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Afrique

Burkina/Lutte contre le terrorisme : Le ministre de la défense, Kassoum Coulibaly, fait le point opérations en cours à la montée hebdomadaire des couleurs

Lefaso.net (Burkina Faso) - Fri, 02/08/2024 - 00:00

Le ministre de la défense, Kassoum Coulibaly a assisté à la montée des couleurs à l'Institut supérieur d'études de protection civile (ISEPC). C'était ce jeudi 1er août 2024, à Ouagadougou. Le ministre était présent pour faire le point des activités de la semaine et donner les messages principaux à ses hommes.

Dès 6h du matin, les militaires et les Volontaires pour la défense de la patrie (VDP) se mettaient déjà en place pour accueillir le ministre en charge de la défense, le général Kassoum Coulibaly, pour la montée des couleurs. Le ministre arrive autour de 6h50. Ce sont les salutations d'usage, puis le drapeau est hissé sur son mât. La presse est ensuite priée de se retirer afin de laisser les militaires discuter entre eux.

La montée des couleurs

Ce n'est qu'après le départ du ministre que le directeur de la communication et des relations publiques des armées, le commandant Abdoul Aziz Ouédraogo, leur fait le point de la rencontre.

L'officier explique que la montée des couleurs a réuni 600 militaires et des VDP de toutes les composantes des forces armées. Il indique que le ministre Kassoum Coulibaly a rendu hommage à toutes les unités qui se battent jour et nuit pour ravitailler les populations.

Il révèle que le général Coulibaly a également fait le point des opérations en cours sur toute l'étendue du territoire et dans l'espace de l'Alliance des États du Sahel (AES).

Rama Diallo
LeFaso.net

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Lutte contre les occupations anarchiques des terrains et la vente illégale de parcelles : L'ONC-AC échange avec les PDS du Grand Ouaga pour définir une feuille de route

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 01/08/2024 - 23:55

L'Office national du contrôle des aménagements et des constructions (ONC-AC) a organisé une rencontre d'échange avec les Présidents des délégations spéciales (PDS) du Grand Ouaga (Saaba, Pabré, Komsilga, Komki-Ipala, Tanghin-Dassouri et Loumbila), le mercredi 31 juillet 2024, à Ouagadougou, sur les occupations anarchiques dans ladite zone.

L'Office national du contrôle des aménagements et des constructions (ONC-AC) est résolument engagé à lutter contre les occupations anarchiques dans le Grand Ouaga qui comprend selon le schéma directeur d'aménagement, les communes de Saaba, Pabré, Komsilga, Komki-Ipala, Tanghin-Dassouri et Loumbila. Pour ce faire, l'ONC-AC a rencontré les Présidents de délégations spéciales desdites communes pour échanger sur les occupations de terrains qui sont en cours, et qui ne répondent à aucun schéma d'aménagement.

Ces pratiques, selon le Directeur Général de l'ONC-AC, Yacouba Siko, mettent en péril tous les efforts du gouvernement pour assurer un développement territorial qui répond aux aspirations des Burkinabè. À l'entendre, les occupations anarchiques des terrains et la vente illégale de parcelles sur la voie de contournement de la ville de Ouagadougou rendent difficile la réalisation du projet du Grand Ouaga. Des dires du DG Siko, il est ressorti que dans le plan d'aménagement du Grand Ouaga, il y a des zones déterminées pour des activités agricoles et économiques, ainsi que des habitations en vue de créer un équilibre au niveau du développement territorial.

Le Directeur Général de l'ONC-AC, Yacouba Siko a fait savoir que les occupations anarchiques, en cours sur les sites du Grand Ouaga, mettent en péril tous les efforts du gouvernement en termes d'aménagement territ

Pourtant, a-t-il dit, le constat actuel est que la plupart des zones occupées par les populations ne sont pas définies pour des habitations dans le plan directeur et rendent difficile sa concrétisation. « Les occupations anarchiques, en cours sur ces sites, mettent en péril tous les efforts du gouvernement en termes d'aménagement territorial », a soutenu le Directeur Général de l'ONC-AC. C'est pourquoi, il a espéré que la rencontre d'échange permette de définir une feuille de route afin d'agir sur le terrain à l'encontre des contrevenants. « La feuille de route est un programme clair avec des actions précises à mettre en place. Elle sera soumise au ministre en charge de l'urbanisme, avant que nous nous déployions sur le terrain », a déclaré sans ambages M. Siko.

Dans la foulée, il a interpellé les acheteurs des terrains et parcelles au niveau des sites concernés à éviter d'investir leur argent dans du faux. « Il ne faut pas acheter des parcelles qui vous mettent vous-même en insécurité, n'investissez pas votre argent dans des choses qui ne sont pas certaines », a prévenu le premier responsable de l'ONC-AC. Il a par ailleurs souligné que la feuille de route va permettre d'investiguer pour dénicher ceux qui pratiquent ces activités afin de les sanctionner conformément aux dispositions de la nouvelle loi en vigueur. « La mission assignée à l'ONC-AC, étant de s'assurer que les décisions que les pouvoirs publics prennent sont mises en œuvre conformément aux différents documents, elle va continuer à agir sur le terrain », a-t-il argué.

Le PDS de la commune de Komsilga, Antarest Batiana a salué cette initiative qui devra permettre de tourver une solution aux occupations anarchiques.

Le PDS de la commune de Komsilga, Antarest Batiana, a fait savoir pour sa part que cette rencontre vient à point nommé et vise à trouver les moyens pour contrer les aménagements illégaux qui se passent dans leurs différentes communes. « L'engagement pris par l'ONC-AC va permettre aux délégations spéciales des communes du Grand Ouaga de travailler, d'autant plus que nous jouons ce rôle de sensibilisation depuis belle lurette, sur ces formes d'aménagements qui ne profitent à personne », a souligné M. Batiana.

Sosthène NIKIEMA

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Burkina/ Justice : Me Guy Hervé Kam en garde à vue

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 01/08/2024 - 23:50

Nouveau rebondissement dans l'affaire Guy Hervé Kam. Après avoir été en liberté conditionnelle depuis le 10 juillet 2024, il a été finalement placé en garde à vue par le Tribunal militaire, ce jeudi 1 Août 2024, a appris Lefaso.net de sources proches du concerné.

En rappel, Me Guy Hervé Kam est poursuivi pour « une affaire d'attentat à la sûreté de l'Etat ».

Lefaso.net

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Course cycliste à l'occasion de la troisième semaine communale de Dédougou : Une sexagénaire dans le peloton pour gagner sa pitance

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 01/08/2024 - 23:40

Les femmes et les personnes handicapées étaient à la une de la troisième édition de la semaine communale de Dédougou (SECOD), le mercredi 31 juillet 2024. Elles ont, en effet, disputé une course cycliste dans les artères de la ville. Pour la municipalité, l'activité vise à promouvoir l'inclusion sociale et la pratique du sport tandis qu'elle apparaît pour la cycliste Fatoumata Zerbo, la soixantaine bien sonnée, une occasion de remporter le meilleur prix afin de garantir le pain quotidien.

« Nous ne marginalisons personne. C'est pour cela que nous avons voulu organiser cette course cycliste handisport pour tenir compte des personnes vivant avec un handicap. Il y a eu aussi la course cycliste des femmes de la ville de Dédougou », a laissé entendre le président de la délégation spéciale de la commune. Dieudonné Tougfo justifiait l'organisation de l'activité cycliste à laquelle se sont livrées 53 personnes dont 13 en situation de handicap.

Ici, on assiste à l'arrivée de Nathalie Sankara

Ainsi 4,8 km, c'est la distance totale parcourue par les personnes handicapées. Emile Kiénou chez les hommes et Nathalie Sankara au niveau des dames sont les premiers à franchir la ligne d'arrivée. Ils ont reçu chacun un vélo, la somme de 25 000 FCFA et un carton de spaghetti. Des primes ont été également remises jusqu'au dixième coureur au classement. Les trois autres se sont contentés chacun de 5 000 de nos francs en guise d'encouragement.

Dieudonné Tougfo, président de la délégation spéciale de la commune de Dédougou

Sur leurs vélos ordinaires, les femmes cyclistes sont parties, comme les premiers, de la place Melongare située au centre-ville de Dédougou pour deux tours du circuit fermé de 4,5 km. A l'arrivée, c'est Bertine Kondé qui s'est imposée. La gagnante de cette édition aura bouclé les 9 km en 19 mn 25 s avec une vitesse moyenne de 27,563 km/h. Elle reçoit un vélo, la somme de 25 000 FCFA plus trois cartons de spaghetti. Là aussi les 10 meilleures cyclistes sont primées et les autres ont reçu chacun la somme de 5 000 FCFA à titre d'encouragement. Mais il faudra attendre le samedi 3 août prochain pour voir les gagnants recevoir effectivement leurs différents prix à l'occasion de la nuit des lauréats prévue dans le cadre de cette semaine communale de Dédougou (SECOD).

Le directeur provincial en charge des sports du Mouhoun, Oumarou Zongo.

Les objectifs poursuivis par la course cycliste sont nobles, a déclaré le directeur provincial en charge des sports du Mouhoun, Oumarou Zongo. Ce dernier a tiré son chapeau à la mairie de Dédougou pour l'initiative de la semaine communale qui intègre des activités sportives au profit des différentes couches de la population locale. D'ailleurs, ces différentes activités ont pour but la promotion de l'inclusion sociale et l'incitation à la pratique du sport en vue de contribuer à l'amélioration de la santé, selon les promoteurs de la manifestation.

Bertine Kondé sur la ligne d'arrivée

Au-delà, la cycliste Fatoumata Zerbo a soufflé avoir pris part à cette compétition avec l'idée de rafler pourquoi pas le premier prix afin de « s'acheter des vivres », ne serait-ce que, pour quelques jours. La vieille dame de 65 ans tire le diable par la queue. Elle est bien populaire à Dédougou et connue sous le nom de « Maman RTB ». « Je n'ai personne pour m'aider », s'est-elle empressée de dire laconiquement avant de vouloir entrer dans des détails de son vécu quotidien très peu enviable.

Fatoumata Zerbo a terminé dernière de sa catégorie.

Sa présence dans le peloton a été distinguée et saluée par des applaudissements nourris même si c'est elle qui est arrivée en dernière position provoquant l'effondrement de son rêve de repartir avec un gros lot. Mais avec la décision des organisateurs d'offrir un prix d'encouragement à toutes et à tous, dame Zerbo devra regagner son domicile avec la somme de 5 000 FCFA en poche.

Yacouba SAMA
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JO 2024-Natation: Tatjana Smith, après une quatrième médaille olympique, la retraite?

RFI /Afrique - Thu, 01/08/2024 - 22:04
Trois jours après sa victoire sur 100m brasse, Tatjana Smith est allée chercher l'argent dans ces JO 2024. Jeudi 1er août, la nageuse n'est pas parvenue à conserver son titre olympique sur 200m brasse, battue par l'Américaine Kate Douglass. Avec deux médailles d'or et deux médailles d'argent dans sa carrière aux Jeux, la Sud-Africaine, une des plus grandes spécialistes de la brasse, pourrait se retirer avec un palmarès splendide.
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Nord du Mali : les séparatistes affirment avoir tué 84 Wagner et 47 soldats maliens

France24 / Afrique - Thu, 01/08/2024 - 21:50
Les séparatistes du nord du Mali ont affirmé jeudi avoir tué 84 membres du groupe russe Wagner et 47 soldats maliens dans des combats à Tinzaouatene, près de la frontière algérienne, du 25 au 27 juillet. L'armée malienne avait reconnu lundi "un nombre important" de morts dans ses rangs après des combats en fin de semaine dernière dans cette région du nord du pays.
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Journées nationales de la jeunesse catholique : La 8e édition invite les jeunes à « marcher ensemble »

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 01/08/2024 - 21:30

C'est parti pour la 8e édition des Journées nationales de la jeunesse catholique (JNJ) du Burkina Faso. Ainsi, après l'édition de 2018 à Ouagadougou, c'est la ville de Bobo-Dioulasso qui accueille cette 8e édition, du 31 juillet au 4 août 2024. La cérémonie de lancement des festivités a eu lieu dans l'après-midi du mercredi 31 juillet au stade Wobi de Bobo-Dioulasso.

Les Journées nationales de la jeunesse catholique sont de retour, six ans après la dernière édition. En effet, c'est depuis 2018 que le Conseil national de la jeunesse catholique (CNJC) n'a plus eu l'occasion de réunir toute la jeunesse catholique du Burkina Faso, au regard de la situation nationale du pays, mais aussi après l'édition manquée de Dédougou en 2021 à cause de la pandémie de covid-19.

Les pèlerins venus de divers horizons ont pris d'assaut le stade Wobi pour la cérémonie d'ouverture des JNJ

C'est pourquoi, cette édition 2024 est appelée « édition de la renaissance ». Ces journées sont dans le registre de la résilience et dans la dynamique de contribuer à accroitre le vivre-ensemble des populations. D'où le thème : « Marchons Ensemble ! ». Et c'est la province ecclésiastique de Bobo-Dioulasso, l'archidiocèse de Bobo-Dioulasso, qui abrite cette 8e édition. La ville de Sya abrite donc cet évènement majeur 21 ans après, puisque c'est en 2003 qu'elle a accueilli la deuxième édition des JNJ.

Les JNJ 2024 regroupent des jeunes issus des différents diocèses que compte le Burkina Faso. Par ailleurs, des jeunes en provenance d'autres pays d'Afrique dont la Côte d'Ivoire, le Mali, le Niger et le Togo y prennent part. Et pour que le mot « ensemble » du thème trouve son sens, le conseil a invité les jeunes des autres confessions religieuses. Selon le président du Conseil national de la jeunesse catholique, Armel Régis Nikièma, cette édition est particulière en ce sens qu'elle se déroule dans un contexte jubilaire. En effet, elle marque les 25 ans du Conseil national de la jeunesse catholique.

Selon le président du Conseil national de la jeunesse catholique, Armel Régis Nikièma, cette édition est particulière

Ces journées sont une opportunité pour les jeunes de se retrouver autour de leurs Pères-évêques et de leurs pasteurs pour approfondir leur foi et discerner leur vocation particulière : participer à la vitalité de l'église et transformer leur société en un havre de justice et de paix. Pour Armel Régis Nikièma, les JNJ se présentent comme une fête de la foi et une expérience missionnaire pour les jeunes. Ces journées seront ponctuées par plusieurs activités dont des « catéchèses rise-up », des « workshops », une soirée d'adoration et de prières pour le Burkina, des visites touristiques, un grand concert, etc.

Les responsables religieux présents à la cérémonie

Selon lui, cette édition est particulière, en ce sens qu'elle va permettre de former plusieurs jeunes sur des thématiques diverses notamment sur l'utilisation des TIC à bon escient, sur le marketing digital, etc. Il y aura également le forum des jeunes bâtisseurs qui est un grand projet de formation des jeunes sur le fonctionnement de la société, en vue de forger des « leaders éclairés ». A cela s'ajoute la campagne de sensibilisation sur la sécurité routière.

Les délégations étrangères présentes aux JNJ Bobo 2024

La cérémonie de lancement des activités a été ponctuée par divers tableaux, notamment des discours, le défilé des diocèses, des prestations d'artistes, des séances de prières, une collecte de fonds, etc. Elle a connu la présence des autorités locales, des premiers responsables de l'église catholique ainsi que celle du ministère en charge de l'administration territoriale, Émile Zerbo, représentant le président du Faso. Présent à cette cérémonie, l'archevêque de Bobo-Dioulasso, Mgr Paul Ouédraogo, a indiqué que c'est une bénédiction pour la ville de Sya d'abriter cette édition des JNJ. Pour lui, les JNJ sont un cadre du donner et du recevoir, mais aussi un rendez-vous avec Dieu.

La chorale a tenu en haleine les pèlerins à la cérémonie d'ouverture des JNJ

Il a invité les jeunes à s'approprier ces journées pour bénéficier des grâces de Dieu. A l'en croire, ces journées se tiennent tous les trois ans au Burkina Faso et ce, depuis l'an 2000 où la première édition a eu lieu à Ouagadougou. Ces Journées nationales de la jeunesse catholique sont portées par le Conseil national de la jeunesse catholique (CNJC), qui est la grande famille des jeunes de l'Eglise famille de Dieu au Burkina Faso. Il regroupe toutes les organisations de jeunes catholiques reconnues par la Conférence épiscopale et se trouvant sur le territoire national du Burkina Faso. Les participants à ces JNJ sont accompagnés par les évêques de la Conférence épiscopale Burkina-Niger, les prêtres, les religieux et religieuses qui ont en charge les enseignements et programmes spirituels.

Romuald Dofini
Lefaso.net

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Conseil régional du patronat burkinabè : Le président du Centre-nord est Rasmané Ouédraogo

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 01/08/2024 - 21:30

C'est au cours d'une assemblée générale que le président du Conseil régional du patronat burkinabè du Centre-nord a été désigné. Seul candidat à ce poste, c'est donc sans surprise que Rasmané Ouédraogo a été élu président du bureau, composé de onze membres, et ce, à l'unanimité. La cérémonie a connu la participation de plusieurs autorités de la région, notamment le gouverneur et des représentants du Dima (roi) de Boussouma, venus apporter leur soutien au président et à son bureau, élus pour un mandat de cinq ans.

Né à Kaya, dans la « cité du cuir », Rasmané Ouédraogo a débuté le commerce depuis son bas-âge, aux côtés de son père. Très tôt, il se lancera dans la vente du Koura-koura (tourteaux d'arachide) entre Kaya et Bobo-Dioulasso. Plus tard, il fera dans la commercialisation de l'huile de consommation, avant de se lancer dans l'import-export, ajoutant à sa liste de produits, le sucre, le riz et bien d'autres produits. Élu à la majorité comme président du Conseil régional du patronat burkinabè du Centre-nord, l'homme a tenu à remercier ses pairs et demandé à ces derniers un accompagnement pour mener à bien les missions qui seront les siennes.

Une délégation du Dima (Roi) de Boussouma, venu féliciter le nouveau bureau

« Le patronat est une affaire de tous et la tâche n'est pas seulement mienne. Elle nous incombe, tous autant que nous sommes. Les membres de tous les secteurs qui composent le patronat doivent se tenir la main pour que nous puissions aller encore de l'avant. Actuellement, le Burkina Faso est en proie à l'hydre terroriste. Notre prière est que Dieu veille sur nos Forces de défense et de sécurité, ainsi que nos Volontaires pour la défense de la patrie, afin que les activités économiques puissent reprendre de plus belle », a souhaité Rasmané Ouédraogo.

« Nous devons travailler ensemble pour soutenir l'économie de notre pays »

Rappelons que l'institution du Conseil régional du patronat burkinabè est une initiative du président du Conseil national du patronat burkinabè (CNPB) Idrissa Nassa. Elle vient en premier axe stratégique de son plan de mandature et a pour objectif d'œuvrer à la redynamisation et à l'autonomisation du CNPB, par le renforcement des capacités humaines, techniques et financières. Le tout c'est de rendre l'institution utile et efficace pour ses membres. « Cette nouvelle dynamique permettra à ceux des régions de sentir qu'ils font aussi partie de ceux qui sont à Ouagadougou », a salué le gouverneur de la région, colonel-major Blaise Ouédraogo.

« La mobilisation de ce jour traduit la bonne entente entre les fils et filles du Centre-Nord », Blaise Ouédraogo

Il a en outre souhaité que le nouveau bureau œuvre à ce que le bilan de leur mandat se solde par des actions positives, posées pour le bien-être des membres du CNPB, mais aussi, pour le développement de la région. « Cette cérémonie est un signal fort du partenariat entre le public et le privé, qui sont comme les deux faces d'une même pièce, différentes mais inséparables. Je souhaite que d'ici la fin de votre mandat, nous puissions avoir, dans la région du Centre-nord, une rue qui porte le nom du patronat », a-t-il lancé aux membres du bureau.

Une vue du bureau du Conseil régional du patronat burkinabè du Centre-nord

Un défi qu'à promis de relever le président, avec l'appui et le soutien de ses pairs.

Erwan Compaoré
Lefaso.net

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Burkina/Don de sang : La mutuelle des agents de la Sitarail contribue avec une cinquantaine de poches

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 01/08/2024 - 21:30

La mutuelle des agents de la Société internationale de transport africain par rail (SITARAIL), dans le cadre de ses activités, a organisé, ce jeudi 1er août 2024 à Bobo-Dioulasso, une opération de don de sang. Cette opération a vu la participation massive des membres de la mutuelle ainsi que des personnes de bonne volonté. Plus d'une cinquantaine de poches de sang sont attendues au terme de l'opération.

Ousseni Ganou est un cheminot à la Sitarail. Très tôt dans la matinée de ce jeudi 1er août, nous l'avons rencontré sous le hall voyageurs de la gare de train de Bobo-Dioulasso. Pour la première fois de sa vie, M. Ganou va donner un peu de son sang pour « sauver des vies ». Ce, grâce à la mutuelle des agents de la Sitarail qui organise une collecte de sang à cet effet.

Pour Ousseni Ganou, c'était une obligation pour lui de répondre à ce rendez-vous de don de sang car dans la mutuelle, il occupe le poste de secrétaire général adjoint. « En ma qualité de secrétaire général adjoint de la mutuelle, c'est un devoir pour moi de venir donner mon sang. J'ai accepté de donner mon sang également car c'est un geste qui sauve des vies », a-t-il expliqué.

Pour Ousseni Ganou, c'était une obligation pour lui de répondre à ce rendez-vous de don de sang

Au regard donc de l'importance de cette opération, ce dernier va affronter sa peur et son stress pour donner un peu de ce « liquide précieux » qu'est le sang. Et il invite la population à en faire autant car il estime que c'est un geste qui est nécessaire pour sauver des vies, surtout en cette période propice au paludisme. En effet, c'est la grande saison des pluies au Burkina Faso. Une période bien critique au plan sanitaire, car propice au paludisme. C'est une période où les besoins du pays en produits sanguins sont de plus en plus forts. Les personnes vulnérables en cette période restent les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans.

Les acteurs de la mutuelle mobilisés pour l'opération de don de sang

C'est pour apporter sa contribution à ce problème de manque de sang au niveau du Centre national de transfusion sanguine que la mutuelle des agents de la Sitarail organise cette opération de don de sang à Bobo-Dioulasso. « Cette période est propice au paludisme et le besoin de sang au niveau des centres de santé se fait ressentir. C'est au regard de la forte demande en sang au niveau du CNTS que nous avons jugé que ce don serait salvateur pour nos malades qui sont dans les hôpitaux », a indiqué le président de la mutuelle, Bousannadié Kho.

Le président de la mutuelle, Bousannadié Kho, a indiqué que cette action vise à soutenir les initiatives du CNTS

Cette action vise à soutenir les initiatives du Centre national de transfusion sanguine, dans l'optique de couvrir les besoins des populations en matière de sang, et à venir en aide aux patients qui en ont besoin. A travers donc cette opération, le CNTS pourra améliorer la couverture de ses besoins et augmenter la disponibilité en sang. Ce sont un peu plus de cinquante agents qui se sont succédé en vue de faire volontairement un don de sang. Parce que la vie est précieuse et qu'il faut la protéger, il invite toute la population au don de sang car, dit-il, c'est un geste simple qui sauve des vies.

Madame Valérie, secrétaire à la formation professionnelle à la Sitarail, une habituée du don de sang

Cette opération a bénéficié de l'accompagnement de la direction générale de la Sitarail ainsi que du CNTS. C'est pourquoi, le président de la mutuelle a saisi cette occasion pour exprimer sa gratitude, non seulement à sa hiérarchie, mais aussi aux acteurs de la banque de sang. Joseph Bazié est en service promotion du don de sang au niveau du CNTS de Bobo-Dioulasso. Pour sa part, il a salué l'initiative de la mutuelle qui, selon lui, réconforte les responsables du centre. « Nous sommes dans une période difficile et notre centre sert les trois provinces de la région, donc le besoin est énorme. Lorsque nous avons ces occasions, cela nous réjouit et nous ne pouvons que saluer cette initiative », a-t-il indiqué.

Joseph Bazié du service promotion du don de sang au niveau du CNTS de Bobo-Dioulasso a salué l'initiative de la mutuelle

Il invite également d'autres structures à emboiter le pas de la mutuelle car « le don de sang est un geste noble qui sauve beaucoup de vie. Et durant cette période difficile, si nous n'avons pas de soutien, ce n'est pas bon, beaucoup de personnes vont perde la vie », a-t-il insisté. Contrairement à M. Ganou, madame Valérie, secrétaire à la formation professionnelle à la Sitarail, est une habituée du don de sang. Pour elle, venir donner son sang à cette occasion et en cette période propice au paludisme est une nécessité pour sauver des vies.

Romuald Dofini
Lefaso.net

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Jour du dépassement de la terre : L'humanité a exploité en 7 mois toutes les ressources que la terre met 12 mois à régénérer

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 01/08/2024 - 20:49

Dans un communiqué publié en ligne et exploité par plusieurs médias, l'ONG Global Footprint Network annonce que ce jeudi 1er août 2024 marque le Jour du dépassement de la terre. Ce dépassement de la terre, pour cette année 2024, intervient un jour plus tôt qu'en 2023, mais est semblable à celui de l'année 2022. En seulement sept mois, l'humanité a exploité toutes les ressources que la terre met 12 mois à régénérer.

Mais de quoi s'agit-il concrètement ? Selon les calculs de l'ONG, l'humanité a utilisé autant de ressources naturelles que les écosystèmes de la planète peuvent en renouveler durant toute l'année.

Il faudrait donc 1,75 terre pour régénérer ce que l'humanité consomme. « La persistance du dépassement, depuis plus d'un demi-siècle, a entraîné une diminution de la biodiversité, un excès de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et une concurrence accrue pour la nourriture et l'énergie », pointe le communiqué de David Lin, directeur scientifique du Global Footprint Network. « Les symptômes sont de plus en plus évidents : vagues de chaleur inhabituelles, feux de forêt, sécheresse et inondations ».

Si la date du jour du dépassement est restée plutôt stable au cours de la dernière décennie, fluctuant entre le 1ᵉʳ et le 6 août depuis 2011, le Global Footprint Network souligne que l'humanité est en train de perdre la course en ne parvenant pas à tenir les objectifs fixés au niveau international pour protéger la planète, comme la protection de 30% de la biosphère dans le monde d'ici 2030 ou la réduction des émissions de carbone d'environ 45% par rapport à 2010. « La réduction des émissions de carbone nécessiterait à elle seule de déplacer le jour du dépassement de 22 jours par an au cours des six prochaines années », pointe ainsi l'ONG dans son communiqué. Par ailleurs, depuis 1970, la date du Jour du dépassement a été avancée de cinq mois.

YZ
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Massacre du 28 septembre en Guinée : réactions partagées entre organisations de défense des droits de l’homme et avocats de Dadis Camara après le verdict du procès

BBC Afrique - Thu, 01/08/2024 - 20:47
Satisfaction, soulagement d’un côté, déception, contestation, inquiétude de l’autre, le verdict du procès du massacre du 28 septembre en guinée a suscité des réactions nombreuses et variées.
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Air Algérie suspend temporairement ses vols vers cette destination

Algérie 360 - Thu, 01/08/2024 - 20:43

La compagnie aérienne nationale, Air Algérie, a annoncé ce jeudi, via un communiqué officiel, la suspension temporaire de ses vols à destination du Liban. Cette […]

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Orabank Burkina : La plateforme numérique KEAZ désormais disponible pour faciliter les opérations bancaires des clients

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 01/08/2024 - 20:03

Orabank Burkina a lancé ce 1er août 2024, un nouveau produit dénommé KEAZ. C'est une plateforme numérique, qui permet aux clients d'accéder aux services de la banque à distance. Ils peuvent, grâce à cet outil digital, effectuer de nombreuses opérations telles que les virements, les ordres de virement, le règlement des factures et même disposer du solde de leur compte ou de leur relevé d'identité bancaire. L'application My KEAZ est disponible sur Playstore et App store.

Orabank Burkina veut être plus proche de sa clientèle, à travers la digitalisation de ses services. La plateforme numérique KEAZ vient ainsi répondre à cet objectif, en donnant l'occasion aux clients de pouvoir faire différentes transactions à partir du téléphone portable ou de l'ordinateur, peu importe le lieu et le moment. Selon le directeur général d'Orabank Burkina, Etienne Konan, KEAZ incarne l'engagement de la banque à innover constamment, pour mieux servir les clients et leur offrir une expérience bancaire moderne, pratique et adaptée à leurs besoins. C'est pourquoi il invite les clients à s'approprier le produit, pour vivre l'expérience de « la banque dans la main, la banque partout ».

Etienne Konan, directeur général de Orabank Burkina invite les clients à s'approprier la plateforme KEAZ

KEAZ est une plateforme digitale comprenant plusieurs solutions agrégées acquises. Il s'adresse aux clients particuliers (KEAZ particuliers), aux entreprises (KEAZ Pro) et aux partenaires sous-traitant (KEAZ Spot). A en croire Narcisse Ouédraogo, responsable banque digitale à Orabank Burkina, plusieurs types d'opérations peuvent être menées sur la plateforme. « Le client peut avoir accès à son solde, demander des RIB, payer ses factures d'électricité via la plateforme, initier des transactions interbancaires aussi bien au plan national que régional, il peut demander un chéquier, faire une opposition sur sa carte, entrer en contact avec son gestionnaire de compte pour échanger et même faire des simulations de crédit », explique-t-il. Ce qui permet au client, d'avoir la banque à portée de main, partout et à tout moment.

Narcisse Ouédraogo, responsable banque digitale à Orabank

Pour bénéficier des services de KEAZ, il faut, avant tout, être client à Orabank, et ensuite s'enrôler en téléchargeant l'application My KEAZ sur Play store ou App store. Le client renseigne ensuite les différentes informations (numéro de compte, mot de passe, code d'identification) et peut dès cet instant, utiliser l'application pour ses opérations. Mis à part les transferts internationaux, tous les autres services offerts par KEAZ sont sécurisés et entièrement gratuits.

Idrissa Sedego, client d'Orabank n'a pas hésité à télécharger et tester la plateforme

Avant la phase d'utilisation à l'échelle de la plateforme, une phase pilote a permis de réajuster les différents paramètres afin de mieux répondre aux attentes des clients. Le responsable de la banque digitale rassure qu'à ce jour, la plateforme est à 99% performante et peut être utilisée en toute confiance et sécurité. Les équipes de la banque restent disponibles, pour accompagner les clients en cas de besoin ou de difficultés rencontrées.
A peine l'application lancée, les clients ne se sont pas fait prier pour la tester. Idrissa Sedego, responsable de Rafiq vision et client d'Orabank depuis sept ans, n'a pas hésité à télécharger KEAZ et à l'installer sur son smartphone. Il confie que la plateforme est très facile d'accès et apprécie les différentes possibilités qu'elle offre et qui répondent aux besoins actuels des clients. Au regard des facilités qu'offre l'application, Idrissa Sedego compte l'utiliser désormais pour ses différentes transactions et invite tous les clients d'Orabank à en faire autant.

En rappel, Orabank est un groupe panafricain présent dans douze pays d'Afrique. La banque compte au Burkina douze agences.

Armelle Ouédraogo
Crédit photo : Bonaventure Paré
Lefaso.net

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Kinshasa : les vivants cohabitent avec les morts au cimetière de Kinsuka

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 01/08/2024 - 20:01


La cohabitation entre les morts et les vivants est devenue possible au cimetière de Kinsuka dans la commune de Mont-Ngafula, ont constaté mercredi 31 juillet des reporters de Radio Okapi.


Les vivants gagnent du terrain chaque jour au cimetière de Kinsuka, au point que ce site héberge aujourd’hui plusieurs familles. L’une des habitants explique comment elle y est arrivée:

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Religion : Les Jésuites célèbrent 50 ans de présence au Burkina

Lefaso.net (Burkina Faso) - Thu, 01/08/2024 - 19:15

Le jubilé d'or de la présence des Jésuites au Burkina Faso s'est tenu le mardi 31 juillet 2024 au centre spirituel Pamyôdo du quartier Sandogo. Cette célébration se tenait aussi à l'occasion de la fête de saint Ignace de Loyola, fondateur de la société des Jésuites.

A la messe de ce jubilé d'or, sont venus de nombreux fidèles. Ils ont, dans l'union, rendu grâce au Seigneur pour tous les bienfaits qu'il a réalisés à travers cette présence des Jésuites au Burkina Faso. Cette eucharistie a été présidée par Laurent Birfuoré Dabiré, évêque de Dori, président de la conférence épiscopale Burkina-Niger. « Nous demandons aux nouvelles générations de suivre les œuvres de nos pionniers. C'est lorsque l'on s'engage pour le bien commun que l'on peut avancer. Ils sont des figures de prêtres Jésuites, de prêtres africains, de prêtres burkinabè et de prêtres catholiques », a exprimé l'évêque de Dori aux Père Jean Ilboudo et au Père Martin Birba qui célèbrent également leur jubilé d'or dans la compagnie de Jésus.

L'évêque de Dori, président de la conférence épiscopale Burkina-Niger a salué tout le travail abbatu par les Jésuites pendant ces 50 années

Selon le Père Martin Birba, malgré toutes ces années, il faut continuer à servir Dieu sans réserve. « On n'est jamais assez satisfait de sa vie. Ce que l'on peut retenir, c'est que Dieu, voyant tout cela, nous permet de continuer à nous mettre au service de l'église. Personnellement, il y a encore beaucoup de choses à faire et tant qu'il y a la vie, on ne peut pas se satisfaire. Il faut toujours se tourner vers le Seigneur », a-t-il dit. Cet homme de Dieu est le premier Jésuite de la Haute Volta, actuel Burkina, et a passé les huit dernières années à coordonner la mission Jésuite au Burkina Faso et au Mali. Il a d'ailleurs passé le témoin de la gestion de la compagnie dans ces deux pays au Père François Pazisnewendé Kaboré.

Père Martin Birba, premier Jésuite de la Haute Volta (actuel Burkina)

« Martin et moi nous sommes les tout premiers candidats Jésuites en Haute Volta. Lui a rejoint la compagnie en 1973 et moi je l'ai suivi une année après, en 1974. Ce qui est important de souligner, c'est que nous sommes entrés dans la compagnie sans avoir déjà vu un Jésuite. Il y a donc une œuvre, qui ne dépendait pas uniquement des connaissances humaines, qui a été faite », a confié le Père Jean Ilboudo. Pour lui, quand Dieu est avec nous, nous ne devons pas avoir peur car chaque fois que l'on agit avec lui, tout se passe bien.

De nombreux fidèles étaient présents à cette célébration

Un message d'action de grâce

« Ce que nous avons voulu passer comme message à travers ce jubilé d'or, c'est le message d'action de grâce. Action de grâce parce que 50 ans ce n'est pas 50 jours. Cela signifie que le Seigneur a béni le chemin de ceux qui ont été les premiers Jésuites ici au Burkina Faso. Sachant que la formation d'un Jésuite prend au minimum 15 à 16 ans, on peut dire que nous avons suffisamment de raisons de rendre grâce à Dieu », a fait savoir le Père François Pazisnewendé Kaboré.

Actuellement, le Burkina compte plus de 50 Jésuites dont une vingtaine de prêtres. Selon lui, la présence de la compagnie au Burkina a été très fructueuse à travers des institutions d'éducation comme le Centre d'études, de réflexion pour les collégiens et les anciens étudiants (CERCLE) mais aussi à travers le centre spirituel Pamyôdo qui soutient l'accompagnement spirituel des chrétiens et la Kosyam Jésuit University of Science (KoJUS) qui forme des entrepreneurs. « Souvent, les gens comparent la compagnie à un ordre militaire. Nous sommes très disciplinés et nous pensons que la discipline est très importante pour l'apostolat et la mission que nous avons reçu », a-t-il ajouté.

Le Père François Pazisnewendé Kaboré remplace le Père Martin Birba dans la mission Jésuite au Burkina Faso et au Mali

Les prêtres Jésuites sont des prêtres de l'Église catholique. En général, leur spécialité, c'est l'éducation secondaire et universitaire mais aussi la recherche. Ils sont plus de 20 000 Jésuites répartis dans tous les continents du monde. Au Burkina Faso, ils ont plusieurs communautés à la paroisse saint Pierre de Gounghin, à la résidence de Pamyôdo à Sandogo et un nouvel établissement (KoJUS) à Ouaga 2000. La compagnie de Jésus, plus connue sous le nom de Jésuite, est arrivée au Burkina Faso en 1974. Cette compagnie a été fondée par Saint Ignace de Loyola, né en 1491 à Guipuzcoa, en Espagne.

Farida Thiombiano
Lefaso.net

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Décès de Suzanne Kala Lobè, voix forte du journalisme au Cameroun

RFI /Afrique - Thu, 01/08/2024 - 18:52
Au Cameroun, elle était une voix forte du paysage médiatique. L'éditorialiste Suzanne Kala Lobè s'est éteinte dans la nuit de mercredi à ce jeudi 1ᵉʳ août à l'âge de 71 ans. Militante de gauche, elle rejoint aux débuts de la décennie 1990 La Nouvelle Expression, où elle se fera connaître, puis animera de longues années des émissions de débat comme Polémos, ou culturelles comme Livres Noirs et Musique d'Afrique sur la radio Équinoxe avant d'être nommée au Conseil national de la communication.
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Affaire Mike Kalambayi : libération du journaliste JC Ndanga du cachot de parquet près le TGI/Gombe

Radio Okapi / RD Congo - Thu, 01/08/2024 - 18:44


Le parquet près le tribunal de grande instance de Kinshasa-Gombe a libéré, mercredi 31 juillet, le journaliste Joël-Cadet Ndanga, après un jour d’interpellation sur l’affaire du concert du musicien gospel Mike Kalambayi.


Le parquet a constaté que son rôle ne s'est limité qu'à la communication et la publicité.


Et que seule la société Maajabu était l'organisatrice dudit concert ayant produit Mike Kalambayi.

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JO 2024-Handball: les Françaises assurent, les Angolaises toujours en vie

RFI /Afrique - Thu, 01/08/2024 - 18:29
Après avoir remporté leurs trois premiers matchs, les handballeuses françaises ont assuré le coup contre l'Angola, avec une victoire facile ce jeudi 1er août (38-24). Elles sont sûres de finir premières de leur groupe alors que la sélection nationale angolaise devra battre le Brésil pour s'assurer les quarts. 
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Stellantis Pro One, la nouvelle référence sur le marché des utilitaires dans 3 régions

Algérie 360 - Thu, 01/08/2024 - 18:23

Stellantis Pro One continue de marquer des points sur l’échiquier mondial des véhicules utilitaires. Avec des résultats semestriels en hausse spectaculaire, la division spécialisée de […]

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