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Environnement/Journée nationale de l'Arbre : SITARAIL répond à l'appel des Autorités burkinabè à Bérégadougou

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 06/08/2024 - 18:00

SITARAIL, en collaboration avec les services techniques du ministère de l'Environnement, a organisé une journée de reboisement à Bérégadougou, ce samedi 3 août 2024. Avec la participation active des autorités administratives, coutumières, religieuses et de la population locale, au total 300 plants ont été mis sous terre et protégés, répondant ainsi à l'appel lancé par les Autorités burkinabè, à l'occasion de la Journée nationale de l'Arbre (JNA), à reverdir le pays par tous les moyens.

« Au cours de la campagne de reforestation 2024, j'invite tout citoyen vivant au Burkina Faso et les Burkinabè de l'extérieur à un engagement patriotique. Cet engagement consistera à reverdir notre territoire par tous les moyens pour avoir un taux de réussite d'au moins 70% de plants vivants après les deux premières années de plantation », a invité le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ, dans son discours lu par le ministre de l'Environnement, de l'Eau et de l'Assainissement, lors de la célébration de la 6e édition de la Journée nationale de l'Arbre (JNA) 2024 qui s'est tenue le samedi 22 juin 2024 à Bobo-Dioulasso.

Répondant à cet appel du Président du Faso, SITARAIL a organisé, le samedi 3 août 2024, un reboisement à Bérégadougou, dans la région des Hauts Bassins. Sur le site de la Journée nationale de l'Arbre la localité, à quelque encablure de la ligne ferroviaire, 300 plantes ont été mises sous terre, grâce à une action coordonnée entre SITARAIL, les Autorités administratives, coutumières forestières et sécuritaires, et la population riveraine.

Le service de l'Environnement de Bérégadougou, qui a été d'un apport technique et pratique pour la tenue de cette journée de plantation d'arbres, a tenu à remercier l'entreprise de transport ferroviaire pour son geste fort-appréciable au profit de l'environnement. « Dans l'ensemble, la journée de reboisement s'est bien passée, à travers la mobilisation des autorités et des populations riveraines. Je dis un grand merci à SITARAIL d'avoir honoré son engagement et d'avoir fait du reboisement d'aujourd'hui une réalité », a indiqué le Lieutenant Mariam Sia, cheffe de service de l'Environnement de Bérégadougou.

« Je dis un grand merci à SITARAIL d'avoir honoré son engagement » Lieutenant Mariam Sia, cheffe de service de l'Environnement de Bérégadougou.

Cette activité qui contribue à reverdir la localité de Bérégadougou et partant, du Burkina Faso, a été soutenue par les Autorités administratives avec la présence effective du 2e vice-président de la Délégation spéciale de la commune Bérégadougou, Boubacar Sourabié, qui n'a pas manqué de féliciter SITARAIL pour sa citoyenneté. « C'est une activité à saluer. Il s'agit véritablement d'un acte citoyen. Nous disons merci à SITARAIL parce que c'est une société qui, par ses actions, ne cesse d'appuyer la commune de Bérégadougou et nous prenons en témoin un de ses récents travaux dans la zone qui a permis d'éviter une grande inondation. Ce sont des actions à encourager et toutes les sociétés devraient emboiter les pas de SITARAIL. Reboisement ainsi fait, j'invite les jeunes à s'engager pour le suivi de ces plantes qui ont été mises sous terre ».

« Il s'agit véritablement d'un acte citoyen » Boubacar Sourabié, 2e vice-président de la Délégation spéciale de la commune Bérégadougou.

L'appel du 2ème vice-président de la Délégation spéciale de Bérégadougou a d'ores et déjà eu écho favorable chez les jeunes qui, par la voix de Abdoulaye Kabré, se sont engagés à assurer la protection et le suivi de arbres plantées pour qu'ils profitent aux générations à venir. « Nous sommes vraiment contents du geste de SITARAIL. Nous sommes ensemble et nous resterons ensemble. Nous souhaitons une deuxième édition l'année prochaine. Nous prenons l'engagement de veiller sur les arbres qui sont mis sous terre aujourd'hui. Si le site pouvait être clôturé, cela, nous faciliterait aussi la tâche » a-t-il indiqué.

« Nous sommes vraiment contents du geste de SITARAIL. Nous sommes ensemble et nous resterons ensemble »

Pour Adama Ouattara, Coordonnateur des Services de Bobo Dioulasso, « SITARAIL, en tant qu'entreprise citoyenne résolument engagée dans la préservation de l'environnement, travaille et continuera de travailler avec les services techniques, et avec les populations riveraines le long du chemin de fer pour un cadre de vie agréable et vert, à l'image de transport ferroviaire ».

« SITARAIL, en tant qu'entreprise citoyenne résolument engagée dans la préservation de l'environnement » Adama Ouattara, Coordonnateur des Services SITARAIL de Bobo Dioulasso

Cette opération de plantation d'arbres a pris fin par des mots d'appréciations positives et de bénédictions du Chef du village de Bérégadougou, qui était aussi présent à la cérémonie. « En tant que chef du village de Bérégadougou, j'ai été très content de vous accueillir pour cette noble activité. J'ai été très comblé par votre approche et votre initiative. Que Dieu vous raccompagne en bonne santé et veille sur notre pays le Burkina Faso »

« J'ai été très content de vous accueillir pour cette noble activité. » Chef du village de Bérégadougou

Pour rappel, SITARAIL (Société internationale de transport africain par rail) est la filiale ferroviaire d'AGL (Africa Global Logistics) qui opère, depuis août 1995, le chemin de fer reliant Abidjan (Côte d'Ivoire) et Ouagadougou (Burkina Faso). Elle transporte en moyenne 1 000 000 de tonnes de fret chaque année. Depuis le 20 mai 2024, SITARAIL est certifiée ISO 9001 version 2015 pour son activité « Transport ferroviaire de marchandises », par le cabinet d'audit Apave. Avant l'apparition de la COVID-19, l'entreprise transportait annuellement 200 000 voyageurs. SITARAIL emploie environ 1 500 collaborateurs directs et génère 3 000 emplois indirects via des sociétés sous-traitantes. Elle constitue, grâce à son activité et à ses actions en faveur de la santé, de l'éducation et de l'environnement, un vecteur essentiel de développement socio-économique et d'intégration régionale en Afrique de l'Ouest.

Josué Bonkoungou

Catégories: Afrique

Ukraine Claims to Have Sunk Kilo-Class 'Black Hole' Stealth Submarine

The National Interest - mar, 06/08/2024 - 17:58

Summary and Key Points: Ukraine claimed to have sunk the Russian Kilo-class submarine Rostov-on-Don in the Black Sea, marking the second time this submarine has been targeted. The first attack in September heavily damaged the sub, which was reportedly under repair or in sea trials when hit again.

-This loss would be significant for Russia's Black Sea Fleet, especially since additional submarines can't enter the Black Sea due to Turkey's control over the straits.

-The incident remains unverified by Western sources and unacknowledged by Russia.

Did a Russian Kilo-Class Submarine Get Hit by Ukraine? 

Cue the social media memes, Ukraine – a nation that has no navy to speak of – claimed to have sunk yet another Russian submarine, the previously damaged Kilo-class Rostov-on-Don, which was targeted on Friday in a missile strike. If confirmed, it would be the second successful targeting of the Russian Navy submarine in the past year.

It was last September that Ukrainian forces attacked Rostov-on-Don with a cruise missile when the boat was in drydock, and believed it to be sunk. Though heavily damaged, the submarine was repaired and may have been engaged in sea trials when she was hit again. The diesel-electric improved Kilo-class attack submarine was launched in June 2014 and commissioned in December of that same year.

"A Russian submarine went to the bottom of the Black Sea," the Ukrainian Ministry of Defense announced, adding, "As a result of the attack, the submarine sank. Great work, warriors." During the strike, four S-400 Triumf air-defense systems were also reported to have been targeted.

The sinking of the submarine hasn't been independently verified by Western media outlets, while the Kremlin hasn't acknowledged the recent missile attack on the occupied Crimea.

Employing Western Aid

Though Ukraine has employed domestically-built aerial drones to target distant Russian air bases as well as the Kremlin's tanks on the frontlines, and it has used sea-skimming naval drones against the Russian Navy's Black Sea Fleet, much of the success in striking the occupied Crimea has been the result of long-range Western missiles.

That ordnance, along with the naval drones, has forced the Russian Navy to relocate its warships away from Sevastopol.

"The Rostov-on-Don was probably also about to retreat to Novorossiysk," Yörük Ik, a geopolitical analyst from the Bosphorus Observer maritime consultancy based in Istanbul, told Newsweek.

Losing a Black Hole

Though the Russian Navy is reported to operate more than sixty diesel-electric Kilo-class submarines, which are reportedly armed with Kalibr missiles that can be used to strike targets on land or at sea, the loss of the Rostov-on-Don would still be a blow to the Kremlin as it can't send additional submarines to the Black Sea.

The Black Sea Fleet had six of the submarines in service when Russia launched its unprovoked invasion of Ukraine, but three were not in the waters of the Black Sea at the time and access to the waters has been closed to military warships by Turkey, which controls access via the Dardanelles and Bosphorus Straits.

The boats had been seen as powerful platforms for striking positions on land and at sea as the Kalibr missiles can be launched from torpedo tubes while the boat is in a submerged position.

The boats were nicknamed "Black Holes" by the U.S. Navy as they were designed to operate in shallower, coastal waters where they can be employed in anti-surface warfare (ASuW) and anti-submarine warfare (ASW) missions. The upgraded Kilo-II boats are seventy-four meters long and displace more than 3,900 tons, and due to their strong hull, the submarines have an operational depth of 240 meters and can dive to a maximum depth of 300 meters, overall with an operational range of up to 7,500 miles.

The Russian submarines have been considered among the world's quietest underwater cruisers, and the boats can travel at speeds of up to twenty knots, while they have sea endurance of forty-five days. Each of the Russian boats is operated by a crew of fifty-two submariners.

It might seem that there is now an actual hole in one of those Black Holes, and this time it might not be so easy to patch it up.

Author Experience and Expertise: Peter Suciu

Peter Suciu is a Michigan-based writer. He has contributed to more than four dozen magazines, newspapers, and websites with over 3,200 published pieces over a twenty-year career in journalism. He regularly writes about military hardware, firearms history, cybersecurity, politics, and international affairs. Peter is also a Contributing Writer for Forbes and Clearance Jobs. You can follow him on Twitter: @PeterSuciu. You can email the author: Editor@nationalinterest.org.

All images are Creative Commons. 

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Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 06/08/2024 - 17:57

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Catégories: Afrique

Xavier Bertrand, un LR en campagne pour Matignon

Le Figaro / Politique - mar, 06/08/2024 - 17:44
DÉCRYPTAGE- Le président LR des Hauts-de-France est cité pour prendre la tête du « gouvernement d’urgence nationale » qu’il a appelé de ses vœux au lendemain des législatives.
Catégories: France

L'Afrique du Sud, les Juifs et l'apartheid

Le Monde Diplomatique - mar, 06/08/2024 - 17:27
Trente ans après la fin de l'apartheid, la petite communauté juive d'Afrique du Sud est plus que jamais divisée. Une partie a profité du système raciste, l'autre a résisté. Deux leçons contradictoires de la Shoah s'opposent : celle d'un « plus jamais ça » universaliste, qui pousse les uns à soutenir (...) / , , , , - 2024/08

Putin's 'War of Choice' in Ukraine Could Mean Russia's 'Outright Ruin'

The National Interest - mar, 06/08/2024 - 17:08

Since the start of its war on Ukraine in February 2022, Russia has experienced a massive population exodus. Ideological objectors, political opponents, and those simply seeking to avoid conscription have sought the shelter of other nations. Accurate data about this cohort, however, is in short supply, complicated both by Kremlin propaganda and by the fact that some of these exiles have since made their way back to Russia

A new study by The Bell, a leading Russian opposition news outlet, suggests the ranks of those who fled Russia and still remain abroad is significantly larger than commonly understood. 

“The wave of people leaving Russia since February 2022 is the most significant exodus from the country in three decades,” the study notes. That’s something of an understatement. According to recent estimates, more than 800,000 left Russia since the start of the war, marking the largest out-migration since the 1917 Bolshevik Revolution. And while a small percentage has since returned to Russia, the overwhelming majority remain abroad. “At least 650,000 people who left Russia after it invaded Ukraine are still abroad,” according to The Bell. 

In absolute terms, that figure represents less than 1% of Russia’s total population of over 146 million. But its impact is outsized on a number of levels. 

One is economic. Specifically, the study notes, “those who left Russia can be characterized as highly politicized, well-educated and in a better financial situation than the average Russian. They are typically young (aged 20-40) and 80% have university-level education.” Because of this comparatively high level of achievement, “[t]hey are more likely to run their own businesses or work in white-collar roles such as IT, data analysis, sciences or the creative sector.” 

Their departure has exacerbated an already serious problem. Even before Russia’s latest invasion of Ukraine, political scientists were warning that the deepening authoritarianism of President Vladimir Putin’s government was driving out the country’s creative class. Indeed, in the years preceding Russia’s “special military operation” against Ukraine, Russia was seeing an average annual outflow of roughly 100,000 people. Since the start of the current war, the situation has become much, much worse. 

That’s because “the hundreds of thousands of those who left are among Russia’s most active and enterprising,” The Bell study notes. As such, their departure “will make it harder for innovation to trickle through the economy and for productivity to increase, potentially hampering Russia’s economic potential for years to come.” The results will be measured in Russia’s declining global competitiveness and economic vibrancy.

Another reason the current exodus is so damaging has to do with demographics. For more than half a century, Russia has been locked in a cycle of deepening population decline, with death and emigration significantly outpacing live births. The situation became a full-blown crisis in the decade after the collapse of the USSR, before rebounding modestly to match European levels of fertility (roughly 1.5 live births per woman). This situation still prevails today.

Even that figure remains well below the fertility rate of 2.1 children per family required for a sustainable replenishment of the Russian population. It has also proven to be stubborn, staying largely static despite numerous Kremlin initiatives designed to boost birth rates. Now, Russia’s war on Ukraine – and the open-ended nature of that conflict – has spurred even steeper decline, as potential conscripts and other objectors eye the national exits.

All of which this augurs potentially momentous changes for the nature of the Russian state. Earlier this year, ROSSTAT, Russia’s official statistics agency, estimated that in a worst case scenario, the national population could drop to 130 million people by the middle of the century. Such a decline would fundamentally upend Russia’s ability to control its vast national territory, which spans eleven time zones. It would be hard to defend territory from the predations of China, with whom Moscow supposedly now boasts a “no limits partnership.”

This brings us back to the true costs of the Ukraine war. Russian officials have made clear that they see the subjugation of their country’s western neighbor as an overriding strategic priority, as well as a prerequisite for renewed national greatness. But, in practical terms, Putin’s war of choice has sped up internal processes that could lead to Russia’s profound decline – or even its outright ruin. 

Ilan Berman is Senior Vice President of the American Foreign Policy Council in Washington, DC. 

Iran Is Freaked: Aircraft Carrier HMS Prince of Wales Could Be Headed to Middle East

The National Interest - mar, 06/08/2024 - 16:47

Summary and Key Points: The Royal Navy's HMS Prince of Wales is currently preparing for a deployment, having traveled to Scotland to load up on ammunition. While the deployment is officially described as a "routine logistics visit," speculation has arisen that the carrier could be combat-ready for a potential earlier mission.

-This could involve supporting an evacuation of UK nationals from Lebanon if conflict escalates between Hezbollah and Israel, or assisting U.S. Navy operations in the Middle East.

-The situation remains fluid, and the carrier's exact mission has not been officially disclosed.

Is the Royal Navy's HMS Prince of Wales Readying for Deployment to the Middle East?

Earlier this year, there was speculation that the Royal Navy would dispatch one of its two aircraft carriers to aid the United States Navy in the Middle East to help deter an escalation in the ongoing conflict between Israel and Hamas in Gaza. Those plans were scuttled after the flagship HMS Queen Elizabeth was forced to head to Rosyth Dockyard in Scotland after a mechanical fault was discovered during a pre-sailing check in February.

It was just last week the HMS Queen Elizabeth returned to the Portsmouth Naval Base in the south of England and will prepare for her next deployment, while her sister carrier HMS Prince of Wales is now heading to Scotland. Though the latter vessel also underwent even more significant repairs two years ago; this trip to Glenmallan to load up on ammunition for another yet-to-be announced-deployment.

It was in June that the 65,000-tonne HMS Prince of Wales returned to the naval base after serving as the NATO command ship in the largest exercise held by the international military alliance since the Cold War. Prince of Wales was forced to replace HMS Queen Elizabeth at the last moment due to the aforementioned mechanical fault. Following a brief maintenance period, the second of the Royal Navy's two carriers is now on the move, but it hasn't been announced where she will head next.

Gearing Up For War?

The deployment to Scotland has been described as a "routine logistics visit," and the carrier is indeed set to take part in a deployment to the Indo-Pacific next year, but Iain Ballantyne, editor of the Warships International Fleet Review told the UK's Daily Express newspaper that "perhaps the UK Government is taking the sensible contingency of having the Prince of Wales combat ready to deploy on an earlier mission? This might be to support an evacuation of UK nationals from Lebanon if a full-scale war erupts between Hezbollah and Israel."

Ballantyne added that the carrier could operate alongside the U.S. Navy's Nimitz-class nuclear-powered supercarrier USS Theodore Roosevelt (CVN-71), which is now in the Red Sea and will be replaced by USS Abraham Lincoln (CVN-72) in the coming weeks.

It was last week that Iranian officials met with those of Hamas, Hezbollah, Islamic Jihad, and the Yemeni-base Houthi rebels in Tehran. There are now further fears that a wider regional war could break out between Iran and its proxies with Israel.

Since last fall, the Houthis have been conducting strikes on commercial shipping in the Red Sea and Gulf of Aden, supposedly in support of Hamas, while the militant group has also launched missile strikes on Israel. The United States Navy has operated a carrier or other warships in the region since Hamas carried out its terrorist attack into southern Israel on October 7, 2023.

Though the U.S. Navy twice extended the deployments of both USS Dwight D. Eisenhower (CVN-69) and USS Gerald R. Ford (CVN-78) and is now playing a game of "musical chairs" with its carriers, it would seem unlikely the Royal Navy could go it alone in the region. The Royal Navy would still likely need to be supported by U.S. Navy guided-missile destroyers to screen HMS Prince of Wales.

Yet, it is possible that the Royal Navy carrier could help aid the U.S. Navy in its operations in the region, proving the naysayers wrong.

Author Experience and Expertise: Peter Suciu

Peter Suciu is a Michigan-based writer. He has contributed to more than four dozen magazines, newspapers, and websites with over 3,200 published pieces over a twenty-year career in journalism. He regularly writes about military hardware, firearms history, cybersecurity, politics, and international affairs. Peter is also a Contributing Writer for Forbes and Clearance Jobs. You can follow him on Twitter: @PeterSuciu. You can email the author: Editor@nationalinterest.org.

Image Credit: Creative Commons and/or Shutterstock.

Le possible retrait dans l’UE d’un médicament pour traiter une maladie hépatique rare inquiète les patients

Euractiv.fr - mar, 06/08/2024 - 16:43
Le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a suscité l’indignation des patients en révoquant du marché un médicament utilisé dans le traitement d’une maladie hépatique rare.
Catégories: Union européenne

Burkina : Bientôt un plan d'action national pour l'encadrement de la biodiversité

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 06/08/2024 - 16:41

Un atelier national de validation de la stratégie et du plan d'action national de la diversité biologique se tient ce mardi 6 août 2024, au ministère en charge de l'environnement, à Ouagadougou. La suite de ces travaux de réflexion a pour vocation d'aligner la stratégie nationale au cadre mondial de la diversité biologique.

La dégradation de la diversité biologique est une réalité au Burkina Faso au regard des déplacements massifs engendrés par la crise sécuritaire. Pour relever ce défi, les acteurs ont décidé d'adopter une stratégie et un plan d'action national afin de protéger et de sauvegarder l'environnement. Au cours de cet atelier de 24 heures, les différents acteurs du secteur de l'environnement vont réfléchir sur la question.

Représentant le ministre en charge de l'environnement, Ousmane Banwar a rappelé que cet atelier national de validation est l'aboutissement d'un long processus de collaboration fructueuse entre les différentes structures et le ministère. Cela a permis, dit-il, de disponibiliser des projets de documents de stratégie et de plan d'actions pour la conservation de la diversité biologique.

Tout en saluant l'importance de la tenue de cet atelier, il a laissé entendre qu'il contribuera à apporter des solutions efficaces et durables, notamment, face aux nouveaux défis liés aux déplacements involontaires des populations avec les diverses conséquences entraînant la dégradation des écosystèmes et des habitats spécifiques de la diversité biologique.

Le représentant du ministre en charge de l'environnement, Ousmane Banwar a salué l'engagement des partenaires

Dans ce plan d'action qui couvre la période 2024-2029, les objectifs sont multiples, selon le porte-parole du ministre. Il s'agit, entre autres, d'assurer la conservation, la restauration et l'exploitation durable de la diversité biologique pour l'amélioration des conditions socio-économiques des populations.

« Il est bâti autour de trois axes stratégiques qui sont : la conservation de la diversité biologique ; l'utilisation et la valorisation durable de la diversité biologique et enfin la gouvernance de la diversité biologique », a-t-il cité, ajoutant que trois principaux impacts sont attendus de sa mise en œuvre. La réduction de la dégradation des ressources naturelles à travers le rehaussement du taux de couverture forestière de 22,72% en 2020 à 26,47% en 2029 ; l'augmentation de la contribution du secteur primaire à l'économie nationale qui permettra de faire passer la contribution du secteur primaire à la formation du PIB nominal de 20,40% en 2022 à 23,9% en 2029 et l'amélioration des conditions socioéconomiques des populations par la réduction de l'incidence de la pauvreté en milieu rural de 52,7% en 2021 à moins de 49% en 2029, sont entre autres les différentes attentes.

« La stratégie est assortie d'un plan d'action triennal d'un coût global de mise en œuvre estimé à 204 294 095 000 FCFA dont 122 968 302 000 FCFA sont à rechercher », a confié le représentant du ministre. A l'occasion, il a demandé l'engagement et la contribution effective de tous les acteurs pour la mobilisation des ressources financières nécessaires pour la mise œuvre optimale.

Le secrétaire permanent du Conseil national de développement durable (CNDD), Pamoussa Ouédraogo, a invité les partenaires à mieux s'organiser afin d'atteindre les objectifs escomptés

En attendant les contributions, il a salué l'accompagnement des partenaires comme le Programme des nations unies pour l'environnement (PNUE), l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) ainsi que le Centre de recherche forestière internationale et le Centre international de recherche en agroforesterie (CIFOR-ICRAF) pour leurs soutiens techniques et financiers qui ont permis l'aboutissement du processus.

Dans son allocution, le secrétaire permanent du Conseil national de développement durable (CNDD), Pamoussa Ouédraogo, a indiqué que cet atelier s'inscrit dans le cadre de la convention mondiale sur la biodiversité. « Pour cet atelier, il s'agit pour nous de voir comment nous pouvons faire l'alignement de cette stratégie avec le cadre mondial », a-t-il mentionné. A l'en croire, la validation de la stratégie, permettra de mieux valoriser et conserver la diversité biologique. Durant les cinq années, près de 3 000 hectares du couvert végétal seront restaurés dans les zones dégradées. Il est prévu également dans ce plan d'action des reboisements, a-t-il conclu.

Serge Ika KI
Lefaso.net

Catégories: Afrique

Hommage aux agents des douanes à la retraite : « Nous encourageons le directeur général dans cette démarche noble », Valentin Tiendrébéogo, président de l'ABADR

Lefaso.net (Burkina Faso) - mar, 06/08/2024 - 16:41

Nous avons rencontré un septuagénaire pour échanger sur sa vie de retraité et celle de leur structure. Ne dit-on pas qu'un bel avenir se nourrit du passé ? Les personnes âgées sont souvent laissées à l'oubliette, ce septuagénaire le relève dans notre entretien. Du haut de ses 70 ans, il revient sur les pratiques de la profession de douanier au Burkina Faso. Contrôleur de douane à la retraite, il est né au Sénégal en 1954 d'un père Burkinabè qui s'y était installé, en service dans l'armée à l'époque. Après une carrière bien exercée, il est admis à la retraite (ABADR) en 2012. Quatre ans après, il prend les rênes de l'Association burkinabè des agents de douane à la retraite. Lui, c'est Valentin Tiendrébéogo, ce vieil homme de 70 ans qui a toujours la mémoire intacte pour parler de la vie des retraités en douane. Dans l'entretien qu'il nous accorde, il parle de la vie de l'ABADR qu'il dirige, de l'actualité nationale marquée par la nécessité de la mobilisation citoyenne pour vaincre l'hydre terroriste, en passant par l'organisation par la direction générale de la douane de la journée d'hommage à l'agent de douane à la retraite, tenue le 18 avril 2024. Il n'a pas manqué de faire une mention spéciale au directeur général de la douane pour avoir mis en orbite les douaniers à la retraite à l'occasion de cette journée d'hommage aux retraités. Le septuagénaire, troisième président de l'ABADR depuis sa création, ne tarit pas de conseils pour ses jeunes frères et sœurs en exercice dans la profession de douanier au Burkina Faso. Lisez plutôt !

Pouvez-vous faire la genèse de l'existence de votre association des douaniers à la retraite ?

L'Association burkinabè des agents de douane à la retraite a été portée sur les fonts baptismaux sur l'initiative de nos aînés en 1991. L'association existait de fait depuis 1991 jusqu'à ce qu'elle soit formelle par l'obtention du récépissé en 1993. Le premier président a été feu Dominique Ouédraogo, le deuxième a été feu Bernard Zèba et j'en suis le troisième président depuis 2016. J'ai pris les rênes de l'association (ABADR) suite à mes services dans la province de la Kossi où j'étais le chef de la brigade mobile de douane à Soin, non loin de Djibasso, à la frontière avec le Mali. De Soin, je suis venu à Dédougou de là, j'ai continué à l'école de douane. Ensuite j'ai été au poste de douane de Faramana vers la frontière malienne avant de regagner Ouagadougou pour être admis à la retraite en 2012. La présidence de l'ABADR m'a été confiée quatre ans après mon admission à la retraite.

Combien êtes-vous au sein de l'association approximativement ?

Nous sommes environ plus de 300 membres adhérents. Il faut reconnaître qu'il y a des retraités de la douane qui ne sont pas membres. Mais nous essayons de faire autant que faire se peut pour prendre en compte le maximum de personnes admises à la retraite en douane. L'adhésion étant volontaire, nous gardons le contact entre nous et arrivons à nous rencontrer lors des séances statutaires. Au-delà de cela, nous prenons les nouvelles des uns et des autres via les réseaux-sociaux (rire) à travers le territoire national. Il y a beaucoup qui se sont reconvertis à d'autres activités comme l'investissement agricole par exemple et bien d'autres.

Quels sont vos principaux objectifs poursuivis ?

L'objectif principal est de promouvoir la solidarité entre les membres. Notre association est également le trait d'union entre les acteurs les agents admis à la retraite en douane avec ceux qui sont toujours en activité. En notre sein il y a une grande expertise qui peut toujours proposer ses services. Il y a des anciens directeurs généraux de la douane qui sont membres de l'ABADR, tous ceux-ci constituent une expertise qui peut toujours intervenir en cas de besoin. Nous supposons que le personnel de douane toujours en activité peut avoir besoin de conseils et de services. En cas de besoin, il peut s'adresser à nous et nous mettons tout en œuvre pour répondre à ses attentes dans la mesure du possible. L'un de nos objectifs est d'éclairer ce personnel en activité sur la base de notre expérience professionnelle. Nous faisons en sorte de nous retrouver lors des rencontres statutaires ou pendant d'autres occasions solennelles favorables.

Depuis votre existence quelles sont les actions phares que vous avez eu à mener ?

Depuis notre création, nous avons effectué des sorties terrain en vue de rencontrer ceux qui sont en activité. Nous échangeons avec eux notamment sur les enjeux de la retraite en donnant des conseils pratiques afin de les aider un tant soit peu pour qu'ils arrivent à la retraite en bonne santé. Nous conseillons sur les comportements à avoir pour avoir une retraite et qu'ils sachent se préparer pour cette nouvelle vie. Il y a des élèves de l'école de douane qui viennent nous consulter quand ils ont besoin de renseignements sur certains aspects de la profession de douanier, surtout que notre siège n'est pas éloigné de l'école nationale de la douane. Nous leur fournissons les informations à notre portée.

Tous les secteurs évoluent et admettent des innovations et le secteur douanier n'est pas en reste. Du haut de votre expérience professionnelle, qu'est ce qui a changé fondamentalement dans l'exercice du travail du douanier au Burkina Faso ?

Il faut reconnaître qu'il y a eu beaucoup de changements positifs. Par exemple, lorsque je prends l'aspect informatique qui a été introduit dans le travail des douaniers, je peux dire sans risque de me tromper qu'il y a un changement conséquent. L'informatisation de la douane nous a trouvé en fonction mais on peut dire que nous sommes aujourd'hui déconnectés tant elle (informatisation du secteur douanier) a évolué. J'ai été receveur pendant une dizaine d'années. A comparer à nos jours, il faut dire qu'il y a une évolution fulgurante. A notre époque la comptabilité était manuelle avec toutes les difficultés y afférentes. Avec l'informatisation, il y a plus de transparence que de par le passé.

Quels conseils vous donnez à ceux qui sont en exercice pour qu'ils obtiennent comme vous une retraite paisible un jour ?

Beaucoup s'étonnaient lorsque nous avons été à la retraite. De plus en plus, nous sommes nombreux. Le conseil que je peux suggérer c'est de travailler dans la probité et dans l'honnêteté. Cela paye tôt ou tard. C'est vrai que cela n'est pas facile mais pas impossible. Il y a des situations qui créent la tentation mais il faut faire toujours attention parce que cela peut vous rattraper. Il faut faire en sorte qu'une fois à la retraite, on puisse facilement s'intégrer dans la société. Il n'y a pas un autre secret que cela. Nous sensibilisons nos jeunes frères lors des occasions solennelles.

Justement parlant d'occasion solennelle, au cours de cette année notamment en avril 2024, il y a une journée d'hommage qui a été organisée spécialement pour l'agent de douane retraité par la direction générale de la douane sous le nouveau directeur général de la douane. Cela est une première, comment avez-vous accueilli cela ?

C'est avec une grande satisfaction que nous avons accueilli cette journée dédiée à l'agent de douane à la retraite. C'est vraiment une première que nous soyons honorés de la sorte par la direction générale de la douane en tant que personne retraitée. Nous avions demandé à rencontrer le nouveau directeur général pour d'une part le féliciter et d'autre part pour mener un plaidoyer en faveur des personnes admises à la retraite. D'emblée, il nous a dit que dans son plan d'action figurait une activité d'hommage aux agents de douane à la retraite. Il entendait mener cette activité en faveur des retraités. Nous étions une délégation et tous les membres de la délégation étaient contents à l'annonce d'une telle information. Le directeur général a ainsi mis un comité en place qui devrait être en contact et en communication permanente avec l'ABADR afin de peaufiner ce plan d'action. Ce comité devrait faire le point permanent avec nous. A son tour, ce comité répercutait l'information auprès du directeur général, étant donné que lui-même ne pouvait être disponible à tout moment au regard de ses responsabilités à la tête de l'administration douanière. Tous les membres de la délégation sans exception aucune, étaient contents de toute cette démarche. Nous nous sommes organisés en notre sein pour désigner les récipiendaires des décorations de reconnaissance de l'administration douanière à l'occasion de cette journée d'hommage. Pour faire le récapitulatif de ces récipiendaires parce que c'est une première, il fallait privilégier les agents récemment admis à la retraite notamment ceux de 2023. La liste de ces agents admis à la retraite est disponible d'autant plus que c'est récent et il est facile de rentrer en contact avec eux. Au fur et à mesure que cette journée se tiendra, nous pourrons l'élargir et mieux l'organiser. Nous avons pris l'institution de cette journée avec beaucoup d'enthousiasme et avec beaucoup de fierté à l'endroit du directeur général de la douane. L'idée était noble de réunir également les anciens directeurs généraux à l'occasion. Il a mis un point d'honneur sur l'union qui fait la force et qui fait avancer les choses. Comme c'est une activité de la direction générale, c'est elle-même qui s'est chargée de tout organiser.

Que retenez-vous finalement de cette journée qui s'est tenue courant avril 2024 ?

On peut dire que le directeur général a donné un visage encore plus humain à l'administration douanière du Burkina. Il y a des gens qui étaient à l'oubliette qui ont pu se retrouver. Cela était une véritable source de joie pour tout le monde. Nous étions très heureux et en la matière et ce qui est logique c'est la reconnaissance. Nous avons rédigé une lettre de remerciement que nous avons adressée au directeur général.

Que dites-vous au directeur général de la douane ?

Nous lui témoignons toute notre gratitude pour la considération portée à notre endroit. Pour le plaidoyer que nous lui avons présenté, il est allé au-delà de nos attentes dans la mise en œuvre de cette doléance au grand satisfecit de tous nos membres. Désormais, tous ces anciens se retrouvent pour commémorer le douanier à la retraite. Vous imaginez que cela est véritablement une source de satisfaction pour tous les anciens ? Nous encourageons le directeur général dans cette démarche noble. Nous avons demandé à nos membres de prier pour lui afin qu'il mène à bien sa mission. Chacun à sa manière et tout le monde va mettre la main à la pâte comme il peut pour porter ses prières parce que nous savons que sa mission n'est pas facile. Il peut compter également sur nous parce que dans nos rangs, il y a des expertises. Nous lui avons déjà réitéré notre disponibilité et accompagnement. Cette retrouvaille, a permis à l'ensemble des agents en douane en retraite de se cotiser pour apporter leur modeste contribution à l'effort de paix. Nous avons informé le directeur général de douane de ce que nous envisageons apporter notre contribution à l'effort de paix. Il a mis à contribution les services de la douane afin qu'ils nous accompagnent pour que cela se passe bien. En fin de compte, nous avons pu réunir les fonds. Certains ont contribué 100 FCFA, d'autres 1 000 FCFA, 5 000 F à 10 000 F. En fin de compte, nous avons pu mobiliser une somme intéressante comme notre apport pécuniaire.

Combien vous avez mobilisé si ce n'est un secret ?

Rire ! Ce n'est pas un secret puisque nous avons mobilisé ce jour-là publiquement la somme de 2 millions 170 FCFA.

Parlant de l'aspect sécuritaire, comment vous analysez la situation ?

Nous ne dormons pas sur nos lauriers parce que nous savons que la conjugaison des efforts communs est nécessaire pour accompagner la dynamique nationale. Nous étions en fonction sur le terrain, nous savons que cela n'est pas facile. Si nous ne pouvons pas nous déplacer pour combattre, il est important que nous accompagnons nos frères et nos enfants qui sont sur le terrain. C'est pour cela que nous nous sommes cotisés pour faire un geste symbolique.

Avez-vous un mot pour conclure notre entretien ?

Je vous remercie pour l'occasion que vous nous avez offert de nous exprimer. Nous avons salué la tenue de la journée d'hommage aux retraités de la douane. Cette année a été une première et nous savons que les choses vont encore s'améliorer dans les années à venir. Nous avons demandé au directeur général de nous permettre en tant qu'anciens et la mémoire de l'administration douanière de faire un musée pour garder ce qui se perd. Ainsi les jeunes douaniers viendront s'y ressourcer pour connaître les choses passées. Le directeur général des douanes nous a autorisé à le faire. Nous l'en remercions grandement. Aux prochaines occasions, nous pourrons présenter quelque chose dans ce sens pour la conservation entre autres de la mémoire de l'administration douanière. Nous exhortons nos plus hautes autorités du Burkina Faso à poursuivre les efforts qu'ils fournissent inlassablement pour l'ensemble des Burkinabè que nous sommes. Nous leur réitérons notre soutien et nos prières de longévité et de victoire commune.

Interview réalisée par Somborignan Kissangoulé
(Correspondance particulière)

Catégories: Afrique

Les Bourses encore instables après la panique de la veille

Euractiv.fr - mar, 06/08/2024 - 16:38
Les Bourses mondiales tentent de se stabiliser ce 6 août après deux séances d’affolement qui ont vu les indices boursiers chuter, inquiètes d’une possible récession aux États-Unis.
Catégories: Union européenne

Fighter Battle: Can Ukraine's F-16s Defeat Russia’s Su-35 and Su-57?

The National Interest - mar, 06/08/2024 - 16:36

Summary and Key Points: Following Ukraine's acquisition of U.S.-made F-16 Fighting Falcons, Russia's state-owned arms company, Rostec, declared that these jets would be "destroyed," dismissing them as inferior to Russia's Su-35S and Su-57 fighters.

-Despite these bold claims, the F-16s still pose a significant threat with advanced missile capabilities. However, it remains unlikely that Russia will risk direct air combat, particularly involving the Su-57, due to the potential for propaganda setbacks.

-The F-16s are expected to be used primarily for defensive roles against missiles and drones.

Russia State Arms Company Said F-16s Will be Destroyed

Just a day after Ukrainian President Volodymyr Zelensky poised with a pair of U.S.-made F-16 Fighting Falcons at an undisclosed location, Russia's state-owned military-industrial conglomerate Rostec issued a bold proclamation that the jets would be "destroyed."

On Monday, Rostec officials told state media outlet Tass that the F-16s aren't up to the task as the all-weather multirole fighters aren't as advanced as the fighters in service with the Russian Aerospace Forces. Still, the report warned that the F-16s shouldn't be taken entirely for granted.

"If you look at the specifications of the US-made aircraft, the conclusion is unambiguous: It is not a rival to the Su-35S, much less the Su-57. In a head-on air combat, our jets are superior to the US fighter jets. The F-16 is not the newest jet, but this is no reason to rejoice and relax. The jet can carry advanced missile systems and can cause a lot of problems. Nevertheless, they, as the rest of Western equipment, will face the same end: destruction," the state-owned corporation said.

Parroting Putin on F-16 Fighters 

Russian President Vladimir Putin has been even more dismissive of the Fighting Falcons, previously stating that the aircraft wouldn't change the situation on the ground, but he also warned that by supplying the F-16s, the West is prolonging the conflict.

"If they supply F-16s, and they are talking about this and are training pilots, this will not change the situation on the battlefield," Putin said in March as Ukrainian pilots were being trained on the Fighting Falcon.

Though U.S. and other Western pilots typically train on the F-16 for years, Kyiv's aviators have been given a crash course lasting several months.

Can We Expect "Head-on Air Combat"

The claims from Rostec are also noteworthy as the Sukhoi Su-57 (NATO reporting name Felon), which received so much type has largely been absent from the skies over Ukraine. Its combat operations have been rather limited, and it is reported to have only operated from within Russian airspace launching missiles into Ukrainian-held territory.

It would seem highly unlikely that the Kremlin would send any Su-57s up against the Fighting Falcon, even if the general consensus would be that the Russian fighter maintains an edge. As a fifth-generation fighter with stealth capabilities, the Su-57 would be more than a match for the F-16.

Yet, Russia will likely remain cautious about how it engages the U.S.-made fighters. While shooting one down would certainly be a huge propaganda coup for Moscow, it likely won't want to risk an even greater embarrassment should an F-16 shoot down a Su-57.

The same may even hold true for the Su-35 (NATO reporting name Flanker-E/M), an improved variant of the Su-27 air superiority fighter. Already, Moscow has seen around half a dozen of its 120 Su-35s lost in the ongoing war in Ukraine, most from ground-based air defense systems.

There has been little "dogfighting" or even air-to-air beyond visual range engagement between Russian and Ukrainian fighters, and it remains questionable whether Moscow's pilots are really any better than Kyiv's. Still, Ukraine will no more want to risk its F-16s than Russia wants to risk its Su-57s.

Instead, the F-16s will likely be employed in the short term to counter the Kremlin's missiles and drones. Any close air support (CAS) or ground strikes probably won't happen for some time.

It may be up to Russia to risk proving its aircraft – and as importantly its pilots – are truly better than the F-16 Fighting Falcons flown by Ukrainian aviators. But that almost certainly won't happen.

Author Experience and Expertise: Peter Suciu

Peter Suciu is a Michigan-based writer. He has contributed to more than four dozen magazines, newspapers, and websites with over 3,200 published pieces over a twenty-year career in journalism. He regularly writes about military hardware, firearms history, cybersecurity, politics, and international affairs. Peter is also a Contributing Writer for Forbes and Clearance Jobs. You can follow him on Twitter: @PeterSuciu. You can email the author: Editor@nationalinterest.org.

Image Credit: Creative Commons and/or Shutterstock. 

The U.S. Navy's Railgun Nightmare Has Just Begun

The National Interest - mar, 06/08/2024 - 16:31

Summary and Key Points: Railgun technology, first conceptualized in World War I, has been pursued by various nations due to its potential for high-velocity, non-explosive projectiles. However, technical challenges, particularly related to power and durability, have stymied progress.

-While the U.S. has recently shelved its railgun projects, China continues to explore this field, recently testing an electromagnetic railgun with artificial intelligence.

-Despite these efforts, achieving a reliable and effective railgun remains a significant challenge, with both nations facing setbacks in their developments.

Railgun Technology: A Century-Old Dream Facing Modern Challenges

Since the concept of the railgun was first introduced during World War I, many nations have invested heavily in acquiring this linear motor device. Also referred to as a rail cannon, this weapon uses electromagnetic force to launch high-velocity projectiles. Over the years, emerging technologies and other advancements have led to real-world efforts to develop such a powerful platform.

However, many of these efforts have failed due to power and durability issues that even the most cutting-edge engineers have been unable to circumvent. The U.S. appears to be sidelining its rail gun efforts completely. The People’s Republic of China (PRC) is no closer to achieving the pursuit of this weapon, however, the plan is to continue to prioritize developing this field further.

China’s Ongoing Railgun Efforts

In May, a Naval Engineering University team in Beijing used artificial intelligence technology in its latest railgun endeavors. According to Chinese state-run media outlets, the People’s Liberation Army Navy (PLAN) tested an electromagnetic railgun by firing a smart bomb 15 km at a speed over Mach-5.0. Although the test launch was not deemed successful, it demonstrates Beijing’s continued pursuit of rail gun technology.

The U.S. has also invested heavily in acquiring rail gun capabilities in the past, even if related efforts have been essentially put on the back burner more recently. Over the last decade, analysts estimate that the Navy has allocated upwards of $500 million to its Electromagnetic Railgun (EMRG) program. In 2022, however, a U.S. Congressional Research Service report noted that the U.S. had ceased funding for its railgun project but that the Navy still hoped the weapon could be potentially valuable for missile defense down the line.

How Railgun Tech Works

Since the overall objective of such a program would be the ability to fire projectiles at hypersonic speeds, they would not even need to contain explosives in order to inflict damage on targets.

Nearly two decades ago, the Pentagon tasked BAE Systems and General Atomics to develop a working railgun that would help steer onboard guns away from gunpowder-based propulsion to electric propulsion.

As detailed by Popular Mechanics, “Unlike traditional naval guns that ignite gunpowder or some other powder charge to send a projectile down a tube, railguns don’t rely on explosions. This means the railgun could fling a projectile faster and farther without storing dangerous and bulky powder charges, and the guns weren’t subjected to the extremely high pressures involved in a powder explosion. Power would be generated by a ship’s integrated power system, which is designed to generate, store, and release huge amounts of electricity.”

While in theory, the rail gun concept could provide a huge asset to a Navy’s armament capabilities, several technical issues have prevented it from coming to fruition. The overarching problem associated with this weapon is power itself. Acquiring enough power to actually launch such a projectile in a controlled and reliable manner is simply not a realistic endeavor for a warship.

About the Author: Maya Carlin, Defense Expert 

Maya Carlin, National Security Writer with The National Interest, is an analyst with the Center for Security Policy and a former Anna Sobol Levy Fellow at IDC Herzliya in Israel. She has by-lines in many publications, including The National Interest, Jerusalem Post, and Times of Israel. You can follow her on Twitter: @MayaCarlin

Image Credit: Creative Commons and/or Shutterstock. 

Les agriculteurs grecs et roumains en proie à une épidémie de peste des petits ruminants

Euractiv.fr - mar, 06/08/2024 - 16:20
La peste des petits ruminants, un virus mortel affectant les moutons et les chèvres, continue de ravager les fermes grecques et roumaines, poussant les gouvernements des deux pays à imposer des restrictions sur le transport des animaux pour freiner sa propagation.
Catégories: Union européenne

Ocaliva: Marktzulassung für Medikament gegen Autoimmunkrankheit widerrufen

Euractiv.de - mar, 06/08/2024 - 16:04
Der Ausschuss für Humanarzneimittel der Europäischen Arzneimittel-Agentur (EMA) hat die Empfehlung für eine Marktzulassung für ein Medikament zur Behandlung einer seltenen Lebererkrankung zurückgezogen. Dieser Schritt sorgte unter den betroffenen Patienten für Empörung.
Catégories: Europäische Union

Un retour de Donald Trump pourrait ébranler l’ordre économique mondial actuel

Euractiv.fr - mar, 06/08/2024 - 16:03
Un second mandat de Donald Trump à la Maison-Blanche pourrait gravement fragmenter l’ordre économique mondial actuel, et potentiellement déclencher une guerre commerciale désastreuse entre les États-Unis et l’UE, avertissent plusieurs analystes.
Catégories: Union européenne

Griechische und rumänische Landwirte kämpfen mit Ziegenpest

Euractiv.de - mar, 06/08/2024 - 15:54
Ein tödliches Virus, das Schafe und Ziegen befällt, wütet weiterhin auf griechischen und rumänischen Bauernhöfen. Die Regierungen beider Staaten haben daraufhin Beschränkungen für Tiertransporte erlassen, um die Ausbreitung der Krankheit einzudämmen.
Catégories: Europäische Union

Le mirage de l'apaisement

Le Monde Diplomatique - mar, 06/08/2024 - 15:13
Depuis la dissolution de l'Assemblée nationale, les esprits s'échauffent. Des élus sont agressés, des permanences saccagées, des militants tabassés. Les menaces pullulent sur les réseaux sociaux, les dirigeants politiques s'invectivent. Face à ce climat, une solution transpartisane semble se dégager : (...) / , , - 2024/08

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