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Défense

« Par Saint Raphaël, vive le renseignement »

RP Defense - sam, 19/09/2015 - 12:55
Saint Raphaël, patron du renseignement 18/09/2015 Armée de Terre Ce 18 septembre, la brigade de renseignement (BRENS), ses régiments et formations sont réunis pour célébrer la Saint-Raphaël. L’occasion de revenir sur les origines de l’intronisation de...
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Snecma installe un nouveau banc d’essais à Istres

RP Defense - sam, 19/09/2015 - 12:55
18/09/2015 Armée de l'air - Economie et technologie Un nouveau banc d'essai a été installé sur la base aérienne 125 d'Istres pour assurer le développement des nouveaux moteurs de la société Snecma du groupe Safran. Nouveau banc d'essais de Snecma L’implantation...
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Assad : issue de secours de Poutine.

C'est pas secret... Blog - ven, 18/09/2015 - 22:19
"L’analyste politique Andreï Piontkovski assure que Poutine, avec son intervention en Syrie, s’efforce de ne sauver personne d’autre que lui-même en utilisant la porte de sortie nommée Bashar-al-Assad. Andreï Piontkovski prédit un échec complet de cette aventure politique. Poutine ne réussira pas, cette fois-ci, à berner l’Occident, mais contribuera à accroître le divorce de « l’élite nationale » russe avec son président."
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La 2e BB en mouvement

L’armée de Terre au contact s’investit dans un nouveau modèle où l’engagement opérationnel et la réorganisation organique sont les maîtres mots. En visite à Illkirch-Graffenstaden, le général Jean-Pierre Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre, a rappelé aux cadres de la 2e brigade blindée (2e BB) ses attentes et objectifs.
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Sahel : l’armée française saute par-dessus les frontières

Blog Secret Défense - ven, 18/09/2015 - 15:03
Face aux groupes terroristes et à l'immensité du territoire, les Etats de la région développent leur coopération, avec l'aide de la France
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Sahel : l’armée française saute par-dessus les frontières

Blog Secret Défense - ven, 18/09/2015 - 15:03
Face aux groupes terroristes et à l'immensité du territoire, les Etats de la région développent leur coopération, avec l'aide de la France
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Sahel : l’armée française saute par-dessus les frontières

Blog Secret Défense - ven, 18/09/2015 - 15:03
Face aux groupes terroristes et à l'immensité du territoire, les Etats de la région développent leur coopération, avec l'aide de la France
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Sahel : l’armée française saute par-dessus les frontières

Blog Secret Défense - ven, 18/09/2015 - 15:03
Face aux groupes terroristes et à l'immensité du territoire, les Etats de la région développent leur coopération, avec l'aide de la France
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Le major général visite le commandement des forces aériennes

Mercredi 16 septembre 2015, le général Serge Soulet, commandant les forces aériennes, a reçu le général Philippe Adam, major général de l’armée de l’air (MGAA), sur la base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac.
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L'escadron d’hélicoptères 1/44 «Solenzara» soutient le bataillon de marins-pompiers de Marseille

Le 10 septembre 2015, l’escadron d’hélicoptères (EH) 1/44 «Solenzara» a soutenu le bataillon de marins-pompiers de Marseille lors d’un exercice.
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Financer une formation des militaires centrafricains. Ah non quelle horreur…

Bruxelles2 - ven, 18/09/2015 - 12:25

(BRUXELLES2) Certains principes résonnent régulièrement dans les couloirs européens : « l’approche globale », assurer la sécurité dans les pays d’origine des migrations », « former et équiper les armées africaines » (Train & Equip), « faciliter l’appropriation par les forces locales », etc. Dans la réalité, cependant, cela reste de bons mots. L’application des procédures de la façon la plus étroite possible reste de rigueur. . « Ce n’est pas chez moi ».

Une formation non opérationnelle

Le général Laugel, qui commande l’opération EUMAM Rca (Centrafrique), a pu le constater récemment, d’après les informations que B2 a recueillies auprès d’autres sources. La « partie Conseil » de cette mission en bonne voie. Et ses responsables prévoyaient de monter une petite « formation non opérationnelle » pour certains membres des FACA, les forces armées centrafricaines. C’est-à-dire une formation non liée au combat mais davantage à la structure de l’armée, au droit internationale humanitaire… Car — comme nous l’avions déjà raconté — les FACA manquent de tout équipement de formation, voire d’équipements tout courts. Il n’y a pas de chaises, de tables, de tableau. Et, pour bien faire, il faudrait une petite cantine pour nourrir les futurs stagiaires.

La pratique de la défausse

Un projet a donc été mis au point. Budget : 250.000 euros (deux cent cinquante mille ! pas 250 millions…). Résultat : rien pour l’instant ! Tous les dispositifs européens consultés se défaussent… sur le voisin. A chaque fois pour d’excellentes raisons procédurales ou de principe. Lors d’une discussion au sein du mécanisme Athena — le dispositif qui finance les missions de la PSDC – la discussion a ainsi tourné court. Plusieurs Etats membres estimant — à juste titre d’ailleurs — que ce n’était pas le rôle de ce dispositif destiné à financer uniquement certaines dépenses communes d’une opération militaire. A l’instrument de stabilité de l’UE (*), qui est normalement le dispositif financier prévu pour ce type d’action, le résultat est identique : pas de financement possible. L’argumentation différente. Les gestionnaires de l’Instrument arguent de l’article 41.2 du Traité qui interdit de financer des actions militaires.

Commentaire : Cette vision peut être discutée, même juridiquement à l’heure du Traité de Lisbonne (voir encadré), et est surtout très contestable au plan politique. Le principe développé par certains responsables européens est de ne pas financer d’action militaire. La peur d’être impliqué dans des actions de type coup d’Etat (comme au Burkina-Faso) ou de dérapages sur le plan des droits de l’Homme est présente. Sous des dehors de générosité, cette politique est d’une rare hypocrisie. Le budget européen pourrait financer des forces de police, de sécurité, de gardes-frontières, des actions anti-terroristes, le renforcement des frontières… mais pas l’armée. C’est oublier que l’armée est (souvent) garante d’une certaine stabilité de l’Etat dans les pays d’Afrique. Et que la police peut tout autant, sinon plus, que l’armée, à l’origine de cas de violences (cf. Burundi). C’est oublier que l’UE paie l’engagement des militaires des armées africaines ou somalienne dans des combats en Somalie au titre de l’Union africaine (et de l’ONU) mais ne peut pas payer du matériel nécessaire à la formation d’une autre armée. C’est plutôt contradictoire.

Il serait temps d’enlever des oeillères absurdes et de mettre au point une politique lisible et claire. Si on veut une certaine stabilité, éviter des Etats faillis, cela passe par une police et une armée démocratiques qui doivent recevoir un soutien, y compris financier. Il serait temps également de mettre fin à la politique de « silos » — dénoncée d’ailleurs par plusieurs hauts responsables européens (de la Commission comme du Parlement européen) — et de mettre les actes en phase avec les grandes orientations politiques définis par les « 28 ».

(Nicolas Gros-Verheyde)

L’interdiction du financement communautaire

L’article 41.2 du traité prévoit que « Les dépenses opérationnelles entraînées par la mise en œuvre du présent chapitre sont également à la charge du budget de l’Union, à l’exception des dépenses afférentes à des opérations ayant des implications militaires ou dans le domaine de la défense et des cas où le Conseil en décide autrement à l’unanimité. » Comme son nom l’indique, cette interdiction de financement communautaire ne concerne d’une part que les « opérations militaires ou de défense » et d’autre part que  le chapitre 2 du titre V du Traité sur l’Union européenne, concernant la « Politique étrangère et de sécurité commune ». Ce n’est plus une exclusion générale du fait de la fusion opérée par le Traité de Lisbonne entre les différents piliers. Elle ne s’applique donc pas, par exemple, aux articles 209 et 212 sur lequel se base l’instrument de stabilité.

(1) Cet outil, dépendant de la Commission européenne est géré par le service des instruments extérieurs (FPI) et mis à disposition du Service européen d’action extérieure. Il est normalement placé sous l’autorité de Federica Mogherini mais dans sa casquette de vice-président de la Commission européenne plutôt que de Haut représentant.

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Retrouvez l’armée de l’air aux Journées européennes du patrimoine 2015

De nombreuses bases aériennes ouvrent les portes de leur patrimoine culturel à l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2015, les 19 et 20 septembre prochains. Le thème retenu cette année est "Le patrimoine du XXIe siècle, une histoire d’avenir".
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204 ans. Joyeux anniversaire la BSPP !

La brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) est née à la suite d’un bal tragique à l’ambassade d’Autriche. En juillet 1810, un incendie s’y déclare et l'empereur Napoléon 1er y échappe de peu. L’insuffisance du système de sécurité de l’époque persuade le monarque de réorganiser et de professionnaliser la lutte contre le feu à Paris. Par décret impérial du 18 septembre 1811, il confie cette mission à un corps militaire, le bataillon de sapeurs-pompiers de Paris.
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Quelques réflexions stratégiques autour des robots

EGEABLOG - ven, 18/09/2015 - 11:19

Les robots suscitent plusieurs séries de questions stratégiques. Précisons d’emblée ce que nous entendons par robot : tout dispositif tangible (un programme informatique n’est donc pas un robot) qui se déplace de façon autonome mais contrôlée (pas de pilotage direct, comme pour une voiture ou un avion, mais un pilotage distant), de façon adaptée à son milieu (un drone est un robot aérien), et spécialisé dans certaines tâches (un robot n’a donc pas la complétude d’actions que peut avoir potentiellement un combattant).

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Quelles sont ces questions ?

  • La première pose la question de leur utilité individuelle.
  • La seconde envisage celle de leur action de groupe et de leur co-action avec les hommes.
  • La troisième regarde leur intégration au cyber.
  • La quatrième pose la question de leur intelligence, c’est-à-dire leur capacité à prendre des décisions autonomes, jusque et y compris à tuer (thème des robots tueurs).
  • Enfin et de façon transversale, on peut évoquer la dimension technologique, donc capacitaire, notamment de la part de nations réticentes à engager des hommes sur le terrain (ou économes en hommes).

(NB : billet publié dans la cadre du dossier Echoradar sur "artificialités futures).

1/ Utilité stratégique des robots

Personne n’envisage vraiment que les robots remplacent complètement l’homme. À une dissymétrie conventionnelle répondrait inévitablement une asymétrie toujours plus inventive et adaptative, selon le cycle observé au cours des années 2000. Aussi ne conçoit-on à court terme que l’emploi de robots dans quelques fonctions identifiées.

Le premier emploi concerne le renseignement : des robots autonomes pourraient investir des zones dangereuses ou infestées pour vérifier tel ou tel point, avant d’y engager des troupes normales. Ce principe préside déjà à l’emploi des drones d’observation, selon la gamme stratégique, opératif, tactique.

Le deuxième emploi concerne les fonctions de soutien et de logistique : emport de matériel ou de munitions au profit immédiat des troupes afin de les alléger (le besoin s’en fait cruellement sentir quand on voit l’augmentation du poids des dispositifs de protection individuelle et des dispositifs de communication cyber désormais emportés) ; livraison de plus longue portée des flux logistiques.

Le troisième tient à certaines fonctions spécialisées : par exemple, on pense aux robots démineurs (qui existent déjà) mais l’imagination est féconde (observateur avancé d’artillerie, désignateur laser de cibles, etc…).

Toutefois, ces usages n’emportent pas le remplacement stricto sensu des combattants proprement dits. Les robots sont conçus pour améliorer l’environnement du combattant, non pour remplacer celui-ci.

2/ Action de groupe et co-action avec l’humain

On a jusqu’à présent envisagé des robots « individuels » : tel robot est programmé pour telle tâche. Toutefois, les progrès de la miniaturisation et du contrôle électronique font entrevoir des défis nouveaux.

D’une part, on peut envisager des groupes de robots. Soit ils ont tous la même tâche et le combattant bénéficie de leur saturation (exemple des nuages de nano drones permettant de garantir l’obtention du renseignement ou la couverture d’une zone plus vaste simultanément), soit ils ont des tâches dédiées et forment systèmes. Un groupe de robots spécialisés pourrait ainsi être conçu pour préparer des obstacles de manœuvre dans une zone donnée, selon des systèmes intégrés.

D’autre part, la question de pose de l’interaction avec l’humain. Cela soulève la question de la programmation mais aussi de l’autonomie du robot : celui-ci doit il agir « indépendamment » ou doit il adapter son comportement à ce qu’il décèle de l’humain auquel il est attaché ?

Aujourd'hui toutefois, on conçoit les robots comme interagissant directement au profit du combattant. Or, on observe une autonomisation croissante des robots, amenés à prendre en charge des fonctions de plus en plus vastes. Si le robot est toujours contrôlé, la question demeure de la responsabilité de son contrôle. Prenons l’exemple d’un robot logistique : doit-il être attaché à un combattant ou à un groupe de combattants ? Tel nanodrone d’observation doit-il être contrôlé localement, pas l’équipe avancée, ou plus en arrière par le peloton ou l’escadron ?

Au fond, le robot peut remettre en cause l'architecture du commandement, augmentant la complexité des structures mais aussi du combat interarmes. Toute fonction nouvelle et artificielle, structurellement organisée pour un contrôle « à distance », incite à une autonomisation de ce contrôle. Cela reporte au niveau supérieur la nécessité de l'intégration opérationnelle, à l'encontre d'une certaine fluidité décentralisée que requiert souvent le combat de contact.

3/ Intégration cyber

Pas de robot sans programmation ni liaison de données. On a déjà quelques exemples de drones piratés, soit pour obtenir leurs données, soit pour modifier leur plan de vol. On peut donc imaginer une convergence accrue entre cyber et robot : l’agression cyber se dirigeant contre les robots selon les catégories classique d’espionnage (vol des données du robot d’observation), de subversion (on peut imaginer l’implantation de données fausses dans le robot, qui tromperait dès lors son contrôleur à distance), de sabotage enfin (soit en cassant le robot, soit en lui donnant des instructions fausses).

Nul doute qu'il s'agit là d'une des perspectives les plus probables de développement du combat cyber. Celui-ci ne sera pas seulement tourné contre des objectifs seulement cyber (réseaux de l'ennemi) mais pourra viser le sous-ensemble robotique de l'ennemi.

En revanche, l'action de robots contre des dispositifs cyber paraît malaisée à envisager. Plus probable sera l’intégration de ciblage cyber à la programmation des robots. Grâce à l’ingénierie électronique voire à l’analyse des trafics des données, un système expert sera capable de déterminer et d’identifier des cibles (individuelles ou collectives) de façon à aider le ciblage. Celui-ci sera utilisé aussi bien par les combattants traditionnels que par des robots pilotés (le cas des robots autonome est discuté à la section suivante). Cette convergence soulève déjà de nombreux problèmes avec des robots commandés : elle devient encore plus inquiétante dans le cas de robots autonomes : quid de l’intrusion extérieure dans un robot autonome pour modifier ses critères d’action ? Ce danger latent milite pour le maintien d'un contrôle à distance des robots.

4/ Autonomisation

Or, l’étape qui suit l’étape précédente est celle de l’autonomisation des robots, grâce aux progrès de l’intelligence artificielle et du machine learning. Constatons que pour l'instant, on n'a pas d'exemple précis de tels engins et que la perspective de leur existence se porte à moyen terme au plus tôt. Toutefois, cela n'empêche pas de réfléchir dès à présent sur cette question.

Dans ce cas, le lien de contrôle direct entre le pilote de robot et son extension serait coupé, pour des missions de courte durée (cas d’une mission de déminage localisée, par exemple) ou pour des missions plus complexes. Nous n’en sommes pas proches mais la question se pose dès à présent. Avec l’autonomisation, le robot se distancie de l’homme et de ses initiatives, qu'il s'agisse de l'homme contrôleur ou de l'homme appuyé. Il acquiert une relative autonomie de décision.

Dès lors, les missions peuvent changer. Aux misions énoncées précédemment, on peut imaginer ajouter d’autres missions, plus complexes : par exemple, une mission de reconnaissance sur un quartier de ville, par un robot unique ou un groupe de robot (action en essaim). Dans un premier temps, les actions seraient passives (observation). Peu à peu, elles évolueraient vers des fonctions actives (déminage, destruction d'obstacles). L'ultime étape serait celle de transformer le robot en machine combattante et à la décision autonome. C'est le thème du robot tueur, qui a beaucoup suscité de débats au cours de l'été 2015.

Qu'un robot puisse tuer est une chose acquise : certains drones (UCAV) sont déjà des robots tueurs. Pour l'instant, la décision d'engagement reste au contrôleur. Déléguer la décision d'engagement reviendrait à imaginer des règles d'engagement extrêmement précises. Or, l'expérience suggère la difficulté d'une telle précision. C'est d'ailleurs à cause de ce flou de la guerre qu'on observe déjà de nombreux cas de méprise et de tirs fratricide ou de bavures.

Ici, deux points de vue s'affrontent. Le premier dénonce l'autonomie et donc la perte de contrôle de l'humain. Le second remarque que l'humain n'est pas parfait et est sujet lui aussi à des erreurs de jugement, d'autant plus qu'il est soumis à la fatigue et au stress du combat, ce qu'a priori le robot ne subirait pas. On le voit, la réponse n'est pas simple. Elle mérite de plus amples débats, à la lumière surtout des évolutions technologiques. S'il est déjà temps de réfléchir, il est trop tôt pour trancher.

5/ Aspects capacitaires

Pour les militaires, les robots constituent un avantage indéniable : celui de suppléer à la rareté des ressources humaines, de renforcer l’autonomie et la protection des troupes, de bénéficier de l’avantage technologique des puissances industrielles avancées. Aussi n'est-ce pas étonnant si la robotique est surtout développée par des pays dont la ressource humaine est relativement rare ou qui portent une grande attention à la protection du combattant. On pense bien sûr aux États-Unis mais aussi au Japon.

Constatons que les robots adhèrent bien à la culture stratégique américaine, toujours tournée vers le développement technologique, la machine devant apporter la victoire. De plus, ce développement technologique renforce un complexe militaro-industriel et concours à la domination géoéconomique, que ce soit par le développement de nouveaux produits ou la standardisation technico-opérationnelle.

Pour autant, de tels développements se heurtent aux limites habituelles de la vision américaine. Obsession de la victoire immédiate sans prendre en compte l'ensemble des données politiques et sociales d'un conflit (que sert d'abattre Saddam Hussein en trois semaines d'une brillante campagne si c'est pour rester collé plusieurs années dans un chaos non maîtrisable ?), obsession technologique qui ne soit pas les possibilités de contournement qu'inventera toujours l'ennemi face à une domination donnée (l'asymétrie répondant à la dissymétrie).


***

Aussi les robots entreront-ils sur l'espace de bataille et modifieront partiellement son paysage. Toutefois, s'ils ajouteront de la complexité, ils ne sauraient constituer l'arme miraculeuse, la silver bullet qui assoira pour longtemps la supériorité stratégique.

O. Kempf

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Cyberdéfense maritime

MARTOLOD (Blog d'information marine) - ven, 18/09/2015 - 10:52
Phénomène mondial, la cybermenace cible toutes les couches des sociétés, les navires sont aussi les cibles du cyberpiratage.

Compte tenu de la dimension croissante acquise par le cyberespace dans les opérations et les activités maritimes, une sécurisation renforcée des systèmes d’informations est aujourd’hui devenue nécessaire pour l’ensemble du secteur maritime. Consciente de cette réalité, la Marine nationale considère la cyberdéfense comme un domaine de lutte à part entière.

Brèves marine…

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Syrie : Washington prêt à engager un dialogue « tactique et pratique » avec Moscou

Zone militaire - ven, 18/09/2015 - 10:39

Désormais, il y aurait 500 militaires russes – des « experts », selon Moscou – présents sur la base aérienne d’Hmaymime, située dans la province de Lattaquié, l’un des derniers bastion du régime de Bachar el-Assad, maintenant menacé par la progression des jihadistes du Front al-Nosra, la branche syrienne d’al-Qaïda. Comme l’a indiqué le ministre français de […]

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Sangaris reveut du Fennec

Le mamouth (Blog) - ven, 18/09/2015 - 10:23
Ils avaient emmagasiné un bilan riche en matière de renseignement : les Fennec sont rentrés au début
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Tranches de vies à Papa (4 vidéos)

Le mamouth (Blog) - jeu, 17/09/2015 - 19:29
Quelques rushs de la vie du CJPRSC à Papa (Hongrie), où 13 nations s'entraînent à la personnal
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