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Afrique

Kinshasa : l’entreprise KinToko Ok Plast déplore les menaces qu’elle reçoit sur ses sites de travail

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 31/08/2021 - 18:29


Le chargé de communication de l’entreprise KinToko Ok Plast, (spécialisée dans le ramassage et le recyclage des bouteilles plastiques), Jérôme Sekana, a déploré le weekend dernier le fait que leur entreprise n’arrive pas à installer toutes ses usines de compactage sur les sites lui présentés par l’Hôtel de ville de Kinshasa. 


Jérôme Sekana explique que des personnes mal intentionnées, qui se déclarent « propriétaires » de ces sites et sortent de partout pour les menacer d’évacuer : 

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Insécurité à Matadi : la société civile locale déplore la carence des policiers

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 31/08/2021 - 18:24


Le coordonnateur de la société civile de Nzanza, Jean Nzuzi, a décrié, mardi 31 août, la recrudescence des vols à main armée dans la ville de Matadi en général et dans la commune de Nzanza en particulier. 


D’après Jean Nzuzi, il y a carence des éléments de la police dans cette juridiction. « La commune de Nzanza, dont les habitants sont estimés à plus de 350 000, ne dispose que de 30 policiers opérationnels », a-t-il affirmé. 

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Chlef : un bébé tué par un camion transportant de l’eau potable

Algérie 360 - Tue, 31/08/2021 - 18:20

Aujourd’hui, un enfant de 21 mois a trouvé la mort après avoir été percuté par un camion-citerne, chargé de la distribution de l’eau potable dans la localité de Khlaila, wilaya de Chlef. En effet, la cellule de communication et des relations publiques de la Protection civile de la wilaya de Chlef a indiqué que son […]

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Crise de l’eau : un nouveau directeur général à la tête de SEAAL

Algérie 360 - Tue, 31/08/2021 - 18:19

Après un été particulièrement difficile, au cours duquel une crise de l’eau a frappé, et frappe encore de plein fouet, la capitale et ses habitants, voilà qu’un changement majeur s’opère enfin à la tête de SEAAL, la société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger. Pour la première fois depuis sa création en 2016, un Algérien […]

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Mbuji-Mayi : arrivée d’engins pour renforcer la desserte en eau potable

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 31/08/2021 - 18:18


Un convoi, constitué d’une vingtaine notamment des camions bennes basculants, des pelles chargeuses et des tracteurs à chenilles excavatrices, est arrivé lundi 30 août à Mbuji-Mayi dans la province du Kasaï-Oriental pour permettre à la population locale d’avoir accès facile à l’eau potable de la Régie de distribution d’eau (REGIDESO). 


Les autorités provinciales ont accueilli ces engins à l’entrée de la ville de Mbuji-Mayi au poste de péage de Tshimbombo. 

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VIH : arrêt d’un essai de vaccin à l’efficacité relative en Afrique subsaharienne

LeMonde / Afrique - Tue, 31/08/2021 - 18:10
Mené sur 2 600 jeunes Africaines, « Imbokodo » n’a permis qu’une protection de 25 %. Un autre essai doit être bientôt mené aux Etats-Unis, en Amérique latine et en Europe.
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« Cinq ans après la condamnation d’Hissène Habré, les survivants et les familles des victimes n’ont toujours pas reçu le moindre centime »

LeMonde / Afrique - Tue, 31/08/2021 - 18:00
Pour Souleymane Guengueng, ancien prisonnier et fondateur de l’Association des victimes des crimes du régime du dictateur, l’heure est aux réparations.
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Au Kenya, la lutte contre le braconnage semble porter ses fruits

LeMonde / Afrique - Tue, 31/08/2021 - 17:55
Le premier recensement animalier mené dans le pays a permis de dénombrer trente espèces d’animaux différentes sur les près de 59 % du territoire étudiés.
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Mali: Président de la Cour constitutionnelle face à la presse : « Le débat politique actuel sur la Cour Constitutionnelle, est plus que préoccupant. »

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 17:52
Image Illustrative Hôtel MAEVA Palace de Bamako a abrité mardi le 24 août  2021 une journée d’échange des membres de la Cour constitutionnelle du Mali avec les hommes de médias sur le thème général « Les pouvoirs des Cours Constitutionnelles Africaines en matière électorale». Une  initiative citoyenne du  Coordinateur du Cadre de Concertation des Directeurs de Publication (CCDP), Boubacar Bany Zan. Au cours de cette rencontre entre la famille judiciaire et la presse le discours du Président de la Cour constitutionnelle, M. Amadou Ousmane Touré a beaucoup attiré notre attention avec des vérités crues. Car selon lui  les difficultés politiques actuelles,  sont en réalité les résultats tangibles d’une gouvernance publique désastreuse. Nous vous livrons l’intégralité de son discours.

 

DISCOURS D’OUVERTURE DE MONSIEUR AMADOU OUSMANE TOURE, PRESIDENT DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE DU MALI

 

  Messieurs les Présidents des Institutions de la République ;

Ø Monsieur le Ministre de la justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux ;

Ø Monsieur le Ministre de la Refondation de l’Etat chargé des Relations avec les institutions ;

Ø Monsieur le représentant du Ministère de l’Administration Territoriale et de la Décentralisation ;

Ø Monsieur le représentant du  Ministère délégué auprès du Premier ministre, chargé des Réformes politiques et Institutionnelles ;

Ø Monsieur le Doyen, Mesdames et Messieurs les Conseillers et Monsieur le Secrétaire Général de la Cour Constitutionnelle ;

Ø Monsieur le Recteur de l’Université des Sciences Juridiques et Politiques de Bamako ;

Ø Monsieur le Président de la Maison de la Presse ;

Ø Monsieur le Président de l’Association Malienne de Droit Constitutionnel ;

Ø Monsieur le Maire de la Commune IV du District de Bamako ;

Ø Monsieur le Coordinateur du Cadre de Concertation des Directeurs de Publication ;

Ø Madame Monsieur les représentants de la MINUSMA ;

Ø Honorables invités ;

Ø Mesdames et Messieurs ;

Ø En vos rangs et qualités respectifs ;

Je voudrais, Mesdames et Messieurs, remercier chacune et chacun de vous, pour votre présence à la présente cérémonie que la Cour Constitutionnelle du Mali organise en partenariat avec le Cadre de Concertation des Directeurs de Publication du Mali. Au nom de tous mes collègues et de tous les membres de la Cour Constitutionnelle et en mon nom propre, je vous prie d’accepter notre profonde gratitude et notre sincère reconnaissance. Je suis très heureux de cet accompagnement de qualité qui constitue pour mes collègues et moi, la manifestation d’un grand intérêt aux travaux de notre institution, mais aussi, une interrogation, sur notre vision nouvelle, nos valeurs et nos vertus, notre éthique, nos capacités et aptitudes à accompagner le changement politique en cours, sans bien sûr, reniement du Droit et de la Justice. Messieurs les Présidents d’Institution, Messieurs les Ministres, Distingués invités et participants, Après la prise de nos fonctions à la Cour Constitutionnelle et conformément aux bonnes pratiques en cours, nous avions voulu commanditer un audit institutionnel et organisationnel, afin d’évaluer d’une part, le cadre juridique en déterminant les dispositions législatives et réglementaires inadaptées, incomplètes ou désuètes ou aux applications extrêmement sensibles, et d’autre part, la structure organisationnelle relative aux fonctions support. Par manque de moyens financiers cette activité absolument importante pour tracer notre vision et nos lignes de force dans la conduite de la gestion institutionnelle et juridictionnelle de la Cour Constitutionnelle n’a pu se réaliser. Les résultats attendus de cet audit auraient été certainement entre autres la mise en place d’une stratégie de communication et son plan d’actions. Monsieur le Président de la Maison de la Presse, Monsieur le Coordinateur du Cadre de Concertation des Directeurs de Publication, Nous avons voulu cette journée d’échange avec les femmes et les hommes des médias sur le thème général « Les pouvoirs des Cours Constitutionnelles Africaines en matière électorale » pour engager une nouvelle politique de communication institutionnelle qui concernera, les uns après les autres, tous les acteurs et observateurs du contentieux électoral. Pour ce qui est de la communication juridictionnelle, elle est déjà réalisée par les arrêts rendus par la Cour. En effet, un Arrêt rendu par une Cour Constitutionnelle, au-delà de la décision qu’elle impose, est aussi un outil de communication. Mesdames et Messieurs, Nous sommes tous d’accord que dans une République qui fonctionne sur la base d’un système et de mécanismes démocratiques, et, se fonde, sur un Etat de Droit, la Constitution est la norme supérieure de l’ordonnancement juridique. Comme un Dieu vivant, tout part d’elle et tout devrait se conformer à elle. En dehors d’elle, et bien sûr du bloc de constitutionnalité qui en constitue partie intégrante, toute activité politique ou publique, individuelle ou collective, tombe dans l’illégalité la plus absolue. Monsieur le Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux, Monsieur le Ministre de la Refondation de l’Etat, Chargé des Relations avec les Institutions, La réalité et l’effectivité d’un Etat de Droit assurent la puissance nécessaire et la durabilité utile à une Constitution. L’Etat de droit assure la soumission des pouvoirs publics  au droit constitutionnel et garantit les droits fondamentaux des citoyens. Plus spécifiquement, l’indépendance des juges et les garanties démocratiques de cette indépendance, constituent une exigence majeure dans un état de droit. Un inventaire des lieux depuis l’adoption de la Constitution de 1992 à nos jours, serait une excellente chose, car, de cet inventaire pourrait naitre les termes de référence, pour un changement qualitatif de la Cour Constitutionnelle du Mali. Au Mali, les articles 85 et 86 de la Constitution disposent, je lis : Article 85 : « La Cour Constitutionnelle est juge de la constitutionnalité des lois et elle garantit les droits fondamentaux de la personne humaine et les libertés publiques. Elle est l’organe régulateur du fonctionnement des institutions et de l’activité des Pouvoirs Publics ». Article 86 : «  La Cour Constitutionnelle statue obligatoirement sur : –         la constitutionnalité des lois organiques et des lois avant leur promulgation ; –         les règlements intérieurs de l’Assemblée Nationale, du Haut Conseil des Collectivités et du Conseil Economique, Social et Culturel avant leur mise en application quant à leur conformité à la Constitution ; –         les conflits d’attribution entre les institutions de l’Etat ; –         la régularité des élections présidentielles, législatives et des opérations de référendum dont elle proclame les résultats. » Mesdames et Messieurs, vous noterez avec moi, que cette disposition constitutionnelle, détermine aussi bien les misions que les domaines de compétence de notre Institution, tout en indiquant son positionnement juridictionnel. Le thème de cette journée d’échange porte spécifiquement, comme on peut le lire sur la dernière énumération des missions de la Cour, je la relis, la répétition étant pédagogique dit-on,  «  la régularité des élections présidentielles, législatives et des opérations de référendum dont elle proclame les résultats.» Pour vous donner un aperçu sommaire sur la portée de cette disposition constitutionnelle majeure, et sans entamer les débats, je voudrais juste poursuivre par la lecture de l’article 40 de la Loi organique  n°97-010  du 11 février 1997 modifiée, portant loi organique déterminant les règles d’organisation et de fonctionnement de la Cour constitutionnelle, ainsi que la procédure suivie devant elle, je lis : « Lorsqu’elle fait droit à une requête, la Cour peut selon le cas, annuler l’élection contestée ou réformer les résultats et proclamer le candidat qui a été régulièrement élu. » Enfin un dernier article (article 165 de la Loi électorale), pardonnez-moi je n’ai pas l’intention de rendre ces échanges trop techniques et scientifiques, donc fastidieux, mais ces dispositions me paraissent utiles. Je lis : « La Cour Constitutionnelle procède au recensement général des votes, examine et tranche définitivement les réclamations et statue souverainement sur la régularité de l’élection des membres de l’Assemblée nationale. Dans le cas où elle constate l’existence d’irrégularités, il lui appartient d’apprécier si, au regard à la nature et à la gravité de ces irrégularités, il y a lieu de maintenir les dits résultats, soit de prononcer leur annulation totale ou partielle. Le Président de la Cour Constitutionnelle proclame les résultats définitifs du scrutin en audience solennelle. » Monsieur le Président de la Maison de la Presse, Monsieur le Président du Cadre de concertation des Directeurs de Publication, Mesdames et Messieurs des Médias, L’exercice de ces compétences dans le cadre de la gestion des dernières élections a suscité une incompréhension généralisée. Mesdames Messieurs, chers invités, La communication est de tous les temps un enjeu majeur dans nos démocraties modernes. Dans le champ politique, elle retrouve sa forme la plus emblématique parce qu’elle favorise ou facilite la prise du pouvoir d’Etat. En effet, on peut noter qu’au cours des dernières décennies, notre société a accompli des grandes avancées dans de nombreux domaines, particulièrement celui de la communication où des progrès considérables ont, en effet, été réalisés aussi bien dans les techniques que dans les moyens utilisés, pour la transcription et la diffusion de l’information. Ce qui a souvent, conduit, à des remises en cause parfois déchirantes des comportements. À l’instar d’autres structures, la Cour constitutionnelle se trouve donc à la croisée des chemins : s’en tenir à sa tradition, avec son corolaire de devoir de réserve, ou, entrer dans la dynamique d’une ouverture médiatique, plus conforme à l’air du temps. Au regard de cet enjeu, il nous a été donné de constater, que de toutes les Institutions, la Cour Constitutionnelle est la moins bien connue et ainsi dire mal comprise tant de l’opinion publique que de la plupart  des professionnels des médias. Est-ce la raison pour laquelle, on trouve ce qu’on trouve dans la presse ?  C’est-à-dire, de façon triviale je m’en excuse, une certaine caricature ou théâtralisation de nos décisions juridictionnelles. Certainement pas ! Dans tous les cas, nous espérons et c’est l’objectif général de cette journée, que mieux découverte, mieux connue, la Cour Constitutionnelle serait mieux comprise et pourrait être utile, une alliée des médias, sans aucun compromis et dans le respect réciproque de notre indépendance et de votre liberté ! Bien sûr et par ailleurs, nous objectivons que, dans une société dite démocratique il parait acceptable que les décisions juridictionnelles  puissent faire l’objet de contestations et de critiques par les hommes politiques, la presse et les universitaires. En tout état de cause, je voudrais vous dire que cette activité ainsi que de nombreuses autres qui suivront dans le domaine, constitue la rampe de lancement de la politique communicationnelle de la Cour Constitutionnelle du Mali. Je voudrais ici, remercier Monsieur le Ministre de l’Economie et des Finances pour sa grande ouverture d’esprit et son soutien constant. Il ne sera plus question pour notre institution « de se replier sur elle-même, de se retrancher derrière des « arrêts rideaux », pour dénier le droit à l’information. C’est d’une combinaison entre deux libertés, celle de statuer sur un contentieux électoral avec indépendance et impartialité et celle de bien informer que naitra une meilleure garantie des droits ». Ainsi, des efforts seront faits pour renforcer ceux déjà accomplis par nos prédécesseurs pour améliorer cette communication par des partenariats, des diffusions d’images, de publications diverses auprès de publics spécialisés ou du grand public à des fins didactiques, de vulgarisation citoyenne etc. Je partage l’avis de ce grand politologue qui dit «  ce sont les carences de nos grandes institutions qui font naitre une certaine forme de presse » et celui plus solennel de Badinter qui affirme, « il y a un progrès à admettre une caméra civilisée dans le prétoire plutôt qu’à subir uniquement des caméras sauvages dans les couloirs. » Monsieur le Ministre de la Refondation, Pour atteindre ces objectifs importants d’appropriation de la justice constitutionnelle surtout celle électorale par les citoyens et les médias, des reformes sont indispensables. Mais avant l’élaboration de ces réformes, je ne me situe dans aucun temps, il serait utile d’évaluer et mesurer les procédures appliquées et surtout la méthode, les techniques et procédés par lesquels le juge électoral prend et rend ses décisions. Nous sommes d’avis et ceci est un phénomène général même dans les démocraties les plus établies que les décisions électorales, surprennent et étonnent, irritent et inquiètent et finalement elles déçoivent. Malgré tout et sans être dans le déni de la réalité de la Cour Constitutionnelle du Mali, nous exhortons et encourageons la culture de l’indulgence, et de la tolérance, parce que « la qualité de  la démocratie c’est certainement la mesure, la modération, c’est le symbole des balances, l’équilibre. Et un équilibre, d’une part, entre le suffrage universel et les droits fondamentaux, et d’autre part, un équilibre entre les pouvoirs constitutionnels » écrivait Rousseau. Le débat politique actuel sur la Cour Constitutionnelle, est plus que préoccupant. Il est inquiétant parce qu’il donne le sentiment que la Cour Constitutionnelle, « est finalement responsable de la ruine lente de notre démocratie.» En vérité, les difficultés politiques actuelles,  sont en réalité les résultats tangibles d’une gouvernance publique désastreuse, de stratégies de développement aventureuses se basant sur des politiques publiques hasardeuses aux contours de prime à bord  insincères et irréels. Le discours politique de certaines personnalités politiques sur la Cour Constitutionnelle est totalement abscons tant il voudrait selon notre lecture, faire passer le juge électoral pour un acteur politique et les hommes politiques, et, pour des nouveaux juges électoraux. Et, comme le dit ce moraliste « c’est dans les défauts de l’autre qu’on trouve la justification de sa propre transgression ». Tocqueville ne disait-il pas à ce sujet, je le cite « les politiques ne se bornaient plus à désirer que leurs affaires fussent mieux faites mais à vouloir les faire eux-mêmes ». Le contentieux électoral contrairement à la signification réductrice qu’on voudrait lui donner reste une fois de plus l’enjeu majeur des élections. Il est évident, qu’une bonne organisation administrative, matérielle et logistique des élections affaiblirait substantiellement et considérablement, la nature et le volume du contentieux devant le juge électoral. Il reste tout aussi évident, qu’un seul dossier de contentieux électoral même juridiquement excellemment bien traité, mais ayant fait l’objet d’une communication partisane, sensationnelle et évènementielle pourrait créer le chaos social. En politique, à chacun son champion qui ne doit en aucun cas perdre. On gagne ou on gagne ! La fameuse formule ivoirienne. Il est de notoriété publique que les sommes d’argent mises en jeu dans ces compétitions sont si importantes que les mauvais perdants sont potentiellement dangereux pour la société. A juste raison serait-on de dire, les décisions électorales deviennent aujourd’hui, un facteur d’union sacrée d’actions politiques et de grande mobilisation de l’opinion publique et souvent même de la presse, où, nous le savons tous  d’une manière générale il n’y a guère une unité de regards qui sont portés sur une élection. Face à cette situation socio-politique justifiée, l’unique bouclier et le meilleur, pour la Cour Constitutionnelle est en amont et avant la tenue de toute élection, d’informer le peuple par tous les mécanismes et moyens de communication disponibles, sur l’organisation, le fonctionnement, les contraintes, les difficultés, les procédures, les pouvoirs et limites de l’institution. Dans ce cadre, trois (3) thèmes seront développés par d’éminents juristes choisis par la Cour. Il s’agit :
  1. Les règles d’organisation et de fonctionnement de la Cour Constitutionnelle ainsi que la procédure suivie devant elle qui sera présentée par Maître Moustaph CISSE, Bâtonnier de l’Ordre des Avocats du Mali, qui dispose d’une rare expertise et une très grande expérience dans le domaine électoral ;
  2. Les pouvoirs de reformation des résultats et d’annulation du scrutin constituent des pouvoirs exceptionnels, redoutables, exorbitants. Dr Ousmane TRAORE, un grand commis de l’Etat, excellent universitaire tentera de vous expliquer le cadre et les conditions d’exercice de ces pouvoirs ;
  3. Enfin, l’autorité des décisions de la Cour Constitutionnelle qui s’imposent aux pouvoirs publics, à toutes les autorités administratives et juridictionnelles et à toutes les personnes physiques et morales. Beaucoup plus redoutés et contestés, ces pouvoirs appellent un Etat de droit fort, juste et équitable. Dr Fousseyni DOUMBIA, jeune universitaire talentueux à l’esprit réfléchi et intelligent vous dira pourquoi et dans quels intérêts et limites, il est utile pour toute la société que ses décisions soient imposées.
Le modérateur choisi pour civiliser et rendre utiles les débats est un excellent Avocat, bien connu, défenseur des droits de l’Homme de la première heure, universitaire, reconnu et respecté, j’ai nommé Me Amadou Tiéoulé DIARRA. Je ne saurais terminer mon propos, sans réitérer mes remerciements de façon singulière à mes homologues Chefs d’Institution, à Messieurs les Ministres KASSOGUE et MAIGA et à l’ensemble des invités et participants qui ont bien voulu honorer par leur présence l’éclat de cette cérémonie. En souhaitant pleine réussite à nos travaux, je déclare ouverte la journée d’échange des membres de la Cour Constitutionnelle avec les hommes et femmes de médias en partenariat avec le Cadre de Concertation des Directeurs de Publication. Je vous remercie. Source : L’Enquêteur

 

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Covid-19 en Algérie : le bilan des contaminations de ce 31 août

Algérie 360 - Tue, 31/08/2021 - 17:44

L’épidémie du coronavirus devient de plus en plus stable en Algérie à en croire les chiffres annoncés dans les bilans quotidiens. Après la forte baisse des contaminations d’hier dimanche, l’Algérie a enregistré ce mardi une hausse de près de 100 cas. Dans son dernier bilan rendu public en cette fin de journée de mardi 31 […]

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Mali : ce que l’on sait de l’enlèvement du rappeur Dr Keb

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 17:42
Image Illustrative Où et par qui Dr Keb et ses accompagnateurs ont-ils été enlevés ? De quelles preuves de vie dispose-t-on ? Comment s’organisent les recherches ? Un mois après, JA fait le point.

 

Alors que la nouvelle de la disparition de l’artiste-musicien Amadou Kebe, dit « Dr Keb », se propageait comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux en cette fin juillet 2021, des membres de son staff ont d’abord démenti et ont tenté de le joindre. En vain. Début août, sa famille et une partie de son équipe ont confirmé au cours d’un point de presse la thèse de la disparition de Dr Keb, 27 ans, et deux de ses accompagnateurs : Ousmane Coulibaly, alias « Dr Bacozy », son chef du protocole, et Alfousseyni Touré, dit « Dr Alouss », son assistant manager. Appels téléphoniques Mais ce dimanche 30 août, les éléments de langage de la cellule de crise mise sur pied par les proches de l’artiste, et dont la Fédération des artistes du Mali (Fedama) fait partie, ont évolué. « On parle d’enlèvement », détaille Amadou Togo, leur porte-parole. Et pour cause. Un membre de la famille a reçu un appel téléphonique, au cours duquel les jeunes musiciens ont rassuré leurs familles, affirmant qu’ils « buvaient, mangeaient et se portaient bien ». Source : Jeune Afrique

 

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Mali : « Nous ne sommes pas en grève » dixit Mohamed Keita le porte-parole du groupement des masteurs d’orange money

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 17:33
Image Illustrative Ce lundi 30 Aout les membres du groupement des masters ont tenu un point de presse à Sotuba ACI dans une espace orange pour rassurer les clients d’orange Mali qu’ils ne sont pas en grève. La science était présidée par Mr Mohamed Keïta porte-parole des groupements des master. Les membres du groupement des masters ont réaffirmé leur volonté de couvrir tout le Mali avec les produits d’Orange Mali de Kayes à Kidal. C’était lors d’un point de presse pour rassurer les clients d’orange. Ils ont fait appel aux journalistes pour expliquer le problème auquel ils font face. D’abord ils ont expliqué le lien entre Orange Mali et les Masters. « Le réseau est divisé en trois parties c’est Orange qui est le principal actionnaire, après les Masters et puis les points de vente ; Le point de vente est divisé en deux parties, les points de vente des masters, les points de vente indépendants (les boutiques, kiosques). Ce sont ces points de vente indépendants qui n’ont pas compris le processus de travail qui est mis en place actuellement. De ce fait ils veulent partir en grève. » affirme Mohamed Keita porte-parole des groupements des masters. Avant d’ajouter que : « les clients sachent que le travail n’est pas en suspension que ça continue toujours. » Par ailleurs, Il a invité les Masters de point de vente indépendants de se joindre à eux pour qu’ils leur expliquent bien le processus de travail mise en place.  Son dernier mot a été de salué Orange Mali pour tous les efforts fournis pour aider la population avec des transferts d’argent facile et fiable. Assitan Traoré/ Nathalie Dao ©maliactu.net
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Devises : hausse de l’Euro et du Dollar sur le marché parallèle

Algérie 360 - Tue, 31/08/2021 - 17:08

Avec le renforcement du programme des vols internationaux, le marché noir des devises s’apprête à entrer dans une nouvelle phase. La flambée de l’Euro et du Dollar est attendue par plus d’un, et la dégringolade de la valeur du Dinar algérien ne peut que se poursuivre. À la banque d’Algérie, le taux de change des […]

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RDC : accusé de détournement, l’ex-ministre de la Santé Eteni Longondo contre-attaque

Jeune Afrique / Politique - Tue, 31/08/2021 - 16:43
Placé sous mandat d’arrêt provisoire le 27 août pour détournement présumé de fonds destinés à la lutte anti-Covid, ce haut cadre de l’UDPS, le parti présidentiel, tente de se justifier devant la justice. 
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Riyad Mahrez : les révélations de son ex-femme

Algérie 360 - Tue, 31/08/2021 - 16:39

Dans une interview accordée au magazine britannique The Sun, l’ex-épouse du footballeur international Riyad Mahrez, en l’occurrence l’Indienne Rita Johal, s’est autorisée à accuser son ex-mari, par de nombreuses « graves » accusations ainsi que de dévoiler les raisons derrière leur divorce. En effet, Rita Johal a attribué leur rupture principalement à la façon dont le joueur […]

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Mali: Tensions entre chasseurs et présumés jihadistes au centre du Mali

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 16:30
Image Illustrative La tension ne retombe pas dans la zone de Macina, région de Ségou. Un chasseur donso a été tué et plusieurs autres blessés suite à un affrontement avec des groupes jihadistes dimanche 29 août L’information est rapportée par un responsable de la milice de chasseurs présente dans la zone. Pendant ce temps, des localités restent toujours assiégées par des présumés terroristes, empêchant les populations de faire les travaux champêtres. Tout est parti de l’interception d’un camion suspect par les chasseurs de M’Bewani, explique le chef de la milice de Ké-Macina. Il ajoute que, le véhicule contenait des balles de chaussures et plusieurs centaines de bidons carburant. Selon lui, c’est en voulant ramener le véhicule à leur base à Ké-macina qu’ils ont été pris en embuscade par des présumés jihadistes. Les échanges de tirs qui ont duré deux heures de temps auraient fait un mort et cinq blessés dans les rangs des chasseurs. Une version contredite par une source militaire. Cette dernière affirme que les militaires ont surpris des chasseurs en train de vider le contenu d’un véhicule particulier. Les assaillants ont pris la fuite, après des échanges de tirs avec les FAMA, rapporte la source militaire.
La situation reste tendue dans la zone depuis plusieurs semaines. A Farabougou, localité qui a été longtemps assiégée, les populations manquent de plusieurs produits de première nécessité, depuis plus d’un mois, signalent des sources locales
Non loin de là, la localié de Dogofiry, est également sous menace jihadiste. Les habitants témoignent que « c‘est au péril de leurs vies que des gens s Source : STUDIO TAMANI
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Covid-19 : une étude algérienne démontre l’efficacité des vaccins

Algérie 360 - Tue, 31/08/2021 - 16:26

Une étude 100 % Algérienne, menée à un niveau local, a démontré sans ambiguïté aucune l’efficacité des vaccins anti-covid. Il s’agit d’une étude réalisée par la direction de la santé de la wilaya de Sétif, et elle s’est appuyée sur les dossiers des personnes décédées à cause du Covid-19. C’est le docteur Rouabah Hamza, spécialiste […]

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Mali: Présentation du 9e rapport du Centre Carter: L’observateur Indépendant de l’Accord « déplore les désaccords sur le processus DDR»

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 16:22
Image Illustrative Le Centre Carter, qui tient le rôle d’Observateur Indépendant de l’Accord d’Alger, a récemment rendu public son neuvième rapport sur la mise en œuvre des dispositions de ce document. Même s’il salue l’amélioration du dialogue entre les signataires de l’Accord, l’Observateur Indépendant déplore tout de même  » le manque d’avancées sur les questions les plus importantes « .

 

Parmi celles-ci, le Centre Carter a déploré les  » désaccords portant sur le processus complet de Désarmement, de Démobilisation et de Réinsertion des ex-combattants « . Par ailleurs, l’Observateur Indépendant souligne la nécessité de projets de développement concrets dans le Nord ainsi que dans d’autres régions du Mali ; l’importance de traiter les questions de justice et de réconciliation; et l’achèvement de la réforme politico-institutionnelle et de la décentralisation, comme le prévoit l’Accord. L’Observateur indépendant n’a pas aussi manqué de relever que la  » méfiance croissante de la population à l’égard de l’Accord est également préoccupante, car elle menace la réussite de sa mise en œuvre « . Pour y faire face, il a demandé aux parties signataires de respecter leur engagement  » à accroître l’inclusivité et la transparence tout au long du processus « . A noter que le rapport a également tenu à saluer deux avancées majeures que le processus de paix a connues, à savoir, la délocalisation des sessions du Comité de Suivi de l’Accord en dehors de Bamako et l’intégration d’une dizaine de femmes au sein de cette structure de mise en œuvre de l’Accord. Toutefois, le rapport a insisté sur la nécessité d’un engagement plus soutenu de la part de la communauté internationale, afin de donner un nouvel élan au processus de mise en œuvre pour réaliser des progrès concrets. S’agissant des questions centrales sur lesquelles aucune avancée majeure n’a été constatée, le rapport a mis l’accent sur le processus DDR. A ce sujet, il a recommandé de terminer la phase de rattrapage du processus de DDR-intégration accéléré et la finalisation de l’opérationnalisation des bataillons des Forces Armées Reconstituées (BATFAR), ainsi que l’intégration complète de leurs éléments  au sein des Forces de Défense et de Sécurité. A cet effet, il est important de rappeler que les chiffres des effectifs du MOC intégrés dans les rangs des Forces de Défense et de Sécurité du Mali sont de 1764 sur un total de 1840. Il reste encore 76 ex-combattants à intégrer. On est donc loin d’atteindre le chiffre des 3000 ex-combattants devant être intégrés dans les rangs des FDS comme l’ont recommandé le Conseil de sécurité de l’ONU et le Sommet de Pau (France), en 2020. Pour l’Observateur indépendant, il est nécessaire d’adopter un plan pour le processus de DDR global, fixant les étapes à suivre pour mener à la dissolution des Mouvements signataires. Aux mouvements signataires, l’Observateur indépendant a demandé d’adopter une approche plus proactive envers le DDR et la mise en œuvre de manière générale. Ainsi, le rapport a relevé une divergence de visions entre les Parties sur les prochaines étapes du processus de DDR après la finalisation de la phase de  » rattrapage« . Parmi les questions persistantes que l’Observateur indépendant souhaiterait voir régler, on peut citer les quotas d’intégration des ex-combattants des mouvements dans les FDS et dans les corps civils de l’Etat ainsi que l’attribution des grades et l’intégration des ex-combattants dans la chaine de commandement. Autant de questions qui auraient pu être réglées en février dernier, lors d’une réunion décisionnelle sur les questions de Défense et de Sécurité. Autres problèmes persistants que l’Observateur indépendant souhaite voir régler dans les meilleurs délais concernent la prise en charge des ex-combattants, le commandement, les indemnités et traitement salarial des BATFAR. L’Observateur Indépendant a déploré le fait que leur traitement soit inférieur aux autres unités FAMa déployées dans les mêmes zones. A cette situation s’ajoute le retard du démarrage du volet réinsertion socio-économique, qui devrait bénéficier aux ex-combattants ne voulant plus s’adonner aux métiers des armes. Pour l’Observateur Indépendant, les BATFAR sont cruciaux pour le rétablissement de la confiance entre les Parties et la sécurisation progressive des régions du Nord. A ses yeux, il ne faudrait pas les considérer comme un dispositif isolé et temporaire. Massiré DIOP Source: l’Indépendant

 

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Mali: Mali: Cour d’appel de Bamako : Qui fait main-basse sur le Parquet général ?

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 16:15
Image Illustrative Pour extorquer le patrimoine immobilier stratégique d’autrui à Bamako, il suffit paraît-il de l’engluer dans un litige artificiel, en mettant notamment le propriétaire devant le fait accompli avec la moindre trace d’investissement. Et à défaut de pouvoir l’en contraindre à une transaction aux fins de cession à l’amiable -, on peut toujours compter sur la justice pour inverser les torts, travestir ou intervertir les raisons au nom de l’ascendant des gages judiciaires sur les garanties juridiques.

 

C’est sous cette facette hideuse que s’est révélée l’institution judiciaire, dans une affaire rocambolesque qui risque d’exploser à la face du parquet général de la Cour d’appel, dont la partition est souvent décriée dans chaque litige foncier impliquant une certaine catégorie de privilégiés parmi les justiciables. En tout cas, ledit parquet ne dérogeait pas à cette réputation depuis la semaine dernière, car son nom se trouve sur toutes les lèvres par rapport à une mesure de police ayant défrayé la chronique. Aux petits soins d’on ne sait quel diable, le Commissariat du 10 ème Arrondissement a en effet usé et abusé d’instructions d’autorité judiciaire tapie dans l’ombre  pour priver de liberté de longues heures durant le propriétaire légitime et légal de deux parcelles sises à Niamakoro Cité des Enfants. Un alléchant domaine d’1 hectare qui suscite des convoitises telles qu’un puissant spoliateur de la place a cru pouvoir en disposer au mépris de toute forme de régularisation. Pas de titre de propriété, ni de lettre d’attribution, mais l’intéressé s’est autorisé une expulsion de fait du propriétaire régulier par l’élévation d’un mur de clôture qu’il voudrait infranchissable. Toutes choses que le détenteur légal des lieux s’est cru en droit d’attaquer en justice, constat d’huissier à l’appui. Le dossier étant donc pendant devant le tribunal de la Commune V, l’action judiciaire était censée suspendre toute réalisation sur le terrain, mais le plaignant et détenteur des titres de propriété va désillusionner de voir chaque jour un avancement des travaux au mépris de la mesure de suspension. De quoi le résoudre finalement à agir contre cette dérive, mais c’était sans compter avec la solidité tentaculaire de ses adversaires dans le système judiciaire. C’est en voulant sécuriser l’endroit contre des mains invisibles qui y travaillent, en effet, qu’il se retrouve dans les mailles de la police, avec la stupeur de se voir dans la position de bourreau là où il s’estimait une victime. Les démonstrations, preuves à l’appui, de sa propriété sur l’endroit  n’auront pas suffi et c’est avec le même étonnement, confie-t-on, que le pauvre justiciable apprendra que sa détention découle d’un ordre venu du tribunal de la Commune VI, comme pour le mettre hors d’état de nuire à l’audacieuse manœuvre de dépossession orchestrée par les occupants illicites de ses parcelles en vertu de gages judiciaires probablement obtenus de plus haute instance. Il s’agit, en clair, du parquet  de la Cour d’appel que nombre d’observateurs soupçonnent de tirer les ficelles de la terreur contre les justiciables ordinaires chaque fois que les intérêts de prébendiers sont en jeu. Et ce sont les gages judiciaires que ces derniers tiennent de cette protection, semble-t-il, qui justifient la témérité avec laquelle ils franchissent certains seuils de l’illicite. C’est vraisemblablement le cas pour la parcelle litigieuse de Niamankoro, un morcellement de Sogoniko que l’acquéreur légal a obtenu de haute lutte. Il s’agit d’une société immobilière de la place, qui s’est battu aux côtés des propriétaires coutumiers pour ramener le patrimoine dans leur escarcelle. Il nous revient de bonne source que c’est à coups d’énormes investissements en espèce et nature pour ce faire que cette entreprise a acquis les deux parcelles immatriculées dans les livres fonciers du District et au moyen d’acte de vente notarié dûment passé avec le mandataire officiel des exploitants transitionnels. Il s’agit d’un certain Modibo Sidi Kissima Traoré, dont le nom réapparaît dans une transaction opaque avec une tierce personne à laquelle il semble lié par une promesse de vente des mêmes parcelles. Comme on le voit, le virtuel nouvel acquéreur devrait avoir les reins assez costauds pour consentir des dizaines de millions de nos francs pour la seule clôture d’une propriété dont il ne dispose que par simple promesse de vente. Il l’aura quand même prouvé en s’arrogeant la transgression d’une mesure suspensive aux dépens de l’autre protagoniste tenu de l’observer religieusement. Il y’a lieu d’espérer que le combat des syndicats de la magistrature pour redorer le blason de l’institution se traduise également par la rigueur disciplinaire à l’endroit des éléments qui en ternissent l’image. A. KEÏTA Source : Le Témoin

 

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ferme: Un feu de brousse ravage 5000 arbres fruitiers dans une ferme de Kamina

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 31/08/2021 - 16:13


Un feu de brousse a réduit en fumée, lundi 30 août,  5000 arbres fruitiers d'une ferme située à 10 kilomètres de la ville de Kamina dans la province du Haut Lomami. 


Il s’agit des plantes de mandariniers, oranger et une étendue d’ananas.


Pour le propriétaire de la ferme Kangelele, c'est un travail de longue haleine qui est anéanti. 


Christian Yumba Kabelwe, le fils du propriétaire, indique que la ferme était la seule ressource familiale.

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