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BAE Systems to install traffic management system at Portsmouth Harbour

Naval Technology - Mon, 29/06/2015 - 01:00
The UK Ministry of Defence (MoD) has awarded a £5.5m contract to BAE Systems to install a new vessel traffic management system at Portsmouth Harbour and the Eastern Solent.

Thailand may procure three submarines from China for $1bn

Naval Technology - Mon, 29/06/2015 - 01:00
The Royal Thai Navy has reportedly shortlisted Chinese diesel electric attack submarines, after the Thai Naval procurement committee voted in favour of China's offer.

The Global Military Electro Optical Infrared (EO/IR) Systems Market 2015-2025

Naval Technology - Mon, 29/06/2015 - 01:00
An introduction to the global military electro optical infrared (EO/IR) systems market 2015-2025.

RAN’s HMAS Melbourne test fires two Evolved Sea Sparrow missiles

Naval Technology - Mon, 29/06/2015 - 01:00
The Royal Australian Navy's (RAN) Adelaide-class frigate, HMAS Melbourne, has successfully tested two Evolved Sea Sparrow missiles off the coast of New South Wales.

US aborts Aegis Ashore test after target malfunction

Naval Technology - Mon, 29/06/2015 - 01:00
The US Missile Defense Agency (MDA) has reportedly terminated an intercept test of the Aegis Ashore missile defence system following a target malfunction.

Un vent d’optimisme venu de Vienne

Bruxelles2 Blog - Mon, 29/06/2015 - 00:47

Le repas au Palais Coburg de Vienne entre les négociateurs (crédit : US)

(BRUXELLES2) Dans cette ambiance délétère au plan européen, où Grèce et Européens se renvoient la balle de l’échec, un vent frais est venu de Vienne. Inutile de le nier. On pouvait se dire en voyant le message de Federica Mogherini, annonçant son départ de Vienne : encore une mauvaise nouvelle. Eh non… La négociation sur le nucléaire iranien entre le P5+1 et les Iraniens n’est pas encore terminée. Mais elle est en voie intéressante, comme l’a raconté la chef de la diplomatie européenne qui présidait la réunion.

« La volonté politique est là »

« J’ai eu une réunion bilatérale avec le ministre Zarif, suite à notre réunion lundi à Luxembourg, puis avec John Kerry et tous les autres. Nous avons également eu une réunion ministérielle, à E3 + 3. Je dirais que la volonté politique est là. Je l’ai vu de tous les côtés. Nous avons donc chargé nos équipes de négociation de commencer à travailler immédiatement ce soir sur un texte et d’essayer de fermer toutes les questions afin de traduire l’accord politique que nous avons trouvé à Lausanne dans les textes qui soient assez solides pour les prochains jours. Les ministres vont revenir ici dans les prochains jours dès que le travail sur le texte a progressé pour finaliser l’accord.

Une certaine flexibilité au-delà du 30 juin

« Nous en tenons à la date limite du 30 juin. Mais nous sommes prêts à interpréter de manière souple comme nous l’avons déjà fait à Lausanne. » a-t-elle ajouté. « Si nous avons besoin d’avoir un couple de jours supplémentaires de plus, il est pas la fin du monde. ">Mais il est très clair que le délai va rester entre fin juin / début juillet. (…) Donc, il n’y aura pas d’extension. Nous sommes tous d’accord sur cela. »

Quelques jours pour terminer la négociation

« Nous allons, nous l’espérons, finaliser dans les prochains jours. Tout le monde est très conscient du fait que nous avons maintenant les conditions pour conclure l’affaire. Et nous devons utiliser ces heures et ces jours pour le faire. "> »

NB : Toute ressemblance avec une situation existant ou ayant existé est bien sûr totalement fortuite, comme on le dit.

(NGV)

En toute transparence… Un budget de la défense, un peu, préservé

Bruxelles2 Blog - Sun, 28/06/2015 - 19:01

(BRUXELLES2) Dimanche après-midi, la Commission européenne a diffusé – ce qu’elle n’avait jamais fait jusqu’ici – le document distribué aux négociateurs sur la dette grecque. Ce texte est intéressant car il contient les dernières propositions convenues entre les trois institutions (Commission européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international). Propositions qui « prennent en compte les propositions des autorités grecques ">de 8, 14, 22 et 25 juin 2015 ainsi que les négociations au niveau politique et technique tout au long de la semaine » indique la Commission.

">Le financement de la dette était bien dans la discussion

">« Les discussions sur ce texte étaient en cours avec les autorités grecques jusqu’à vendredi soir en vue de l’Eurogroupe du 27 juin » regrette la Commission. « La compréhension de chacun des parties concernées était que cette réunion de l’Eurogroupe devrait (justement) parvenir à un accord global pour la Grèce, qui aurait inclut non seulement les mesures à convenir conjointement, mais auraient également répondu à des besoins futurs de financement et la viabilité de la dette grecque. » Jean-Claude Juncker viendra d’ailleurs s’expliquer devant la presse lundi ( à 12h45 à Bruxelles°.

">Une coupe supplémentaire dans le budget de la défense

Dans ce document (Télécharger ici), on y trouve détaillées les différentes mesures proposées, sur lesquelles devaient s’engager le gouvernement grec, pour bénéficier d’une extension du programme de soutien, comme l’augmentation de la TVA sur la restauration de 6,5% à 23 % en un seul coup ! Parmi celles-ci, on trouve une réduction de l’enveloppe budgétaire de la défense de 400 millions d’euros, ">« avec un ensemble d’actions ciblées, y compris une réduction des effectifs et des marchés publics ». Soit une coupe d’environ 10% du budget, qui peut paraitre importante.

">Stabiliser le budget de défense ou reprendre la diminution, deux options

">Le budget de l’armée grecque avait été stabilisé en 2013 et 2014 autour d’un peu moins de 4 milliards €, après des années de baisse. Et, pour 2015, il était même prévu une légère augmentation à 4,26 milliards € en 2015 (selon les chiffres de l’OTAN, en prix courants). ">Soit 2,4% en pourcentage du PiB largement au-delà de l’objectif de 2% fixé par l’OTAN.

La demande européenne revenait en fait à reprendre la « pente » de diminution du budget. Le gouvernement grec acceptait simplement une diminution de 200 millions d’euros, permettant ainsi de revenir au chiffre des années antérieures (2,2% du PiB en 2013 ou 2014), et stabiliser le budget autour de 4 milliards €. Télécharger la Proposition grecque du 22 juin

Le budget de la défense grecque – même fortement diminué durant la crise – a pour le moins assez bien résisté. Il est passé ainsi de près de 6 milliards d’€ en 2010 à 4,5 milliards d’€ (en prix constants – 2010), soit un passage de 2,8% du PiB à 2,2% (en prix constants – 2010). Un chiffre à comparer au 3,9% du PiB en moyenne dans les années 1995-1999.

Commentaire : on peut se demander si un effort ne pourrait pas être réalisé au sein de l’OTAN et de ses Etats membres. Car si l’armée grecque est préservée, c’est aussi (et surtout) face à la menace… turque. Un allié également. Ne faudrait-il pas prévoir comme on le fait au-dessus des territoires baltes, une assistance commune à la surveillance des eaux et espaces aériens grecs ? Ce qui rendrait plus légitime ainsi une diminution du budget de la défense plus drastique.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Ecoutes : la grande hypocrisie

Blog Secret Défense - Sun, 28/06/2015 - 18:49
Après les révélations sur l’espionnage par la NSA des présidents français, une grosse colère a été mise en scène par l'Elysée. Mais personne n'ose prétendre que la France ne fait rien de tel

Le GAOS, du renfort pour les forces spéciales de l'armée de terre

Blog Secret Défense - Sun, 28/06/2015 - 18:42
Le magazine Raids révèle la composition du nouveau Groupe d'appui aux opérations spéciales

La fin d’un rêve ! un Eurogroupe réduit à 18 membres

Bruxelles2 Blog - Sat, 27/06/2015 - 19:15

(BRUXELLES2) Yanis Varoufakis le ministre grec des Finances a quitté la réunion de l’Eurogroupe ce samedi (27 juin) avant la fin. C’est la rupture. Les mots échangés entre les parties ont été très durs comme le montre d’ailleurs la première déclaration signée par 18 des 19 ministres des Finances de la Zone Euro (tous sauf la Grèce). NB : Une déclaration rédigée en anglais (télécharger ici) et traduite par nos soins

Depuis l’accord de l’Eurogroupe du 20 février 2015 sur la prolongation de l’accord d’assistance financière actuelle, des négociations intensives ont eu lieu entre les institutions et les autorités grecques pour aboutir à un succès de la révision. <p>">Compte tenu de l’impasse prolongée dans les négociations et de l’urgence de la situation, les institutions ont mis en avant une proposition globale sur la conditionnalité politique, faisant usage de la flexibilité donnée au sein de l’accord actuel.

Malheureusement, malgré les efforts déployés à tous les niveaux et le complet soutien de l’Eurogroupe, cette proposition a été rejetée par les autorités grecques, qui a finalement rompu les négociations du programme le 26 juin, de façon unilatérale. L’Eurogroupe rappelle les importants transferts financiers et le soutien qui ont été fournis à la Grèce tout au long des dernières années. <p>">L’Eurogroupe a été ouvert jusqu’à la dernière minute à soutenir davantage le peuple grec grâce à un programme orienté vers la croissance.

L’Eurogroupe prend note de la décision du gouvernement grec de mettre en avant une proposition pour appeler à un référendum, qui devrait avoir lieu dimanche 5 juillet, soit après l’expiration de la période de programmation. <p>">Le dispositif d’aide financière à la Grèce actuelle expirera le 30 juin 2015, ainsi que tous les accords relatifs au programme grec actuel, y compris le transfert par les États membres de la Zone Euro des profits équivalents du SMP (Securities Market Program) et de l’ANFA (Autonomous Factors).

<p>">Les autorités de la Zone euro sont prêtes à faire tout ce qui est nécessaire pour assurer la stabilité financière de la zone euro.

La réunion s’est ensuite poursuivie sans la présence du ministre grec. Un signe on ne peut plus négatif et tragique…

(NGV)

Explosion de Lyon. Un conflit de travail autant qu’un attentat ?

Bruxelles2 Blog - Fri, 26/06/2015 - 21:59

(B2) Les circonstances de « l’attentat » de Lyon ont été rapidement précisées par les autorités judiciaires et le ministre de l’Intérieur.

1° La personne décédée est le patron de l’assaillant. Ce n’est donc pas un inconnu, un passant, le représentant d’une autorité ou d’un symbole ou une personnalité.

2° L’assaillant a ensuite transporté le corps dans une autre entreprise où il était connu car faisant des livraisons.

3° Il a cherché à faire sauter des bonbonnes de gaz entreposées, déclenchant une première explosion. Il n’avait donc pas de bombe avec lui. C’est au moment où il s’apprêtait à réitérer son geste qu’il a été maitrisé par les pompiers intervenus sur le site.

On serait donc davantage dans un ‘mix’ de règlement de compte que d’attentat terroriste au sens classique du terme, même si la mise en scène macabre le laisse penser.

Solidarnosc ? Nie !

Bruxelles2 Blog - Fri, 26/06/2015 - 20:54

(BRUXELLES2) Entre les 28 Etats membres européens, la question de l’accueil des demandeurs d’asile n’a pas fini de faire des vagues. La discussion au sommet de Bruxelles jeudi soir (25 juin) — une discussion qui s’est prolongée tard dans la nuit — l’a montré.

Deux propositions sur la table

La Commission européenne avait mis sur la table deux propositions. L’une visant à prendre en charge 20.000 réfugiés, essentiellement syriens, qui se trouvent dans les camps du Haut commissariat aux réfugiés (HCR). Cette proposition ne suscitait pas grande polémique, se basant essentiellement sur le volontariat. L’autre avait pour objectif de soulager un peu la Grèce et l’Italie, en permettant la « relocalisation » de 40.000 personnes dans les autres pays européens sur deux ans. C’est cette dernière proposition, somme toute assez modeste, qui a provoqué le trouble car elle mettait en place une clé de répartition, fixant un chiffre « obligatoire » de personnes. Des quotas en quelque sorte.

Deux camps

Deux camps se sont ainsi affrontés durant plus de six heures, jeudi soir, jusque tard dans la nuit. Les uns, une douzaine environ étaient opposés à tout système obligatoire. Ils regroupaient essentiellement les pays d’Europe de l’Est, notamment les Baltes et les 4 pays de Visegrad, mais aussi l’Espagne et le Royaume-Uni. « Nous sommes prêts à accueillir ces personnes » m’a confié, la Première ministre lettone, Laimdota Straujuma, « mais de façon volontaire ». Les autres, une douzaine également, était prêts à accepter un système obligatoire mais discutaient la façon de calculer la clé de répartition. C’était la position de la France notamment. Entre les deux, la Grèce et l’Italie, trouvaient que le chiffre de 40.000 était assez faible. Ils étaient soutenus par le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.

Un des Conseils les plus durs

« Certains Etats membres avaient très peur d’être confrontés à quelque chose de nouveau. (Car la) relocalisation est entièrement nouveau. C’est révolutionnaire » a indiqué le président du Conseil européen, le Polonais Donald Tusk. « La discussion a été dure, franche, honnête. C’est un des Conseils les plus durs auxquels j’ai assisté ». Un propos légèrement exagéré car des discussions difficiles, il y en a eu quelques unes au niveau européen. Mais celle-ci était marquée sans doute par beaucoup d’émotion. « A côté de cela, l’intervention du Premier ministre britannique » sur une possible sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, est apparue comme « un interlude » salutaire, a ironisé un diplomate. La ‘trêve britannique’ n’a d’ailleurs pas duré plus de 10 minutes, lors du dîner. Et les 28 sont ensuite revenus sur la question chaude du moment.

Avec l’Italie et la Grèce, la solidarité c’est pas çà

« Ce n’est pas l’Europe que nous avions imaginée en 1957 à Rome » a dénoncé le Premier ministre Italien Matteo Renzi. « Pour certains pays, il y a la volonté d’être solidaires quand ça les arrange et uniquement quand ça les arrange » a renchéri le Premier ministre belge, Charles Michel, qui ne passe pourtant pas spécialement pour un gauchiste. « La décision d’hier était affligeante était une réunion pour rien. Nous avons peu progressé. (…) La solidarité fonctionne dans un sens et jamais dans l’autre sens. C’est un problème car l’immigration est un problème important et va le rester. Il y a manque d’ambition et de volonté. » A l’inverse, le chef du gouvernement tchèque Bohuslav Sobotka s’est vanté d’avoir réussi à se mettre en travers du projet présenté par la Commission. « Nous avons emporté une grande bataille, avec succès, parce que nous avons réussi à maintenir une approche volontaire permettant à chaque Etat membre de venir avec ses suggestions », a-t-il déclaré, selon l’agence CTK.

Les détails pour juillet

Finalement, un compromis a été dégagé : un effort sera fait par « tous » les Etats membres de l’UE sans être obligé d’atteindre un chiffre précis mais sans mentionner tout de même le mot « volontaires » au système. Les 28 se reverront en juillet pour affiner les détails. Pour Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne, « l’essentiel est d’avoir un accord. Peu importe le modèle, du moment qu’on arrive au résultat ». Le Luxembourgeois a tenu à dédramatiser les tensions. « C’est la première fois en Europe que nous décisions ensemble avec les Etats membres une opération de ce type. Les différents arguments se sont entrechoqués ».

Une discussion sur les compétences

Pour autant, il a indiqué que la Commission n’avait pas l’intention de retirer sa proposition législative de la table des ministres. Ce qui était un ‘autre’ sujet de dissension entre les Etats membres. Certains réfutent à l’exécutif européen le pouvoir de faire cette proposition, estimant la base juridique non fondée. Ils craignent surtout le ‘précédent’ qui pourrait amener, en cas d’évènement similaire dans le futur, une décision identique.

Pas de chiffre pour la France

Côté français, on se satisfait d’un système qui n’impose pas un chiffre précis mais « organise la solidarité » ainsi que l’a confié un diplomate. Du côté de l’Elysée, on se refuse ainsi à indiquer tout chiffre que la France pourrait accueillir en plus. Mais un homme bien introduit dans les cercles du pouvoir a reconnu que le chiffre proposé par la Commission (9000), pouvait « être un chiffre indicatif ». 9000 demandeurs d’asile en 2 ans… Ce n’est quand même pas énorme.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Version longue d’un papier paru dans Ouest-France samedi

De nombreux Européens tués lors de l’attentat de Sousse (Tunisie)

Bruxelles2 Blog - Fri, 26/06/2015 - 20:24

(BRUXELLES2) L’attentat survenu à Sousse dans un lieu touristique prisé par les étrangers (l’hotel Imperial) a fait 37 morts et 39 blessés selon le dernier bilan dressé par le ministère de la Santé. Parmi les victimes de nombreux Européens (Britanniques, Belges et Allemands).

Au moins 5 Britanniques sont décédés, a confirmé le ministre des Affaires étrangères, Phil Hammond, qui a annoncé la convocation d’un COBRA (un conseil spécial des ministres en charge de la sécurité. Il y aurait également des Belges et des Allemands. Berlin a ouvert une ligne d’urgence pour renseigner les familles.

(NGV)

L’Europe et le monde arabe unis dans la réponse au terrorisme

Bruxelles2 Blog - Fri, 26/06/2015 - 19:19

(crédit : EBS / B2)

(BRUXELLES2) Après les attentats en France, en Tunisie, au Koweit, c’est finalement la Haute représentante, Federica Mogherini, qui a su trouver, au niveau européen, les mots les plus justes pour qualifier les évènements. « La succession d’attentats en France, en Tunisie et au Koweït aujourd’hui nous rappelle crûment qu’aucun pays, aucune région n’est à l’abri du terrorisme.  Ces attaques visent à déstabiliser nos sociétés en entretenant la peur, la suspicion, les préjugés. C’est à la fois l’Europe et le monde arabe qui en sont les cibles.  Ensemble, nous pleurons nos victimes et c’est ensemble que nous ferons face à la violence et au sectarisme. »

La réponse : l’unité

« C’est une démonstration du fait qu’on est unis, avec nos amis, nos frères, nos soeurs arabes. L’Europe et monde arabe sont unis comme victimes et on est aussi ensemble la réponse au terrorisme » a-t-elle déclaré à sa sortie du Conseil européen. « Cela va être  important de garder cette unité dans les prochains jours. Il n’y a pas de division entre l’Europe et le monde arabe. » « Les terroristes veulent nous diviser : notre réponse sera l’unité. » Un message qui tranche à la fois par son côté personnel et son analyse politique, avec le commentaire pour le moins lapidaire et limité de Donald Tusk, le président du Conseil européen, qui s’est juste contenté d’un message de condoléances aux victimes. En guise de viatique politique, c’est un peu maigre…

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