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Afrique

Au Soudan du Sud, quelque 380 000 personnes affectées par de graves inondations

France24 / Afrique - Tue, 31/08/2021 - 23:53
De fortes inondations ont frappé les États de Jonglei et Unity au Soudan du Sud, poussant des dizaines de milliers d'habitants à fuir, a indiqué l'ONU mardi. La situation est d'autant plus inquiétante que nombre de zones inondées sont devenues inaccessibles par la route.
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Les pays du Sud toujours aussi démunis en doses de vaccins

RFI /Afrique - Tue, 31/08/2021 - 23:52
La quatrième vague de Covid-19 tant redoutée va-t-elle déclencher une nouvelle course aux vaccins ? Alors qu'en Europe et aux États-Unis, il est question de doses de rappel et vaccination des enfants, le reste du monde est toujours largement privé de vaccins.
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Kinshasa : poursuite du procès du policier poursuivi pour meurtre du colonel Polydor Kasongo

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 31/08/2021 - 23:49


Le procès en flagrance du policier poursuivi pour le meurtre du colonel Polydor Kasongo au quartier Binza Pompage dans la commune de Ngaliema à Kinshasa s’est poursuivi mardi 31 août devant le tribunal militaire garnison de Ngaliema, sur le lieu de l’incident.

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Mali : Nioro du Sahel : les Hamalistes marchent pour la prorogation du délai de la transition de 18 à 36 mois…

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 23:08
A l’issue d’une marche pacifique la semaine dernière, Le Cherif Bouyé Haidara confirme son soutien aux nouvelles autorités de la transition en demandant de leurs accorder un bonus de trois ans. Ils étaient plus de huit cent marcheurs en majorité Hamalistes à répondre présent à l’appel du guide spirituel des Hamalistes  Cheick Mohamed  Ould  Cheickne  Hamahoula dit Bouyé Haidara.

De la tribune, les marcheurs sont passés par la maison du peuple avant de se diriger vers le marché  qu’ils ont traversé et avant d’emprunter la voie de Maguiraga Kouda jusqu’au pond de ATTbougou  situé à une centaine mètres du Gouvernorat ou les attendaient le Gouverneur Aly Anadji.

Sidi Dicko, le porte parole des Jeunes Hamalistes initiateurs de cette marche a dans déclaration remise au gouverneur, réaffirmé leur attachement à la souveraineté et à la stabilité de l’unité  et l’intégralité du territoire. Tout en  réaffirmant par la même occasion  le soutien du chérif de Nioro à la prolongation de transition eu égard aux nombreuses déclarations du président de la transition  colonel Asimi Goita pour le respect  du délai de la transition.

C’est sur un ton d’éclat de sursaut national et patriotique que  Sidi Dicko  a évoqué les  causes  profondes des précédentes crises socio politiques qui dit –ils assaillent le Mali depuis 2012, raison pour laquelle selon lui, eux les jeunes Hamallistes soutiennent le Cherif Bouyé Haidara qui souhaite que cette transition soit prolongée de 18 à  36 mois  dans l’espoir que ce délai permettra d’améliorer les conditions socio, politiques et sécuritaires du pays . Poursuivant, il a fait savoir que ce soutien à la prorogation de la transition  qu’ils ont initié, est soutenue par les jeunes Hamalistes de l’ensemble du Pays et d’ailleurs constituant ainsi un collectif.

« De par nos voix, nous réaffirmons nos soutiens à l’endroit  de cette transition dans toutes les actions visant à  renforcer la souveraineté et l’intégrité du territoire du Mali » a-t-il laissé entendre.

Après la remise de cette déclaration au Gouverneur de Nioro du sahel, Aly Anadji en présence du Corps préfectoral et des élus de ladite Ville, l’autorité gouvernemental leur a remercié d’avoir respecté leur engagement pour cette marche pacifique et les a promit de transmettre leur doléance a qui de droit.

Terminant cette marche à la Zawiya du Cherif Bouyé Haidara , le guide religieux s’adressant à son auditoire a réaffirmé son soutien sans faille à Assimi et son équipe   et a demandé à ce que cette transition soit prolongée de 18 à 36 mois parce que dit-ils , ses nouvelles autorités  inspirent confiance pour un Mali de paix tant recherché par ses fils et filles.

Il faut noter qu’à cette marche l’on notait la présence des forces de défenses et de sécurité dont  un grand nombre de militaires

Malick Gaye

Source : L’Enquêteur 

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Mali : Président de la Cour constitutionnelle face à la presse : « Le débat politique actuel sur la Cour Constitutionnelle, est plus que préoccupant. »

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 23:07
Hôtel MAEVA Palace de Bamako a abrité mardi le 24 août  2021 une journée d’échange des membres de la Cour constitutionnelle du Mali avec les hommes de médias sur le thème général « Les pouvoirs des Cours Constitutionnelles Africaines en matière électorale». Une  initiative citoyenne du  Coordinateur du Cadre de Concertation des Directeurs de Publication (CCDP), Boubacar Bany Zan. Au cours de cette rencontre entre la famille judiciaire et la presse le discours du Président de la Cour constitutionnelle, M. Amadou Ousmane Touré a beaucoup attiré notre attention avec des vérités crues. Car selon lui  les difficultés politiques actuelles,  sont en réalité les résultats tangibles d’une gouvernance publique désastreuse. Nous vous livrons l’intégralité de son discours.               DISCOURS D’OUVERTURE DE MONSIEUR AMADOU OUSMANE TOURE, PRESIDENT DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE DU MALI

  Messieurs les Présidents des Institutions de la République ;

Ø Monsieur le Ministre de la justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux ;

Ø Monsieur le Ministre de la Refondation de l’Etat chargé des Relations avec les institutions ;

Ø Monsieur le représentant du Ministère de l’Administration Territoriale et de la Décentralisation ;

Ø Monsieur le représentant du  Ministère délégué auprès du Premier ministre, chargé des Réformes politiques et Institutionnelles ;

Ø Monsieur le Doyen, Mesdames et Messieurs les Conseillers et Monsieur le Secrétaire Général de la Cour Constitutionnelle ;

Ø Monsieur le Recteur de l’Université des Sciences Juridiques et Politiques de Bamako ;

Ø Monsieur le Président de la Maison de la Presse ;

Ø Monsieur le Président de l’Association Malienne de Droit Constitutionnel ;

Ø Monsieur le Maire de la Commune IV du District de Bamako ;

Ø Monsieur le Coordinateur du Cadre de Concertation des Directeurs de Publication ;

Ø Madame Monsieur les représentants de la MINUSMA ;

Ø Honorables invités ;

Ø Mesdames et Messieurs ;

Ø En vos rangs et qualités respectifs ;

Je voudrais, Mesdames et Messieurs, remercier chacune et chacun de vous, pour votre présence à la présente cérémonie que la Cour Constitutionnelle du Mali organise en partenariat avec le Cadre de Concertation des Directeurs de Publication du Mali.

Au nom de tous mes collègues et de tous les membres de la Cour Constitutionnelle et en mon nom propre, je vous prie d’accepter notre profonde gratitude et notre sincère reconnaissance.

Je suis très heureux de cet accompagnement de qualité qui constitue pour mes collègues et moi, la manifestation d’un grand intérêt aux travaux de notre institution, mais aussi, une interrogation, sur notre vision nouvelle, nos valeurs et nos vertus, notre éthique, nos capacités et aptitudes à accompagner le changement politique en cours, sans bien sûr, reniement du Droit et de la Justice.

Messieurs les Présidents d’Institution,

Messieurs les Ministres,

Distingués invités et participants,

Après la prise de nos fonctions à la Cour Constitutionnelle et conformément aux bonnes pratiques en cours, nous avions voulu commanditer un audit institutionnel et organisationnel, afin d’évaluer d’une part, le cadre juridique en déterminant les dispositions législatives et réglementaires inadaptées, incomplètes ou désuètes ou aux applications extrêmement sensibles, et d’autre part, la structure organisationnelle relative aux fonctions support. Par manque de moyens financiers cette activité absolument importante pour tracer notre vision et nos lignes de force dans la conduite de la gestion institutionnelle et juridictionnelle de la Cour Constitutionnelle n’a pu se réaliser.

Les résultats attendus de cet audit auraient été certainement entre autres la mise en place d’une stratégie de communication et son plan d’actions.

Monsieur le Président de la Maison de la Presse,

Monsieur le Coordinateur du Cadre de Concertation des Directeurs de Publication,

Nous avons voulu cette journée d’échange avec les femmes et les hommes des médias sur le thème général « Les pouvoirs des Cours Constitutionnelles Africaines en matière électorale » pour engager une nouvelle politique de communication institutionnelle qui concernera, les uns après les autres, tous les acteurs et observateurs du contentieux électoral. Pour ce qui est de la communication juridictionnelle, elle est déjà réalisée par les arrêts rendus par la Cour.

En effet, un Arrêt rendu par une Cour Constitutionnelle, au-delà de la décision qu’elle impose, est aussi un outil de communication.

Mesdames et Messieurs,

Nous sommes tous d’accord que dans une République qui fonctionne sur la base d’un système et de mécanismes démocratiques, et, se fonde, sur un Etat de Droit, la Constitution est la norme supérieure de l’ordonnancement juridique. Comme un Dieu vivant, tout part d’elle et tout devrait se conformer à elle. En dehors d’elle, et bien sûr du bloc de constitutionnalité qui en constitue partie intégrante, toute activité politique ou publique, individuelle ou collective, tombe dans l’illégalité la plus absolue.

Monsieur le Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Garde des Sceaux,

Monsieur le Ministre de la Refondation de l’Etat, Chargé des Relations avec les Institutions,

La réalité et l’effectivité d’un Etat de Droit assurent la puissance nécessaire et la durabilité utile à une Constitution. L’Etat de droit assure la soumission des pouvoirs publics  au droit constitutionnel et garantit les droits fondamentaux des citoyens. Plus spécifiquement, l’indépendance des juges et les garanties démocratiques de cette indépendance, constituent une exigence majeure dans un état de droit.

Un inventaire des lieux depuis l’adoption de la Constitution de 1992 à nos jours, serait une excellente chose, car, de cet inventaire pourrait naitre les termes de référence, pour un changement qualitatif de la Cour Constitutionnelle du Mali.

Au Mali, les articles 85 et 86 de la Constitution disposent, je lis :

Article 85 : « La Cour Constitutionnelle est juge de la constitutionnalité des lois et elle garantit les droits fondamentaux de la personne humaine et les libertés publiques.

Elle est l’organe régulateur du fonctionnement des institutions et de l’activité des Pouvoirs Publics ».

Article 86 : «  La Cour Constitutionnelle statue obligatoirement sur :

–         la constitutionnalité des lois organiques et des lois avant leur promulgation ;

–         les règlements intérieurs de l’Assemblée Nationale, du Haut Conseil des Collectivités et du Conseil Economique, Social et Culturel avant leur mise en application quant à leur conformité à la Constitution ;

–         les conflits d’attribution entre les institutions de l’Etat ;

–         la régularité des élections présidentielles, législatives et des opérations de référendum dont elle proclame les résultats. »

Mesdames et Messieurs, vous noterez avec moi, que cette disposition constitutionnelle, détermine aussi bien les misions que les domaines de compétence de notre Institution, tout en indiquant son positionnement juridictionnel.

Le thème de cette journée d’échange porte spécifiquement, comme on peut le lire sur la dernière énumération des missions de la Cour, je la relis, la répétition étant pédagogique dit-on,  «  la régularité des élections présidentielles, législatives et des opérations de référendum dont elle proclame les résultats.»

Pour vous donner un aperçu sommaire sur la portée de cette disposition constitutionnelle majeure, et sans entamer les débats, je voudrais juste poursuivre par la lecture de l’article 40 de la Loi organique  n°97-010  du 11 février 1997 modifiée, portant loi organique déterminant les règles d’organisation et de fonctionnement de la Cour constitutionnelle, ainsi que la procédure suivie devant elle, je lis :

« Lorsqu’elle fait droit à une requête, la Cour peut selon le cas, annuler l’élection contestée ou réformer les résultats et proclamer le candidat qui a été régulièrement élu. »

Enfin un dernier article (article 165 de la Loi électorale), pardonnez-moi je n’ai pas l’intention de rendre ces échanges trop techniques et scientifiques, donc fastidieux, mais ces dispositions me paraissent utiles. Je lis :

« La Cour Constitutionnelle procède au recensement général des votes, examine et tranche définitivement les réclamations et statue souverainement sur la régularité de l’élection des membres de l’Assemblée nationale. Dans le cas où elle constate l’existence d’irrégularités, il lui appartient d’apprécier si, au regard à la nature et à la gravité de ces irrégularités, il y a lieu de maintenir les dits résultats, soit de prononcer leur annulation totale ou partielle.

Le Président de la Cour Constitutionnelle proclame les résultats définitifs du scrutin en audience solennelle. »

Monsieur le Président de la Maison de la Presse,

Monsieur le Président du Cadre de concertation des Directeurs de Publication,

Mesdames et Messieurs des Médias,

L’exercice de ces compétences dans le cadre de la gestion des dernières élections a suscité une incompréhension généralisée.

Mesdames Messieurs, chers invités,

La communication est de tous les temps un enjeu majeur dans nos démocraties modernes. Dans le champ politique, elle retrouve sa forme la plus emblématique parce qu’elle favorise ou facilite la prise du pouvoir d’Etat.

En effet, on peut noter qu’au cours des dernières décennies, notre société a accompli des grandes avancées dans de nombreux domaines, particulièrement celui de la communication où des progrès considérables ont, en effet, été réalisés aussi bien dans les techniques que dans les moyens utilisés, pour la transcription et la diffusion de l’information. Ce qui a souvent, conduit, à des remises en cause parfois déchirantes des comportements. À l’instar d’autres structures, la Cour constitutionnelle se trouve donc à la croisée des chemins : s’en tenir à sa tradition, avec son corolaire de devoir de réserve, ou, entrer dans la dynamique d’une ouverture médiatique, plus conforme à l’air du temps.

Au regard de cet enjeu, il nous a été donné de constater, que de toutes les Institutions, la Cour Constitutionnelle est la moins bien connue et ainsi dire mal comprise tant de l’opinion publique que de la plupart  des professionnels des médias.

Est-ce la raison pour laquelle, on trouve ce qu’on trouve dans la presse ?  C’est-à-dire, de façon triviale je m’en excuse, une certaine caricature ou théâtralisation de nos décisions juridictionnelles.

Certainement pas !

Dans tous les cas, nous espérons et c’est l’objectif général de cette journée, que mieux découverte, mieux connue, la Cour Constitutionnelle serait mieux comprise et pourrait être utile, une alliée des médias, sans aucun compromis et dans le respect réciproque de notre indépendance et de votre liberté !

Bien sûr et par ailleurs, nous objectivons que, dans une société dite démocratique il parait acceptable que les décisions juridictionnelles  puissent faire l’objet de contestations et de critiques par les hommes politiques, la presse et les universitaires.

En tout état de cause, je voudrais vous dire que cette activité ainsi que de nombreuses autres qui suivront dans le domaine, constitue la rampe de lancement de la politique communicationnelle de la Cour Constitutionnelle du Mali. Je voudrais ici, remercier Monsieur le Ministre de l’Economie et des Finances pour sa grande ouverture d’esprit et son soutien constant.

Il ne sera plus question pour notre institution « de se replier sur elle-même, de se retrancher derrière des « arrêts rideaux », pour dénier le droit à l’information. C’est d’une combinaison entre deux libertés, celle de statuer sur un contentieux électoral avec indépendance et impartialité et celle de bien informer que naitra une meilleure garantie des droits ».

Ainsi, des efforts seront faits pour renforcer ceux déjà accomplis par nos prédécesseurs pour améliorer cette communication par des partenariats, des diffusions d’images, de publications diverses auprès de publics spécialisés ou du grand public à des fins didactiques, de vulgarisation citoyenne etc.

Je partage l’avis de ce grand politologue qui dit «  ce sont les carences de nos grandes institutions qui font naitre une certaine forme de presse » et celui plus solennel de Badinter qui affirme, « il y a un progrès à admettre une caméra civilisée dans le prétoire plutôt qu’à subir uniquement des caméras sauvages dans les couloirs. »

Monsieur le Ministre de la Refondation,

Pour atteindre ces objectifs importants d’appropriation de la justice constitutionnelle surtout celle électorale par les citoyens et les médias, des reformes sont indispensables. Mais avant l’élaboration de ces réformes, je ne me situe dans aucun temps, il serait utile d’évaluer et mesurer les procédures appliquées et surtout la méthode, les techniques et procédés par lesquels le juge électoral prend et rend ses décisions.

Nous sommes d’avis et ceci est un phénomène général même dans les démocraties les plus établies que les décisions électorales, surprennent et étonnent, irritent et inquiètent et finalement elles déçoivent.

Malgré tout et sans être dans le déni de la réalité de la Cour Constitutionnelle du Mali, nous exhortons et encourageons la culture de l’indulgence, et de la tolérance, parce que « la qualité de  la démocratie c’est certainement la mesure, la modération, c’est le symbole des balances, l’équilibre. Et un équilibre, d’une part, entre le suffrage universel et les droits fondamentaux, et d’autre part, un équilibre entre les pouvoirs constitutionnels » écrivait Rousseau.

Le débat politique actuel sur la Cour Constitutionnelle, est plus que préoccupant. Il est inquiétant parce qu’il donne le sentiment que la Cour Constitutionnelle, « est finalement responsable de la ruine lente de notre démocratie.»

En vérité, les difficultés politiques actuelles,  sont en réalité les résultats tangibles d’une gouvernance publique désastreuse, de stratégies de développement aventureuses se basant sur des politiques publiques hasardeuses aux contours de prime à bord  insincères et irréels.

Le discours politique de certaines personnalités politiques sur la Cour Constitutionnelle est totalement abscons tant il voudrait selon notre lecture, faire passer le juge électoral pour un acteur politique et les hommes politiques, et, pour des nouveaux juges électoraux.

Et, comme le dit ce moraliste « c’est dans les défauts de l’autre qu’on trouve la justification de sa propre transgression ».

Tocqueville ne disait-il pas à ce sujet, je le cite « les politiques ne se bornaient plus à désirer que leurs affaires fussent mieux faites mais à vouloir les faire eux-mêmes ».

Le contentieux électoral contrairement à la signification réductrice qu’on voudrait lui donner reste une fois de plus l’enjeu majeur des élections. Il est évident, qu’une bonne organisation administrative, matérielle et logistique des élections affaiblirait substantiellement et considérablement, la nature et le volume du contentieux devant le juge électoral.

Il reste tout aussi évident, qu’un seul dossier de contentieux électoral même juridiquement excellemment bien traité, mais ayant fait l’objet d’une communication partisane, sensationnelle et évènementielle pourrait créer le chaos social. En politique, à chacun son champion qui ne doit en aucun cas perdre. On gagne ou on gagne ! La fameuse formule ivoirienne.

Il est de notoriété publique que les sommes d’argent mises en jeu dans ces compétitions sont si importantes que les mauvais perdants sont potentiellement dangereux pour la société.

A juste raison serait-on de dire, les décisions électorales deviennent aujourd’hui, un facteur d’union sacrée d’actions politiques et de grande mobilisation de l’opinion publique et souvent même de la presse, où, nous le savons tous  d’une manière générale il n’y a guère une unité de regards qui sont portés sur une élection.

Face à cette situation socio-politique justifiée, l’unique bouclier et le meilleur, pour la Cour Constitutionnelle est en amont et avant la tenue de toute élection, d’informer le peuple par tous les mécanismes et moyens de communication disponibles, sur l’organisation, le fonctionnement, les contraintes, les difficultés, les procédures, les pouvoirs et limites de l’institution.

Dans ce cadre, trois (3) thèmes seront développés par d’éminents juristes choisis par la Cour. Il s’agit :

  1. Les règles d’organisation et de fonctionnement de la Cour Constitutionnelle ainsi que la procédure suivie devant elle qui sera présentée par Maître Moustaph CISSE, Bâtonnier de l’Ordre des Avocats du Mali, qui dispose d’une rare expertise et une très grande expérience dans le domaine électoral ;
  2. Les pouvoirs de reformation des résultats et d’annulation du scrutin constituent des pouvoirs exceptionnels, redoutables, exorbitants. Dr Ousmane TRAORE, un grand commis de l’Etat, excellent universitaire tentera de vous expliquer le cadre et les conditions d’exercice de ces pouvoirs ;
  3. Enfin, l’autorité des décisions de la Cour Constitutionnelle qui s’imposent aux pouvoirs publics, à toutes les autorités administratives et juridictionnelles et à toutes les personnes physiques et morales. Beaucoup plus redoutés et contestés, ces pouvoirs appellent un Etat de droit fort, juste et équitable. Dr Fousseyni DOUMBIA, jeune universitaire talentueux à l’esprit réfléchi et intelligent vous dira pourquoi et dans quels intérêts et limites, il est utile pour toute la société que ses décisions soient imposées.

Le modérateur choisi pour civiliser et rendre utiles les débats est un excellent Avocat, bien connu, défenseur des droits de l’Homme de la première heure, universitaire, reconnu et respecté, j’ai nommé Me Amadou Tiéoulé DIARRA.

Je ne saurais terminer mon propos, sans réitérer mes remerciements de façon singulière à mes homologues Chefs d’Institution, à Messieurs les Ministres KASSOGUE et MAIGA et à l’ensemble des invités et participants qui ont bien voulu honorer par leur présence l’éclat de cette cérémonie.

En souhaitant pleine réussite à nos travaux, je déclare ouverte la journée d’échange des membres de la Cour Constitutionnelle avec les hommes et femmes de médias en partenariat avec le Cadre de Concertation des Directeurs de Publication.

Je vous remercie.

Source : L’Enquêteur 

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Mali : CENOU : le ministre Amadou Keita rassure le nouveau bureau de l’AEEM…

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 23:04
Le Centre National des Œuvres Universitaire (CENOU) a tenu sa 22ème session ordinaire de son conseil d’administration le mardi 24 août 2021 dans les locaux de sa structure sise à Kabala. Présidée par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Amadou Keïta, en présence du directeur général du CENOU colonel major Ousmane Dembélé et des administrateurs venus d’autres services. L’ordre du jour de cette session était essentiellement consacrée sur l’état d’exécution des recommandations, l’examen et à l’adoption à mi-parcours du rapport d’activités 2021, des états financiers de l’exercice 2021 mais aussi celui de l’état d’exécution du budget 2021 du centre estimé à environ 21 milliards de francs CFA.

Il convient de rappeler que le CENOU est un Etablissement Public à caractère Administratif (EPA) qui tient deux conseils d’administration dans l’année, une session budgétaire et une session intermédiaire qui se tient à mi-parcours de l’année.

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique dans son intervention, a d’abord préconisé aux administrateurs des analyses, des critiques et des suggestions aux fins d’aboutir à des recommandations pertinentes qui permettront au CENOU d’améliorer de façon significative la qualité de ses prestations dans l’accomplissement de sa mission d’assistance aux étudiants pour l’amélioration de leurs conditions de vie et d’études. Selon le Pr Amadou Keïta, le renouveau de l’enseignement supérieur passe par une meilleure gouvernance du sous-secteur dans tous ses compartiments. Il précisera que offrir un enseignement de qualité aux apprenants, surtout améliorer constamment les services sociaux en vue de satisfaire les besoins fondamentaux des étudiants est une obligation, le paiement régulier et à temps de leurs droits financiers ; la garantie d’un logement décent et des conditions de restauration saines ; la possibilité de leur procurer une couverture sanitaire adéquate ; la promotion et la diversification des activités sportives, artistiques et culturelles pour leur épanouissement. « Permettez-moi d’adresser au nom du conseil d’administration et au mien propre, les vives et chaleureuses félicitations au nouveau bureau de coordination des élèves et étudiants du Mali », a-t-il déclaré. Ajoutant que le conseil d’administration nourrit l’espoir que les difficultés récurrentes auxquelles l’espace universitaire est confrontée depuis quelques temps déjà et qui se rapportent à l’insécurité et au non-respect des règlements intérieurs vont être un mauvais et lointain souvenir, a souhaité le ministre. Il a également saisi l’occasion pour rassurer les membres du bureau de coordination de l’Association des Elèves et Etudiants du Mali (AEEM) de l’appui et l’accompagnement du département dans l’accomplissement de leur mission de défense des intérêts des élèves et étudiants. Le ministre a encore invité les administrateurs à analyser minutieusement les documents qui leur ont été soumis afin de prendre les décisions appropriées. Tout en espérant que cette 22ème session ordinaire du conseil d’administration du CENOU  débouchera sur des mesures qui permettront encore une fois de renforcer davantage les capacités du centre pour l’atteinte de résultats souhaitables.

Alou Badra Doumbia

Source : L’Enquêteur 

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Mali : 5è édition de la journée de reboisement de Somasso : Une opération citoyenne saluée par le ministre de l’Environnement

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 22:47
Dans le cadre de la Campagne nationale de reboisement au Mali édition 2021, l’Association pour le Développement de Somasso (ADS) avec l’appui de son partenaire, la Fondation Mali-vert, a organisé la 5è édition de sa journée de reboisement, le dimanche 29 août dernier, à Somasso, cercle de Bla. Cette année, les participants ont planté 15 000 pieds d’arbres et réhabilité 3 massifs forestiers.

 L’évènement était placé sous la présidence du ministre de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement Durable, Modibo Koné ; du parrain, l’ancien ministre Ousmane Koné ; du ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat, des Domaines, de l’Aménagement du Territoire et de la Population, Pr : Bréhima Kamena ; du chef d’Etat-major de la Garde nationale, Elisé Dao et du président de l’ADS, Markatié Daou. Etaient également présents les directeurs et des chefs de canton des Eaux et forêts du cercle de Bla.

Le président de l’ADS, Markatié Daou, a salué les efforts de la Fondation Mali Vert de la famille Kagnassy qui a permis d’instaurer cette initiative depuis 2017 en offrant pour la première édition environ 100 000 pieds.

Selon lui, les habitants de Somasso croient à un nouveau Mali, prônées par les autorités de la transition et pour preuve, les 15 000 pieds pour la présente édition ont été offerts par Yacouba Daou, Datié Daou et d’autres bonnes volontés pour une valeur de plus de trois millions de FCFA comme contribution pour la réhabilitation du couvert végétal de la commune de Somasso.

D’autres bienfaiteurs ont promis des puits pour accompagner le projet comme pour dire que la citoyenneté règne bien à Somasso, terre des Miniankans.

« Cette initiative permet de lutter contre la déforestation, en restaurant les différents massifs forestiers de la Commune, mais aussi à prévenir les litiges fonciers liés à la convoitise des terres par tous les usagers », a indiqué le président de l’ADS, Markatié Daou.

Le président de l’ADS a remercié la Fondation Mali vert, la Société de Gestion Forestière Abdoulaye Halidou Cissé (SGFAHC), le Haut Conseil des Collectivités du Mali et les Établissements scolaires Daouda Bouaré de Bla, qui n’ont ménagé aucun effort pour la réussite de cet événement.

Pour le maire de la Commune de Somasso, Sékou Fané, cette initiative de reboisement qui se déroule chaque mois d’août est ancrée désormais dans la tradition de la Commune de Somasso.

A son avis, « cette journée présente un caractère particulier, non seulement, elle est le revers de l’activité physique du reboisement, mais rehausse également la communication sur la protection de l’environnement et de son réaménagement… ».

Pour sa part, le parrain de l’évènement, Ousmane Koné, ancien ministre, a salué l’engagement de la population de Somasso pour ce qui est du développement local et remercié l’ADS et ses partenaires pour l’honneur fait à sa modeste personne pour parrainer la présente édition.

Quant au ministre de l’Environnement et de l’Assainissement et du Développement Durable, Modibo Koné, il s’est réjoui de cette initiative et félicité cette opération de l’ADS qui cadre avec la Politique Nationale de Reboisement.

« Cette politique met l’accent sur des actions de résilience au changement avec en toile de fond le reboisement ».

Pour lui, ces 15000 pieds que le village de Somasso entend planter au cours de la présente campagne contribueront à renforcer le couvert végétal de notre pays et renforcer la présente campagne de reboisement.

Il a ensuite félicité et encouragé la population à maintenir cette dynamique, qui traduit la cohésion et l’harmonie sociale à Somasso, pour que cet exemple, synonyme d’acte de bravoure, soit reproduit, à travers tout le pays.

Par ailleurs, il a assuré de la disponibilité et surtout l’accompagnement de son département pour la pérennité des initiatives de développement local du genre.

Il a profité de l’occasion pour lancer un appel à la jeunesse de Somasso, aux femmes et surtout aux gardiens de nos forêts que sont les chasseurs, les brigades forestières ainsi qu’aux arboristes à travailler main dans la main pour la préservation de ces aires reboisées, et de nos forêts en général.

Pour rappel, cette Journée de reboisement à Somasso a été agrémentée par des animations folkloriques et les prestations de l’artiste de renommée Mamadou Dembélé dit Dabara et des groupes artistiques locaux.

L’ADS a profité de l’occasion pour faire visiter son foyer, entièrement construit en banco au ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat, des Domaines, de l’Aménagement du Territoire et de la Population, Bréhima Kamena, qui a salué cette initiative à sa juste valeur.

Vivement la prochaine édition.

Tahirou Malle, Envoyé Spécial à Somasso 

Source : L’Indicateur du Renouveau

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Mali : Violations des droits de l’Homme au Mali : « Entre avril et juin, au moins 527 civils ont été tués, blessés, enlevés ou disparus »

Maliactu - Tue, 31/08/2021 - 22:43
La Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation du Mali (MINUSMA) a publié, hier, lundi 30 août 2021, son rapport trimestriel sur la violation des droits de l’Homme au Mali. «  Entre avril et juin 2021, au moins 527 civils ont été tués, blessés ou enlevés/disparus, soit une augmentation globale de plus de 25% par rapport au premier trimestre (421) »,  note-t-on dans le rapport. 

Selon la Minusma, au Mali, le second trimestre de l’année a été marqué par une augmentation du nombre de civils affectés par les violations et atteintes aux droits de l’Homme et au droit international humanitaire. « Au total, entre avril et juin, au moins 527 civils ont été tués, blessés ou enlevés/disparus, soit une augmentation globale de plus de 25% par rapport au premier trimestre (421) », précise la mission onusienne au Mali. Ces actes de violences contre les civils se sont déroulés dans le centre et le nord du pays. « Les cercles de Bandiagara, Douentza, Djenne, Koro, Mopti, Niono et Ségou (50%), ainsi que dans ceux de Ansongo et Gao (15%) », explique, dans son rapport, la Minusma.

Pour la Minusma, les violences à l’encontre des civils ont été perpétrées majoritairement par le Jama’at nusrat al-Islam wal Muslimin (JNIM), l’Etat Islamique dans le Grand Sahara (EIGS) et autres groupes similaires, lesquels ont tué, blessé ou enlevé 54 % des victimes enregistrées sur l’ensemble du territoire. Les milices et groupes d’autodéfense à base communautaire seraient responsables de 20% d’actes de violences. Quant aux forces de défense et de sécurité maliennes (FDSM) et aux forces internationales et régionales, le rapport de la Minusma leur attribue respectivement 9% et 6% du nombre total des victimes dénombrées au cours de la période considérée.

En outre, le rapport de la Minusma indique que le JNIM et autres groupes similaires ont continué à renforcer leur emprise territoriale, notamment dans les zones rurales du centre du Mali, avec une extension notable de leurs activités vers des cercles du sud du pays, en l’occurrence Ségou et Sikasso. « Par l’entremise d’accords locaux dits « de non-agression ou de réconciliation », signés sous la contrainte par des communautés assiégées, ces groupes ont aussi pu imposer des restrictions draconiennes à l’exercice de libertés fondamentales, notamment à l’encontre des femmes. A cela, s’ajoute la persistance de violences sur fond de tensions intercommunautaires qui accentuent la fragmentation du tissu social. »

Le jeudi 5 août 2021, lors d’une rencontre avec les médias à Bamako, l’expert indépendant des Nations Unies sur la situation des droits de l’Homme au Mali, Alioune Tine, a interpellé les autorités maliennes par rapport à la violation et aux atteintes des droits humains au Mali. « Je suis très préoccupé par la détérioration grave et continue de la sécurité qui a dépassé un seuil critique. Nous sommes en face de l’État affaibli et impuissant qui assume difficilement son rôle régalien de protection des populations civiles face aux groupes armés. Il est grave de constater également que les populations civiles subissent aussi des violences de la part des forces de défense et de sécurité du Mali qui sont censées les protéger… Cette situation se passe dans les régions les plus touchées par la crise et les conflits. Cela doit absolument changer », a-t-il dit. Pour Alioune TINE, il faut un sursaut national et une volonté inébranlable des autorités maliennes avec le soutien actif de leur partenaire pour restaurer l’autorité de l’Etat et assurer la protection des populations civiles. « Je suis gravement préoccupé par la dégradation rapide et continue de la situation sécuritaire créée par la défaillance des institutions de l’Etat et qui donne lieu à des attaques tout azimut contre les populations civiles par les groupes armés », a-t-il déclaré.

Madiassa Kaba Diakité

Source : Le Républicain

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Afrobasket 2021: l'Ouganda élimine le vice-champion nigérian, le Soudan du Sud sort le Kenya

RFI /Afrique - Tue, 31/08/2021 - 22:36
Grosse performance signée par l'Ouganda, qualifié pour la première fois pour les quarts de finale après sa victoire mardi en barrages contre le Nigeria, pourtant finaliste du dernier Afrobasket (80-68). Première qualification pour le Soudan du Sud également, victorieux du Kenya sur le fil (60-58).
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Côte d'Ivoire : tollé après une "démonstration" d'un ex-violeur dans une émission

France24 / Afrique - Tue, 31/08/2021 - 22:10
Une émission télévisée censée dénoncer le viol et mettant en scène un ancien violeur a soulevé, mardi, une vague d'indignation en Côte d'Ivoire. L'animateur a été suspendu par la direction de la Nouvelle chaîne ivoirienne (NCI). Les organisations de défense des droits des femmes appellent à une manifestation à Abidjan.
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Les enlèvements d'enfants par des groupes armés augmentent dans l'est de la RDC

RFI /Afrique - Tue, 31/08/2021 - 22:05
Au moins onze enfants, dont cinq filles, ont été enlevés par de présumés rebelles ADF dimanche 30 août au soir au cours d’une incursion dans le groupement Bundingili au sud de Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri, selon la société civile locale. L’armée s’est déployée dans la région, mais elle ne confirme pas le nombre d’enfants kidnappés et affirme que l'enquête est en cours.
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Cherté des billets France – Algérie : Air Algérie réagit et s’explique

Algérie 360 - Tue, 31/08/2021 - 21:59

Depuis l’augmentation des vols internationaux, les Algériens résidents à l’étranger se sont plaints de la cherté des billets, faisant réagir ce mardi la compagnie nationale Air Algérie qui a affirmé aujourd’hui avoir les tarifs les moins chers sur le marché. En effet, dans une mise au point relayée via l’agence officielle, Air Algérie a tenu […]

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Tebboune : « La stabilité de la Libye est importante pour l’Algérie »

Algérie 360 - Tue, 31/08/2021 - 21:00

L’Algérie abrite depuis hier lundi une rencontre ministérielle des pays voisins de la Libye ayant regroupé les ministres des Affaires étrangères de la Libye, de la Tunisie, de l’Égypte, du Soudan, du Niger, du Tchad et du Congo, en plus de l’Envoyé spécial du SG de l’ONU pour la Libye, du SG de la Ligue […]

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Sud-Kivu : l'ONG « Kesho Congo » encourage l’utilisation des plantes pour lutter contre la malnutrition

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 31/08/2021 - 20:34


L'association « Kesho Congo » a proposé des solutions locales et durables, à travers l’utilisation de plantes cultivées dans la province du Sud-Kivu pour lutter contre la malnutrition. Elle l’a fait mardi 31 août au cours d’une formation sur l’utilisation des extraits foliaires dans la lutte contre la malnutrition. Le but des assises de l’Institut français de Bukavu est de partager les informations pratiques avec les acteurs communautaires, dont des nutritionnistes, agriculteurs et éleveurs, médecins, cadres et agents de développement.  

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RDC : entre Tshisekedi et Lourenço, qui va payer pour la pollution des fleuves ?

Jeune Afrique / Politique - Tue, 31/08/2021 - 19:28
Les présidents Tshisekedi et Sassou Nguesso joignent leur efforts pour gérer la catastrophe écologique des fleuves Tshikapa et Kasaï causée par un accident dans la mine de diamants angolaise de Catoca… Mais Luanda se mure dans le silence.
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Mali : ce que l’on sait de l’enlèvement du rappeur Dr Keb

Jeune Afrique / Politique - Tue, 31/08/2021 - 19:19
Où et par qui Dr Keb et ses accompagnateurs ont-ils été enlevés ? De quelles preuves de vie dispose-t-on ? Comment s’organisent les recherches ? Un mois après, JA fait le point.
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Taliban en Afghanistan : les États-Unis se retirent du pays après 20 ans de présence

BBC Afrique - Tue, 31/08/2021 - 19:10
Les derniers vols militaires américains ont décollé de l'aéroport de Kaboul à la date limite de retrait convenue avec les talibans.
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Jeux paralympiques de Tokyo : un bilan positif à mi-parcours pour les athlètes africains

LeMonde / Afrique - Tue, 31/08/2021 - 19:00
La compétition, débutée le 24 août à Tokyo, a déjà permis au continent de rafler dix médailles d’or. Les haltérophiles du Nigeria se sont particulièrement distingués.
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