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SMART High Reliability Solutions -Secure and Reliable Solid-State Drives for the Naval Industry

Naval Technology - Mon, 17/10/2016 - 01:00
SMART HRS ensures that all of its solutions are as secure as possible by employing rigorous testing and quality materials for its customised designs.
Categories: Defence`s Feeds

UK Royal Navy hosts marine robotic systems demonstration, Unmanned Warrior

Naval Technology - Mon, 17/10/2016 - 01:00
The UK Royal Navy is hosting the world’s first large-scale demonstration of marine robotic systems, called Unmanned Warrior 16.
Categories: Defence`s Feeds

US Navy commissions latest Zumwalt-class destroyer USS Zumwalt

Naval Technology - Mon, 17/10/2016 - 01:00
The US Navy has commissioned its latest Zumwalt-class guided missile destroyer USS Zumwalt (DDG 1000) at North Locust Point in Baltimore, US.
Categories: Defence`s Feeds

Engility wins task order extension for US Navy’s tactical afloat network

Naval Technology - Mon, 17/10/2016 - 01:00
Mission-critical services provider Engility has been awarded a $16m task order extension by Space and Naval Warfare Systems (SSC) Atlantic to provide technology to support the US Navy’s tactical afloat network.
Categories: Defence`s Feeds

Zodiac Milpro: made-to-measure solutions for demanding professionals

MeretMarine.com - Mon, 17/10/2016 - 00:30

Zodiac Milpro is the worldwide leader in manufacturing inflatable an RHIB for Military and Professional users, the company has a range from 3 to more than 13 meters. Zodiac Milpro recently delivered the French Navy Special Forces the ECUME RHIB, 15 are already in active service.

 

Categories: Défense

Djukanovic Wins Montenegro’s Elections Amid Complaints of Violations

Balkaninsight.com - Mon, 17/10/2016 - 00:25
Early results of Sunday’s elections in Montenegro showed the ruling party led by veteran Prime Minister Milo Djukanovic won the parliamentary polls, amid rumours of an alleged ’terror’ plot and irregularities.
Categories: Balkan News

À Budapest, la rue se fait entendre contre Viktor Orbán

HU-LALA (Hongrie) - Sun, 16/10/2016 - 23:46
Plusieurs milliers de Hongrois ont défilé ce dimanche à Budapest contre leur gouvernement. Dans un contexte politique tendu, marqué par la suspension du Népszabadság, principal quotidien d’opposition, les manifestants s’en sont pris à la «corruption généralisée» à la tête du pays et réclamé à plusieurs reprises le départ du Premier ministre Viktor Orbán.

Lancé comme un événement Facebook, le rassemblement organisé par les partis de gauche Ensemble (Együtt), PM et LMP s’est transformé dimanche après-midi en manifestation d’ampleur contre le gouvernement de Viktor Orbán. Une dizaine de milliers de Hongrois se sont massés entre Ferenciek tere et le pont Erzsébet à Budapest, pour protester contre la «liberté volée» en Hongrie et faire entendre leur voix face à un pouvoir de plus en plus hermétique à la contestation. Selon le texte accompagnant l’événement Facebook, cette démonstration de force est là pour montrer que les Hongrois «en ont marre que Viktor Orbán et sa bande mettent à sac le pays».

De nombreux participants ont manifesté avec dans leurs mains, un exemplaire du Népszabadság, quotidien de centre-gauche dont la suspension il y a une semaine est devenue le symbole du climat de tension qui règne dans le pays. De ce point de vue, cette manifestation amplifie sensiblement le rassemblement spontané qui s’est tenu samedi 8 octobre dernier pour protester contre la décision de «chômage technique» prise par le propriétaire du titre, le groupe autrichien Mediaworks. Beaucoup voient derrière cette opération Lőrinc Mészáros et Gábor Liszkay, deux très proches de Viktor Orbán accusés de vouloir mettre la main sur une institution du paysage médiatique hongrois, mais surtout s’accaparer plusieurs titres de la presse quotidienne régionale.

«On ne peut plus parler de gouvernement, mais de crime organisé»

Se succédant à la tribune, les leaders des partis organisateurs ont rivalisé dans leur dénonciation de l’orbanisme au pouvoir. Benedek Jávor (PM) a critiqué le premier «une corruption et un vol organisés au plus haut sommet de l’État», appelant la société civile et les médias à tenir bon. Ákos Hadházy, co-président du LMP a quant à lui menacé directement le gouvernement d’une insurrection populaire, si jamais il s’avérait que les institutions démocratiques ne fonctionnaient plus normalement, précisant toutefois «ne pas souhaiter en arriver là». Enfin, Péter Juhász, président du parti Ensemble (Együtt) a ciblé la confiscation des moyens de l’État par un petit groupe massé autour de Viktor Orbán, estimant à ce sujet «qu’on ne [pouvait] plus parler de gouvernement, mais de crime organisé». Péter Juhász a conclu son intervention en appelant tous les Hongrois à siffler leur Premier ministre dans tous ses déplacements à venir dans le pays.

Hongrie : des journalistes dénoncent un «putsch» à Népszabadság

Directement mis en cause par les organisateurs, le Fidesz de Viktor Orbán a réagi par voie de presse au moment où les manifestants se rassemblaient dans les rues de Budapest. Le porte-parole du parti, Gergely Gulyás s’est ainsi demandé «contre qui s’orientait ce rassemblement commun au “nom de la liberté de la presse”», rejetant en bloc les accusations d’ingérence du pouvoir dans la suspension du Népszabadság. La semaine dernière, le propriétaire de Mediaworks, Heinrich Pecina, a volé au secours du gouvernement hongrois en combattant formellement la dimension politique qu’a prise l’affaire, sans pour autant donner d’explication sur la méthode employée, brutale et sans préavis.

Si l’affaire du Népszabadság semble jouer un rôle de catalyseur, la tension qui règne en Hongrie s’explique surtout par l’onde de choc causée par l’invalidation du référendum sur les quotas de réfugiés le 4 octobre dernier. Véritable camouflet personnel pour Viktor Orbán, les résultats du scrutin ont surtout montré l’existence de deux Hongrie dont les antagonismes ont été électrisés par une campagne référendaire particulièrement virulente. Par ailleurs, le pays s’apprête à célébrer à la fin du mois d’octobre le soixantième anniversaire de l’insurrection de 1956, dont l’héritage et le symbole sont âprement disputés par la gauche et la droite. Depuis l’arrivée au pouvoir de Viktor Orbán en 2010, les manifestations antigouvernementales se sont toujours soldées par des échecs, en raison à la fois de l’habileté tactique du Premier ministre, prompte à démobiliser son opposition, mais aussi de la fragmentation des partis de gauche jusqu’à présent incapables de formuler une réponse commune à la colère sourde qui traverse le pays.

La Hongrie est divisée comme jamais elle ne l’a été

Sources : 24.hu, 444.hu

Categories: PECO

Formation scientifique pour la police malienne

Bruxelles2 - Sun, 16/10/2016 - 23:36

Un policier malien place les marqueurs de preuves sur une scène de crime (Crédit : EUCAP Sahel Mali)

(BRUXELLES2) Les scènes de crime n’ont plus de secret pour les sous-officiers de la Police nationale malienne. Prélèvement d’empreintes, photographie d’une scène de crime, examen des traces numériques… ont été au cœur de la formation de trois semaines organisée par la mission européenne EUCAP Sahel Mali. Les stagiaires ont obtenu le statut d’experts de la Police technique et scientifique (PTS).

Faire parler les « témoins muets »

Investigation, méthodologie, mesures sur place, prélèvements d’empreintes sur un objet ou une personne, conditionnements et stockage ont été au centre de la formation. « L’indice est un témoin muet qui ne ment pas. Il doit être correctement observé et judicieusement interprété » explique un des formateurs européens.  Les stagiaires ont été chargés de l’affaire pour élucider le mystère autour du meurtre de Monsieur X, et parvenir à trouver un éventuel suspect.

L’enquête les a conduit à l’examen de trois lieux : l’appartement de la victime, un parking avec un véhicule abandonné et l’appartement d’un suspect. Ainsi, des véhicules, des armes, le corps de la victime ont été étudiés « très minutieusement ». L’exercice a permis de mettre l’accent sur la photographie de la scène de crime, le stockage des indices prélevés, et les traces numériques avec l’examen des téléphones portables, des antennes relais et du trafic internet.

… et laisser place à la justice

Les indices ayant parlé, place au procès-verbal, pièce qui servira à la justice. La bonne rédaction de ce document, absolument nécessaire afin d’éviter que la procédure ne soit invalidée, a concentré une bonne partie de la formation.

(Leonor Hubaut)

Categories: Défense

Les films de Cannes à Cluj

Courrier des Balkans - Sun, 16/10/2016 - 23:30

Les films de Cannes arrivent à Cluj ! La première édition des Films de Cannes à Cluj aura lieu du 14 au 16 octobre, au cinéma Victoria.
A cette occasion, le cinéaste français Alain Guiraudie rencontrera le public, le samedi 15 octobre, lors de la projection de ses films controversés : Rester vertical et L'inconnu du lac.
Les Clujois verront également en première La fille inconnue, « le diamant brut des frères Dardenne », ainsi que Ma Loute, la savoureuse comédie de Bruno (...)

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Categories: Balkans Occidentaux

Allemagne: le mouvement Pegida célèbre son deuxième anniversaire à Dresde

RFI (Europe) - Sun, 16/10/2016 - 23:03
Les partisans de Pegida ont manifesté ce dimanche 16 octobre à Dresde, dans l’est de l’Allemagne, pour marquer le deuxième anniversaire du mouvement anti-islam et anti-immigrés. Si la mobilisation était inférieure à l’année dernière, le soutien pour les idées que véhicule le mouvement ne va pas en diminuant.
Categories: Union européenne

Euronaval : début du 25e

Le mamouth (Blog) - Sun, 16/10/2016 - 22:46
La 25e édition du salon Euronaval ouvre demain midi ses portes avec une sécurité annoncée comme
Plus d'infos »
Categories: Défense

Aid El Adha: le surdosage en complément alimentaire derrière la putréfaction de la viande de moutons

Algérie 360 - Sun, 16/10/2016 - 22:12

Les résultats de l’enquête sur la putréfaction de la viande de moutons de l’Aid El Adha ont révélé un surdosage de compléments alimentaires administrés aux bêtes, a indiqué dimanche à Constantine, le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdeslam Chelghoum.

Le résultat a été révélé lors d’une conférence de presse, tenue en marge de la cérémonie de célébration de la journée mondiale de l’Alimentation, à la maison de culture Malek Haddad. Le ministre a précisé que tous les résultats des analyses obtenus jusqu’ici dans le cadre de l’enquête sur la putréfaction de la viande de moutons, notamment des analyses effectuées dans des laboratoires de la Gendarmerie nationale et le laboratoire central vétérinaire, ont unanimement révélé un surdosage de compléments alimentaires ajoutés aux fourrages.

Affirmant que ce phénomène n’a aucune incidence sur la santé humaine, le ministre a souligné que les spéculateurs « n’hésitent pas à utiliser des techniques d’engraissements douteuses ».
Au cours de cette journée, les ministres de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, et des Ressources en eaux et de l’Environnement, respectivement, Abdeslam Chelghoum, et Abdelkader Ouali, ont également donné le coup d’envoi officiel de la campagne nationale labours-semailles pour la saison 2016-2017 depuis une exploitation agricole dans la commune d’Ain S’mara.

M. Chelgoum a indiqué que tous les moyens humains et logistiques ont été mobilisés pour assurer « la pleine réussite » de cette campagne soulignant la mise en place d’un dispositif de suivi du déroulement de la saison agricole 2016-2017 à l’échelle centrale et locale, prêts à intervenir en cas de sécheresse prolongée, dans l’objectif de préserver la production agricole.

Categories: Afrique

Professor George Pagoulatos writes on populism in the Sunday edition of Kathimerini, 15/10/2016

ELIAMEP - Sun, 16/10/2016 - 22:06

You can read here the article on populism, which was written by Professor George Pagoulatos. The commentary was published on 15 October 2016  in the Sunday edition of Kathimerini and is available in Greek.

Gefährliches politisches Verhalten Japans

Strategische Studien - Sun, 16/10/2016 - 22:02

Aus der ASMZ 10/2016.

Ende Juni dieses Jahres wurde ein Bericht des ehemaligen Generals Kunio Orita der Japan Air Self-Defense Forces (JASDF) auf einer Website veröffentlicht. Gemäss der Nachricht habe ein JASDF-Kampfflugzeug angesichts eines Angriffsmanövers eines chinesischen Kampfjets mit dem Einsatz des Täuschkörpers (Decoy Flares) einen Luftkampf vermieden. Der JASDF-Kampfjet befand sich im Einsatz zur Warnung vor Verletzungen des Hoheitsgebiets in der japanischen Luftraumüberwachungszone (ADIZ).

Lesen Sie hier den ganzen Beitrag.

Welche Kriege bereitet Putin vor?

Strategische Studien - Sun, 16/10/2016 - 21:54
Operativ-taktischer Boden-Boden-Flugkörper SCUD B

Da der US-Präsident Obama den russischen Präsidenten Putin mit seinen Bombardierungen in Syrien nicht gestoppt hat, besteht die Möglichkeit, dass dessen Appetit auf weitere kriegerische Abenteuer gewachsen sein könnte. Die Inaktivität Obamas könnte Putin zu weiteren Kriegen verleiten.

Seit 2008 werden die russischen Streitkräfte umstrukturiert und mit modernen Waffen aufgerüstet. Immer wieder werden die russischen Grossverbände durch grosse Übungen im Kampf der verbundenen Waffen getestet und gefördert. Dabei sind die russischen Streitkräfte heute ohne Einschränkungen auf die militärstrategische Kultur Russlands ausgerichtet und damit jederzeit einsatzbereit.[1] Die militärstrategische Kultur Russlands wird durch vier Faktoren bestimmt:[2]

  1. die strategische Einmaligkeit (Strategic uniqueness) Russlands;
  2. die strategische Verwundbarkeit (Strategic vulnerability) Russlands;
  3. den Krieg mit allen zur Verfügung stehenden Mitteln führen (going to war with all of Russia);
  4. die Entscheidung zu Beginn des Krieges suchen (decisiveness of the initial period of war).

Das militärische Denken und Verhalten Russlands und damit auch der russischen Streitkräfte (Übungen, Militärbezirke, Kommandoführung, Mobilisation, Logistik, Transportsystem) über den Krieg ist auf diese vier Faktoren ausgerichtet. Das Ergebnis ist die Vorbereitung der Streitkräfte auf die Führung des Hybriden Krieges, der wegen der strategischen Verwundbarkeit des Landes ausserhalb Russlands ausgetragen werden muss. Der Hybride Krieg wird im Vergleich zum westlichen Ansatz im militärstrategischen Denken Russlands viel umfassender definiert. Für die Führung eines Hybriden Krieges muss Russland alle verfügbaren Mittel einsetzen. Zu diesen gehören Spezialeinheiten, der Informationskrieg, cyber war, politische Sabotage, wirtschaftlicher Druck, Erpressung mit der Androhung von Energielieferungsunterbrechungen, konventionelle und nukleare Streitkräfte.[3] Alle diese Mittel sind Bestandteile der russischen Gesamtstrategie des Hybriden Krieges. Dabei gilt, dass diese Mittel als Folge der eigenen Verwundbarkeit offensiv (homeland hybrid strategic offense) einzusetzen sind.[4] Die Annexion der Krim, der Krieg in der Ost-Ukraine, die fortlaufende Einschüchterung der Regierung von Kiew und der Krieg in Syrien sind Beispiele für die Umsetzung der Strategie des Hybriden Krieges. Zu dieser Strategie gehört auch die angedrohte Eskalation und damit Intensivierung der Kampfhandlungen zur nächst höheren Phase eines Krieges.

Wegen der strategischen Verwundbarkeit muss Russland die Offensive überraschend führen. Der präemptive Angriff[5], die Dominanz der Eskalation, die Überraschung, die Angriffsstärke und die Täuschung bestimmen militärische Operationen.[6] Mit verschiedenen Übungen und Manövern wie Vostok 2014 werden die russischen Streitkräfte auf militärische Operationen Richtung Ost, West, Nord (Arktis) und Süd (Kaukasus) vorbereitet.[7] Die Peripherie Russlands wird in Moskau offenbar als sehr instabil beurteilt. Jederzeit können neue Kriege in der Arktis, in der Ostsee und im Schwarzmeer ausbrechen.[8] Die Führung in Moskau und die Streitkräfte müssen deshalb die Initiative der Kriegführung und die Dominanz der Eskalation der Mittel jederzeit beherrschen können. Als Ergebnis der Einführung neuer Waffentechnologien könnte ein zukünftiger Krieg auch zu einem globalen Krieg eskalieren.[9]

Aufgrund der russischen Geschichte und der Verwundbarkeit Russlands dürfte für Moskau das Baltikum und die Ostsee ein unverzichtbarer Bestanteil der eigenen Geopolitik sein, der mit allen Mitteln wieder beherrscht werden muss. Bei der Planung einer Eroberung der baltischen Republiken gilt es, die Abwehr einer Gegenoffensive der NATO durch Kampfflugzeuge vorzubereiten. Dazu gehört die Stationierung weitreichender Fliegerabwehrsysteme wie S-400 in der Enklave Kaliningrad.[10] Einen angedrohten Einsatz von Nuklearwaffen seitens der NATO könnte Moskau durch die Eskalationsdominanz mit den in Kaliningrad stationierten operativ-taktischen Boden-Boden-Flugkörpern Iskander-M (Reichweite ca. 700 km)[11] abschrecken. Mit einem Hybriden Blitzkrieg gegen das Baltikum könnte Moskau vermutlich bereits heute die NATO und die USA mit vollendeten Tatsachen konfrontieren.

[1] Covington, St. R., The Culture of Strategic Thought Behind Russia’s Modern Approaches to Warfare, Foreword by Kevin Ryan, Belfer Center for Science and International Affairs, HARVARD Kennedy School, October 2016, P. 3ff.

[2] Covington, St. R., P. 4/5.

[3] Covington, St. R., P. 9.

[4] Covington, St. R., P. 11.

[5] Schwarz, U. and L. Hadik, Strategic Terminology, A Trilingual Glossary, Econ-Verlag, Düsseldorf und Wien, 1966, P. 38.

[6] Covington, St. R., P. 14.

[7] Covington, St. R., P. 16.

[8] Covington, St. R., P. 17.

[9] Covington, St. R., P. 22.

[10] Covington, St. R., P. 32.

[11] STRATFOR, Russia: Military Deploys Iskander Missiles To Kaliningrad, October 8, 2016, 16:10 GMT.

So auch Hinshaw. D. and J.E. Barnes, Russia Moves Advanced Missiles Toward Poland, in: The Wall Street Journal, October 10, 2016, P. A4.

300 Jahre Krieg und Genozid der Euro-Amerikaner

Strategische Studien - Sun, 16/10/2016 - 21:52

Immer noch werden im deutschsprachigen Raum die Auseinandersetzungen auf dem nordamerikanischen Kontinent zwischen den Euro-Amerikanern und den eingeborenen Völkern aufgrund von Schriften wie jene von Karl May romantisch beurteilt. In Wirklichkeit waren diese Auseinandersetzungen durch das Ziel des Landraubs und der Auslöschung der eingeborenen Bevölkerung bestimmt. Der Krieg wurde mit äusserster Brutalität ausgetragen. Dieser Krieg und Genozid setzte zu Beginn des 17. Jahrhundert ein und dauerte bis Ende des 19. Jahrhunderts. Das Kontinuum dieses Krieges, der über 300 Jahre dauerte, wird in der amerikanischen Geschichte bis heute nicht thematisiert. Lediglich die einzelnen Phasen des Krieges der Weissen gegen die Eingeborenen werden erwähnt[1]

The First, Second, and Third Tidewater Wars, the Pequot War, King Philip’s War and Bacon’s Rebellion, the Tuscarora War, the Yamassee War, Pontiac’s Rebellion, …, (the Great Sioux War).”

Der über drei Jahrhunderte dauernde Krieg der Euro-Amerikaner gegen die eingeborenen Nationen diente dem Diebstahl ihres Landes und ihrer Ressourcen. Dieses Ziel wurde vielfach auch mit religiösen Fanatismus und rassistischer Überlegenheit der Weissen gegenüber den Eingeborenen verbrämt. Entgegen den Behauptungen im 19. Jahrhundert war der nordamerikanische Kontinent vor der Invasion der Euro-Amerikaner nicht menschenleer. Aufgrund von archäologischen Fundstätten kann die damalige eingeborene Bevölkerung Nordamerikas ohne Mexiko auf bis 18 Millionen Menschen geschätzt werden. In Mexiko und der Karibik dürften 20 Millionen gelebt haben. Rechnet man noch Südamerika hinzu, dann könnte die Bevölkerung ganz Amerikas zwischen 43 bis 65 Millionen Menschen betragen haben. Dies war ein 1/5 der damaligen Weltbevölkerung.[2]

Bereits bei der Gründung der ersten permanenten Siedlung Jamestown leisteten die Eingeborenen den imperialen Ansprüchen der Weissen durch einen antikolonialen Krieg Widerstand. Am 21. April 1607 landete Captain Christopher Newport zwecks Erkundung der Siedlungsmöglichkeiten an der Küste. Bei der Wiedereinschiffung wurde sein Kontingent in einem Hinterhalt durch Eingeborene überfallen. Zwei Engländer wurden dabei verwundet.[3]

In den nächsten drei Jahrhunderten tobte ein erbarmungsloser Krieg zwischen den Weissen und den Eingeborenen. Nach den Eroberungen und Besiedlungen der Ostküsten drangen die Euro-Amerikaner bis zum Mississippi vor. Von da aus führten die weissen Siedler ihre Trecks über die Plains nach Kalifornien und Oregon. Nach dem Bürgerkrieg folgte die Eroberung der Plains.

Den Eingeborenen wurde ihr Land durch Betrug, Bestechung, Gewalt und mittels angedrohter Gewalt abgerungen. Die sogenannten Verträge zwischen Vertretern der Regierung in Washington DC und einzelnen Häuptlingen waren reine Fassade. Ein Beispiel dafür ist der Vertrag von Fort Laramie von 1851. Angeblich hatten die Bevollmächtigten von Washington mit der Nation der Sioux einen Vertrag abgeschlossen. In Tat und Wahrheit hatten nur einzelne Häuptlinge einiger weniger kleiner Sioux-Stämme den Vertrag unterzeichnet. Die wichtigen Häuptlinge der grossen Teton- und Yanktonais-Stämme waren aber abwesend gewesen.[4]

Die Betrügereien der Euro-Amerikaner wurden von bedeutenden Persönlichkeiten der Eingeborenen wie dem Ottawa-Häuptling Pontiac (1770 ermordet), dem Shawnee-Häuptling Tecumseh (1768-1813)[5] und dem Hunkpapa-Lakota-Häuptling Sitting Bull (Tatanka-Tyotanka, 1831-1890)[6] durchschaut. Sie organisierten einen Widerstand, wurden aber am Ende verraten und ermordet. Schrittweise wurden die Stämme zuerst in unfruchtbare Gebiete abgedrängt. Anschliessend wurden ihre Reservate bis zur Bedeutungslosigkeit zunehmend verkleinert.

Die Auslöschung und damit der Genozid an den Eingeborenen wurde durch die Verbreitung von Erregern aus der Alten Welt, wie Typhus, Cholera, Tuberkulose, Masern und Pocken, gegen die die Eingeborenen über keine Abwehr verfügten, gefördert. So wurden durch die Epidemien ganze Stämme auf bis zu 10 Prozent der ursprünglichen Gesamtbevölkerung reduziert. Die Überlebenden wurden anschliessend Opfer der weissen Kriegführung. 1633-34 wurde die ursprüngliche Bevölkerung der Pequots (im heutigen Connecticut) durch eine Pocken-Epidemie von 13‘000 auf 3‘000 Menschen dezimiert. Die Überlebenden wurden anschliessend 1636/37 durch die Pilgerväter ausgerottet.[7]

Im Krieg gegen die Pequot demonstrierten die Euro-Amerikaner die Brutalität ihrer Kriegführung und die Ausrottung der Eingeborenen. Am 26. Mai 1637 befahlen Captain John Mason und Captain John Underbill angesichts des Widerstandes von Pequots das Niederbrennen einer ihrer Siedlungen: „we must burn them!“ Fliehende Frauen, Kinder und Krieger wurden niedergestochen oder erschossen. Das Massaker an 600 Pequots wurde durch Underbill mit der Anrufung an Gott religiös gerechtfertigt.[8]

„We had sufficient light from the word of God for our proceedings.“

Bis 1890 war die Eingeborenenbevölkerung der USA auf 248‘253 Menschen reduziert worden. 1980 war sie wieder auf 1‘365‘676 Menschen angewachsen.[9] Dies war und ist allerdings immer noch ein Bruchteil der vor der Landung bestehenden ursprünglichen Bevölkerungszahl. Die Euro-Amerikaner haben gegen die eingeborene Bevölkerung während 300 Jahren einen erfolgreichen Krieg und Genozid geführt.

 

 

[1] Maslowski, P., The 300-Years War, in: Between War and Peace, How America Ends Its Wars, edited by Col. Matthew Moten, Foreword by General Martin E. Dempsey, Free Press, New York, London, Toronto, Sydney, 2011, P. 132.

[2] O’Brien, G., The Timeline Of Native Americans, The Ultimate Guide to North America’s Indigenous Peoples, World History Timeline, Thunder Bay Press, San Diego, California, P. 8.

[3] Maslowski, P., P. 133.

[4] Maslowski, P., P. 134.

[5] Sugden, J., Tecumseh, A Life, A John Macrae Book, Henry Holt and Company, New York, 1997.

[6] Utley,R.M., The Lance and the Shield, The Life and Times of Sitting Bull, A John Macrae Book, Henry Holt and Company, New York, 1993.

[7] Maslowski, P., P. 141.

So auch Nostitz, von, S., Die Vernichtung des Roten Mannes, Dokumentarbericht, Eugen Diederichs Verlag, Düsseldorf-Köln, 1970, S. 154.

[8] Maslowski, P., P. 141.

[9] Maslowski, P., P. 153.

ELIAMEP-Kathimerini public debate on European security issues

ELIAMEP - Sun, 16/10/2016 - 21:30

In cooperation with Kathimerini newspaper, the Hellenic Foundation for European & Foreign Policy (ELIAMEP) embarks on an attempt to analyse threats and dilemmas of European security as well as challenges and opportunities for Greece. In a series of special publications by Kathimerinui, experts offer insights on critical themes.

The first series was published on 15 October 2016 and includes the following articles: 

-  ‘The European security at a crossroads’, by Thanos Dokos 

‘External threats and internal insecurity’, by Othon Anastasakis

‘Quo vadis NATO; After Brexit and Warsaw», by Panagiotis Tsakonas

‘The global security strategy’, by Spyros Economides

The first series will be complemented with an interview of Ambassador Thrasyvoulos Stamatopoulos, former NATO’s Assistant Secretary General for Political Affairs and Security Policy, to be published on 17 October 2016.

Etats-Unis : la fille du sprinter Tyson Gay tuée lors d'une fusillade

Afrik.com - Sun, 16/10/2016 - 21:24
La fille du sprinter américain Tyson Gay est décédée, ce dimanche 16 octobre 2016, lors d'une fusillade survenue à Lexington, dans l'état du Kentucky. C'est ce qu'ont annoncé les médias américains qui précisent que Trinity Gay, âgée de 15 ans, a été touchée à la nuque lors d'une fusillade sur le parking d'un restaurant, vers 04h00 heure locale. Elle est décédée à l'hôpital. L'athlète Tyson Gay, 34 ans, avait notamment remporté trois médailles d'or lors des championnats du monde d'athlétisme à Osaka, en 2007, précise l'agence Belga.
Categories: Afrique

Le Niger attribue l'enlèvement d'un humanitaire américain aux jihadistes du Mujao

France24 / Afrique - Sun, 16/10/2016 - 20:05
L'humanitaire américain kidnappé vendredi à Abalak, dans le centre du Niger, est entre les mains du groupe jihadiste Mujao, ont déclaré les autorités nigériennes dimanche. Elles indiquent qu'il se trouverait au Mali.
Categories: Afrique

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