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Afrique

Thomas Sankara: les frères de l'ancien président partagent leurs souvenirs avec beaucoup d'émotion

BBC Afrique - Mon, 11/10/2021 - 15:18
" Il aurait pu comme beaucoup, président ou pas président, jouir de la vie ... ". Les frères de Thomas Sankara partagent leurs souvenirs
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Tony Elumelu – United Bank for Africa : « UBA a l’ambition de devenir une banque mondiale pour l’Afrique »

Jeune Afrique / Finance - Mon, 11/10/2021 - 13:57
Superstar du capitalisme nigérian, le patron de Heirs Holdings pilote, depuis Lagos, UBA, mais aussi le producteur d’énergie Transcorp Power, ainsi que les initiatives de sa fondation. Assurance, résilience post-Covid, mise en place de la Zlecaf… Le milliardaire a répondu aux questions de Jeune Afrique.
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Idrissa Nassa – Coris Bank International : « Nous cherchons une opportunité en Afrique centrale »

Jeune Afrique / Finance - Sun, 10/10/2021 - 19:15
Après avoir développé CBI dans les pays de l’Uemoa, le PCA s’apprête à lancer d’ici à la fin de l’année, une filiale en Guinée. Pour JA, il analyse les résultats de son groupe, revient sur l’évolution du secteur financier et dévoile ses futurs projets.
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Lionel Messi : l'histoire des premiers mois de l'attaquant du Paris St-Germain en France.

BBC Afrique - Sat, 09/10/2021 - 14:43
Lionel Messi a passé 21 ans au FC Barcelone. Guillem Balague, de BBC Sport, fait le point sur ses deux premiers mois avec son nouveau club, le Paris St-Germain.
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Visa vs Mastercard : bataille de titans dans la fintech africaine

Jeune Afrique / Finance - Fri, 08/10/2021 - 14:23
Les deux géants américains des cartes de paiement investissent dans les nouveaux services financiers pour accélérer leur développement africain.  
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Les raisons de la crise franco-algérienne

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Sun, 03/10/2021 - 18:26
L’Algérie vient de rappeler en consultation son ambassadeur à Paris, puis elle a décidé de fermer son espace aérien aux avions français  ravitaillant Barkhane. La raison ? Simple calcul électoral ou véritable et louable prise conscience, le président Macron qui, jusque-là, parlait de la colonisation comme d’un « crime contre l’humanité », vient étonnamment de faire preuve de « virilité » en dénonçant le cœur du « Système » qui pompe la substance de l’Algérie depuis 1962. Deux points de la déclaration présidentielle ont littéralement ulcéré les dirigeants algériens :
 
1) Les prédateurs qui dirigent l’Algérie survivent à travers une rente mémorielle entretenue par une fausse histoire.
 
2) L’existence de l’Algérie comme nation est discutable puisqu’elle est directement passée de la colonisation turque à la colonisation française. Or les dirigeants d’Alger ne dénoncent jamais la première.
 
Le président Macron aurait-il donc lu mon livre Algérie, l’histoire à l’endroit, un livre expédié à l’Elysée au moment de la publication du lamentable « rapport Stora », et dans lequel la fausse histoire algérienne est démontée en dix chapitres ? L’on pourrait en effet le penser puisque, l’Algérie vit effectivement au rythme d’une fausse histoire entretenue par une association sangsue, l’ « Organisation nationale des moudjahidines » (ONM), les « anciens combattants ». Or, comme l’a déclaré l’ancien ministre Abdeslam Ali Rachidi, « tout le monde sait que 90% des anciens combattants, les moudjahidine, sont des faux » (El Watan, 12 décembre 2015). J’ai ainsi démontré, toujours dans mon livre, que les moudjahidine furent en réalité cinq fois moins nombreux que les Algériens combattant dans les rangs de l’armée française.
 
En 2008, Nouredine Aït Hamouda, député du RCD (Rassemblement pour la Culture et la Démocratie), a lui-même pulvérisé cette fausse histoire et son mythe du1,5 million morts causés par la guerre d’indépendance. Un chiffre que tous les Algériens sérieux considèrent comme totalement fantaisiste, mais qui permet au « Système » de justifier le nombre surréaliste des veuves et des orphelins, soit 2 millions de porteurs de la carte de moudjahidine et d’ayants-droit, dont les ¾ sont des faux…
Ces faux moudjahidine qui vivent de la rente mémorielle née de la fausse histoire, bénéficient du 3° budget de l’Etat, juste derrière ceux de l’Education et de la Défense. Car, « originalité » algérienne, et contrairement à la loi naturelle voulant que plus on avance dans le temps, moins il y a de gens qui ont connu Abd el-Kader…, en Algérie, tout au contraire, plus les années passent, et plus le nombre des « anciens combattants » augmente…Ainsi, fin 1962-début 1963, l’Algérie comptait 6000 moudjahidineidentifiés, 70.000 en 1972 et 200.000 en 2017…
 
Comment regarder l’histoire en face quand, en Algérie, six décennies après l’indépendance, l’on obtient encore la carte d’ancien moudjahidinesur la simple déclaration de « faits d’armes » imaginaires ? La raison est que ses détenteurs ainsi que leurs ayants-droit touchent une rente de l’Etat, bénéficient de prérogatives, jouissent de prébendes et disposent de passe-droits. Cette carte permet également d’obtenir une licence de taxi ou de débit de boisson, des facilités d’importation, notamment de voitures hors taxes, des réductions du prix des billets d’avion, des facilités de crédit, des emplois réservés, des possibilités de départ à la retraite, des avancements plus rapides, des priorités au logement etc.
Dans ces conditions, toute remise en question de la fausse histoire entrainerait la ruine des prébendiers et la mort du « Système ». Voilà donc pourquoi les dirigeants algériens se sont directement sentis visés par les propos du président Macron.
 
La situation économique, sociale, politique et morale de l’Algérie est à ce point catastrophique que des milliers de jeunes sans espoir tentent l’aventure mortelle de la haraga, la traversée de la Méditerranée. Quant au « Système », totalitaire et impuissant tout à la fois, acculé par la rue dans une impasse, il est aux abois.  Réduit aux expédients et aux basses manœuvres, afin de tenter de faire diversion, voilà pourquoi, totalement isolé diplomatiquement et coupé de sa propre population, il a ordonné une double offensive, à la fois contre le Maroc, d’où la rupture des relations diplomatiques avec Rabat (voir le numéro d’octobre de l’Afrique Réelle), et  contre la France. Une fuite en avant suicidaire.
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L'Afrique Réelle n°142 - Octobre 2021

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Sat, 02/10/2021 - 11:22

























Sommaire

Numéro spécial :
Le contentieux algéro-marocain


- L’état de la question du Sahara 
- Une situation figée (1979-2021)
- La guerre des sables (octobre-novembre 1963) 
- Le Maroc dans l’espace saharo-méditerranéen
- Les reconnaissances internationales de la marocanité du Sahara occidental
- L’Espagne et la France détachent le Sahara occidental du Maroc
- Derrière le contentieux algéro-marocain, la frustration de l’Algérie de n’avoir jamais existé comme Nation


Editorial de Bernard Lugan

La crise qui couvait entre l’Algérie et le Maroc depuis plusieurs années, a éclaté au grand jour le 24 août 2021 quand Alger annonça la rupture unilatérale de ses relations diplomatiques avec Rabat. Puis, le 22 septembre, dans une surenchère politique, le gouvernement algérien décida la fermeture de son espace aérien aux avions marocains et à tous ceux immatriculés au Maroc. Cette rupture entre les deux pays est-elle une simple crispation annonçant un grand marchandage régional, ou doit-elle au contraire être considérée comme une veillée d’armes ? En Algérie où rien ne se dit clairement, tout repose sur le non-dit. Or, à la fin du mois d’août, le ministre algérien des Affaires étrangères a laissé échapper la vraie raison de la crise, en déclarant que le contentieux algéro-marocain remonte à l’année 1963. Donc à la « guerre des sables », qui opposa les deux pays et qui vit une victoire militaire marocaine. Une humiliation qui hante encore Alger. Le cœur du problème est en effet celui des frontières entre les deux pays. Pour créer l’Algérie, un pays qui n’avait jamais existé, la France démembra en effet le Maroc sur toute sa frontière orientale, lui enlevant plusieurs régions historiquement marocaines, qu’il s’agisse de Tindouf, du Gourara, du Tidikelt et autres, comme cela est expliqué et cartographié dans ce numéro. A cela, s’ajoute la question du Sahara occidental, immensité arrachée au Maroc par la colonisation espagnole. Or, pour les Marocains, il s’agit de leur « Alsace-Lorraine », alors que les Algériens voudraient la création d’un « Etat saharaoui » qui leur soit inféodé et qui interdirait au Maroc de disposer d’un littoral de plusieurs milliers kilomètres depuis Tanger au nord jusqu’à la frontière mauritanienne au sud. Hubert Védrine, ancien chef de la diplomatie française a lumineusement résumé la question en disant que : « (…) l’affaire du Sahara est une affaire nationale pour le Maroc et une affaire identitaire pour l’armée algérienne ».Affaire identitaire, en effet, d’autant plus que l’actuel chef d’état-major algérien, le général Saïd Chengriha, ancien commandant de de la Troisième région militaire, celle qui a pour cœur Tindouf et qui fait donc face au Maroc, nourrit une aversion connue à l’égard de ses voisins marocains. Quant à ses sympathies pour le Polisario, elles ne sont plus à démontrer.Pour une Algérie « enclavée » dans cette mer fermée qu’est la Méditerranée, il est insupportable de devoir constater que le Maroc dispose au contraire d’une immense façade maritime océanique ouvrant de ce fait le royaume à la fois sur le « grand large » atlantique et sur l’Afrique de l’Ouest. Jamais l’Algérie n’acceptera d’admettre cette réalité géostratégique. Là est bien le fond du problème. Dans ces conditions, le risque est donc que, acculée par ses colossaux problèmes intérieurs, l’Algérie, pays en faillite après avoir été consciencieusement pillé par ses dirigeants depuis 1962, décide une fuite en avant suicidaire à travers le recours aux armes.
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Gouvernement- Walis : les 3 directives du premier ministre

Algérie 360 - Sun, 26/09/2021 - 19:17

La rencontre Gouvernement-Walis, entamée hier samedi en présence du chef de l’État, a vu aujourd’hui le premier ministre donner quelques directives aux responsables des 58 wilayas. Aimene Benabderrahmane s’est en effet penché sur plusieurs questions importantes, dont celles portant sur les pouvoirs des élus locaux.

Dans un discours prononcé aujourd’hui, le 26 septembre 2021, le premier ministre a abordé devant les 58 walis plusieurs affaires qui revêtent une grande importance. Le premier ministre a notamment donner trois nouvelles directives.

Recensement, APC et bureaucratie

Aimene Benabderahmane a fait savoir que plus de pouvoir vont être accordés aux APC, et donc aux élus locaux. Une demande qui a été faite par Youcef Aouchiche dernièrement, le premier homme au FFS. Le premier ministre, toujours dans ce contexte, a invité à créer des cellules d’écoute pour être plus proches des préoccupations des citoyens.

Lors de son dernier discours Aiemene benabderrahmane a également indiqué que son gouvernement va procéder à un recensement général de la population et de l’habitat. Il a aussi indiqué qu’une enquête statistique municipale complète va se faire pour réduire les inégalités et booster le développement.

La troisième directive du premier ministre concerne la bureaucratie. Devant les walis, il a notamment souligné la nécessité de simplifier les procédures administratives et l’importance de lutter contre la bureaucratie afin d’améliorer le service public, et de contenir les jeunes énergies porteuses de projets et d’idées créatives.

Pour conclure, Benabderahmane a également rappelé que les zones de l’ombre restent un problème d’actualité, et ce, malgré les « avancées » qui ont été enregistrées ces derniers mois.

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Covid : 4 facteurs qui augmentent le risque de contracter le covid 19 après la vaccination

BBC Afrique - Sun, 26/09/2021 - 19:05
Plusieurs experts décrivent les facteurs qui contribuent à augmenter le risque d'infection d'une personne ayant reçu le vaccin contre le coronavirus.
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Lycées, entre phénomènes de mode et mesures de chasteté

Algérie 360 - Sun, 26/09/2021 - 18:30

Un sujet qui a toujours fait polémique en Algérie refait surface cette année avec des critères tantôt compréhensibles et justifiables tantôt saugrenus et abusés. On parle bien de la tenue vestimentaire dans les établissements scolaires.

Les lycées algériens sortent instruction après instruction, chacun fixe des règles concernant la tenue correcte exigée pour les filles et les garçons, et ce, hormis la blouse obligatoire pour tous, dès la rentrée scolaire. C’est le cas du lycée Houari Boumediene d’El Achir de la Wilaya de Bordj Bou Arreridj, publiant une instruction qui dicte, selon son règlement intérieur, les critères de cette tenue.

De l’interdiction de “coupes bizarres qui vont à l’encontre de l’éthique de l’éducation et de l’enseignement”, les pantalons déchirés et les casquettes pour les garçons, les vêtements “serrés” pour les filles, toujours pour les lycéennes pas de maquillages ou d’accessoires et pour couronner le tout, on sait que l’utilisation du téléphone portable est interdite, or on parle ici d’interdiction de le ramener dans l’enceinte de l’établissement.

Quant aux mesures préventives contre le Covid-19, elles ont été timidement mentionnées en bas.

Tenue correcte, le bouchon est-il poussé un peu trop loin ?

C’est un sujet clivant, aussi bien entre les élèves que leurs parents, certains félicitent ces restrictions et trouvent que c’est tout à fait normal d’imposer ces règles, d’autres déplorent toutes ces interdictions exagérées en s’interrogeant sur leur pertinence quant au bon déroulement du cours.

Il est important de préciser que si toutefois, ces interdictions qui semblent porter atteinte à la morale publique ne sont pas respectées, l’élève en question ne pourra pas accéder à l’établissement.

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Covid-19 : le bilan détaillé de ce 26 septembre

Algérie 360 - Sun, 26/09/2021 - 18:00

En Algérie, la pandémie de la covid-19 fait de moins en moins de ravages. Cette décrue, insistent les spécialistes, doit inciter la population à la vaccination. Aujourd’hui, le 26 septembre 2021, les chiffres démontrent encore que malgré la baisse des infections, le danger demeure présent.

Le ministère de la Santé a indiqué dans son bilan de ce dimanche que le pays a recensé 10 décès causés par le virus ces 24 dernières heures. Les mêmes chiffres soulignent aussi que l’Algérie a enregistré 148 nouveaux cas de contamination, 115 guérisons.

Suite au bilan d’aujourd’hui, le total des cas de contamination en Algérie s’élève donc à 202.722 cas. Le pays a également recensé, et ce, depuis le début de la pandémie, pas moins de 5788 décès.

Immunité collective : c’est pour bientôt

Le ministre de la Santé, Abderahmane Benbouzid, a annoncé il y a quelques jours des chiffres positifs concernant le taux de vaccination en Algérie. En effet, le ministre a dévoilé que 50 % de la population algérienne concernée a été vaccinée.

Des chiffres bons certes, mais ambiguës affirment plusieurs spécialistes. Lyes Merabet, président du Syndicat national des praticiens de la santé publique, reste quant à lui sceptique. Il affirme que  » l’Algérie n’a pas encore atteint l’immunité collective« .

Pour ce spécialiste, « lorsqu’on parle de 10 millions d’Algériens, je pense que la majorité n’ont reçu qu’une première dose ». Merabet indique que seulement le tiers de ce nombre ont reçu les deux doses. Un constat qui veut dire que le pays est encore loin d’avoir atteint une immunité collective, ce qui nous expose au risque d’une quatrième vague.

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Burkina/MPP : Le devoir de reconnaissance des militants à Simon Compaoré, désormais président d'honneur du parti

Lefaso.net (Burkina Faso) - Sun, 26/09/2021 - 17:59

C'est dans une ambiance empreinte de reconnaissance au président sortant de leur parti, Simon Compaoré, que les participants au deuxième Congrès extraordinaire du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) assistent, ce dimanche 26 septembre 2021 à Ouagadougou, à la clôture des travaux de cette deuxième instance suprême du parti.

L'un des grands enjeux de ce congrès était sans doute le renouvellement de l'organe dirigeant, le Bureau exécutif national (BEN), notamment la présidence du parti.

Après "plusieurs castings" des congressistes, le président Simon Compaoré cède la tête du parti à Bala Alassane Sakandé.

Ce dernier, par ailleurs Président de l'Assemblée nationale, était jusque-là deuxième secrétaire au secrétaire exécutif du parti.

Qualifié de "monument", de "baobab" politique, Simon Compaoré a été accueilli dans un tonnerre d'ovations dans la cuvette du Palais des sports de Ouaga 2000 qui accueille cet événement politique.

Président intérimaire du MPP à partir d'août 2017, Simon Compaoré sera confirmé à la présidence du parti à l'occasion d'un congrès ordinaire en mars 2020.

Homme politique aux propos aussi chocs que parfois contreversés, il aura sans doute marqué, activement, la vie politique burkinabé.

Simon Compaoré est, désormais, le président d'honneur du MPP. Ainsi devient-il pour le MPP, ce que Blaise Compaoré est au CDP.

C'est donc une nouvelle ère qui s'ouvre, à partir de cet après-midi dominical, pour le parti au pouvoir.

O.L
Lefaso.net

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Qui est Samir Aggoune, le nouveau porte-parole de la présidence ?

Algérie 360 - Sun, 26/09/2021 - 17:56

Le président de la République a procédé ce dimanche 26 septembre 2021 à la nomination d’un nouveau porte-parole de la Présidence de la République. Il s’agit de Samir Aggoune, qui occupait ce même poste par intérim.

Le nouveau porte-parole de la présidence était enseignant à la faculté des sciences de l’information et de communication à l’université d’Alger 3. Il a également fait une carrière en journalisme au sein de plusieurs médias.

Il a exercé en tant que journaliste à la chaine Echorouk TV. Avant cela, il a occupé le poste de Directeur de l’information à la chaine Dzair News, avant de démissionner de ce poste en novembre 2018, après quatre années passées dans cette chaîne.

Avant d’intégrer l’équipe de Dzair News en 2014, il a fait un passage remarqué à la radio nationale. En 2016, il est nommé à la tête de la Direction de l’information de la chaine privée après le départ de Djamal Maafa.

En août 2020, Tebboune avait nommé Samir Aggoune, par décret présidentiel du 29 Dhou El Hidja 1441 correspondant au 19 août 2020, chargé de mission à la Présidence de la République.

Porte-parole de la présidence par intérim

Suite au départ de Belaïd Mohand-Oussaïd du poste de porte-parole de la présidence, au lendemain de son retour de son voyage de soins d’Allemagne, Samir Aggoune a été nommé à ce poste par intérim.

Sa première apparition officielle remonte au 7 juillet 2021, lorsqu’il a annoncé la composante du nouveau gouvernement de Aïmene Benabderrahmane. Ce dimanche, le président de la République l’a nommé, par décret présidentiel, comme porte-parole officiel de la présidence de la République.

Par ailleurs, le chef de l’État a également signé un décret présidentiel par lequel il a nommé Abdelaziz Khalef Directeur de cabinet de la Présidence de la République, indique un communiqué de la présidence.

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Vols Marseille – Alger : le billet à moins de 50 euros chez Vueling

Algérie 360 - Sun, 26/09/2021 - 17:54

Après une fermeture de plus d’une année, les autorités ont annoncé, le 1er juin dernier, la réouverture partielle des frontières aériennes, avec un nouveau programme de vols internationaux, mis en place le 28 août de l’année en cours, qui vise à augmenter le nombre de vols à 64 par semaine avec sept pays, dont 48 vols entre l’Algérie et la France.

Depuis cette réouverture, la compagnie aérienne espagnole, Vueling, est devenue la seule compagnie étrangère à opérer des vols vers l’Algérie à partir de deux pays différents, où elle est autorisée à opérer depuis sa base à l’aéroport international d’El Prat à Barcelone et au départ de l’aéroport de Marseille Provence.

En effet, la low cost espagnole opère chaque semaine, deux vols depuis la ville de Barcelone, et ce, conformément au principe de réciprocité. Notons que la compagnie aérienne nationale, quant à elle, programme également deux jours par semaine, à savoir le dimanche et le jeudi, afin d’opérer ses vols.

48 euros pour la ligne Marseille – Alger chez Vueling

Pour le mois de novembre, Vueling a déjà commencé la commercialisation de ses billets d’avion sur son site pour la ligne Marseille – Alger. Les prix proposés par ladite compagnie sont les plus bas en comparant de ses concurrentes.

Les billets présentés pour la vente sont pour des vols prévus tous les jours, sauf les mardis et les dimanches, tout en long du mois de novembre.

Dans le site, les prix des billets d’avion sont proposés à des prix bas, arrivés à 48 euros et peuvent atteindre jusqu’à plus de 450 euros.

Il est cependant utile de rappeler qu’aucune compagnie aérienne n’a obtenu l’autorisation officielle pour opérer des vols en mois de novembre. Donc, ces vols vont être certainement annulés, vu que la low cost espagnole maintient en vente actuellement les billets d’avion en novembre pour des vols qui dépendent de son programme annuel.

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Noureddine Bedoui placé sous contrôle judiciaire

Algérie 360 - Sun, 26/09/2021 - 17:28

Rien ne va plus pour le dernier premier ministre de Bouteflika. Nouredine Bedoui, qui a pu jusqu’à là éviter le sort réservé à Ouyahia et Sellal, vient de faire face à une décision du juge du tribunal de Sidi M’Hamed. Même si l’ancien premier ministre évite, encore une fois, la prison, il n’en sort pas tout à fait indemne.

En effet, aujourd’hui, le 26 septembre 2021, le tribunal de Sidi M’Hamed vient de mettre l’ancien premier ministre Nouredine Bedoui sous contrôle judiciaire. Une décision du juge qui s’accompagne d’une interdiction de quitter le territoire national, vu que le passeport de l’ancien responsable a été également confisqué.

Coup dur pour Bedoui

Bedoui qui a été premier ministre alors que Bouteflika s’apprêtait à sortir par la petite porte d’El Mouradia, a été rattrapé par plusieurs scandales qui lui ont valu sa convocation par la justice Algérienne. Corruption, abus de pouvoir, dilapidation et détournement du foncier, Bedoui risque gros.

Même si les accusations portées contre Bedoui ne concernent pas la période ou il occupait le poste de premier ministre, cela n’empêche pas qu’elles puissent lui valoir la prison. Une épée de Damoclès est suspendue au-dessus de sa tête. Bedoui est notamment accusé d’avoir octroyé illégalement plusieurs marchés à des entrepreneurs qui ne remplissait pas les conditions légales et qui ne respectaient pas les normes nécessaires à la réalisation de ces projets.

Les accusations portées à l’encontre de Bedoui concernent des affaires de corruption qui remontent à l’époque où il occupait le poste de wali de Constantine. C’était avant qu’on le nomme ministre de la Formation professionnelle, puis ministre de l’Intérieur et enfin Premier ministre jusqu’au 19 décembre 2019.

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Présidence : Tebboune procède à de nouvelles nominations

Algérie 360 - Sun, 26/09/2021 - 17:03

Le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a procédé, ce dimanche 26 septembre 2021, à de nouvelles nominations au sein de la Présidence de la République.

Selon un communiqué de la Présidence, Tebboune a nommé, par décret présidentiel, un nouveau chef de cabinet et un nouveau porte-parole à la présidence de la République.

« Le président de la République a signé, aujourd’hui, un décret présidentiel par lequel il a nommé Abdelaziz Khalef Directeur de cabinet de la Présidence de la République », lit-on dans le communiqué.

Cette nomination intervient en « remplacement de Noureddine Beghdada, qui est appelé à de nouvelles fonctions », précise-t-on encore selon la même source.

Nouveau porte-parole à la présidence de la République

Par ailleurs, « le président a également signé un décret présidentiel par lequel il a nommé Samir Aggoune comme porte-parole officiel de la présidence de la République », ajoute encore la même source. Ce dernier occupait le poste du porte-parole de la Présidence de la République par intérim.

Il convient de noter que le poste de porte-parole à la présidence est occupé, depuis le 29 décembre 2020, par Belaïd Mohand Oussaïd. Ce dernier avait été alors nommé par Tebboune, ministre conseiller à la communication porte-parole de la présidence de la République.

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Sud-Kivu : au moins 320 cas de femmes accusées de sorcellerie enregistrés entre juin et septembre

Radio Okapi / RD Congo - Sun, 26/09/2021 - 17:03


L’Association des femmes de médias du Sud-Kivu a enregistré plus de 320 cas des femmes accusées de sorcellerie au Sud-Kivu entre Juin et Septembre. Ce qui traduit, selon cette association, un nouveau mode de violences faites aux femmes et qui prend de l’ampleur dans plusieurs territoires de la province. Car, de plus en plus de femmes âgées sont accusées d’être des sorcières, humiliées et lynchées à mort par les jeunes

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La Coupe du Monde de la Pâtisserie : l’Algérie dans le top 10

Algérie 360 - Sun, 26/09/2021 - 16:53

La Coupe du Monde de la Pâtisserie est un concours culinaire international consacré à la pâtisserie, qui se déroule tous les deux ans à la ville de Lyon en France. Il est initié par le chef pâtissier Gabriel Paillasson. Ce dernier récompense la meilleure équipe de pâtissiers nationaux.

Cette année, le concours a réuni dans sa 16ᵉ édition qui s’est tenue pendant le Sirha Lyon, salon de restauration, de l’hôtellerie et de l’alimentation à Lyon, vingts nations pour une journée de compétition autour de la pâtisserie, et ce, le 24 et le 25 septembre.

Pour ce concours présidé par Pierre Hermé, les pâtissiers de différents pays disposaient de 10 heures seulement afin de réaliser trois épreuves de dégustation, à savoir, un dessert à partager, un entremets glacé et un dessert de restaurant. En outre, les mêmes candidats doivent passer deux autres épreuves artistiques, dont une sculpture en chocolat et une autre de sucre.

Une équipe qui regroupe les meilleurs chefs pâtissiers

Portant sur thème « Tout art est imitation de la nature », une équipe algérienne composée de talentueux pâtissiers a été présente lors dudit concours.

Il s’agit de quatre chefs pâtissiers, à savoir, le candidat chocolat, Salah Amour, chef de la pâtisserie algéroise Le Roi ; le candidat ayant réalisé l’entremet glacé, Mehdi Mehenni en l’occurrence, chef pâtissier algérois ; le sucre capitaine, le chef pâtissier Abderrazak Abdoun ; et enfin le président de l’équipe, le chef pâtissier habitué des concours et compétitions, Fouas Yakoub Mehenni.

Avec ces quatre brillants candidats, qui ont représenté fièrement et dignement leur pays, l’Algérie est classée à la dixième position.

Les Italiens remportent la Coupe de cette année

Cette 16ᵉ édition, tenue pendant le Sirha Lyon, était placée sous le signe de la résilience et de la créativité.  » Cette finale a été marquée par l’émotion et la créativité, ainsi que les saveurs et couleurs qui se sont dégagées des desserts des 11 équipes participantes”, a souligné Pierre Hermé, Président du concours depuis septembre 2019.

Il est utile d’indiquer que pour cette année, l’équipe italienne, composée de Massimo Pica, Lorenzo Puca, Andrea Restuccia, a remporté ce samedi 25 septembre la finale de la Coupe du Monde de la Pâtisserie 2021, tandis que l’équipe française s’est hissée à la troisième position.

Notons que cette pour sa 16e édition, l’épreuve du dessert à l’assiette a été remplacée par celle du dessert de restaurant, afin de valoriser le métier de pâtissier de restaurant.

Il convient également d’ajouter que les jurés ont porté une attention particulière aux alliances de saveurs, aux textures, aux jeux de températures et au dressage de ces desserts éphémères destinés à être dégustés immédiatement.

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ANSEJ : quelles sont les catégories exemptées du paiement de dettes ?

Algérie 360 - Sun, 26/09/2021 - 16:30

Beaucoup d’entreprises créées dans le cadre du dispositif de l’Agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat Anade (ex-Ansej), sont en crise et nécessitent une prise en charge. Face à cela, l’Agence propose plusieurs solutions.

La question des dettes accumulées a été abordée, une nouvelle fois, par le Directeur général de l’agence nationale d’appui et de développement de l’entrepreneuriat Anade (ex-Ansej), Mohamed Cherif Bouaoud.

Dans un entretien accordé au quotidien Echaab, le responsable a indiqué que les catégories qui n’ont pas encore versé trois tranches aux banques sont la plupart des cas. Face à cela, « nous travaillons à régler leurs situations en les intégrants et en leur accordant des projets leur permettant de se relever », a-t-il déclaré.

D’ailleurs, « c’est le cas avec plusieurs entreprises créées dans le cadre du dispositif, et qui sont dans cette situation », selon lui. L’intervenant a également abordé la question des catégories exemptées du paiement de dettes.

À ce propos, il affirme que les catégories exemptées sont : « les entreprises dont les propriétaires sont décédés, celles touchées par les catastrophes naturelles (tel que les feux de forêt) et celles dont les propriétaires sont atteints d’empêchement physique ou moral en exerçant leurs activités respectives ».

Mohamed Cherif Bouaoud a également fait état d’une proposition en cours l’étude, relative aux entreprises dont l’activité ne suit plus le rythme des évolutions technologiques et économiques et qui ne sert désormais pas à grand-chose.

Le Fonds de caution mutuelle de garantie

En cas d’échec du projet, le premier responsable de l’ex-Ansej a souligné que son Agence a réadapté les mesures du Fonds de caution mutuelle de garantie risques/crédit. Ce dernier est garant des prêts accordés par les banques et assure également la protection du jeune promoteur.

« En cas d’échec du projet, il existe un fonds qui prend en charge les dettes de la banque », a-t-il encore souligné. Selon lui, ce Fond a deux missions principales ; donner au jeune une garantie auprès de la banque avant de recevoir le prêt, en échange d’une adhésion au fonds à hauteur de 1,5 % par an de la valeur du prêt.

Et en contrepartie, la banque garantit une indemnisation du prêt à 70 %. Cela veut dire qu’il n’y aura pas de poursuite par la banque contre le jeune promoteur propriétaire du projet.

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