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Agrégateur de flux

Greek Foreign Policy: Global Trends and Challenges

EKEM - mer, 19/06/2013 - 19:26
The Hellenic Centre for European Studies has published the first volume on Greek Foreign Policy: Global Trends and Challenges, which offers valuable insight on crucial matters of Greek foreign policy in view of the Greek EU Presidency on the first semester of 2014.

The goal of this policy recommendation volume is threefold. Firstly, it aims at considering different perspectives in European and foreign policy issues albeit not in a single theoretical understanding framework. Secondly, it attempts to bring together under one roof policy-oriented opinions written by academics, diplomats, promising scientists, researchers and foreign policy experts. Last but not least, its ambition is to offer a primarily new and fresh view on topical issues of Greek foreign policy in view of the Greek EU Presidency during the first semester of 2014.

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Workshop: Doing Business with European Security and Defence Bodies

EDA News - dim, 16/06/2013 - 10:11
On 12 June 2012, the European Defence Agency together with the Austrian Ministry of Defence and Sports and the Austrian Defence and Security Industry Association was hosting a workshop on Doing Business with European Security and Defence Bodies in Vienna.
The workshop targeting governmental and industrial representatives from Austria and the Visegrad countries brought together European customers and suppliers in the field of security and defence and provided specific guidance to industries on how to successfully engage with defence and security related entities in Europe. Speakers included the Austrian Armaments Director, LtGen Freyo Apfalter, the EDA’s Armaments Director, Giampaolo Lillo and NSPA’s Director of Procurement, Patrick Fesquet, as well as high-level representatives of the European Commission, Frontex, Athena and OCCAr.
The workshop tackled different fields of the European Security and Defence Market, including Security Research, Defence R&T, European Development Programmes and Off-the-Shelf Purchases of both goods and services, which are increasingly conducted through common or centralised procurement by or through EU bodies.
Co-organiser Karl-Heinz Dernoschegg from the Austrian Defence and Security Industry Association stated at the end of the event that this was a perfect way to bridge the gap between supply and demand in the area of defence and security. He continued by saying that his association would be happy to host events of this kind on a more regular basis and considers this a very good model for other countries and associations to follow.


 

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Work on Cyber Ranges Initiated

EDA News - ven, 07/06/2013 - 14:53
On 30 May, Austria, the Czech Republic, Estonia, Greece, Finland, and the Netherlands signed a letter of intent to work towards the Pooling & Sharing of available and future resources for cyber defence training, exercise and testing. The project, called cyber ranges, aims at maintaining and improving cyber resilience as well as the levels of awareness, insight and expertise of personnel Member States. 
 
By signing the letter of intent, the Member States confirmed to participate and cooperate in the development of a Common Staff Target which will for example determine the functional requirements for cyber ranges. These requirements will have to be agreed by the EDA Steering Board at a later stage. The initiative on cyber ranges has also been recommended by the recently presented EDA cyber defence landscaping study as a viable opportunity with respect to the practical implementation of Pooling and Sharing.
 
Cyber ranges are multipurpose environments supporting three primary process: knowledge development, assurance and dissemination. Under the Pooling & Sharing initiative, cyber ranges may consist of three complementary functionality packages: Cyber Research Range, Cyber Simulation & Test Range as well as Cyber Training & Exercise Range. 

 

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A propos de « Notre guerre secrète au Mali »*

Amadou Amath Blog - lun, 27/05/2013 - 20:33
Sorti avec les premiers ouvrages sur la crise malienne, après les phases choc et reconquête de l’opération Serval, le premier intérêt du livre d’Isabelle Lasserre et Thierry Oberlé, journalistes au Figaro, est sans doute leur récit de ce qui a … Lire la suite →
Catégories: Afrique

Soudan du Sud:De DSK aux ex-mercenaires de BlackWater, pourquoi misent-ils tous sur le Soudan du Sud ?

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - lun, 27/05/2013 - 16:21
-Il existe un point commun entre l’ancien directeur du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, et l’ex-fondateur de la sulfureuse société militaire privée BlackWater, Erik Prince : leur intérêt pour le pays le plus jeune du monde, le Soudan du Sud.
Le 14 mai dernier, un petit comité de financiers de haut vol inaugurait en grande pompe une nouvelle banque à Juba, la capitale du Soudan du Sud. Sous les applaudissements de quelques investisseurs étrangers et nationaux, Dominique Strauss-Kahn illustrait son retour aux affaires par un discours de bienvenue à la toute jeune National Credit Bank. « Ce n’est pas une banque venue de l’étranger, ce sera l’une de vos banques et c’est important pour votre pays », assurait alors l’ancien patron du FMI.
Invité comme « consultant financier indépendant », DSK a été mis en avant afin d’attirer le regard des Occidentaux. Il faut convaincre du potentiel économique du Soudan du Sud. Parmi les actionnaires de cette nouvelle banque, on trouve des natifs du pays, mais aussi des étrangers, parmi lesquels la société de gestion d’actifs Assya Asset Management (AAM), gros actionnaire minoritaire de cette nouvelle banque, dont on ne connaît pas le détail de la capitalisation.
Pour cette occasion, le principal actionnaire d’Anatevka, maison mère d’AAM basée au Luxembourg, décrypte les enjeux de cette présence à Juba. Thierry Leyne explique ainsi « l’occasion rêvée » qu’est la création d’un nouvel Etat. Dans le Soudan du Sud, né le 9 juillet 2011, tout est à faire : infrastructures, développement d’une économie locale, nationale, régionale, mais surtout d’un système bancaire et financier. « On en revient aux fondamentaux d’il y a cent ans », se félicite Thierry Leyne, enthousiaste.
« Ce sont des gens qui achètent des tickets de loterie », estime de son côté l’historien Gérard Prunier, spécialiste de la Corne de l’Afrique. « Ils viennent pour faire un coup et récupérer l’argent qui circule. » Pour lui, la situation sécuritaire au Soudan du Sud est si catastrophique que les investissements restent suicidaires. Il évalue les pertes du gouvernement en place à quelque sept milliards de dollars, détournés ou gaspillés.
Petites affaires entre bons amis
Si le groupe d’investissement luxembourgeois s’intéresse au Soudan du Sud, ce serait avant tout une histoire d’hommes. Voilà des années de cela, son fondateur a rencontré à Londres des expatriés sud-soudanais travaillant dans la finance, Abdelkarim Isai et Dawd Abate. Lorsque ceux-ci sont revenus dans leur pays pour participer à sa construction, ils se sont très naturellement tournés vers leur ancien ami pour obtenir de bons conseils.
Ces discussions ont amené les connaissances à devenir partenaires d’affaires, le cercle s’élargissant rapidement à DSK : un ancien patron du FMI, ce doit être rassurant pour les investisseurs. Le pays présente un fort potentiel de croissance économique qui attire déjà d’importants groupes asiatiques, notamment dans le secteur pétrolier.
La National Credit Bank espère capter des marchés auprès des investisseurs, mais aussi sur le territoire : « Il s’agit de convaincre à l’étranger. Mais nous voulons aussi inviter les Sud-Soudanais à venir déposer leurs salaires à la banque », admet Thierry Leyne.
Juba peut en effet miser sur d’importantes potentialités. Son économie, très exposée, repose pour l’instant sur le pétrole, dont le pays tire 98 % de ses recettes. Il espère pouvoir profiter des investissements dans les infrastructures menés par les exploitants de l’or noir pour développer d’autres activités.
Le Soudan du Sud est particulièrement riche en matières premières : du pétrole, certes, mais aussi des forêts, des minerais et des zones à fort potentiel hydroélectrique. L’agriculture à elle seule représente une ressource inestimable : 90 % du sol est cultivable, dont la moitié composée de terres de première qualité, presque inexploitées à l’heure actuelle.
Reconversion de mercenaires
Ce potentiel, nos financiers européens ne sont pas les seuls à l’avoir remarqué. Une autre personnalité cultive depuis de nombreuses années des relations ambigües avec le Soudan : Erik Prince. Le fondateur de la société militaire privée Blackwater, controversée pour ses méthodes musclées, notamment en Irak, s’est reconverti dans le conseil après avoir revendu sa compagnie. Basé depuis 2010 à Abu Dhabi, il lance une nouvelle entreprise, Frontier Ressource Group, pour faire commerce de ses bonnes idées sur la gestion du risque dans certains pays : Somalie, République démocratique du Congo et Soudan du Sud.
Gardant ses bonnes habitudes, cet ancien Navy Seal (une unité de commandos d’élite de l’armée américaine) puise chez d’anciens marines le gros de sa troupe. Il s’entoure d’un spécialiste des matières premières, Gregg Smith, passé par la 2nd Marine Divison, et le géant de l’audit financier Deloitte. Il récupère aussi Paul Habenicht, un ancien chef d’unité sniper en Afghanistan et en Irak. Enfin, il débauche chez la société militaire privée Saladin un jeune prodige sorti de la prestigieuse université de Georgetown (US), Rachel Braun, spécialiste du lobbying pétrolier et du Sud-Soudan.
Miser sur le pétrole pour planter du maïs
Ce commando de choc du consulting semble idéal pour conseiller un investisseur sur un marché risqué comme le Soudan du Sud. Client de choix pour Frontier Ressource Group : Pékin. La Chine, mais aussi la Malaisie et l’Inde, est en première ligne des investissements au Soudan du Sud. Leurs compagnies pétrolières nationales (CNPC, Sinopec, Petronas et ONGC) s’attèlent à l’extraction quotidienne de 200 à 350 000 barils – lorsque les relations avec Khartoum le permettent – qui assurent la survie de Juba. Des investisseurs qui sécurisent leurs ressources énergétiques, mais aussi alimentaires : tous trois figurent parmi les principaux locataires et acheteurs de terres arables en Afrique.
Les compagnies asiatiques ont une approche du risque différente des sociétés occidentales. Malgré la situation explosive du Soudan du Sud, elles n’hésitent pas à investir ce marché à fort potentiel. Car si Juba ne fait pas office de grande puissance pétrolière mondiale, elle pourrait s’imposer comme un exportateur conséquent sur le long terme. L’insécurité du pays a en effet limité son exploration géologique : certains s’attendent à découvrir d’importantes ressources pétrolières non encore dévoilées.
Francis Perrin, consultant sur l’énergie et les matières premières, remarque que les investissements dans le secteur pétrolier peuvent avoir des retombées positives pour le pays. « La question des infrastructures est importante : il faut des routes et des aéroports pour acheminer du personnel, du matériel », explique-t-il. C’est d’ailleurs ce qui pourrait expliquer l’intérêt d’Occidentaux pour une banque sud-soudanaise : « Il n’y a pas d’économie qui fonctionne sans un système bancaire et financier qui fonctionne. »
Dans cette course au pétrole, les Occidentaux ont pourtant déserté le territoire soudanais dans les années quatre-vingt. Trop risqué, trop instable. Ou presque : Total reste à la tête d’un consortium qui est détenteur des autorisations pour explorer un bloc de 120 000 km². Si le niveau d’insécurité diminuait, le pétrolier français pourrait de nouveau envisager d’investir au Soudan du Sud. Reste à savoir si l’enthousiasme de Dominique Strauss-Kahn sera contagieux.
Par RFI
Catégories: Afrique

Chinafrique : ces banques chinoises qui oeuvrent dans l'ombre

Jeune Afrique / Finance - lun, 27/05/2013 - 11:48
Les �tablissements chinois, de plus en plus actifs, appuient l'offensive �conomique de l'empire du Milieu sur le continent. Politique ou commercial, � chacun son r�le.
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Tunisie : malgré les tensions, les introductions en bourse se multiplient

Jeune Afrique / Finance - ven, 24/05/2013 - 13:16
Apr�s une ann�e 2012 atone et malgr� un contexte politico-�conomique difficile, les introductions se multiplient � la BVMT. Principale cause de cette ru�e : l'ass�chement des cr�dits bancaires.
Catégories: Afrique

Nem ért véget a költségvetés-módosító körüli vita

EU zseton - mer, 22/05/2013 - 12:19
Már-már szappanoperába illő fordulatnak tekinthető az, hogy az Európai Parlament (EP) költségvetési bizottságának elnöke, Alain Lamassoure május 16-án nem épp pozitív hangú levélben fordult Gilmore ír miniszterelnök-helyetteshez. A levél az ominózus, kettes számú költségvetés-módosító ügyében íródott, amelynek tárgyalása sehogy sem akar véget érni.
Csak emlékeztetőül: az idei évben felmerülő költségvetési luk betömését a Parlament az MFF megállapodás feltételéül szabta.

Pedig a május 14-én megrendezett ECOFIN tanácson a gazdasági és pénzügyminiszterek munkaebéd keretében áttekintették a dossziét és politikai megállapodást értek el arról, hogy elfogadják az elnökség által javasolt első „részletet”, azaz 7,3 milliárd euróval megemelik az idei kiadási szintet.

Ez – a Dánia, Finnország, Hollandia, Svédország és az Egyesült Királyság által nem támogatott alku – egyelőre egy szándéknyilatkozatnak tekinthető, amelyet a Tanács formálisan csak azt követően hagy majd jóvá, hogy lezáródtak az MFF-tárgyalások a Tanács és az EP között. Éppen ez az elem verte ki a biztosítékot az európai parlamenti képviselőknél, akik a teljes, 11,2 milliárd eurós összegre szerettek volna formális kötelezettségvállalást kapni a Tanácstól.

Egy ilyen szándéknyilatkozat így az EP-nek kevés, Lamassoure ezért ismét azt – a minden fél számára kedvezőtlen – verziót lebegteti, hogy az EP csak októberben szavaz az MFF-ről. Egy ilyen ütemezés azonban tovább hátráltatná az ágazati jogszabályok elfogadását, ellehetetlenítené a tagállami tervezést és a következő időszakra történő felkészülést.

A Parlament tehát ismét mutogatja oroszlánkörmeit, de félő, hogy ezek a körmök annyira élesek lesznek, hogy széttépik az teljes MFF megállapodást, nagy fejfájást okozva ezzel minden érintettnek.

Egyelőre úgy néz ki, a nyári szünetben még a megoldatlan költségvetési problémák terhével kell a Parlament tagjainak fáradságos munkájukat kipihenni, nem is beszélve a litván elnökségről, akik nyilván nem erről álmodtak.
De reménykedjünk egy pozitív fordulatban és kívánjunk kitartást és bölcsességet az ír elnökségnek, hogy sikerüljön tartani a menetrendet és még ebben a félévben lezáruljanak az MFF-tárgyalások! A következő trilógusra mindenesetre május 28-án kerül sor.

(Hetényi Géza)

Lehallgatólagos beleegyezés

Georg Spöttle Blogja - mar, 21/05/2013 - 14:29

Mindig megdöbbent, ha aktuális gazdasági vagy politikai botrányok során előkerülnek hanganyagok, lehallgatott telefon-és privát beszélgetésekről. Ilyenkor felmerül bennem a kérdés, hogy vajon kik és hány ember telefonját és irodáját hallgatják le na meg, hogy ki a célcsoport. Csak politikusok és cégvezetők vagy esetleg minden „érdekesebb” pozícióban dolgozó embernek számolnia kell ezzel? A gondolatok, kérdések most az amerikai lehallgatási botrány miatt jöttek újra elő. Az NSA (Nemzetbiztonsági Hivatal) és az FBI fülelt egy kissé újságírók mobiljában és elkapta e-mailjaikat. A felháborodás nagy volt, ám ha megvizsgáljuk az okokat, akkor talán megérthetjük, hogy miért kezdett vizsgálódni a terrorelhárítás. Minden az jemeni al-Kaida egyik akciójával kezdődött, aki fel akarta robbantani az egyik, Sana’a-ból, Jemen fővárosából, az Egyesült Államokba tartó repülőjáratot.

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Hasis és terror történelem avagy a Hegy Öregje

Georg Spöttle Blogja - lun, 13/05/2013 - 13:47

Szinte naponta halljuk a terrorizmus szót, valamelyik híradóban. Robbantások, merényletek, emberrablás,… Széles palettán mozog a téma. Ha az angol nyelvű híreket nézzük a CNN vagy a BBC csatornáin, akkor gyakran megüti fülünket az „assassination” szó. Tudjuk ez az áldozat halálát jelenti, ergo valakit meggyilkolt az egyik szervezet. Viszont kevesen tudják, hogy a szónak köze van a hasishoz és Szíriához is. Hasis, arabul füvet jelent, ám, ahogy a magyar fűnek, az arabban is kettős jelentése van a szónak: ami a mezőn nő, és amit elszívnak. Egy szír legendát alapul véve összeköthetjük a hasist, a terrorizmust és az öngyilkos merényleteket:

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Catégories: Biztonságpolitika

Chine : au pays de l'or rouge

Jeune Afrique / Finance - ven, 10/05/2013 - 12:03
Ex-colonie britannique, Hong Kong est devenu l'une des principales places financi�res offshore de la plan�te. Mais les dirigeants de la R�publique populaire se gardent bien de le crier sur les toits !
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Kim mit tud Észak-Koreáról?

Georg Spöttle Blogja - ven, 10/05/2013 - 09:08

A gonosz tengelye, személyi kultusz, éhezés, atombomba, Rodong és Taepodong rakéták, amelyek Hawaiira és Colorado Springsre irányulnak (még szerencse, hogy nem tudják, hol van), egy jóllakott óvodás és csontvázfejű tábornokok, akik reszkető ujjukat a piros gombon tartják.” Valljuk be, mindenkinek ezek a fogalmak jutnak az eszébe, ha Észak-Koreáról van szó.

 

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Catégories: Biztonságpolitika

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