférence du 2 juin: L'espace et la modernisation de la défense russe

Lignes de défense - dim, 31/05/2015 - 16:37

Le CSFRS et la FRS propose le mardi 2 juin, de 10h à 12h30, la restitution du projet EMIRS : "Enjeux de la modernisation de l'industrie de défense russe, le cas du secteur spatial: technologie, géopolitique et prospective".

La réunion sera organisée autour de deux tables rondes :
• L’industrie spatiale dans son environnement politique et économique
• Retours d’expérience sur la coopération avec la Russie dans le domaine spatial

Parmi les intervenants : Isabelle Facon (FRS), Isabelle Sourbès-Verger (CNRS), Jean-Louis Truel (Cercle Kondratieff), Jean-Jacques Bruniera (Thales Alenia Space).

Cet événement qui se tiendra à l'Ecole militaire (amphithéâtre Lacoste) est ouvert au public sur inscription ici.

L'accès s'effectuera par l'entrée n° 5 place Joffre, une pièce d'identité sera exigée.

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Plus PAF que la PAF

Le mamouth (Blog) - dim, 31/05/2015 - 15:43
La patrouille de France volera le 14 juillet avec plus d'avions que d'habitude, pour être en adéquation
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Le nouveau départ de l’armée de terre

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - dim, 31/05/2015 - 13:28
Ecartelée entre des missions augmentées et des moyens réduits, l’armée de terre sera la principale bénéficiaire des moindres réductions d’effectifs.
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La section cyno du 13 sur le pas de tir

RP Defense - dim, 31/05/2015 - 12:55
photo Armée de Terre 28/05/2015 Armée de Terre Le mercredi 20 mai, la section cynotechnique du 13e régiment du génie (13e RG) a réalisé ses premiers tirs au pistolet automatique (PA), avec ses chiens. Pour la première fois au 13e RG, les chiens de combat...
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Colloque sur la guerre des Vosges en 1915

RP Defense - dim, 31/05/2015 - 12:55
photo 27e BIM 30/05/2015 SCH Beltran Sources : 27e BIM A l’occasion des commémorations du centenaire de la Grande Guerre, un colloque international sur le thème des combats dans les Vosges en 1915 s’est tenu à Epinal et à Colmar du 21 au 23 mai dernier....
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Puy du fou : Les amoureux de Verdun

Pour le centenaire de la Guerre des tranchées, le Puy du fou offre à ses visiteurs un nouveau spectacle : Les Amoureux de Verdun.
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Ceux de 14 (8) : Le commandant de Goÿs dirige un raid audacieux contre l’industrie chimique allemande

Zone militaire - dim, 31/05/2015 - 11:56

Avril 1915. À Ypres, en Belgique, les troupes allemandes utilisent du chlore pour lancer une attaque massive contre les lignes alliées : 1.500 tués. Détruire l’industrie chimique d’outre-Rhin devint alors une priorité. Quelques mois plus tôt, le commandant Louis de Goÿs de Mézeyrac est chargé de mettre sur pied le Groupe de Bombardement n°1 (GB […]

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Les Rencontres militaires blessures et sports (RMBS) démarrent le 1er juin

Lignes de défense - dim, 31/05/2015 - 10:33

Du lundi 1er au samedi 27 juin, 51 blessés et 11 grands blessés participeront aux Rencontres militaires blessures et sports (RMBS) à Aubigny-sur-Nère et Bourges (Cher). Créées par la Cellule d’aide aux blessés de l’armée de terre (CABAT) en 2012, les RMBS représentent une initiative importante au profit des blessés des trois armées, de la gendarmerie na!onale et des différents organismes du ministère de la Défense. Ce stage mul!sports a pour objec!f de faire découvrir aux blessés la pratique d’activités spor!ves adaptées à leur handicap.

Durant toute la durée des rencontres, il sera possible de retrouver toutes les informations et l’actualité du ministère de la Défense (brèves, vidéos, photographies et web-TV) sur le site Internet www.defense.gouv.fr   et sur les réseaux sociaux :

Twitter :
- @Defense_gouv
- @LaCABAT
- #RMBS 2015
- #blessésdeguerre

Facebook :
- Defense.gouv
- CABAT #blessésdeguerre

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Russian Super Aircraft Carrier - Project 23000E (Shtorm)

CSDP blog - dim, 31/05/2015 - 00:00

Project 23000E or Shtorm (Storm) is a multi-purpose, heavy aircraft carrier project being designed by the Krylov State Research Center for the Russian Navy. The cost of the supercarrier is estimated as being between $1.8 billion and $5.63 billion (at August 2015 exchange rates), with development expected to take ten years. The carrier is being considered for service with the Russian Navy's Northern Fleet. Nevskoye Design Bureau is also reported to be taking part in the development project.

A scale model of the ship is going to be demonstrated for the first time at the International Maritime Defence Show 2015 in St Petersburg from 1-5 July. The Project 23000E multipurpose aircraft carrier is designed to conduct operations in remote and oceanic areas, engage land-based and sea-borne enemy targets, ensure the operational stability of naval forces, protect landing troops, and provide the anti-aircraft defence. The design has a displacement of 90-100,000 tons, is 330 m in length, 40 m wide, and has a draft of 11 m. It has a top speed of 30 kt, cruising speed of 20 kt, a 120-day endurance, a crew of 4-5,000, and designed to withstand sea state 6-7. Currently it has been designed with a conventional power plant, although this could be replaced by a nuclear one, according to potential customers' requirements.

The ship carries a powerful air group of 80-90 deck-based aircraft for various combat missions. The model features a split air wing comprising navalised T-50 PAKFAs and MiG-29Ks, as well as jet-powered naval early warning aircraft, and Ka-27 naval helicopters. The carrier's flight deck is of a dual design, features an angled flight deck, and four launching positions: two via ski-jump ramps and two via electromagnetic catapults. One set of arrestor gear is included in the design. The design also features two islands; a feature only previously seen on the latest UK design.

Protection against air threats will be provided by four anti-aircraft missile system combat modules. An anti-torpedo armament suite is available. The electronic support complex includes integrated sensors, including a multifunction phased array radar, electronic warfare system, and communications suite.

Source
http://www.janes.com/article/51452/russia-developing-shtorm-supercarrier

Tag: Russian ArmyProject 23000E

Pour le patron d'Airbus, le crash de l'A400M ne remet pas en cause sa conception

RP Defense - sam, 30/05/2015 - 23:50
Des défauts de procédure de contrôle pourraient avoir causé le crash de l'A400M en Espagne, selon le patron d'Airbus, Fabrice Brégier. photo Airbus Military 30/05/2015 latribune.fr Fabrice Brégier, le PDG d'Airbus estime que la faille à l'origine de l'accident...
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Puy du fou : Les amoureux de Verdun

RP Defense - sam, 30/05/2015 - 22:55
29/05/2015 armée de Terre Pour le centenaire de la Guerre des tranchées, le Puy du fou offre à ses visiteurs un nouveau spectacle : Les Amoureux de Verdun . Cette pièce est une histoire originale, qui s’inspire du fait réel d’une correspondance amoureuse...
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Le prix Albert Londres remis à Bruxelles

Bruxelles2 - sam, 30/05/2015 - 22:45

Les trois lauréats du prix Albert Londres

(B2) Nos confrères du prix Albert Londres ont remis officiellement ce samedi à Bruxelles, à l’Académie royale de langue et de littérature françaises, le Prix Albert Londres 2015.

Une cérémonie chaleureuse, pleine d’amitié et d’émotion également. Mais le message d’Annick Cojean la présidente du jury s’est voulu très politique également dans cette « année Charlie ». Elle a tenu à saluer « la loi Belge de protection des sources des journalistes, un modèle du genre » (le jury avait rencontré la rédaction de la RTBF comme celle du Soir). Mais elle s’est aussi montrée inquiète « A l’heure où l’Europe entend légiférer sur la protection des sources, le secret des affaires et les lanceurs d’alerte » (Lire : Secret des affaires … le retour. Attention danger ! (*)

le sourire était sur toutes les lèvres… (NGV / B2)

Le prix « Presse écrite », cette année est allé à Luc Mathieu, journaliste à Libération, pour un ensemble de reportages et de portraits traitant à la fois de ceux qui sont victimes du jihad, de ceux qui le combattent et de ceux qui le font.  Luc a eu des mots émouvants appelant chacun à ne pas oublier ce qui se passe en Syrie,« un conflit inouï » à continuer, malgré tout, à traiter cette actualité

Le « prix Audiovisuel » va à deux baroudeuses, Cécile Allegra et Delphine Deloget pour leur documentaire « Voyage en barbarie », diffusé sur Public Sénat (il repasse lundi prochain à midi) pour leur reportage sur le sort des érythréens au Sinaï, dans des camps de migrants qui sont de vrais prisons, où la torture est monnaie courante. Pour le jury, cela a été comme un rappel. « Albert Londres avait dénoncé le fléau de l’esclavage en son temps, le scandale du trafic d’êtres humains existe encore au XXIe siècle ».

« Je demeure convaincu qu’un journaliste n’est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie » disait Albert Londres.

Une citation qui a conclu cette remise de prix. Que dire de plus…

(NGV)

(*) Sur ce sujet, lire aussi :

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Les espaces frontaliers africains à l'agenda du 16e Forum de l’IHEDN sur le continent africain

Lignes de défense - sam, 30/05/2015 - 15:00

Depuis jeudi se tient la 16e édition du FICA (Forum IHEDN sur le continent africain), financée par la Direction de la coopération de sécurité et de défense (DCSD) du ministère des Affaires étrangères et du Développement international (MAEDI) et coorganisée avec l'IHEDN.

Le thème retenu cette année est le suivant: "Vers une meilleure gestion des espaces frontaliers au bénéfice de la sécurité et du développement". Des auditeurs représentant 43 pays africains et 8 organisations sous régionales africaines, plus l'Union africaine et le Service européen d'action extérieure (SEAE), participeront aux travaux, qui s'achèveront le 4 juin. 

Cette rencontre va permettre aux participants de faire état de leurs réflexions et d'échanger sur les problématiques suivantes :
- Quels instruments et capacités des Etats pour le contrôle de leur territoire et de leurs frontières ? ;
- Rôle des organisations sous régionales, régionales et internationales dans la mise en oeuvre du contrôle des frontières et des espaces frontaliers ;
- Implication des populations dans la gestion des espaces frontaliers ;
- La délimitation des frontières terrestres, maritimes, fluviales ou lacustres ;
- La coopération entre Etats en matière de sécurisation et de gestion des espaces.

Ce forum permettra également de présenter les principaux aspects de la coopération menée, dans un esprit de partenariat, par la France et par l'Europe avec l'Afrique dans les domaines se rapportant à la sécurité et à la défense. Lundi, par exemple, le directeur de la coopération de sécurité et de défense (DCSD), l'amiral Gillier reviendra certainement sur le projet ACTS (lire mon post ici).

 

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