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Afrique

RDC : « Aucun acompte des frais scolaires ne doit être exigé avant la rentrée scolaire 2023-2024 », ordonne la ministre Malu

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 14/08/2024 - 08:01


« Aucun acompte des frais scolaires ne doit être exigé avant la rentrée scolaire 2023-2024 », a décidé la ministre d’Etat en l’Education, Raïssa Malu. 


Cette décision est l’une des cinq mesures contenues dans sa note publiée le 13 août courant.


Ce document est adressé aux directeurs des provinces éducationnelles avec copie à tous les responsables de l’éducation à travers le pays. 


Raïssa Malu vise à corriger plusieurs pratiques érigées en système dans beaucoup d’écoles.

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Congo Nouveau : « Mesure fiscale pour combattre la vie chère, Mukoko Samba annonce ses couleurs »

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 14/08/2024 - 07:47


Revue de presse kinoise du mercredi 14 août 2024.


Les mesures du Gouvernement pour combattre la cherté de la vie à travers le pays fait la Une de la plupart des journaux parus ce mercredi 14 aout dans la capitale.

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L’Eko, un hôtel à la démesure du Nigeria

LeMonde / Afrique - Wed, 14/08/2024 - 04:30
« En Afrique, des hôtels de légende » (3/5). Fort de 850 chambres, d’événements géants et de nombreux commerces, l’Eko Hotels & Suites, à Lagos, est une ville dans la ville, avec à ses pieds une nouvelle île entièrement sortie des eaux.
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L’ancien ministre du Tourisme Modero Nsimba placé en résidence surveillée

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 14/08/2024 - 01:19


L'ancien ministre du Tourisme, Modero Nsimba, est placé en résidence surveillée chez lui depuis ce mardi 13 août. Il n’est pas libéré, selon son conseil. C'est une exécution de l’arrêt rendu jadis par la Cour de cassation. 


En effet, lorsque Modero  Nsimba avait été déféré devant cette Cour le 21 mars, un arrêt avait été pris le plaçant en état de détention préventive à la prison centrale de Makala, traduit par son assignation en résidence surveillée.

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Procès ONEA contre usagers fraudeurs : L'audience renvoyée au 20 août 2024

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 14/08/2024 - 00:15

L'audience du dossier dit « Procès ONEA contre usagers fraudeurs » avait lieu ce mardi 13 août 2024 au Tribunal de grande instance (TGI Ouaga 1). Aussitôt appelé, le dossier a été renvoyé au 20 août 2024 « pour extraction des prévenus ».

Au cours des débats, on note que les prévenus ne sont pas venus au palais parce que le procureur ne l'avait pas ordonné, explique un avocat de la défense.

Il faut noter que ce sont cinq personnes poursuivies pour soustraction frauduleuse d'eau courante à l'Office national de l'eau et de l'assainissement (ONEA).

Note: ">Lire aussi : Ouagadougou : Des présumés auteurs de soustraction frauduleuse d'eau courante causent un préjudice financier de plus de 30 millions de FCFA à l'ONEA

Le 27 juin 2024, la Cellule économique et financière de la section de recherches de la troisième légion de gendarmerie nationale les a présentées au cours d'une conférence de presse.

Selon le directeur régional du Centre de l'ONEA, Moussa Siemdé, pour l'année 2023, ce sont plus de 150 millions de francs CFA qui sont évalués comme préjudice financier dans les cinq agences ONEA de Ouagadougou.

Cryspin Laoundiki
Lefaso.net

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Journée internationale des gauchers : « Les parents avaient enchaîné les doigts de ma main gauche pour m'empêcher de l'utiliser », Sékou Ouédraogo

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 14/08/2024 - 00:10

La journée internationale des gauchers est célébrée chaque 13 août. Cette journée dédiée aux gauchers est l'occasion de les mettre en lumière dans une société majoritairement dominée par les droitiers. À travers un micro-trottoir, des gauchers partagent leurs histoires, en révélant des anecdotes de leur enfance, marquée le plus souvent par des adaptations forcées et des incompréhensions culturelles.

Abdoulazize Bamogo, ancien président du Conseil supérieur de la communication (CSC)

« Aujourd'hui, être gaucher ne me cause pas trop de problème. Il n'y a pas de véritables difficultés depuis qu'on est adulte. C'est durant l'enfance que c'était un peu plus compliqué. Même avant que je n'aille à l'école primaire, c'était difficile surtout pour manger parce que comme je suis issu d'une famille musulmane, en islam on préfère utiliser la main droite pour beaucoup de choses et c'est interdit d'utiliser la main gauche pour un certain nombre choses notamment pour manger. Et moi quand j'étais gamin, c'était vraiment difficile, parce que quand on posait le repas, c'est souvent ensemble, avec les mamans et les frères, qu'il fallait manger.

En général, les gens commençaient à manger et moi je suis là, je cherche la main à utiliser. Et souvent, ceux qui voulaient plaisanter un peu avec moi me regardaient et attendaient que j'essaie de plonger une main pour qu'on m'attrape la main gauche pour dire que ce n'est pas cette main qu'il faut utiliser mais plutôt la main droite. Après quand on devient grand, ce n'est vraiment pas un problème particulier. Pour saluer, ça ne cause pas trop de problème parce que quand vous êtes en face de quelqu'un et que la personne tend généralement la main droite, même quand tu te trompes, tu te ressaisis rapidement avec la main qui correspond à celle que celui qui est en face de vous vous a tendu.

Tout cela s'est posé en termes de problèmes durant l'enfance. Quand on grandit, ça devient un peu plus simple à gérer. Au niveau de l'écriture, ça ne m'a pas causé de problème. Par contre, c'est à mon grand-frère que cela a causé des problèmes, parce que lui, il avait poursuivi dans l'école coranique et là-bas, on l'a plutôt obligé à utiliser la droite pour écrire. Et ça fait que son écriture jusqu'aujourd'hui, quand tu regardes, tu sens que ce n'est pas trop ça parce que ça été un peu trop forcé. Mais il arrive aujourd'hui à se débrouiller avec les deux mains, contrairement à moi qui suis pleinement gaucher et qui ne peux pas faire grande chose avec la main droite ».

Armelle Ouédraogo/ Yaméogo, journaliste reporter à Lefaso.net

« Il faut dire que ma vie au quotidien est comme celle des droitiers. Je fais normalement tout avec la main gauche. Ce sont peut-être les droitiers qui voient que je le fais avec la gauche sinon pour moi, tout se fait naturellement. Ecrire, manger, faire les travaux domestiques, tout se fait naturellement. Je fais tout avec la main gauche de la même manière que les droitiers utilisent leur main droite. Moi j'utilise le plus ma main gauche pour couper les condiments, écrire, me laver, laver les enfants, laver les habits, même nouer le pagne. Utiliser la main gauche, la plupart du temps, ne pose pas de soucis, sauf quelques rares fois où j'ai connu des situations pas très agréables.

Par exemple, j'étais au mariage d'une cousine. J'étais en train de servir le repas. Avec la droite je n'y arrivais vraiment pas, donc j'ai préféré utiliser la gauche. Je servais les gens avec la gauche et arriver à une dame, elle m'a dit non, c'est bon, de déposer la louche qu'elle allait se servir elle-même, parce qu'elle n'aime pas la gauche. Je ne l'ai pas pris trop mal, je l'ai laissé faire et ensuite, j'ai cherché un coin, je me suis mise de côté. Ça ne me touche pas plus que ça, parce que je me dis c'est leur façon de voir les choses, libre à eux.

C'est peut-être dans la conception culturelle, notamment chez les Mossis, que les gens disent que la main gauche est celle qui n'est pas bonne, donc les gens ont des idées arrêtées et voient ça comme un truc pas bien. Sinon, être gaucher ou droitier, c'est la même chose, c'est la capacité à utiliser la main gauche plus que la droite. Donc je ne vois pas de mal à ça. Ce que je veux dire aux parents qui ont des enfants gauchers, que ce n'est pas la peine de forcer l'enfant à utiliser la main droite. C'est une prédisposition naturelle et il faut laisser la personne développer naturellement l'usage de sa main gauche. Je ne vois pas de problème à cela parce que j'ai mon fils de quatre ans qui est aussi gaucher comme moi, ce n'est pas un souci. Ce n'est pas la peine de frustrer les enfants, de les obliger à utiliser la main droite. Je ne vois pas de mal à être gaucher ».

Yaya Boudani, journaliste à radio Pulsar

« A vrai dire, nous nous efforçons pour nous adapter aux autres. L'utilisation de certains objets du quotidien est parfois compliquée, puisque certains objets sont faits uniquement pour être utilisés par les droitiers. Pour manger avec la main, c'est avec la droite, mais quand il faut utiliser une cuillère ou une fourchette, il faut la gauche. Mais avec le temps, on finit par s'habituer. Je tends toujours la main droite pour une poignée de main. Il faut souligner qu'on s'excuse régulièrement auprès de certaines personnes, quand on tend la main gauche pour récupérer un objet ou remettre un objet.

Ce n'est pas toujours que les gens comprennent cette situation. Je me rappelle avoir subi toutes sortes de punitions à l'école pour me pousser à écrire avec la main droite. Mes parents avaient été convoqués plusieurs fois au niveau de l'école (surtout au primaire) pour leur demander de m'obliger à utiliser la main droite. La proposition avait été faite de plâtrer ma gauche, mais mon père a dû expliquer que depuis ma naissance, j'utilise la main gauche donc il fallait me laisser continuer. Je suis gaucher de la main et du pied, du coup je sais à quoi m'en tenir en fonction des situations ».

Koti Ange Laurentia Da

« La plupart du temps, les gens sont surpris dès qu'ils me voient écrire avec la main gauche : ah tu écris avec la main gauche ! Les gens me demandent tout le temps comment je fais pour rester gauchère parce qu'il y a de nombreuses personnes qui ont été contraintes de changer de main car elles étaient gauchères ».

Sékou Ouédraogo, journaliste à Burkina Info

« C'est à l'âge de trois ans qu'on a constaté que je suis gaucher car en faisant certains travaux, j'utilisais plus la main gauche que la droite. Je buvais l'eau et je mangeais avec la main gauche, mais entre-temps, les parents avaient enchaîné mes doigts et ma main gauche pour m'empêcher de l'utiliser. Dans la société africaine surtout chez nous les musulmans, on pense que l'être gaucher est une forme de malédiction. Même avec les parents, ce n'était pas facile parce que chaque fois que je faisais une tâche avec la main gauche, c'était des punitions à n'en point finir.

Il arrivait même qu'on me fasse passer une journée sans manger tout simplement parce que j'ai tenté d'enlever la nourriture avec la main gauche. A l'école aussi, ce n'était pas facile parce que j'étais le seul gaucher et mon enseignant voulait que j'écrive avec ma main droite parce que pour lui, il était inadmissible qu'un gaucher puisse intégrer l'école. Lorsque j'écrivais avec la main gauche et que l'enseignant arrivait, j'étais obligé de changer de main, sinon il me frappait.

Aujourd'hui, je fais pratiquement tout avec la main gauche, sauf quelques exceptions comme saluer quelqu'un. Je ne mange pas non plus avec la main gauche, même si je me surprends quelques fois en train de le faire mais je change dès que je m'en rends compte. Je prends mes ablutions et cuisine avec la main gauche. Il est vrai que c'est mal vu, mais lorsque j'utilise ma main droite pour faire quelque chose, je n'ai pas le même rendu que si c'était avec ma main gauche. On m'a surnommé gaucher et ce nom m'a suivi. Toute personne qui ne connaît pas mon prénom m'appelle ainsi. C'est une forme de stigmatisation mais je n'en fait pas un problème. Naître gaucher est une chance et je le prends avec plaisir.

J'interpelle les parents qui n'ont toujours pas compris qu'on naît avec et qu'en aucun cas on ne pourrait changer. On doit sensibiliser les parents pour qu'ils encouragent les enfants qui naissent gauchers et qu'ils ne voient pas cela comme un handicap mais plutôt comme une valeur ».

Hanifa Koussoubé
Lefaso.net

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Burkina/Entrepreneuriat : Les encadreurs nationaux formés pour mieux assurer leur mission sur le terrain

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 14/08/2024 - 00:05

Le ministre de la Jeunesse et de l'Emploi a, à travers la direction générale de la jeunesse et de l'éducation permanente, organisé un atelier pour former les encadreurs nationaux sur les outils du programme de promotion de l'entrepreneuriat des jeunes. La rencontre de formation a débuté ce mardi 13 août 2024, à Ouagadougou et elle prendra fin le 17 août.

Cette formation entre dans le cadre d'un programme que la Conférence des ministres de la jeunesse, des sports et de la francophonie (CONFEJES) développe. Il s'agit du programme de promotion de l'entrepreneuriat des jeunes. Il est mis en œuvre sur l'ensemble des treize régions du pays.

« La confédération a décidé d'appuyer le Burkina Faso pour renforcer les capacités des encadreurs nationaux de ce programme pour qu'ils puissent mieux assurer le suivi des promoteurs sur le terrain. Le Burkina Faso met en œuvre ce programme depuis plusieurs décennies maintenant. Chaque année, nous organisons des formations en entrepreneuriat au niveau des différentes régions. Nous assurons le montage des plans d'affaires des jeunes formés. Nous sommes heureux d'annoncer que depuis quatre à cinq années, nous avons la totalité des plans d'affaires des jeunes acceptée par le comité technique de sélection et d'orientation de la confédération. Les jeunes bénéficient d'une subvention. Ce qui leur permet de mettre en œuvre leurs projets », a signalé le directeur général de la jeunesse et de l'éducation permanente, Larba Pilga.

Le directeur général de la jeunesse et de l'éducation permanente

Et d'ajouter : « Comme ce sont nos collègues qui sont dans les différentes régions pour assurer le suivi des promoteurs, il était important qu'on renforce leurs capacités sur les outils de suivi mais également sur les canevas de montage des plans d'affaires, d'où cette session de formation ».

Dingam Donon-Horbe, le directeur des programmes jeunesse de la confédération.

Au cours de cette formation, plusieurs thématiques seront abordées. Il s'agit, entre autres, de l'étude du marché, de l'étude financière et d'une étude pratique sur la négociation du financement. La pratique de la négociation du financement vise à permettre aux encadreurs d'acquérir des connaissances en matière de négociation de financement. Afin qu'ils puissent transmettre ces connaissances aux jeunes sur le terrain pour que ces derniers puissent avoir les connaissances nécessaires pour négocier un financement avec d'autres structures au cas où ils ne bénéficient pas du financement de la confédération.

Photo de famille

« Nous allons faire des simulations en tant que bailleur des jeunes. Ils vont s'affronter pour voir quelles sont les vrais outils pour obtenir un financement. Nous avons constaté que le gros problème que beaucoup de jeunes rencontrent, se situe au niveau du plan d'affaires. Or c'est le plan d'affaires qui permet au bailleur de voir comment le jeune entend monter son activité. Donc nous allons beaucoup mettre l'accent sur l'élaboration du plan d'affaires », a fait savoir Dingam Donon-Horbe, le directeur des programmes jeunesse de la confédération.

Rama Diallo
Lefaso.net

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Burkina : La FAO contribue pour l'amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle de 6 800 ménages à travers la mise en œuvre d'un projet d'urgence

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 14/08/2024 - 00:00

L'Organisation des Nations-Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) dresse, ce mardi 13 août 2024, le bilan de mise en œuvre du projet « Amélioration de la sécurité alimentaire et protection des moyens d'existence des ménages vulnérables dans les régions de la Boucle du Mouhoun, du Centre-nord et du Nord du Burkina Faso (OSRO/BKF/212/NOR) ». La cérémonie d'ouverture de cet atelier s'est faite en présence du secrétaire général de la région du Nord, Albert Zongo, représentant le gouverneur.

Dix-huit mois. C'est le temps qu'il a fallu pour la mise en œuvre du projet OSRO/BKF/212/NOR par la FAO, soutenue financièrement par la coopération norvégienne à environ deux milliards de francs CFA. Les communes cibles de ce projet qui a œuvré au renforcement de la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages agro-pastoraux/pastoraux vulnérables étaient Toma, Gassan, Dédougou et Bondokuy pour la Boucle du Mouhoun ; Boussou et Gourcy dans la région du Nord ; Boulsa dans la région du Centre-nord. En dépit des contraintes sécuritaires de ces zones, la délocalisation de certaines d'entre elles initialement choisies pour s'assurer que le projet porte fruit, la FAO a pu engranger des résultats probants.

Les acteurs du projet mobilisés pour le bilan

« Pour le volet production végétale, ce sont des actions en lien avec la préparation des sols de bas-fonds rizicoles ainsi que des appuis en intrants pour le riz, le niébé (semences et fertilisants) et des équipements en appui à la production et la conservation qui ont été réalisées. Concernant la production animale, il s'est agi d'appuis pour l'amélioration de l'alimentation et de la santé animale à travers la production du fourrage avec des intrants de qualité, la mise à disposition d'aliment bétail, la recapitalisation du cheptel en synergie avec le projet G5 Sahel et la protection sanitaire des animaux ainsi que l'appui en matériel de fauche et conservation du fourrage (caissons et faucilles). Pour la coordination, les capacités des bénéficiaires ainsi que celles des partenaires ont été renforcées sur des thématiques innovantes dans le domaine de l'agriculture, de l'élevage et de la gestion des activités génératrices de revenus », a résumé Madi Sawadogo, représentant le chargé de programme de la FAO.

« Le projet a atteint son objectif », Madi Sawadogo

Les bénéficiaires de leur côté, confirment ces acquis et témoignent avoir été soulagés par l'initiative. C'est le cas de Yamlayiri Souli, bénéficiaire de Dédougou, venu à Ouahigouya pour assister à l'atelier de mise en œuvre du bilan. Ayant échappé à la mort et séparé brutalement de ce qui lui offrait de quoi se nourrir, c'est avec le cœur plein d'allégresse qu'il salue ce projet. « On a été victime d'attaques terroristes qui ont occasionné notre déplacement à Dédougou. Avec les attaques, on a perdu beaucoup d'animaux. On s'est retrouvé avec quelques têtes à Dédougou. Il n'y avait pas de fourrage. Ce n'était pas facile ! Mais plus tard, le projet est arrivé comme un sauveur ! Nous avons bénéficié de l'accompagnement dans le domaine de l'élevage. Et grâce à ce projet, nous avons pu augmenter notre productivité, vendre à deux reprises, acheter de la nourriture, payer la scolarité de nos enfants. N'eut été cela, on ne savait pas à quel saint se vouer », a-t-il avoué.

« Au-delà de tout, je dis merci à Dieu pour la vie », Yamlayiri Souli

De son côté, Albert Zongo, secrétaire général de la région du Nord, a salué l'initiative de ce projet qui a permis à 6 800 ménages de démarrer une activité et de travailler à s'auto-suffire. « Après l'exécution d'un projet, si les premiers responsables acceptent de s'asseoir avec toutes les parties prenantes pour faire le bilan, c'est que la bonne gouvernance a été au rendez-vous. C'est cela qui nous va droit au cœur parce que discuter des acquis, des difficultés et des résultats engrangés par le projet pour améliorer les phases à venir est important », a-t-il salué.

« Ce projet s'est tenu dans des zones à forts défis sécuritaires, ce qui est encourageant », Albert Zongo

Erwan Compaoré
Lefaso.net

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Burkina/Justice : Le tribunal administratif de Bobo déclare illégale la réquisition de deux magistrats

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 13/08/2024 - 23:55

À son audience des référés tenue ce 13 août 2024 à 17 heures, le Tribunal Administratif de Bobo-Dioulasso déclare que les ordres de réquisitions des procureurs ZOUGROUANA Roger-André et NACRO Abdoul Gafarou, en date du 09 août 2024 "sont manifestement illégaux et portent atteinte aux libertés fondamentales des personnes concernées".

Le tribunal enjoint par conséquent à l'Etat burkinabè de ne donner aucun effet à ces ordres de réquisitions et de garantir les libertés fondamentales des personnes concernées.

Le Tribunal Administratif de Bobo-Dioulasso précise que "l'exécution diligente des présentes est assortie d'une astreinte d'un million de francs CFA par jour de retard à compter du prononcé de la présente décision, à la charge personnelle de DIALLO Moussa, signataire des ordres de réquisitions".

Le tribunal condamne également l'Etat à payer aux requérants la somme d'un million (1 000 000) de francs CFA à titre de frais exposés non compris dans les dépens.

Lefaso.net

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Journée sans presse au Sénégal

France24 / Afrique - Tue, 13/08/2024 - 23:11
Ce mardi était une journée sans presse au Sénégal, un mouvement de protestation lancé par les patrons des médias pour alerter sur leur situation financière. Le nouveau gouvernement sénégalais leur réclame le règlement des arriérés d'impôts, une dette fiscale de 40 milliards de CFA que l'ex-président Macky Sall s'était engagé à alléger. Cependant, la mesure n'a jamais été appliquée. Cette protestation ne fait pas l'unanimité parmi les journalistes. 
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Tanganyika : la présence des militaires interdite dans les carrières minières et le long des barrières

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 13/08/2024 - 21:44


Le commandant de la 22e Brigade de réaction rapide, le général Dunia Kashindi, a interdit la présence des militaires dans les carrières minières et le long des barrières. Il a annoncé cette mesure lors de la clôture lundi 12 août, de sa tournée d'inspection et d'évaluation de la situation sécuritaire à l'intérieur de la province du Tanganyika.

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Burkina/Bank of Africa : Le capital social passe de 22 à 44 milliards de FCFA

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 13/08/2024 - 21:17

Les actionnaires de Bank of Africa (BOA), se sont réunis en Assemblée générale extraordinaire ce 13 août 2024. La rencontre a permis de statuer, sur trois points dont l'un des plus importants était l'augmentation du capital social de la banque. Celui-ci passe de 22 à 44 milliards, faisant ainsi de BOA la banque au capital le plus important au Burkina Faso.

Les travaux de l'Assemblée générale extraordinaire de ce jour 13 août 2024, ont été dirigés par le président du conseil d'administration, Lassiné Diawara. Ils ont réuni 85% des actionnaires, et ont permis de statuer et adopter, trois points portant sur l'augmentation du capital social de la banque, la modification des statuts en ce qui concerne les articles 6 et 7 ainsi que le pourvoir en vue des formalités.

Lassiné Diawara, président du conseil d'administration de la BOA

En ce qui concerne le premier point en lien avec l'augmentation du capital social, les actionnaires ont à l'unanimité, décidé d'augmenter celui-ci, le faisant passer de 22 à 44 milliards de FCFA. L'augmentation du capital se fera donc par incorporation des primes liées au capital et d'une partie des réserves facultatives, sans apport numéraire. De façon pratique, il sera procédé à l'émission de 22 millions d'actions nouvelles d'une valeur nominale de 1 000 FCFA chacune, et qui seront attribuées gratuitement aux actionnaires, à raison d'une action nouvelle pour une action ancienne.

L'augmentation du capital de la banque, entraîne par ricochet la modification des articles 6 et 7 des statuts de la banque. L'article 6 révisé, stipule que le capital social est fixé à la somme de 44 milliards de FCFA, entièrement libéré. L'article 7 quant à lui, dispose que le capital social est divisé en 44 millions d'actions d'une valeur nominale unitaire de 1 000 FCFA chacune. L'Assemblée générale extraordinaire, a aussi conféré au directeur général et directeurs généraux adjoints, les pouvoirs à l'effet de passer et signer tous actes, remplir toutes les formalités et faire tout ce qui est nécessaire pour intégrer les modifications statutaires.

Pour Christian Zongo, directeur général adjoint en charge de l'exploitation de la BOA, l'augmentation du capital social traduit une certaine solidité de la banque. Avec l'ancien capital social qui se chiffrait à 22 milliards, BOA était déjà au-delà de la norme exigée par la BCEAO qui est de 20 milliards. "Lorsqu'on augmente le capital de cette façon, nous renforçons notre capacité à soutenir l'économie. La BOA est un acteur qui compte dans le secteur financier du pays. Nous allons accroître substantiellement nos capacités de financement des secteurs vitaux de l'économie", a-t-il laissé entendre.

Christian Zongo, directeur général adjoint en charge de l'exploitation de la BOA

Cette augmentation du capital social, réjouit également les actionnaires de la BOA. Loloma-Hie Annonciata Kaboré, actionnaire, a exprimé sa satisfaction quant à cette décision, qui permet de doubler les actions des actionnaires et les dividendes également.

Loloma-Hie Annonciata Kaboré, actionnaire

Armelle Ouédraogo
crédit photo Bonaventure Paré
Lefaso.net

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Le masculin ne l'a pas toujours emporté sur le féminin : Cette règle n'est pas immuable !

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 13/08/2024 - 21:06

Introduction

Une des règles de grammaire que l'on apprend dès l'école primaire est que « le masculin l'emporte sur le féminin. » Les maîtresses et maîtres ont pris le soin de nous expliquer que même s'il y a mille femmes et un seul homme dans une phrase, l'accord se fait au masculin.

J'ai toujours trouvé cette règle injuste et incompréhensible. Ce sentiment d'injustice et même d'indignation est vécu par nombre de femmes également. Dans ce sens, Michaël Lessard et Suzanne Zaccour (2018 : 8) donnent une anecdote en disant que même si on enferme les femmes de toute la Terre avec un chat dans une salle et que la salle disparaissait au cours de la nuit, on écrira ils ont disparu. Il en est de même pour les objets, on dira 1000 femmes et un vélo sont pris en photo.

Ces exemples montrent comment les femmes sont effacées, rendues invisibles, à la limite reléguées hors de l'humanité par certaines règles de la langue française. Mais on pourrait nous répondre que ce sont des réflexions de féministes qui exagèrent tout, car il s'agit de la règle du masculin générique, c'est-à-dire le masculin désignant « l'espèce humaine sans distinction de sexe. »

Mais pourquoi le masculin l'emporte sur le féminin ? Est-ce que le masculin l'a toujours emporté dans les règles de grammaire ?

Cet article se base essentiellement sur une recherche documentaire. Il voudrait d'une part, montrer que d'autres règles de grammaire ont existé avant l'introduction de la règle de primauté du masculin et d'autre part, sensibiliser sur l'importance de rendre visibles les femmes à travers le langage.

1 Quelques faits

Selon le dictionnaire Larousse, la grammaire est l'ensemble des règles phonétiques, morphologiques et syntaxiques, écrites et orales, d'une langue. Ainsi, c'est la grammaire de la langue française qui édicte les règles d'accord. Les élèves, les étudiants et étudiantes, les écrivains, écrivaines, les personnes enseignantes, les chercheur-e-s, etc., toutes et tous veillent à les respecter lorsqu'ils/elles rédigent des textes. Dans le cas contraire, il y a le risque que les écrits soient mal notés, voire rejetés.

Notons que les règles de grammaire d'une langue sont généralement établies par les spécialistes de la langue que sont les grammairiens, les linguistes et les académiciens.

Dans le cas du français par exemple, l'Académie française joue un rôle important dans l'établissement des règles de la grammaire et de l'orthographe. L'Académie française est une institution créée en France en 1635 par le Cardinal de Richelieu sous le règne de Louis XIII avec pour mission de travailler à la sauvegarde et au développement de la langue française. Les membres de l'Académie française sont au nombre de 40. Ils/elles sont élu-e-s par cooptation c'est-à-dire que pour y être intégré-e, le candidat ou la candidate doit être proposé-e par l'un-e des membres actuel-le-s et être élu-e à la majorité des voix. Une fois élu-e, un académicien ou une académicienne occupe son fauteuil à vie.

Historiquement, les femmes ont été exclues de cette institution prestigieuse. Ce n'est qu'en 1980 que la première femme, l'historienne et philologue Marguerite Yourcenar, a été admise à l'académie française. Depuis lors, d'autres femmes ont été élues, mais leur nombre reste limité par rapport au nombre total des académiciens. Il a donc fallu plus de trois siècles, précisément 345 ans, pour qu'une femme soit élue à l'académie française.

Selon les statuts de l'académie française, les 40 sièges ne peuvent être occupés que par des personnes « de bonnes mœurs, de bonne réputation et de bon esprit ». (Michaël Lessard et Suzanne Zaccour, 2018 : 13 ). Nous pouvons donc observer une évolution positive dans les représentations où les femmes sont également vues comme des êtres qui peuvent posséder lesdites qualités.

2 La puissance du masculin qui l'emporte : résultat d'une lutte
d'académiciens misogynes

Michaël Lessard et Suzanne Zaccour (2018 : 09) notent que « […] la primauté du masculin n'est ni intuitive, ni naturelle, ni nécessaire. […] En vérité, la primauté du masculin n'est pas intrinsèque à la langue française. Elle est plutôt le résultat d'une lutte menée par des grammairiens, des auteurs et des savants misogynes. Si l'on dénonce fréquemment la dimension politique de la féminisation, qui « dénaturerait » la langue au nom de l'émancipation des femmes, il faut savoir que sa masculinisation a été -et demeure- tout autant un projet politique. » La masculinisation a été un processus qui a reposé sur deux axes.

Au niveau du premier axe, on a travaillé à effacer les féminins désignant des professions nobles. On a supprimé du vocabulaire des termes comme professeuse, philosophesse, autrice parce qu'on ne pensait pas que des femmes puissent exercer ces activités et l'on a conservé des termes comme serveuse, tenancière. Ce sont les représentations des rôles de sexes dans la société que l'on reproduit comme l'illustre la réflexion de Sylvain Maréchal qui écrit en 1801 : « Pas plus que la langue française, la raison ne veut qu'une femme soit auteur. Ce titre, sous toutes ses acceptions, est le propre de l'homme seul ». (Vienot 2014 : 60 citée par Michaël Lessard et Suzanne Zaccour 2018 : 10)

Le deuxième axe a consisté à faire du masculin, un genre générique. Michaël Lessard et Suzanne Zaccour (2018 : 10) font observer que jusqu'au 17ème siècle, on accordait l'adjectif et le verbe en se basant sur le nom ou le sujet pertinent le plus proche. Ainsi, on disait les hommes et les femmes sont intelligentes ; les femmes et les hommes sont intelligents. C'était l'accord de proximité. Cette règle sera abandonnée au 17ème siècle au profit du principe du masculin qui l'emporte présenté par des académiciens comme une conséquence logique de la supériorité masculine.

3 Pour une langue où les femmes ont toute leur place : des alternatives à la forme masculine dite générique.

Les recherches montrent que presque toutes les autorités linguistiques occidentales ont adopté des stratégies de féminisation des noms de métier, fonction, grade et titre depuis des décennies. Le Québec, au Canada, serait le précurseur dans la féminisation du langage. L'Office québécois de la langue française a recommandé officiellement dès 1979 l'emploi de l'appellation féminine pour désigner les femmes en poste au sein de l'administration publique.

Il semble que c'est l'académie française qui est la plus résistante au changement.
(Université du Québec, 2021 : 17)

Plusieurs stratégies sont proposées pour prendre en compte les femmes dans la langue. Les principales sont :

• abandonner l'utilisation du masculin générique ;
• utiliser les doublets complets : Une étudiante, un étudiant ; une enseignante, un enseignant ; une formatrice, un formateur ; une assistante, un assistant ;
• utiliser le point médian « · » : étudiant-e , expert-e ; étudiant-e-s , expert-e-s. Soulignons que certaines écoles recommandent l'utilisation d'un seul point médian par mot, même au pluriel : étudiant-es ; expert-es (université du Québec, 2021 : 20) ;

• privilégier les mots et termes épicènes, c'est-à-dire ceux qui ont la même forme au masculin et au féminin et qui peuvent désigner aussi bien des femmes que des hommes : militaire, fonctionnaire, ministre, stagiaire, partenaire, volontaire ;
• recourir systématiquement à la désignation Madame et renoncer à la désignation Mademoiselle.

Formes épicènes qui
s'adressent aux deux sexes

Écrivez

N'écrivez pas

Le corps estudiantin

La population étudiante

Les étudiants

Les êtres humains

Les hommes, L'Homme

Les membres du corps professoral

Les professeurs

Les bénéficiaires d'une bourse

Les boursiers

A la satisfaction générale

A la satisfaction de tous

Chaque jeune

Tout jeune

Quiconque

Celui qui


Source : Tiré de Université de Lausanne, 2018.

Conclusion

Le texte montre en quoi le masculin ne l'a pas toujours emporté contrairement à cette règle de grammaire qui date du XVIIe siècle. Aujourd'hui, nombre d'autorités linguistiques s'accordent sur le fait que l'usage du masculin « générique et universel » véhicule un déséquilibre dans la représentation femmes/hommes. Rendre la langue française plus égalitaire passe par un renforcement du féminin dans l'ensemble du matériel linguistique : noms, pronoms, accords, etc. Il faut donc féminiser la langue qui, précisons-le, ne consiste pas à « penser » au masculin, puis de « traduire » autrement. La féminisation, c'est d'abord un mode de pensée avant d'être un mode d'écriture. Les modes de pensée des sociétés évoluant, la règle du masculin l'emporte doit pouvoir changer avec le temps. [ Cliquez ici pour lire l'intégralité ]

Dre Lydia ROUAMBA
Maîtresse de recherche en sociologie
INSS / CNRST
Palingwinde@hotmail.com

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Goma : reprise des activités au village Rukoko et dans les quartiers voisins de Majengo et Buhene

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 13/08/2024 - 20:14


Les activités socio-économiques et professionnelles ont repris normalement ce mardi 13 août matin dans le village de Rukoko ainsi que dans les quartiers voisins de Majengo et Buhene, au nord de la ville de Goma.


Les jeunes qui tentaient encore de barricader la route ont été vite dispersés par les forces de l’ordre.

Categories: Afrique

Quelles sont les rivalités historiques au sein du cartel de Sinaloa et que peut-il se passer après la capture du fils de Mayo et Chapo ?

BBC Afrique - Tue, 13/08/2024 - 20:10
Le cartel de Sinaloa a surmonté plusieurs fractures internes entre ses factions, mais l'arrestation d'Ismael Zambada García et de Joaquín Guzmán López pourrait amener l'organisation à un tournant, selon les analystes.
Categories: Afrique

Conseil des collectivités territoriales (CCT) de l'UEMOA : Le plan stratégique en cours d'élaboration à Ouagadougou

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 13/08/2024 - 19:58

Les commissaires issus du conseil des collectivités territoriales de l'Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) sont en conclave dans la capitale burkinabè. Durant trois jours (du 13 au 15 août 2024), ces commissaires proposeront le premier plan d'action stratégique de quatre ans du Conseil des collectivités territoriales de l'union (CCT-UEMOA).

L'ouverture de cet atelier de réflexion sur l'élaboration du plan stratégique du CCT-UEMOA s'est tenue ce 13 août sous la présidence du président du CCT et de l'association des maires du Sénégal, Oumar Ba. En ouvrant cet atelier de réflexion, le président a rappelé qu'il s'inscrit dans la vision de planifier les activités et d'évaluer les moyens à mettre en œuvre, ainsi que les objectifs à atteindre dans le cadre du CCT-UEMOA.
L'autre spécificité de ce plan d'action en cours d'élaboration, selon lui, c'est qu'il recherche une cohérence entre les initiatives du CCT et celles des pays membres de l'UEMOA.
En clair, il sera question pour les commissaires de créer une synergie de part et d'autres pour renforcer les résultats et être beaucoup plus efficaces.

Les commissaires issus du CCT-UEMOA en réflexion sur le plan d'action et stratégique du CCT-UEMOA

Aussi, ce plan stratégique s'appuiera et s'articulera autour du contexte de la sous-région. C'est pourquoi, les commissaires réfléchiront sur la meilleure stratégie ou programme qui pourra contribuer au défi qui interpelle la sous-région, fort de son ancrage territorial et de sa population. Et ce, en se basant sur les spécificités qui leur permettent de vivre et de comprendre les préoccupations majeures des populations. Ce qui implique une innovation forte au niveau du plan stratégique, à en croire Oumar Ba.

Oumar Ba, le président du CCT-UEMOA et de l'association des maires du Sénégal

Au cours de l'atelier, l'accent sera également mis sur les défis de la sous-région, notamment les questions de paix et de sécurité, le choix de l'approche, de la politique locale de sécurité à concevoir et à mettre en œuvre pour accompagner les Etats, en fonction des spécificités locales.

Les commissaires du CCT-UEMOA posent ensemble

Les questions de souveraineté alimentaire, du développement durable, de l'immigration clandestine, l'impact négatif des réseaux sociaux, l'éducation, et d'autres questions seront également mises sur la table.
Rappelons que le CCT-UEMOA est un organe créé en 2011 par l'UEMOA afin d'accompagner les Etats dans les stratégies et les programmes de renforcement de l'intégration au sein de la communauté. C'est ainsi que depuis lors, des initiatives importantes ont été menées aux côtés des États, dont le présent plan d'action stratégique du CCT-UEMOA en cours d'élaboration et qui permettra d'être plus cohérent et plus efficace sur le terrain et avec les Etats membres.

Vue partielle des commissaires concentrés sur les travaux

Yvette Zongo
Lefaso.net

Categories: Afrique

La Cour des comptes condamne le directeur général de la METTELSAT à payer une amende de 27 500 000 francs congolais

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 13/08/2024 - 19:04


 La Cour des comptes a condamné ce mardi 13 août Joseph Yilondo, directeur général de l’Agence nationale de météorologie et de télédétection par satellite (METTELSAT) à payer une amende de 27 500 000 francs congolais (11885 USD) ainsi que les frais d’instance.

Categories: Afrique

Grève: une "journée sans presse" décrétée par le patronat largement suivie au Sénégal

BBC Afrique - Tue, 13/08/2024 - 18:27
Programmes de radios et télévisions interrompus, studios fermés, kiosques à journaux vides, au Sénégal le mot d'ordre de la « journée sans presse » a été globalement bien respecté à travers le pays.
Categories: Afrique

Pourquoi Africa CDC a-t-il déclaré que la variole du singe constitue une urgence de santé publique sur le continent

BBC Afrique - Tue, 13/08/2024 - 16:52
La variole du singe se propage en Afrique de l'Est et en Afrique centrale, les experts avertissant qu'il faut muliplier les efforts pour enrayer la maladie.
Categories: Afrique

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