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Afrique

C'est le Moment

BBC Afrique - Fri, 12/07/2013 - 17:38
C'est le Moment
Categories: Afrique

Le Journal de la Culture

BBC Afrique - Fri, 12/07/2013 - 17:33
Les échos de la culture africaine et de la diaspora africaine, dans toute sa vitalité, avec Valérie Bony tous les samedis à 06:45 GMT.
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Le Grand Reportage

BBC Afrique - Fri, 12/07/2013 - 17:15
Un sujet traité en profondeur et qui fait appel aux différents genres journalistiques
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Partenaires

BBC Afrique - Tue, 02/07/2013 - 13:58
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A propos de « Notre guerre secrète au Mali »*

Amadou Amath Blog - Mon, 27/05/2013 - 20:33
Sorti avec les premiers ouvrages sur la crise malienne, après les phases choc et reconquête de l’opération Serval, le premier intérêt du livre d’Isabelle Lasserre et Thierry Oberlé, journalistes au Figaro, est sans doute leur récit de ce qui a … Lire la suite →
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Soudan du Sud:De DSK aux ex-mercenaires de BlackWater, pourquoi misent-ils tous sur le Soudan du Sud ?

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - Mon, 27/05/2013 - 16:21
-Il existe un point commun entre l’ancien directeur du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, et l’ex-fondateur de la sulfureuse société militaire privée BlackWater, Erik Prince : leur intérêt pour le pays le plus jeune du monde, le Soudan du Sud.
Le 14 mai dernier, un petit comité de financiers de haut vol inaugurait en grande pompe une nouvelle banque à Juba, la capitale du Soudan du Sud. Sous les applaudissements de quelques investisseurs étrangers et nationaux, Dominique Strauss-Kahn illustrait son retour aux affaires par un discours de bienvenue à la toute jeune National Credit Bank. « Ce n’est pas une banque venue de l’étranger, ce sera l’une de vos banques et c’est important pour votre pays », assurait alors l’ancien patron du FMI.
Invité comme « consultant financier indépendant », DSK a été mis en avant afin d’attirer le regard des Occidentaux. Il faut convaincre du potentiel économique du Soudan du Sud. Parmi les actionnaires de cette nouvelle banque, on trouve des natifs du pays, mais aussi des étrangers, parmi lesquels la société de gestion d’actifs Assya Asset Management (AAM), gros actionnaire minoritaire de cette nouvelle banque, dont on ne connaît pas le détail de la capitalisation.
Pour cette occasion, le principal actionnaire d’Anatevka, maison mère d’AAM basée au Luxembourg, décrypte les enjeux de cette présence à Juba. Thierry Leyne explique ainsi « l’occasion rêvée » qu’est la création d’un nouvel Etat. Dans le Soudan du Sud, né le 9 juillet 2011, tout est à faire : infrastructures, développement d’une économie locale, nationale, régionale, mais surtout d’un système bancaire et financier. « On en revient aux fondamentaux d’il y a cent ans », se félicite Thierry Leyne, enthousiaste.
« Ce sont des gens qui achètent des tickets de loterie », estime de son côté l’historien Gérard Prunier, spécialiste de la Corne de l’Afrique. « Ils viennent pour faire un coup et récupérer l’argent qui circule. » Pour lui, la situation sécuritaire au Soudan du Sud est si catastrophique que les investissements restent suicidaires. Il évalue les pertes du gouvernement en place à quelque sept milliards de dollars, détournés ou gaspillés.
Petites affaires entre bons amis
Si le groupe d’investissement luxembourgeois s’intéresse au Soudan du Sud, ce serait avant tout une histoire d’hommes. Voilà des années de cela, son fondateur a rencontré à Londres des expatriés sud-soudanais travaillant dans la finance, Abdelkarim Isai et Dawd Abate. Lorsque ceux-ci sont revenus dans leur pays pour participer à sa construction, ils se sont très naturellement tournés vers leur ancien ami pour obtenir de bons conseils.
Ces discussions ont amené les connaissances à devenir partenaires d’affaires, le cercle s’élargissant rapidement à DSK : un ancien patron du FMI, ce doit être rassurant pour les investisseurs. Le pays présente un fort potentiel de croissance économique qui attire déjà d’importants groupes asiatiques, notamment dans le secteur pétrolier.
La National Credit Bank espère capter des marchés auprès des investisseurs, mais aussi sur le territoire : « Il s’agit de convaincre à l’étranger. Mais nous voulons aussi inviter les Sud-Soudanais à venir déposer leurs salaires à la banque », admet Thierry Leyne.
Juba peut en effet miser sur d’importantes potentialités. Son économie, très exposée, repose pour l’instant sur le pétrole, dont le pays tire 98 % de ses recettes. Il espère pouvoir profiter des investissements dans les infrastructures menés par les exploitants de l’or noir pour développer d’autres activités.
Le Soudan du Sud est particulièrement riche en matières premières : du pétrole, certes, mais aussi des forêts, des minerais et des zones à fort potentiel hydroélectrique. L’agriculture à elle seule représente une ressource inestimable : 90 % du sol est cultivable, dont la moitié composée de terres de première qualité, presque inexploitées à l’heure actuelle.
Reconversion de mercenaires
Ce potentiel, nos financiers européens ne sont pas les seuls à l’avoir remarqué. Une autre personnalité cultive depuis de nombreuses années des relations ambigües avec le Soudan : Erik Prince. Le fondateur de la société militaire privée Blackwater, controversée pour ses méthodes musclées, notamment en Irak, s’est reconverti dans le conseil après avoir revendu sa compagnie. Basé depuis 2010 à Abu Dhabi, il lance une nouvelle entreprise, Frontier Ressource Group, pour faire commerce de ses bonnes idées sur la gestion du risque dans certains pays : Somalie, République démocratique du Congo et Soudan du Sud.
Gardant ses bonnes habitudes, cet ancien Navy Seal (une unité de commandos d’élite de l’armée américaine) puise chez d’anciens marines le gros de sa troupe. Il s’entoure d’un spécialiste des matières premières, Gregg Smith, passé par la 2nd Marine Divison, et le géant de l’audit financier Deloitte. Il récupère aussi Paul Habenicht, un ancien chef d’unité sniper en Afghanistan et en Irak. Enfin, il débauche chez la société militaire privée Saladin un jeune prodige sorti de la prestigieuse université de Georgetown (US), Rachel Braun, spécialiste du lobbying pétrolier et du Sud-Soudan.
Miser sur le pétrole pour planter du maïs
Ce commando de choc du consulting semble idéal pour conseiller un investisseur sur un marché risqué comme le Soudan du Sud. Client de choix pour Frontier Ressource Group : Pékin. La Chine, mais aussi la Malaisie et l’Inde, est en première ligne des investissements au Soudan du Sud. Leurs compagnies pétrolières nationales (CNPC, Sinopec, Petronas et ONGC) s’attèlent à l’extraction quotidienne de 200 à 350 000 barils – lorsque les relations avec Khartoum le permettent – qui assurent la survie de Juba. Des investisseurs qui sécurisent leurs ressources énergétiques, mais aussi alimentaires : tous trois figurent parmi les principaux locataires et acheteurs de terres arables en Afrique.
Les compagnies asiatiques ont une approche du risque différente des sociétés occidentales. Malgré la situation explosive du Soudan du Sud, elles n’hésitent pas à investir ce marché à fort potentiel. Car si Juba ne fait pas office de grande puissance pétrolière mondiale, elle pourrait s’imposer comme un exportateur conséquent sur le long terme. L’insécurité du pays a en effet limité son exploration géologique : certains s’attendent à découvrir d’importantes ressources pétrolières non encore dévoilées.
Francis Perrin, consultant sur l’énergie et les matières premières, remarque que les investissements dans le secteur pétrolier peuvent avoir des retombées positives pour le pays. « La question des infrastructures est importante : il faut des routes et des aéroports pour acheminer du personnel, du matériel », explique-t-il. C’est d’ailleurs ce qui pourrait expliquer l’intérêt d’Occidentaux pour une banque sud-soudanaise : « Il n’y a pas d’économie qui fonctionne sans un système bancaire et financier qui fonctionne. »
Dans cette course au pétrole, les Occidentaux ont pourtant déserté le territoire soudanais dans les années quatre-vingt. Trop risqué, trop instable. Ou presque : Total reste à la tête d’un consortium qui est détenteur des autorisations pour explorer un bloc de 120 000 km². Si le niveau d’insécurité diminuait, le pétrolier français pourrait de nouveau envisager d’investir au Soudan du Sud. Reste à savoir si l’enthousiasme de Dominique Strauss-Kahn sera contagieux.
Par RFI
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Chinafrique : ces banques chinoises qui oeuvrent dans l'ombre

Jeune Afrique / Finance - Mon, 27/05/2013 - 11:48
Les �tablissements chinois, de plus en plus actifs, appuient l'offensive �conomique de l'empire du Milieu sur le continent. Politique ou commercial, � chacun son r�le.
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Tunisie : malgré les tensions, les introductions en bourse se multiplient

Jeune Afrique / Finance - Fri, 24/05/2013 - 13:16
Apr�s une ann�e 2012 atone et malgr� un contexte politico-�conomique difficile, les introductions se multiplient � la BVMT. Principale cause de cette ru�e : l'ass�chement des cr�dits bancaires.
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Chine : au pays de l'or rouge

Jeune Afrique / Finance - Fri, 10/05/2013 - 12:03
Ex-colonie britannique, Hong Kong est devenu l'une des principales places financi�res offshore de la plan�te. Mais les dirigeants de la R�publique populaire se gardent bien de le crier sur les toits !
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Fin de partie pour Karim Wade

Amadou Amath Blog - Thu, 18/04/2013 - 15:18
L’ancien ministre du ciel et de la terre, meilleur « financier » du Sénégal[1] pour son père Abdoulaye Wade et premier martyr de toute l’histoire du pays de la Téranga selon ses propres dires[2] a trouvé son Panthéon: Reubeuss. Une prison dakaroise … Lire la suite →
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Comment va le Maroc ?

Jeune Afrique / Finance - Wed, 17/04/2013 - 17:49
Le volontarisme des autorit�s pour faire du royaume un acteur d'envergure r�gionale et une destination privil�gi�e pour les investisseurs est manifeste. Pourtant, des d�s�quilibres demeurent.
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Chypre : paradis (fiscal) perdu

Jeune Afrique / Finance - Mon, 18/03/2013 - 11:46
En �change d'une aide europ�enne d'urgence de 10 milliards d'euros, le gouvernement veut taxer les d�p�ts bancaires. Les investisseurs �trangers sont furieux, russes dans leur majorit�.
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Les nouveaux nègres

Amadou Amath Blog - Fri, 08/03/2013 - 15:18
[…] « Le courageux retour au pays des nouvelles générations de femmes intellectuelles, leurs savoirs actualisés, leurs profondes convictions, et surtout leur refus de se soumettre, ne se fait pas sans heurts au sein des familles, des entreprises et d’une société … Lire la suite →
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Ces milliardaires qui croient en l'Afrique

Jeune Afrique / Finance - Tue, 05/03/2013 - 10:55
Alors que la crise p�se sur l'aide publique au d�veloppement, de nouvelles organisations de bienfaisance �mergent. Fortes de leurs moyens financiers, ces fondations priv�es exercent une influence croissante sur l'agenda des pays o� elles interviennent, hors de tout contr�le politique.
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Au secours, la dette revient !

Jeune Afrique / Finance - Mon, 25/02/2013 - 16:53
Pour un Occident au bord de la faillite, le faible endettement de la plupart des pays africains est enviable. Pourtant, plusieurs institutions et sp�cialistes tirent d�j� la sonnette d'alarme. Pr�matur�ment ?
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Unesco : Farah Rachad candidat de l’Afrique (UA) et du monde musulman (OCI)

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - Tue, 12/02/2013 - 09:00
 Par Philippe Tourel 
 Les 57 pays membres de l’Organisation de la coopération islamique ont rejoint les 54 membres de l’Union africaine pour soutenir, à l’unanimité, la candidature de l’Ambassadeur de Djibouti en France au poste de Directeur général de l’Unesco.


 Unesco : Farah Rachad candidat de l’Afrique (UA) et du monde musulman (OCI) Le premier candidat à se déclarer pour le poste de Directeur général de l’Unesco, le diplomate et intellectuel djiboutien Rachad Farah, actuellement occupé par la Bulgare Irina Gueorguieva Bokova, dont le mandat se termine cette année, peut s’estimer heureux. Il vient de remporter deux victoires de taille. La première avec le soutien de l’Union africaine, la deuxième avec celui de la Conférence de la coopération islamique, soit plus que la moitié des pays membres de l’Unesco.
En effet, le XXe Sommet de l'Union Africaine, réuni à Addis-Abeba (Ethiopie) du 21 au 28 janvier 2013, a soutenu à l'unanimité la candidature de M. Farah Rachad, ambassadeur de Djibouti en France, au poste de Directeur Général de l'UNESCO dont l'élection aura lieu en octobre 2013. La candidature de M. Farah Rachad a été proposée par l'Ouganda au nom de l'IGAD lors de la XXIIe session du Conseil exécutif de l’Unesco. Le Sommet a appelé à une mobilisation de l'ensemble des pays du Continent pour appuyer et renforcer la campagne de M. Farah Rachad. Cette mobilisation doit s'inscrire dans la détermination des Etats Africains à accéder à la tête des institutions internationales et être en phase avec le slogan du Sommet -Panafricanisme et Renaissance du Continent. Ce soutien «  fort, massif et unanime » à un candidat africain pour diriger cette organisation onusienne chargée de l'Education, la Culture et la Science répond précisément au programme d’action de M. Rachad qui avait mis le combat contre, la pauvreté et pour la paix à la tête de ses priorités. 
Ce soutien des États Membres de l'UA intervient après celui apporté par l'Organisation de la Conférence Islamique suite à la 39e session de conseil des ministres des Affaires étrangères de l'OCI qui avait eu lieu en novembre 2012 à Djibouti. 
Si la Russie a déjà opté pour le renouvellement du mandat de l’actuelle directrice, force est de constater que les pays européens ne se sont pas encore prononcés ni le groupe arabe (dont le soutien est cependant presque acquis) ou celui de l’Amérique latine et de l’Asie.
M. Rachad Farah, intellectuel et diplomate de carrière est francophone, ce qui est un atout majeur pour l’obtention de ce poste. Il a été diplomate de 1977 à 1989 dans plusieurs pays asiatiques, notamment au Japon, en Inde et en Chine ainsi que dans tous les pays de l'ASEAN de 1989 à 2004. Le diplomate djiboutien a été également élu vice-président du groupe Africain au Conseil exécutif de l'UNESCO. M. Rachad Farah a contribué activement à la création, avec le concours de l'UNESCO, du premier Think Tank en Afrique de l'Est qui aura son siège à Djibouti.
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Conference on Somalia in the UK, May 2013

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - Mon, 11/02/2013 - 13:50

The UK and Somalia have agreed to jointly host an international conference on Somalia in the UK
on 7 May 2013. The purpose of the conference is to provide international support for the new
Government of Somalia’s immediate priorities as it rebuilds its country.
http://xa.yimg.com/kq/groups/10162866/656666611/name/RICU%20Talking%20Points%20Somalia%20Conference%20Jan%202013.pdf

What are the objectives of the conference?
The conference will help the Government of Somalia to deliver on the priorities it has identified.
These include rebuilding its armed forces, police, coastguard, justice and public financial
management systems.

Why hold a new international conference on Somalia now?
Somalia now has a new parliament, selected by the clans, and a new president elected by the
parliament. As a result, Somalia has a more legitimate government that it has seen in many
decades. In addition, the proscribed terrorist organisation Al Shabaab has been expelled from
many of Somalia's major towns and cities. Confidence is increasing and the diaspora is returning.
The changes in Somalia over the last year offer a unique opportunity to build stability and security
in the country, and the new Government of Somalia has asked for assistance in delivering its
objectives.

What did the last conference in the UK achieve?
The London Conference on Somalia in February 2012 played a role in helping Somalia to end the
political transition. In particular, the international community sent a concerted message that the
transitional government’s mandate had to end in August 2012. International engagement in the
lead-up to the conference led to a UN Security Council Resolution expanding the African Union
force in Somalia (AMISOM) from 12,000 to 17,000. Since the conference, AMISOM has been
instrumental in taking control of a number of towns and cities in Somalia from Al Shabaab.
The UK has been supporting the training of the Somalia National Security Forces through the
European Union Training Mission (EUTM), including by providing both funding and personnel. We
have provided support for a biometric identification system to register EUTM-trained troops, which
is now being expanded with an extra injection of $2.4m over the next three years. In addition, we
have been working with the US to support the building of camp infrastructure for the Somali
National Security Forces in Mogadishu, providing £1 million to this end. AMISOM, which we
support, is also involved in the training of Somali forces.

Who will attend the conference?
The conference will include a wide range of neighbouring countries, regional and international
partners, and multilateral institutions. The attendees will be agreed between the Governments of
the UK and Somalia.

What about the Somali diaspora in the UK?
The Somali diaspora continues to play a key role back in the development and reconstruction of
their homeland. For many years, Somalis worldwide have sent more money home in remittances
than Somalia receives from the international community in aid. As we prepare to co-host a major
international conference with the Government of Somalia, the UK Government is keen to hear
from those who remain committed to delivering progress in Somalia. We will actively seek out
opportunities to engage with the diaspora around the conference.

Will the conference really help the people of Somalia?

The conference will help the people of Somalia because it can help galvanise the international
community behind the Government of Somalia’s priorities of rebuilding its armed forces, police,
coastguard, justice and public financial management systems. The international community can
support the new, more representative, Government of Somalia as it begins to address the
underlying causes of instability and insecurity and deliver more adequate services for its citizens
and, in the longer term, regenerate Somalia’s economy.
A more stable Somalia will reduce the risk of humanitarian disasters. Last year’s drought turned
into famine largely because of conflict and instability. While the famine lifted in February 2012,
more than two million people still remain in need.

Why does the UK care about Somalia?
What happens in Somalia has implications well beyond its borders. Helping Somalia to reverse the
underlying state failure can help to improve the security of the country, reduce the levels of piracy
and terrorism, enable refugees to return home, and improve the lives of millions of Somalis. And
by supporting the Government of Somalia in tackling the root causes of state failure, the security
interests of Somalia’s friends and neighbours will also be served.
Britain has pledged to spend £63 million every year to tackle the root causes of poverty and
conflict in Somalia. By 2015 UK aid will help build up key local government services; help 45,000
people to get a job; allow 3,000 morewomen and girls to access justice; and help 20,000 access
the schools, latrines, roads and health clinics to give the people of Somalia the opportunity they
need to pull themselves out of poverty.
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Algérie : Hamza Bendelladj, cracker indécryptable

Jeune Afrique / Finance - Wed, 30/01/2013 - 12:53
Soup�onn� par le FBI d'avoir d�rob� plusieurs millions de dollars � quelque 217 banques et �tablissements am�ricains, le jeune pirate informatique Hamza Bendelladj, arr�t� � Bangkok, ne laisse d'intriguer.
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Claude Ayo-Iguendha

Jeune Afrique / Finance - Wed, 09/01/2013 - 19:22
D�cideurs politiques et �conomiques, leaders de la soci�t� civile, figures du monde de la culture... Jeune Afrique pr�sente les 50 acteurs les plus influents du Gabon : Claude Ayo-Iguendha, 68 ans, administrateur-directeur g�n�ral de la Banque internationale pour le commerce et l'industrie.
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Serge Thierry Mickoto

Jeune Afrique / Finance - Wed, 09/01/2013 - 19:22
D�cideurs politiques et �conomiques, leaders de la soci�t� civile, figures du monde de la culture... Jeune Afrique pr�sente les 50 acteurs les plus influents du Gabon : Serge Thierry Mickoto, 40 ans, directeur g�n�ral du Fonds gabonais d'investissements strat�giques (FGIS).
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