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Afrique

Maniema : 4 personnes condamnées à mort pour meurtre d'un médecin

Radio Okapi / RD Congo - Mon, 30/08/2021 - 21:28


Le tribunal de grande instance de Kindu, siégeant en matière de flagrance, a rendu son verdict le samedi 28 août dans l'affaire du meurtre du médecin chef de zone de Lusangi, dans la province du Maniema. Selon des sources judiciaires, quatre personnes sur quinze ont été condamnées à la peine de mort pour meurtre. Les onze autres prévenus ont été acquittés, faute de preuves.

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Semaine nationale de la médecine traditionnelle : Des acteurs plantent utile dans la forêt classée de Kua à Bobo-Dioulasso

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 30/08/2021 - 21:15

Le ministre de la Santé, Pr Charlemagne Ouédraogo, a donné le top départ de la campagne de reboisement, ce lundi 30 août 2021 dans la forêt classée de Kua, dans la commune de Bobo-Dioulasso. A en croire le ministre Ouédraogo, ce sont des milliers de « plants utilitaires » qui seront mis en terre durant cette saison de pluie.

Cette campagne de reboisement rentre dans le cadre de la commémoration de la 9e édition de la Semaine nationale de la médecine traditionnelle au Burkina Faso. A cet effet, plusieurs activités sont inscrites au programme dont cette campagne de reboisement, qui va permettre de mettre en terre des milliers de « plants utilitaires » sur le site de la forêt classée de Kua, non loin du site de construction de l'hôpital de référence de Bobo-Dioulasso. Ces plants vont servir à guérir plusieurs maladies dont celles diarrhéiques, le paludisme et d'autres affections pulmonaires.

Le ministère de la Santé engagé dans la promotion de la médecine traditionnelle

Cette activité a mobilisé l'ensemble des tradi-praticiens, les acteurs du ministère de la Santé et les pouvoirs décentralisés. Le ministre de la Santé, tout en précisant que la plantation d'arbres va se poursuivre jusqu'à la fin de la saison de pluies, a rappelé, une fois de plus, que les plants mis en terre serviront à la médecine traditionnelle, afin de guérir de nombreuses maladies. A en croire Charlemagne Ouédraogo, le choix du site de la forêt classée de Kua n'est pas fortuit.

« Nous avons choisi la forêt de Kua parce que le site est à côté de l'hôpital de référence qui sera construit. La médecine moderne et celle traditionnelle collaborent ensemble pour offrir des soins à la population. C'est pourquoi, nous avons voulu être juste à côté parce que les plants qui vont sortir ici vont servir à la médecine traditionnelle qui aura un bâtiment qui sera construit ici à Bobo-Dioulasso, au sein du futur hôpital », a-t-il expliqué.

Le ministre de la Santé, Charlemagne Ouédraogo

La médecine traditionnelle, une industrie prometteuse

Au cours de la cérémonie de lancement de cette opération de plantation d'arbres, le ministre a rappelé l'importance de la médecine traditionnelle dans la prise en charge de la santé des populations depuis longtemps. Il a loué l'efficacité de cette médecine et a souhaité son renforcement pour atteindre la qualité dans le cadre de la promotion des soins de santé.

Les acteurs de la médecine traditionnelle plantent utile dans la forêt classée de Kua

« La médecine traditionnelle occupe une place de choix dans le système de santé au Burkina Faso et c'est ce qui justifie notre présence à Bobo-Dioulasso, à l'occasion de la semaine consacrée à la médecine traditionnelle et alternative. Sur le plan mondial, nous sommes à la 19e édition et sur le plan national, c'est la 9e édition qui est commémorée cette année. Cela fait donc neuf ans que le Burkina Faso a marqué son engagement et son adhésion dans la promotion de cette médecine traditionnelle », a-t-il laissé entendre.

Christine Kafando, marraine de l'évènement

En effet, la médecine traditionnelle est utilisée depuis des siècles pour améliorer le bien-être des populations, et elle continue de jouer un rôle essentiel dans les soins de santé au Burkina. Elle tire sa quintessence de la riche biodiversité de plantes médicinales que recèle le pays. Elle se présente ainsi comme une industrie prometteuse que les Burkinabè peuvent exploiter plus et exporter à l'international. Eu égard aux potentialités existantes des plantes médicinales et remèdes. Pour la marraine de l'évènement, Christine Kafando, « la médecine traditionnelle est une médecine dont on ne peut pas s'en passer, même s'il y a la médecine moderne », a-t-elle insisté. [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]

Romuald Dofini
Lefaso.net

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Génocide au Rwanda: la demande de non-lieu d'Agathe Habyarimana "irrecevable"

Slateafrique - Mon, 30/08/2021 - 21:05

La cour d'appel de Paris a jugé lundi "irrecevable" la demande de non-lieu d'Agathe Habyarima

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Nigeria: le président Buhari appelle

Slateafrique - Mon, 30/08/2021 - 21:05

Le président nigérian Muhammadu Buhari a lancé un appel à l'unité pour tenter de mettre fin aux tensions près de la ville de Jos, dans le centre du Nigeria, une région touchée par des violences meurtrières.  

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Conseil des ministres : 4 nouvelles instructions de Tebboune

Algérie 360 - Mon, 30/08/2021 - 20:52

Prévue hier dimanche, la réunion extraordinaire du Conseil des ministres s’est finalement tenue, ce lundi 30 aout, sous la présidence du chef de l’État Abdelmadjid Tebboune. La réunion d’aujourd’hui a été consacrée à l’examen et à l’adoption du Plan d’action du Gouvernement ainsi qu’au parachèvement de la présentation du projet de loi relatif à l’audiovisuel. […]

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Afghanistan et Sahel : Les femmes, la Paix et la Sécurité

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 30/08/2021 - 20:50

Ceci est une tribune de Mamadou Djibo Baanè-Badikiranè, philosophe. Pour lui, la situation actuelle en Afghanistan doit être une leçon pour l'Afrique : on n'impose pas la démocratie qui, du reste, est un "processus endogène aux mains d'une société libre".

Le Président Macron tire la leçon de la déroute militaire des Occidentaux : « On ne peut pas imposer la démocratie ». Thucydide 1 depuis l'Antiquité, avait déjà mis en garde contre l'impérialisme démocratique, la conduite des guerres non nécessaires et qui sabordaient ainsi la puissance étatique. Nous sommes bien en face d'une défaite morale majeure.

Avoir engagé une guerre en 2001 sur l'idée de punition légitime des auteurs de l'attentat contre les Tours Jumelles de New York et s'être laissé entraîné dans une guerre sur de bons sentiments, humanistes et de facilitation de la démocratie libérale, avoir dépensé des dizaines de milliards de dollars, changer la donne de la stabilité régionale par le réarmement moderne et massif des Talibans, énoncent la déroute de ce mois d'août 2021. Ignoble ! Cette déroute militaire de l'Otan et de l'armée supplétive afghane est le nom de la défaite d'une illusion : exporter le modèle libéral de la démocratie.

Pour le philosophe, le bon diagnostic de la défaite de cette illusion impériale occidentale, épèle le nouveau monde multipolaire, pas seulement au plan des institutions multilatérales mais aussi et désormais, au niveau des contenus et modèles de gouvernance démocratique. Chacun peut désormais assumer que la démocratie est un processus endogène aux mains d'une société libre. Et ce socle civilisationnel singulier administre l'exercice des pouvoirs publics et de la puissance publique.

Il peut bien être libéral, électoral et représentatif ou plutôt délibératif et participatif en vue de construire des consensus pour résorber le polemos inhérent au vivre-ensemble. L'accroissement de la gloire est ainsi le Graal des militaires tandis que les dirigeants d'une société libre savent que les guerres d'occupation génèrent la tragédie démocratique là-bas et ici, sa détresse. Parce que l'idée même de droit (des femmes, des enfants de tous) demeure l'idée de paix conviviale. Pire, pas même, la paix géopolitique.

Tour à tour, l'invincible Afghanistan aura mis fin brutalement aux servitudes impériales anglaise, soviétique en 1989 et américaine en 2021. La France doit regretter la monarchie francophile du Roi Zaher Shah d'Afghanistan. Tour à tour, les interférences hégémoniques ont brisé le rêve des femmes et des jeunes afghans de vivre dans leur pays multiethnique, multiculturel qui savait fêter Norouz, le Nouvel An perse, l'Aïd et le drapeau tricolore, le symbole et le lieu imprenable de la souveraineté de ce pays.

Tour à tour, ces ingérences hégémoniques ou au nom de bons sentiments, ont fractionné et généré des violences inouïes par l'affaissement de l'Etat central et de ses institutions. Lorsque les Moudjahidines ont chassé les Soviets en 1989, le pays est d'office devenu un pays en reconstruction sous le joug taliban. Pour vaincre, ils ont été aidés par les Américains et les Saoudiens via le Pakistan (continuité tribale pachtoune et territoriale).

Aujourd'hui, la sortie très peu digne de l'Otan de l'Afghanistan, boucle provisoirement la boucle. Un pays tour à tour tiraillé entre les bellicismes Indo-pakistanais, Irano-Saoudien, Qatari-Emirati, Sino-Occidental, Turco-Russe, j'en oublie. Des confluences orageuses pour faire le lit des violations massives des droits des femmes, du vol de rêve des enfants afghans tantôt par Najibullah, Mollah Omar, Karzaï, Ghani et le suprême Akhundzada. Cette géopolitique des bellicismes a tour à tour des consonnances monarchiste, sunnite, communiste, chiite, libéral civilisationnel ou islamiste.

Comment avoir pensé, un seul instant, pouvoir au nom d'un paradigme hégémonique, changer voire « imposer » à l'Afghanistan, le modèle libéral démocratique ? Ce socle de principes et de valeurs frappé du sceau de la tolérance au nom du modèle laïc occidental (le modèle français est plus libertaire, le modèle multiculturel anglo-saxon plus ouvert) qui promeut les offenses au sacré, minimise la culture du blasphème, insulte la foi des autres et ravale la laïcité au rang de religion civique contraposée outrageusement aux vieux monothéismes, heurte les perçus des divinités africaines et autres.
Le nouveau monde est multipolaire en tous ses lieux de mémoire, de pouvoir. Cette leçon vaut pour tous.

Et singulièrement, pour nous les Africains au sud du Sahara dont les irrédentismes religieux, ethniques, la crise du pastoralisme et ses induits de conflits et stigmatisation de certains groupes sociaux versus l'émergence de milices communautaires et, la quincaillerie militaire des puissances occidentales sur zone en conquérante, au nom des calculs et bons sentiments, qui prétend régenter le délitement ou à tout le moins, se substituer aux faillites de nos Etats, nos institutions incapables de remplir leurs missions régaliennes ; donner les mêmes services universels de base à tous les citoyens sur l'ensemble des territoires délimités, nous avons le devoir de rétablir les équilibres militaires et géopolitiques pour la paix et la sécurité, la stabilisation de nos espaces publics et renouer avec la convivialité par nous- mêmes.

La responsabilité est primordialement, ma responsabilité.
La dualité géopolitique est la mère des paix trompeuses engrangées, tantôt par telle coalition hétéroclite aux intérêts géopolitiques torrentiels, tantôt par telle autre dont l'invariant est la malveillance et la malice dès lors que le destin leur fait signe. En Afghanistan comme au Sahel, la paix civile et la cohésion nationale ne répondent que de la tolérance vécue ancestrale, de la convivialité sociale ouverte au sein des sociétés civiles vibrantes.

Les alliances de circonstances géostratégiques de telle puissance hégémonique avec telle société politique locale ou la production d'une technostructure supplétive de substitution, relèvent désormais de la déréliction politique. Les incubations de modèle et leurs ingénieries hégémoniques, quelles qu'elles soient, sont des éphémérides. Le vol d'une luciole, certes, éclaire la caverne, mais échoue à sédimenter le brio du survol.

Il urge alors de laisser prospérer la sagesse des gens du terroir, émancipés des merveilles de la raison instrumentale certes, mais certains que c'est en rendant visite à leur terre-mère, sa culture, ses accents, ses saveurs, ses illusions et ses fulgurances morales, visiter soi-même et partant, dialoguer entre soi et partager avec les enfants précoces ou insouciants de son pays, la commune prospérité au nom de leur imprenable dignité. Les femmes, les enfants, ces ressorts de la paix, de la solidarité assureront pour tous, la paix conviviale, cette puissance douce.

La Paix conviviale assure à la démocratie, une montée en gamme de la puissance de l'Etat. Or, aucune guerre fondée sur la puissance militaire comparative n'assure la démocratie (parce qu'imposée). Il s'ensuit que la guerre de puissance comparée ne produit ni la sécurité pour les hégémoniques, ni la paix conviviale pour les autochtones du pays envahi. La guerre est la décision par la victoire militaire. Cette victoire n'est point la paix, a fortiori sa perte. La Pax Liberalis ne vaut que pour les pays de même régime tandis que la Pax Conviviale traite de chacun comme convive. Elle est donc notre créance.

Thucydide, La Guerre du Péloponnèse, VI, 24, p. 1125.

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Centrafrique: le procès de deux chefs anti-balaka reprend à La Haye

RFI /Afrique - Mon, 30/08/2021 - 20:35
À La Haye, les audiences dans l'affaire centrafricaine Alfred Yekatom Rhombot - Patrice Edouard Ngaïssona ont repris ce lundi 30 août après avoir été levées en juin. Un 16e témoin, placé sous anonymat, a été interrogé sur les attaques dans la région de Bossangoa pendant l'année 2013.
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Burkina Faso : Des défenseurs des droits humains outillés sur la prévention des actes de tortures et disparitions forcées dans le Nord

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 30/08/2021 - 20:20

Dans le cadre du Projet d'appui à la promotion et à la protection des jeunes consolidateurs de paix et défenseurs des droits de la personne, une formation sur la prévention et la répression de la torture et des disparitions forcées dans la région du Nord a été initiée au profit de défenseurs des droits humains, des forces de défense et de sécurité, des représentants du corps médical de la région du Nord. Cétait du 23 au 28 août 2021 à Ouahigouya.

Le Projet d'appui à la promotion et à la protection des jeunes consolidateurs de paix et défenseurs des droits de la personne a identifié des défis auxquels les jeunes garçons et filles défenseurs des droits humains, les forces de défense et de sécurité et des agents de santé sont confrontés dans l'exercice de leur mission en matière de lutte contre les actes de torture et de disparitions forcées. Cette activité organisée par la direction du suivi des accords internationaux (DSAI) du ministère en charge de la Justice en collaboration avec la direction régionale du Nord dudit ministère a été sous la supervision du directeur général de la défense des droits humains et de la coordonnatrice du projet au PNUD.

Des participants à la formation

Identifier les bonnes pratiques pour contribuer à la prévention de la torture

Pour les organisateurs, l'objectif général de cette formation est de renforcer les capacités de 500 jeunes défenseurs des droits humains, forces de défense et de sécurité, et personnel médical du Nord, de l'Est et du Sahel.
Afin de relever le défi dans la région du Nord, trois sessions ont permis à 150 participants de s'approprier la problématique de la prévention et la répression de la torture et des disparitions forcées.

l'animation des sessions a été assurée par des experts en droits humain

Des communications sur six thèmes majeurs ont été présentées par des experts aux participants suivies d'échanges et de cas pratiques à travers des travaux de groupes. Les instruments de lutte contre la torture, les mécanismes de prévention contre la torture, des actes de disparition forcée, le protocole d'Istanbul et le rôle des acteurs de défense des droits humains ont été entre autres les thèmes développés qui ont permis d'atteindre les résultats attendus au cours des six jours de formation.

le premier groupe des formés posant avec les autorités

Des participants bien outillés pour relever le défi

Abdoul Rasmane Ganam, commissaire central de police (CCP) de la ville de Ouahigouya, qui a livré une communication, a laissé entendre : « La thématique est d'actualité au regard du contexte sécuritaire, les fonctionnaires de façon générale, notamment les forces de défense et de sécurité, sont souvent accusés à tort ou à raison de torture. Il était temps qu'on puisse échanger avec les gens, les former par rapport aux différents aspects afin de leur rappeler leurs missions dans la prévention des actes de tortures et de disparitions forcées. »

Abdoul Rasmane Ganam CCP de Ouahigouya

Le Commissaire Ganam, en sa qualité de communicateur, dit rester convaincu que le message est passé au regard des préoccupations exprimées et des réponses qu'il a pu donner. Il a par ailleurs invité les participants à être des relais auprès de leurs communautés respectives.

Ouédraogo Souleymane du corps médical

Ouédraogo Souleymane du corps médical, qui a participé à la formation, estime avoir eu des informations nécessaires sur les mécanismes de prévention. « Ce que nous avons appris au cours de la formation sur la prévention des cas de tortures et les disparitions forcées, va nous servir de relais auprès de notre entourage pour que les populations aient connaissance de leurs droits, car si les droits des personnes et des peuples ne sont pas protégés, cela nous conduit à la dictature, à l'anarchie absolue ; chose qui peut amener chacun à vouloir bafouer la loi ».

Gadiaga Djénéba représentante l'association de Solidarité Developpement de Thiou et Kain.

« On a beaucoup appris au cours de cette formation sur les droits humains. Et en tant que défenseur des droits humains, je suis désormais outillée sur les mécanismes de prévention des tortures et des disparitions forcées. Cette formation est la bienvenue car elle a été riche de beaucoup d'enseignements qui vont sans doute renforcer nos capacités dans notre mission de défenseurs des droits humains », a soutenu Gadiaga Djénéba, membre de l'Association de Solidarité pour le Développement de Thiou et Kain.
Après Ouahigouya, des acteurs de Fada et Dori bénéficieront du 30 août au 11 septembre 2021 de cette session de renforcement de capacités.

Yann NIKIEMA
Lefaso.net

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Covid : les complications des vaccins sont minimisées par les risques liés aux virus

BBC Afrique - Mon, 30/08/2021 - 20:20
Selon les chercheurs, malgré les risques d'accident vasculaire cérébral et de formation de caillots, les vaccins Covid présentent des avantages substantiels.
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Allègement du Confinement : 3 points à retenir des nouvelles mesures

Algérie 360 - Mon, 30/08/2021 - 20:08

La décrue de l’épidémie du coronavirus se poursuit en Algérie, après une troisième vague virulente de covid-19 ayant emportés des centaines de patients. Face à la baisse des contaminations, le gouvernement a décidé d’alléger certaines mesures de lutte contre le covid-19. Après avoir réaménagé la semaine dernière les horaires du couvre-feu, aujourd’hui le département d’Aimene […]

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Nestlé-Burkina : 200 étudiants formés en entrepreneuriat et employabilité

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 30/08/2021 - 19:40

La filiale Nestlé Burkina à travers son projet « Nestlé Needs youth » a organisé un forum de partage d'expériences au profit de 200 étudiants, le vendredi 27 août 2021 à Ouagadougou.

Encourager les étudiants à entreprendre est devenu désormais le cheval de bataille de Nestlé-Burkina. En effet, grâce à son programme « Nestlé Needs youth », qui signifie « Nestlé a besoin de la jeunesse », le groupe Nestlé entend promouvoir et renforcer l'entreprenariat des jeunes. Ce sont au total 200 jeunes présélectionnés sur 450, avec au minimum un Bac + 2 qui ont pris part à ce forum de partage d'expériences.

Selon le DG de Nestlé Burkina, Xavier Béraud, cette initiative a pour but de soutenir la jeunesse burkinabè sur plusieurs plans, à savoir l'employabilité, la formation, mais aussi de guider les jeunes dans le début de leur carrière professionnelle.

M. Xavier Béraud a traduit toute sa reconnaissance au ministère en charge de la jeunesse et de la promotion et de l'entreprenariat qui les accompagne sur le projet.
Le représentant du ministre de la jeunesse, Lassina Kaboré, a salué l'initiative de Nestlé-Burkina qui, selon lui, va de pair avec les ambitions de son ministère. Il a réaffirmé le soutien du ministère de la Jeunesse à accompagner Nestlé sur ce projet qui permettra de renforcer les compétences entrepreneuriales des jeunes au Burkina Faso.

« Grâce à nos structures, nous mettons à la disposition des jeunes un ensemble d'outils et d'instruments pour leur permettre d'être prêts à l'employabilité. Nous créons aussi des opportunités pour leur insertion socio-professionnelle en tant qu'entrepreneurs », a-t-il laissé entendre.

La présidence du Faso, représentée par son conseiller spécial chargé des questions de jeunesse, M. Kassoum Bienvenu Velegda, a invité toutes les entreprises privées à emboîter les pas de Nestlé-Burkina, tout en traduisant sa gratitude envers les initiateurs de cet atelier.

Pour rappel, Nestlé est le premier groupe agro-alimentaire dans le monde. Présent dans 186 pays, Nestlé a un chiffre d'affaire de 84 milliards. Il a 150 ans d'expérience.

Patricia Coulibaly (Stagiaire)
Lefaso.net

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Délégués au Conseil Supérieur des Burkinabè de l'étranger (CSBE) : Fin de mandat pour Nongainéba Benjamin Zoumba

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 30/08/2021 - 19:32

A travers ce communiqué, Nongainéba Benjamin Zoumba annonce que son mandat en tant que délégué au CSBE-Section France, Paris, a pris fin depuis le 23 juin 2021. Il invite par ailleurs ses compatriotes à une conférence-bilan le 12 septembre prochain en ligne.

Cher-e-s Compatriotes,
Avant, puis le 24 juin 2018, vous vous êtes mobilisés pour m'accorder votre confiance en me choisissant pour vous représenter, faire de moi un des Délégués au Conseil Supérieur des Burkinabè de l'étranger (CSBE) ; et ce, pour un mandat de 3 ans conformément au décret n° 2007/308-PRES/PM/MAECR portant création, attributions, organisation et fonctionnement du CSBE. En conséquence, ledit mandat a pris fin normalement et légalement le 23 juin 2021.

Toutefois, vous et nous avons été informés d'une décision du ministère des Affaires Étrangères, de la Coopération, de l'Intégration et des Burkinabè de l'Extérieur dont la substance stipule désormais la fin du mandat pour le 12 mars 2022.
Il en a résulté à juste titre une incompréhension. Nous avons initié des démarches auprès de l'Autorité pour cerner les fondements officiels de la décision. Cette décision du Ministère convoque l'acte de nomination (qui n'a d'ailleurs pas de fondement légal). Je ne peux pas me soumettre à la décision pour deux principales raisons.

Premièrement, de mon point de vue et eu égard aux dispositions instituant le corps des Délégués au CSBE en leur qualité d'élus représentant les Burkinabè de l'Extérieur, il est évident que leur légitimité résulte de l'issue des élections y relatives. Par voie de conséquence, la nomination convoquée par Monsieur le Ministre ne vient que conforter ou reconnaitre un acte juridique d'élection précédemment établi dont il laisse intact la portée juridique. A cet égard, pour illustrer mon propos et sans avoir bénéficié d'une quelconque nomination, mes collègues délégués et moi avons, sous le leadership de la Représentation diplomatique ou du Ministère de tutelle :

• Participé à l'Assemblée Générale de la Communauté, le 01 juillet 2018 en qualité de Délégués au CSBE ;
• Été systématiquement intégrés dans la délégation France pour le Forum National de la diaspora en tant que Délégués au CSBE ;
• Participé au Forum National de la diaspora organisé par le Gouvernement du Burkina Faso avec la participation du Président du Faso du 11 au 13 juillet 2018 à Ouagadougou en tant que Délégués au CSBE.

En réalité, l'acte de nomination des Délégués en cause, à la supposée prévue par un texte, ne vise qu'à prendre acte des décisions démocratiques diasporiques issues des élections du 24 juin 2018. Ainsi l'acte de nomination allégué du ministère de l'Intégration Africaine et des Burkinabè de l'Extérieur ne saurait avoir une incidence juridique sur la durée du mandat d'un Délégué au CSBE.

Deuxièmement, la procédure paraît non-respectueuse des principaux acteurs notamment les Burkinabè de l'Extérieur ici électeurs. En effet, pour la prise d'une telle décision, l'information préalable, la concertation et l'implication des Burkinabè de l'Extérieur et de l'ensemble des Délégués au CSBE eussent été pertinentes, nécessaires et légitimes.
Ma position de principe et de raison qui voudrait s'inscrire dans une culture de la légitimité et de la légalité populaire m'amène à tirer les conséquences avec et pour vous, en :

• Prenant acte de la fin normale et légale de mon mandat de Délégué au CSBE le 23 juin 2021 ;
• Marquant l'absence de notre volonté de profiter du « Lenga » (pour reprendre les termes de certains compatriotes) de huit (08) mois et 25 jours octroyés de fait par le ministère des Affaires Étrangères, de la Coopération, de l'Intégration et des Burkinabè de l'Extérieur, sans l'avis des électeurs qui m'ont confié leur mandat et au mépris des textes applicables à notre connaissance ;
• Réitérant mes sincères remerciements pour la confiance et les soutiens bénéficiés durant ces trois (03) dernières années ;

De ce fait, Cher-e-s Compatriotes, pour assumer mon devoir de redevabilité, mon équipe et moi-même vous invitons à une conférence-bilan le dimanche 12 septembre 2021 de 14 h 00 à 16h 00 (GMT). La conférence qui se veut interactive sera diffusée instantanément et simultanément sur nos pages Facebook, Twitter et la chaîne YouTube.

En tous les cas, cher-e-s Compatriotes, je reste disponible pour vous servir, vous être utile même après la fin du mandat en attendant de ré-bénéficier éventuellement si le contexte le commande de votre confiance pour vous représenter dans le cadre d'un nouveau mandat CSBE ou dans d'autres cadres électifs du Burkina Faso.

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Session de formation à « A l'école du rire » : La première cuvée prête pour « faire rire »

Lefaso.net (Burkina Faso) - Mon, 30/08/2021 - 19:28

9 personnes dont 2 humoristes émergents, 5 autres professionnels et 2 journalistes culturels ont pris part à la première session de formation du projet intitulé « A l'école du rire » de Gérard Ouédraogo alias « Son excellence ». Ils ont reçu leurs attestations de fin de formation au cours d'une soirée de restitution intervenue le vendredi 27 août 2021.

Les impétrants ont pris part, du 28 juillet au 27 août, à la première session de formation du projet à « l'Ecole du rire » de Gérard Ouédraogo alias Son excellence, sur scène. Le vendredi 27 août 2021, au cours d'une soirée de restitution, ils ont montré ce qu'ils ont appris pendant les trente jours de formation. Ce projet n'aurait pas vu le jour sans l'accompagnement financier du Fonds de développement culturel et touristique (FDCT).

Le FDCT exhorte tous ceux qui ont des projets culturels, de passer le voir

Présent à cette première restitution, le représentant du Fonds, Atta David Kobenan, a mentionné être là pour saluer l'effort de toutes les personnes qui œuvrent pour le développement de la culture au Burkina Faso. « Le FDCT est là pour encourager les initiatives allant dans le sens du rayonnement de la culture au delà de nos frontières », a-t-il soutenu. Autre objectif recherché par cet accompagnement, c'est de permettre la création d'emplois. « Nous voulons aussi exhorter les personnes qui ont des projets culturels, de ne pas hésiter à contacter le fonds pour bénéficier de notre accompagnement », a-t-il exhorté.

Pour le parrain, l'humour donne de l'espoir

De l'avis de Modeste Compaoré, représentant le parrain de cette soirée, Mahamoudou Ouédraogo, ancien ministre en charge de la Culture, dans ces temps actuels, sombre et lourd de danger, c'est l'humour et le rire qui sont les meilleurs médicaments contre la tristesse, la douleur et le désespoir. « L'humour se rit des dangers. L'humour fait rire des risques. L'humour donne de l'espoir partout où les mauvaises nouvelles s'accumulent. J'ai comme envie de dire aux responsables que lorsque vous avez des doutes, lorsque vous êtes confrontés aux difficultés de la vie, essayez la thérapie de l'humour dans votre entourage. Prenez en une gorgée, prenez un zeste de rire et vous m'en direz des nouvelles. A la personne qui sait rire, rien d'impossible », a-t-il poétisé.

Kaboré l'intellectuel, est venu soutenir ses jeunes frères

Des bébés d'hier devenus des adultes d'aujourd'hui

Il s'est réjoui de constater que les bébés de la culture d'hier sont devenus non seulement des adultes d'aujourd'hui, mais ont donné naissance à d'autres bébés culturels. « J'entends par bébés culturels, ceux qui depuis des décennies, montrent leur passion pour la culture et aussi leur talent », a précisé M. Compaoré. Il a ajouté que dans les années 90-2000, ces bébés n'étaient pas très nombreux.

Adèle Badolo invite le public à son premier « wooman show »

Mais ceux qui portent les noms de Serge Henry, Anatole Kouama, Gérard Ouédraogo (son Excellence), Moussa Ouédraogo (Moussa petit sergent), etc., avaient montré leur engagement total dans le secteur de l'humour et du rire. « C'est en se révélant par les récompenses remportées aux grands prix de l'humour et du rire qu'ils ont révélé à leur frères et sœurs burkinabè, qu'ils n'avaient rien n'à envier aux plus doués des faiseurs de rire de la sous-région et même de l'Afrique toute entière. Aujourd'hui nous sommes fiers d'eux », s'est réjoui le représentant du parrain.

Lire aussi Culture : Humoristes et journalistes culturels « à l'école du rire »

Adèle Badolo, est actrice de théâtre, comédienne et humoriste professionnelle. Elle a pris part à cette session de formation. La formation, a-t-elle confessé, lui a permis de comprendre beaucoup de choses. « Même ancienne humoriste, revenir se former est toujours bénéfique. Ce genre de formation, je l'ai reçu, celle-là m'a beaucoup éclairé », a-t-elle confié.

Le public est sorti nombreux

Ceci pour se préparer à son premier « wooman chow » qu'elle prévoit tenir le 6 septembre 2021, au CENASA. Satisfecit total pour le porteur du projet « A l'école du rire », directeur du « Cercle des arts vivants », Gérard Ouédraogo. Sa satisfaction se résume en trois points. D'abord l'accompagnement de son projet par le FDCT. Ensuite l'engouement que le projet a suscité lors des inscriptions. Et enfin, la présence massive du public à la restitution.

Obissa Juste MIEN
Lefaso.net

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Sénégal : des briques en terre pour remplacer le béton

France24 / Afrique - Mon, 30/08/2021 - 19:12
Face au béton, peu cher et omniprésent au Sénégal, l’entreprise "Élémenterre " d’ingénierie civile et de production de matériaux durables fabrique des briques en terre crue pour la construction de bâtiments. Ce procédé permet aux constructions de mieux conserver la chaleur et participe à la préservation de l’environnement. Mais cette démarche écologique est encore minoritaire dans le pays.
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Antonio Indjai : le général bissau-guinéen que les Américains veulent capturer avec une récompense de 5 millions de dollars

BBC Afrique - Mon, 30/08/2021 - 19:01
L'histoire a tout du scénario d'un polar à succès : un général africain accusé de trafic de drogue et recherché par les Etats unis qui promettent 5 millions de dollars pour toute information menant à sa capture ou condamnation.
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La rupture Alger-Rabat inquiète les binationaux et les travailleurs marocains en Algérie

LeMonde / Afrique - Mon, 30/08/2021 - 19:00
Officiellement, au moins 50 000 ressortissants chérifiens travaillent en Algérie, notament à Oran ou à Alger. Leur vie avait déjà été compliquée par la crise sanitaire en 2020.
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Ituri : 9 personnes enlevées par les présumés ADF

Radio Okapi / RD Congo - Mon, 30/08/2021 - 18:21


Neuf personnes ont été kidnappées par des présumés rebelles des ADF la nuit du samedi à dimanche à Ndimo dans la chefferie de Walese Vonkutu dans le territoire d’Irumu (Ituri). Les faits ont été rapportés par des activistes des droits de l’homme lundi 30 août. 21 


L'attaque a eu lieu au cours d’une incursion de ces rebelles dans cette entité, où ils ont tiré plusieurs coups de feu, avant de forcer ces civils à sortir de leurs maisons. Parmi ces victimes, il y a sept hommes et deux femmes. 

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Examen d’Etat à Goma : plusieurs finalistes se disent satisfaits du déroulement des épreuves

Radio Okapi / RD Congo - Mon, 30/08/2021 - 18:12


Plusieurs candidats finalistes aux épreuves de l’examen d’Etat de la ville de Goma au Nord-Kivu se disent satisfaits du déroulement de la première journée des épreuves de l’examen d’Etat 2020-2021. Ils l’ont affirmé ce lundi 30 août aux reporters de Radio Okapi, après la passation de l’examen à l’institut Bakanja, où le gouverneur de la province a lancé officiellement ces épreuves.  

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Qualifications pour la Coupe du monde de football 2022 : les équipes africaines à suivre

LeMonde / Afrique - Mon, 30/08/2021 - 18:00
Deux fois reporté, le coup d’envoi du second tour des qualifications pour la compétition mondiale au Qatar sera donné le 1er septembre.
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