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Le Parlement appelle à mettre à profit les outils existants de la PESC

Bruxelles2 Blog - Wed, 13/12/2017 - 16:45
(B2) Le Parlement européen a adopté, avec 408 voix pour, 132 contre et 102 abstentions, son rapport annuel sur la mise en œuvre de la politique étrangère et de sécurité commune. Pour plus d'efficacité, il faut « en premier lieu, une définition de priorités et de concepts stratégiques communs » rappellent les députés dans ce long rapport […]

Carnet (13.12.2017). Conseil européen (mini sommet, rencontres bilatérales). Aide au désarmement (Armes légères, Experts missiles, OIAC). Sanctions Congo (JO, rétorsion). Vente d’armes (hausse). Bulgarie (Mig 29). Mogherini (défense, Libye, Iran,...

Bruxelles2 Blog - Wed, 13/12/2017 - 13:30
(B2) Parus récemment : L’ONU soutiendra la force conjointe du G5 Sahel mais sans financer (archives, décryptage) Les quatre options de l’ONU pour soutenir le G5 Sahel Le dossier des relocalisations sème le trouble entre Donald Tusk et Dimitris Avramopoulos (exclusif) Trois déclarations et demi annexées au PV de la décision sur la PESCO (exclusif) […]

L’ONU soutiendra la force conjointe du G5 Sahel mais sans financer

Bruxelles2 Blog - Wed, 13/12/2017 - 08:24
(B2) Le Conseil de sécurité de l'ONU a décidé, vendredi 8 décembre, d'apporter un « appui opérationnel et logistique spécial à la Force conjointe du G5 Sahel » par l'intermédiaire de la mission au Mali, la MINUSMA, dans une résolution (2391) adoptée à l'unanimité. Mais il a refusé tout financement onusien au G5 laissant à ses […]

Les quatre options de l’ONU pour soutenir le G5 Sahel

Bruxelles2 Blog - Wed, 13/12/2017 - 07:30
(B2) A quelques jours du sommet sur le G5 Sahel convoqué par le président français Emmanuel Macron, tous les yeux sont pointés vers l'ONU. C'est que l'Organisation ne s'est toujours pas prononcée sur la forme exacte que prendra son soutien à la force conjointe sahélienne. Quatre options, proposées par Antonio Guterres le 16 octobre dernier, […]

Le dossier des relocalisations sème le trouble entre Donald Tusk et Dimitris Avramopoulos

Bruxelles2 Blog - Wed, 13/12/2017 - 00:40
(B2) Entre la Commission européenne et le Conseil européen, du moins entre leurs deux présidents, le torchon brûle. En cause, l'immigration et le projet européen d'avoir une relocalisation obligatoire. Dans un document destiné à préparer le dîner du Conseil européen de jeudi (14 décembre), consacré à la migration, Donald Tusk a décidé de poser des […]

Trois déclarations et demi annexées au PV de la décision sur la PESCO

Bruxelles2 Blog - Tue, 12/12/2017 - 17:56
(B2) Trois pays ont finalement tenu à inscrire des déclarations « unilatérales », au procès-verbal de la décision sur la Coopération structurée permanente (PESCO) : l'Allemagne, l'Autriche et la Suède. On peut ajouter à ce trio le Portugal. La lettre de notification adressée par le gouvernement de Lisbonne à la Haute représentante est, en effet, […]

Défense. Le Conseil européen veut accélérer le travail d’ici 2019 (projet de conclusions)

Bruxelles2 Blog - Tue, 12/12/2017 - 14:45
(B2) Le Conseil européen devrait, le 14 décembre prochain, saluer les « progrès accomplis dans le domaine de la sécurité et de la défense » mais aussi encourager à poursuivre les efforts dans plusieurs domaines. La nécessité de renforcer la coopération en matière de défense devrait être le premier sujet abordé par les 28, lors […]

Les 28 définissent une approche générale sur le programme de développement industriel de la défense (EDIDP)

Bruxelles2 Blog - Tue, 12/12/2017 - 12:45
(B2) Le Conseil des ministres de l'UE (en formation Affaires générales) a approuvé, ce mardi (12 décembre), sa position (approche générale) sur la proposition de règlement établissant le programme européen de développement industriel de la défense (EDIDP). Une approche générale qui correspond à l'accord trouvé lors de la réunion du COREPER, lundi (11 décembre), au […]

La défense européenne en dérapage démocratique. Attention au manque de transparence !

Bruxelles2 Blog - Tue, 12/12/2017 - 12:30

(crédit : EUNAVFOR Med / Sophia)

(B2) Lundi était normalement le « jour historique » (1), le moment clé attendu depuis des années pour lancer la fameuse Coopération structurée permanente (PESCO), que tout le monde attendait. Ce jour est venu. Et rien…

Un jour « historique »… sans un mot

Pas un mot de la Haute représentante lors de sa conférence de presse finale, aucun mémo disponible pour expliquer la nature des 17 projets envisagés (2). Seul était disponible l’intitulé pour le moins énigmatique des projets (du moins pour ceux qui ne sont pas lecteurs de B2 Pro) (3). Aucun conseiller technique ou militaire disponible pour expliquer et détailler… Rien, zéro, nada… (4) En soi, ce n’est pas illogique, les projets de la Politique de sécurité et de défense commune (PSDC) sont aujourd’hui entourés d’un mystère et d’une discrétion absolue au point qu’on se demande si c’est toujours une action européenne… (cf. encadré)

Une priorité pour les citoyens, vraiment ?

Pour le projet de défense européenne, qu’on a présenté maintes fois comme la priorité non seulement pour l’Europe, mais pour relancer le lien de confiance avec les citoyens, c’est une erreur magistrale. Cela risque de nourrir les soupçons. J’étais ces derniers jours invité à trois débats, réunissant des personnes d’horizons et de convictions très différentes : des pacifistes (autour du pacifisme de demain, au parlement de la région Bruxelles Capitale), des Européens convaincus (le mouvement européen à Arras), des officiers supérieurs (élèves de l’école de guerre française pour se préparer aux plus hautes fonctions). Autant dire des publics très distincts. Les questions posées à l’issue d’un petit exposé l’ont prouvé…

Le manque d’information entraîne des questions…

Quel est le fonctionnement, le contrôle (démocratique, des gouvernements) sur la PESCO ? Pourquoi des instances « civiles » comme l’Union européenne s’occupent de ces sujets de défense, n’y-a-t-il pas un risque de militarisation de l’Union (ou de dépossession des États membres de leurs compétences) ? Le programme de recherche défense n’est-il pas du avant tout au poids du lobbying de l’industrie de défense ? Etc. On le voit les questions tournent toutes autour du contrôle démocratique et du soupçon d’un programme tourné en fonction d’intérêts particuliers plutôt que d’intérêts généraux.

L’absence de transparence nourrit les soupçons

En procédant en catimini, sans débat, avec une communication plus que limitée envers l’opinion publique, aucune information et consultation préalable des parlementaires européens (5), on nourrit immanquablement le soupçon. Ce sont d’excellentes questions. Elles mériteraient d’avoir une réponse claire, sans ambiguïté. D’autant qu’elles surviennent chez des publics plutôt acquis à la cause européenne. Sinon le soutien, avéré, dans les sondages à la politique de défense européenne risquent de fondre comme neige au soleil.

Établir une vraie démocratie européenne

Plus généralement, malgré le fait que les Traités ne prévoient aucune procédure de consultation d’aucune sorte pour la Coopération structurée permanente en matière de défense, il faut prévoir des procédures spécifiques d’information et de consultation du Parlement européen (5). L’existence d’une telle information, d’un tel débat démocratique est une nécessité si l’on veut que le projet de défense soit partagé par l’opinion publique et la population et ne se transforme pas en un débat « techno », réservé à quelques uns. Le silence et le secret nourrissent les soupçons, les erreurs de perception, les rumeurs… Et à terme l’euroscepticisme.

Les autorités européennes doivent corriger le cap, redresser la barre. Vite, très vite … !

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Du moins tel est le terme employé par les institutions européennes elles-mêmes.

(2) La Haute représentante s’est exprimée uniquement en quelques mots à l’entrée de la réunion. Ce qui ne ressort pas à notre de l’information. Un mémo était bien disponible. Mais il a été retenu officiellement « pour des raisons administratives » et n’a été publié que 24 heures après. De même, un briefing technique a été organisé mais seulement ce mardi après-midi (soit le lendemain de la décision). « C’est mieux que rien » soulignent certains officiels. C’est vrai.

(3) Lire : La PESCO comportera 17 projets. La liste définitive. Détails (V4)

(4) Les avis et opinions prévues dans le Traité de Lisbonne (de la Haute représentante ou de la Commission européenne) n’ont ainsi pas été rendus publics.

(5) Le mot important est « préalable ». D’excellents esprits (le doigt sur la couture du Traité) me diront certainement que ce n’est pas prévu par les Traités. Certes. Mais, d’une part, ce qui n’est pas autorisé n’est pas automatiquement interdit. Et il a été observé à maintes reprises, dans le passé, et encore aujourd’hui, que certaines procédures « informelles » de consultation peuvent être facilement entreprises.

Les missions de la PSDC se replient sur elles-mêmes

Nos récentes demandes de visite dans les missions européennes se sont heurtées à deux ou trois reprises à un « non » poli. Une première visite prévue en Centrafrique (où nous payions tous les frais) a dû être annulée, sans aucune explication, « sur ordre de Bruxelles » au dernier moment (ce qui a nous coûté la bagatelle de quelques centaines d’euros perdues du à ce contre-ordre). La seconde tentative a été la bonne. Nos demandes de visites des missions à EULEX Kosovo (à deux reprises) se sont heurtées à une fin de non-recevoir déguisée : 1) aucune interview d’un responsable n’était assurée (« venez mais je ne peux vous garantir d’interview », « aucun responsable n’est là actuellement ») ; 2) aucune contre-proposition de programme de visite ; 3) pas de possibilité d’être « embedded » ; 4) pas de possibilité de monter par exemple dans un véhicule (problème d’assurance), ou de suivre des réunions. La non transparence est désormais devenue la règle dans certaines missions. B2 est un des derniers sites à rendre régulièrement compte de leur action. Mais, honnêtement, nous avons des doutes sur l’intérêt à continuer de le faire. (NGV)

 

Le G5 Sahel, improbable ticket de sortie du Mali

Blog Secret Défense - Tue, 12/12/2017 - 10:39
Près de cinq ans après le début de l’intervention au Mali, le président de la République réunit mercredi à La Celle-Saint-Cloud, une vingtaine de pays, dont l’Allemagne, en soutien au G5 Sahel.

Le respect de l’accord politique en RD Congo est nécessaire rappellent les 28

Bruxelles2 Blog - Tue, 12/12/2017 - 07:55
(B2) Face à la montée de violence en République démocratique du Congo, les ministres des Affaires étrangères des 28 ont appelé, lundi 11 décembre, à renforcer la MONUSCO et à l'organisation d'élections. Condamnation de la violence et menace de sanctions  Les 28 « condamnent vivement » les violations des droits de l'Homme ». L'UE, qui […]

Give PESCO a chance

Bruxelles2 Blog - Mon, 11/12/2017 - 17:14

(crédit : EUNAVFOR Atalanta)

(B2) Les critiques fusent déjà sur la Coopération structurée permanente. Ce qui est prématuré, puisqu’elle n’a pas encore démarré. Il faut cependant se garder de « dénigrer » pour le plaisir… l’Europe pourrait bien nous surprendre.

Des critiques bien établies

Certes, ce n’est pas la première fois que l’Europe de la défense (ou la défense européenne) est « relancée ». Mon ami Frédéric Mauro a compté au moins trois « relances » qui se sont enfoncées dans les sables : le traité de Maastricht, St Malo en 1998 et le paquet défense de la Commission en 2007-2009. En se gardant d’y ajouter le Traité de Lisbonne, on en est tout de même à la quatrième tentative. Cette Coopération est « moins ambitieuse qu’attendu, le concept d’États pionniers a été abandonné », critique le chercheur britannique Nick Whitney dans une envolée lyrique intitulée « EU defence efforts miss the open goal again » (1). D’autres experts se multiplient pour exprimer leurs doutes sur cette Coopération.

Certes, le produit fini n’est pas une révolution. On est loin du projet initial de noyau dur d’avant-garde. Les engagements, même s’ils sont politiquement contraignants, ne le seront pas dans les faits (2). Mais, pour autant, peut-on vendre la peau de l’ours avant d’en voir la queue ? Il faut prendre la Coopération structurée pour ce qu’elle est : un processus politique qui démarre, avec un clair engagement de tous les États membres (ou presque), une saine émulation par les pairs, une vingtaine de projets destinés à concrétiser cet engagement et des dispositifs de planification coordonnée qui ne sont pas encore mis en place.

Se baser sur les expériences du passé pour prédire l’échec de la PESCO tient du pari. Postuler son succès est tout aussi audacieux. Non, la PESCO n’est sans doute pas la panacée de la défense européenne. Pourtant, on peut reconnaître qu’il y a aujourd’hui une conjonction heureuse d’ingrédients – politiques, financiers, opérationnels, techniques – qui n’ont jamais été réunis et qui peuvent produire des résultats. Et le contexte de crises au niveau international pourrait être un puissant moteur pouvant alimenter le système ou pallier certains défaillances. Bref, pas d’emballement, mais pas de pessimisme non plus. Et surtout, ne jouons pas les Cassandre… Dans un an ou deux, si jamais cette Coopération ne produit pas tous les effets escomptés, il sera toujours temps de la critiquer. En attendant… Give PESCO a chance!

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Ceux qui ont connu Nick Whitney dans son poste de direction de l’Agence européenne de défense se rappellent d’un responsable beaucoup moins « allant » sur l’Europe de la défense, voire même réticent. « Il n’était pas aussi enthousiaste à l’époque et pas le dernier quand il s’agissait de bloquer un projet » a confié un responsable européen de l’époque.

(2) Un engagement contraignant est, selon moi, un dispositif « contrôlé », à plusieurs niveaux : par une assemblée démocratiquement élue, une cour de justice, et des documents rendus publics. Non seulement, aucun de ces critères n’est d’emblée rempli mais ils sont même exclus.

L’Europe pour un réengagement graduel avec la Thaïlande

Bruxelles2 Blog - Mon, 11/12/2017 - 13:10
(B2) Longtemps hors du viseur de l'Union européenne, les ministres des Affaires étrangères ont voulu, lors de leur réunion du 11 décembre, donner un signe d'espoir à la Thaïlande en encourageant le pays à consolider ses avancées démocratiques. Un changement de stratégie Suite au coup d'État militaire de 2014 (1), l'Union avait décidé de sanctionner […]

La Coopération structurée permanente officiellement lancée. Les détails du texte approuvé (V2)

Bruxelles2 Blog - Mon, 11/12/2017 - 12:17
(B2) Les ministres des Affaires étrangères de l'UE ont, ce lundi (11 décembre), déclenché le lancement officiel de la Coopération structurée permanente (PESCO ou CSP) en matière de défense. Ils ont approuvé, sans vote, au consensus, la décision « établissant la Coopération structurée permanente et déterminant la liste des États participants ». 25 pays finalement […]

Reconnaissez Jérusalem comme capitale, c’est un préalable pour la paix (Netanyahu)

Bruxelles2 Blog - Mon, 11/12/2017 - 11:00
(B2) L'accolade du début a été de courte durée. Malgré un accueil chaleureux par la Haute représentante de l'Union, Federica Mogherini, les hostilités ont immédiatement commencé. Les fondamentaux européens rappelés La Haute représentante a d'abord rappelé les grands principes de la position européenne : relancer le processus de paix pour une solution à deux Etats […]

Carnet (11.12.2017). Mécanisme Athena (accord). EDIDP (désaccord). COPS (agenda). EUMM Georgia, EUCAP Sahel Mali (budget). Libye (liste noire). Vietnam (EUMC). Belgique (EUNAVFOR Med / Atalanta, EUTM Mali). 5e Shade Med. Russie (Syrie). Moyen-Orient...

Bruxelles2 Blog - Mon, 11/12/2017 - 06:15
(B2) Parus récemment : Jérusalem. La Hongrie fait cavalier seul et bloque toute déclaration au nom des 28 (fiche) OTAN-UE. La déclaration de Varsovie. Sept domaines de coopération et 42 mesures communes (exclusif) PESCO. Les champions, les actifs, les réticents. Qui participe à quoi ? Brexit. A la recherche d’une solution spécifique pour l’Irlande du […]

Le Qatar fait son marché et s’achète des avions (et des amitiés)

Bruxelles2 Blog - Sun, 10/12/2017 - 23:59

Le président Emmanuel Macron et le Cheikh Tamim ben Hamad al Thani à Doha (crédit : Elysée)

(B2) L’émirat qatari a signé successivement plusieurs contrats militaires ces derniers jours avec au moins deux pays européens — la France et le Royaume-Uni.

Jeudi (7 décembre), à l’occasion d’une visite du président français Emmanuel Macron à Doha, l’émirat a levé l’option pour 12 avions français Rafale de plus (à ajouter aux 24 déjà commandés) et mis une option supplémentaire sur 36 autres avions. Le Qatar a également signé une lettre d’intention pour l’achat de 490 véhicules blindés de combat et d’infanterie (VBCI) à l’industriel terrestre Nexter (qui appartient désormais au groupe franco-allemand KNDS).

Dimanche (10 décembre), le secrétaire britannique à la Défense, Gavin Williamson, et son homologue qatari, Khalid bin Mohammed al Attiyah, ont supervisé la signature pour l’achat de 24 avions Typhoon/Eurofighter à BAE, suivant une déclaration d’intention signée en septembre, et de missiles Brimstone et Meteor, au groupe franco-britannique MBDA ainsi que des Paveway IV de l’usine britannique de Raytheon. Le tout pour un montant d’environ 6 milliards £. Cet accord comprend également un ensemble de formation et de coopération entre les forces aériennes et une lettre d’intention pour l’achat de 6 avions d’entrainement Hawk.

A noter que : le ministère de la Défense du Qatar avait annoncé, en juin, la signature d’un contrat d’achat de 36 avions Boeing F-15 pour une valeur de 12 milliards $ ; le Pentagone ayant autorisé la vente au Qatar de 72 avions pour une valeur d’environ 21 milliards $.

Une diplomatie du carnet de chèques

Commentaire : une sorte de diplomatie du carnet de chèques pour le petit émirat, aux prises avec un terrible conflit diplomatique avec son grand voisin, l’Arabie Saoudite. On peut voir trois objectifs dans ces achats en rafale. Il s’agit, premièrement, de faire rayonner l’émirat et de s’assurer de solides amitiés parmi les principaux pays européens (et dans le monde). Ensuite, il s’agit de montrer à l’Arabie Saoudite (le grand concurrent régional) que le Qatar est aussi puissant que lui (il s’agit d’aligner le même nombre d’avions sur le Tarmac). Enfin, cela permet de se constituer une armée de l’air moderne. Mais cela paraît presque un détail car rassembler autant d’avions assez différents, qui sont tout autant concurrents que réellement complémentaires, n’est pas tâche aisée. Le résultat risque d’être largement hétéroclite et pas très efficace au point de vue militaire. Mais l’important ne semble pas être là.

PESCO. Les champions, les actifs, les réticents. Qui participe à quoi ?

Bruxelles2 Blog - Sat, 09/12/2017 - 22:15
(B2 - exclusif) La liste arrêtée des pays participants aux différents projets de la PESCO est intéressante à plus d'un titre. Elle reflète leurs priorités stratégiques, qu’elles soient géopolitiques (l’inscription dans des projets avec des pays voisins ou qui partagent les mêmes convictions) comme opérationnelles ou industrielles (l’orientation cyber ou maritime de certains pays est […]

Brexit. A la recherche d’une solution spécifique pour l’Irlande du nord

Bruxelles2 Blog - Sat, 09/12/2017 - 17:02
(B2) La solution n'est pas encore tout à fait trouvée. Mais les principes sont posés de façon ferme. Le respect des accords du Vendredi saint de 1998, comme la stabilité de l'Irlande du Nord, est un impératif qui supplantera tout accord ultérieur entre l'Union européenne et le Royaume-Uni. C'est la leçon qu'il faut retenir des […]

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