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The 10 biggest aircraft carriers

Naval Technology - Thu, 06/07/2017 - 01:00
The eminence of aircraft carriers as floating air bases has been proven since World War II. Three of the world's 10 biggest aircraft carriers by displacement are operated by Asian naval forces, while the US Navy owns the world's biggest aircraft carr…

Future of Australia Defence Industry: Market Attractiveness, Competitive Landscape and Forecasts to 2022

Naval Technology - Wed, 05/07/2017 - 17:49
This report offers insights into the market opportunities and entry strategies adopted by foreign original equipment manufacturers (OEMs) to gain market share in the Australian defence industry.

Le Parlement européen demande une réglementation européenne pour les entreprises de sécurité privée

Bruxelles2 Blog - Wed, 05/07/2017 - 17:35
(B2) Le Parlement européen demande l'instauration de règles européennes pour les sociétés de sécurité privées, qui sont de plus en plus utilisées par l'Union européenne et ses États membres afin de « compenser des forces armées de plus en plus réduites ou pour pallier les restrictions concernant l’utilisation des troupes ». Le texte adopté en plénière […]

Hensel Phelps to build new Triton Hangar at Naval Station Mayport, US

Naval Technology - Wed, 05/07/2017 - 01:00
The US Naval Facilities Engineering Command (NAVFAC) Southeast has awarded an approximately $36m contract to Hensel Phelps Construction Company for the development of a Triton Forward Operating Base (FOB) Hangar at Naval Station (NS) Mayport, Florida…

US Navy's Arleigh Burke-class destroyer USS Porter completes SIA in Spain

Naval Technology - Wed, 05/07/2017 - 01:00
The US Navy's Arleigh Burke-class guided-missile destroyer USS Porter (DDG 78) has successfully completed its surface incremental availability (SIA).

Saab signs $147.66m contract to upgrade Swedish Navy's Gävle-class corvettes

Naval Technology - Wed, 05/07/2017 - 01:00
Saab has signed a new Skr1.249bn ($147.66m) contract with the Swedish Defence Materiel Administration (FMV) for the modification and modernisation of the Swedish Navy's Gävle-class corvettes.

Brexit. Le chantage de Londres. Un battlegroup dirigé par les Britanniques sinon rien ?

Bruxelles2 Blog - Wed, 05/07/2017 - 00:26

(crédit : MOD Uk / Crown)

(B2) Dans un article paru dans Politico, deux reporters du journal en ligne s’interrogent sur la possibilité qu’aurait le Royaume-Uni de continuer à diriger des missions militaires de l’UE voire même d’avoir son mot à dire dans toutes les décisions en la matière de l’Union européenne. Une question sensée… Mais dans tout le cours de l’article, est repris, en grande partie, une idée très en vogue à Londres que, sans le Royaume-uni, la défense européenne n’est rien…

the U.K. is a military heavyweight that can provide troops, hardware and expertise almost no other European nation can match

Et sans la possibilité laissée au Royaume-Uni de diriger des groupements tactiques européens (EU Battlegroups) ou de conduire des missions militaires européennes, le Royaume-Uni ne participera à rien.

If this proves impossible, it is unlikely Britain will continue to take part in EU military missions in future, according to U.K. officials

Le raisonnement parait impeccable. Mais il faut faire un petit rappel à la réalité et remettre un peu quelques idées au clair. Car, de fait, d’objectivité, cette position reflète surtout la crainte du Royaume-Uni, de voir s’évanouir son potentiel droit de veto qui avait un effet tout aussi efficace, voire supérieur à son exercice même. Il surjoue de sa puissance, jouant de la confusion entre ses capacités militaires (réelles) et de leur mise à disposition de l’Union européenne.

Première idée fausse : laisser Londres diriger un battlegroup renforce la défense

La possibilité pour le Royaume-Uni de continuer à diriger (lead) un battlegroup européen ne vise pas vraiment à dynamiser ni à permettre à l’Union européenne de se doter de moyens d’intervention. Elle consiste au contraire à priver l’Europe de ses moyens. Durant tout le temps d’activité de ces groupements tactiques, Londres n’a eu qu’un principe en tête quand ses militaires étaient de permanence : premièrement, ils ne partiront pas, deuxièmement, ils ne partiront pas sous drapeau européen. Le temps dévolu ainsi par les forces britanniques lors de leur astreinte dans les groupements tactiques européens était réservé soit aux formations et aux entraînements, soit au repos et au retour en famille, après ou avant une période d’engagement intense (type Afghanistan). Les rares fois où l’Union européenne a demandé aux Britanniques s’ils étaient prêts à déclencher leur groupement tactique, la réponse a été claire : c’est « No » ! Alors avoir un battlegroup dirigé par des Britanniques équivaut à ne pas avoir de battlegroup disponible.

Deuxième idée fausse : faute de direction, les Britanniques ne participeront à rien

Les auteurs sous tendent ensuite que faute de pouvoir se voir confier une telle direction, les Britanniques pourraient refuser de contribuer à des opérations britanniques. C’est un argument de campagne. Mais aucunement une réalité. Si les Britanniques ont une sérieuse qualité, c’est leur pragmatisme. Il parait ainsi quasi-certain, qu’après la sortie du Royaume-Uni de l’Union, si une opération ou une mission de l’Union européenne leur apparait intéressante, les Britanniques y participeront de façon symbolique ou plus importante, s’ils le jugent utile soit pour leur sécurité, soit pour leur image publique internationale, soit tout simplement pour être à l’intérieur de la mission, en récolter des informations ou des retours d’expérience intéressants.

Troisième idée fausse : cette coopération pourrait être un modèle pour d’autres coopérations

C’est justement l’anti-argument. Les Européens veulent éviter de créer un précédent. Ils avaient ainsi refusé en leur temps aux Turcs qui fournissaient l’essentiel des moyens de l’opération de stabilisation en Bosnie-Herzégovine, de commander l’opération. Et dans toutes les opérations où interviennent des pays tiers, ils prennent bien soin d’assurer une certaine ligne hiérarchique européenne sans trop d’interférence de pays tiers. Cela avait toute la difficulté ainsi lors de la présence des hélicoptères russes au Tchad en 2008 où la négociation sur le commandement responsable avait duré plusieurs longs mois (1). Alors dire comme un expert allemand, cité par les auteurs que « such an arrangement would send a strong signal that the EU and the U.K. would continue to work together closely on defense after Brexit and could serve as a model for future cooperation with non-EU countries such as Tunisia, Israel or Turkey », c’est un peu agiter un chiffon rouge. Imaginer une opération européenne par les Israéliens ou les Turcs est le plus sûr moyen de tuer toute idée de présence européenne de stabilisation et toute revendication britannique supplémentaire.

Quatrième idée fausse : le Britannique est irremplaçable

Hormis les opérations maritimes, les Européens n’ont pas vraiment besoin des Britanniques pour assurer leurs missions et opérations menées au titre de la PSDC. Ils l’ont fait très bien jusqu’ici : en Afrique notamment. Ils continueront de le faire dans l’avenir. Il y a une bonne dizaine de pays tiers qui contribuent ou ont contribué aux missions de la PSDC (Géorgie, Serbie, Turquie, Canada, USA…). Ils continueront de le faire. L’UE vient d’ailleurs de signer avec les États-Unis un accord de soutien logistique afin de permettre d’être plus efficace. La haute représentante de l’Union, Federica Mogherini avait affirmé en mai qu’il est « évident qu’une fois que vous n’êtes plus un État membre, vous ne pouvez plus prendre part aux décisions mais vous pouvez prendre part aux opérations » ajoutant, la Grande-Bretagne est « un important acteur militaire mais en cause cas aussi important que les autres 27 États membres ».

Cinquième idée fausse : Les Britanniques sont quasiment les seuls à avoir un QG permanent capable de conduire une opération militaire

Il est vrai que le Royaume-Uni met à disposition son QG de Northwood (non sans un financement de l’Union européenne, faut-il préciser) pour l’opération anti-piraterie Atalanta. Mais l’UE dispose de six autres QG permanents qui peuvent facilement et rapidement prendre le relais. Le QG de Rome est déjà activé et performant. Et les QG français au Mont-Valérien ou allemand à Potsdam peuvent, au besoin, être activés rapidement. Il faut aussi compter (outre celui de Larrissa qui est très excentré). Au surplus, il reste le bon vieux QG de l’OTAN (le SHAPE à Mons) auquel peut recourir l’UE dans le cadre des accords de Berlin Plus et le mini QG installé à Bruxelles (la CPCC) qui ne demande qu’à grandir. Bref… faute de QG britannique, l’Europe n’a que l’embarras du choix. Et sans les Britanniques, l’Europe survivra contrairement à ce que semblent insinuer les auteurs de cet article…

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Opération voulue par les Britanniques (et les Français) et qui avait conduit Londres à s’engager de façon décisive et forte à en croire le nombre de personnels mis à disposition de l’opération européenne : 2 sur 3700 personnels !

La Commission rend hommage au travail de l’Italie et annonce un soutien supplémentaire

Bruxelles2 Blog - Tue, 04/07/2017 - 23:59
(B2) La Commission européenne a adopté, mardi (4 juillet), lors de la réunion du collège tenu à Strasbourg une nouvelle feuille de route destinée à soutenir l'Italie dans son action face à l'arrivée de migrants sur ses côtes en provenance d'Italie. Une feuille de route qui devait servir de base à la discussion lors de […]

Carnet (04.07.2017). Estonie (priorités défense). EUPOL Cops (prolongation). CBSD (vote). EFSD (compromis). Corée du nord (sanctions?). Missile franco-britannique (tir). Bulgarie (état-major). Solidarité. Colombie (Farc). Venezuela (violences)....

Bruxelles2 Blog - Tue, 04/07/2017 - 21:23
(B2) Parus récemment : Un nouveau numéro 2 à la tête de l’opération EUNAVFOR Med  (blog) Finlande et Suède signent pour la force expéditionnaire commune Les ministres de l’Intérieur du G3 s’entendent pour soutenir l’Italie Le partage de munitions « intelligentes » dans le viseur. Onze pays européens s’engagent Les ONG complices des passeurs en Méditerranée : […]

Presqu’un accord sur le système Entry Exit

Bruxelles2 Blog - Tue, 04/07/2017 - 21:12
(B2) Les négociateurs du Parlement européen et du Conseil ont trouvé un accord politique jeudi (29 juin) sur un nouveau système européen d’entrée/sortie (entry-exit system). L'accord global interviendra une fois les questions techniques résolues. Les termes de l'accord portent sur : La durée de conservation des données : fixée à trois ans (au lieu des […]

Six alliés d’accord pour lancer le projet d’un nouveau PatMar

Bruxelles2 Blog - Tue, 04/07/2017 - 11:38
(B2) Six pays ont annoncé, jeudi (29 juin) leur volonté de travailler ensemble dans le développement et la mise en place de solutions de suivi pour leurs avions maritimes de surveillance et de reconnaissance et de lutte anti-sous-marine. Lors d'une cérémonie à Bruxelles, tenue en marge de la réunion des ministres de la défense de […]

June's top stories: HMS Queen Elizabeth sea trials, US' $13bn Ford-class carrier

Naval Technology - Tue, 04/07/2017 - 01:00
The British Royal Navy's HMS Queen Elizabeth set sail for the first time to begin six weeks of sea trials, the US Navy accepted the delivery of its first $12.9bn Ford-class aircraft carrier, the future USS Gerald R. Ford (CVN 78), and a new report wa…

US Navy launches newest Freedom-class USS Billings (LCS 15)

Naval Technology - Tue, 04/07/2017 - 01:00
The US Navy's newest Freedom-class littoral combat ship (LCS), the future USS Billings, has successfully been launched into the Menominee River at Fincantieri Marinette Marine shipyard in Wisconsin.

Kratos secures US Navy LRIP 1 contract for BQM-177A SSAT drone systems

Naval Technology - Tue, 04/07/2017 - 01:00
Kratos Defense & Security Solutions' Unmanned Systems Division (USD) has secured a contract from the US Navy in support of low-rate initial production year 1 (LRIP 1) for BQM-177A subsonic aerial target (SSAT) drone systems.

Bergen receives one-year framework contract extension to maintain Norwegian vessels

Naval Technology - Tue, 04/07/2017 - 01:00
Bergen Group Services has secured a one-year extension of a framework contract to deliver maintenance and repair for selected vessel categories of the Norwegian Armed Forces.

85 Defiant Class Near Coastal Patrol Vessels (NCPVs)

Naval Technology - Tue, 04/07/2017 - 01:00
Metal Shark are developing the 85 Defiant Class Near Coastal Patrol Vessels (NCPVs) for the US partner nations.

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