AMMAN- L’Algérie a été élue samedi soir à Amman membre du bureau exécutif du réseau des parlementaires arabes pour l’égalité.
L’Algérie est représentée au bureau exécutif du réseau par la députée à l’Assemblée populaire nationale (APN) Ismahane Benksima qui a été élue aux côtés de six autres membres des pays arabes.
La présidente élue a déclaré à l’APS que le réseau procèdera le mois prochain à l’élection des représentantes des Emirats arabes unis, de l’Arabie saoudite, du Qatar, Sultanat d’Oman, Soudan, de l’Egypte et de Tunisie, soulignant que le réseau qui compte jusque là 135 membres de 13 pays arabes tend à élargir sa présence dans les parlements arabes et à rallier de grandes personnalités qui soutiennent les droits de la femme arabe.
Elle a indiqué que l’Algérie est représentée au sein du réseau avec 40 membres des deux chambres du parlement et en est l’un des membres fondateurs, saluant les réalisations de la parlementaire algérienne sur les plans politique et législatif.
Les femmes algériennes occupent plus de 31 % des sièges du parlement grâce aux dernières réformes engagées par le gouvernement et visant à renforcer la représentation féminine au sein des assemblées élues.
Plus de 100 parlementaires arabes actuelles et anciennes ont lancé en février dernier le réseau des parlementaires arabes pour l’égalité en vue de diligenter la participation de la femme dans la prise de décision politique dans le monde arabe.
Selon la présidente du réseau, le bureau exécutif a décidé d’enregistrer l’organisation au Liban « vu la souplesse du Droit libanais ».
Le taux des femmes parlementaires dans le monde arabe est passé de 3,7 en 2004 à 19,1 l’année dernière, avec l’Algérie en tête du classement.
Une première, le gouvernement égyptien a permis à une délégation du Front Polisario de participer aux travaux de la réunion conjointe des Parlements arabe et panafricain à Sharm El-Cheikh en Égypte.
Cette participation n’a vraisemblablement pas été du goût des autorités marocaines, d’autant plus que les participants ont réaffirmé au terme des travaux de la réunion « leur soutien au droit des peuples à l’autodétermination, à vivre en paix conformément aux principes du droit international et aux résolutions onusiennes ».
Selon des sites d’information égyptiens, l’Égypte a reçu la délégation sahraouie conduite par des leaders du Front Polisario ayant pris par au congrès aux côtés des parlementaires d’un nombre de pays arabe et africains.
Des médias marocains indiquent ,en revanche, que Rabat attend une réponse officielle des responsables égyptiens sur la participation d’une délégation sahraouie aux travaux de la réunion conjointe des Parlements arabe et panafricain qu’a abritée Sharm El-Cheikh.
D’après les mêmes sources, il est attendu une explication officielle de l’ambassade d’Égypte et l’attitude du Caire quant à cette participation avant que Rabat n’entreprenne des démarches en réaction à ce qu’il considère de nouvelle provocation.
Maintenant que l’incertitude est levée quant à la concrétisation de la décision d’Alger de retrancher 750.000 barils par jour du marché, les prix du pétrole doivent poursuivre leur ascension.
Les rumeurs, le doute, les spéculations: c’est terminé. L’Opep va geler sa production en novembre. «L’accord de l’Organisation des pays exportateurs du pétrole (Opep) sur le gel du niveau de sa production pétrolière sera officiellement conclu en novembre prochain», a affirmé le ministre vénézuélien du Pétrole Eulojio del Pino rapporte une dépêche du site d’information Sputnik datée du 14 octobre, qui cite l’agence Bloomberg. Sacrée bonne nouvelle. Elle ne sera pas seule à serrer ses vannes. «Plusieurs pays qui ne font pas partie de l’Opep seront également d’accord pour geler le niveau de leur production pétrolière», a confié Eulojio del Pino qui a annoncé que les pays producteurs de pétrole tiendront prochainement de nouvelles rencontres. «Il s’agit de la quête d’un consensus qui s’explique par l’idée que plus il y aura de producteurs ne faisant pas partie de l’Opep à rejoindre l’accord sur le gel, plus efficace sera cette mesure pour la stabilité du marché», souligne la même source.
Une démarche qui a de fortes chances d’aboutir étant donné les ravages provoqués par la dégringolade des cours de l’or noir sur les économies des pays producteurs. Des pays comme la Norvège, le Mexique, le Brésil ou l’Azerbaïdjan ne peuvent s’accommoder encore longtemps d’un niveau du baril bas. Un prix de l’ordre de 60 dollars d’ici la fin de l’année 2016 semble tout à fait dans leurs cordes s’ils parvenaient à un consensus autour d’un gel ou carrément d’une réduction de leur production. Le chef de file de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole y croit de toute façon. Le ministre saoudien de l’Energie a estimé, le 10 octobre, qu’un prix du baril de brut à 60 dollars d’ici la fin de l’année, n’était pas exclu. «Nous voyons une convergence de l’offre et de la demande.
Il n’est pas impensable qu’on arrivera (à un baril) à 60 dollars d’ici la fin de l’année», avait dit Khaled al-Faleh, lors de son intervention au Congrès mondial de l’énergie qui a eu lieu en Turquie. Mais il ne suffit certainement pas que de belles déclarations pour booster de manière durable les prix du pétrole. Le marché veut du concret. Et pour lui saper le moral il y a foule. Les analystes ont été nombreux à se prêter à ce jeu-là. Un casting qui est actionné dès que les cours de l’or noir commencent à reprendre des couleurs. A titre d’exemple, il aura suffi d’une déclaration attribuée au patron de Rostnef, la plus grande compagnie pétrolière russe pour qu’ils marquent un temps d’arrêt, le 11 octobre dernier, alors qu’ils étaient sur une courbe ascendante. «Le dirigeant de la plus importante compagnie pétrolière russe, Rosneft, a indiqué qu’il n’avait pas l’intention de participer à une réduction de la production», avait affirmé John Kilduff de Again Capital.
Ce qui avait ouvert la porte à une hypothétique position ambiguë de la Russie concernant sa participation à un gel de la production des pays producteurs. «Nous pensons que les chances d’une réduction volontaire de la production russe sont proches de zéro puisque de nombreuses compagnies pétrolières sont privées», avaient conclu de leur côté les analystes du second groupe bancaire allemand Commerzbank, dans une note. Le Président russe a dû monter au créneau pour balayer ce doute. «Je ne vois aucun problème par rapport à cet accord portant gel de la production au niveau actuel», avait déclaré, le 12 octobre, Vladimir Poutine. «Dans le grand schéma des choses, nous pourrions même envisager une certaine réduction, mais globalement cela n’est pas nécessaire. Si les pays de l’Opep tombent d’accord sur un niveau de gel de leur production de pétrole, alors nous allons nous joindre à cette décision», a affirmé le maître du Kremlin. Les prix ont certes légèrement reculé vendredi dernier (dernière séance de la semaine, Ndlr), mais le ton a visiblement changé. «Nous subissons une petite correction après la progression des cours due à l’annonce russe qu’ils pourraient se joindre à la réduction de la production annoncée par l’Opep», a expliqué James Williams de Wtrg Economics. La mayonnaise semble avoir pris cette fois-ci…
Un dispositif de sécurité important a été déployé, vendredi dernier, aux alentours de la salle Ahmed Bétchine, où le secrétaire général du RND et chef de cabinet de la présidence de la République, Ahmed Ouyahia, s’est réuni dans une réunion organique avec les membres du bureau de wilaya du RND élargi pour la circonstance aux militants et cadres de ce parti, à l’image des maires.
Selon des informations concordantes recueillies auprès de certains maires, Ahmed Ouyahia se voulait d’abord réconciliateur entre ceux qui avaient des animosités les uns envers les autres, à l’image d’un sénateur et d’un député en conflit depuis plusieurs mois, comme rapporté dans ces mêmes colonnes.
Puis, ce fut un appel à la mobilisation pour les prochaines élections électorales de la députation qui auront lieu au mois de mai prochain. Il s’agira aussi de défendre les acquis de la région en matière de développement, d’infrastructures tous secteurs confondus, manière de montrer à ceux qui vont demander où est parti l’argent du pétrole ? En ce sens, la mue subie en l’espace de deux ans par le chef-lieu de wilaya a été mise en exergue, à l’image de ces jets d’eau, les doubles voies avec bancs publics et palmiers, les placettes et le reste digne d’un chef-lieu de wilaya. Pour ce qui est des législatives et du profil de celui qui sera tête de liste du parti à ces futures joutes électorales, Ahmed Ouyahia a demandé de laisser l’année d’abord s’achever.
Enfin, comme chacun sait, ils sont pour le moment trois, en dehors du charismatique ex- sénateur Djeffel Houssine dont la popularité n’est plus à démontrer, à vouloir tenter leur chance. C’est légitime, diront nos interlocuteurs. En plus «d’un autre plus estimé et plus populaire d’entre eux», en l’occurrence Maizi Boubker.
Un humanitaire américain qui travaillait pour une ONG a été enlevé vendredi soir à Abalak, dans la région de Tahoua à 350 km au nord-est de Niamey, la capitale du Niger. Son garde du corps et un policier ont été abattus par le groupe armé.
Une source sécuritaire indique que « au moins deux personnes ont été tuées lors de la fusillade » qui a précédé cet enlèvement. Sans préciser l’identité des victimes, la source sécuritaire avance qu’elles seraient probablement des Nigériens.
Après l’enlèvement, les ravisseurs sont repartis vers le Mali. Leur identité n’est pas encore connue. Et les autorités nigériennes ont déclenché l’alerte maximum dans la zone. Toutes les voies menant au Mali sont surveillées et « des poursuites sont engagées » précise la source sécuritaire, citée par l’Afp. es recherches se poursuivaient samedi pour tenter de retrouver le travailleur humanitaire américain enlevé vendredi soir à Abalak, une préfecture de la région de Tahoua à 350 km au nord-est de Niamey, a déclaré samedi à l’AFP le ministre de la Défense nigérien.
Signalons que c’est la première fois qu’un ressortissant américain est enlevé au Niger. La région de Tahoua, où a été capturé l’Américain, est réputée instable.
Le 7 octobre dernier, 22 soldats nigériens y avaient péri lors d’une attaque d’hommes armés venus du Mali contre un site de réfugiés maliens à Tazalit. Selon l’armée nigérienne, trois soldats avaient aussi été blessés durant cette attaque. Enfin, il faut rappeler que le Pentagone a annoncé son intention d’installer une base militaire avec une force de projection de drônes au Niger.
Le leader du marché algérien des produits électroniques, électroménagers et multimédia, Condor Electronics poursuit son envol vers d’autres cieux avec sa participation au GITEX 2016 à Dubaï.
Le constructeur « Condor Electronics », leader algérien des produits électroniques, électroménagers et multimédia poursuit sa stratégie à l’international et annonce sa participation à l’un des plus grands évènements commerciaux de la région MENA. Se déroulant chaque année à Dubaï (UAE), la 36éme édition de la semaine de la technologie GITEX (Gitex Technology Week) se tiendra cette année du 16 au 20 Octobre 2016 au Dubaï world Trade Center.
Bordj Bou Arreridj, le 16 octobre 2016 – Condor Electronics annonce sa participation au salon GITEX 2016 qui se tiendra au World Trade Centre de Dubaï du 16 au 20 Octobre 2016. Un rendez-vous incontournable des professionnels des technologies et du numérique que la société Condor Electronics ne manquera pas de marquer par sa présence. Un salon international où se côtoient plus de 3700 entreprises venues de plus de 60 pays et qui draine plus de 146.000 visiteurs.
Sur le stand Condor Electronics situé au Hall 6A stand 20, les visiteurs du salon pourront découvrir les dernières innovations et produits Made In Algeria sur sa gamme en électronique à la pointe de la technologie et certifiés aux normes internationales de qualité et de sécurité les plus strictes.
« Pour Condor, cette première participation à la semaine de la technologie GITEX est une opportunité de présenter au public international notre entreprise ainsi que notre large gamme de produits dont les smartphones, tablettes, et accessoires connectés. Une stratégie qui permettra de promouvoir une économie algérienne forte, capable de rivaliser avec les plus grands et de s’exporter sur le marché international » a déclaré M. Abderrahmane BENHAMADI, Président du Conseil d’Administration de Condor Electronics.
Inscrite à l’agenda de sa stratégie d’internationalisation, Gitex 2016 est la quatrième étape après la participation au MWC de Barcelone, MWC de Shanghai et à l’IFA de Berlin ; des expériences enrichissantes en connaissance de nouveaux marchés et un feedback positif suite à la rencontre de ce nouveau public.
Les plus grands acteurs des domaines des nouvelles technologies et de l’électronique seront présents à cette nouvelle édition du Gitex 2016, Condor profitera de cette opportunité pour promouvoir son savoir-faire et pour créer de nouveaux liens en vue de profiter de nouvelles opportunités.
A ce sujet, M. Réda HAMAI, Directeur Général Adjoint Développement à l’International nous dira « Aujourd’hui, Condor Electronics continue son internationalisation, après des premières expériences satisfaisantes, nous sommes en plein déploiement au niveau international, nos produits sont à la pointe de la technologie et sont certifiés aux normes européennes CE, une place de choix s’offre à Condor Electronics grâce à la qualité, la diversité et la compétitivité de nos produits sur le marché international»
A propos de Condor Electronics:
SPA Condor Electronics est la figure de proue du Groupe Benhamadi. Fondée en 2002, la filiale grandit vite et devient leader dans son domaine. Elle est spécialisée dans la fabrication, la commercialisation et la maintenance des produits électroniques, électroménagers et multimédia ainsi que des panneaux photovoltaïques.
Certifiée ISO 9001, 14001, 26000 et OHSAS 18001, pour les normes de qualité́, respect de l’environnement, responsabilité́ sociétale et santé et sécurité́, respectivement, la compagnie tend à entre un modelé de sérieux et de compétence. Condor Electronics est l’une des premières entreprises à être certifiée « BASMA DJAZAIRIA », un label délivré par le Forum des Chefs d’Entreprises algérien (FCE) visant à garantir l’origine algérienne les produits.
Misant sur l’innovation et la disponibilité́, Condor Electronics œuvre pour maintenir son leadership en proposant des produits à la fois performants, d’excellente qualité́ et à un prix très abordable avec une présence sur tout le territoire algérien.
Condor Electronics n’est pas juste un exemple de réussite et de succès, à travers ses réalisations et ses performances, elle est aussi le modelé par excellence de la compagnie qui marque son époque par son innovation et son avant-gardisme. Avec des articles à la pointe de la technologie, certifiés aux normes de qualité́ et de sécurité́ les plus strictes, le produit Made In Algeria devient une référence dans le marché́.
Avec les différentes gammes des produits proposées Condor Electronics parvient à toucher toutes les cibles possibles et arrive à être présente dans 90% des foyers algériens grâce à ses potentiels humains et techniques, Condor Electronics s’inscrit dans son temps mais aussi dans la pérennité́.
Condor Electronics n’est pas seulement un label marchand mais un opérateur et un compagnon du quotidien de chaque algérien qui propose concrètement plus de confort et d’accessibilité́. L’enseigne amie inspire par son succès et sa fidélité́ ; c’est précisément cette proximité́ et la détermination d’élargir les horizons et d’anticiper sur les innovations qui permet à Condor Electronics d’entre un leader. Au fil des années, Condor Electronics a construit une histoire, un parcours où toutes les mutations reflètent aussi l’attachement à nos valeurs et nos aspirations à l’excellence.
Plusieurs projets visant l’embellissement et la réhabilitation des espaces publics dont recèle Alger Centre à l’instar des jardins publics, des squares et des parcs, seront réceptionnés avant la fin 2016, a annoncé le président de l’APC d’Alger Centre, Abdelhakim Bettache.
L’embellissement et la réhabilitation de ces espaces ouverts contribueront sans nul doute à la structuration de la ville contemporaine et permettront à Alger Centre de retrouver son lustre d’antan, a précisé M. Bettache. Ces actions ne toucheront pas seulement les jardins et les parcs publics mais aussi de nombreux stades, des écoles, des crèches et des salles de sport ainsi que le magasin général sis à la rue Pirette à Alger Centre.
« Les travaux de revêtement des trottoirs en béton imprimé, le goudronnage des rues ainsi que la mise en place de jet d’eau dans les différents quartiers d’Alger centre contribueront aussi à redorer l’image du coeur de la capitale », a relevé le premier responsable de la mairie.
Les jardins d’Alger vont retrouver leurs couleurs
Grâce à ce programme de réhabilitation et d’embellissement, les jardins et les parcs d’Alger Centre vont retrouver leurs couleurs, à l’instar du jardin Sofia, dont les usagers peuvent désormais se désaltérer sur ses bancs tout en sirotant leur café servi par la buvette en service dans le même jardin et en écoutant les informations diffusées 24h/24 par la radio nationale.
« Le jardin Port Said fera après sa réhabilitation et sa rénovation (en cours) la joie des Algérois », a-t-il estimé, revelant que « le jardin sera doté d’un kiosque de musique, d’un espace attrayant grâce à un programme culturel pour les adultes et les enfants (gala de musique châabie, prestation des clowns pour enfants etc.) pour occuper les journées des citoyens habitant les alentours ».
Selon le maire, une étude a été lancée récemment pour la réhabilitation du dernier jardin de la haute Casbah appelé « Djninet Lyés Soustara » pour que qu’il soit rouvert au public dans les plus brefs délais. La mairie d’Alger Centre a aussi entamé les travaux de réhabilitation du parc de la Liberté (avancement des travaux à 30%) et du parc de Beyrouth (Mont Riant) dont l’avancement des travaux a atteint 90 %, a annoncé M. Bettache.
Les bois de Sidi Brahim en voie d’être réhabilités, constitueront dans l’avenir une bouffée d’oxygène pour les algérois qui pourront aller y courir pour éviter de se déplacer continuellement à la forêt de Bouchaoui.
« Les bois de Sidi Brahim (Telemly), considérés comme une extension du parc Mont Riant, sont à l’image de la forêt de Bouchaoui en plus petit avec comme ambition de devenir un espace agréable pour les algérois qui pourront y venir pour faire leur jogging ou tout seulement prendre un grand bol d’air pur et pourquoi pas faire des pique-niques en pleine verdure », a-t-il dit. S’agissant du parc Tifariti, la mairie d’Alger Centre a terminé l’installation des jeux pour enfants évalués à 4 milliards de centimes.
Les travaux de nettoyage de l’oued Valentin, espace qui était utilisé par les habitants pour jeter leurs résidus ménagers, seront réceptionnés avant la fin 2016, a indiqué M. Bettache en annonçant qu’ »un passage sera créé à partir de cet oued pour déboucher sur l’avenue Krim Belkacem ».
Pour la gestion des espaces publics, une « EPIC pour la gestion des parcs immobiliers » va être créée et sera suivie par la création d’un nombre important de postes pour gérer ces espaces.
» Une EPIC pour la gestion des parcs immobiliers (recouvrement des loyers, gestion des jardins et des parcs etc.) va voir le jour bientôt, en attendant l’aval du Premier ministère » a indiqué le maire ajoutant qu’un nombre important de postes d’agents (jardiniers, agents de nettoyage , agents de sécurité etc.) seront créés pour entretenir ces espaces publics.
Réhabilitation des stades, des écoles et des magasins
Plusieurs anciens stades, écoles, magasins, crèches, salles de sport et complexes d’Alger centre vont être sujets de réhabilitation avant la fin 2016 par la mairie d’Alger Centre. L’école El Khanssa datant de plus de cent ans dont une enveloppe financière de 56.814.513,15 DA a été allouée pour sa réhabilitation totale sera fin réceptionnée avant la fin 2016.
Les travaux sont également en cours pour la réhabilitation des écoles El Mouahidine I, El Mouahidine II et Ibn El Khattab, selon le maire. Un montant de 150.000.000,00 DA a été alloué pour la réhabilitation du stade Ouaguenouni dont le cahier des charges se trouve actuellement au niveau du service des marchés.
« Pour ce qui est du stade Sfindja dont les travaux de réhabilitation ont été évalués à 50.000.000,00 DA, l’avancée de ces travaux ont atteint 60% et sera réceptionné avant la fin 2016 », a dit le maire ajoutant que les travaux d’aménagement et de réhabilitation de la salle des sports de Beyrouth, du complexe Krim Belkacem et du magasin général sis rue Pirette sont en cours de réalisation.